Avec Françoise Degois et Elisabeth Lévy
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##DITES_LE_FRANCHEMENT-2025-01-23##
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00:00— Allez, on en parle. Parce que pendant la pub, je peux vous dire que ça parle dans le studio. Mais là, on en parle avec Benjamin Gleyber.
00:06— Et les jeunes sont avec moi, hein. Je tiens à le dire. — Les jeunes de droite... — On parle d'autre chose, on parle d'autre chose.
00:15Les sénateurs qui votent la suppression des avantages accordés aux anciens présidents de la République et premiers ministres.
00:20L'amendement avait été déposé dans le cadre de l'examen du budget au Sénat. Il avait reçu un avis défavorable, cet amendement, de la part du gouvernement.
00:28Mais les sénateurs en ont donc décidé autrement. À l'origine de cet amendement, la centriste Nathalie Goulet, sénatrice de Lorne, on l'écoute.
00:34— M. le ministre, je pense que vous allez être content. C'est un amendement qui devrait recevoir votre accord enthousiaste.
00:40Car en effet, je vous propose de supprimer les avantages des anciens présidents de la République et des anciens premiers ministres,
00:47qui, dans l'ensemble, ne sont pas des grands nécessiteux de la République, qui ont tous un certain nombre de retraites et qui ont tous des postes de consultants.
00:56En tous les cas, j'ai vérifié. Franchement, personne n'est au resto du cœur. Donc je vous propose donc une diminution des crédits de 2,8 millions.
01:06— 2,8 millions. L'amendement a été voté par les sénateurs contre l'avis du gouvernement à l'unanimité, moins une voix.
01:11Juste pour ajouter, pour être définitivement enterriné, l'amendement doit maintenant être voté à l'Assemblée nationale en commission mixte paritaire,
01:16sous couvert que le 49-3 ne soit pas déclenché entre-temps par le gouvernement. Autant dire qu'il y a peu de chances que ce soit enterré.
01:22— Je trouve ça minable. En fait, je trouve que c'est flatter les bas instincts... — 2,8 millions.
01:26— Oui. D'abord, 2,8 millions, c'est pas... Alors je le redis. Je n'ai pas 2,8 millions sur mon compte en banque, mais pour le budget de l'État, c'est une somme ridicule.
01:36Mais surtout, c'est vraiment flatter les bas instincts des gens. Les anciens présidents de la République ou premiers ministres, je sais pas, ils sont 15.
01:42— Il y a 16 anciens premiers ministres, voilà. — Mais non, mais... Bon, bref. Bon, une vingtaine.
01:49Franchement, la France n'est pas un assez grand pays pour continuer à donner une voiture à ceux qui...
01:57Et je vais vous dire, un jour, personne ne voudra plus faire de politique dans ce pays. Moi, je ne ferai pas ce joke. Je peux vous le dire.
02:05— Non, c'est pas pour ça que je réagis. D'abord, je pense que c'est ce qu'on appelle le populisme. Et donc je vous rejoins complètement.
02:11C'est-à-dire qu'on fait voter quelque chose dont on sait que ça n'ira pas au bout. On fait plaisir à des gens. Est-ce que ça peut faire plaisir à des gens ?
02:18Un jour, je vais voir François Hollande, que je connais très bien. Je vais le voir dans son immeuble. Vous savez, rue de Révoli, etc.
02:24— Oui, il a des beaux bureaux. — Rue de Révoli. — Oui, il a des beaux bureaux. Sauf que la sécurité, même avec deux...
02:29— Vous avez apporté des croissants. — Même avec deux logiciers de sécurité, si vous voulez, c'est pas suffisant.
02:33Je rappelle quand même que nous sommes un grand pays. Nous sommes en alerte terrorisme permanente. Et quand on est un terroriste, eh bien si on a des cibles
02:43aussi facilement atteignables... Je vous assure que François Hollande, ancien président, même Nicolas Sarkozy, ancien président...
02:49Et je suis désolé. Moi, je pense que même la sécurité, elle n'est pas suffisante, parce que ce sont des cibles. Parce que si vous êtes un terroriste,
02:57eh bien c'est bien de vous taper... Vous pouvez avoir l'idée de vous taper un Premier ministre, un ancien Premier ministre ou un président de la République.
03:03Donc moi, je veux bien tout ce qu'on veut. Je veux bien qu'on flatte, comme dit Elisabeth. Elle a tout à fait raison, les bases d'instincts.
03:09Si un jour, il y a un problème, on aura à nouveau cette discussion-là. Si un jour, il y a un de nos anciens...
03:14— Vous êtes d'accord, tous les deux. — Oui, mais je vais pas exagérer. — Oui, je vais pas poser l'argument de sécurité, mais c'est réel. Enfin franchement.
03:20— Bon. Bon. Eh bien écoutez, nous verrons la suite, lorsque ça viendra en discussion. — Ça deviendra jamais.
03:27CMP, Commission mixte paritaire. Bien. Le rappel des titres de l'actualité. Laurie Leclerc.