Economies sur les frais, meilleurs rendements, nouvelles options de gestion : faut il changer de contrat d'assurane vie et opter pour un nouveau contrat en ligne ?
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00:00Et dans le débat de l'effet patrimoine, on se pose cette question, faut-il changer de contrats d'assurance vie avec tous les contrats d'assurance vie en ligne qui sont désormais proposés ?
00:13On a deux magnifiques exemples sur le plateau avec Nalo et Goodvest. Messieurs, on le disait tout à l'heure dans les experts, effectivement, il y a une proposition et déjà beaucoup de gens qui sont équipés entre guillemets,
00:27qui ne sont pas, mais pour ceux qui sont équipés, est-ce que ça vaut le coup de changer de contrat, d'aller sur un contrat, par exemple, comme vous proposez, qui est, on va le voir, avec pléthore d'unités de comptes, avec de la gestion pilotée si on ne sait pas quoi faire et surtout avec des frais réduits. Clément ?
00:44Oui, en tout cas, c'est une question qu'il faut se poser. Dès lors que l'épargne que vous avez ne répond pas tout à fait à vos attentes ou à vos objectifs, ou peut-être même si vous ne vous êtes pas posé la question de pourquoi finalement j'ai ce contrat, je vous invite vraiment à vous la poser.
01:00Et effectivement, c'est possible de racheter ce qu'on appelle donc un contrat d'assurance vie, de sortir d'un contrat d'assurance vie pour éventuellement rentrer dans un autre contrat d'assurance vie. Donc, il y a des impacts fiscaux qu'il faut bien mesurer, mais si le contrat a un peu d'antériorité et selon la plus-value finalement, les gains qu'il y a à l'intérieur, on peut sortir sans fiscalité en lissant éventuellement sur plusieurs années.
01:26Mais déjà, si le contrat n'a pas ou très peu de plus-value, il n'y a pas d'impact fiscal.
01:31Si on a fait finalement zéro plus ou un plus, ça peut valoir le coup, comme on dit, d'essayer de rattraper de la performance. Mathieu, Sylvain Santheus ?
01:40Moi, je partage totalement ce constat. Il faut se poser la question, surtout que depuis quelques années, on a la loi Pacte aussi qui permet le transfert, même la transformation d'un contrat d'assurance vie, ancienne génération VS, nouvelle génération, tout en conservant l'antériorité fiscale du contrat.
01:54Donc ça, c'est vraiment une plus-value assez importante pour les épargnants qui souhaitent passer sur des contrats moins onéreux, plus en accord avec leur valeur ou autre, tout en conservant cette antériorité.
02:04Après, effectivement, c'est très compliqué à mettre en place, ce transfert Pacte. C'est un petit peu un parcours du combattant.
02:11Je crois que c'est possible quand c'est le même assureur, c'est ça ?
02:13Oui, même quand c'est le même assureur, c'est assez compliqué. Les transferts de PER, ça se fait très facilement, mais les transferts d'assurance vie, c'est plus compliqué.
02:20Donc nous, ce qu'on dit également, c'est de se poser la question puisque souvent, les épargnants peuvent se dire « Ah, j'ai de l'antériorité fiscale sur ce contrat, je n'ai pas forcément envie de le transférer ».
02:27Nous, ce qu'on dit, c'est « Regardons les caractéristiques de l'ancien contrat. Quels sont les frais qui y sont associés ? Quel est l'univers d'investissement ? Quel est l'univers des unités de compte disponibles ? Quelle est la rémunération éventuellement du fonds en euros ? »
02:37Parce qu'il y a tout intérêt, finalement, à passer sur un nouveau contrat, surtout quand on est jeune, à remettre à zéro le compteur fiscal des fameux 8 années.
02:45Si on repart sur un contrat plus aligné avec ses valeurs, moins cher et plus performant.
02:49Bien sûr. Justement, c'est vrai qu'on doit en parler. Bien évidemment, il y a aussi une incitation forte qui doit driver les gens, ce sont le niveau des frais.
02:58Il faut le dire, vos solutions en ligne, peut-être parce que la structure est réduite, peut-être parce que ce mode de distribution, vous n'avez pas d'agence physique, ça veut dire qu'on gagne chaque année, finalement, peut-être pas mal d'argent.
03:12Clément Devey, est-ce qu'on doit un comparatif entre assurance vie classique et assurance vie en ligne ?
03:16En moyenne, on est 2 à 3 fois moins cher qu'une banque traditionnelle. Donc, Nalo, c'est 1,40% de frais de frais auxquels on peut ajouter les frais des supports unités de compte, donc des ETF.
03:31Donc, on va dire un tout compris, un 65, en moyenne. Et on constate sur des banques ou des assureurs un peu traditionnels, plutôt des frais entre 3 et 4, 4,5%.
03:42Et puis, vous oubliez peut-être des frais aussi, c'est les frais d'entrée qu'on voit sur certains contrats.
03:46Exactement, vous avez raison, frais d'entrée, frais d'arbitrage, parfois aussi encore. Donc, c'est des choses qui existent encore, effectivement, qu'on ne pratique pas du tout.
03:54Vous les calculez même plus ?
03:55Non, exactement, on les a un peu sortis de notre logiciel, mais pour autant, c'est vrai que c'est une réalité et ça paraît fou, mais c'est vrai que sur des temps longs, l'impact est énorme sur le rendement du contrat.
04:08Donc, 1,40 et puis après, les unités de compte, on va voir ça dans un instant. Mathieu, Sylvain Santosh chez Goodwest ?
04:12Nous, pareil, on essaye de diminuer au maximum les frais parce qu'il y a des coûts qu'on n'a pas à subir comme des agences, des établissements en tout cas plus traditionnels.
04:20Nous, en termes de frais de gestion administrative du contrat, on sera plutôt aux alentours de 1,50 auquel on rajoute les frais des unités de compte entre 0,2 et 0,4%.
04:29Donc, au total, on est entre 1,7 et 1,9%, tout compris. De la même façon, je ne parle pas des frais d'entrée parce qu'on n'en a pas.
04:35Et il ne faut pas les négliger, ces frais d'entrée. Je reviens sur ce que je disais tout à l'heure parce qu'en moyenne, on constate que les frais d'entrée s'élèvent entre 2 et 3% en moyenne encore aujourd'hui,
04:43ce qui est un peu, je le dis, je pense, une aberration parce qu'on part déjà avec 2 ou 3% de retard la première année.
04:49Donc, encore faut-il qu'on reste longtemps sur le contrat pour les amortir, ces frais d'entrée.
04:53Et après, à côté de ça, on va avoir des frais assez importants sur des unités de compte très chargées la plupart du temps qui vont venir en fait aplatir d'année en année la performance du contrat.
05:03Et oui, parce que si les intérêts composés se composent, les frais également. Et donc, ça peut faire plusieurs milliers, voire dizaines de milliers d'euros au terme de 10, 20 ans et plus.
05:13Alors, dans le contrat d'ancien régime classiquement, on a un grand compartiment sécurisé dont on a parlé, c'est le fonds euro qui a très bien fonctionné les dernières années.
05:21Pourquoi ? Parce que les taux, il est très haut. Donc, ça vaille le coup. On a même vu des fonds heureux qui distribuent du 3,5%, 4%, voire plus pour certains.
05:28Ça ne va pas durer apparemment. Est-ce que c'est quelque chose que vous proposez chez Nalo ?
05:31Oui, c'est quelque chose qu'on propose. Voilà. Pareil, en questionnant, en essayant de questionner le pourquoi, pourquoi je veux investir et c'est quoi mon objectif.
05:41Non, exactement.
05:43Sur du temps long.
05:44Voilà, exactement. La vraie question, c'est pourquoi je veux investir. Et si on questionne bien le projet du client, on arrive à voir ce qui est le plus adapté.
05:52Mais donc, pour des projets court terme, des personnes qui auraient besoin de leur argent dans les 2, 3 ans, effectivement, le fonds euro, c'est probablement la meilleure solution.
06:01Et donc, oui, on la propose dans le cas échéant.
06:04Donc, l'échéance court terme, pourquoi pas ? Sinon, ça va être des unités de compte. Et là, vous proposez, vous nous l'avez dit tout à l'heure, ça sera à base d'ETF, c'est ça les trackers ?
06:12Exactement.
06:13Pourquoi cette solution ?
06:15Tout simplement. Alors, déjà, nous, on croit beaucoup à la gestion passive. Donc, on pense que c'est fondamentalement difficile de battre le marché.
06:25Et il y a plein d'études qui démontrent que c'est très difficile de faire mieux que le marché. Donc, on croit plutôt à la gestion passive.
06:33Donc, les ETF, c'est des instruments qui permettent de répliquer, justement, des indices. Et donc, qui font le marché. Ils ne vont pas faire plus, mais ils ne vont pas faire moins.
06:43Et ils sont transparents. Ils sont très peu coûteux. C'est 0,25% à peu près les frais d'un ETF. Quand tu le disais tout à l'heure, mais sur des fonds de gestion active, on va être à 1,5, 2 selon les fonds.
06:57Oui, exactement. Alors, après, ça dépend des fonds, mais c'est à peu près, on va dire que c'est la moyenne. Donc, c'est pour ces raisons-là, en fait, qu'on a...
07:05D'accord. Et là, on s'expose très rapidement des zones géographiques. Ça va être la France, ça va être les États-Unis.
07:10Voilà, exactement. C'est des zones géographiques. C'est des secteurs qui peuvent... C'est aussi... On peut exclure certains secteurs. Voilà ce qu'on propose, nous, aussi, via une gestion éco-responsable.
07:23Mais voilà, c'est vraiment d'avoir une exposition qui va bien correspondre à ce que souhaite le client.
07:29Combien d'ETF ? De combien d'unités de compte, du coup ?
07:31Alors référencer, c'est plus d'une centaine chez Nalo. Après, au sein des gestions, on essaye de pas trop multiplier non plus le nombre de lignes pour que ça reste lisible.
07:42On va dire dans les contrats, en moyenne, c'est 10-12 lignes généralement. Et on considère que ça suffit parce qu'en fait, avec un ETF, on s'économise déjà, en tout cas, une partie de la diversification par rapport à une ligne.
07:58C'est-à-dire que si j'achète une action, je suis très exposé. Et donc, j'ai besoin de diversifier mon portefeuille. L'ETF, il permet déjà de base de diversifier.
08:04Donc, on n'a pas besoin d'avoir autant de lignes que sur un portefeuille action traditionnel.
08:08C'est très clair. Chez Goodvest, pas de fonds en euros. Ça, c'est un choix fort.
08:12Oui. Pas de fonds en euros, effectivement, depuis le début. Alors le choix, il découle naturellement en fait de notre méthodologie, de notre engagement.
08:18On a une méthodologie, comme je disais, qui s'appuie sur trois grands piliers, une exclusion sectorielle, une analyse de l'empreinte carbone et une analyse de l'empreinte biodiversité qu'on fait depuis quelques mois.
08:27Et aujourd'hui, le problème du fonds en euros, c'est qu'on a très peu de transparence sur les actifs qui sont réellement investis au sein du fonds en euros.
08:33Et même quand on regarde un petit peu en surface, ça ne respecte pas forcément notre cahier des charges.
08:37Donc, dès le début, chez Goodvest, on a décidé de mettre à l'écart le fonds en euros. Donc, effectivement, ce ne sont pas des contrats qui vont être adaptés à des temps très courts.
08:45Néanmoins, on a quand même des profils plus prudents, investis davantage en obligations, des obligations courtes, moins sensibles justement aux mouvements qu'on peut avoir sur les taux d'intérêt,
08:53qui vont permettre justement de diminuer le risque et a fortiori la volatilité des portefeuilles.
08:58D'accord. C'est vous qui faites la gestion ? C'est vous qui choisissez aussi les unités de compte ?
09:03Exactement. Et donc, du coup, à 100% d'unités de compte, c'est nous qui les choisissons, c'est nous qui les gérons. On a un comité d'investissement, on a une équipe de gestion également.
09:10Unités de compte assez variées, beaucoup d'ETF également, parce que pour nous, c'est une manière d'aller chercher de la diversification sectorielle et géographique à moindre coût, très rapidement.
09:19Mais également, un peu de gestion active, parce que nous, on pense que l'investissement responsable passe également par de la conviction et notamment par des thématiques qui ne sont pas forcément appréhendées par les ETF.
09:30D'accord. Donc, on a beaucoup de thématiques autour de la solidarité, des forêts, etc., qu'on ne peut pas forcément retrouver dans des ETF et que nous, on vient les capter justement via de la gestion active.
09:39Néanmoins, on respecte quand même, on essaie d'être aligné avec les intérêts du client et on sélectionne uniquement des fonds en gestion active, en clean share ou en part institutionnelle.
09:48Donc, on n'est pas sur les 2 à 3% de par retail qu'on peut trouver habituellement, quasiment tout le temps, en tout cas sur le marché.
09:56Et nous, au moins, on n'est pas rémunérés sur ces fonds. Et le client, en tout cas, sait combien on touche, parce que ça fait partie des 1,9% dont je parlais tout à l'heure et notamment 0,9%.
10:05C'est très clair. Une barrière à l'entrée, messieurs, ça peut être aussi, pour ceux qui n'ont pas encore franchi le pas de l'assurance vie en ligne, de justement ne pas avoir d'agence.
10:13Alors, on n'y va plus, mais ça rassure. Est-ce que vous proposez un service, une offre 100% digitale ou est-ce qu'on peut parler à quelqu'un, à un conseiller en vrai ?
10:23Les deux. Les deux. Donc, on est 100% digital. Vous pouvez gérer, tout faire en toute autonomie sur votre espace client, souscrire en toute autonomie.
10:38En revanche, on a une équipe de conseillers privés qui ont un background en gestion de fortune, qui sont passés par des grandes banques, qui sont là pour accompagner nos clients, répondre à leurs questions,
10:50les aiguiller dans la gestion de leur patrimoine plus globalement que les avoirs qui confient à Nalo. Et donc, on est toujours à disposition du client.
10:59Si le client veut avoir quelqu'un au téléphone, il peut très facilement. Il y a un numéro. Ils peuvent prendre rendez-vous très facilement avec nos conseillers.
11:07On a aussi un standard téléphonique, tout simplement. Donc, on est très disponible.
11:11On n'est pas lâchés dans la nature.
11:12Non.
11:13Alors, la nature, on aime bien chez Goodevest.
11:14Totalement.
11:15C'est le même système.
11:16Oui, totalement. On a les deux modes de fonctionnement. Nous, il faut savoir que les clients peuvent souscrire en totale autonomie directement sur le site.
11:22On a une équipe de conseillers de la même manière qui va accompagner justement nos clients dans leur projet d'épargne et d'investissement, répondre à leurs problématiques financières, patrimoniales, fiscales et autres.
11:31Donc, on a un service également de gestion privée qui permet de répondre justement à ces sujets-là.
11:36Et il faut savoir qu'aujourd'hui, on a plus de la moitié de nous, de notre collègue qui vient de nos conseillers.
11:40Donc, finalement, c'est un petit peu moitié-moitié. On a une partie qui vient en totale autonomie parce qu'ils savent faire, ils connaissent, ils sont habitués justement à la digitalisation.
11:48Et une autre partie qui veut être accompagnée et surtout qui veut être rassurée.
11:51Ça, c'est quand même le point qui veut être rassuré.
11:53Ça, c'est le point très important parce qu'on n'est pas un mastodonte financier comme on peut le trouver.
11:57On a encore une petite structure.
11:59Donc, il faut rassurer.
12:01Il faut parler et il faut montrer qu'il y a des personnes.
12:03Il y a de l'humain derrière.
12:04Clément parlait d'humain.
12:05Il faut montrer qu'il y a de l'humain derrière.
12:06Et ça, c'est très important pour le client.
12:08Vous l'avez dit, pas de mastodonte.
12:10C'est mieux.
12:11C'est bien.
12:12C'est une force.
12:14C'est vrai qu'il n'y a pas une des trois grandes banques françaises qui est dans le dos.
12:18Ou est-ce que justement, on sait que quand il y a des initiatives qui marchent, ça pourrait arriver peut-être dans le futur ?
12:24Aujourd'hui, quel est le futur ?
12:27La structure, on commence avec Goodvest.
12:29C'est de continuer à croître.
12:31C'est de s'adosser peut-être à un moment plus gros ?
12:34Pour l'instant, effectivement, c'est de continuer à croître.
12:36Nous, on reste totalement indépendants.
12:37Donc, les fondateurs et les salariés détiennent la majorité du capital.
12:41C'est de continuer à croître, continuer à diversifier notre offre.
12:44On a lancé, comme je le disais, des contrats d'assurance vie.
12:46On a référencé des nouvelles UC de diversification au sein de nos contrats, des FCPR en dettes privées,
12:51des unités de comptes immobilières également.
12:54On va lancer également de nouveaux produits en dehors des contrats via du private equity, en direct, etc.
12:59Et donc, c'est vraiment l'objectif, c'est d'étoffer la gamme de produits
13:03et de pouvoir répondre, d'avoir une gamme vraiment à 360 pour répondre à tous les besoins des investisseurs.
13:08Donc, ça, c'est un petit peu les projets de goût de veste.
13:10Et après, sur l'adossement à un groupe, ça, pour l'instant, ce n'est pas ce qui est prévu, en tout cas, aujourd'hui.
13:14Vous êtes encore très jeune.
13:15Nalo, les projets pour 2025 et au-delà ?
13:18Oui, alors, Nalo, les projets, c'est évidemment continuer notre croissance.
13:24On parlait tout à l'heure du demi-milliard d'encours.
13:26C'est évidemment d'aller plus loin.
13:29Voilà, exactement.
13:30On a hâte, mais vraiment, c'est l'ambition, en tout cas.
13:34Les projets, ça va être de diversifier notre offre, effectivement, un petit peu.
13:40Je parlais tout à l'heure de TF, de fonds en euros.
13:42On commence à faire des fonds immobiliers.
13:45On regarde ce qui se fait sur le marché déstructuré.
13:48Il y a énormément de choses, mais c'est quelque chose qu'on va rajouter dans nos contrats
13:53en étant très précautionneux de la façon de le faire et de les intégrer.
13:59Donc, on va continuer d'enrichir notre offre à pas mesurer, je dirais,
14:04parce qu'on a une base de clients qui sont venus vers nous
14:07parce qu'on était très performants sur la gestion des ETF.
14:10Donc, ça reste notre socle et notre pilier.
14:13En revanche, par touche, on va réussir à aller développer notre offre
14:16pour répondre à des besoins qu'on a du mal à couvrir
14:19ou pour mieux couvrir certains besoins.
14:21Et puis, ce maître mot, la diversification dans les portefeuilles et les patrimoines.
14:26Aujourd'hui, voilà deux acteurs, en tout cas, qui méritent d'être connus,
14:28Nallot et Goodvest, tous deux privés par gestion de fortune, l'assurance vie.
14:32En tout cas, merci Clément Nouvet.
14:34Je rappelle que vous êtes le CEO de Nallot et Mathieu Silva Santos,
14:37directeur de l'offre et de l'ISR chez Goodvest.
14:40Merci à vous de nous avoir suivis.
14:42On se retrouve très prochainement pour un nouveau numéro de l'Effet Patrimoine.