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A la fois pertinent et porteur de sens, l'investissement dans les infrastructures se révèle être un véritable choix stratégique pour les épargnants. Pourquoi cette classe d'actifs plait et s'ouvre à la clientèle privée ?

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00:00Les experts dans l'effet patrimoine pour découvrir ou redécouvrir peut-être cette
00:08classe d'actifs, les infrastructures, une classe d'actifs qui on va le voir se démocratise de
00:13plus en plus. Pour en parler avec nous je suis ravi d'accueillir Sylvain Sourdain. Bonjour Sylvain.
00:17Bonjour. Vous êtes président d'Edouard 7 gestion privée, bienvenue à vous. Merci beaucoup. A vos
00:22côtés Bertrand Rabeau, bonjour Bertrand. Bonjour. Vous êtes directeur de l'offre Laplace qui est
00:27l'activité de gestion privée du groupe Cristal. Merci de le préciser. Et enfin Xavier Leblanc,
00:31directeur innovation et gestion privée chez Sven Capital Partners. Bonjour Xavier.
00:36Bonjour Fabrice. On va rapidement vous présenter les uns et les autres. On commence avec vous
00:41Xavier justement puisque vous êtes le faiseur, celui qui va vraiment nous expliquer ce que sont
00:47ces infrastructures. Que fait Sven exactement ? Alors Sven Capital Partners c'est un acteur
00:54d'une eau cotée, c'est un spécialiste dans l'investissement responsable dans le non coté.
00:58Aujourd'hui on gère environ une dizaine de milliards d'euros pour moitié en private equity ou en
01:05capital investissement et pour moitié en infrastructure. C'est pour cette raison d'ailleurs
01:09qu'on en parle aujourd'hui et on est filial du groupe OFI et du Crédit Mutuel ARK, donc une
01:15maison qui investit dans l'infrastructure depuis maintenant plus de 15 ans. Très bien donc 5
01:19milliards environ sur les infrastructures. Oui absolument et on intervient aussi bien en
01:23multistratégie qu'en direct. Parfait. Un petit mot Bartrand Rabot justement, vous qui êtes
01:29directeur de l'offre La Place, de cette filiale gestion privée, vous le disiez, du groupe Cristal.
01:33Alors nous notre spécialité c'est la gestion patrimoniale, donc pour les chefs d'entreprise,
01:36pour les professions libérales, également pour les salariés, toute type de clientèle. Et nous
01:43notre métier c'est d'apporter du conseil, du conseil juridique, fiscal, social et financier
01:47à nos clients et de leur proposer évidemment des stratégies d'investissement, toute classe
01:52d'actifs confondus. Et toute classe d'actifs confondus, ça inclut le private equity, la dette
01:58privée et tous ces sujets d'infrastructure dans l'air du temps. Voilà qui ont le vent en poupe
02:02effectivement, c'est dans l'air du temps. Sylvain Sourdin ? Oui Edouard, cette gestion privée est
02:06une société de gestion, donc agréée par l'AMF, dédiée à la gestion privée et au family office,
02:11et également aux associations. Nous accompagnons nos clients à la fois sur le plan patrimonial,
02:16c'est-à-dire toutes les stratégies d'optimisation liées à l'impôt sur le revenu, à l'IFI et à la
02:21transmission. Notre clientèle est essentiellement composée de cadres dirigeants et de chefs
02:26d'entreprise, donc on a plutôt une forte appétence patrimoniale et en particulier pour les chefs
02:30d'entreprise dans le cadre de leur transmission, et notamment les transmissions sessions, transmissions
02:35familiales. Et on accompagne également nos clients sur le plan des investissements financiers de par
02:41notre statut de société de gestion. Et puis on accompagne également nos clients sur les actifs
02:47réels, donc l'immobilier, comme l'a dit mon voisin, la dette privée, le private equity et également
02:56les infrastructures. Et donc les infrastructures, évidemment on va en parler, vous êtes pas mal
02:59occupé en ce moment avec un petit bouleversement un petit peu politique, on sait qu'il y a beaucoup
03:02de clients qui se posent des questions, mais on va passer à te parler plutôt des investissements
03:05aujourd'hui, effectivement avec ces infrastructures. Xavier Leblanche, on démarre avec vous, puisque
03:11vous avez dit que les infrastructures nécessitent des investissements privés massifs. C'est vrai
03:17qu'on en a besoin, ces investissements, c'est quelque chose en fait de très concret, de très réel
03:22pour nous tous. C'est votre quotidien, de toute manière aujourd'hui le monde moderne fonctionne
03:27grâce aux infrastructures, puisque si vous voulez le matin vous avez besoin d'électricité, d'eau,
03:32donc tous ces éléments sont vraiment la base de notre société moderne. Mais jusqu'à présent en
03:37réalité, on connaissait les infrastructures financées par le public. C'était essentiellement
03:42l'état qui était à la manœuvre, et depuis maintenant 20-25 ans, ça n'a échappé à personne
03:48que les pays de l'OCDE ont des finances qui sont un peu plus compliquées qu'auparavant, et donc la
03:54capacité à financer les infrastructures est passée en partie vers le privé, avec un intérêt majeur,
04:00et on le voit d'ailleurs au travers aujourd'hui des fonds souverains, des fonds de pension, mais
04:05également même des retraites françaises qui vont se mobiliser pour financer tous ces éléments qui
04:09sont juste indispensables, et surtout qui sont de plus en plus des investissements d'avenir,
04:13puisque toute la transition, toute la transformation nécessaire de notre monde va passer par
04:18l'accompagnement de ces infrastructures. Et ça va être extrêmement coûteux, vous citez un chiffre d'ici
04:222040 pour l'Europe, on parle de plusieurs dizaines, voire centaines de milliers, de milliards même de
04:31dollars ? Oui, alors on parle en euros en Europe, mais globalement effectivement les montants sont
04:36absolument considérables, alors chaque côté de l'Atlantique on a des montants qui sont différents,
04:42mais ce qu'on dit aujourd'hui c'est que ce sont plusieurs dizaines de milliers de milliards qui
04:46sont à investir d'ici 2040. 100 000 milliards, donc c'est difficile à imaginer même ? Oui, c'est ça,
04:51c'est-à-dire qu'on ne sait plus trop de quoi on parle, mais en réalité on est bien sur du concret,
04:55c'est tout l'accompagnement de ce qui existe déjà, donc quand on parle des infrastructures,
05:00on parle de tout ce qui est environnement, énergie, des transports, de la télécommunication,
05:04également de tout ce qui va être infrastructures sociales, puisque même si elles n'ont pas eu
05:10bonne presse récemment, les maisons de retraite ne vont pas disparaître demain, on a besoin d'hôpitaux,
05:15on a besoin de cliniques, donc tout ça font partie de l'univers des infrastructures et on le voit au
05:21quotidien, on a besoin de ces transformations, que ce soit des transformations urbaines, on a tous ces
05:26sujets de modification de la démographie bien entendu, tout notre sujet de décarbonation qui
05:30va vraiment être un élément sur lequel on va pouvoir discuter, mais également la digitalisation,
05:36puisque vous avez tous entendu je pense tous les investissements massifs qui sont envisagés dans
05:40tout ce qui est data center ou centres de données ou fibres, puisqu'avec l'intelligence artificielle...
05:45Il paraît que c'est très consommateur. C'est juste colossal et puis on a beau parler du cloud
05:51ou du nuage, en réalité il faut quand même les stocker quelque part physiquement ces données,
05:54donc c'est là où intervient les data center et on estime que tous les deux ans,
06:00tous les trois ans, vous avez une multiplication par deux des besoins nécessaires en termes de
06:05stockage de data. Très bien, est-ce qu'il y a des infrastructures justement, messieurs, je commence
06:09avec vous Bertrand Rabeau, qui voient là qui plaisent ou sur lesquelles vous êtes positionnés, en
06:13particulier on a cité effectivement ce qui est digitalisation, transition écologique, mais on sait
06:18aussi qu'il y a le vieillissement démographique, qu'est-ce qui vous intéresse ? On n'est pas
06:22positionnés sur un secteur particulier, par contre ce qui plaît c'est évidemment, ce sont
06:27les énergies renouvelables, parce qu'il y a un lien qui se crée entre le besoin de financer ces
06:33énergies renouvelables et les grosses ambitions, déjà 2030 on doit avoir 33% du mix énergétique en
06:40énergie renouvelable, et donc de faire un lien entre ce besoin et le sens que désirent au final
06:46aujourd'hui nos clients, puisque ce sens est très important quand on finance les infrastructures,
06:52on finance les équipements qui sont nécessaires, on maintient des activités économiques comme là,
06:55évoqué Xavier, évidemment parler de ça à nos clients aujourd'hui, ça donne beaucoup de
07:02profondeur dans notre discours et on a beaucoup de retours très positifs sur ces thématiques.
07:06Très bien, vos investisseurs, enfin vos clients plutôt, Sylvain Sourdain,
07:13ils s'intéressent ou c'est vous qui leur en parlez de cette classe d'actifs ?
07:16C'est nous qui leur parlons beaucoup effectivement de cette classe d'actifs parce qu'elle présente
07:23beaucoup d'avantages et pour les clients c'est quelque chose d'assez comparable un peu à
07:27l'immobilier en fait, c'est-à-dire que vous avez quand même des actifs qui ont une duration très
07:31très longue, une forte visibilité. Ils sont tangibles déjà, comme disait Xavier.
07:34Ils sont des actifs réels absolument et qui sont une très très bonne alternative aux actifs cotés,
07:39donc c'était une très bonne classe d'actifs de diversification et c'est vraiment un élément
07:44déterminant je dirais pour les clients pour pouvoir diversifier leur patrimoine.
07:49Il y a aussi un élément important, c'est tout ce qui est alignement sur une certaine
07:53finance durable, des objectifs ESG, là aussi ça se mêle plutôt bien,
07:57comment ça se structure, est-ce que c'est quelque chose auquel vous êtes sensible ?
08:01Alors oui chez Swann, on fait partie vraiment des acteurs,
08:05chez Kit dès l'origine c'était absolument fondamental donc on a une démarche très
08:10responsable, on est passé de société à mission l'année dernière et donc en particulier sur
08:14l'infrastructure, on est vraiment très très focus sur le sujet parce qu'une infrastructure,
08:22quelle qu'elle soit, a une empreinte environnementale qui est très lourde.
08:24Donc s'il y a un endroit où on peut agir de manière très significative, c'est bien à cet
08:29endroit-là puisque vous allez pouvoir trouver certaines solutions pour réduire cette empreinte
08:34environnementale. Vous avez un certain nombre de mesures qui peuvent être réalisées, évidemment
08:38une orientation de votre flux puisque vous pouvez choisir ce vers quoi vous allez investir.
08:43Aujourd'hui chez Swann, il est évident qu'on exclut par exemple des investissements dans une
08:48plateforme pétrolière, ça ne fait plus partie des infrastructures dans lesquelles nous souhaitons
08:53nous souhaitons pouvoir investir. En revanche il y a plein d'alternatives et là où vous avez un
08:58marché absolument considérable, puisqu'il va falloir trouver des solutions, en particulier
09:02pour toute la décarbonation, puisque l'éléphant dans la pièce dans les infrastructures sont très
09:06clairs, c'est les transports. Que ça soit l'aviation, le transport maritime ou l'automobile,
09:12c'est le point essentiel sur lequel nous devons agir. Donc on le voit au travers de l'électrification
09:17avec toutes les limites associées, parce que parfois on va trop vite, on l'a vu, mais il y a
09:21beaucoup de solutions qui sont proposées et qui sont tout à fait tangibles et qui fonctionnent
09:26très bien et qui vont nécessiter des investissements absolument considérables. Dans le même temps,
09:31le gros avantage, parce qu'on l'évoquait juste avant des infrastructures, c'est que vous avez
09:37une grosse visibilité sur les contrats que vous allez signer et donc une certaine récurrence sur
09:41vos revenus. C'est quoi, c'est 10, 15, 20, 25 ans ? Ça peut être 25 ans, tout à fait. Vous pouvez signer un
09:46contrat avec une collectivité pour, par exemple, le traitement de vos déchets. Ce sont des contrats
09:50qui peuvent être à 25-30 ans, mais en contrepartie, vous allez avoir une modification de ce traitement
09:55des déchets avec un recyclage plus important, récupération de la chaleur. Il y a beaucoup de
09:59solutions très circulaires qui en font vraiment des investissements d'avenir et c'est là aussi
10:03l'intérêt, je pense, parce qu'au travers de cet investissement, le client, il a aussi l'impression
10:07de participer à la construction de l'avenir. Donc c'est rassurant. Sinon, vous évoquiez l'immobilier,
10:12c'est une classe d'actifs, on le disait, tangibles sur un temps long et puis voilà, on est là pour
10:17durer. Oui, pour augmenter ce que disait Xavier, effectivement, le sujet de la transition
10:21énergétique est un sujet qui intéresse beaucoup nos clients parce qu'ils veulent donner du sens aussi à
10:26leur épargne, à leur investissement et avoir une visibilité sur des investissements concrets.
10:30Donc effectivement, lorsqu'on peut avoir une classe d'actifs qui offre à la fois la visibilité qui
10:35est tournée vers l'avenir à travers les investissements sur la transition énergétique
10:38notamment, c'est quelque chose qui intéresse beaucoup nos clients. Effectivement, on a une
10:44forte visibilité sur les rendements. Il y a des signatures quand même qui sont souvent publiques
10:49ou pas républiques. Donc ça, ça rassure beaucoup les investisseurs et c'est vrai qu'après, il faut
10:53trouver les supports d'investissement qui permettent d'offrir une forme de sécurité parce qu'il y a
10:58quand même des risques aussi associés à cette classe d'actifs. Oui, Bertrand, vous le soulignez, ça fait
11:01du sens, mais il y a aussi de la performance. Il y a aussi de la performance. C'est vrai qu'on le
11:06souligne peut-être pas assez, mais quand on regarde depuis plus de dix ans les performances liées au
11:11prêt-à-être écouté dédiées à l'infrastructure, ce sont des performances qui sont presque
11:14équivalentes à celles du capital transmission, donc du LBO. Donc évidemment, ça s'inscrit dans
11:22un temps long. Il y a des sujets de liquidité pour les investisseurs. C'est aussi pour ça qu'on n'en
11:26parle que maintenant parce que c'est évidemment lié et corrélé à toute cette démocratisation du
11:31prêt-à-être écouté et du non-côté, mais les performances sur le prêt-à-être écouté, en tout
11:35cas sur les meilleures sociétés de gestion avec des tracts très robustes, sont excellentes.
11:39Avant de voir justement comment investir et les pièges à éviter dans le débat dans un instant,
11:43je voulais juste qu'on soulève un petit peu le capot, Xavier Leblond. On profite de votre expertise
11:47chez Soem Capital Partners pour regarder comment on structure ça au niveau des actifs. Est-ce que
11:53vous rentrez dans les projets parce qu'on imagine que les projets à plusieurs dizaines de milliards,
11:58c'est compliqué ? On prend un ticket, on prend de l'équité, on prend des objets de la dette ?
12:01Oui, c'est souvent un mix puisque comme des structurations dans d'autres opérations,
12:07on va utiliser plusieurs outils pour pouvoir financer un projet. Nous, on intervient essentiellement au
12:12capital, donc on est sur la branche capitale. De deux manières, on intervient au travers de fonds,
12:19donc on investit dans des fonds qui eux-mêmes vont investir dans les actifs et on vient souvent
12:23co-investir aux côtés de ces fonds, dans un certain nombre d'actifs, puisque comme vous le
12:29faites remarquer, si c'est un actif en dizaines de milliards, donc une très grosse opération l'année
12:34dernière sur Inuit qui sont les tours des télécommunications en Italie, c'est des opérations
12:40d'une dizaine de milliards, il n'y a pas un seul fonds qui va intervenir. Évidemment, il faut
12:44plusieurs acteurs et vous êtes souvent également, bien entendu, aux côtés d'acteurs qui vont
12:49exploiter cette infrastructure, donc vous pouvez co-investir aux côtés de Vinci, de Telecom
12:54Italia, de Vodafone, donc vous êtes vraiment dans un environnement effectivement, je ne vais pas dire
13:01sécurisé, mais en tout cas bien identifié. Comme le disait très bien Sylvain, vous avez souvent une
13:05signature en face, qu'elle soit privée ou publique, qui est assez costaud, puisque vous, votre quotidien,
13:10vous avez un abonnement internet, vous avez un abonnement électricité et une part de cet
13:15abonnement va venir financer les infrastructures. Est-ce que ce type de projet est dérisqué, comme
13:21on dit, d'une certaine manière, puisque c'est très bien que voilà, sur des projets comme ça, c'est rare
13:25que ça n'aille pas au bout et s'il y avait un défaut d'une des parties prenantes finalement, ça pourrait
13:30être rapidement repris par un autre prestataire ? Alors oui et non, bien entendu, il y a toujours des
13:36risques associés à un projet, vous pouvez très bien avoir quelque chose qui ne s'achève pas.
13:39Effectivement, l'infrastructure, on distingue deux parties, ce qu'on appelle le Greenfield et le
13:43Brownfield. Donc le Brownfield est un actif qui est déjà exploité, donc sur lequel vous avez
13:48déjà une visibilité, un revenu, sur lequel d'ailleurs vous pouvez continuer à construire, bien
13:51entendu, mais qui est relativement sécurisé puisqu'il a des contrats qui sont signés à long terme. Et
13:56vous avez les actifs dits Greenfield, qui sont des actifs qui sont en cours de construction et donc
14:00là, mécaniquement, vous avez un risque associé qui est un peu plus élevé, puisque encore faut-il
14:04que cet actif aille au bout et puisse être exploité. Donc vous avez plus de risques mais
14:09potentiellement beaucoup plus, évidemment, de performances. Et toute l'approche consiste,
14:14en tout cas chez nous, à associer ces deux principes. Alors c'est vrai qu'on est plus
14:20Brownfield historiquement, ce sont des choses sur lesquelles on a une bonne visibilité qui est
14:24attendue par les clients, qui est assez solide. Donc déjà construit. Exactement et vous associez
14:28pas mal de... un petit peu de Greenfield également, de manière à aller chercher peut-être un peu
14:33plus de performances. Également, évidemment, participer à ces projets d'avenir. Et on a
14:37d'ailleurs, nous spécifiquement, chez Swann, monté une branche dédiée à tout ce qui est
14:41méthanisation, qui a été un succès assez significatif. Et là, on n'est plus sur du
14:46Greenfield puisqu'il faut construire ces usines, mais aux côtés d'exploitants, entre autres
14:50d'agriculteurs ou d'industriels. Voilà, on est rentré un petit peu dans le détail de ces
14:54infrastructures, comment ça fonctionne, comment investir. Tout de suite dans le débat, on va
14:58regarder quels sont les pièges à éviter pour les investisseurs dans ces infrastructures.

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