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Mettez vous d'accord avec Gilles Ganzmann, Jean-Philippe Dugoin-Clément, Baptiste Fournier et Jonas Haddad

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##METTEZ_VOUS_D_ACCORD-2024-10-17##

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Transcription
00:00...
00:01SUDRADIO, le 10h midi, mettez-vous d'accord, Valérie Expert.
00:06Et nous sommes ensemble pour les débats avec vous aujourd'hui autour de la table.
00:11Nous sommes réunis avec Gilles Gonsman, qui est resté avec nous pour les débats, journaliste média à Sudradio.
00:17Jean-Philippe Dugoin-Clément, maire UDI de Menzies et vice-président de la région Île-de-France, bonjour.
00:21Bonjour.
00:22Baptiste Fournier, président et fondateur de l'agence Virtu, bonjour.
00:25Bonjour.
00:26Et Jonas Haddad, avocat, bonjour à vous.
00:28Bonjour.
00:29Parité complète.
00:31Toujours le mot pour faire plaisir.
00:35Vous vous plaindrez à Julia Trioufolle qui compose les plateaux.
00:38Voilà.
00:39Une nouvelle loi immigration, toujours est-elle nécessaire ?
00:43Et puis on va parler de ces hubs.
00:45Le mot n'est pas très bien choisi.
00:48Je ne sais pas comment on peut appeler ces transitoires, des situations de transit pour les sans-papiers, pour ceux qui demandent l'asile.
00:58On va y revenir.
00:59Vous savez que l'Italie a parlé de l'Albanie pour envoyer les demandeurs d'asile.
01:07En attendant, les décisions administratives.
01:10L'ERN qui veut supprimer un bon nombre d'agences et d'opérateurs de l'État.
01:13Et puis voitures, vélos qui respectent encore le code de la route.
01:16Si vous êtes usager de la voiture ou piéton, vous remarquez, vélos, vous remarquez évidemment que le clignotant n'existe plus,
01:23que le feu rouge est souvent très, très rouge.
01:26Donc tous ces sujets avec vous.
01:28On va commencer avec vos coups de cœur et vos coups de gueule.
01:31On va commencer avec vous, Gilles.
01:33Moi, c'est l'info.
01:34Hier, nos confrères de RMC ont eu au téléphone un juriste d'un grand groupe d'avocats.
01:40Et il expliquait, il intervenait à l'occasion de l'affaire de Mbappé.
01:45Il expliquait que désormais, les vedettes et les stars du sport, qui sont ses clients,
01:51ont désormais avec eux un contrat de consentement dans lequel, qui a été rédigé par leur cabinet d'avocats,
01:58dans lequel ils doivent indiquer évidemment les pratiques qu'il va avoir dans leur relation sexuelle,
02:04qu'un homme ou une femme doit accepter.
02:07Et puis également, il doit prendre en photo les papiers d'identité,
02:13parce qu'évidemment, vous pouvez imiter la signature.
02:15Donc vous devez prendre les papiers d'identité.
02:18On est un peu à l'américaine, vous savez, dans 59 degrés,
02:21où dans le film, il lui fait accepter toutes les pratiques sadomaso.
02:25Moi, je trouve que ça va devenir compliqué dans une relation.
02:29Vous êtes en boîte de nuit, puis après, voilà, vous buvez un petit verre.
02:34Et puis, il dit, bon, alors tu vas me signer ce contrat d'adhésion.
02:36Il en pense quoi, l'avocat ?
02:37Ça existe en France ?
02:39Ça existe.
02:40Je crois même qu'il y a une appli qui s'est créée là-dessus.
02:42Absolument.
02:43Pour rendre les choses un petit peu plus fluides.
02:44Parce que c'est vrai que le stylo en boîte de nuit, c'est peut-être pas pratique.
02:47En revanche, le fait de charger ça sur une appli.
02:50Mais c'est vrai qu'en termes de rapport humain, c'est dévastateur.
02:53Et c'est le juriste qui vous parle.
02:55Mais il y a des choses que le droit, parfois, ne peut pas contrôler.
02:58Et après, on peut quand même contester ce genre de choses.
03:02Genre si ça s'est mal passé, ou ça a été mal fait,
03:06ou vous découvrez que la personne, c'est pas votre...
03:09Oui, parce qu'en fait, si vous voulez, c'est comme les conditions générales de vente.
03:12Personne ne les lit.
03:13Et si vous dites, dans ce consentement,
03:16que la personne autorise à tout faire, même la dignité humaine,
03:19parce que la limite, c'est la dignité humaine,
03:21sans faire de cours de droit.
03:22Vous savez, vous avez par exemple les nains,
03:24qui se proposaient pendant un moment de se faire des lancers de nains.
03:27Ça a été interdit par la justice.
03:28Justement parce qu'on considérait que ça a la dignité humaine.
03:31Donc vous n'avez pas le droit de vous soumettre à votre propre indignité.
03:35Donc non, ça ne marcherait pas.
03:37Mais en France, ces contrats de consentement sont légaux, en France.
03:40Alors, c'est légal, mais encore une fois,
03:43sauf si vous soumettez votre propre indignité.
03:46C'est-à-dire, si vous acceptez de...
03:48Enfin, moi, je ne vais pas rentrer dans les détails,
03:50mais ça, c'est illégal.
03:51C'est ce qu'on a évoqué hier avec Maurizio, qui était là.
03:54Vous n'avez pas le droit de mettre votre indignité.
03:56Par rapport à Mbappé, effectivement, même s'il fait signer un contrat,
03:59une pratique sexuelle normale peut pas...
04:01Enfin, il y a un accord,
04:02mais si la pratique sexuelle dérive,
04:04que la jeune femme se retrouve attachée...
04:07Enfin, je ne veux pas rentrer non plus dans les détails.
04:09De dériver ou de déviancer.
04:11C'est une question, encore une fois, par rapport au droit,
04:13si je puis me permettre, qui est très bien rappelé,
04:15de dignité humaine.
04:17Mais dans tout ça, on est très loin dans une relation amoureuse
04:21et une relation de confiance, en fait.
04:23Je ne pense pas que c'était des relations amoureuses avec Mbappé.
04:25Non, pour le coup, non.
04:27Dans le cadre de Mbappé,
04:28quand c'est une boîte de nuit qui est privatisée
04:30avec un certain nombre de jeunes filles
04:32qui sont invitées à venir par des organisateurs, des concierges,
04:37d'une manière pudique aujourd'hui,
04:39je ne suis pas sûr qu'on soit sur une relation amoureuse classique.
04:42On est sur de la consommation
04:45faite par des multimillionnaires du sport
04:47qui s'achètent tout.
04:48Après, on est quand même dans...
04:49Pas besoin d'être multimillionnaire, Jean-Philippe,
04:51vous le savez en 2024.
04:52Les applications permettent ça.
04:53Pour prendre un jet privé
04:55et privatiser une boîte de nuit à Stockholm,
04:57quand même un petit peu.
04:59Mais pour le reste, d'une manière générale,
05:03je trouve qu'avoir 20 ans aujourd'hui,
05:05c'est compliqué, oui,
05:06parce qu'on est dans un monde
05:07où la question du consentement
05:08par rapport à ce qu'on a pu vivre, nous,
05:10quelques années en arrière,
05:11est assez différente.
05:12Alors, il y avait certes des abus,
05:13mais enfin, je crois qu'aujourd'hui,
05:14on est sur une structure
05:15qui est mentalement dévastatrice.
05:17Et de plus en plus,
05:18on retrouve les gens
05:19qui vont plus faire du jeu vidéo
05:21que des rencontres.
05:22L'abstinence n'a jamais été aussi importante
05:24dans d'autres pays.
05:27Et voilà.
05:29Vous me permettrez un coup de gueule,
05:31pour ma part.
05:32Vous savez que le livre de Michael Paty
05:34qu'on a reçu,
05:35un livre qui s'appelle
05:37Le cours de M. Paty,
05:39qui est d'ailleurs en tête des ventes
05:41sur Amazon,
05:42donc je vous conseille déjà
05:43d'aller dans votre librairie
05:45pour l'acheter,
05:46c'est toujours mieux.
05:47Mais sauf qu'il y a des librairies
05:48qui refusent de vendre ce livre.
05:50Oui, oui, absolument.
05:51Une en particulier
05:52qui s'appelle La Chouette d'or.
05:53On va donner son nom
05:54parce que c'est assez indigne
05:56comme méthode.
05:57Et ce n'est pas la seule.
05:58Il y a des gens
05:59qui ont eu du mal
06:00à trouver le livre.
06:01Il était planqué.
06:02D'autres ont carrément dit
06:03qu'elles ne voulaient pas le vendre.
06:05Donc je voulais signaler cela.
06:08Ce sont des libraires peut-être militants.
06:11Mais...
06:12Enfin, quand on commence
06:13à interdire des livres,
06:14ça rappelle des mauvais souvenirs quand même.
06:16Ben oui, mais c'est le cas.
06:18C'est Émilie qui dit
06:19j'ai fait quatre librairies
06:20dans mon quartier dans le XXème.
06:21Je n'ai toujours pas
06:22le cours de M. Paty.
06:23Pas parce qu'il est en rupture,
06:24mais parce que ces librairies
06:25militantes de gauche
06:26ne l'ont pas commandé.
06:27C'est ça Paris XXème.
06:29Donc il y a des gens
06:30qui ont été vérifiés effectivement.
06:33Et c'est le cas
06:34dont cette librairie
06:35qui s'appelle La Chouette d'or
06:36qui ne vend pas le livre.
06:37C'est scandaleux.
06:38Je ne sais pas.
06:39Ça vous laisse...
06:40Non, mais ça pourrait laisser
06:42sans voix d'une certaine manière.
06:44Mais c'est indigne.
06:45La Chouette qui lit, pardon.
06:46C'est indigne.
06:47C'est La Chouette qui lit.
06:48Oui, La Chouette d'or,
06:49c'était la course au trésor.
06:50Oui, c'est la course.
06:51C'est La Chouette qui lit, pardon.
06:52C'est totalement indigne.
06:53Vous commencez à vouloir
06:54interdire un livre,
06:55à vouloir interdire un écrit
06:57qui plus est sur quelque chose
07:00qui est un cours,
07:01qui sont les écrits,
07:03le travail de quelqu'un
07:04qui a été victime,
07:05qui a été victime
07:06de l'obscurantisme,
07:07du totalitarisme,
07:08d'un fait religieux
07:09totalement inacceptable, dévoyé.
07:11Pour moi, c'est non seulement indigne.
07:14Mais je pense que...
07:15Et là, je me tourne plutôt vers l'avocat.
07:16Mais on est à la limite même
07:17de tourner ou de pouvoir être rattaché
07:19à ce qui est de l'incitation
07:20ou du soutien
07:21à des entreprises terroristes.
07:23Alors La Chouette qui lit
07:24a publié sur son compte
07:27le journal Libération fait sa une
07:29sur le témoignage de Gaël
07:31après 4 ans de deuil
07:32et de tentatives de compréhension
07:33des faits et intentions.
07:34À la librairie La Chouette qui lit,
07:36à notre humble échelle,
07:37nous avons soutenu la tolérance,
07:38la compréhension des contextes
07:39et des idées
07:40dans un esprit de concorde.
07:41Ce n'est pas la peine d'acheter le livre.
07:43Allez acheter Libération aujourd'hui,
07:45le cours de M. Paty,
07:47sans esprit de haine,
07:48de jalousie
07:49ou autre sentiment négatif.
07:50Bien au contraire.
07:51Si ce n'est peut-être
07:52de la déception
07:53et de la colère retenue.
07:56Mais ils disent
07:57la mémoire de Samuel
07:58mérite d'être honorée
07:59mais pas instrumentée
08:00à des fins politiques
08:01contraires à nos idées.
08:02C'est légal ?
08:03Heureusement qu'on a un avocat sur le lit.
08:05En fait c'est exactement
08:061984 avec Orwell.
08:08La guerre c'est la paix.
08:10La violence c'est la tolérance.
08:12C'est la plus pure intolérance.
08:15La plus pure lâcheté aussi,
08:16il faut le dire,
08:17parce qu'ils n'osent pas
08:18affronter les réalités
08:19que l'islamisme tue dans le pays
08:21qui se drape dans l'intolérance
08:23et dans le courage.
08:24Exactement.
08:25C'est une inversion
08:26absolue des valeurs.
08:27Alors on ne peut pas
08:28les incriminer
08:29parce que la presse
08:30est libre en France
08:31et le commerce est libre.
08:32Donc si j'ai envie
08:33de vendre des livres érotiques
08:35et pas des livres sur l'islamisme,
08:37j'ai le droit de faire
08:38ce que je veux.
08:39En revanche,
08:40le fait d'assumer ça
08:41au nom de grandes valeurs,
08:42moi je pense que c'est vraiment...
08:44En fait ce sont juste
08:45des gens qui sont lâches
08:46et qui vont théoriser
08:47leur lâcheté
08:48avec des grands mots
08:49mais qui n'osent pas affronter...
08:50Parce que le réel est dur.
08:51Pour les militants
08:53d'ultra-gauche,
08:54parce que là c'est vraiment
08:55l'ultra-gauche,
08:56pour les militants d'ultra-gauche
08:57qui ont expliqué
08:59pendant des années
09:00que tout ça
09:01n'était qu'une chance,
09:02que tout ça n'était
09:03qu'une richesse,
09:04se prendre ce mur
09:05de la réalité en face,
09:06plutôt que de l'accepter,
09:07ils vont aller théoriser
09:08pourquoi ils le font pas,
09:09etc.
09:10et on cache la réalité.
09:11Mais ça fait là maintenant
09:13plusieurs années
09:14que c'est le cas,
09:15c'est le fameux pas de vague.
09:16Le pas de vague
09:17en fait qui s'étale
09:18mais à un moment
09:19le pas de vague
09:20ça provoque des tsunamis électoraux
09:21pour des partis
09:22qui vont contester
09:23cette vision-là.
09:24Donc il faut faire attention.
09:25Et au-delà de ça,
09:26on peut rappeler,
09:27il y a eu un chiffre
09:28dans le 20h de France 2
09:30sur les écoles
09:32et les classes
09:33qui n'ont pas voulu parler
09:34des commémorations
09:36de Samuel Paty
09:39et de Dominique Bernard.
09:41Donc il n'y a pas
09:42que la librairie,
09:43il y a également
09:44des choses assez étonnantes
09:45qui se passent.
09:46Ce qui est intéressant
09:47c'est que,
09:48pardon excusez-moi,
09:49et j'en termine,
09:50c'est que les deux plus proches
09:51de Bernard et de Paty,
09:52donc la veuve Bernard
09:53et la sœur Paty,
09:54je dis comme dans un arrêt,
09:56mais pardon,
09:57c'est-à-dire la veuve
09:58de Monsieur Bernard,
09:59les deux disent
10:00que la France a failli.
10:01Bien sûr.
10:02Et les deux sont muselés.
10:03De dire,
10:04ce n'est pas la peine
10:05d'aller acheter le livre
10:06Lisez Libération,
10:07c'est invraisemblable.
10:08Je ne sais pas si vous avez...
10:09Moi je trouve ça totalement...
10:10En fait,
10:11ça a été très bien
10:12justement dit,
10:13c'est une forme
10:14d'inversion des valeurs.
10:15C'est-à-dire qu'encore une fois,
10:16on n'est pas sur un ouvrage
10:17entre guillemets
10:19C'est plutôt un livre
10:20qui vient dresser
10:21un constat de rassemblement
10:22sur l'État de la République
10:23et aussi sur l'œuvre
10:24et l'engagement
10:25de nos instituteurs
10:26et de nos professeurs
10:27avec symboliquement
10:28deux professeurs,
10:29malheureusement,
10:30qui ont été assassinés
10:31par des terroristes islamistes
10:32et qui étaient justement
10:33des symboles de liberté,
10:34d'apprentissage,
10:35de pédagogie,
10:36de notre histoire,
10:37dans sa diversité.
10:38Et là,
10:39on a affaire encore une fois
10:40à une forme,
10:41à mon avis même,
10:42de peur
10:43de l'inversion
10:44des valeurs.
10:45C'est-à-dire que
10:46c'est une forme,
10:47à mon avis même,
10:48de peur,
10:49de crainte.
10:50La liberté des commerces,
10:51en effet,
10:52est importante.
10:53On pourra tomber aussi
10:54et on en connaît
10:55sur des librairies
10:56d'extrême droite
10:57qui ne distribueront pas
10:58certaines œuvres.
10:59Ce que je tiens à rappeler
11:00c'est que ce livre
11:01n'est pas dangereux.
11:02C'est au contraire
11:03un manifeste pour la France
11:04et un manifeste
11:05pour la République.
11:06Et que dans ce cadre-là,
11:07je ne vois pas
11:08où est le problème
11:09à le distribuer.
11:10Et puis,
11:11on peut aller regarder
11:12le documentaire
11:13sur France TV
11:15sur C8.
11:16Oui.
11:17Il est passé hier sur C8.
11:18Il est passé hier sur C8.
11:19Mais c'est l'heure des infos.
11:20A tout de suite.
11:27Avec vous sur Sud Radio
11:28pour commenter l'actualité
11:29avec Gilles Gansman,
11:30journaliste média.
11:31Sud Radio,
11:32Jean-Philippe Dugoin-Clément,
11:33maire UDI de Mency,
11:34vice-président
11:35de la région
11:36Île-de-France,
11:37Baptiste Fournier,
11:38président et fondateur
11:39de l'agence de communication
11:40Virtu et Jonas Haddad.
11:41Vous êtes avocat.
11:42On va revenir
11:43sur la loi immigration,
11:44sur les solutions
11:45qui sont en train
11:46d'être envisagées
11:47dans plusieurs pays européens,
11:48c'est-à-dire de trouver
11:49des zones de transit
11:50comme l'Albanie
11:51pour ce qui concerne l'Italie.
11:52Est-ce que c'est
11:53une bonne solution ?
11:54Est-ce que les Français
11:55y seraient favorables ?
11:56L'ERN qui veut supprimer
11:57bon nombre d'agences
11:58et d'opérateurs de l'État
11:59et voitures, vélos
12:00qui respectent encore
12:01le code de la route.
12:02C'est une enquête
12:03que vous pouvez lire
12:04chez nos confrères
12:05du Parisien
12:06aujourd'hui en France
12:07qui est assez édifiante
12:08sur le comportement,
12:09sur les comportements routiers.
12:10On continue.
12:11Notre tour de table
12:12de ce qui a retenu
12:13votre attention.
12:14Jonas,
12:15c'est le Salon de l'Auto
12:16en ce moment.
12:17Oui, c'est le Salon de l'Auto
12:18et c'est aussi
12:19la foire de l'automobile
12:20parce que,
12:21objectivement,
12:22lorsque vous êtes
12:23automobiliste aujourd'hui,
12:24peut-être qu'il y en a
12:25certains qui nous écoutent
12:26dans leur voiture,
12:27vous ne comprenez plus rien
12:28et vous savez,
12:29en psychanalyse,
12:30les injonctions contradictoires
12:31sont censées rendre fou.
12:32Donc,
12:33qu'est-ce qu'on a proposé ?
12:34On a dit
12:35c'est la fin du véhicule thermique
12:36avant 2035.
12:37Donc, en faisant ça,
12:39étant donné
12:40que nous n'avions pas d'avance
12:41sur notamment les Chinois,
12:42on est en train
12:43de s'aborder
12:44toute notre industrie
12:45européenne de l'automobile
12:46et surtout notre industrie française
12:47puisque, eux,
12:48ils ont des voitures
12:49de meilleur rapport qualité-prix
12:50liées à l'électrique.
12:51Donc ça,
12:52c'est un premier point économique.
12:53Un deuxième point,
12:54c'est que le gouvernement,
12:55pour pallier à ça
12:56et pour assurer cette transition
12:57et ce transfert,
12:58a dit
12:59aller vers l'électrique,
13:00aller consommer de l'électrique
13:01mais on va vous mettre en place
13:02un leasing social.
13:03Et ce leasing social
13:04a tellement bien marché
13:05qu'on a décidé
13:06de l'arrêter aujourd'hui.
13:07Il y a quelques jours.
13:08Ça veut donc dire
13:09qu'on a embarqué
13:10tout le monde
13:11vers l'électrique
13:12mais on est en train
13:13d'expliquer aux gens
13:14que ça va leur coûter
13:15soit plus cher
13:16en achetant français
13:17soit moins cher
13:18mais en achetant chinois.
13:19Donc, en réalité,
13:20on est en train
13:21à la fois de s'aborder
13:22notre industrie automobile
13:23européenne et française
13:24ou alors
13:25de la maintenir
13:26mais à des prix
13:27qui sont plus élevés
13:28pour les consommateurs.
13:29Donc, il faudra nous expliquer
13:30comment,
13:31pour reprendre les termes
13:32de quelqu'un,
13:33les petits hommes en gris
13:34qui ont conçu
13:36cette réglementation
13:37assez folle
13:38sont en train
13:39de s'aborder
13:40soit notre pouvoir d'achat
13:41soit notre industrie automobile.
13:42C'est un peu
13:43mon coup de gueule.
13:44Jean-Baptiste Duboin-Clément.
13:45On paye
13:46On paye
13:47d'être totalement
13:48mono-énergie.
13:49Enfin,
13:50qu'il y ait une diversification
13:51d'énergie.
13:52Qu'on sorte
13:53du tout thermique.
13:54C'est logique.
13:55C'est une transition écologique
13:56et c'est d'une certaine manière
13:57autonomiser le pays
13:58par rapport à des hydrocarbures
13:59qui sont achetés
14:00qui sont importés.
14:01Mais on a voulu marcher
14:02à tout crin
14:03sur des calendriers
14:04qui sont intenables
14:05sans tenir compte
14:06des capacités industrielles
14:07de la France
14:08mais de l'Europe occidentale.
14:09Les Allemands
14:10sont très réticents
14:11par rapport à ces législations
14:12parce qu'ils ont aussi
14:13leur grand fabricant automobile.
14:15Et on se rend bien compte
14:16qu'on a tout mis
14:17sur l'électrique
14:18en tirant d'un verre de trait
14:20la question du bioéthanol,
14:22la question de l'hydrogène
14:24qui représente aussi un coût
14:25mais qui sont des solutions
14:26de mobilité décarbonée.
14:28Et le tout qui plus est
14:30avec un problème
14:32de maillage territorial
14:34règle aujourd'hui
14:35sur les points de recharge.
14:36C'est la France
14:37des stations-services
14:38c'est quand même
14:39ce qui permettait
14:40les mobilités
14:41des Français.
14:42Là on a un problème
14:43de maillage
14:44qui se fait
14:45mais qui se fait
14:46en retard
14:47par rapport à ce qui est décliné.
14:48Et aujourd'hui
14:49un coup d'arrêt.
14:50Je rappelle que
14:51le leasing social
14:52c'était la promesse électorale
14:53du Président de la République
14:54en 2022.
14:55Il y a de cela deux ans.
14:56Et on se rend compte
14:57qu'on n'arrive plus
14:58à financer
14:59et on coupe les choses.
15:00Moi je crois
15:01que c'est assez terrible.
15:02On a besoin
15:03de pragmatisme.
15:04On a besoin
15:05de revoir les calendriers
15:06de ré-étaler
15:07et d'être un peu moins
15:08monolithique
15:09sur les solutions
15:10qu'on propose.
15:11Et il n'y a pas vraiment
15:12de vision.
15:13On n'a pas le sentiment
15:14qu'il y ait de vision
15:15prospective
15:16sur ce qui peut se passer.
15:17Je ne sais pas
15:18ce que vous en pensez
15:19effectivement
15:20sur ces injonctions
15:21contradictoires
15:22de l'électrique
15:23mais vous serez plus subventionnés
15:24et ça va vous coûter plus cher.
15:25Et sur le tout électrique
15:26on a le même problème
15:27sur le bâtiment.
15:28Les normes des R.E.
15:29sur la construction
15:30imposent le tout électrique
15:31et il y a un problème
15:32avec un grand patron énergétique
15:33sur ces problématiques-là.
15:34Il était plutôt satisfait
15:35qu'il y ait une forme
15:36de planification
15:37avec une date
15:38à long terme.
15:39Néanmoins,
15:40le problème encore une fois
15:41c'est ce qu'on appelle
15:42aujourd'hui
15:43l'assuppliation
15:44au niveau mondial
15:45on est défavorisé.
15:46On est défavorisé
15:47pour des questions
15:48de droits de douane
15:49avec des débats
15:50qui sont impossibles
15:51et une forme de naïveté
15:52de ce point de vue-là
15:53de l'Union européenne.
15:54On est dans une crise énergétique
15:56d'ampleur
15:57qui au moment
15:58où ces réglementations
15:59ont été prises
16:00n'étaient pas impactées
16:01par notamment
16:02la guerre
16:03entre l'Ukraine
16:04et la Russie
16:05qui ont bousculé
16:06énormément
16:07le cours
16:08des matières premières
16:09et le cours
16:10des énergies
16:11de manière générale.
16:12En revanche,
16:13il y a un point
16:14positif à cela
16:15c'est qu'un rapport
16:16international hier
16:17qui est sorti
16:18je ne sais plus
16:19s'il émane de l'ONU
16:20ou autre
16:21démontrait que
16:22normalement
16:23l'énergie électrique
16:24produite par énergie renouvelable
16:25devrait être majoritaire
16:26par rapport
16:27aux énergies fossiles
16:28dans sa consommation
16:29en 2035.
16:30Donc de ce point de vue-là
16:31le calendrier se tient
16:32assez bien.
16:33Néanmoins,
16:34on voit bien
16:35que le coût de production
16:36d'une voiture électrique
16:37française
16:38n'est pas le même
16:39que pour les Chinois
16:40n'est pas le même
16:41que pour les Etats-Unis
16:42et que dans ce cadre-là
16:43même par rapport
16:44au pouvoir d'achat
16:45des Français
16:46on prend un retard
16:47indéniable
16:48en menaçant
16:49l'activité
16:50de nos plus grands constructeurs.
16:51Et après derrière
16:52il va y avoir
16:53tous les soucis
16:54et les problèmes
16:55avec évidemment
16:56nos mécaniciens
16:57nos garagistes
16:58nos voitures
16:59ne sont pas
17:00d'un monobloc
17:01vous pouvez changer
17:02les roues
17:03etc.
17:04La plupart des Tesla
17:05sont des monoblocs
17:06une fois qu'elle est pourrie
17:07vous la revendez
17:08il va y avoir
17:09derrière
17:10des politiques
17:11par rapport
17:12à l'écologie
17:13qui vont être
17:14beaucoup plus compliquées
17:15qu'avec le thermique
17:16qu'on maîtrise
17:17depuis des années
17:18et là
17:19on va aussi se retrouver
17:20et se confronter
17:21à des problèmes
17:22c'est-à-dire qu'on a payé
17:23la voiture plus chère
17:24il n'y aura presque
17:25pas de marché d'occasion
17:26et derrière
17:27vous avez
17:28toute une chaîne
17:29de fournisseurs
17:30et de mécaniques
17:31et je pense qu'on n'a pas
17:32réfléchi à tout ça
17:33en fait.
17:34Il y a un auditeur
17:35qui me dit ça
17:36en fait il y a une chose
17:37que vous n'avez pas compris
17:38c'est que la conception
17:39des voitures électriques
17:40car économie des coûts
17:41grâce à la suppression
17:42des boutons
17:43et autres quinquairies
17:44et de ce fait
17:45ils ont doublé
17:46le prix des voitures
17:47la morale
17:48vous payez deux fois
17:49votre voiture
17:50là aussi
17:51sur la conception
17:52des voitures
17:53électriques.
17:54Et on est aussi
17:55dans un contexte budgétaire
17:56où l'achat de ces véhicules
17:57est en l'état actuel
17:58des choses
17:59par rapport justement
18:00à une situation financière
18:01totalement dégradée
18:02la question se pose
18:03légitimement
18:04du marge d'un de ces primes
18:05ou non.
18:06On va en parler avec vous
18:07dans un instant
18:08on va parler du budget
18:09Jean-Philippe
18:10peut-être qu'on va marquer
18:11une pause
18:12et comme ça
18:13on aura plus de temps
18:14pour développer
18:15les coups de coeur
18:16et les coups de gueule
18:17vous c'est un coup de gueule
18:18Jean-Philippe
18:19sur RPNB
18:20à tout de suite.
18:26Merci pour commenter
18:27l'actualité
18:28Jean-Philippe Ducoin Clément
18:29pour vous c'est un coup de gueule
18:30Oui sur RBNB
18:31c'est ce qu'on appelle
18:32le phénomène RBNB
18:33mais c'est en fait
18:34les locations touristiques
18:35de courte durée
18:36donc ça va être
18:37tous les sites
18:38type RBNB
18:39Booking
18:40Holidays
18:41etc.
18:42A la base
18:43c'est quelque chose
18:44d'extrêmement positif
18:45ça permet à des gens
18:46qui quand ils partent en vacances
18:47de louer leurs biens
18:48de gagner un petit peu d'argent
18:49de financer eux-mêmes
18:50leurs vacances
18:51c'est la souplesse
18:52permis par internet.
18:53Le problème c'est que
18:54le phénomène RBNB
18:55est devenu totalement incontrôlé
18:56il n'est pas réglementé
18:58industrialisé pour certains
18:59et il crée des effets pervers
19:01absolument terribles.
19:02Il crée des effets pervers
19:04de deux manières
19:05la première c'est
19:06qu'on est dans un pays
19:07qui connaît une crise du logement
19:08majeure
19:09qui est d'ailleurs
19:10assez inégalement répartie
19:11ce que ce phénomène
19:12de crise du logement
19:13on l'a surtout
19:14dans les zones tendues
19:15à Paris
19:16sur certains secteurs
19:17de la région Île-de-France
19:18on pourrait parler
19:19de tout le secteur
19:20d'Euro Disney
19:21sur tout l'arc méditerranée
19:22ou l'arc atlantique
19:23et aujourd'hui
19:24les nombres de logements
19:25sont absolument colossales
19:27et soustraient
19:28à la location classique
19:29pour les familles
19:30du fait du RBNB
19:32pourquoi ?
19:33parce que les normes
19:34sur des logements insalubres
19:35sur les passoires énergétiques
19:36ne s'imposent pas au RBNB
19:38la question du permis de louer
19:40que beaucoup de communes
19:41ont mis en place
19:42ne s'impose pas au RBNB
19:43fiscalement d'ailleurs
19:44on a même plutôt intérêt
19:45à louer sur du RBNB
19:47plutôt qu'à louer
19:49de manière classique
19:50à une famille
19:51qui a besoin de se loger
19:52et puis la deuxième chose
19:53ça crée des conflits d'usages
19:54absolument fous
19:55moi j'avais dans ma commune
19:56à Méncy
19:57la semaine dernière
19:58quelqu'un qui a vécu
19:59un été absolument infernal
20:00dans un quartier pavillonnaire
20:01parce que la maison d'à côté
20:02qui a une belle piscine
20:03a été louée pendant quasiment
20:04tout l'été
20:05à des touristes
20:06un coup hollandais
20:07un coup allemand
20:08qui viennent pour faire la fête
20:09et qui effectivement
20:10pourrissent la vie d'un quartier
20:11et en fait face à ça
20:12la réalité c'est que
20:13les communes n'ont quasiment
20:14aucun moyen
20:15de pouvoir réglementer
20:16la législation
20:17c'est le phénomène
20:18de l'uberisation
20:19les choses se font
20:20par internet
20:21de manière automatique
20:23en fait on court derrière
20:24mais on court
20:25beaucoup trop lentement
20:26et la législation
20:27aujourd'hui
20:28elle se limite
20:29à la déclaration préalable
20:30que peuvent mettre en place
20:31les communes
20:32c'est à dire que
20:33quelqu'un qui veut louer son bien
20:34se déclare sur internet
20:35mais il n'y a aucun contrôle
20:36de ce qui est loué
20:37comment
20:38pourquoi faire
20:39où ça
20:40et puis
20:41un nombre de jours limités
20:42qui est de 120 jours
20:43donc 120 jours
20:44ça fait quasiment
20:45tous les week-ends
20:46d'une année
20:47alors il y avait
20:48un texte de loi
20:49qui avait été envisagé
20:50en fin d'année 2023
20:51qui finalement
20:52a été
20:53je crois
20:54aux commissions
20:55au niveau du Sénat
20:56début 2024
20:57mais on voit bien
20:58qu'on a un phénomène
20:59de problème majeur
21:00on pourrait rajouter
21:01également là-dessus
21:02que le Airbnb
21:03ça devient assez souvent
21:04des locations
21:05liées au trafic
21:06qu'on parle de stupe
21:07qu'on parle de prostitution
21:08et pour le coup
21:09autant moi je suis quelqu'un
21:10qui n'est pas forcément
21:11pour tout réglementer
21:12autant on a besoin là-dessus
21:13de pouvoir
21:14permettre aux communes
21:15qui ont des réalités différentes
21:16de pouvoir
21:17un peu limiter
21:18ou au contraire
21:19ouvrir
21:20parce qu'il y a des secteurs
21:21où ça peut à l'inverse
21:22arranger certaines communes
21:23d'ouvrir
21:24une taxation spécifique
21:25au niveau local
21:26de mémoire ?
21:27non non non
21:28là-dessus
21:29on n'a absolument rien
21:30ce que l'on peut faire
21:31au niveau local
21:32c'est plafonner
21:33le nombre de jours
21:34qui est limité à 120
21:35et mettre en place
21:36une déclaration préalable
21:37il n'y a pas une taxe
21:38de résidence secondaire
21:39qui permet justement
21:40à travers
21:41mais la résidence secondaire
21:42c'est si vous êtes
21:43à plus de 120 jours
21:44quand vous êtes
21:45à moins de 120 jours
21:46c'est pas de la résidence secondaire
21:47donc de fait
21:48vous n'avez pas cette taxe
21:49sur un nombre de cas
21:51mais à l'inverse
21:52c'est ce qu'il ne faudrait pas régler
21:53le problème des impayés
21:54et donner plus de pouvoir
21:55un peu aux propriétaires
21:56qui seront après
21:57très heureux
21:58de pendant un an
21:59deux ans
22:00trois ans
22:01être tranquille
22:02parce que leur bien est lié
22:03ils n'ont plus à aller chercher
22:04à louer
22:05et il n'y a plus besoin
22:06d'aller chercher des locataires
22:07mais quand vous mettez
22:08deux ans ou trois ans
22:09à mettre dehors
22:10un locataire
22:11qu'il faut refaire l'appartement
22:12et que pendant ce temps-là
22:13vous continuez à payer le crédit
22:14je peux vous dire
22:15que vous préférez
22:16faire le Airbnb
22:17c'est plutôt ça
22:18qu'il faut régler
22:20les histoires de propriétaires
22:21qui vont ensuite
22:22louer leur bien
22:23parce qu'ils seront en sécurité
22:24je suis 100% d'accord avec vous
22:25alors l'Etat
22:26avec la garantie Visa
22:27est venu un petit peu
22:28quand même répondre à ça
22:29mais la réalité aujourd'hui
22:30quand vous êtes sur Airbnb
22:31ou d'autres plateformes
22:32vous savez que
22:33vous êtes sur des touristes
22:34donc en général
22:35il n'y a pas de risque
22:36d'avoir une famille
22:37qui va rester
22:38ou va y avoir une expulsion
22:39les sommes sont garanties
22:40par la plateforme
22:41c'est plus souple
22:42objectivement
22:43dans des secteurs
22:44en très forte tension
22:45pour peu que vous ayez
22:46des logements
22:47qui aient des problèmes
22:48de salubrité
22:49mais là c'est de l'exploitation
22:50de la misère humaine derrière
22:51qui aient des problèmes
22:52de diagnostic énergétique
22:53on parle de l'interdiction
22:54ou de l'obligation
22:55de faire des travaux
22:56sur des passoires énergétiques
22:57Airbnb
22:58vous ne l'avez pas
22:59et donc on se rend compte
23:00qu'on a
23:01par une absence
23:02de réglementation
23:03donné un intérêt
23:04objectif
23:05aux gens
23:06qui sont dans des zones tendues
23:07à louer à Airbnb
23:08à des touristes américains
23:09ou japonais
23:10plutôt qu'à des familles françaises
23:11qui n'arrivent pas à se loger
23:12et en plus
23:13avec des problèmes
23:14de conflits d'usage terrible
23:17quand vous êtes sur le secteur
23:18d'Euro Disney
23:19vous avez certains
23:20vous avez certains
23:21non mais en région parisienne
23:22mais on peut prendre
23:23la même chose
23:24sur la côte atlantique
23:25sur la côte atlantique
23:26les gens n'arrivent plus
23:27à se loger
23:28ils sont obligés
23:29d'aller dans les terres
23:30Euro Disney
23:31quand vous avez des immeubles
23:32vous avez jusqu'à 30-40%
23:33de logements au Airbnb
23:34les familles qui veulent
23:35légitimement pouvoir
23:36vivre, habiter
23:37avec leurs enfants
23:38et qui ont
23:39une population de touristes
23:40ce qui n'est pas un mal
23:41mais ça crée
23:42des conflits d'usage
23:43et on a besoin là dessus
23:44de pouvoir
23:45un peu réglementer
23:46un peu réglementer
23:47et mettre un terme
23:48aux disparités qui existent
23:49vous avez vu
23:50Benoît Payan à Marseille
23:51alors moi j'ai découvert
23:52qu'à Marseille
23:5375% des investisseurs
23:54ne sont pas
23:55ne sont pas marseillais
23:56ils investissent
23:57pour louer les logements
23:58et lui il propose
23:59il voudrait imposer
24:00au propriétaire
24:01qui achète un appartement
24:02pour le louer
24:03un Airbnb
24:04de le
24:05de le
24:06de racheter un appartement
24:07et de le louer
24:08sur une longue durée
24:09la problématique est encore
24:10de mon point de vue
24:11plus large
24:12en effet il y a le sujet
24:13d'Airbnb
24:14sur les zones tendues
24:15ça peut être des zones tendues
24:16économiques
24:17c'est à dire de travail
24:18comme des zones tendues
24:19touristiques
24:20le problème n'est plus vaste
24:21la crise du logement
24:22elle est en train de monter
24:23on le voit enquête
24:24après enquête
24:25depuis 2-3 années
24:26et notamment avec
24:27l'explosion
24:28des taux d'intérêt
24:29et que dans ce cadre
24:30la réflexion
24:31elle doit être plus globale
24:32elle doit être plus globale
24:33au sens où
24:34j'y reviendrai peut-être après
24:35sur mon coup de gueule
24:36par rapport au budget
24:37on a un déficit
24:38aujourd'hui
24:39entre la capacité
24:40des actifs et des retraités
24:41à pouvoir investir
24:42dans un logement
24:43on a une problématique
24:44sociale et économique
24:45par rapport au travail
24:46on en parlait à l'instant
24:47hors antenne
24:48des infirmières par exemple
24:49qui peuvent se loger
24:50à proximité de leur travail
24:51et à proximité
24:52de leur emploi
24:53on a un vrai sujet
24:54autour du logement
24:55et cette problématique-là
24:56n'a pas été évoquée
24:57sur les deux précédents
24:58quinquennats
24:59et très peu
25:00sous le quinquennat
25:01de François Hollande
25:02Est-ce que vous savez
25:03qui est le ou la ministre
25:04du logement ?
25:05Oui pour le coup
25:06Valérie Lettar
25:07Vous le saviez ?
25:08Non mais bon
25:09moi je dis ça
25:10parce qu'en plus
25:11c'est une amie
25:12mais c'est quelqu'un
25:13qui a une profession
25:14qui est extrêmement compétente
25:15le problème de Valérie
25:16c'est quel arbitrage
25:17elle pourra obtenir
25:18notamment financier
25:19et politique
25:20dans un contexte
25:21qui est dramatique
25:22Ça nous amène
25:23à votre coup de gueule
25:24Baptiste
25:25qui concerne le budget
25:26Baptiste Fournier
25:27C'était ici une réflexion
25:28ces derniers jours
25:29par rapport au petit chicaya
25:30qu'il y a sur le budget
25:31j'étais déjà venu sur votre antenne
25:32parler du budget
25:33il y a un peu plus d'un mois
25:34on est là
25:35sur le trait de la ligne
25:36à se dire
25:37l'épaisseur du trait pardon
25:38à se dire
25:39bon cette petite taxe-là
25:40on l'augmente
25:41cette petite taxe-là
25:43sur des petites mesures sectorielles
25:44avec un budget
25:45qui répond à une crise
25:46qui est structurelle
25:47mais de manière
25:48on va y répondre
25:49de manière conjoncturelle
25:50on va aller faire
25:51un petit choc fiscal
25:52entre 40 et 60 milliards
25:53selon les analystes
25:54alors qu'on a
25:55un premier ministre
25:56qui a la chance
25:57d'être tenu
25:58par aucun groupe
25:59parlementaire
26:00et par aucune
26:01majorité politique
26:02c'est-à-dire
26:03qu'on a un premier ministre
26:04qui avait les mains déliées
26:05pour une fois
26:06de la politique
26:07et qui aurait pu peut-être
26:08apprendre
26:09avoir le courage
26:10de s'engager
26:11à s'attaquer
26:12à des grandes problématiques
26:13celle de la dépense publique
26:14dont on sait
26:15qu'elle n'explose pas
26:16par ailleurs
26:17elle est juste
26:18simplement stable
26:19et c'est la plus élevée d'Europe
26:20pour ce qui concerne
26:21les français
26:22le rapport
26:23entre les revenus
26:24du capital
26:25et les revenus du travail
26:26qui a dévissé
26:27depuis maintenant
26:28une dizaine d'années
26:29et le rapport
26:30enfin
26:31entre les actifs
26:32et les retraités
26:33puisque si on regarde
26:34les grandes masses
26:35aujourd'hui
26:36l'explosion de la dette
26:37n'est pas liée
26:38à notre déficit public
26:39il est lié
26:40tout simplement
26:41à une explosion
26:42des retraités
26:43dans ce pays
26:44sujet sous-jacent
26:45qui est aussi
26:46un fait inquiétant
26:47en France
26:48en Europe
26:49en Occident
26:50et maintenant au niveau mondial
26:51puisque le Minesco
26:52s'en inquiète
26:53c'est la démographie
26:54pas un sujet
26:55sur les politiques familiales
26:56de natalité
26:57alors que
26:58je me souviens
26:59que le Président de la République
27:00il y a un an
27:01avait parlé
27:02rarement démographique
27:03quelles mesures
27:04sont mises en place
27:05aujourd'hui
27:06que ce soit pour les familles
27:07pour les familles séparées
27:08pour les familles recomposées
27:09pour faire en sorte
27:10que la natalité
27:11reparte à la hausse
27:12dont on sait
27:13que c'est des équilibres
27:14majeurs aujourd'hui
27:15pour financer notre économie
27:16aussi peut-être
27:17apaiser un peu le débat
27:18sur l'immigration
27:19bref
27:20on a un budget
27:21à mon avis
27:22pas pour rien
27:23mais qui va répondre
27:24à minima
27:25à la situation
27:26à laquelle on fait face
27:27et à laquelle notre société
27:28aujourd'hui
27:29est de plus en plus polarisée
27:30faisons des contrats
27:31de consentement
27:32pour un bébé
27:33Jonas sur ça
27:34ce matin j'entendais
27:35Gérard Larcher
27:36qui disait
27:37qui paraphrasait
27:38qu'on ne nous a pas
27:39tout dit
27:40sur le...
27:41oui
27:42non mais
27:43quand même
27:44président du Sénat
27:45imaginez juste
27:46vous imaginez ?
27:47imaginez juste
27:48si les socialistes
27:49à l'époque
27:50avaient laissé une ardoise
27:51de 6,2 de déficit
27:52qu'aurait-on dit ?
27:53qu'aurait-on dit ?
27:54je pense déjà
27:55que quand Michel Barnier
27:56est arrivé
27:57il l'a dit
27:58il l'a dit
27:59je ne m'attendais pas
28:00à une telle situation
28:01deuxièmement
28:02il y a aussi une réalité
28:03c'est qu'il faut
28:04qu'on apprenne un peu
28:05je pense qu'on a eu
28:06une parenthèse
28:08dans laquelle
28:09la frugalité
28:10n'était pas du tout de mise
28:11et en fait
28:12l'idée c'était
28:13le quoi qu'il en coûte
28:14des gilets jaunes au JO
28:15des gilets jaunes au JO
28:16et parfois c'était
28:17le n'importe quoi
28:18qu'il en coûte
28:19c'est-à-dire que
28:20partout
28:21tout le monde
28:22dès que quelqu'un
28:23faisait une petite manif
28:24etc.
28:25on sortait le chéquier
28:26donc ça c'était
28:27un premier souvenir
28:28oui mais est-ce que
28:29vous entendiez
28:30c'est ce qu'a dit
28:31ce matin
28:32Jean-Jacques Bourdin
28:33l'invité politique
28:34qui était la porte-parole
28:35du gouvernement
28:37non non ne payez pas
28:38les magasins
28:39non non ne payez pas
28:40les restaurateurs
28:41est-ce que vous avez
28:42entendu la gauche
28:43est-ce que vous avez
28:44entendu une opposition
28:45c'est exactement
28:46c'est pas mes propos
28:47c'est exactement ce qu'elle a dit
28:48à la gauche
28:49et je trouvais ça intéressant
28:50ce qu'elle a dit
28:51oui mais la gauche
28:52c'est un mouvement
28:53qui réclame
28:54comme disait Kundera
28:55la gauche est un mouvement
28:56donc en fait ça réclame
28:57toujours plus
28:58donc il ne faut pas
28:59se baser sur les demandes
29:00de la gauche
29:01pour voir
29:02qu'est-ce qui a réagi
29:03en revanche le rôle
29:04par exemple
29:05c'est de dire potentiellement
29:06où est-ce qu'on a fait
29:07réellement les économies
29:08et le rapport économie
29:10sur la dépense publique
29:11versus augmentation
29:12des impôts
29:13dans un pays qui est
29:14je le rappelle
29:15le pays le plus taxé
29:16dans le monde développé
29:17n'est pas aujourd'hui
29:18satisfaisant
29:19mais tout le monde
29:20a laissé filer la dette
29:21tout le monde a laissé filer la dette
29:22sans rien dire
29:23mais c'est l'occasion aujourd'hui
29:24de remettre en cause
29:25des politiques publiques
29:26mais s'attaquer
29:27comme le disait Baptiste
29:28quand même
29:29pour qu'on prenne vraiment
29:30les grandes masses
29:31qu'on n'aille pas chercher
29:32le problème par exemple
29:33sur les retraites
29:34dans ce pays
29:35et son financement
29:36c'est l'électoralisme
29:37puisque on sait que
29:38c'est un électorat
29:39aujourd'hui
29:40qui se déplace
29:41qui est majoritaire
29:42et qui fait l'élection
29:43en vérité
29:44donc on ne s'y attaque pas
29:45et la démographie
29:46aujourd'hui
29:47on a une classe politique
29:48de toute façon
29:49qui n'est plus
29:50parent
29:51disons-le
29:52je peux vous citer
29:53à mon avis
29:54la plupart des ministres
29:55aujourd'hui
29:56qui n'ont pas d'enfants
29:57qui ne sont pas confrontés
29:58à la problématique
29:59de la crèche
30:00de l'école
30:01de la séparation
30:02et du financement
30:03c'est-à-dire
30:04qu'on est dans une situation
30:05par ailleurs
30:06et je le rappelle aussi
30:07où il va falloir financer
30:08à nouveau l'armement de ce pays
30:09et notamment peut-être
30:10au niveau européen
30:11parce qu'on est dans une situation
30:12géopolitique
30:13où si Trump est élu
30:14on va être abandonné
30:15entre guillemets
30:16d'une certaine manière
30:17par les américains
30:18bref
30:19on est là
30:20on navigue à vue
30:21on se dit
30:22cette petite taxe-là
30:23pour des raisons locales
30:24elle ne me va pas
30:25donc je m'exprime
30:26on ne s'attaque pas
30:27au grand sujet
30:28et franchement
30:29la situation est déplorable
30:30et il ne s'agit pas là
30:31même pas de la gauche
30:32personne
30:33prend le sujet
30:34à froid
30:35en se disant
30:36comment on fait
30:37pour rétablir
30:38les comptes publics
30:39et améliorer
30:40notre service public
30:41en revanche
30:42je pense que la bataille méthodique
30:43vous avez raison
30:44elle doit être menée
30:45mais que la bataille
30:46de la prise de conscience
30:47elle est quand même là
30:48si on revient
30:49un an en arrière
30:50personne n'avait la conscience
30:51de l'urgence de la dette
30:52et là je trouve quand même
30:53que le gouvernement
30:54a fait oeuvre de pédagogie
30:55peut-être que de pédagogie
30:56et peut-être pas encore
30:57assez d'action
30:58mais de dire
30:59prenons conscience
31:00de l'état de la dette
31:01on aurait dû le faire
31:02après une fois
31:03qu'il y a eu
31:04la dissolution
31:05quand on voit
31:06les votes
31:07LFistes
31:08sur
31:09on va vous donner
31:10plus d'argent
31:11on va remettre
31:12la retraite à zéro
31:13on va mettre tout ça
31:14les gens ont voté
31:15pour ça quand même
31:16le programme du Front National
31:17est exactement le même
31:18qu'un LFI
31:19on est d'accord
31:20c'était à ce moment-là
31:21qu'on aurait dû
31:22parler de la dette
31:23petite pause
31:24et on se retrouve
31:25dans un instant
31:26on va parler
31:27immigration
31:28tout de suite
31:32Sud Radio
31:33le 10h midi
31:34mettez-vous d'accord
31:35Valérie Exper
31:36et il ne faut pas oublier
31:37aujourd'hui
31:38que c'est la fête
31:39de l'entreprise
31:40j'aime ma boîte
31:41opération lancée
31:42par Sophie de Menton
31:43qui vaillamment
31:44promeut effectivement
31:45cette fête
31:46de l'entreprise
31:47c'est important
31:48Sud Radio
31:49est partenaire
31:50un sondage
31:51nous dit que
31:52les français
31:53aiment leur boîte
31:54et c'est vrai
31:55le discours
31:56de Sophie de Menton
31:57est de dire
31:58que l'entreprise
31:59c'est le tissu
32:00le tissu
32:01de la société
32:02je vous vois sourire
32:03non mais c'est important
32:04je vais avoir un propos
32:05un tout petit peu sérieux
32:06parce qu'on va rigoler
32:07un peu en rentaine
32:08sur le côté slogan
32:09des années 80
32:10touche pas à ma boîte
32:11non mais c'est sérieux
32:12mais l'entreprise
32:13est aujourd'hui
32:14le repère
32:15le repère
32:16pour les populations
32:17on a eu
32:18l'église
32:19on a eu
32:20le parti communiste
32:21on a les syndicats
32:22on a les partis poétiques
32:23de manière générale
32:24où il n'y a plus
32:25beaucoup de repères
32:26c'est vrai que l'entreprise
32:27reste aujourd'hui
32:28un facteur de rencontre
32:29un lieu potentiellement
32:30de mobilité
32:31donc de ce point de vue là
32:32il faut absolument
32:33maintenir
32:34une bonne image
32:35de l'entreprise
32:36comme élément
32:37aujourd'hui
32:38important
32:39quasiment central
32:40de la société
32:41enfin dans les récents
32:42sondages
32:43sur le télétravail
32:44c'est plutôt
32:45j'aime mon salon
32:46que j'aime ma boîte
32:47non non mais c'est vrai
32:48c'est à dire que
32:49lorsqu'on décide
32:50et il y a des projets de loi
32:51dans ce sens
32:52d'avoir
32:53maintenant des jours
32:54en moins de télétravail
32:55et que les entreprises
32:56veulent de plus en plus
32:57qu'on arrête le télétravail
32:58et que les employés
32:59retrouvent le chemin
33:00des bureaux
33:01et des entreprises
33:02ils ne veulent plus quand même
33:03alors si vous permettez
33:04juste un vrai rebond
33:05par rapport à ce qui vient d'être dit
33:06le logement
33:07est un angle mort
33:08depuis maintenant
33:09des années
33:10et c'est une politique
33:11qui est extrêmement importante
33:12puisqu'elle touche au quotidien
33:13des françaises et des français
33:14il y en a un autre
33:15c'est qu'on n'a pas réinterrogé
33:16les nouvelles formes de travail
33:17depuis 10 ans
33:18et pour en parler avec
33:19de ça
33:20je vais pas la houter
33:21mais avec Laurent Berger
33:22il y a maintenant
33:233 ans
33:24puisque c'était juste après le Covid
33:25même eux n'avaient pas anticipé
33:26cette explosion du télétravail
33:27donc si vous permettez
33:28juste réinterroger le travail
33:29la mobilité à son travail
33:30le lieu de travail
33:31ce qu'il s'y passe
33:32et autres
33:33je pense que c'est extrêmement important
33:34pour les françaises et les français
33:35non mais c'est vrai
33:36mais on en revient un petit peu
33:37du télétravail
33:38je voudrais dire un mot
33:39dans ce contexte là
33:40quand même
33:41sur un angle mort
33:42de la politique économique
33:43actuellement
33:44dont personne ne parle
33:45c'est l'explosion
33:46du nombre de faillites
33:47on va être
33:48à la fin de cette année
33:49à la fin de cette année
33:50potentiellement
33:51à 60
33:52voire 70 000 boîtes
33:53qui vont fermer
33:54et l'année prochaine
33:55on sera à 80 000
33:56et donc je pense que
33:57dans ce cadre là
33:58si on aime sa boîte
33:59si on aime les boîtes
34:00il faut aussi
34:01qu'on accompagne
34:02les chefs d'entreprise
34:03qui sont aujourd'hui
34:04confrontés
34:05à la fin du PGE
34:06qui sont confrontés
34:07à l'inflation
34:08donc à une consommation
34:09qui est moindre
34:10à l'augmentation
34:11des matières premières
34:12et dans des secteurs
34:13comme la restauration
34:14l'immobilier
34:15les start-up
34:16le textile
34:17actuellement
34:18il y a beaucoup de boîtes
34:19qui ferment
34:20donc aimer sa boîte
34:21c'est aussi faire en sorte
34:22qu'elle puisse continuer
34:23à vivre
34:24à vivre
34:25à vivre
34:26à vivre
34:27à vivre
34:28à vivre
34:29à vivre
34:30à vivre
34:31à vivre
34:32à vivre
34:33à vivre
34:34à vivre
34:35à vivre
34:36à vivre
34:37à vivre
34:38à vivre
34:39à vivre
34:40à vivre
34:41à vivre
34:42à vivre
34:43à vivre
34:44à vivre
34:45à vivre
34:46à vivre
34:47à vivre
34:48à vivre
34:49à vivre
34:50à vivre
34:51à vivre
34:52à vivre
34:53à vivre
34:54à vivre
34:55à vivre
34:56à vivre
34:57à vivre
34:58à vivre
34:59à vivre
35:00à vivre
35:01à vivre
35:02à vivre
35:03à vivre
35:04à vivre
35:05à vivre
35:06à vivre
35:07à vivre
35:08à vivre
35:09à vivre
35:10à vivre
35:11à vivre
35:12à vivre
35:13à vivre
35:14à vivre
35:15à vivre
35:16à vivre
35:17à vivre
35:18à vivre
35:19à vivre
35:20à vivre
35:21à vivre
35:22à vivre
35:23à vivre
35:24à vivre
35:25à vivre
35:26à vivre
35:27à vivre
35:28à vivre
35:29à vivre
35:30à vivre
35:31à vivre
35:32à vivre
35:33à vivre
35:34à vivre
35:35à vivre
35:36à vivre
35:37à vivre
35:38à vivre
35:39à vivre
35:40à vivre
35:41à vivre
35:42à vivre
35:43à vivre
35:44à vivre
35:45à vivre
35:46à vivre
35:47à vivre
35:48à vivre
35:49à vivre
35:50à vivre
35:51à vivre
35:52à vivre
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