Leonard, l’incubateur de start-up de Vinci favorise l'éclosion de starts-up après une sélection draconienne. Témoignage d'Orus Energy qui explique son parcours.
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00:00Et donc Spartimo, tout de suite on va parler startup, startup du monde bâti, que ce soit
00:10des coptech, des proptech ou encore des climatech, qu'est-ce que c'est ? On va tout savoir avec
00:14nos deux invités, nos deux experts, comment développer ce monde de la proptech, c'est
00:18ce qu'on va voir ensemble. Kevin Cardona, bonjour.
00:21Bonjour.
00:22Vous êtes directeur des programmes innovants de Léonard, bienvenue à vous.
00:25Merci.
00:26Et vous êtes venu en compagnie d'Alexandre Girard. Bonjour Alexandre.
00:28Bonjour.
00:29Vous êtes directeur et fondateur d'Aorus Energies.
00:31Alors tout d'abord, on veut savoir ce que fait Léonard, on y a un petit aperçu déjà.
00:35Léonard, c'est l'incubateur, l'accélérateur de Vinci. Expliquez-nous.
00:38Alors effectivement, on est la plateforme d'innovation et de prospective du groupe Vinci.
00:43Donc mon métier particulièrement au sein de cet incubateur, c'est d'aider les entrepreneurs,
00:48que ce soit les entreprises du groupe Vinci ou des entrepreneurs externes comme Alexandre
00:51aujourd'hui, à se développer sur deux phases de maturité différente.
00:56La première phase qui est l'incubation, c'est-à-dire juste après le prototype,
00:59quand on a la première ébauche d'un produit, on va les aider dans ce qu'on appelle le
01:02go-to-market, donc à comprendre leur marché, à trouver leur client.
01:05Et ensuite, on a un autre programme pour les startups cette fois-ci matures ou les projets
01:09matures.
01:10Et là, on va appeler cela l'industrialisation, donc on va les aider vraiment à se déployer
01:14commercialement.
01:15Donc, on aide les entrepreneurs à deux niveaux de maturité principalement.
01:18Voilà.
01:19Alors justement, un petit mot d'Aorus Energies, Alexandre, présentez-nous votre startup.
01:23Aorus Energies, c'est une plateforme de flexibilité électrique qui aide les gestionnaires de
01:26bâtiments à consommer l'électricité au bon moment et qui les rémunère pour cela,
01:30tout simplement parce qu'ils vont équilibrer le réseau électrique à la place des centrales
01:34gaz, charbon et fioul qu'on utilise encore aujourd'hui.
01:36À la clé, c'est quoi ? Des économies notamment d'énergie ?
01:39À la clé, c'est un nouveau revenu et un impact clair en termes de décarbonation du
01:44système électrique global.
01:45Alors, on doit nous féliciter bien sûr, Alexandre, puisque vous avez passé les fourches
01:49codines de Léonard pour entrer dans l'incubateur.
01:52Combien de dossiers vous recevez par an, Kevin ?
01:55Effectivement, c'est très important pour nous d'être très sélectif.
01:57Là, on a reçu 500 dossiers de candidature par exemple.
02:00On va présenter les 50 meilleurs et on va les faire évaluer par une centaine d'experts
02:06du groupe Vinci pour s'assurer que ça répond à un vrai besoin.
02:08Le pire dans l'innovation, c'est la fausse bonne idée.
02:10Donc, on veut s'assurer que ça répond à un vrai besoin du métier.
02:12Après, on va présenter ça à un jury composé pour moitié d'exécutifs Vinci et pour moitié
02:17de Vinci, donc des investisseurs en capital risque de nos secteurs qui connaissent parfaitement
02:21nos secteurs.
02:22Et fort de tous ces retours, on va accélérer les dix plus prometteurs.
02:26Donc, ça me fait penser à qui veut être mon associé version Vinci.
02:29C'est exactement ça.
02:30Et là, on choisit.
02:31Il pitche, j'imagine ?
02:32Il pitche.
02:33Alors, c'est sur le dossier de candidature au début.
02:34Après, il pitche.
02:35Il passe par plusieurs événements en présentiel, en distanciel.
02:39Mais effectivement, à la fin, le but, c'est vraiment d'avoir un peu dérisqué ces solutions-là
02:44vis-à-vis de l'œil des métiers.
02:46C'est ça le plus important pour nous.
02:47Et puis après, on va continuer à les accélérer, à les accompagner pour aller très rapidement
02:51voir et parler aux bonnes personnes.
02:53Parce qu'une startup a besoin d'argent.
02:55On en parle souvent des levées de fonds, mais elle a surtout besoin de gagner du temps.
02:58Donc, si c'est un non, il vaut mieux un non vite.
03:00Et ça, c'est très précieux.
03:02Et évidemment, on va chercher un maximum de oui.
03:03Surtout qu'elle consomme du cash généralement.
03:06Qu'est-ce qui vous a plu justement ?
03:07Qu'est-ce qui a plu au jury dans le cas d'Aorus Energy ?
03:10Comme Alexandre vient de vous le dire, nous, on aime beaucoup ce genre de solutions parce
03:14qu'elles sont à cheval entre nos deux mondes.
03:16En l'occurrence, entre le monde du bâtiment et le monde des réseaux énergétiques.
03:20Et donc, la question de la flexibilité énergétique, c'est une question fondamentale.
03:24À mesure que les énergies renouvelables augmentent dans le grid, il y a plus de volatilité,
03:28plus d'incertitude.
03:29Ça crée de l'instabilité sur les réseaux.
03:30Donc, il y a un rôle à jouer.
03:31C'est ce qu'ils font parfaitement.
03:33Avec en plus, une brique d'intelligence artificielle.
03:34Donc, il y a aussi de la technologie au service du climat.
03:37Là, on a tous les mots.
03:38On adore.
03:40Alexandre Girard, justement, qui est à la tête d'Aorus, qui va rentrer dans l'incubateur.
03:46Comment on casserait justement peut être les tuyaux?
03:50Parce qu'il y a beaucoup de projets, bien sûr, qui regardent Bismarck.
03:54Qu'est ce que vous pourriez leur dire pour justement avancer et rentrer dans un incubateur?
03:58Alors, il faut oser, il faut candidater.
04:02C'est long, il faut préparer son dossier.
04:05Oui, il faut le préparer et surtout, il faut dès que possible et potentiellement même en amont,
04:12tester sa solution auprès d'experts du secteur
04:15et l'exposer le plus possible.
04:17Et après, Léonard nous aide énormément là dessus.
04:20C'est avoir les retours d'experts métiers, parce que c'est comme ça qu'on fait avancer.
04:23C'est en exposant sa solution sur l'innovation aux gens du métier.
04:27Mais alors, une question sur votre projet très spécifique.
04:29C'est vrai qu'on a parlé avant d'aller sur ce fameux go to market.
04:32Comment on fait pour tester justement votre solution à améliorer le grid comme ça?
04:36Comment vous l'avez testé?
04:37Comment vous avez fait le MVP?
04:39Je suis désolé, il y a beaucoup d'anglicismes, mais le minimum viable product.
04:43Il y en a besoin d'innovateurs qui sont prêts à tester, y compris chez les clients.
04:47Et donc, une structure comme Léonard aide énormément là dessus.
04:50Parce qu'en fait, elles vont permettre et elles ont un réseau dans lequel il y a des experts métiers
04:55qui sont prêts à tester des nouvelles solutions, des nouvelles innovations.
04:58Et donc, c'est vraiment comme ça qu'on arrive à avoir effectivement la première preuve
05:01que le concept fonctionne.
05:03Et donc, c'est très, très précieux.
05:04Et c'est pour ça que l'accompagnement à Léonard était très, très précieux pour nous aussi.
05:06L'accompagnement, il dure combien de temps?
05:09Au bout de deux ans, de trois ans?
05:11Pour les start-up sites, ça va durer six mois intenses, l'accélération.
05:15Mais après, comme on investit dans ces start-up,
05:17après on passe dans une phase où on va se comporter comme un board member,
05:20encore un bon mot français.
05:22Un administrateur, ça c'est plus facile.
05:23Un administrateur, voilà.
05:24Mais donc vraiment, on va continuer évidemment à...
05:27Nous, l'enjeu, pourquoi on le fait, c'est vraiment pour augmenter les synergies avec nos métiers.
05:32Donc, on est convaincu qu'il y a énormément de synergies entre les métiers de Vinci globalement,
05:35que ce soit construction ou énergie, et ce que développe Aorus,
05:38à plein d'endroits différents, que ce soit encore une fois sur le réseau,
05:41comme sur les bâtiments ou l'exploitation des bâtiments, avec Vinci Facilities chez nous.
05:45Donc, on a énormément de synergies à créer ensemble.
05:47C'est ça qu'on va continuer à travailler bien après l'incubation,
05:50puisque ça reste des entreprises du portefeuille de Léonard.
05:53Donc, on a un rôle à continuer à les accompagner.
05:55Ce qu'on fait cette année, on les emmène au MIPIM typiquement.
05:57Voilà. Alors le MIPIM, justement, on en parle.
05:59On est ici à Cannes, au cœur vraiment du plus grand rassemblement d'investisseurs.
06:04C'est vrai que ça phosphore, on sent l'énergie.
06:06Pour vous, pourquoi c'est important de participer à ce MIPIM édition 2025 ?
06:10Alors, MIPIM, pour nous, c'est un rendez-vous incontournable.
06:13Ça va nous servir, en fait, surtout à faire infuser l'innovation autour de la flexibilité électrique,
06:20qui, derrière, va pouvoir découler dans toutes les strates de l'exploitation immobilière,
06:27pas uniquement au niveau de l'investissement, mais aussi au niveau de l'exploitation technique.
06:30Mais donc, c'est très important de parler aux décideurs,
06:33qui vont, à la fin, décider ou non, d'engager leur bâtiment dans cette démarche de flexibilité électrique.
06:38Il y a beaucoup d'investisseurs ou d'intérêts internationaux.
06:42Vous parlez aux franco-français ou on essaye de se déployer sur d'autres pays ?
06:47On parle d'abord aux Français.
06:48C'est des spécificités dans les marchés d'électricité de chaque pays.
06:51Maintenant, nous, on a depuis le début une ambition internationale, en particulier européenne.
06:54Et c'est à ça aussi que sert le MIPIM.
06:56Avec 26 groupes mondiaux.
06:57Typiquement, ce matin, on a organisé une table ronde avec Horus,
07:00un autre fondateur de Léonard, et le patron de l'asset management d'AXA, à l'échelle européenne,
07:05pour avoir son regard, sa vision.
07:06Et ça a permis de confronter le regard du client, de l'asset manager,
07:09en disant qu'il a mis le doigt sur tous les sujets hyper intéressants,
07:12sur le juridique, le modèle économique, le financier.
07:15C'est ça qu'on vient chercher au MIPIM.
07:16Il y a peut-être des angles qu'on ne voit pas toujours, d'ailleurs.
07:18Complètement. Et on va chercher cette expertise, ce retour du client.
07:20Parce que l'innovation agile, elle est là.
07:23C'est de très rapidement parler au client et d'itérer le produit, le go-to-market, avec ces retours-là.
07:27C'est ça qu'on vient chercher au MIPIM.
07:28C'est toujours bien d'avoir le point de vue d'un assureur ou d'un juriste, de toute façon.
07:32Comtech, Proptech, Climate Tech, c'est autant de buzzwords qu'on entend.
07:39Qu'est-ce que ça veut dire et sur lesquels vous insistez en particulier ?
07:44Nous, simplement, c'est toujours cette idée de contribuer à avoir un impact positif dans nos activités.
07:50C'est ça que ça veut dire, Climate Tech.
07:51Pour faire simple, c'est réduire les émissions de CO2, soit par de l'atténuation, soit par de l'adaptation.
07:56Parce que le climat va évoluer, donc il faut adapter nos villes et nos territoires.
07:59Et on est là pour développer des solutions, des nouveaux matériaux à carbone, des infrastructures de recharge.
08:04C'est tous ces sujets de décarbonation et d'électrification de nos modes de vie.
08:08Ça demande des solutions, ça demande des infrastructures et ça demande aussi des savoir-faire et des innovations.
08:13Donc, on est là pour les pousser et les mettre dans nos offres derrière.
08:16Orus Energy, Climate Tech ou Proptech ?
08:19Les deux.
08:21Et puis, Comtech aussi, c'est quoi exactement ?
08:25Comtech, c'est construction.
08:27C'est la technologie pour les métiers de la construction ou plutôt du contracting en général.
08:30Donc, ça va être comment utiliser la technologie pour améliorer la productivité,
08:34pour améliorer la sécurité sur les chantiers, par exemple, qui reste un énorme sujet.
08:38Parce qu'on fait quand même des métiers dangereux.
08:40Donc, la technologie va servir à plein d'endroits.
08:42Donc, vraiment, nous, notre posture, c'est toujours de partir du terrain.
08:45De ne surtout pas faire de la technologie pour la technologie.
08:48De répondre à un cas d'usage concret.
08:50Et donc, on utilise nos savoir-faire en IA typiquement.
08:53On a un programme d'aider à l'intelligence artificielle chez Léonard,
08:56où on va répondre à des problèmes terrain.
08:59Et on va développer la brique d'IA nécessaire pour y répondre.
09:02Que ce soit dans le contrat, que ce soit dans la gestion du planning,
09:05que ce soit dans la gestion des équipements.
09:07Tout ça pour gagner en productivité dans des métiers qui sont quand même des métiers de faible marge.
09:11Il faut avoir ça en tête.
09:12Alexandre Girard, les bonnes fées du groupe Vinci avec Léonard
09:16sont penchées sur le berceau d'Orus Energy.
09:18C'est quoi la suite, les prochaines étapes pour vous ?
09:22Là, on est dans une phase où on a pu démontrer l'intérêt de la solution
09:25avec des premiers résultats probants.
09:27Et donc, on est dans une phase de passage à l'échelle sur l'ensemble des clients
09:30qu'on a pu avoir jusqu'à présent.
09:32Vous avez déjà des clients du chiffre d'affaires ?
09:34Bien sûr.
09:35Donc, on a à la fois des clients sur la partie retail.
09:37Donc, je peux citer par exemple Ikea.
09:39Et aussi sur la partie bureau avec par exemple Icad,
09:42par exemple La Poste Immobilier, par exemple BNP Paris Bar M.
09:44D'accord.
09:45Et donc là, on est dans une phase où on va faire participer en volume les actifs
09:49pour avoir un vrai impact et un impact important au niveau du réseau électrique.
09:53Très bien.
09:54Et vous allez les accompagner dans toutes ces phases.
09:56À quel moment on estime que l'oiseau sort du nid peut voler de ses propres ailes ?
10:01Déjà, rendez-vous compte.
10:02C'est probablement peut-être la première PropTech
10:04qui propose de rémunérer le propriétaire immobilier.
10:06Oui, ce n'est pas mal.
10:07Ce qui est quand même très rare.
10:08Déjà, vous avez l'horreur de vos clients ou de vos futurs clients.
10:10Déjà, c'est pas mal en termes de traction.
10:12Et puis effectivement, peut-être que je n'ai pas dit tout à l'heure,
10:15mais c'est très important dans la phase de sélection.
10:17Quand on parle d'investir dans une technologie, on investit dans une équipe.
10:20Et là, en l'occurrence, on est sur une équipe pluridisciplinaire
10:23qui chacun a sa place à son endroit, très forte en exécution.
10:26Donc, c'est ça vraiment qui nous séduit d'abord
10:28parce que la technologie, elle va évoluer, elle va changer, elle va pivoter.
10:31Et donc, l'enjeu, c'est de bien entourer cette équipe,
10:33constituer un board typiquement constitué.
10:36Évidemment, ils font tout le travail de bien s'entourer eux-mêmes pour bien exécuter.
10:40Et nous, on est là pour, encore une fois, ouvrir les portes,
10:42leur expliquer les rouages de ce monde de l'immobilier
10:45parce que la chaîne de décision est parfois un peu complexe.
10:48Donc, encore une fois, c'est vraiment cet enjeu de gagner en célérité,
10:51gagner du temps, gagner en efficacité.
10:53Et puis après, ils font leur job.
10:55Après, vous pouvez vous développer.
10:57Évidemment, c'est ce qu'on vous souhaite.
10:59Aujourd'hui, il y a combien de startups qui ont été incubées,
11:02qui sont toujours présentes ?
11:03Là, aujourd'hui, on a 33 sociétés en portefeuille
11:06pour lesquelles on fait ce rôle-là d'accompagnateur.
11:09Alors, on est au bord de neuf d'entre elles.
11:11Donc là, on a un rôle encore peut-être plus présent.
11:14Mais voilà, on accompagne ces 33 sociétés
11:17comme si c'était celle de la grande famille Vinci.
11:20Alors, un mot, justement, de l'environnement.
11:22C'est vrai qu'il a été compliqué pour l'immobilier ces deux dernières années.
11:25Mais encore plus, on l'a vu avec Conex, d'ailleurs,
11:28avec ce renchaînement du coût de l'argent.
11:31C'est vrai qu'il y a eu moins d'argent sur les startups qui ont souffert.
11:35On a vu pas mal de French Tech, des belles French Tech, d'ailleurs,
11:38qui sont allées au tapis.
11:39Est-ce que vous avez observé cette baisse
11:40ou il y a toujours ce fort engouement ?
11:43Alors, nous, on a une posture de...
11:45On ne va pas investir dans dix startups pour trouver une licorne.
11:48On s'en moque un peu de la licorne.
11:50Nous, ce qui nous intéresse,
11:51si à la fin, on a huit très belles ETI, on est très contents.
11:53Alors, même si on espère que Russes deviennent une licorne,
11:55ce sera très bien pour eux.
11:56Mais donc, on va chercher des...
11:58Encore une fois, à partir du moment où on part du terrain
12:00et qu'on répond à un problème concret dans la vraie vie,
12:02on a moins de chances de se tromper.
12:03Donc, on n'est pas sur des fantasmes de valorisation.
12:06On est plutôt sur du rationnel.
12:08Ce n'est pas du capitalisme comme un fond.
12:09C'est vrai qu'il sait qu'il va y avoir
12:10huit à neuf startups, finalement, qui vont péricliter.
12:12Puis une, peut-être, qui va rattraper tout.
12:14On appelle ça... Nous, on est un investisseur stratégique.
12:16Donc, on ne va pas chercher le retour financier uniquement.
12:19On ne va pas tout de suite penser à l'exit.
12:22Encore un mot français.
12:24Mais on va vraiment chercher à la synergie stratégique
12:27avec les métiers du groupe ainsi.
12:29Et que ça s'intègre, évidemment, dans la stratégie du groupe.
12:31Bon, c'est plutôt une chance,
12:33une bonne opportunité d'avoir...
12:35d'intégrer Léonard.
12:37C'est vraiment une excellente opportunité.
12:39Merci encore à toutes les équipes de Léonard.
12:41On a parlé d'équipe, justement, à l'instant.
12:43La jeunesse du projet, c'est quoi ?
12:45Vous êtes un background plutôt technique,
12:47plutôt ingénieur ?
12:49On avait vraiment une équipe pluridisciplinaire.
12:51Donc, moi, je suis ingénieur.
12:52On rassemble les ingénieurs
12:53et aussi des parcours beaucoup plus business.
12:55Et c'est ça qui fait la force, je pense, de notre équipe.
12:58Voilà. Longue vie à Horus Energy.
13:01Alexandre Girard, patron, cofondateur.
13:03Merci.
13:04Et puis, merci aussi à Kevin Cardona.
13:06Je rappelle que vous êtes le directeur
13:08innovant de Léonard, l'incubateur de Vinci.
13:11Et là aussi, bravo à vous pour
13:13accompagner toutes ces propTech,
13:15ComTech, CleanTech.
13:17Et j'en passe.
13:18Merci à vous et à très bientôt sur Bistra.
13:20Merci beaucoup.