• il y a 4 mois
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Transcription
00:00Merci d'être avec nous ce matin Thierry Frémont.
00:10C'est une joie, c'est une joie.
00:11On vous accueille avec des cordes, vous vous incarnez Gustave Benoît dans la série Nautilus,
00:16c'est la bande originale qu'on entend.
00:18Avec l'aide de Nemo, un prisonnier, vous construisez le tout premier sous-marin au monde dans cette série,
00:24un bijou de science et de technologie pour la compagnie des Indes orientales.
00:28Dès le premier épisode de Nautilus, changement de plan puisque avec un équipage hétéroclite de prisonniers,
00:33vous volez le Nautilus, vous vous échappez du camp prison anglais qui vous employait
00:38et c'est là que l'Odyssée débute, une Odyssée aussi bien scientifique qu'épique.
00:42Les premiers épisodes de Nautilus diffusés sur France 2 disponibles sur France.tv
00:47ont été regardés en tout par plus de 3 800 000 personnes.
00:51Et en 800 000 en replay, donc c'est plus de 3 800 000, c'est énorme.
00:56Je vous rajoute au succès, il y a beaucoup de monde, c'est une série qui est très réussie,
01:00qui est vraiment pour toute la famille.
01:01On entend donc cet extrait de la bande originale composée par Naïnta Dezey.
01:05Ce Gustave Benoit tiré fraisement avec sa barbe.
01:08En fait, il a changé de nom, il s'appelle Benoit Gabriel.
01:10Parce qu'on l'appelle Benoit dans la série, on ne l'appelle pas par son nom de famille.
01:14Il s'appelle Benoit Gabriel.
01:15Benoit Gabriel.
01:16Qu'est-ce que vous vouliez dire ?
01:17C'est l'alter-ego de Jules Verne.
01:19Pour moi, c'est la figure qui représente Jules Verne dans la série.
01:22Parce que Xavier Marchand, le producteur, qui est français, mais qui a toujours fait sa carrière à Londres,
01:28voulait rendre hommage aux génies français,
01:30qui, c'est vrai, au 19ème siècle, a fait avancer techniquement beaucoup de domaines.
01:35Que ce soit la photo avec Nadar, l'architecture avec Eiffel, le cinéma, les Frères Lumière, l'aviation, etc.
01:42Les génies français de cette époque ont vraiment participé à l'évolution technique à plein de niveaux.
01:50Et souvent, c'était des barbus !
01:52Ils avaient des looks un peu artistiques quelque part.
01:55C'étaient des artistes de la technique.
01:59Moi, je me suis inspiré de ça pour faire le personnage.
02:01Et c'est vrai que Jules Verne, dans la série, je le représente quelque part.
02:05C'est pour ça que Xavier Marchand voulait que l'inventeur, créateur du Nautilus que je joue, Benoit Gabriel, soit joué par un acteur français.
02:12Oui, parce que la particularité de ce tournage, de la production, c'est que c'est une série internationale.
02:18C'est surtout britannico-américain, puisque c'est Disney Plus qui a produit la série.
02:24Et vous jouez en anglais ?
02:26Je joue en anglais. Pas en France, parce que la série, je l'ai doublée aussi en français pour le public français.
02:30Mais à la base, on l'a tournée en anglais.
02:32Vous doublez vous-même ? C'est drôle ?
02:35C'est le pied-jeu.
02:37C'est le pied-jeu, parce que souvent, quand on joue en anglais, on a des impulsions, des stretches sur des mots qui ne sont pas forcément les mêmes en français.
02:45Et on peut avoir la tendance de le reproduire en français, ce qui est une erreur.
02:49Donc il faut un peu oublier ce qu'on a fait totalement en anglais pour retrouver la sincérité de sa langue.
02:53Thierry Fremont, dans Nautilus, parmi les aventures que vivent les personnages, aventures amicales, amoureuses, familiales,
02:59il y a aussi cette aventure biologique également.
03:02On plonge avec le Nautilus à la découverte de la faune, de la flore, pas forcément réelle.
03:06Benoit Gabriel est un amoureux, la série et lui-même sont écologistes.
03:12Benoit Gabriel est un écologiste avandeur. Il aime la beauté de la création, qu'elle soit animale, végétale, humaine.
03:20Il aime tout ce qui a été beau et créé sur la planète par la nature.
03:26Donc il a un respect immense et surtout, il voulait la découvrir depuis longtemps.
03:29C'est pour ça qu'il a voulu aussi construire ce sous-marin avec Némo et tous les autres.
03:33C'est découvrir encore le dernier domaine à explorer qui sont les abysses.
03:39D'ailleurs, ça fait appel aussi, on voit des animaux réels, en disant existants.
03:44Il y a un bestiaire intéressant.
03:46Oui, c'est ça. Il y a des baleines, des cachalots.
03:48Il y a des créatures même plus ferventes.
03:51Oui, il y a des espèces de gros serpents, des gros varans.
03:55La série, c'est une série fantastique.
03:57Il y a de l'aventure, il y a des choses haletantes, qui font un peu peur.
04:03C'est comme dans les oeuvres de Jules Verne.
04:05Ça reste en même temps pour les enfants et les grands-enfants.
04:08Et donc, il y a beaucoup d'effets spéciaux aussi.
04:10C'est une série, on l'a tournée.
04:12Il y a eu 200 jours de tournage, 40 jours après une seconde équipe pour tous les effets spéciaux.
04:18Donc oui, il y a eu beaucoup d'effets spéciaux pour imaginer que ce soit l'entièreté du sous-marin.
04:23Même si le décor naturel en Australie est magnifique, puisqu'on a tourné en Australie.
04:28Il y a plein d'îles magnifiques, mais qu'il a fallu compléter avec des images.
04:32Et puis le bestiaire qu'il a fallu créer en images numériques.
04:35Ça a été un énorme travail.
04:37Il y a eu 14 mois de post-production.
04:39C'est long.
04:40C'est beaucoup.
04:41Ça raconte l'exigence et le souffle qu'a cette série.
04:47Jean-Philippe ?
04:48Vous disiez que ça a été tourné en Australie, dans les studios où a été tourné Pirates des Caraïbes.
04:52Et Aquaman.
04:53Et pourquoi ce studio qui est le Village Roadshow ?
04:56Parce que c'est un des rares studios au monde où il y a un hangar.
04:59Un des studios qui est une énorme piscine dans lequel on peut plonger des décors entiers.
05:03On en avait besoin pour tout ce qui était scènes maritimes pour le Nautilus.
05:08Et aussi pour la création de l'Atlantide, qui est le deuxième rêve absolu de Benoît Gabriel.
05:15L'Atlantide dans cette série de France 2 Nautilus.
05:18On continue d'en parler avec notre invitée dans le Club de l'été sur Europe 1.
05:21Thierry Frémont, on se retrouve dans quelques secondes.
05:23Europe 1, le Club de l'été.
05:26Et Jean-Philippe Longo qui m'accompagne.
05:28Le Club de l'été sur Europe 1 avec notre invité, le comédien Thierry Frémont.
05:31On parle d'aventures, de paysages marins fantastiques, de navigation, de Jules Verne,
05:35de la nouvelle série France 2 Nautilus dans laquelle vous jouez Benoît.
05:39On a aussi envie d'évoquer certains de vos rôles également Thierry Frémont.
05:43Et notamment le rôle de Jésus qui a marqué toute une génération.
05:48Tu vas chercher Marie ?
05:50J'ai la fonce.
05:53On finira la semaine dernière ?
05:55Quoi la semaine dernière ?
05:56Mais non, on finira demain.
05:58Demain, demain, c'est pas aujourd'hui demain.
06:00Si je remettais tout à demain, ça serait le bordel.
06:03C'est sûr que vu ton gros fauteuil pourri, le Ricard, ça fond plus vite que la ferraille.
06:07Plus que ça fonde, t'as qu'à bouger l'oignon.
06:10Le quoi ?
06:11Le quoi ?
06:14Vite temps l'annouc !
06:16Un autre de vos rôles, Jésus qui a marqué votre carrière dans les démons de Jésus en 1997.
06:22Thierry Frémont, comment s'est déroulé cette rencontre avec le réalisateur des démons de Jésus, Bernie Bonvoisin, de Trust ?
06:27On s'était rencontrés sur une série qui était produite par Canal+, qui s'appelait Le Gang des Tractions.
06:31Il avait un des rôles récurrents, un des flics.
06:33Et puis moi, j'étais venu faire le héros d'un des épisodes.
06:36Un boxeur qui s'appelle Kid Maurice.
06:38Et puis moi, j'ai voulu dire tout de suite à Bernie, avant qu'on trahisse ensemble,
06:41il faut que je te dise, moi j'étais fan de Trust !
06:43Dans ma chambre, il y avait des paroles d'une de tes chansons en particulier que j'adorais,
06:46qui s'appelait H comme hôpital.
06:48J'ai voulu lui dire pour être à l'aise, pour pouvoir faire le comédien avec lui.
06:51Puis après, on est venus très amis, puis on a parlé de rock et de hard rock et de musique.
06:56Et puis là, il a commencé un jour à me faire lire des choses,
06:59et puis jusqu'au jour où il m'a fait lire un scénario, il m'a dit, tiens, ça t'intéresse ?
07:03Je lui ai dit oui.
07:04Il m'a dit, c'est pour toi, je l'ai écrit pour toi.
07:06Et donc ça a commencé comme ça, c'était magnifique.
07:09On était tellement contents de faire ce film.
07:12Même si c'était une aventure, au début, on avait zéro monnaie,
07:14on avait juste l'argent de canal, je crois, on avait très peu d'argent.
07:19Donc ça a serré les coules, on était tous comme un commando,
07:23prêts à faire le film pour ce petit budget.
07:25Puis l'argent est arrivé grâce au Rush, à la vision des Rush,
07:28d'autres gens sont venus alimenter le projet.
07:31Et à l'arrivée, on était tellement heureux de faire ce film,
07:34avec des dialogues percutants, un imaginaire visuel aussi savoureux,
07:39des comédiens super.
07:43Moi, ça reste un souvenir fantastique.
07:46Et puis le film est devenu un film de culte.
07:48Il y a des gens qui m'arrêtent dans la rue, qui me sortent des salles,
07:50je ne sais plus quoi.
07:51On bline toute la semaine, il va ressortir les répliques.
07:54Bernie pour Voisin Trust, pour se remettre dans l'oreille.
08:02C'est impressionnant quand même de jouer avec une idole, non ?
08:05Oui, c'est pour ça que j'ai eu besoin de lui dire tout de suite,
08:08pour qu'après, on soit normaux.
08:11On évacue !
08:12C'est ce qu'avait fait James Dean, quand il avait fait Géant avec Elisabeth Taylor.
08:16Comme il était très impressionné,
08:18le plus impressionné face à elle, ce n'est pas ce que j'ai fait,
08:20mais lui, il avait fait pipi face à elle.
08:22Pour se dire, si je peux faire pipi face à elle,
08:24après, je peux jouer la comédie avec elle.
08:26Parfois, on a besoin de faire quelque chose ou de le dire,
08:29pour après se retrouver dans une situation normale avec l'individu ou le féminin.
08:34C'est des bonnes techniques, Jean-Philippe.
08:36Il y a un autre registre dans lequel vous avez bluffé les téléspectateurs,
08:38dont je fais partie.
08:39C'est le rôle du tueur en série Francis Solme,
08:41dans le téléfilm Dans la tête du tueur.
08:43Comment on se prépare à ce genre de rôle ?
08:46Il faut du temps, déjà.
08:47C'est vrai qu'il fallait le préparer physiquement.
08:51Il fallait, je trouve, le moyen de me rapprocher physiquement le plus près possible de lui,
08:54parce que c'est vrai qu'il a marqué aussi le public par son physique particulier.
08:58Après, j'ai eu la chance d'être épaulé par le profiler qu'il a arrêté,
09:03qui s'appelle Jean-François Abgral,
09:05qui est un super mec et un super profiler,
09:08qui travaillait pour la gendarmerie à l'époque,
09:10et qui m'a donné beaucoup de son temps pour aider à préparer le personnage.
09:14Jean-François, je l'appelais, il venait de Rennes,
09:17il prenait la voiture, il venait chez moi, je lui jouais les scènes.
09:19Il me disait, non, ça tu ne peux pas le faire, parce qu'il ne réagit pas comme ça, Francis.
09:22Là, oui, ça tu peux le faire.
09:24Il me donnait tous les...
09:26parce que c'est lui qui l'a interrogé et qui l'a mis à jour,
09:30c'est-à-dire le céréauculeur.
09:32C'est-à-dire qu'il savait exactement ce qu'il fallait faire pour bien le présenter.
09:38Et ça vous a valu un Emmy Awards ?
09:40Oui, j'ai eu la chance que ce chemin de misère m'amène beaucoup de bonheur,
09:45et c'est vrai que l'Emmy Awards, je suis le premier Français à l'avoir eu,
09:48et j'étais totalement razé.
09:50C'est les récompenses de la télévision américaine.
09:52J'aime bien les acteurs, les américains.
09:54J'aime bien le travail d'acteur.
09:55Et pour s'en détacher, j'ai lu dans une interview,
09:57vous avez déclaré que vous vous étiez rasé la tête.
09:59Je m'étais rasé la tête pour avoir une perruque,
10:01parce qu'il avait une implantation particulière, Francis.
10:05En plus d'avoir un humour particulier...
10:13Acteur sur grand écran et petit écran aussi, Thierry Frémont,
10:18mais aussi vous êtes à l'affiche de la pièce Le Repas des Fauves,
10:23les planches, qui s'apprêtent à partir en tournée dans toute la France
10:26dès janvier 2025, c'est un huis clos.
10:28Le Repas des Fauves, un dîner d'amis sous l'occupation allemande
10:31pendant la Seconde Guerre mondiale.
10:33L'ambiance devient pesante lorsqu'un SS est assassiné
10:38en bas de l'immeuble en guise de représailles.
10:40La bande d'amis va avoir quelques heures seulement
10:42pour choisir deux otages parmi eux.
10:44Vous incarnez des personnages lambda ordinaires
10:48confrontés à des questions humaines très difficiles.
10:52C'est vrai que dans Le Repas des Fauves, c'est le cas.
10:54C'est André, un bon vivant, mais on sent qu'il achète ses amis
10:58en leur offrant plein de victuales pendant l'occupation.
11:01Parce que lui, il fait du business avec les Allemands,
11:03il n'a pas de problème moral avec ça.
11:05Là, ils vont être confrontés au fait de sauver leur peau.
11:09C'est un portrait de l'humanité qui est terrible.
11:12Dès que la survie est en jeu, les bonnes manières partent en fumée
11:17en une fraction de seconde, chacun pour sa peau.
11:20Et là, lui, il est vraiment mon personnage André.
11:22En plus, il est vraiment prêt à tout pour ne pas mourir.
11:24Et la question, si j'avais été à leur place, comment on aurait vu ?
11:27C'est ce que les gens se posent comme question en voyant le spectacle.
11:29C'est-à-dire, moi, je suis lequel parmi ces sept amis ?
11:32Je suis lequel ? Je suis le plus pourri ? Je suis le moins pourri ?
11:34Mais ils sont tous un peu pourris.
11:36En même temps, ils ne sont pas pourris, ils sont humains.
11:38Quand on est humain, on n'a pas envie de mourir.
11:40Les gens, en tout cas, se posent la question
11:42en se disant, est-ce qu'on serait plus digne qu'eux ? Pas sûr.
11:45Jean-Philippe ?
11:46Il y a aussi la question de la culpabilité, de la responsabilité, dans cette pièce.
11:51C'est-à-dire ?
11:53La culpabilité des personnes qui doivent choisir quelqu'un ?
11:56Oui, oui, oui.
11:57Et puis surtout, ce rôle, votre rôle aussi, je ne sais pas, c'est compliqué.
12:02La responsabilité de prendre quelqu'un, de vendre quelqu'un.
12:04Eux, ils ne sont pas dans rien, dans l'absolu,
12:05puisque ce n'est pas eux qui ont exécuté les deux officielles avis à l'extérieur.
12:08Mais là, par contre, ils ont une responsabilité,
12:11c'est celle de choisir deux amis par jeu, parmi eux,
12:13pour les envoyer au peloton.
12:16Mais là, la culpabilité, ils n'en ont aucune.
12:18Comment ?
12:19Il faut sauver sa peau.
12:20C'est toi qui va y aller, et toi, pas moi.
12:22Aucune culpabilité.
12:24Est-ce que vous avez la sensation de raconter, d'une certaine manière, la grande histoire ?
12:27Mais c'est toujours ça qui est intéressant.
12:29Pour raconter la grande histoire, il faut partir d'une micro-histoire.
12:32Et là, ça devient universel.
12:33Quand on veut faire un sujet, d'ailleurs souvent,
12:35même que ce soit les films, les pièces,
12:37on va raconter l'universel tout de suite, ça ne marche pas.
12:39Non, pour raconter l'universel, il faut partir d'un point,
12:41au contraire, extrêmement ténu et très précis,
12:44qui va forcément refléter la situation universelle du moment.
12:49Je crois.
12:50La pièce de théâtre, Le Repas des Fauves, qui était à Paris,
12:52donc qui part en tournée à partir de 2025.
12:55Quelques dates, il y en a beaucoup, alors juste quelques-unes.
12:5811 janvier à Cannes, 29 janvier à Levallois-Péret,
13:0014 mars Biarritz, 25 mars Fréjus.
13:03Vous serez de retour en région parisienne en mai à Versailles.
13:07En tout cas, ce sont les dates que nous avons, peut-être que ça continuera.
13:10Je ne sais pas.
13:11Moi, je serai aussi en tournage à ce moment-là, donc ça va être un peu...
13:13Il va y avoir plein de choses.
13:15Entre le cinéma et le théâtre, vous arrivez à vous organiser ?
13:19J'essaie de prendre les beaux sujets où ils sont.
13:20Moi, je n'ai pas de problème avec le vecteur.
13:22Alors après, il faut faire des choix, il faut que ça se cale bien.
13:25Mais je ne vais pas me plaindre parfois d'être trop sollicité.
13:31Parce que parfois, on n'est pas sollicité du tout.
13:33Il y a des moments où c'est moins fun.
13:35Thierry Frémont, dans Le Repas des Fauves,
13:37la pièce de théâtre également dans la série de France 2,
13:39à notre invité Thierry Frémont pour parler de la série Nautilus.
13:44Vous êtes dans un certain nombre de registres,
13:47le théâtre, Thierry Frémont, le ciné, les séries.
13:50Est-ce qu'il y a un genre que vous préférez particulièrement ?
13:52Non, non, non. J'aime tous les vecteurs.
13:54Mon travail au théâtre nourrit mon travail à l'image.
13:56Mon travail à l'image nourrit mon travail au théâtre.
14:00Oui, c'est ça.
14:01À chaque fois, je grandis, j'avance, je vieillis.
14:04Vous vieillissez comme nous tous.
14:05Avec ces expériences diverses.
14:07Non, j'affectionne tous les projets.
14:10Tous les rôles.
14:11Quand ils sont de qualité, évidemment.
14:13Et des rôles très éclectiques.
14:14On a pu en parler depuis 9h dans ce club de l'été,
14:17grâce à vous, Thierry Frémont.
14:19Je rappelle que vous serez au théâtre,
14:21Le Repas des Fauves, en tournée, dès 2025.
14:24Vous serez aussi dans le film La Start-Up, en 2025.
14:29Également, le film de Gilles Graveleau.
14:31Et on aura l'occasion, j'espère, d'en reparler avec vous sur Europe.
14:34J'espère aussi.
14:35Et puis sur France 2 et France.tv, la série Nautilus.
14:38Les 4 derniers épisodes seront diffusés lundi.
14:41L'intégralité de la série est déjà disponible sur France.tv.
14:443 800 000 personnes pour les premiers épisodes.
14:47C'est un beau succès, Nautilus.
14:49Merci beaucoup, Thierry Frémont, d'avoir été avec nous sur Europe 1.
14:52C'est un plaisir de parler d'une série que j'adore et qui marche.
14:56Et qui fonctionne pour tous les publics, surtout.
14:59C'était vraiment un plaisir de regarder Nautilus
15:01et c'était un plaisir de vous recevoir sur Europe 1.