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Aujourd'hui dans "Punchline", Florian Tardif et ses invités débattent de l'absence de Premier Ministre.
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Transcription
00:00pour l'heure en suspens. Et attention, si le gouvernement n'est pas capable d'assurer cette catastrophe,
00:06il est possible que l'opposition s'en empare, ce n'est pas de moi, mais de Raymond De Vos, il y a 45 ans.
00:11Sauf qu'à l'époque, c'était un sketch et qu'aujourd'hui, c'est notre réalité.
00:1718h-19h sur CNews et Europe 1.
00:20Punchline !
00:21Fleurian Tardif !
00:31Le parquet a requis la mise en examen, le placement des tensions provisoires du suspect de l'incendie de l'Eglise de Saint-Omer.
00:37Il avait été interpellé lundi, quelques heures après le déclenchement de cet incendie.
00:42Le mis en cause est un homme né en 1985 à Boulogne-sur-Mer, sans profession et sans domicile fixe.
00:48Il avait déjà été condamné à 26 reprises.
00:5226 condamnations ont été prononcées à son encontre depuis l'année dernière.
00:57Troisième jour du procès des viols de Mazan au tribunal d'Avignon.
01:01Les enquêteurs ont été entendus.
01:03Selon le commissaire chargé de l'enquête, la victime, Gisèle Pellicot, n'est jamais apparue consciente sur les milliers d'images retrouvées.
01:09Pendant dix ans, elle a été droguée par son mari, puis violée par des dizaines d'inconnues.
01:15Les deux rugbymen français inculpés de viols en Argentine sont attendus en France.
01:20Oscar Gégou et Hugo Auradou devraient atterrir à Paris d'ici quelques minutes à présent.
01:26La justice argentine les a autorisés, vous l'avez compris, à quitter le pays.
01:30Les deux rugbymen sont toujours mis en examen pour viol aggravé en Réunion.
01:35Et 334ème jour de détention pour les otages détenus par l'organisation terroriste du Hamas dans la bande de Gaza.
01:44Deux de ces otages sont français. Ils se nomment Ofer et Oad.
01:48Nous pensons bien évidemment à tous ces otages, à leur famille.
01:50Nous demandons une fois de plus leur libération immédiate et sans condition.
01:58Nous poursuivons donc la discussion autour du plateau avec mes invités que je vous présente.
02:04Naïma M. Fadel, essayiste chargée de mission politique de la ville.
02:08À vos côtés, Françoise Laborde, journaliste.
02:10Geoffroy Lejeune, journaliste et à la tête de la rédaction du journal du dimanche.
02:14Noémie Alioa, journaliste et essayiste.
02:17Et Marc Toiti, économiste.
02:20Je tentais de résumer la situation avec humour en citant Raymond Devos tout à l'heure.
02:26Je ne sais pas s'il faut que nous en rions ou que nous pleurions autour de cet acte
02:30compte tenu de ce qui se passe actuellement dans notre pays.
02:33Mais vous allez voir qu'Emmanuel Macron, visiblement, est peut-être sur un tout autre sujet
02:39que celui de trouver un Premier ministre pour ce nouveau gouvernement.
02:43Pourquoi je vous dis cela ?
02:44Tout simplement parce que, alors que nous sommes préoccupés de la situation économique du pays,
02:49on aura peut-être l'occasion d'en parler dans quelques minutes avec vous, Marc Toiti.
02:53Le président de la République tweet sur son compte Twitter et félicite les champions.
02:59C'est bien, les champions qui nous rapportent des médailles.
03:03On a bien évidemment une pensée pour eux.
03:05Rien n'arrête nos cyclistes.
03:06Cette fois, c'est Mathieu Bosseredo et Johan Caille qui signent un doublé.
03:10Ces Jeux de Paris sont extraordinaires.
03:12Bien évidemment, on est très fiers du succès que ce soit lors des Jeux olympiques.
03:17C'était il y a quelques semaines ou en ce moment même lors de ces Jeux paralympiques.
03:22Mais est-ce le moment de s'adonner ?
03:26On a une pensée peut-être pour les équipes de communication,
03:30puisque je ne pense pas que ce soit le président de la République lui-même qui communique.
03:34Mais bon, je ne sais pas si c'était opportun compte tenu de la situation ce soir
03:38et de l'attente toujours du nom de ce futur Premier ministre.
03:42Je dirais que c'est quand même choquant.
03:44Moi, ce qui m'avait choqué également, c'est quand le président a dit
03:46la vraie vie, c'est les Jeux olympiques.
03:48Non, c'est exactement l'inverse.
03:50C'est-à-dire que c'est le drame aujourd'hui.
03:52Je pense que c'est presque du mépris par rapport aux Français.
03:55Ils sont très nombreux, malheureusement, qui souffrent.
03:57On a vu la semaine dernière des records de défaillance d'entreprises en France,
04:00donc d'entreprises qui déposent le bilan,
04:02ce qui veut dire qu'évidemment, derrière, il y aura du chômage,
04:04il y aura de la misère sociale, l'inflation qui continue,
04:06donc les prix qui continuent d'augmenter.
04:08On est à quasiment 18% de hausse depuis janvier 2021.
04:11On dit oui, l'inflation baisse, mais enfin, les prix continuent d'augmenter.
04:14Ça, c'est du quotidien.
04:15On nous avait promis une baisse des prix alimentaires.
04:17Pas du tout, ça continue de flamber.
04:18On est à plus de 22% de hausse depuis 2021.
04:21Donc moi, je préférerais effectivement notre président...
04:23Déjà, il n'a pas de Premier ministre et pas de gouvernement.
04:27C'est-à-dire qu'on se préoccupe de cela.
04:28Alors en plus, évidemment, il y a un danger, c'est-à-dire le budget.
04:33Et puis, il y a une échéance.
04:34Pardon ?
04:35Il y a une échéance demain.
04:36Il y a plusieurs échéances.
04:37Alors, le budget 2025, on devait le présenter le 1er mardi du mois d'octobre.
04:41Donc là, on est début septembre.
04:42Rien n'est fait a priori.
04:44Le 20 septembre, on doit remettre à la Commission européenne
04:48une proposition pour réduire notre déficit.
04:50C'est qu'on est sur une procédure de déficit excessif.
04:53Alors, ce n'est pas pour Bruxelles.
04:54On ne doit pas faire plaisir à Bruxelles.
04:55C'est pour nos enfants, parce que globalement, s'il y a plus de déficit,
04:58il y a plus de dettes demain.
04:59Et ce qui est dramatique, c'est qu'hier,
05:01M. Le Maire nous a dit, je suis désolé,
05:03j'ai découvert que les déficits publics étaient plus élevés que prévus.
05:06Ça, c'est quand même assez incroyable.
05:07Moi, ça fait huit mois que je l'annonce.
05:08Je ne suis pas devin.
05:09On le voyait très bien, sauf que...
05:11Faites attention, vous allez peut-être finir dans le prochain gouvernement à Bercy, oui.
05:15On va faire attention.
05:16Je crois qu'on ne me laissera pas faire.
05:18C'est tout le problème.
05:19En France, on ne veut pas baisser la dépense publique.
05:21On ne pense qu'à augmenter les impôts.
05:23Ce qui, évidemment, serait un drame,
05:24puisque nous sommes numéro un du monde des impôts.
05:26Il n'y a jamais eu autant de pression fiscale en France.
05:28Donc, si on s'amuse encore à augmenter les impôts,
05:30ça sera particulièrement dangereux.
05:32Et donc, là aussi, un point important,
05:34c'est que ce qui est dangereux,
05:35c'est que le déficit public aujourd'hui est devenu incontrôlable.
05:38Même le ministre de l'Économie, il est surpris parce qu'il augmente.
05:41C'est assez incroyable.
05:42Mais on nous annonce que ça va encore augmenter,
05:43pas seulement en 2024, mais aussi en 2025, en 2026.
05:46Pourquoi ?
05:47Parce que malheureusement, vous savez,
05:48beaucoup d'économistes disaient que la dette publique, ça ne coûte rien.
05:51Un mensonge éhonté.
05:52La dette publique nous coûte énormément chaque année,
05:55juste pour les intérêts de la dette.
05:57Je ne parle même pas de rembourser le capital pour les générations à venir,
06:00mais juste les intérêts de la dette,
06:02ça nous coûte 54 milliards d'euros l'année dernière.
06:05Cette année, autour des 60 milliards.
06:06L'an prochain, 75 milliards.
06:08Les intérêts, on va résumer pour les téléspectateurs et les auditeurs.
06:12Globalement, c'est de l'argent qu'on prend, qu'on brûle.
06:15Tout le monde comprend ça.
06:16Quand on s'endette, il y a des intérêts.
06:18On rembourse les intérêts.
06:19Donc là, sur cinq ans, ça va dépasser,
06:21tenez-vous bien, les 300 milliards d'euros.
06:24Ce qu'on fait avec 300 milliards, ce n'est pas sérieux.
06:27Quand on dit que cette dette publique ne coûte rien,
06:29ça, c'est la politique de ces dernières années, malheureusement.
06:32On a continué d'augmenter cette dette, même après le Covid.
06:35Ça a continué, évidemment.
06:36Aujourd'hui, on doit payer la facture.
06:38C'est ça qui est très dangereux.
06:39Malheureusement, si jamais on n'a pas de gouvernement
06:42ou du moins un gouvernement sérieux,
06:43ou si on a une instabilité politique qui dure,
06:46comme notre dette publique est à 50 % détenue
06:49par des investisseurs, notamment étrangers,
06:50les taux d'intérêt vont augmenter.
06:52Et ça, ça nous concerne tous.
06:53Tous les taux d'intérêt de nos crédits vont augmenter.
06:55Ça veut dire moins d'investissement, moins de consommation,
06:58voire une récession économique, du chômage qui augmente.
07:01Donc là aussi, on est tous concernés.
07:03Et alors, le risque suprême, c'est que malheureusement,
07:05on nous augmente encore les impôts.
07:07Et notamment les impôts sur l'épargne.
07:09Parce que c'est ce qui reste.
07:10Il n'y a plus que ça qui reste aujourd'hui.
07:11On lui dit qu'il y a un peu d'épargne, on va ponctionner dedans.
07:14Et ça, tenez-vous bien, ce ne sont pas les super-riches
07:16qui vont payer, ils sont déjà partis.
07:18Une suggestion de Sandrine Rousseau qui avait dit...
07:20On se pose la borde.
07:21Mais quand je regarde l'épargne des Français, il suffit de saisir...
07:24Alors ça, c'est un truc formidable.
07:26Parce que même dans les pays communistes,
07:28autant de nationalisations folles,
07:30personne n'a pensé à dire, tiens,
07:32allez sortir un peu votre petit bas de laine
07:34que vous avez économisé toute l'année.
07:36Et ça va servir à financer...
07:38Plus que toute l'année, en général, c'est toute une vie.
07:40François, si à la rigueur, on disait, bon là,
07:42allez, on va ponctionner...
07:43Elle est prof d'économie, en plus.
07:44C'est ça qui est grave.
07:45Aujourd'hui, l'épargne des Français, l'épargne financière,
07:48c'est ça, à peu près.
07:49Donc on dit, voilà, on va ponctionner un petit peu.
07:50À la rigueur, si on vous dit, allez,
07:51on vous prend 1 % à tous les Français.
07:52Mais après, il n'y a plus de problème de déficit.
07:54On pourrait dire, OK, mais ça ne sera pas le cas.
07:56Puisque malheureusement, les déficits seront encore là,
07:58la dette publique sera...
07:59Non, mais évidemment qu'il ne faut pas y arriver.
08:01Je ne propose pas du tout ça, je vous rassure.
08:03Ce que je veux dire par là, c'est que ça, moi,
08:05ça m'inquiète vraiment,
08:06parce que les Français ne seront pas préparés à cela.
08:08Et ça, c'est dangereux parce que derrière,
08:10il y a un risque de crise sociale et sociétale.
08:13Mais c'est aussi,
08:14puisque vous parlez de l'épargne des Français,
08:16parce que les Français épargnent énormément
08:18et que les ménages français sont moins endettés
08:20que les autres pays, je pense notamment aux États-Unis,
08:23qu'en effet, nous arrivons encore à emprunter sur les marchés
08:26à des taux relativement satisfaisants.
08:28Mais n'oubliez pas que l'épargne, encore une fois,
08:30elle a déjà été taxée.
08:31Parce qu'en fait, l'épargne, c'est quoi ?
08:32Vous avez votre revenu, vous avez votre consommation.
08:34Ce qui reste, vous l'épargnez.
08:36Donc ça a déjà été taxé.
08:37Et ensuite, évidemment, souvent,
08:39on a mis toute une vie à se constituer un petit peu d'épargne
08:41pour justement ces vieux jours.
08:42Et quand on voit comment la retraite aujourd'hui est gérée,
08:44on n'aura pas beaucoup d'argent justement à cette retraite-là.
08:47Et donc, à partir de là,
08:48cette épargne, j'ai envie de dire, c'est un trésor de guerre.
08:50Donc si on va puiser dedans,
08:52alors que pour la plupart des Français,
08:53justement, ce ne sont pas des ultra-riches,
08:55c'est la classe moyenne.
08:56Et c'est ça qu'il faut bien comprendre.
08:58Les ultra-riches, ils ont déjà leur épargne à Genève
09:00ou où vous voulez.
09:01Et c'est la classe moyenne qui va malheureusement payer.
09:04Je crois que les auditeurs et les téléspectateurs
09:05l'ont très bien compris.
09:06Mais la classe moyenne qui est déjà déclassée,
09:09c'est elle qui a été beaucoup plus impactée,
09:11comme on l'a dit.
09:13Touchée.
09:14Touchée.
09:15Qui a été touchée effectivement par cette inflation
09:18qui a énormément perdu,
09:20qui a beaucoup, beaucoup de mal aussi à aider ses enfants.
09:23Je voudrais aussi rappeler que, moi, je le dis souvent,
09:26la grosse erreur qui a été faite par François Hollande,
09:30vous allez me dire si ce n'était que celle-là,
09:32c'est d'avoir supprimé l'universalité des allocations familiales
09:35qui permettaient à des familles de la classe moyenne
09:38de pouvoir subvenir aussi aux besoins de leurs enfants.
09:41Et aujourd'hui, ils sont extrêmement touchés par cette inflation.
09:44Mais ce qui est aussi important, Marc,
09:46et je tiens à vous rendre hommage, si je puis dire,
09:49parce qu'on me le dit sur vous,
09:50parce que vous êtes très, très clair dans vos interventions.
09:53Souvent, on disait l'inflation baisse
09:55et on était un peu satisfait de ça.
09:57Mais en fait, non.
09:58Les prix augmentaient.
09:59Et moi, je le vois au quotidien.
10:01Les gens, ils disent,
10:02mais nous, on a les prix qui continuent à augmenter,
10:0517 à 20 % pour certains, même 20 à 25 %,
10:09et surtout, sur tout ce qui est nécessaire,
10:11c'est les denrées de première nécessité.
10:15Et c'est ça qui est grave, c'est qu'aujourd'hui,
10:17effectivement, monsieur le président de la République
10:20qui cherche toujours son premier ministre...
10:22Monsieur Macron.
10:23Monsieur Macron, oui.
10:24Il cherche toujours son premier...
10:25Pour l'instant, il s'exprime plutôt sur les parades.
10:27Non, mais il cherche toujours son premier ministre, c'est très bien.
10:29Mais voyez qu'il tweet, c'est très bien.
10:30C'est pas lui, effectivement, c'est un de ses conseillers.
10:32Mais moi, ça me fait penser à Coluche.
10:34Moi, ça va, les autres, je sais pas et je m'en fiche.
10:36On va faire un point, justement, avec Thomas Bonnet,
10:39qui est devant le palais de l'Elysée,
10:40pour savoir s'il y a peut-être le début d'une fumée blanche
10:44où il va falloir attendre quelques heures
10:46et même peut-être quelques jours.
10:47Il y a même certains dans l'entourage du président de la République
10:50qui poussent pour que ça soit après les JO paralympiques.
10:53Simplement pourquoi ?
10:54Et on l'expliquait tout à l'heure,
10:56pour éviter de donner un objet politique aux opposants,
10:59aux chefs de l'État qui comptent se mobiliser.
11:02Je parle de la gauche, samedi prochain,
11:05pour justement tenter de contester ce qui se passe actuellement
11:08et le choix du président de la République
11:10de ne pas avoir nommé Lucie Castet.
11:12Allez, dites-nous tout, Thomas Bonnet.
11:17Écoutez, Florian, on passe un peu par tous les stades,
11:19ici, devant l'Elysée.
11:21Cet après-midi, on avait des semblants d'indices
11:24qui semblaient nous dire qu'il y aurait une nomination
11:26avant ce soir, un communiqué de presse en clair
11:28qui allait être envoyé aux rédactions
11:30avec le nom du futur locataire de Matignon.
11:33Mais depuis quelques minutes maintenant,
11:35cette possibilité, cette éventualité, pardon,
11:39est en train de s'estomper petit à petit,
11:41sans qu'on ne sache véritablement pourquoi.
11:44On a des bruissements à nouveau qui nous disent
11:47peut-être que la nomination d'un Premier ministre
11:49n'interviendra pas ce soir, vous en parliez à l'instant,
11:52et si elle était repoussée, cette nomination,
11:54cela pourrait nous conduire même à plusieurs jours dans le temps
11:57après les Jeux paralympiques.
11:59Bref, on est véritablement dans le brouillard,
12:02on est, je vous le rappelle, quand même à 50 jours
12:04d'un gouvernement démissionnaire,
12:0650 jours depuis que la démission du gouvernement
12:08de Gabriel Attal a été acceptée par le chef de l'État,
12:11et visiblement, c'est toujours aussi compliqué
12:13de sortir un nom pour Matignon.
12:15On l'a dit, il y a énormément d'obstacles
12:17qui se dressent devant les hypothèses,
12:19que ce soit pour Xavier Bertrand,
12:21que ce soit pour Bernard Cazeneuve,
12:23si bien que même ces deux noms, qui sont pourtant toujours,
12:25à l'heure où je vous parle, les noms qui sont avancés
12:27par l'Élysée, on commence à avoir des doutes,
12:29même sur ces deux noms, est-ce qu'il pourrait y avoir
12:31d'autres personnalités qui pourraient émerger,
12:33d'autres personnalités qui seraient aussi poussées
12:35par des proches du chef de l'État,
12:37bref, Florian, il est presque 18h, un peu plus de 18h,
12:41on est véritablement incapable de vous dire
12:43s'il y aura un Premier ministre ce soir
12:45qui sera désigné par le chef de l'État.
12:47Merci beaucoup Thomas Bonnet,
12:49merci également à Jean-Laurent Constantini
12:51qui vous accompagne.
12:53S'il y a une avancée d'ici les prochaines minutes,
12:55faites-nous signe et nous vous rejoindrons de nouveau.
12:59Je ne suis pas sûr, malheureusement,
13:01pour faire un point justement
13:03et pour voir s'il y a effectivement
13:05certains noms qui sont poussés par des proches
13:07du président de la République, il y a par exemple
13:09le nom de Michel Barnier qui vraisemblablement
13:11serait poussé par le secrétaire général
13:13de l'Élysée, Alexis Collère.
13:15On va marquer une très courte coupure pub
13:17sur ces news européens et on poursuit
13:19la discussion autour de nombreux sujets
13:21de la nomination d'un nouveau Premier ministre
13:23mais également des flux migratoires,
13:25du retour peut-être de ces deux
13:27rugbymen, si nous avons
13:29de plus en plus d'informations,
13:31les images qui nous proviennent
13:33pour pouvoir vous relater
13:35ce qui se passe également sur Europe 1.
13:37A tout de suite.

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