Philippe Pascot, administrateur d'Anticor : "La corruption est en train de prendre la France en otage !"

  • il y a 3 mois
Avec Philippe Pascot, administrateur d'Anticor, auteur de "Les cons ça ose tout, moi aussi..." publié aux éditions Bonneton et de "Le pouvoir du pire" publié aux éditions Max Milo.

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Transcript
00:00Ici Sud Radio, les Français parlent au français, les carottes sont cuites, les carottes sont cuites.
00:13Sud Radio Bercov dans tous ses états.
00:17Alors vous vouliez connaître effectivement, vous citoyens, l'identité des propriétaires des entreprises françaises.
00:23Non, un vœu de transparence, c'est intéressant la transparence, on est tous pour la transparence.
00:28Mais c'est fini, comment c'est fini ? C'est fini, ça a duré 3-4 ans, maintenant c'est fini.
00:33Comment ? On va en parler tout de suite.
00:35Sud Radio André Bercov.
00:40Bercov dans tous ses états, ça balance pas mal sur Sud Radio.
00:44Eh bien, Philippe Pascot, bonjour.
00:48Bonjour André.
00:49Vous êtes administrateur d'Anticor, je rappelle d'ailleurs vos deux livres au titre prémonitoire, je dois dire.
00:55Les cons ça osent tout, moi aussi, publié aux éditions Bonneton et le pouvoir du pire publié aux éditions Max Milot.
01:01On ne va pas dire qui est ce pouvoir du pire et qui sont les cons qui osent tout, mais enfin on sait que vous avez dit moi aussi, donc voilà, on est tous là-dedans.
01:09Alors, quelque chose quand même qui a attiré notre attention tout de suite, c'est qu'il va y avoir quelque chose d'intéressant.
01:18En avril 21, très très bien, il n'y a pas assez longtemps, on permettait à tout citoyen de connaître facilement l'identité des propriétaires des entreprises françaises.
01:29Vous voyez, c'est bien, la moindre des choses, par l'intermédiaire de la plateforme officielle data.inpi.fr,
01:36et comme ça on avait le registre des bénéficiaires effectifs des sociétés, parce que c'est bien toutes les sociétés, très bien les entreprises,
01:44mais qui est derrière ? Est-ce qu'il y a des sociétés écrans ? Est-ce qu'il y a des strates, des millefeuilles, etc. ?
01:50Eh bien, on y renonce. Alors juste un mot, Yves Pascot, moi je me suis dit, mais pourquoi, c'est le gouvernement ? Pas du tout.
01:58La fermeture du registre ne découle pas d'un choix du gouvernement, elle était rendue inéluctable par l'arrêt du 22 novembre 2022
02:05de la Cour de justice de l'Union européenne, encore l'Union européenne,
02:09qui a déclaré illégal, illégal, l'accès du grand public au registre européen de bénéficiaires effectifs au nom du respect de la vie privée.
02:17Alors, Philippe Pascot, expliquons-nous. C'est-à-dire qu'avant, enfin avant, depuis 3-4 ans, on avait le droit, moi, n'importe qui de nos auditeurs,
02:27de savoir qui étaient les vrais propriétaires, c'est bien ça, de telle ou telle entreprise.
02:31Alors ça, sur le papier, c'est ce qu'on vous disait, c'était beaucoup moins simple dans la réalité,
02:36d'autant plus qu'il y a d'autres lois qui vous empêchaient de connaître le nom des entreprises.
02:40Par exemple, la loi sur le secret des affaires est une loi innommable, entre guillemets,
02:44qui ne permet plus maintenant réellement aux journalistes, aux associations comme Anticor de faire leur travail pour lutter contre la corruption.
02:51Je me rappelle toujours, en 2022, nous l'avons déjà dénoncé, Le Monde faisait une enquête sur les...
02:57Le journal Le Monde.
02:58Le journal Le Monde faisait une enquête sur les prothèses mammaires, où je sais qu'il y a eu un énorme scandale.
03:05Ils n'ont pas pu avoir le nom des entreprises, parce que soi-disant, ils n'étaient pas inscrits au registre de je sais pas quoi.
03:10Il y a une association qui s'appelle Profil.fr, qui avait fait une enquête sur Altice, qui était la troisième entreprise de médias,
03:16qui ne payait pas d'impôts en France.
03:19Et bien, il y a un jugement qui a interdit à ce média de publier quoi que ce soit sur cette entreprise.
03:27Donc il vient que la loi pour juguler, pour fermer l'investigation, pour refuser la transparence, est en train de devenir endémique en France.
03:37Et le pire, c'est que ça se passe en douce.
03:39C'est-à-dire que regardez, ils balancent ça, et ça se sait uniquement entre deux élections où on est très occupé à autre chose.
03:45Donc ça devient grave, la corruption est en train de prendre la France en otage.
03:50Et là où c'est pire, c'est que j'entends aucun politique mettre ce mot-là dans son discours de candidat.
03:57Oui, ni à droite, ni à gauche, ni nulle part.
03:59Ni à droite, ni à gauche, ni au centre, nulle part.
04:01Tout le monde parle de tout, sauf de la corruption.
04:03Or, le principe de base d'une société démocratique, c'est de lutter contre la corruption, ce que fait Anticor.
04:09Et c'est peut-être pour ça qu'ils nous ont retiré notre agrément, sans justification.
04:12On va en reparler de cela.
04:14Oui, mais là, on peut vous dire, attendez, c'est pas nous, c'est la Cour de justice de l'Union européenne.
04:18Oui, bah oui, sauf que quand on en a un petit peu dans le pantalon, on n'est pas obligé de répondre à tout ce que nous ordonne la Cour européenne.
04:26Et il y a des moyens de reculer, il y a des moyens de se battre.
04:29Quand on veut vraiment politiquement dire non, on peut.
04:32Sauf que quand il y a une loi qui arrange certains dirigeants, quand il y a une loi qui arrange certains élus,
04:36comme par hasard, on se dépêche de l'appliquer.
04:39Alors ça veut dire, Philippe, parce que je voudrais bien comprendre, pour nos auditeurs, pour nous, pour nos amis,
04:45au fond, comment marche la mécanique ?
04:47Parce que moi, par exemple, j'entends parler de telle ou telle entreprise,
04:50et je voudrais savoir qui sont les vrais.
04:54Parce qu'il y a aussi blanchiment, hein, blanchiment d'argent, etc.
04:57Ça va avec ?
04:58Ça va avec, voilà.
04:59Et donc, jusqu'à présent, vous dites que cette loi, elle existait,
05:03mais personne n'avait, enfin, ou très peu, avait les moyens d'aller jusqu'au bout.
05:07Oui, c'est compliqué, ils font des datas, mais c'est même l'accès, quand ils autorisent, l'accès est tellement compliqué qu'on n'y arrive pas.
05:12C'est la même chose que quand vous voulez savoir le patrimoine d'un élu.
05:16Vous avez le droit de consulter, hein. Ah, c'est illégal, hein.
05:18Vous allez à la préfecture, vous n'avez pas le droit d'un stylo, vous n'avez pas le droit, vous devez tout retenir de mémoire, vous devez prendre rendez-vous, etc.
05:23Vous ne pouvez pas photographier, vous ne pouvez pas lire.
05:25Ah non, c'est interdit, c'est interdit, vous pouvez juste lire.
05:27Ah d'accord.
05:28Oui, donc c'est plein de lois comme ça, mais il y a des lois qui sont en train de passer,
05:30je vais vous en donner une qui est en train de passer en ce moment, sur l'eau.
05:32Vous savez qu'en Ile-de-France, par exemple, l'eau était impropre à la consommation,
05:36et il y a des scandales qui sont sortis.
05:38Eh ben, ils viennent de trouver la parade.
05:40Ils viennent de sortir un décret où ils suppriment des contrôles à des fongicides potentiellement cancérigènes dans l'eau potable.
05:48Le chloro, je ne sais plus comment.
05:50Vous voulez dire qu'ils l'ont supprimé ?
05:52Ils l'ont supprimé dans les contrôles, c'est-à-dire qu'hier, ce fongicide potentiellement cancérigène faisait que l'eau n'était pas propre à la consommation,
06:00et maintenant, comme ils l'ont supprimé dans les contrôles, l'eau redevient potable, toujours en ayant ce fongicide à l'intérieur.
06:06C'est ça, aujourd'hui, les lois qu'ils sont en train de nous faire.
06:08En gros, je résume, parce qu'il faut que les gens comprennent de façon simple.
06:11Aujourd'hui, vous avez le droit de manger.
06:13Mais vous n'avez pas le droit de savoir ce que vous mangez, qui l'a fabriqué, et comment ils l'ont fabriqué.
06:18Taisez-vous, mangez.
06:20Et ils sont en train de serrer, serrer, serrer les lois,
06:22pour que quelque part, des associations comme Anticor, des journalistes d'investigation, ne puissent plus faire leur travail,
06:28ne puissent plus dire, attention, ce produit-là est dangereux, on est en train de vous empoisonner.
06:33Et la loi du secret des affaires vient renforcer le verrouillage qu'ils sont en train de faire,
06:37de tout ce qui est expression de la liberté d'investigation.
06:40Oui, ce qui est quand même assez grave.
06:42Alors, Bercy dit, enfin Bercy, le ministère des finances, Bercy de Cuville,
06:45il dit, on prévoit de maintenir un accès complet pour les personnes ayant des activités journalistiques,
06:51les organismes à but non lucratif, comme était Anticor,
06:54et les chercheurs universitaires, dont les activités sont liées à la prévention,
06:57ou la lutte contre le blanchiment de capitaux, le financement du terrorisme et leurs infractions sous-jacentes.
07:02Voilà ce qu'ils disent, vous dites c'est faux ?
07:04Oui, ils le disent, mais moi j'y crois pas et j'y crois plus, et puis personne n'y croit.
07:06Ça c'est des belles déclarations, encore une fois, de communication.
07:09Aujourd'hui, les journalistes, et on l'a tous les jours, y compris les humoristes,
07:13ils sont en train de verrouiller tous les gens qui ne sont pas dans les normes,
07:16tous les gens qui ne sont pas dans la case de ce qu'on doit dire,
07:19dans la normalité exigée par certaines personnes.
07:22Dès que vous voulez savoir, vous saurez plus.
07:24Ils font tout pour que les gens ne sachent pas,
07:26ils font tout pour que les gens soient de plus en plus abétisés.
07:29Oui, un peu, ou analphabétisés, on va aller jusque-là.
07:33Mais dites-moi, au fond, aujourd'hui, parce que vous avez sorti vos bouquins sur les élus, etc.,
07:41vous avez sorti énormément de choses, et avec le succès que l'on sait, Philippe Pascot,
07:46mais aujourd'hui, très franchement, quelqu'un qui a envie de s'y mettre,
07:50vous allez me dire, il faut le temps, les moyens de s'y mettre,
07:52enfin, qui a envie de s'y mettre, est-ce qu'aujourd'hui ça veut dire
07:55que si je veux savoir qui est derrière X, Y ou Z, en société, activité, tout ça,
08:01au fond, ça va être de plus en plus difficile, voire impossible de le savoir.
08:04C'est déjà difficile, et c'est de plus en plus difficile.
08:07Pourquoi vous croyez qu'ils ne nous ont pas donné notre agrément à Anticor ?
08:11Ce n'est pas gratuit.
08:12Vous ne l'avez toujours pas.
08:13Mais non, on ne l'a toujours pas.
08:14On en est à porter plainte contre les services du Premier ministre
08:16qui nous a fourni une justification avec un faux en écriture à l'intérieur.
08:20Rappelez-nous ce qu'est Anticor.
08:22Anticor, c'est une association de loi 1901 totalement transparente,
08:25totalement transpartisane, indépendante, qui ne reçoit aucune subvention de nulle part,
08:30uniquement les dons et les adhésions, qui lutte contre la corruption en France.
08:34On a 160 dossiers au pénal, Colère, Benalla, Ferrand, etc.
08:38Tout ça, c'est des gens qui seraient passés à travers les mailles de la justice
08:41si Anticor n'était pas là.
08:43Et on nous a retiré notre agrément sans justification,
08:47alors qu'on répond à tous les critères qu'ils ont exigés.
08:50On répond à tous les critères qu'ils ont exigés.
08:52Ça devient complètement fou en France.
08:54Mais oui, c'est quand même très étonnant de cela.
08:59Là, ils ont lancé, comme on vous le dit, c'est fin juillet, comme par hasard,
09:03en pleine vacances, fermeture au public de son registre des bénéficiaires effectifs des sociétés.
09:10Les noms, les noms, ça c'est sur les noms.
09:13Avant déjà on avait du mal à les envoyer, mais là vous ne pourrez plus même connaître les noms
09:16des gens qui sont dans les entreprises.
09:18C'est-à-dire que n'importe quel prête-nom, on ne pourra plus connaître les individus non plus.
09:21On ne pourra plus savoir que tel individu a investi dans une entreprise malhonnête, etc.
09:25Et c'est un truc de fou, parce que je veux continuer le discours là-dessus.
09:28Non seulement ils pondent ce genre de loi,
09:30mais en plus, si jamais vous la transgressez après, vous êtes condamnés maus.
09:34C'est-à-dire qu'ils ont pondu le fait que si jamais vous êtes...
09:37Pour que les gens comprennent bien, je dénonce une malversation.
09:40C'est interdit. On est d'accord ?
09:43Je suis condamné à ce que l'entreprise aurait gagné avec cette malversation.
09:47C'est-à-dire que grâce à une malversation ou une truandage, l'entreprise gagne.
09:50C'est dans ce point ?
09:51Oui, c'est dans la loi.
09:53Par contre, je veux dire, vous vous appelez un ancien premier ministre
09:56avec une sapeur à faire Karachi, etc.
09:59Vous êtes condamné à deux mois avec sursis.
10:01Là, si jamais vous osez dire que là il y a quelque chose qui n'est pas bien,
10:07là il y a quelque chose de malversation,
10:08vous êtes condamné à ce que l'entreprise a perdu,
10:11semble avoir perdu dans sa malversation.
10:13Elle n'est pas belle la vie pour ces gens-là ?
10:15C'est pour ça que je dis aux gens, adhérez à Anticor.
10:17Nous pouvons encore lutter en France.
10:19Nous sommes encore un pays où on peut dire non,
10:21mais il faut que nous soyons le nombre.
10:23Nous commençons à être le nombre à Anticor,
10:25ce qui les embête.
10:27Parce que, je vais vous dire en plus, on est entre nous.
10:30Ils n'arrivent pas à démonter Anticor.
10:32Alors maintenant, ils s'attaquent aux personnes d'Anticor.
10:35C'est-à-dire que maintenant, comme ils n'ont pas pu démonter Anticor,
10:38ils attaquent les personnes.
10:39Moi, je suis d'extrême droite, je suis d'extrême gauche, etc.
10:42Il y a des gens de l'association qui attaquent.
10:44Ils attaquent.
10:45On cache les personnes qui sont dans telle ou telle société.
10:49En revanche, on attaque les organisations qui...
10:52C'est évident.
10:53Les membres d'Anticor du Conseil d'administration,
10:55qui, je le rappelle, sont totalement indépendants, transpartisans,
10:58mais totalement clairs.
11:00Si jamais les rumeurs qui disaient qu'on avait volé de l'argent étaient vraies,
11:03il y a longtemps que je serais en prison, André.
11:05Il n'y a rien.
11:07Donc maintenant, on attaque les personnes.
11:09Pour revenir à ça, au fond,
11:12est-ce qu'on est quand même, pour revenir à ça,
11:14vous dites, oui, mais le gouvernement français peut très bien dire à l'Union Européenne,
11:18vous savez très bien que 80% des lois en France aujourd'hui
11:21sont des lois de l'Union Européenne.
11:23Ce n'est pas moi qui le dis, c'est...
11:25Oui, mais c'est bizarre parce qu'il y a des lois, par exemple, sur le pesticide
11:28qui sont intéressantes au niveau européen,
11:30et c'est bizarre, en France, on ne les applique pas, là.
11:32C'est bizarre, là, on ne suit pas les recommandations de l'Europe.
11:35Au contraire, on autorise les pesticides ou on donne des dérogations.
11:37Donc moi, j'ai du mal à comprendre que d'un côté, on dise
11:39Ah ben, ce n'est pas moi, c'est l'Europe.
11:41Et puis, de l'autre côté, quand ça arrange des intérêts financiers personnels,
11:44bizarrement, on n'applique pas les directives de l'Europe.
11:46Je veux juste qu'on soit cohérents.
11:48Selon que vous serez puissants et misérables.
11:50Exactement.
11:51Rejoignez-nous à Anticor, portail, arrobase, anticor.org.
11:54Voilà, écoutez, vous l'avez en ce moment, dans le Philippe Pascot,
11:57mais effectivement, effectivement, il faut bien dire une chose,
12:00et on l'a vu au Parlement européen,
12:03sur l'amendement, sur la transparence des contrats
12:07avec Pfizer et les labos.
12:09Transparence ? Non, opacité.
12:10Non, justement. Sur la volonté de transparence,
12:13eh bien, la majorité du Parlement a voté contre la transparence.
12:17Je trouve ça hallucinant, parce que la transparence,
12:19ça devait être notre vertu principale.
12:21Mais le pire, c'est que ces gens-là, qu'on votait contre,
12:24nous disent à nous, électeurs, qu'ils sont pour.
12:26Donc, j'ai du mal à comprendre.
12:28Ils sont tous pour le casier judiciaire vert, sauf pour eux.
12:31Ils sont tous pour la transparence, sauf pour eux.
12:33Il y a un moment donné, il faut qu'ils arrêtent de nous prendre pour des billes.
12:35Et je demande à tout le gouvernement prochain,
12:38qui risque, quel que soit ce gouvernement,
12:40je ne parle pas du gouvernement du Renaissance,
12:42parce qu'on a déjà la réponse,
12:44d'autoriser l'agrément d'anticorps tout de suite.
12:47De ne pas attendre, de ne pas laisser la corruption
12:49devenir en France une mafia.
12:51Philippe Pascot, vous défendez très bien votre association.
12:54On va, qui votera, verra.
12:56Exactement.
12:57Merci, c'était un plaisir.
12:58Merci Philippe Pascot d'avoir été avec nous.
13:00On va marquer une courte pause sur Sud Radio.
13:02On va revenir dans un instant pour les perles, les huées et les bravos
13:05d'André Bercoff, à tout de suite sur Sud Radio.

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