Pourquoi la France a-t-elle perdu de l'influence en Afrique ?

  • il y a 5 mois
Avec Jean-Michel Lavoizard, spécialiste en intelligence économique.

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Transcript
00:00 Ici Sud Radio, les Français parlent au français, les carottes sont cuites, les carottes sont cuites.
00:13 Sud Radio Bercov dans tous ses états.
00:16 Et nous allons parler non pas de la défense mais nous allons parler de la France, nous allons parler de l'Afrique et nous allons parler avec quelqu'un qui vient de suivre,
00:24 qui va faire 800 km à pied sur les chemins de Saint-Jacques-de-Compostelle. A tout de suite.
00:30 Sud Radio André Bercov.
00:33 Bercov dans tous ses états, ça balance pas mal sur Sud Radio.
00:38 Nous allons parler effectivement de l'oration de la France, entre la France et l'Afrique et comment elles ont évolué.
00:45 Avec Jean-Michel Lavoisard, bonjour Jean-Michel. Bonjour André Bercov. On vous a déjà reçu pour parler du wauquisme, de la pénétration du wauquisme en Afrique, c'était passionnant.
00:55 Il faut que je vous dise que vous êtes expert en intelligence économique, vous conseillez plusieurs sociétés, entreprises, vous avez vécu et vous vivez encore en Afrique depuis 30 ans déjà dans divers pays africains.
01:06 Mais là, vous revenez de 800 km à pied sur la première partie du chemin vers Saint-Jacques-de-Compostelle, vous portiez un sac de 40 kg et vous l'avez fait, je crois, pour la grison de votre fille, c'est bien ça ?
01:23 C'est ça, tout à fait, ça a été une immersion naturelle, physique et mystique je dirais, l'occasion de découvrir ou de redécouvrir des endroits fantastiques de notre beau pays.
01:36 Combien de temps ça vous a pris ? 5 semaines. 5 semaines, vous avez fait donc la moitié du chemin ?
01:42 C'est ça, jusqu'à la frontière espagnole, Saint-Jean-Piétan. Et vous êtes parti de Paris ?
01:47 Du Puy-en-Velay, via Podiensis qui est la voie principale, dit-on, qui mène depuis le Moyen-Âge, depuis plus de 1000 ans, vers Saint-Jacques-de-Compostelle où se trouvent les reliques de l'apôtre Saint-Jacques-le-Majeur qui était un apôtre de Jésus.
02:03 Alors vous l'avez fait effectivement, c'est un effort que vous avez fait et qui est très louable pour justement la grison de votre fille.
02:12 Je voulais savoir, cette France que vous avez peut-être redécouverte, ça faisait très longtemps que vous n'avez pas fait de toutes ces communes, etc.
02:20 Quel est votre sentiment, qu'est-ce que vous avez ressenti ? Plusieurs choses, mais dites-nous.
02:24 Plusieurs choses, d'abord à quel point nos campagnes, nos zones rurales sont belles, sont isolées, plus ou moins façonnées.
02:34 En gros, du Puy-en-Velay jusqu'à Cahors, on est dans un environnement très sauvage, on traverse les régions de la Margerie, du Gévaudan, de l'Aubrac à plus de 1000 mètres et il neigeait.
02:45 Une impression à la fois de nature intacte, inspirante et l'impression d'être enveloppée par une nature qui est jalonnée, balisée par les signes de la chrétienté.
02:57 Un très grand nombre de calvaires, de chapels, d'églises, de signes religieux qui jalonnent les différents itinéraires.
03:08 Il y en a un qui passe par Tours, d'autres par Vézelay en Bourgogne, un autre par Arles et ils convergent tous vers Champs-États-Pieds-de-Port.
03:15 J'y ai retrouvé complètement l'ambiance des étoiles de compostelle, le beau roman initiatique d'Henri Vinsnod qui racontait l'initiation.
03:25 Alors ça oui, la beauté effectivement des sites, de la nature, des constructions de tout.
03:32 Et alors la société française, les gens, qu'est-ce que vous avez ressenti comme ça en quelques semaines ?
03:37 Voilà, alors tout d'abord, il y a une devise dite "à chacun son chemin".
03:42 Les motivations sont très diverses, certains le font pour le sport, pour un bain de nature.
03:47 Mais il y a vraiment une, c'est plus qu'un sentier de grande randonnée, en l'occurrence le GR65,
03:52 il y a une dimension spirituelle et même religieuse qui est encore intacte, qui passe par des abbayes fantastiques comme l'abbaye de Conques.
04:00 J'ai senti en traversant, en ne faisant que traverser des hameaux, de nombreux hameaux, dans lesquels il reste une présence française,
04:08 mais les gens sont affairés dans les champs, donc il y a une densité de population humaine très très faible.
04:14 Mais dans des communes plus importantes, à Figeac, à Moissac, à Montcuk et d'autres,
04:20 dans les communes de au moins quelques milliers d'habitants, dans lesquelles ce qu'on a entendu dire d'imposition forcée,
04:32 c'est-à-dire sans demander l'avis des populations, des communautés d'immigrés ont été implantées, sont totalement alimentées, assistées.
04:42 - Sans l'accord de la population. - Personne, deux personnes.
04:45 J'en ai discuté brièvement avec des commerçants, avec des gens dans la rue, c'est un véritable problème.
04:50 D'abord parce qu'on a demandé l'avis de personne, et puis ça a été relayé par des associations qui sont financées discrètement par le public,
05:00 par nos impôts finalement, et ça pose un réel problème parce que l'administration...
05:06 - Vous avez vu ça dans plusieurs villages ? - Dans toutes les communes, oui.
05:10 Et donc on trouve des dizaines à des centaines de communautés, alors ce sont des afghans, ce sont des syriens, ce sont des nord-africains, des maliens,
05:18 ce sont des gens qui ne parlent pas un mot de français pour la plupart et qui visiblement n'ont pas l'intention de s'y mettre,
05:26 qui vivent en convoi erré dans les rues, mais qui sont subventionnés, qui sont assistés complètement, sous couvert,
05:33 par soi-disant, c'est le langage officiel de formation professionnelle, dont ils se désintéressent totalement,
05:39 donc il n'y a aucune intégration, aucune insertion, et ça pose des problèmes d'insécurité.
05:43 Là c'est pas de la paranoïa, les gens... - Les gens que vous avez croisés ?
05:47 - Totalement, les gens font attention déjà quand ils vont se promener dans les alentours, il y a de l'insécurité physique,
05:54 et notamment, jusqu'à Saint-Jean-Pied-de-Port, on m'a parlé clairement de trafic de drogue, dont ces communes servaient de relais, de base arrière.
06:05 Donc il y a une vraie insécurité, donc problème d'imposition forcée, là ça nous ramène à la théorie du remplacement,
06:14 du remplacement des populations, et puis problème de comportement, où j'ai vu aussi quelques personnes d'origine asiatique
06:21 qui ne posent absolument aucun problème, qui eux se sont bien intégrés.
06:25 Mais là on impose des bandes, des bandes organisées, de gens qui ne font aucun effort pour s'intégrer, et qui sont là, qui se baladent...
06:34 - Oui, ils errent, et puis le soir, ça m'a frappé, on les retrouve souvent sur des places principales, ou un peu en cercle,
06:42 donc ils sont fermés, ce sont des cercles fermés, ils parlent en arabe ou dans d'autres langues, et ils font de la progression.
06:50 - Et les efforts d'intégration, même du côté des autorités, du village, etc.
06:55 - Je n'ai pas eu un seul écho positif de la part des populations.
06:59 Alors, toutes ces régions rurales, où on trouve beaucoup d'élevage et d'agriculture, sont habituées à des saisonniers, des travailleurs saisonniers,
07:10 qui viennent d'Europe centrale, d'Europe de l'Est, qui viennent d'Espagne, ça c'est entré dans les mœurs,
07:14 donc il ne s'agit pas de xénophobie par principe, c'est réellement un problème de comportement de gens qui ne font aucun effort pour s'intégrer.
07:23 - Et vous avez senti la tension de ce point de vue ? La tension en deux mots ?
07:27 - Croissante, à tel point que dans des communes, par effet de conséquence, ont été élues des maires et des représentants de la droite patriote,
07:39 fortes, pour remettre de l'ordre dans le monde.
07:41 - Ce qui n'était pas le cas avant ?
07:43 - Absolument pas, il y avait un laxisme total.
07:45 Et puis, si vous permettez, ce chemin aussi m'a inspiré une réflexion, c'est que ce long cheminement,
07:52 où on porte un sac, c'est un peu l'éloge de la lenteur, on marche très lentement, on sillonne à travers des paysages très divers.
08:02 - On prend le temps, vous êtes à pied, vous marchez à pied.
08:04 - Et en cinq semaines, on a le temps vraiment, et je le recommande, d'une immersion,
08:09 on ne se pose pas la question de comment on va rentrer pendant au moins trois, quatre semaines sur les cinq,
08:13 on est vraiment en immersion totale, on se laisse, on s'abandonne,
08:17 donc dans une démarche spirituelle de méditation, de contemplation, de prière,
08:21 et ce chemin de compostelle offre encore, au cœur de la France, il n'y a pas besoin d'aller à l'autre bout de la terre,
08:27 une sorte de tunnel d'immersion qui est formidable.
08:31 - Et alors, Jean-Michel Lavoisin, vous sortez de là par rapport à la France, avec de l'espoir, de l'inquiétude, les deux ?
08:37 - Oui, à nouveau encore l'admiration de coins qu'on connaît ou qu'on redécouvre,
08:44 mais ça m'a inspiré que, en plus de recommander à tout le monde de le faire,
08:50 soit en plusieurs fois, soit en une fois, il m'a semblé que ce chemin serait d'utilité publique,
08:56 et pourrait, voire devrait, être imposé à au moins trois catégories de personnes.
09:02 Les premières, peut-être, alors c'est peut-être un peu utopique, mais on peut toujours rêver,
09:07 les représentants de la puissance publique au plan tout prétendant à une fonction...
09:11 - L'administration, les députés, les ministres, tout ça.
09:15 - Voilà, au niveau régional et national, absolument, pour apprendre à découvrir,
09:19 pour ceux qui ne l'ont pas encore fait, ou à redécouvrir, et à aimer, et à respecter,
09:24 et à défendre notre patrimoine naturel.
09:27 La deuxième catégorie, et j'en ai eu un exemple concret, ce sont bien des délinquants,
09:33 certaines catégories de délinquants, et en particulier jeunes,
09:36 pour leur apprendre à aussi aimer, à respecter, à défendre la France, nationaux et étrangers, évidemment.
09:45 Et j'ai rencontré un adulte qui accompagnait un jeune délinquant,
09:50 et ils avaient convenu avec l'administration pénitentiaire d'une peine de substitution,
09:55 et cet adulte partageait la peine dans les deux sens du terme,
09:58 la peine physique et la peine de substitution de ce jeune,
10:02 et visiblement le jeune était en transformation intérieure,
10:05 donc il y a une sorte de rédemption qu'offre...
10:08 - Ce serait une très bonne chose à faire. Et la troisième catégorie ?
10:10 - Oui, alors là je suis un petit peu provocateur, mais je crois en théorie que ça serait une bonne chose
10:15 d'en faire une sorte de test probatoire à tout prétendant à la nationalité française,
10:20 d'où qu'ils viennent, et qui apprendrait aussi, comme les deux autres catégories,
10:25 à connaître, à aimer, à respecter et à défendre la culture française.
10:30 - Peut-être ce serait mieux que le service militaire ou le service national, on ne sait pas.
10:34 - Oui, ou complémentaire, mais je le souhaite à tout le monde en tout cas.
10:37 - Alors, Jean-Michel Lavoisière, juste un mot, on vous a frappé pendant des heures,
10:42 mais évidemment on refera appel à vous pour parler de cela,
10:47 juste un mot, enfin un mot, il y aurait beaucoup de choses à dire.
10:51 Votre expérience africaine, encore une fois, vous vivez en Afrique,
10:55 cette espèce de "je t'aime, moi non plus", cette espèce de, disons pas de divorce,
11:00 mais de désamour entre la France et l'Afrique, vous l'attribuez à quoi aujourd'hui ?
11:04 Vous, qui avez l'expérience de cela.
11:06 - Oui, je crois qu'il y a d'abord des raisons propres à l'Afrique,
11:09 parce que l'Afrique, ou plutôt les Afriques, 55 pays, une très grande diversité à tout point de vue,
11:14 a connu des mutations, dont on peut observer l'accélération en profondeur depuis 20 ans en gros,
11:23 suite notamment à des révolutions et des mutations technologiques par exemple,
11:27 qui ont modifié les comportements, etc.
11:29 Bernard Lugand, que vous avez déjà reçu ici, continue de nous rappeler,
11:35 de nous instruire sur tous les aspects ethniques, etc.
11:40 - Oui, c'est ça. Ceci dit, les mutations récentes et en cours, profondes,
11:45 au plan social, au plan économique, ont modifié la façon individuelle et collective
11:51 de se comporter des Africains.
11:53 Donc il y a des mutations que certains ont saisies ou pas,
11:57 et je crois que les Français sont à la peine pour vraiment intégrer ces mutations.
12:00 Les relations ne sont plus dictées uniquement par des facteurs ethniques, culturels, sociologiques, etc.
12:09 Donc l'Afrique a muté globalement. La France, elle, a régressé en réalité.
12:14 On le voit sur le territoire national, la France administrative, la France officielle, la France politique.
12:19 Et dans les esprits, on dit longtemps qu'il n'y a plus de précaré en Afrique,
12:26 en réalité dans les esprits, ça relève encore beaucoup de ça.
12:29 Il y a une vraie difficulté à admettre, une des conséquences de l'ouverture des pays africains,
12:36 au plan politique, économique, financier, au monde entier, à l'intégrer et à l'accepter.
12:41 C'est un fait. Et puis cette politique permanente de repentance, de décolonisation,
12:46 les Africains n'en demandent pas tant.
12:48 Et la conséquence de ça, c'est que tout le monde déconsidère finalement la France.
12:53 Les Africains ne demandent pas que la France se fouette le matin ou le soir.
12:57 Pas du tout. Ils ont compris le message.
12:59 Vous êtes en difficulté, vous repentez, vous avez des difficultés économiques, financières,
13:03 et bien on va se tourner vers d'autres.
13:05 Donc en réalité, les Africains sont déjà passés à d'autres.
13:09 Oui, au sujet de la Chine qui fait un travail en profondeur et dans le long terme, comme on sait,
13:13 mais aussi la Russie qui est un acteur ancien, mais qui a, avec des forums Russie-Afrique notamment,
13:20 le deuxième à Saint-Pétersbourg l'année dernière, affiche et opère une véritable stratégie continentale
13:29 de pénétration des marchés.
13:30 Et qui porte ses fruits.
13:32 Et quoi qu'on en pense, le président Poutine est extrêmement populaire vis-à-vis des Africains
13:39 parce qu'ils y voient un homme fort qui défend son peuple, ses frontières, sa culture,
13:44 qui ne se bat pas la coupe en permanence, et qui au contraire déconsidère et se demande
13:50 la politique nationale portée par le président Macron.
13:55 Je crois qu'il y a une véritable... C'est un plan, c'est pas un problème de compétence.
13:59 Au contraire, l'État français, sous la direction du président Macron,
14:03 non seulement déconstruit la France, et pour des raisons qui ont été aussi évoquées
14:07 avec votre interlocuteur précédent, mais déclasse la France à l'international.
14:12 Donc il y a déconstruction intérieure, déclassement extérieur.
14:15 Et donc, prenons les Russes, qui font l'objet d'une certaine... un peu paranoïa, une grande attention.
14:23 Ils n'ont pas besoin de manigancer, de manipuler.
14:26 La France se tire une... c'est même plus une balle, c'est une rafale dans le pied,
14:30 dans tous les pays, par exemple, du Sahel, dont elle a été évincée, éjectée.
14:35 Au Mali, au Burkina Faso, au Niger, où je suis, nous y travaillons actuellement.
14:39 Et donc, la Russie et d'autres acteurs étrangers, ne font qu'occuper la place qui est abandonnée.
14:44 Abandonnée par la France.
14:46 - C'est ça. C'est parce que la place a été abandonnée qu'ils peuvent rentrer dans la nature,
14:51 et en horreur du vide. - Absolument.
14:53 Alors, on n'a pas parlé des Etats-Unis, mais alors, eux, ils ont toujours une stratégie très globale,
15:01 collective, à travers des organisations internationales, etc.
15:05 Mais, le niveau de granularité de leur intérêt réellement de ce qui se passe dans les pays,
15:11 n'est pas du tout le même que le nôtre.
15:14 Ils ont fait notamment un mauvais calcul récemment au Niger,
15:17 où ils sont en ce moment en train d'être expulsés politiquement, avec des conseillers.
15:22 Parce que suite au psychodrame français, où la ministre des Affaires étrangères, début août,
15:29 avait lancé un ultimatum au poutchiste nigérien, ce qui n'a eu aucun effet.
15:36 Puis, l'ambassadeur de France en septembre, qui avait refusé, sur ordre de l'Elysée,
15:42 de répondre à une convocation tout à fait naturelle du pouvoir en place.
15:45 Eh bien, les Américains, d'abord, ont savonné la planche des Français.
15:49 Ils sont vraiment, en Afrique en tout cas, au moins, les pires alliés de la France en Afrique.
15:55 Mais, ils pensaient s'attirer les bonnes grâces du nouveau régime,
15:59 en participant à évincer la France.
16:02 Et ça se retourne contre eux maintenant.
16:04 Et ça nous ramène notamment au projet culturel, civilisationnel, l'offensive LGBT,
16:09 que rejettent massivement les populations africaines.
16:11 On en a parlé, l'arroseur arrosé, c'est une figure de style, mais qui est dans la réalité ?
16:16 Merci Jean-Michel Lavoisard.
16:17 Écoutez, quand vous aurez fait, je sais que vous allez faire la seconde partie du chemin Saint-Jacques-en-Postel,
16:23 on vous recevra avec plaisir à l'issue ou même avant.
16:27 Bien volontiers, merci Jean-Michel Lavoisard d'avoir été avec nous.
16:30 On va marquer une courte pause sur Sud Radio,
16:32 et on va se retrouver dans un instant pour les pairs Léhuet et les bravos d'André Bercoff.
16:36 À tout de suite sur Sud Radio.
16:38 Sud Radio Bercoff, dans tous ses états.
16:40 Appelez maintenant pour réagir 0 826 300 300.

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