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NewsTranscription
00:00Merci d'être avec nous. Jacques Weber, alors c'est un peu le début des vacances pour vous, parce que vous venez de terminer les représentations de Rangée.
00:07Oui, mais j'appréhende toujours ce moment. On a ce que l'on appelle, lorsqu'on finit de jouer sur une pièce qu'on a aimée,
00:15ce qui est très souvent mon cas, ce que j'ai la chance de pouvoir choisir maintenant.
00:20On a le Baby Blues, un truc très très fort au début, j'y croyais pas.
00:27Et très honnêtement, c'est quelque chose de très très fort qui vous atteint. Il y a même eu des acteurs célèbres, je pense,
00:32à des gens comme Gérard Dessartes qui jouent en Hamlet avec Patrice Giraud. Après, c'est retrouvé, pour Pergunte, l'épisode,
00:38c'est trouvé carrément en dépression, mais au sens clinique, il faut aller à l'hôpital. C'est très très bizarre.
00:43Ça vous le fait à chaque fois ?
00:44Je ne me plains pas, je ne me plains pas du tout, ça fait partie du jeu.
00:47Et c'est vrai que même physiologiquement, il y a une sorte d'épuisement, de vide, il manque quelque chose, comme je pense.
00:54Et de décompression aussi.
00:56Ça peut durer combien de temps ? J'imagine que ça dépend de la personne.
00:59Ça se remet assez vite quand même, parce qu'il y a d'autres projets.
01:02Oui, c'est ça, il faut enchaîner avec autre chose.
01:04Voilà, puis moi, j'en mets tout de suite en route, c'est ma nature. Puis je marche beaucoup, ça fait beaucoup de bien.
01:09Alors, ça le fait à chaque fois ou uniquement quand ce sont des pièces de Pascal Rambert qui vous correspondent ?
01:14Oui, oui, celle de Pascal Rambert. Non, ou des rôles énormes comme le Roi Li.
01:18Moi, j'ai eu la chance, vraiment la plupart du temps, à part une ou deux expériences comme toujours, dans toutes les carrières malheureuses,
01:24j'ai toujours eu la chance de côtoyer des grands intéressants et des rôles magnifiques.
01:29Le Roi Li avant Rangers, c'est quand même pas mal, ce sont des rencontres énormes.
01:35C'est vrai que ça touche, et puis alors non, la grande catastrophe après Cyrano.
01:43Là, c'était vraiment le grand, grand, grand, grand trou.
01:46Mais en même temps, voilà, tout rêve et tout plaisir à M. Robert de Médaille, bien sûr, c'est normal.
01:52Pour les auditeurs qui n'auraient pas suivi, vous avez donc joué 80 représentations de Rangers, un seul en scène de Pascal Rambert, qu'il a écrit pour vous.
02:01Pas tout à fait seul, puisque c'est ça qui était très important et très touchant, et sans doute même la clé de voûte du spectacle.
02:07Je parlais à une femme que j'avais perdue, qui était décédée il y a un an, et elle est en photo.
02:13Et ce que j'ai trouvé très étrange, alors je ne suis pas du tout quelqu'un versé vers l'occultisme ou les mondes parallèles,
02:21mais réellement, c'est vrai qu'au bout d'un moment, à force de parler à cette photo, entre très grosses guillemets, elle se mettait en vie.
02:29Et donc, c'était beaucoup plus un dialogue qu'un monologue, puisque le monologue, comme vous le savez, est adressé à vous.
02:35C'est-à-dire, je vous livre mon intérieur, quoi.
02:38Dans le dialogue, je parlais vraiment avec elle, qui était là, et petit à petit, elle était en vie, c'était très troublant.
02:45Nous, en tant que public, on a l'impression de l'entendre, cette femme à qui vous parlez, parce que quand vous lui dites, dès le début,
02:51tu vois, je me suis habillée comme tu aimais que je m'habille, etc., on a l'impression qu'elle acquiesce, qu'elle est heureuse.
02:57Il y a quelque chose qui prend vie, effectivement, avec cette photo.
03:02Une fois de plus, parce qu'il a un immense talent, pour ne pas dire génie, c'est Pascal Rambert,
03:07qui, je le rappelle, parce que c'est quelqu'un qui n'aime pas trop les interviews, la publicité, qui est assez en retrait,
03:13mais c'est un des auteurs les plus joués au monde, de théâtre contemporain, au monde !
03:19Il est joué dans le monde entier, et c'est une reconnaissance totalement légitime.
03:23D'ailleurs, je vais remettre le couvert à l'écran.
03:25Ah, justement, j'allais vous demander, parce que c'est fraternel, entre vous.
03:27Parfois, dans une pièce chorale, entourée de gens que j'adore, avec, une fois de plus, Nordet, Audrebonnet,
03:35il y a des gens magnifiques qui sont annoncés, ça va être Anne Brochet...
03:41Et ça, c'est pour quand, la nouvelle pièce de Pascal Rambert ?
03:43C'est dans un an et demi, ou un truc comme ça.
03:45Là, il ne faut jamais me demander l'état.
03:47Je sais qu'on va jouer au Théâtre de la Ville, qu'on va jouer au Festival de Montpellier.
03:51Et ça, je suis ravi de retrouver une pièce chorale.
03:53J'allais dire autre chose, mais je n'avais pas le droit de le dire.
03:57Ah, il y en a un !
03:59Vous en avez trop dit !
04:01On a un défi, on va essayer de faire dire à Jacques Weber ce qu'il n'a pas le droit de dire avant 11h.
04:05Vous allez voir, Jacques Weber, on va savoir...
04:07Olivier Boutin, c'est ça !
04:09Si vous voulez déguster...
04:11Si vous voulez déguster ce qu'elle veut à nous ramener, Olivier Pouls, vous serez obligé de nous le dire.
04:15Est-ce que c'est véritablement fini, Angers ?
04:17Ou est-ce qu'on pourra encore le voir d'une autre façon ?
04:19Je suis à peu près sûr.
04:21Il y a des producteurs dignes de ce nom.
04:27Des gens de qualité, qui sont très enthousiastes par le spectacle.
04:31Et qui, je pense, vont remonter tournée nationale, européenne, voire internationale.
04:37Donc ça serait tout à fait...
04:39Je serais fou de joie de retrouver ce rôle,
04:41car comme vous le savez sans doute,
04:43beaucoup de comédiens ont dû vous le témoigner,
04:45plus on vieillit,
04:47plus le rôle s'enrichit,
04:49plus on dit dans notre jargon,
04:51plus il descend en nous.
04:53Et ça, c'est très agréable,
04:55de retrouver un rôle.
04:57Alors ça, c'est une bonne nouvelle pour les auditeurs d'Europe 1
04:59qui n'auraient pas vu Angers et qui avaient perdu espoir.
05:01Il y a peut-être un petit espoir
05:03et on aura l'occasion d'en reparler sur Europe 1.
05:05On va aussi parler écriture,
05:07parce que dans quelques jours, vous filez
05:09dans les Alpes pour écrire.
05:11On va parler de tout ça et puis on va rejoindre
05:13dans un instant un auditeur. Parce que vous savez que tous les matins,
05:15les auditeurs nous appellent pour partager
05:17avec nous, l'équipe du Club de l'été
05:19et avec nos invités,
05:21leur bon coin, leurs bonnes adresses
05:23en France, là où ils aiment aller.
05:25Et on va partager cela. Dans un instant,
05:27c'est le Club de l'été de Jacques Weber, jusqu'à 11h sur Europe 1.
05:29Europe 1,
05:31le Club de l'été.
05:33Soyez les bienvenus dans ce Club de l'été
05:35qui est votre Club de l'été avec
05:37Héloïse Goy, Julien Cushnet et notre
05:39invité ce matin, Jacques Weber.
05:55Cette chanson de Charles Aznavour que vous fredonnez,
05:57Jacques Weber.
05:59Elle est dans la pièce rangée.
06:01Vous esquissez même quelques petits pas de
06:03dansant sur scène.
06:05Sur le streamer,
06:07voilà,
06:09sur le strangler.
06:11Je connais rien, moi je dis strangler.
06:13Un jour je vais à une fête, on me dit, t'as vu, t'as vu,
06:15il y a Bruno. Je dis, c'est qui ?
06:17On me dit, mais enfin, arrête de déconner.
06:19C'est U2, mais je dis, c'est quoi U2 ?
06:21Vous croyez que c'était la bande à Bono ?
06:23Je ne comprenais pas.
06:25J'ai des lacunes.
06:27Je crois savoir que vous avez eu
06:29très récemment
06:31une découverte musicale qui s'appelle Francis Cabrel.
06:33Vous l'avez découvert
06:35bien après tout le monde.
06:37Entre très après.
06:39Si c'est la semaine dernière, oui c'est très après.
06:41Alors qu'il lui est un ami d'enfance.
06:43Et qui je trouve, d'ailleurs, il va jouer bientôt.
06:45C'est un cadeau pour nous tous.
06:47Elle a fait...
06:49Philharmonie.
06:51Et j'ai vu
06:53ses derniers concerts, c'est une merveille.
06:55J'en parle parce qu'on en...
06:57Lui aussi est très réservé.
06:59Mais sa qualité de conseil
07:01est absolument exceptionnelle. Pourquoi ?
07:03Parce qu'il n'essaie pas de cacher son âge.
07:05Il joue lui aussi
07:07main en bas, descendu. Il chante
07:09de mieux en mieux.
07:11Comment de mieux en mieux ? Parce qu'il chantait déjà très bien.
07:13Et c'est lui qui m'a fait
07:15connaître énormément de gars.
07:19Des chanteurs que je ne connaissais pas du tout.
07:21Que je trouvais absolument magnifiques.
07:23Mais Francis Cabrel, vous l'avez découvert quand ?
07:27Excusez-moi, M. Cabrel,
07:29parce que j'ai une admiration pour vous énorme désormais.
07:31Mais je...
07:33Je ne savais pas que c'était le mec qui disait
07:35l'encre de tes yeux.
07:37J'entendais ça.
07:39Vous l'aviez déjà entendu.
07:41C'est beau.
07:43Il n'y a qu'un truc que je n'aime pas, c'est son truc sur la...
07:45Enfin, je n'aime pas, je veux comprendre.
07:47Mais sur la corrida, parce que
07:49je n'aime pas les...
07:51Enfin bon, bref, c'est un vieux débat.
07:53J'aime la corrida profondément.
07:55Je sais que ça fait
07:57horreur à énormément de gens.
07:59D'ailleurs, je pense que ça va disparaître bientôt.
08:01Et c'est vrai que les textes un peu polémiques autour
08:03me gênaient toujours un peu.
08:05Parce que j'avais envie qu'on en discute plus qu'autre chose.
08:07C'est un des textes
08:09les plus engagés de Francis Cabrel.
08:11C'est vrai que c'est un des seuls, d'ailleurs.
08:13C'est pas que c'est un modéré, pas du tout.
08:15C'est quelqu'un de discret, d'élégant,
08:17qui a cette distance magnifique comme ça.
08:19C'est beau, c'est très beau.
08:21Alors, on parlait de cette chanson de Charles Aznavour,
08:23quand il y a des chansons dans des pièces comme ça,
08:25aussi importantes que celles de Ranger,
08:27vous arrivez à les réécouter après ?
08:29Ou quand la pièce est terminée, là aussi, côté musique ?
08:31C'est-à-dire qu'elles sont définitivement imprégnées
08:33des souvenirs de chaque représentation.
08:35Mais c'est vrai
08:37qu'Aznavour, c'est à découvrir et redécouvrir.
08:39Moi, au début,
08:41je trouvais ça
08:43un peu photocastone, vous vous souvenez ?
08:45La phototype classique.
08:47Mais il savait faire génialement.
08:49Il savait raconter en trois minutes
08:51génialement un truc hyper classique
08:53mais c'était bien foutu.
08:55Et c'est vrai que quand on réécoute d'abord, il chante
08:57comme très peu de gens.
08:59Il a un swing, il a une justesse absolument
09:01extraordinaire.
09:03Et puis, très honnêtement, il y a quand même
09:05plus d'une chanson qui sont quand même sublimement
09:07foutues dans celle-là.
09:09Et encore, c'est merveilleux.
09:11Et quand je l'entendais en scène, c'était pour moi
09:13extraordinaire. C'était un moment de repos
09:15total. Et en même temps, je réécoutais,
09:17j'étais totalement ému.
09:19Et encore, j'avais 20 ans...
09:21C'est un moment très émouvant
09:23dans le spectacle.
09:33Et c'est un bonheur de passer
09:35la matinée avec vous sur Europe 1 tous les jours
09:37de 9h à 11h avec Héloïse Gouin.
09:39Ça passe déjà trop vite.
09:41Peut-être qu'on peut vous demander
09:43de rester là toute la journée, Jacques Léber ?
09:45Ça dépend avec qui. Avec vous, oui.
09:47Il y a Olivier Pouls aussi qui a
09:49des choses avec lui.
09:51Bonjour, Olivier.
09:53Bonjour, Anissa.
09:55Vous êtes venus les bras chargés
09:57de choses qu'on adore.
09:59Et vous verrez tout à l'heure pourquoi je me suis levé
10:018 minutes 50 plus tôt ce matin.
10:03Ah, il y a une raison bien précise.
10:05C'est vrai que je me trouvais un peu plus fatigué.
10:07Pas 9 minutes, 8 minutes 50.
10:09J'ai hâte qu'il nous explique
10:11tout ça.
10:13Julien Pichenay, ça va toujours ?
10:158 minutes 50, c'est le temps de cuisson d'un oeuf dur.
10:17J'imagine qu'il y a des oeufs.
10:21On va vérifier ça dans un instant.
10:23Jacques Léber est notre invité
10:25sur Europe 1.
10:27On ne dit jamais assez
10:31aux gens qu'on aime même
10:35par peur de les gêner
10:39qu'on les aime.
10:41Louis Chédid, on ne dit jamais assez
10:43aux gens qu'on aime qu'on les aime.
10:45Vous adorez cette chanson et c'est d'ailleurs le titre
10:47de votre autobiographie.
10:49J'adore cette douceur.
10:51La douceur en général de toute la famille Chédid
10:53qui est absolument sublime.
10:55Et dans les moments riffs les plus dingues
10:57de M, c'est la même douceur qui s'échappe
10:59de lui.
11:01J'ai choisi ce titre immédiatement.
11:03Je trouve que c'est tellement simple
11:05et tellement beau.
11:07On a tellement besoin
11:09de recoudre la fraternité
11:11qui est en train de se foutre en l'air
11:13complètement dans le monde.
11:15C'est une des choses les plus tristes qui se recoudent.
11:17Pourquoi vous avez eu besoin de vous raconter
11:19à ce moment-là de votre vie ?
11:21L'autobiographie est sortie l'année dernière.
11:23Je ne pense pas que ce soit autobiographique.
11:25Ce qui m'amusait là-dedans
11:27c'était cette espèce de façon dont la mémoire
11:29joue un peu à la marrelle
11:31comme ça saute.
11:33On ne sait pas trop pourquoi.
11:35Un souvenir vous revient.
11:37On ne sait pas ce qui se passe
11:39biologiquement, physiologiquement
11:41mais elle est là, un souvenir sympa.
11:43Je trouvais ça assez amusant
11:45de laisser courir cette liberté
11:47du souvenir.
11:49C'était les choix.
11:51Il y a des milliers de gens que j'aime
11:53bien au-delà de toutes les histoires
11:55que j'en raconte là.
11:57J'ai très peur de l'autobiographie
11:59même si je sais qu'il y a forcément
12:01dans tout essai d'écriture
12:03une part biographique.
12:05Ne serait-ce qu'aussi dans la façon de jouer.
12:07Vous êtes en train d'écrire justement
12:09et vous avez quitté Paris pour vous réfugier
12:11à la montagne.
12:13Vous écrivez quoi ?
12:15C'est quoi le projet d'écriture ?
12:17Faut-il le dire ?
12:19Non, je suis parti
12:21d'un rêve simple.
12:23Vous savez que comme disait Bergman, il ne faut parler que des choses
12:25que l'on connaît bien.
12:27Et force est de constater que même si
12:29j'essaie dans la mesure du possible
12:31que ce soit possible
12:33d'être réellement citoyen, d'être
12:35réellement dans mon monde,
12:37il n'empêche que ce que je connais le mieux, c'est plutôt
12:39la parenthèse que l'on offre au monde
12:41ou le miroir
12:43qui est mon métier.
12:45Mais ce qui est vrai, c'est que là, je me suis inspiré
12:47d'un souvenir d'un très grand metteur en scène qui était Gruber
12:49et dont je savais que le rêve
12:51était de mettre en scène
12:53des gens du cru de Belle-Île.
12:55Des gens de la ville.
12:57Je ne sais pas pourquoi
12:59ça m'a toujours...
13:01Entre la Bretagne, la mer,
13:03des gens que je connais bien là-bas.
13:05Et je me suis dit, tiens, si je partais, parce que c'est
13:07une fameuse illusion, vous savez, on part
13:09et on se dit, ah ça y est, vive les mouettes,
13:11l'école est lente, la mer, tout ça.
13:13Et au bout de 15 jours, on se rend merde.
13:15Moi, en tout cas, c'est comme ça.
13:17Il faut que si j'y vais, il faut que je joue
13:19à un moment donné. Que je mette des projos
13:21sur la plage et que j'y aille.
13:23Bref, en deux mots, c'est ça.
13:25C'est le départ de quelqu'un qui a besoin
13:27de cette chose merveilleuse
13:29dans une pièce
13:31d'un immense retirement.
13:33Cette cadence,
13:35immense retirement avec le jeu des féminines,
13:37des mots, ce serait beau.
13:39Et en même temps, il se rend compte que ça ne peut pas
13:41rester comme ça, donc il réunit
13:43tous ses copains de bistrot, bien sûr,
13:45pas déconner. Et là, nous allons faire
13:47quelques lignes festives
13:49et gaillardes.
13:51Et puis,
13:53il monte une pièce qui me permet
13:55aussi de développer tout le
13:57discours qu'il peut y avoir autour des pièces
13:59et qui ne vous est peu connu
14:01et qui peut être passionnant, qui est un voyage
14:03à travers le monde et les gens.
14:05On a hâte de découvrir ce livre, vous viendrez nous en reparler
14:07sur Europe 1 au moment de sa sortie.
14:09Il y aura toujours la rubrique, je serai la bien évidemment.
14:11Dès que vous venez sur Europe 1,
14:13c'est contractuel maintenant, il y a Olivier Coul dans les parages.