16 techniques de torture qu’on ne souhaiterait même pas à nos pires ennemis

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Depuis l'apparition des conflits, les hommes ont rivalisé d'ingéniosité pour obtenir des informations de la part de soldats capturés - ou simplement pour le désir de vengeance, ou encore le plaisir de l'humiliation. Et lorsque l'on pense à la créativité qui a été déployée dans le seul but de faire souffrir, ça fait froid dans le dos.
Transcript
00:0016 techniques de torture qui vont vous faire froid dans le dos.
00:03Ils en avaient de l'idée au Moyen-Âge.
00:05Comment faire souffrir le plus efficacement et le plus lentement possible un accusé ?
00:10Telle était l'une des questions centrales que se posaient Mouldebourgot, affilié civil
00:15à la justice et autre membre du clergé rattaché au secteur judiciaire.
00:20Utilisé au Moyen-Âge comme procédé infaillible pour connaître la vérité de manière rationnelle,
00:27agissement sur le physique, la torture a profité de l'ingéniosité technologique
00:32de l'homme, et de ses personnalités sadiques.
00:34De la sorcellerie au crime de lèse-majesté, atteinte au souverain quel qu'elle soit,
00:40il était vital de châtier dans les règles de l'art, dans l'espoir d'un repentir sincère.
00:45Voici 16 techniques de torture qu'on ne souhaiterait même pas à nos pires ennemis.
00:51Bienvenue sur Gleharan
00:551. La cage. La personne était enfermée dans une cage en forme de corps humain. Elle était
01:04ensuite hissée dans les airs à la vue de tous, jusqu'à la mort du supplicié. Si
01:09les corbeaux n'arrivaient pas d'avant. 2. Le berceau de Judas. Il porte bien son
01:14nom. Technique prisée lors du temps de l'Inquisition, entre les XIIe et XIVe siècles,
01:20le condamné était tiré vers le haut et placé, assis, au niveau de la pointe, sur l'anus ou le
01:26vagin. Puis la personne était descendue lentement, son orifice s'écartant de plus en plus. Pour
01:33accentuer la douleur, rien de plus facile que de remonter le supplicié quelque peu,
01:38avant de le refaire tomber lourdement. 3. L'assis. Suspendu par les pieds,
01:44le bourreau scie lentement la victime à partir de l'entrejambe. La position permettait au
01:50sang de se concentrer vers la tête. Ainsi la victime restait le plus longtemps possible en
01:55vie et conscient. 4. L'écartèlement. Avec l'aide de chevaux, c'était un moyen d'exécution pour
02:01les crimes graves, les membres, bras et jambes, étant littéralement arrachés sous le coup de la
02:07puissance et de la rapidité de chevaux lancés simultanément au galop. Également torture
02:13judiciaire, les chevalets étaient customisés à l'envie des bourreaux. Exemple, il pouvait y
02:19avoir des lames au niveau du dos pour une plus grande efficacité. 5. Le briseur de genoux. Le
02:25genou était placé entre les deux barres en bois munis de gros pics. Il ne restait plus qu'à serrer,
02:31et serrer, et claque. 6. L'âne espagnole. Les victimes étaient placées nues sur la
02:38pointe triangulaire. Puis des poids étaient attachés aux chevilles. Pendant plusieurs jours,
02:43la victime était lentement sectionnée en deux. 7. La poire d'angoisse. C'est une boule qui
02:49s'élargit grâce à une vis. Elle était utilisée pour punir les homosexuels, les femmes soupçonnées
02:55d'avoir couché avec le diable, les menteurs et les blasphémateurs. Insérez dans les orifices,
03:01je ne vous fais pas un dessin quant à la suite de ce qu'il se passait. 8. La fourchette de
03:07l'hérétique. Utilisée pendant la Renaissance, elle était attachée au cou du condamné. Chaque
03:14extrémité était placée au niveau du cou et du sternum. Après avoir attaché la personne debout,
03:20le petit outil très ingénieux permettait de priver son porteur du sommeil. 9. Le supplice du rat. La
03:27torture de base, un saut retourné sur le ventre du supplicier, un rat retenu captif dessous. Il
03:34ne reste plus qu'à chauffer intensément l'objet. Paniquée, la « petite » bestiole creusait le
03:40ventre de la personne à grands coups de griffes et de dents pour essayer de s'en sortir. 10.
03:46L'araignée espagnole. Inventée pour les femmes, ce charmant ustensile était chauffé à blanc,
03:51puis fixé sur la chair au niveau des seins. Si la poitrine n'était pas violemment arrachée
03:57par le bourreau, la victime était suspendue au plafond. Sous leur poids, la peau s'étirait.
04:03Augmentant le saignement. 11. La manivelle intestinale. Une petite incision au niveau
04:09de l'abdomen, un crochet positionné sur l'intestin grêle, une corde, une manivelle,
04:15et le tour est joué. Il n'y a plus qu'à éviscerer centimètre par centimètre. Sachant qu'on peut
04:21faire sortir de 3 à 6 mètres de ces charmants boudins que nous avons dans le bide. 12. La
04:27torture par l'eau. Tout de suite, on pense à ce cher jacquard, Christian Clavier, dans Les
04:33visiteurs. Le condamné, allongé, était forcé de boire une énorme quantité d'eau. Selon la
04:40gravité des actes et de la sentence, de 6 à 12 litres d'eau étaient utilisés. 13. L'empalement.
04:47Le concept, forcer une personne à « s'asseoir » sur un pieu large et long. Ensuite mise à la
04:54verticale, la victime descend petit à petit le long de la barre à cause de son poids. Plusieurs
05:00jours étaient parfois nécessaires pour voir la victime succomber. 14. L'écraseur de tête. Il
05:06fait mot pour mot ce que son nom en dit, sobrement. Les dents y passaient en premier, suivi des yeux
05:13et du cerveau. 15. L'arracheur de langue. De la taille d'une pince ou d'un sécateur, ces lames
05:19n'étaient pas coupantes. En revanche, elles permettaient d'attraper fermement une langue. Un
05:25coup sec de la part du bourreau et vous vous retrouviez muet, au mieux. 16. Le supplice de la
05:31roue. Le condamné à mort, après avoir eu les membres et la poitrine brisée, restait exposé
05:37sur une roue jusqu'à ce que mort s'en suive. Sentence qui n'était réservée qu'aux hommes.
05:42Des techniques qui font froid dans le dos, n'est-ce pas ? Laquelle vous fait le plus peur ? C'est la
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