• il y a 2 mois
Les Vraies Voix avec Pierre Hourcade, avocat international aux barreaux de Paris, New-York et de Californie.

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##LE_COUP_DE_PROJECTEUR_DES_VRAIES_VOIX-2024-09-16##

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News
Transcription
00:00Hi, it's Donald Trump. Happy birthday to Cecile.
00:03Les vraies voix sur radio, le code projecteur des vraies voix.
00:07Tirs entendus aux abords d'un golf en Floride.
00:11Celui où se trouvait Donald Trump, l'ancien président,
00:14candidat à la présidentielle, vient d'échapper à une deuxième tentative d'assassinat.
00:19Il a aperçu son arme qui dépassait la barrière, dit-il, et il a tout de suite tiré.
00:24Très vite, Donald Trump a réagi.
00:26Il y a eu des coups de feu autour de moi, écrit-il.
00:28Mais avant que les rumeurs ne commencent à circuler, je voulais vous dire ceci.
00:32Je suis sain et sauf, rien ne me ralentira, je ne me rendrai jamais.
00:36La vice-présidente a également réagi sur le réseau X.
00:39J'ai été informée des coups de feu tirés à proximité de l'ancien président en Floride.
00:43Je suis heureuse qu'ils soient en sécurité, écrit-elle.
00:46La violence n'a pas sa place en Amérique.
00:48Une autre tentative d'assassinat qui reflète un climat toxique,
00:5150 jours avant les élections présidentielles.
00:55Une nouvelle tentative d'assassinat présumée contre Donald Trump.
00:58Le FBI a ouvert une enquête.
01:00Après l'arrestation d'un homme hier, le suspect menué d'un fusil d'assaut
01:04se trouvait près d'un golf où jouait l'ancien président.
01:06Il a pu être arrêté avant de passer à l'acte.
01:08Le camp des démocrates dénonce la violence politique.
01:11Est-ce que sa baraka va lui donner une image d'invincibilité ?
01:15Est-ce que Kamala Harris devrait appeler au calme et à cette question ?
01:19La seconde tentative d'assassinat contre Trump peut-elle faire basculer la campagne en sa faveur ?
01:23Vous dites oui à 69%. Vous voulez réagir ?
01:26Le 0826 300 300.
01:28Pierre Hourecard est avec nous, avocat international au barreau de Paris, New York et Californie.
01:32Maître, bonjour, merci d'avoir accepté notre invitation.
01:36Philippe Bilger.
01:38Pour répondre à la question de Sud Radio,
01:42je ne suis pas persuadé que cette tentative d'assassinat
01:46change radicalement la donne présidentielle
01:49dont on ne connaît évidemment pas l'issue.
01:52Je ne sais pas quel est aujourd'hui le favori.
01:55Mais ça faisait un certain temps qu'on avait prévenu Donald Trump
02:00que ses parcours de golf permettaient peut-être
02:04des menaces trop faciles à mettre en œuvre.
02:07Et mon interrogation est la suivante.
02:10Je ne parviens pas à démêler s'il y a dans ces tentatives
02:15renouvelées d'assassinat contre Donald Trump
02:19quelque chose qui relève de l'affrontement véritablement politique
02:24ou si c'est tout ce qui entoure Donald Trump
02:29dans cette atmosphère de violence, de frénésie, d'outrance et d'excès
02:34qui fait que, en quelque sorte,
02:38l'environnement lui-même est frappé par la contagion.
02:41François Zewa.
02:42Je n'arrive pas à mesurer.
02:44Ce que je vois, c'est que la progression de Kamala Harris est spectaculaire.
02:47J'ai vu les dernières cartes sur les intentions de vote
02:50où on sent bien qu'elle reprend le retard et qu'elle passe devant Donald Trump.
02:54Je ne sais pas si cette tentative d'assassinat peut changer quelque chose.
02:59Mon sentiment, c'est qu'il y a une dynamique qui est enclenchée
03:02et que ce sera extrêmement serré entre les deux.
03:05Je m'interroge aussi, comme Philippe Bilger,
03:07sur la capacité à aimanter ce type de...
03:11Mais la tradition politique est violente aux États-Unis.
03:14On oublie l'assassinat d'Abraham Lincoln.
03:16On oublie quand même la tentative de Ronald Reagan.
03:21On oublie absolument, bien sûr...
03:23Je ne pense pas que ce soit nouveau, le climat de violence politique.
03:28C'est aussi ça, les grandes démocraties.
03:30La France n'y échappe pas non plus.
03:31Éric Reuvel.
03:32Oui, bon, ça va être serré.
03:33Il ne faut pas que Françoise prenne sa tendance
03:37à vouloir que Kamala Harris soit élue pour...
03:41Non, non, je regardais les cartes.
03:43C'est énorme.
03:44En réalité, dans les sweepstakes,
03:45les fameux États qui vont faire la décision,
03:47il y en a 3, 4 aux États-Unis,
03:49c'est extrêmement serré,
03:50voire même Donald Trump...
03:53C'est ce que je dis, mais je regarde d'autres choses.
03:55Rien n'est joué.
03:56Maintenant, le climat de violence politique aux États-Unis,
04:00effectivement, ce n'est pas d'hier.
04:02Est-ce que ça peut servir Donald Trump ?
04:05Sans doute.
04:06Ce qui est quand même très inquiétant,
04:08c'est que ces gens arrivent à approcher relativement près
04:11l'ancien président des États-Unis.
04:12C'était vrai pour le sniper.
04:13C'est dingue.
04:14C'est vrai pour le type là, dans son Golfe.
04:15Il y a Biden qui a dit qu'il fallait renforcer...
04:17Non, non, mais c'est incroyable.
04:19Mettre à cette question la seconde tentative,
04:22peut-elle faire basculer,
04:24basculer justement cette élection en sa faveur ?
04:28C'est difficile à dire.
04:29Il y a eu une première tentative d'assassinat
04:31qui avait en effet un petit peu changé les sondages.
04:35Pour en revenir aux sondages,
04:36de toute façon, chaque élection américaine,
04:38comme vous l'avez dit,
04:40les États comme la Californie voteront Kamala Harris, etc.
04:45Ce qui se passe, c'est qu'il y a en effet un climat de violence
04:49qui n'est pas dû à Donald Trump ou d'ailleurs à Kamala.
04:53La campagne est très tendue.
04:55Les enjeux sont importants.
04:57Mais il y a aussi une faillite des services de renseignement,
05:01des services.
05:02Le premier assassinat, c'était quand même un type sur un toit
05:07que personne n'avait vu,
05:09à part les gens qui avaient leurs smartphones.
05:12Là, le Golfe n'a pas le droit de jouer sur son Golfe.
05:17Apparemment, pareil, les Secret Services et le FBI,
05:20puisque le Secret Services,
05:21c'est à peu près 7 000 agents aux États-Unis,
05:23et le FBI, c'est la police fédérale, c'est 40 000.
05:26Mais en l'occurrence, les Secret Services,
05:28il y a une faillite de ce côté-là.
05:30S'ils ne sont pas capables de le protéger,
05:32comme ils ne l'ont pas fait le 13 juillet,
05:36il y a un problème.
05:38Pierre, justement, ça m'intéresse,
05:41parce que je lisais les journaux américains,
05:43mais je ne vois pas les débats télé.
05:45Est-ce que c'est ça le vrai débat aujourd'hui aux États-Unis ?
05:48Je suis d'accord avec ce que dit Eric Revelle.
05:50Comment c'est possible d'approcher aussi près le président des États-Unis ?
05:53Est-ce que finalement, c'est ça qui focalise,
05:55si vous voulez, aujourd'hui la polémique,
05:57après cette deuxième tentative
05:59sur la faillite véritablement de ces services ?
06:02Ça fait partie du débat.
06:04Mais le débat, comme d'habitude,
06:06il porte surtout sur le pouvoir d'achat, l'inflation
06:08et les considérations économiques.
06:11Donald Trump a fait une cinquantaine d'apparitions
06:14de conférences de presse, d'apparitions dans les médias,
06:17pendant que Kamala Harris n'en a fait qu'une ou deux.
06:19Donc il est beaucoup plus exposé
06:22et il a eu l'occasion de rentrer beaucoup plus
06:25dans les détails de son programme.
06:27Kamala Harris, qui fait une campagne qui n'est pas mauvaise,
06:30reste relativement vague.
06:32La violence, comme vous l'avez dit, aux États-Unis,
06:34Gerald Ford avait fait l'objet de deux tentatives.
06:37C'est le nom d'histoire, bien sûr.
06:39Et puis Martin Luther King, et puis les activistes.
06:41Martin Luther King, John Kennedy,
06:44puis son frère Robert President Trump.
06:46Tout ça, c'est lié à l'histoire de l'Amérique.
06:49Je crois qu'on a complètement...
06:51Je ne suis pas ni partisan de l'un ni de l'autre,
06:53mais on diabolise complètement Donald Trump
06:56d'abord dans les médias américains à 95%.
06:59Moi, je regarde CNN, mais heureusement aussi,
07:01je regarde Fox News.
07:03Et dans les médias français,
07:05quand on parle de Donald Trump,
07:07c'est forcément pour le critiquer.
07:09Alors qu'il a été président pendant quatre ans,
07:11ça n'a pas été un dictateur.
07:13C'est quelqu'un qui a rétabli l'économie américaine.
07:16Je me souviens, le Noël,
07:18j'étais intervenu sur un plateau,
07:20il y avait 3% de chômage,
07:22ça veut dire le plein emploi.
07:25Ce dont je m'aperçois,
07:28c'est que la couverture de Donald Trump
07:30est forcément négative.
07:32Je vous en prie.
07:36Autrement dit, vous ne croyez pas
07:38qu'il y a une certaine
07:40intensité de la menace
07:42et de la violence
07:44autour de Donald Trump
07:46parce que c'est lui, au fond.
07:48C'est une continuation
07:50d'une histoire américaine
07:52qui a toujours connu
07:54cette intensité de violence.
07:56Si vous voulez, Donald Trump
07:58est le premier président
08:00qui, la presse aux Etats-Unis,
08:02le Washington Post,
08:04le New York Times,
08:06ont fait défait des présidents.
08:08La nouveauté de Trump,
08:10c'est qu'il a complètement changé la donne
08:12puisqu'il s'est enlevé son fake news
08:14et il a remis en cause
08:16le sérieux, la validité des propos
08:18tenus par les différentes chaînes,
08:20que ce soit CNN,
08:22qui est devenue en 20 ans
08:24une chaîne relativement neutre,
08:26qui est véritablement de gauche
08:28dans l'acception française du terme.
08:30Trump, c'est une bête
08:32de scène, on l'aime ou on ne l'aime pas.
08:34C'est un batteleur,
08:36c'est quelqu'un qui sait tenir
08:38une foule, il n'est pas particulièrement
08:40violent, mais il déchaîne
08:42les passions.
08:44Si elle était surnommée
08:46il y a 8 ans Clinton News Network
08:48parce qu'elle soutenait ouvertement Hillary Clinton.
08:50Non, mais la réalité, bien sûr,
08:52plus que d'ailleurs devant Barack Obama,
08:54elle soutenait Hillary Clinton plus que Barack Obama,
08:56mais la réalité c'est que le clivage est pareil.
08:58Fox News, ça serait CNews ici en France.
09:00Il n'y a rien de neuf sous le soleil.
09:02Moi j'ai une question, est-ce qu'il n'y a pas
09:04une particularité
09:06de Trump, au-delà de ce que vous dites,
09:08sur le Capitole ?
09:10En réalité, c'est cet épisode-là
09:12qui revient en permanence dans les débats.
09:14Parce qu'il y a une forme de tentative
09:16de putsch, et ça c'est quelque chose
09:18qui était tout à fait nouveau aux Etats-Unis.
09:20Alors absolument pas, absolument pas.
09:22Je vais revenir sur le 6 janvier,
09:24dont on parle beaucoup. Ce qui se déplace
09:26le 6 janvier, c'est que l'Amérique
09:28a eu le premier amendement, c'est la liberté d'expression.
09:30Il y a des meetings
09:32qui ont été appelés.
09:34Il y a eu une foule incontrôlable.
09:36Donald Trump est rapidement intervenu.
09:38Je ne vous parle pas de l'idée déroulée, je vous dis
09:40est-ce que ça c'est encore dans le débat ?
09:42Et ça n'était pas une insurrection.
09:44Oui, mais est-ce que c'est encore
09:46dans le débat ou pas ? C'est juste une question que je vous pose.
09:48Je n'arrive pas à mesurer.
09:50Assez peu.
09:52On l'a vu dans le débat avec Kamala Harris.
09:54Elle en a parlé de nouveau.
09:56Mais je pense
09:58que ça a été largement monté en épingle
10:00par les médias
10:02américains et par les médias français.
10:04Mais est-ce que ça veut dire
10:06que ce soit Kamala Harris
10:08ou Donald Trump,
10:12est-ce que ça veut dire qu'ils vont hésiter
10:14aujourd'hui à se mettre à des tribunes ?
10:16Est-ce que ça va changer le cours
10:18de l'organisation
10:20des meetings et des prises
10:22de parole ?
10:24Concernant Donald Trump, je ne pense pas.
10:26Les meetings qui ont suivi
10:28le premier tentative de vaccina, il a été protégé
10:30par une vitre.
10:32Par balles.
10:34C'est fou.
10:36On en pense ce qu'on veut.
10:38Donald Trump est un sacré personnage.
10:40Je ne pense pas qu'il ait véritablement peur.
10:42Il peut y avoir des conséquences psychologiques.
10:44Son homme de 78 ans
10:46qui, à quelques centimètres près,
10:48va lui prendre une balle dans la tête.
10:50Mais vous savez, il l'appelle Teflon Don.
10:52C'est-à-dire Donald en teflon
10:54et qui résiste à tout.
10:56Mais une fois de plus,
10:58je ne prends pas partie.
11:00J'essaie d'avoir une opinion.
11:02J'adore, j'adore.
11:04Je ne prends pas partie.
11:06Moi, je vais prendre partie.
11:08Mais heureusement,
11:10je regarde CNN et heureusement,
11:12je relâche...
11:14Vous aviez raison, Maître,
11:16de souligner le parti pris des médias
11:18américains. On a la même chose
11:20en France et quand vous écoutez les médias français,
11:22il n'y a aucun problème, Mme Clinton
11:24va être élue présidente des Etats-Unis.
11:26Mais là où vous avez raison,
11:28c'est que les médias américains peuvent faire et défaire
11:30assez facilement une candidature,
11:32un profil, une image.
11:34Moi, ce qui me frappe, c'est que le New York Times,
11:36qui est tellement donneur de leçons,
11:38n'a absolument fait aucune enquête
11:40quand ils ont vu l'État se délabrer de Joe Biden.
11:42Le New York Times n'a pas dit
11:44à un seul moment, mais est-ce que Biden est capable
11:46de continuer de gouverner ?
11:48Non, non, non.
11:50Et cette enquête, Françoise,
11:52je pense que les médias dits progressistes
11:54et de gauche se seraient honorés
11:56à faire ce travail de fond et à dire
11:58il y a des mois et des mois que Biden n'était plus capable
12:00de gouverner. Est-ce que c'est votre avis, Maître ?
12:02Ce qui s'est passé avec Biden,
12:04je crois que c'est un peu non,
12:06c'est que Donald Trump, à l'un coup,
12:08il a été poussé, et quand je dis poussé,
12:10c'est un euphémisme, vers la sortie
12:12par les Clintons,
12:14Obama,
12:16et il était devenu
12:18un poids, et donc il a été poussé
12:20vers la sortie. Il est flou de rage.
12:22Il est flou de rage contre
12:24Kamala Harris. Il est flou de rage
12:26contre les Clintons. C'est un
12:28homme respectable, mais
12:30qui déclinait, et qui, comme c'est
12:32souvent le cas, n'a pas voulu voir son dégât.
12:34Le problème, c'est que cet homme, qui est en véritable déclin
12:36intellectuel, est toujours président
12:38des États-Unis, et Donald Trump a eu
12:40beau jeu de le dire pendant le débat.
12:42Où est
12:44Joe Biden ? Est-ce qu'il est à la place ?
12:46Puisqu'ils ont acté
12:48le fait qu'il n'était pas en état de se représenter,
12:50comment se fait-il qu'il soit toujours
12:52président des États-Unis, jusqu'au
12:54mois de janvier ? Il y aura un président élect
12:56le 5 novembre, mais il est
12:58toujours aux commandes. Alors s'il n'a pas
13:00plus les capacités intellectuelles, comment se fait-il qu'il soit encore
13:02président ? Est-ce qu'il ne devra pas, à ce moment-là, démissionner ?
13:04Ou laisser Kamala, la
13:06vice-présidente, prendre les rênes ?
13:08Merci beaucoup, Pierre Wurkad,
13:10avocat international au barreau de Paris, à New York
13:12et en Californie.
13:14Merci beaucoup, Philippe Bilger. Merci
13:16Françoise de Gouin. Merci beaucoup.
13:18Bon anniversaire.
13:20Je ne sais pas si on vous l'a souhaité ou pas.
13:22Non, c'est la première fois.
13:24On en a peu parlé.
13:26Heureusement que vous en avez parlé. C'est fou.
13:28Il n'y aurait pas, je ne sais pas,
13:30le général de Gaulle en IA
13:32pour souhaiter bon anniversaire ?
13:34Louis XIV, Napoléon Bonaparte,
13:36pour être vraiment dans l'hyperbole ?
13:38Non, non.
13:40Vous voulez Philippe David en ersatz ?
13:42J'attends vos cadeaux autour de la table.
13:44Moi, c'est déjà fait.
13:46Ce n'est pas non plus un cadeau.
13:48J'adore.
13:50Merci en tout cas.
13:52Merci pour tous vos témoignages d'affection.
13:54Ça me touche énormément. Merci Philippe Bilger.
13:56Merci Françoise et merci Eric.
13:58On se retrouve demain avec Philippe David.
14:00Dans un instant, on va parler, en tout cas Philippe,
14:02Aurélie Gros et Stéphane Pellet
14:04vont parler citoyenneté.
14:06Avec deux invités, notamment la créatrice
14:08de Sympholien, une sculpture monumentale
14:10exposée à la cité de la musique.
14:12Et on aura également quelque chose d'extraordinaire,
14:14une tablette. C'est Arthur Chazelle
14:16qui l'a mise au point. Une tablette qui permet
14:18aux aveugles et malvoyants, dans les stades,
14:20en audio-description et en toucher de la tablette,
14:22de suivre un match de foot,
14:24de rugby, de basket.
14:26Le tennis, le football américain et le hockey.
14:28On en parle dans un instant.
14:30Soyez les bienvenus. On se retrouve avec Philippe David
14:32demain à 17h. Merci à cette équipe formidable.

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