Avec Florence Pernel, comédienne, Hélène Rolles, comédienne et Patrick Puydebat, comédien
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NewsTranscription
00:00 Le 10h30 Sud Radio Média, Valérie Expert, Gilles Danzmann.
00:05 Bonjour à toutes et à tous, bonjour Gilles.
00:08 Bonjour Valérie.
00:09 Dans un instant Florence Pernel sera avec nous.
00:11 Florence Pernel, formidable comédienne qu'on va retrouver samedi soir, demain soir dans Enquête Parallèle.
00:18 Elle incarne une journaliste, reporter de guerre.
00:21 On va parler de cette...
00:22 Ça cartonne toujours le téléfilm du samedi soir.
00:24 Absolument, absolument.
00:26 Elle sera avec nous dans quelques instants.
00:28 Très bon score hier pour Complément d'Enquête.
00:30 Et oui, je vous ai sorti des scores.
00:32 1 800 000 téléspectateurs.
00:35 1 500 000 de mon côté.
00:36 Ah, 1 500 000, bon.
00:37 Mais 1 500 000 c'est un très très...
00:39 Ça ne vaut pas à Nuna.
00:41 Non, ça ne vaut pas à Nuna mais on ne peut pas comparer.
00:43 Ça fait 18,5% de parts de marché.
00:46 À titre comparatif, 1 500 000 pour Complément d'Enquête.
00:49 Et Camille et Images sur TF1, 734 000.
00:53 Ça ne marche pas.
00:54 Pour Camille Combal, 12,4% de parts de marché.
00:57 Donc on voit vraiment la force de Complément d'Enquête qui est arrivée en tête.
01:03 Avec un document extrêmement fort aussi avec des images...
01:06 Et puis une vraie enquête.
01:08 On pourra reprocher peut-être ce qu'on a dit à Tristan Waleck
01:14 sur le fait qu'il n'y ait pas grand chose sur Cyril Hanouna.
01:18 Pour le coup, c'était assez fort.
01:20 Et puis nous, on peut revenir sur le fait qu'on a discuté avec le réalisateur.
01:23 Et nous, on peut préciser que ce ne sont pas les images de Yann Moix.
01:28 Oui, Yann Moix qui a précisé qu'il allait porter plainte.
01:30 Mais ce sont les images du producteur qui lui appartiennent.
01:34 Et ce n'est pas Yann Moix qui filme puisque sur la plupart des images, on le voit en contre-champ.
01:38 Donc en train de filmer justement.
01:40 Il doit y avoir une autre équipe aussi.
01:42 On ne va pas rentrer dans les détails.
01:44 Oui, mais dans ce cas-là, c'est l'autre équipe qui filme.
01:46 Ce ne sont pas ses images.
01:48 Bref, on passe aux zappings.
01:51 Tu comprends ce que je veux dire ?
01:53 On continue notre débat tous les deux.
01:56 Si vous faites un documentaire, vous pouvez avoir deux caméras.
01:59 Donc c'est les images pour le film de Yann Moix malgré tout.
02:03 C'est vrai aussi.
02:04 Ce n'est pas aussi vrai, c'est vrai.
02:06 Allez, le zapping avec vous Gilles.
02:09 On commence par quoi ?
02:10 On commence par un Me Too pour les garçons.
02:12 Ça continue pour les animateurs.
02:15 Ça a chauffé hier.
02:18 Je ne sais pas si vous avez vu ça Valérie au bar de CNews.
02:21 Pascal Praud n'était pas d'humeur avant même qu'un de ses chroniqueurs s'exprime,
02:26 Olivier Dartigold.
02:27 Il lui a repris la parole.
02:29 C'est très fort.
02:30 C'est un grand moment de télé.
02:32 Franco, je t'aime.
02:33 Je vous en prie.
02:34 Si je ne peux pas le dire.
02:35 Non, ça n'a aucun intérêt.
02:36 Moi, ce qui m'intéresse...
02:37 Non, non, non.
02:38 Donc j'arrête de parler.
02:39 Je vais dire qu'il y a beaucoup de franco-marocains qui ont dit
02:42 que je serais content quelle que soit la victoire de l'équipe.
02:45 Olivier, Olivier...
02:46 Bon, mais j'ai terminé l'émission.
02:47 Mais non, ce n'est pas le problème.
02:48 Vous ne pouvez pas me dire ce que vous allez dire.
02:50 Mais ce n'est pas le souci.
02:51 Et ça vous intéresse avant que je ne l'ai prononcé.
02:52 Mais on sait ce que vous allez dire.
02:53 Je n'accepte pas ça, c'est inacceptable.
02:54 On sait ce que vous dites.
02:55 Non, mais moi aussi je sais ce que vous allez dire.
02:56 Vous le faites.
02:57 Mais moi aussi je sais ce que vous allez dire.
02:58 Non, parce que moi je pose des questions.
02:59 Moi, enfin, enfin.
03:00 Je pose des questions à quelqu'un qui est sur le terrain.
03:02 Donc je redis qu'il y a beaucoup de franco-marocains qui ont dit que quelle que soit l'équipe qu'on
03:07 gagne, on sera content.
03:08 Parce que je l'ai entendu, on a même fait des micro-trottoirs sur ces nudes.
03:11 C'est incroyable comment Montellé, un peu comme vous, il maltraite ses chroniqueurs.
03:17 Absolument, je vous maltraite.
03:18 Mais rien ne vaut...
03:19 C'est de l'humour pour ceux qui nous écoutent.
03:22 Ça fait assez de temps qu'on fait l'émission midi ensemble, donc on se connaît bien.
03:25 Rien ne vaut...
03:26 Mais il faut bien le préciser.
03:27 Bien, ça dit, bien.
03:28 Exactement.
03:29 Rien ne vaut la chaleur et la tranquillité d'un studio de télé.
03:32 Valérie, Thomas Soto l'a appris à ses dépens.
03:35 Alors, ils étaient en direct de la place Stanislas à Nancy pour une émission délocalisée.
03:41 Alors, elle a été perturbée par des grévistes municipaux de la ville.
03:46 Alors, on est en direct.
03:48 On va aller voir ce qui se passe, parce que là, il y a un peu de bazar.
03:52 Alors, allons-y.
03:53 Bonjour, messieurs, dames.
03:56 - C'est quoi, ce boulot ? - C'est quoi, ce boulot ?
03:58 - C'est quoi, ce boulot ? - C'est quoi, ce boulot ?
04:00 Bonjour, qu'est-ce qui se passe ?
04:01 Alors, nous, on a des revendications depuis plus de deux mois.
04:04 On ne demande pas grand-chose à notre employeur.
04:06 On demande 70 euros bruts.
04:07 Ce n'est pas la mort qu'on demande.
04:08 On a des agents qui n'arrivent plus à manger, qui font de l'aide alimentaire auprès du comité d'action sociale.
04:13 Merci.
04:14 On vous a donné la parole.
04:15 On continue l'émission.
04:16 Vous restez là.
04:17 Vous êtes les bienvenus, comme tout le monde à Nancy.
04:18 Et on poursuit l'émission avec la méthode Valérie Maurice.
04:20 C'est important de savoir s'il va faire chaud ou froid.
04:22 Merci en tout cas.
04:23 Merci à vous.
04:24 Elle va bien avoir à manger, surtout.
04:26 Ils préfèrent avoir à manger plutôt que la météo de Valérie Maurice.
04:31 Bonjour Florence Pernel.
04:32 Merci d'être avec nous.
04:34 Merci.
04:35 Les transports parisiens étant ce qu'ils sont, ce n'est pas toujours facile d'arriver à l'heure.
04:39 Mais on est ravis de vous accueillir et de parler avec vous de cette fiction formidable
04:43 qu'on va découvrir demain sur France 3.
04:45 Gilles, on continue le zapping.
04:46 On continue le zapping.
04:47 Alors, si évidemment on regrette le rapport PISA,
04:50 vous en avez parlé avec vos débatteurs et qui montrent que les petits français ne sont pas les meilleurs,
04:56 ceux qui faisaient leur marché ont aussi regretté ce rapport PISA dans l'actualité
05:01 parce qu'évidemment on a été les embêter pour leur faire faire des calculs, leur demander...
05:06 Vous n'aimez pas les micro-troudoirs ?
05:08 Non, mais là c'est rigolo quand c'est pas...
05:11 C'est le quotidien des arrêts pingués.
05:15 Entre deux carottes et un fromage, un journaliste se pointe avec une ardoise au milieu du marché.
05:19 Vas-y, 100 moins 45, combien ?
05:21 Ben 50...
05:23 Ben...
05:24 T'as la tête à la ratonner.
05:25 C'est pas évident, ouais.
05:26 Et en deux secondes, tu te retrouves comme un nul avec le liner en bas "Les français + les maths, le compte n'est pas bon".
05:32 Depuis la nuit des temps, les journalistes testent les adultes pour prouver que les gamins sont mauvais en maths.
05:38 Aucune logique.
05:39 On a trouvé ce même sujet en 86.
05:41 Alors les fractions ?
05:42 Les fractions, qu'en pensez-vous dans un problème ?
05:45 Je pense qu'il faut qu'il y ait fraction dans tout problème.
05:48 Sinon, les assurances ne payent pas.
05:52 Les choses n'ont pas changé en France.
05:57 Florence Pernel, vous avez testé dans le Parisien, avant-hier, il y avait quatre questions PISA.
06:03 Non, j'évite.
06:05 Alors moi j'ai essayé, je dois avouer que j'ai échoué lamentablement.
06:08 Je crois que j'ai dû avoir une bonne réponse et je l'ai fait faire à plusieurs personnes autour de moi.
06:11 Ce n'était pas brillant non plus.
06:13 C'était quoi la première question ?
06:14 Je ne sais même plus, mais c'est des trucs de courbe.
06:17 On ne sait plus faire.
06:19 De distance, entre deux points, etc.
06:23 C'est quand même très compliqué, très abstrait.
06:25 C'est comme le code, je ne sais pas si vous avez essayé de le repasser.
06:27 Moi j'ai regardé celui de mes enfants, c'est impassable aujourd'hui.
06:30 En tous les cas, je ne le passerai plus.
06:32 Oui, c'est pour ça que, voilà, classement PISA, il ne faut pas...
06:36 Pourquoi, il a changé le code ?
06:38 C'est-à-dire qu'il y a des tas de questions qu'on pose, qu'on ne nous posait pas à l'époque.
06:42 Notamment sur les assurances, sur le climat, enfin des tas de choses.
06:46 Ah bon, on pose des questions sur le climat ?
06:48 Oui, sur les conditions météorologiques, etc.
06:51 Moi je ne me souviens absolument pas de ça, ça me semblait très simple.
06:54 Tourner à droite, tourner à gauche, aller tout droit.
06:57 Les panneaux et autres.
06:59 Surtout sur les assurances.
07:00 Les trucs basiques pour les femmes.
07:01 Mais PISA, moi je n'ai pas réussi à faire les exercices.
07:03 Non, non, non.
07:04 Pour les femmes.
07:05 Je ne sais pas, je ne sais pas.
07:06 Je ne sais pas faire quoi.
07:07 J'ai fait un exercice PISA, on va voir si vous la ramenez.
07:08 Je ne suis pas sûre que vous le passeriez.
07:10 On va faire un complément d'enquête sur vous, plutôt.
07:12 Vous passerez la soirée de... Je rigole aussi.
07:16 Vous passerez la soirée de Noël avec elle, peut-être.
07:19 Le 25 décembre TF1 diffusera une soirée spéciale Mimimati,
07:22 avec un épisode inédit de Joséphine Angegardia,
07:25 et un documentaire inédit.
07:27 C'est une grande soirée de Noël.
07:28 Elle était en aparté, où elle est revenue sur les rumeurs,
07:31 la disant invalide, puisqu'il y a eu un tas de journaux
07:33 qui disaient qu'elle ne pouvait plus marcher.
07:35 Ça l'a beaucoup énervé.
07:36 Il y a quelques semaines, vous avez subi une opération du dos
07:39 pendant de longues heures.
07:41 Comment vous allez aujourd'hui ?
07:42 Moi, je vais bien.
07:43 Je ne cavale pas comme une...
07:45 Je ne vais pas faire le marathon de New York,
07:47 mais je vais bien.
07:48 Je marche moins bien, mais bon.
07:50 C'est vrai que je me fais aider pour certaines choses.
07:52 J'ai été chopée dans un journal, quand je suis en gare.
07:56 Je demande un fauteuil, parce que souvent,
07:58 on est au bout de la deuxième rame.
08:01 On doit remonter tout le quai, et en plus, aller au taxi.
08:04 Mais voilà, je vais bien.
08:06 Et j'en ai marre de dire des choses comme quoi je suis paralysée,
08:09 que je ne peux plus bouger.
08:11 Non, je vais bien.
08:12 Je continue à tourner, et je continue à avoir des projets.
08:15 Et voilà, je marche moins vite, c'est tout.
08:17 Voilà, nous voilà rassurés sur Mi Yulati.
08:21 Vous avez déjà tourné avec elle ?
08:22 Non, jamais.
08:23 On se connaît, mais on n'a jamais travaillé ensemble.
08:25 Je l'ai vue il n'y a pas très longtemps,
08:26 et elle va très bien, effectivement.
08:27 Elle est en train.
08:28 Et donc, diffuser le 25+ que vous en profitez.
08:31 Est-ce que vous avez regardé, parce qu'on a parlé des audiences de Gérard Depardieu,
08:35 vous avez travaillé avec Gérard Depardieu ?
08:37 Oui, j'avais fait...
08:38 C'est bien ce qu'il me semblait.
08:39 Duma.
08:40 J'étais sa femme, dans Duma.
08:42 Et alors ?
08:43 Alors, en ce qui me concerne, ça s'est très bien passé.
08:46 Je n'ai rien à dire.
08:48 Je suis désolée de ce qui se passe, mais...
08:51 Vous en pensez quoi ? Quel est votre regard de comédienne ou de femme sur la diffusion du sujet ?
08:57 Ce n'est pas faux de dire qu'il y a eu une omerta,
09:00 et qu'il y a des comportements déplacés.
09:03 Oui, alors, franchement, de moins en moins,
09:06 moi qui fais du cinéma depuis très longtemps,
09:08 je peux vous dire que quand j'avais 16 ans,
09:10 les comportements masculins étaient souvent déplacés et totalement acceptés.
09:16 Mais je vais vous dire un truc qui choque,
09:18 mais c'était même accepté par nous, les femmes et les jeunes filles,
09:21 parce qu'on était élevées comme ça.
09:24 C'est-à-dire qu'on n'avait même pas l'idée...
09:27 Ça faisait partie du jeu, en fait.
09:28 Non, mais c'est-à-dire que se faire mettre une main aux fesses,
09:30 on n'avait même pas l'idée de dire "non mais dis donc, qu'est-ce que tu fais ?"
09:34 On n'avait pas l'idée de le faire, franchement.
09:36 Ça faisait partie du jeu.
09:38 C'était comme ça, nos mères étaient comme ça aussi.
09:41 Enfin, je veux dire, c'était accepté.
09:43 Évidemment, c'est très important que cette parole se libère,
09:47 c'est très important de dire "enlève ta main de là",
09:50 et d'avoir un comportement respectueux pour les femmes.
09:54 Mais ça a changé ?
09:55 Ah oui, totalement, franchement.
09:58 Là, ça fait vraiment très longtemps que je n'ai pas eu ou vu un problème de cet ordre-là.
10:06 Et si jamais ça se passe, très souvent,
10:09 les femmes ont tout à fait le courage et la force de dire
10:13 ou de remettre à leur place un homme qui est vraiment content.
10:17 Vous n'avez pas regardé le complément d'enquête d'hier ?
10:19 Non, je ne l'ai pas regardé.
10:20 Je suis allée voir Sophia Aram hier soir.
10:22 Ah, formidable !
10:23 Voilà, et j'ai adoré.
10:24 Formidable spectacle, là, si vous êtes à Paris, allez voir.
10:28 C'est une femme courageuse.
10:30 Courageuse, extrêmement douée,
10:32 et drôle tout en traitant des sujets terribles.
10:37 Et pour finir, deux jours pour être solidaires,
10:41 deux jours pour donner pour la recherche.
10:44 Ce week-end, c'est le Télétourne Valérie,
10:46 avec le fameux 36-37 qui revient pour la 36e année.
10:50 Le mot d'ordre cette année, c'est "Innover pour guérir".
10:53 Et du coup, on va entendre 24 heures sur 24,
10:56 cette musique.
10:58 Le 36-37, effectivement, vous pouvez dès aujourd'hui
11:06 commencer à donner, ce sera tout le week-end.
11:09 Oui, on en avait parlé avec Sophie d'avant,
11:11 qu'on avait reçu, qui nous expliquait que désormais,
11:13 on parle de guérison, on ne parle plus de recherche.
11:16 Et on va voir, tout ce week-end, des enfants
11:19 qui sont guéris de leur maladie,
11:21 qui était avant des maladies rares.
11:23 Allez, dans un instant, Florence Pernel, avec vous,
11:26 on va parler de cette enquête parallèle.
11:29 Demain soir, vous incarnez une journaliste,
11:31 ancienne reporter de guerre,
11:33 qui se retrouve plongée dans une mystérieuse affaire.
11:37 On y revient dans un instant, avec vous.
11:39 Sud Radio, parlons vrai.
11:42 Sud Radio, parlons vrai.
11:44 Il était une fois...
11:46 Sud Radio Média, l'invité du jour.
11:50 L'invité du jour, c'est Florence Pernel,
11:52 une comédienne qu'on aime, qu'on adore,
11:54 qu'on est contente de revoir à chaque fois,
11:58 dans des rôles très différents.
11:59 Vous jouez souvent en costume.
12:02 Cette fois-ci, on vous retrouve dans un rôle
12:04 un petit peu différent de cette enquêtrice,
12:06 enfin, pas enquêtrice, journaliste,
12:08 qui devient, par la force des choses, enquêtrice.
12:11 Journaliste télé, ce qui est très rare.
12:13 Oui, exactement.
12:14 Vous avez raison.
12:15 Il faut préciser parce qu'il y a un cadreur
12:17 qui est très drôle,
12:19 Jean-Baptiste Schleser-Mine,
12:21 qu'on a pu voir sur TF1,
12:23 dans "Nos chers voisins",
12:24 c'est le blond de "Nos chers voisins".
12:26 Et donc, c'est votre complice.
12:28 C'est un super duo.
12:30 Le duo fonctionne bien,
12:32 et c'est important de le dire,
12:33 parce que d'habitude, la journaliste,
12:34 elle est toute seule.
12:35 Oui, parce qu'en plus, il a peur de son nom,
12:37 il n'est pas très téméraire, etc.
12:39 Alors elle, c'est une ancienne reporter de guerre,
12:42 donc, elle en a vu d'autres.
12:45 Donc, avant d'être impressionnée,
12:46 il lui en faut beaucoup.
12:47 D'ailleurs, elle va s'opposer
12:49 à des alter mondialistes,
12:51 et en fait, lui, il est mort de trouille,
12:53 il la suit derrière.
12:54 En même temps, il se protège d'elle,
12:56 et il a des tas d'initiatives aussi
12:58 qui sont absolument charmantes.
12:59 Donc, c'est un peu le ying et le yang.
13:01 Moi, j'ai trouvé que c'était ce duo-là
13:03 qui était très drôle,
13:04 toutes les scènes un peu humoristiques.
13:05 Oui, c'est ça, c'est qu'à la fois,
13:07 on est sur une enquête,
13:09 parce qu'il y a la meurtre d'un inconnu,
13:12 on ne sait pas.
13:14 On ne sait pas qu'il y a un sujet assez important,
13:17 qui est justement les usines
13:20 qui participent à la pollution des sols, etc.
13:24 Et donc, c'est un jeune homme
13:26 qui s'y opposait à tout ça.
13:28 Je me suis posé la question,
13:29 parce que vous êtes aussi chieuse
13:31 qu'Élise Lucet dans "Cache-Investigation",
13:33 je me suis dit si ça vous avait inspiré
13:35 ou inspiré les réalisateurs.
13:37 Évidemment qu'on y a pensé,
13:39 parce qu'il y a un côté,
13:41 pardon pour Élise,
13:42 mais il y a un côté pitbull
13:43 qui est intéressant,
13:45 de la journaliste qui lâche rien.
13:47 Et en fait,
13:49 il y a un côté enquête de police,
13:51 c'est pour ça que ça s'appelle "Enquête Parallèle",
13:53 c'est parce que de façon marginale,
13:54 elle va chercher ses renseignements
13:56 et comme elle est sur le terrain depuis un moment
13:58 et qu'elle est en région,
14:00 elle connaît effectivement tout le monde.
14:02 Et donc elle se dit qu'elle va pouvoir
14:04 matcher des informations, etc.
14:06 Ceci dit, elle a quand même besoin
14:08 du gendarme qui est joué par
14:10 Médicesse Hadoun,
14:12 et elle va lui soudoyer des informations.
14:15 Donc elle tire un peu sur tous les bords,
14:17 c'est ça qui est sympathique.
14:19 - Moi je m'en doutais un peu,
14:20 que vous étiez inspirée d'Élise Lucet.
14:22 Valérie, on a la bande annonce.
14:23 - On va écouter.
14:24 Inédit, samedi sur France 3.
14:26 - Vous n'avez pas le droit d'être là,
14:27 je vais vous demander de partir.
14:28 - C'est bon, commandant.
14:29 Elle est journaliste de terrain
14:31 et elle adore fouiner.
14:32 - Ouais, furter, furter.
14:33 C'est ma spécialité.
14:34 - Attends, fais voir.
14:35 - Non, non, non.
14:36 Plus elle s'accroche, plus elle dérange.
14:38 - Qu'est-ce que tu fous là ?
14:39 - Bonjour l'accueil.
14:40 - Ici on pose pas trop de questions.
14:42 - C'est le problème, non ?
14:43 Plus elle explore, plus elle découvre.
14:45 - Je te dis qu'on a une piste là-dedans.
14:47 - Oh, c'est lui !
14:49 - Écoute-moi, juste deux secondes.
14:51 Face à Médicesse Hadoun,
14:53 Florence Pernel mène son enquête parallèle.
14:55 Samedi à 21h10 sur France 3
14:57 et sur la plateforme France.tv.
14:59 - Voilà, et ça fonctionne très bien
15:01 parce qu'on est pris effectivement le scénario.
15:04 C'est Stéphanie Pilonca qui a réalisé.
15:07 - C'est Emmanuel et Armel Patron
15:09 qui ont écrit le scénario.
15:11 C'est eux aussi qui sont à l'origine
15:13 de cette pièce formidable qui s'appelle
15:15 "Chers parents".
15:17 Mais ce qui est aussi sympa,
15:19 c'est que c'est une trilogie de femmes.
15:22 Parce qu'il y a la mère qui est jouée par Masha Merrill
15:25 que je retrouve après des années.
15:27 - Vous l'aviez jouée ensemble.
15:29 - Voilà.
15:31 Et Jessica Ariel Massango
15:33 qui est ma petite-fille.
15:35 Parce qu'en fait, cette journaliste,
15:37 lors d'une mission au Mali,
15:39 elle a récupéré cet enfant
15:41 qui s'est retrouvé orpheline.
15:43 Et puisque la collection est appelée à se développer,
15:45 je pense qu'on va développer ce rapport
15:47 qui est magnifique.
15:49 - Ça va devenir un personnage récurrent ?
15:51 - Voilà, puisqu'on repart en tournage
15:53 au mois de mai et au mois d'août.
15:55 - Le même duo, cadreur ?
15:57 - Le même duo et le même trio de femmes.
15:59 La famille grand-mère, mère et fille.
16:03 - Mais il y aura plus Tommy Bugsy
16:05 et Jérôme Le Banner.
16:07 - Jérôme Le Banner, on se disait avec Stéphanie Pilonca,
16:09 parce qu'il est tellement touchant.
16:11 C'est un acteur et un homme dans la vie merveilleuse.
16:17 On se disait que ce serait bien de le faire revenir.
16:19 - Mais oui !
16:21 - Il ne fait pas tant dans la vraie vie !
16:23 - C'est un homme d'une gentillesse, d'une douceur.
16:25 Alors que c'est une montagne.
16:27 Et puis il est très touchant, je trouve, en tant qu'acteur.
16:29 - Vous alternez théâtre, cinéma, télévision.
16:35 Vous êtes également au théâtre.
16:37 - J'étais au théâtre jusqu'au 19 novembre.
16:39 Et nous allons partir en tournée.
16:41 J'étais dans une pièce magnifique
16:43 de Jean-Philippe Daguerre
16:45 qui s'appelle "Le huitième ciel".
16:47 Jean-Philippe Daguerre avait fait adieu à M. Haffman.
16:49 Et on part en tournée en septembre 1924.
16:51 Et là je reprends la tournée de la pièce que j'avais faite
16:55 aux côtés de Gérard et Arthur Juniau
16:59 qui s'appelle "Le jour du kiwi" d'après Laetitia Colombani.
17:01 Et on commence à partir du 7 janvier jusqu'au 22 avril.
17:05 - Vous tournez beaucoup, hein ?
17:07 Enfin, vous tournez, oui, entre théâtre.
17:09 - J'essaye, j'essaye.
17:11 Mes enfants étant grands, je me lâche.
17:13 - Actuellement, les techniciens des séries de TF1
17:17 sont en grève.
17:19 Est-ce que c'est une grève que vous soutenez ?
17:23 Vous les comprenez ?
17:25 Pour l'instant, toutes les séries de TF1 sont arrêtées, Valérie.
17:29 Il y a également des grandes séries qui sont arrêtées
17:33 comme HPI.
17:35 HPI ne tourne plus.
17:37 Versailles ne se tourne plus.
17:39 Et que pour le moment, ils tiennent.
17:43 Il y a une réunion qui a lieu aujourd'hui
17:45 pour voir si la grève continue.
17:47 - La grève, c'est qu'ils sont moins payés qu'au cinéma.
17:51 Et que pour le même travail, c'est ça.
17:53 - Oui, voir le même travail, voir parfois plus.
17:55 Parce qu'en télé, il faut aller très vite.
17:57 Donc la charge de travail est parfois plus importante même.
18:01 Parce qu'en une journée, il faut faire tellement de choses.
18:03 Alors qu'au cinéma, c'est peut-être plus compliqué.
18:11 Mais il y a une rapidité de temps en télé
18:17 qui est nécessaire pour que les programmes soient faits.
18:21 Je pense qu'ils vont trouver, il va y avoir un corps, je pense.
18:23 - C'est plus dur de tourner pour la télé ?
18:25 - C'est différent.
18:27 Franchement, c'est différent.
18:29 Je dirais pas plus dur, c'est différent.
18:31 Parce que vous faites plus de scènes en une journée.
18:33 Vous faites plus de choses en une journée.
18:35 Donc ça peut être plus dur comme ça peut être aussi plus intéressant.
18:39 Tout dépend de quelles scènes on traite.
18:43 Parfois, vous aimeriez avoir plus de temps.
18:45 Mais parfois, être pris comme ça dans un laps de temps court,
18:49 ça peut être aussi très intéressant pour le jeu.
18:51 - Qu'est-ce qui vous a plu dans le scénario d'Enquête parallèle ?
18:53 Quand vous recevez un scénario comme celui-là ?
18:57 - Ce qui m'a plu, c'était vraiment d'aborder déjà une journaliste.
18:59 Parce que pour le coup, c'est assez rare.
19:01 - Vous ne l'aviez jamais joué ?
19:03 - Non, non, non, je n'avais jamais joué.
19:05 J'ai été procureure, juge, avocate, proviseur.
19:09 J'attends d'être présidente quand même.
19:11 Ça, c'est mon but.
19:13 Je veux être présidente de la République.
19:15 Oui, en fiction.
19:17 Je voudrais être une femme politique.
19:19 Je trouve que c'est très intéressant d'être une femme politique.
19:21 Parce que c'est le western, la politique.
19:23 - C'est peu traité.
19:25 - C'est peu traité.
19:27 Déjà la politique, je pense que c'est très très dur à traiter.
19:29 - Il y a eu France 2, il y a eu une présidente.
19:31 - Oui, mais ça avait été traité sous une forme...
19:33 Vous pensez aux hommes de l'ombre ?
19:37 - Oui, absolument.
19:39 - Je trouve que par exemple, une femme en campagne,
19:41 ça serait absolument passionnant.
19:43 Parce qu'il y a aussi le fait d'être femme qui est très compliqué.
19:45 Pour revenir à la question, ce qui m'a plu,
19:47 c'était vraiment la journaliste et cette liberté qu'elle avait.
19:51 Parce que justement, moi j'avais toujours été dans des personnages
19:53 qui sont pris dans le carcan juridique et dans le respect.
19:57 Là, tout d'un coup, elle est libre comme l'air.
20:01 - J'aimais bien ce côté brute de pomme,
20:05 brute de coffrage, n'ayant peur de rien.
20:09 Ça me rappelle un peu mes années quand j'étais brocanteuse.
20:11 Il fallait se battre pour avoir un bout de terrain.
20:13 J'aimais bien ce côté...
20:17 - Route, vous continuez à faire des brocantes ?
20:21 - Non, je ne déballe plus depuis très longtemps.
20:23 - Non, pas déballer, mais aller...
20:25 - Mais je chine, oui.
20:27 Là, je suis ravie d'aller en tournée en région.
20:29 Parce qu'en région, on découvre plein de choses.
20:33 Il y a des brocanteurs partout, il y a des marchés partout.
20:35 - Qu'est-ce que vous disent les gens dans la rue
20:37 quand ils vous reconnaissent sur les marchés ?
20:39 - En général, les gens sont très gentils.
20:41 - Oui, vraiment.
20:43 - Mais il y a un rôle qui les a marqués en particulier ?
20:45 - Souvent, il y a Mme le Juge, c'est beaucoup resté.
20:47 Et récemment, le bazar de la charité.
20:49 - Ah oui, bien sûr.
20:51 - Ça a beaucoup marqué.
20:53 - On va vous retrouver demain en quête parallèle,
20:57 samedi soir, sur France 3.
20:59 C'est une case qui cartonne.
21:01 - Et puis, le Téléthon en face.
21:03 - Oui, donc en général...
21:05 - Téléthon et la Starac.
21:07 Si ça ne marche pas, Florence Pernel, c'est de votre faute.
21:09 - J'arrête ma carrière.
21:11 - Starac, plus Téléthon...
21:13 - On se rappelle dimanche matin.
21:15 - Une auditrice me dit qu'on a l'impression qu'aujourd'hui,
21:17 contrairement à il y a 20 ans, seules les femmes peuvent être des héroïnes de séries.
21:19 - Oui, c'est vrai.
21:21 - À condition qu'elles soient fragiles, divorcées,
21:23 elles ont des félures...
21:25 - Vous êtes d'accord avec ça ?
21:27 - Je suis d'accord avec Madame,
21:29 parce que c'est vrai que beaucoup d'héroïnes sont féminines,
21:31 mais c'est tant mieux, je trouve.
21:33 - Oui, c'est vrai qu'il y en a de plus en plus.
21:35 - C'est vrai qu'il y en a de plus en plus,
21:37 mais aussi, c'est parce que je pense que la femme
21:39 est de plus en plus représentée dans notre société.
21:41 Donc forcément, la télévision
21:43 reflète une image de la société.
21:45 - De ce qu'est la société.
21:47 - Maintenant, je ne suis pas sûre
21:49 qu'il faille qu'elle soit
21:51 divorcée, fragile, etc.
21:53 Mais après,
21:55 c'est aussi pour enrichir les personnages.
21:57 Sinon, on est trop fort, trop bien, trop lisse.
21:59 - Merci beaucoup d'avoir été avec nous,
22:01 Florence Pernel, Enquête parallèle,
22:03 demain soir, sur France 3.
22:05 À ne pas manquer, évidemment.
22:07 - C'est rigolo.
22:09 - Et dans un instant, Hélène et les garçons, ça vous parle ?
22:11 - Ça vous parle, Hélène ?
22:13 - Oui, bien sûr, je m'appelle Hélène.
22:15 - Voilà, elle sera avec nous
22:17 tout de suite pour parler
22:19 de Mystères de l'amour.
22:21 - Pour le spécial Noël.
22:23 - Avec Patrick Puydeba, également. À tout de suite.
22:25 - Sud Radio,
22:27 le 10h midi média.
22:29 Valérie Expert, Gilles Gansman.
22:31 - Ça, c'est passé sur Sud Radio.
22:33 - Une question que je vous pose,
22:35 François Hollande. Est-ce que le gouvernement israélien
22:37 devrait appeler à mettre fin à la colonisation ?
22:39 - Oui. Comment voulez-vous
22:41 avoir deux États
22:43 si dans l'État que vous voudriez
22:45 reconnaître, l'État en l'occurrence palestinien,
22:47 vous avez mité le territoire
22:49 par la colonisation ?
22:51 - Sud Radio, par l'adio.
22:53 Le supplément média.
22:55 - Le supplément média, aujourd'hui, avec deux invités
22:57 qui sont là avec nous
22:59 pour parler. Alors, Hélène,
23:01 je m'appelle Hélène,
23:03 Hélène Rolles, bonjour. C'est marrant,
23:05 quand je dis Hélène, j'ai toujours envie de dire "Je m'appelle Hélène",
23:07 même si je ne m'appelle pas Hélène.
23:09 Et Patrick Puydeba, couple mythique
23:11 s'il en est, d'Hélène et
23:13 les Garçons, bonjour. - Bonjour.
23:15 - Et des Mystères de l'amour, et on va parler
23:17 de Noël de l'amour, soirée spéciale
23:19 à 21h,
23:21 ce sera dimanche soir.
23:23 C'est sur...
23:25 - C'est sur TMC, faut pas louper,
23:27 parce qu'on retrouve toute la famille
23:29 amie, alors il y a des guestes, c'est assez incroyable.
23:31 - On va en parler dans un instant, mais le Père Noël
23:33 nous fait des petits cadeaux
23:35 à Sud Radio, des gros cadeaux même.
23:37 C'est le moment de jouer le grand
23:39 sapin de Noël Sud Radio, donc c'est
23:41 maintenant, vous allez peut-être gagner un séjour
23:43 en famille au parc du Futuroscope,
23:45 ou alors un coffret
23:47 Sérum Beauté, ce serait bien pour vous Gilles.
23:49 - C'est petit. - Les duos
23:51 de Garcien, oui on se chambre beaucoup.
23:53 Il y a plein plein de cadeaux
23:55 au pied de notre sapin, et vous
23:57 pouvez évidemment participer
23:59 0826 300 300
24:01 et nous prendrons le, Hélène,
24:03 un chiffre entre 1 et 25.
24:05 Le combien tiens, après ? - 13.
24:07 - Le 13ème appel, allez.
24:09 Bonne chance à vous pour ce
24:11 grand jeu Sud Radio. Alors,
24:13 les mystères de l'amour, ce couple
24:15 mythique, toute la famille, c'est vraiment
24:17 une famille, peut-être Patrick, plus de bas
24:19 qui est restée
24:21 assez soudée depuis Hélène et les Garçons.
24:23 - Ah bah, oui, de toute façon
24:25 on passe plus de temps avec nos collaborateurs
24:27 qu'avec nos familles respectives.
24:29 Et puis on s'est toutes vues grandir,
24:31 papa, maman,
24:33 séparés, en couple.
24:35 - Vous avez des enfants, les uns et les autres ?
24:37 - Moi j'ai deux enfants. - Ouais, Patrick.
24:39 - J'ai un beau-fils. - Un beau-fils, d'accord.
24:41 - Et qu'ils vous regardent ou pas ?
24:43 Hélène, vos enfants, ils vous regardent pas ?
24:45 - Bah, euh, non, on a une télévision
24:47 mais on l'allume pas trop, en fait.
24:49 - Ah bon, vous la regardez pas ? - Pas vraiment.
24:51 - Non, les enfants sont plus sur Youtube.
24:53 - Ouais, c'est ça, c'est la nouvelle génération.
24:55 - Et ils regardent pas la télévision, les enfants.
24:57 - À quel moment ils ont compris
24:59 que vous étiez culte en France
25:01 ou que vous étiez un personnage ?
25:03 - Bah oui, la première fois qu'ils m'ont vue sur scène, c'était en Chine,
25:05 déjà. - C'est chic.
25:07 - Ils étaient petits. Et puis,
25:09 finalement, ils m'ont vue à l'Olympia, là, ils ont compris
25:11 que c'était...
25:13 Et puis, bon, ils sont fiers de leur maman.
25:15 - Oui, c'est vrai. Bon.
25:17 - Bah oui, c'est normal. - On a un auditeur qui nous dit
25:19 "Est-ce que les enfants des couples
25:21 de Hélène et les garçons seraient aussi
25:23 innocents de nos jours ou alors
25:25 censurés ?" Je sais pas très bien
25:27 ce qu'il veut dire par là. - Bah, les miens n'ont pas
25:29 les réseaux sociaux, ils n'ont pas de console.
25:31 - Ils ont quel âge ? - Euh, 13,
25:33 enfin, bientôt 13, 12 et 14 ans.
25:35 - Ah ouais, donc c'est quand même des survivants,
25:37 c'est des warriors, là.
25:39 - Moi, il y a eu des questions de
25:41 "Qui est une console qui rentre chez moi ?"
25:43 - Oh, les pauvres ! - Non, bah non,
25:45 non, non, mais du coup, j'ai mon fils qui est
25:47 dehors, dans la forêt, il fait ses cabanes,
25:49 il fait ses trucs... - Ah, il va finir comme dist...
25:51 - Comme quoi c'est possible. - Ouais, peut-être.
25:53 - Comme quoi c'est possible. - Mais tu verras, c'est pas fini.
25:55 - Oui. - Mais non, c'est pas fini !
25:57 - Mon fils a 16 ans et demi, lui, c'est un gamer,
25:59 il fait des compétitions et tout, donc c'est...
26:01 - Quel regard vous portez, tous les deux,
26:03 sur ce temps passé
26:05 au sein d'Abbé ?
26:07 Enfin, c'est toujours Abbé, d'ailleurs ?
26:09 - Non, c'est G.L.A Productions.
26:11 - G.L.A, Jean-Luc Azoulay, qui est producteur,
26:13 le papa de... Quand il vient nous voir
26:15 à chaque fois, on a beaucoup de plaisir
26:17 à l'entendre nous raconter
26:19 comment il travaille, mais
26:21 quand vous vous retournez vers le passé, évidemment,
26:23 question un peu banale, mais est-ce que vous auriez imaginé
26:25 que ça durerait aussi longtemps ?
26:27 - Personne peut imaginer son avenir, hein.
26:29 Mais non, c'était chouette,
26:31 moi j'ai un souvenir magnifique de cette époque,
26:33 où...
26:35 C'était magique.
26:37 - Mais ça a continué, c'est ça ?
26:39 - Ah oui, aujourd'hui, on est une famille.
26:41 On est une famille, aujourd'hui.
26:43 Oui, c'est ça, c'est une famille,
26:45 même pour les gens dans la rue, quand ils nous croisent,
26:47 ils disent "Salut Hélène",
26:49 ils se posent pas la question.
26:51 - C'est une histoire de bande d'amis,
26:53 et puis on est une bande d'amis dans la vie,
26:55 donc je vais pas dire que c'est la télé-réalité.
26:57 Heureusement, on regarde des scénarios, parfois.
26:59 - Oui, encore que...
27:01 - Mais on part en vacances ensemble,
27:03 on se reçoit toute l'année,
27:05 on se voit beaucoup à l'extérieur.
27:07 - Alors c'est vrai que les scénarios ont évolué aussi,
27:09 et les situations,
27:11 et que Jean-Luc Azoulay a pimenté un petit peu,
27:13 parfois, il est obligé de s'adapter aussi à l'époque.
27:15 Non ?
27:17 Vous avez été un peu surpris, c'est vous qui lui demandez ?
27:19 - Parfois, mais non,
27:21 mais on est quand même un peu une série atypique.
27:23 - Mais en attendant, ça fait exactement
27:25 l'inverse de ce qu'on lui dit.
27:27 Donc on évite de trop l'orienter.
27:29 - On se méfie un peu.
27:31 - Mais il reste quand même dans un esprit de bienveillance.
27:33 - Oui.
27:35 - C'est pas comme "Plus belle la vie" qui a évolué
27:37 pour le coup vers des sujets
27:39 de société, vers...
27:41 - Non, il y a toujours ce côté magique.
27:43 - Oui, magique.
27:45 - Où il y a des fantômes, où il y a la Lique avec ses visions.
27:47 - Pour nos éditeurs,
27:49 le Père Noël, vous le saviez pas,
27:51 regarde "Les mystères de l'amour"
27:53 à ma gestanté.
27:55 - C'est lui qui a écrit l'épisode, après Jean-Luc.
27:57 - Voilà, on en est là.
27:59 - Et d'un seul coup, il est plus content de ce qui se passe
28:01 dans sa série. Alors il a une télécommande magique
28:03 et il va s'en mêler.
28:05 Il est pas très content.
28:07 D'ailleurs, je trouve que le pub de Noël,
28:09 vous va très bien. Vous avez un superbe pub de Noël.
28:11 - Oui, moi aussi, je trouve que ça se fait bien.
28:13 - Oui, alors je trouve
28:15 que c'est de circonstance, ça rigole.
28:17 Moi-même, j'en porte pas.
28:19 Mais le seul inconvénient,
28:21 c'est qu'il est très très chaud.
28:23 - Ah, vous aviez très chaud, vous avez un beau pub de Noël.
28:25 - J'étouffe là-dedans.
28:27 - Et puis, pour nos éditeurs, ils reverront plein
28:29 de guests des autres séries de toute la famille
28:31 d'un pays. Il y a même... - Il y a Malorie Nataf.
28:33 - Oui, il y a Malorie Nataf, il y a les filles
28:35 d'à côté, enfin c'est plutôt
28:37 les vieilles d'à côté.
28:39 - Non mais c'est vrai, je ne les ai pas.
28:41 - Vous ne les avez pas vues ? - Oui, mais oui.
28:43 - Elles sont toujours forts. Je suis content d'être là.
28:45 - Non, je ne les ai pas reconnues.
28:47 J'ai mis un certain temps à les reconnaître.
28:49 - Cécile Auclair... - Non mais,
28:51 c'est de l'humour. Mais j'ai mis du temps
28:53 à les reconnaître. Il y a Bruno Le Mélun, il y a Anthony Dupré.
28:55 Il y a vraiment toute la famille
28:57 Abbé. C'est un épisode qu'on regarde
28:59 avec plaisir et avec nostalgie
29:01 parce qu'ils ont baigné pour
29:03 certains notre enfance et
29:05 ce qu'on était. Vous avez conscience de ça ?
29:07 - Ça sert à vivre les souvenirs. - Oui, complètement.
29:09 - C'est un gros paquet de Madeleine de Proust.
29:11 - Absolument. Vous disiez
29:13 Malorie Nataf, vous étiez contente de la retrouver.
29:15 - Oui, j'étais contente de la voir.
29:17 Ça m'a fait plaisir. - Elle va bien.
29:19 - Comment ça va ? Elle va bien ? - Elle va bien.
29:21 - Elle est contente ? Elle a retrouvé
29:23 la famille ? - Je lui ai dit d'ailleurs que je trouvais
29:25 qu'elle était beaucoup mieux.
29:27 Elle est bien là. J'aimerais bien qu'elle revienne.
29:29 - Et c'est possible ?
29:31 - Parce qu'elle bosse bien, elle sait toujours ses textes.
29:33 Elle est nickel. - Et elle a envie, elle ?
29:35 - Je sais pas. Oui, je crois qu'elle a...
29:37 - Ça dépend des jours. - Non mais là, je crois qu'elle a envie
29:39 maintenant. - Pourquoi TF1 ne vous met pas
29:41 tous les deux dans d'autres fictions ?
29:43 Parce que vous faites partie aussi de la famille de TF1.
29:45 Vous avez l'image de TF1. - On dit à TF1.
29:47 Je crois. - Vous aimeriez ?
29:49 - Moi, ça m'a pas empêché.
29:51 - Vous avez une tournée dans votre série.
29:53 - J'ai fait deux campings.
29:55 - Ouais. - J'ai fait
29:57 SOS 18, Commissaire Magellan.
29:59 J'ai fait plusieurs téléfilms. Moi, ça m'a pas empêché
30:01 de me promener. - Non mais il disait j'aurais une série avec nous.
30:03 - Mais... Ouais, un spin-off.
30:05 - Ouais ? Pourquoi pas ? - Ouais, posez-leur
30:07 la question. Ça sera avec plaisir.
30:09 - Mais vous, vous avez envie d'autres rôles ou pas ? Ou vous êtes bien
30:11 dans votre rôle d'Hélène ? - Ben, moi,
30:13 je me pose pas la question, en fait.
30:15 Moi, je suis bien.
30:17 - J'aimerais bien que Jean-Pascal
30:19 Zaddi me rappelle. - Ah, pourquoi ?
30:21 - Non, parce que
30:23 je le connais, j'ai travaillé avec lui.
30:25 - Ah, voilà. - Et sur
30:27 la deuxième saison de
30:29 Crenios,
30:31 j'ai passé vraiment du... - C'est vrai, ouais.
30:33 - Vraiment du bon temps avec lui.
30:35 Mais tu me rappelles, Jean-Pascal. - Je sais pas.
30:37 - Ceci est un message radio. - Bon, ben, écoutez,
30:39 on espère qu'il écoute celui de radio. On a plein
30:41 d'auditeurs qui nous disent "c'est super, Radio
30:43 Nostalgie,
30:45 on les aime tous les deux".
30:47 J'ai même un message de ma fille, "Hélène et Garçon,
30:49 j'étais tellement fan". Vous voyez
30:51 comme quoi ça... - C'est gentil.
30:53 - Ça éveille, effectivement.
30:55 Vous faites partie du paysage... - De la famille.
30:57 - De la famille et du paysage... - Les cousins
30:59 du visuel qu'on a pas vu depuis longtemps.
31:01 - Les ados d'hier sont les mamans d'aujourd'hui
31:03 qui font regarder leurs enfants d'aujourd'hui. - Vous avez,
31:05 oui, des générations
31:07 des mamans qui, vous autres, qui ont été
31:09 fans et qui, aujourd'hui, ont des
31:11 enfants qui regardent...
31:13 - Et qui viennent nous présenter leurs enfants. - Un flambeau.
31:15 - Oui, c'est ça.
31:17 - Dans l'épisode, il y a
31:19 Jacqui qui chante, ça vous sent
31:21 plus encore fort. Regardez,
31:23 rien que pour ça, pour voir Jacqui chanter.
31:25 Et puis, il y a également
31:27 Elsa et Snu qui chantent
31:29 ces chansons, parce que c'est aussi son rôle de chanteuse
31:31 dans "Les mystères de l'amour".
31:33 Et vous, vous ne chantez plus ?
31:35 - Là, dernièrement, non.
31:37 Je devrais, mais... - Oui, oui.
31:39 - Jean-Luc me tanne pour faire... - Mais oui, pourquoi vous
31:41 ne chantez pas ? - Je disais, parce que si je refais un album,
31:43 ça amène une scène et j'ai tellement le trac
31:45 que j'hésite. - C'est vrai. Encore maintenant, vous avez le trac ?
31:47 - Elle a rempli une semaine, Bersi.
31:49 - Bah oui, c'est vrai. - Vous êtes trois à l'avoir fait
31:51 en France, mais elle a le trac. - Oui, mais je suis terrifiée à chaque fois
31:53 que je... La dernière scène,
31:55 c'était l'Olympia, et que je me retrouve
31:57 prête à rentrer sur scène, je me dis,
31:59 mais ça y est, t'es encore là.
32:01 Et pourquoi t'as dit oui ? Et pourquoi tu te retrouves là ?
32:03 Et une fois que je suis sur scène, je suis ravie
32:05 de voir les gens, je suis... - Et vous oubliez
32:07 le trac, vous vous souvenez de Jacques Brel,
32:09 qui vomissait avant d'entrer sur scène,
32:11 qui avait un trac
32:13 épouvantable. Mais si c'est
32:15 le trac, c'est pas suffisant pour vous empêcher
32:17 de rechanter, quand même. - Ah si, c'est affreux. - Ah ouais ?
32:19 Vraiment ? - C'est ça, le trac.
32:21 - Mais vous avez rempli, Patrick Piedopa
32:23 vient de le dire, cinq fois Bersi, vous vous rendez compte ?
32:25 - Plus que ça. - Plus que ça, une semaine pleine.
32:27 - Une semaine pleine, c'est... - Vous vous rendez compte ?
32:29 - Bah oui, oui, je me rends compte.
32:31 Oui, oui, je me rends compte.
32:33 - Non, c'est pas prévu. - Bah si, c'est prévu
32:35 du côté de Jean-Luc, il m'attend.
32:37 Il m'attend, il m'attend,
32:39 mais je vais peut-être céder, je sais pas,
32:41 j'hésite encore. - Quelle est la lettre
32:43 ou le cadeau le plus improbable que vous avez eu
32:45 des fans ? - Patrick Piedopa
32:47 en particulier.
32:49 - Vous avez eu des amoureuses ? - Je sais pas, des sous-vêtements, peut-être ?
32:51 - Ouais ? Et vous ?
32:53 - Bah moi,
32:55 un truc pas très drôle, moi j'ai reçu,
32:57 enfin il est venu, le fan,
32:59 habillé en bioman,
33:01 en vélo,
33:03 il a fait
33:05 500 km en vélo,
33:07 et il avait apporté des Winchester
33:09 chargés, des fusils. - Mais non !
33:11 - Ah oui, c'est pas drôle. - Et heureusement, j'étais pas là,
33:13 il est passé par la fenêtre,
33:15 dans le service courrier,
33:17 il a enroulé-boulé avec ses fusils,
33:19 et puis là, ils l'ont attrapé, la sécu, ils ont...
33:21 - Mais ils voulaient quoi ? - Ils voulaient m'offrir des fusils.
33:23 - Ah, c'est intéressant. - Ah, c'est original,
33:25 c'est de Noël. - Ça m'aurait fait plaisir, mon soldat.
33:27 - C'est deux Winchester, mais elles étaient chargées.
33:29 - Ah oui, ça c'est moins drôle. - L'enculé.
33:31 - C'est incroyable. - Vous recevez encore beaucoup de courriers ?
33:33 - C'est un truc qui m'avait marqué. - Bah oui, vous recevez
33:35 beaucoup de courriers encore aujourd'hui ? - Oui.
33:37 - Enfin, courrier, maintenant on n'écrit plus, mais...
33:39 - Bah si, détrompez-vous, on écrit quand même.
33:41 - Bah moi je suis pas sur les réseaux,
33:43 enfin le seul truc, c'est une...
33:45 - Une page officielle ? - Voilà.
33:47 Mais sinon,
33:49 ils m'écrivent, mais j'ai pas trop le temps,
33:51 je suis désolée, mes amis, j'ai pas le temps.
33:53 - Quel est votre plus beau Noël à tous les deux,
33:55 puisque ça parle de ça, des mystères de l'amour
33:57 spécial Noël. Est-ce qu'il y a un Noël qui vous a
33:59 marqué, un cadeau qui vous a marqué quand vous étiez
34:01 enfants ? - Tu veux répondre ?
34:03 - Moi j'ai été plus...
34:05 Moi c'est quand on est enfant, les plus beaux Noël,
34:07 je me souviens. - C'était à Babyfoot.
34:09 - Ah ouais ? - À Babyfoot.
34:11 - Super Babyfoot. - Moi j'avais eu...
34:13 le sapin
34:15 était gigantesque,
34:17 chez mes parents, il faisait 7 mètres de haut,
34:19 parce que du salon à...
34:21 il y avait une mésanine, enfin c'était un truc
34:23 incroyable, et mon oncle
34:25 nous avait offert des pigeons, donc il s'était envolé
34:27 dans le sapin de Noël, c'était magique.
34:29 Et j'avais eu un petit orgue...
34:31 - On appuie là...
34:33 - Ah bon tant pis, non non tant pis. - J'avais 6-7 ans
34:35 et ça m'a marqué de voir
34:37 les pigeons qui s'envolent dans
34:39 le sapin de Noël. - C'était les 6 ans,
34:41 c'est là où on se souvient le mieux. - Où on se souvient
34:43 le plus, oui, des cadeaux. "Que pensez-vous du
34:45 grand jeu du Club Dorothée avec Jacqui ?"
34:47 demande Mickaël. - Ah bah c'est sympa, hein.
34:49 - Ah oui, je suis allée chanter,
34:51 je m'appelle Elève. - C'est vrai ?
34:53 - Ah bon ? - Oui, exceptionnellement.
34:55 - C'est étonnant. - Non mais c'était
34:57 chouette parce qu'il y a tous les jingles
34:59 et ça nous rappelle vraiment
35:01 l'époque, les couleurs, le plateau.
35:03 Yves, il a super bien refait la déco
35:05 du plateau. - Oui, c'est les mêmes déco.
35:07 On a reçu Jacqui qui est venu en parler.
35:09 - C'est chouette, c'est chouette. - Donc on va
35:11 vous retrouver ce dimanche sur TMC,
35:13 le Noël de l'amour. Il y aura un documentaire
35:15 derrière. - Oui, absolument. - Beaucoup d'amour.
35:17 - Beaucoup d'amour, absolument.
35:19 Et on va retrouver évidemment vous, Hélène Rollès,
35:21 Patrick Puy-de-Bas, Elsa Esnoux,
35:23 Sébastien Roccati, Andrieux,
35:25 Philippe Vassin, on va pas tous les citer.
35:27 Thomas... Thomas...
35:29 - Tom Schacht. - Tom Schacht.
35:31 - Ah oui, il fait une chanson à la fin. - Oui, absolument.
35:33 Isabelle Bouysse, bref. - Et Laurette, faut pas
35:35 l'oublier, Laure Guybert. - Laure Guybert,
35:37 absolument, Laure Guybert.
35:39 Lali aussi qu'on retrouve.
35:41 Marjorie, enfin bref.
35:43 - Il y a tout le monde. - Tout le monde est là. - Franck Delay, des
35:45 To Be Free. - Oui. - Vraiment. - Mais oui. - Bah il tourne régulièrement
35:47 avec nous. - Oui, oui, absolument. - Franck est souvent là aussi.
35:49 - Ah mais il y a toute la famille.
35:51 - Sauf Dorothée, c'est dommage. - Merci. - Ouais, c'est dommage.
35:53 - Merci. Vous la voyez de temps en temps ou pas ?
35:55 - Moi je l'ai revue il y a pas longtemps, oui, oui,
35:57 elle va bien, elle est chouette. - Bon. - J'avais aussi
35:59 fait l'émission
36:01 où elle est assise, je sais plus comment ça s'appelle, dans une chaise.
36:03 - Sur... - La chanson
36:05 secrète. - Oui, la chanson secrète, absolument.
36:07 - Merci à tous les deux. Hélène Rolles,
36:09 Patrick Puy-de-Bas d'être venu. Donc le
36:11 Noël de l'amour, c'est dimanche soir à 21h
36:13 sur TMC. Merci à vous.
36:15 - Merci à vous. - On se retrouve nous dans un instant
36:17 pour commenter l'actualité. À tout de suite.
36:19 Sud Radio, parlons vrai.