N’oubliez pas votre émission TEMPO LA SO sur TOP FM ce lundi à partir de 17h30 Production agro-alimentaire : Plante seki ou Manzé, Manz seki ou Planté Pour en débattre, Habib Mosaheb reçoit le Dr Arvin Boolell, ministre de l’Agro-industrie ainsi qu’un planteur du nord de l’île en la personne d’Hassen Auleear. 🔴Emission live à suivre également sur notre application TOPFM LIVE TV et sur Parabole chaine 36
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00:00:00La production agroalimentaire
00:00:09Tempola So. Où la voie, où s'y met la lumière.
00:00:15Bonsoir et bienvenue dans Tempola So.
00:00:18Nous proposons la production agroalimentaire, c'est-à-dire manger.
00:00:25Et nous pouvons aussi causer de l'eau.
00:00:29Et qu'est-ce qui fait qu'il y a autant de problèmes ?
00:00:33Qu'est-ce qui fait qu'il n'y a pas de prix ?
00:00:36Dans mon bazar, dans ma lafoire, ma richesse bien sûr,
00:00:41il n'y a même pas de moins de 400 rupees un livre d'ensemble.
00:00:46Moi qui s'occupe d'un endroit où il y a plein d'ensemble,
00:00:48je trouve ça terrible.
00:00:50Donc nous, dans le studio, nous à ma gauche,
00:00:54nous avons Docteur Robin Boulel, qui est ministre de l'agro-industrie,
00:01:00et aussi l'économie bleue, et tout ça là.
00:01:05Et nous avons à ma droite, Hassan Olia, qui est un planteur d'une eau,
00:01:10planteur de cannes, planteur de légumes.
00:01:13Et les traités suivent ce dossier-là, et doivent intervenir souvent.
00:01:17Messieurs, bonsoir et merci d'être présents dans notre bazar.
00:01:23Bonsoir, Habib. Bonsoir, Hassan.
00:01:28Il y a une très bonne discussion, une discussion très franche,
00:01:32surtout avec une personne d'envergure qui connaît l'agriculture,
00:01:37le secteur de l'agriculture, et se la met dans la terre.
00:01:41Et donc c'est un plaisir d'être avec Hassan, notre planteur.
00:01:46Voilà. Nous, il y a des trois blocs, des trois segments,
00:01:53et une première affaire, c'est qui fait, nous et non,
00:02:00autant de problèmes en termes de production,
00:02:07en termes de production, manger.
00:02:15Et nous avons fait une transformation industrielle.
00:02:19Nous voulions manger, nous voulions des carottes, nous voulions de l'aloe,
00:02:23nous voulions des légumes et des fruits.
00:02:27Mais pourquoi nous, il y a tant de problèmes,
00:02:34quand il y a de la pluie, il y a de la pluie.
00:02:38Quand il y a trop de pluie, il y a trop de pluie pour qu'on puisse monter.
00:02:42Nous posons la question à Hassan.
00:02:45Il est là, devant Norbin, explique-nous un petit coup.
00:02:49Oui, bonsoir, voyons Habib, et bonsoir, l'honorable Norbin Boulel.
00:02:53C'est un plaisir pour moi de venir au plateau,
00:02:56et bonsoir à tous mes auditeurs et auditrices qui peuvent nous suivre.
00:02:59Vous savez, voyons Habib, il y a plusieurs raisons
00:03:03pour lesquelles aujourd'hui le prix des fruits et légumes locaux
00:03:07que nous produisons n'est pas stable.
00:03:10Tout d'abord, il y a un vieillissement dans la communauté de planteurs.
00:03:18Alors, nous sommes en train de rajeunir.
00:03:21Pourquoi nous sommes en train de rajeunir?
00:03:24Je vais toujours dire, et je vais le répéter,
00:03:27nous ne valorisons pas ce secteur-là.
00:03:30Si nous valorisons ce secteur-là,
00:03:33peut-être qu'il y a beaucoup d'âge pour entrer là-dedans.
00:03:37Mais quand il y a une population vieillissante,
00:03:41une communauté vieillissante des planteurs,
00:03:44automatiquement, la production diminue.
00:03:47J'ajoute à cela...
00:03:50C'est-à-dire, un point central,
00:03:53c'est le vieillissement de la population d'une part,
00:03:56et de manière précise, le vieillissement des planteurs.
00:03:59Je me rappelle, dans l'endroit où je me suis sorti,
00:04:02comment on avait planté là-bas.
00:04:04Après, les enfants venaient voir le docteur,
00:04:06ils n'y allaient pas, ils venaient travailler là-bas.
00:04:09Le docteur venait me voir.
00:04:11C'est aucun enfant qui connaît la plantation
00:04:15ou connaît le monde là très bien.
00:04:18C'est quelqu'un qui...
00:04:20qui fait aller comme ça, sa variation,
00:04:23sa yo-yo.
00:04:25Le prix, c'est incroyable.
00:04:29À Seine, ils mettent le point sur la plaie.
00:04:33Le gros problème, c'est le manque de main-d'oeuvre.
00:04:38Le manque de main-d'oeuvre,
00:04:40c'est non seulement un vieillissement de la population,
00:04:44mais l'agriculture ne bouge pas avec la technologie.
00:04:49Et après, je suis malheureux pour dire,
00:04:52il y a trop beaucoup
00:04:54de pertes de ce qu'on appelle
00:04:57une terre agricole qui est très fertile.
00:05:00C'est ce qu'on appelle un encroachment,
00:05:02un prime agricultural land.
00:05:06Et après,
00:05:08il n'y a pas une étude concernant
00:05:12la terre qui est fiable.
00:05:15C'est ce qu'on appelle sustainability.
00:05:19Index de la terre.
00:05:21Quand vous trappez ça à la terre là,
00:05:24là, dans tel endroit,
00:05:26et vous venez, qui approprié vous a planté l'eau sur la terre?
00:05:32Ça veut dire qu'il faut choisir
00:05:35le produit qui est capable de plus
00:05:38d'adapter là.
00:05:39Et il n'y a pas une fin d'étude.
00:05:41Et après, nous l'avons parlé,
00:05:43nous avons évolué avec le temps.
00:05:45Nous venons d'un regroupement de la communauté des planteurs
00:05:48pour qu'il y ait l'économie d'échelle
00:05:50et pour baisser le coût de la production.
00:05:54Et les mesures d'accompagnement,
00:05:56parce que vous n'êtes pas capable de se planter au pire dans un silos,
00:05:59vous avez une approche filière,
00:06:01et tout le monde, vous avez l'ensemble.
00:06:03Les mesures d'accompagnement,
00:06:05vous les suivez.
00:06:07Les mesures d'accompagnement, quand vous les suivez,
00:06:09les mesures d'accompagnement, vous les suivez.
00:06:10C'est-à-dire, oui,
00:06:11Saint-Michel a un tel endroit pour planter.
00:06:15Saint-Michel,
00:06:16c'est la terre appropriée pour la canne à sucre.
00:06:19L'autre, c'est la terre appropriée pour la culture ouvrière.
00:06:22Quel type de culture ouvrière de légumes vous avez planté?
00:06:25Qui saisonne où?
00:06:28Et il y a pourtant aussi,
00:06:30vous parliez aujourd'hui,
00:06:32le NN,
00:06:34vulnérabilité,
00:06:36parce qu'un changement climatique.
00:06:39Et l'invulnérabilité,
00:06:41le changement climatique,
00:06:43elle nous faisait adapter au changement.
00:06:46Là, c'est ce qu'on appelle
00:06:49l'agriculture de précision.
00:06:52Pour autant.
00:06:54C'est ce qu'on appelle hydroponique,
00:06:56smart agriculture.
00:06:58Mais Maurice,
00:07:00malheureusement, le gouvernement,
00:07:02je ne vais pas m'assister pour critiquer,
00:07:04mais tu fais, tu donnes la terre
00:07:06à des jeunes gradués
00:07:08pour faire ce qu'on appelle
00:07:10l'organic farming.
00:07:12Mais dans un pays comme Maurice,
00:07:14quand il y a l'organic farming,
00:07:16la bio,
00:07:18c'est la terre à côté.
00:07:20Elle doit reposer pendant combien de temps?
00:07:22Minimum 3 ans.
00:07:24Minimum 3 ans. Beaucoup de temps, ça.
00:07:263 ans, oui.
00:07:28Et là, il faut faire l'étude scientifique
00:07:30pour savoir qui est herbicide, qui est fertilisant, qui est l'ananas.
00:07:32Parce que ça,
00:07:34quand on cause un produit bio,
00:07:36c'est énormément d'analyses
00:07:38qu'il faut faire pour dire,
00:07:40énormément de certifications qu'il faut faire pour dire ça.
00:07:42Nous ne sommes pas capables de faire bio.
00:07:44Nous ne sommes pas capables de faire smart agriculture.
00:07:46Et l'approche était
00:07:48l'approche, malheureusement,
00:07:50qui finait d'avoir un résultat
00:07:52négatif.
00:07:54Et si tu fais ça dans Britannia,
00:07:56quand tu donnes 10 jeunes
00:07:58gradués les possibilités
00:08:00de faire organic farming
00:08:02sans aucune mesure d'accompagnement,
00:08:04c'est une politique de vérité agricole.
00:08:06Et tu dépenses
00:08:08dans ces 20 millions-là,
00:08:10tu dépenses à peu près
00:08:125 à 7 millions d'euros au pays.
00:08:14Perdi.
00:08:16Là, on vit dans plein de manières.
00:08:18Sheltered farming. 30 bénéficiaires.
00:08:2050 millions
00:08:22dépensés
00:08:24inutilement.
00:08:26Là, on vit dans une ville vague.
00:08:28C'est ce que j'appelle encore
00:08:30l'agriculture sous la serre.
00:08:32Sheltered farming
00:08:34à 6 bénéficiaires.
00:08:3610 millions d'euros perdus.
00:08:38Sans planification,
00:08:40sans une étude scientifique,
00:08:42sans la formation,
00:08:44on finit
00:08:46avec un petit projet
00:08:48qui n'est pas
00:08:50aux États-Unis.
00:08:52On a le farming bio.
00:08:54Oui, c'est le même terme.
00:08:56Sans l'étude au préalable,
00:08:58on a le farming bio.
00:09:0065 millions d'euros perdus.
00:09:02Une petite question.
00:09:04Est-ce que
00:09:06dans le ministère de l'Agriculture,
00:09:08maintenant qu'il est là depuis 4 mois,
00:09:10est-ce qu'il y a
00:09:12une bonne institution,
00:09:14une bonne démune,
00:09:16une bonne expertise,
00:09:18dans le ministère de l'Agriculture,
00:09:20dans MSF,
00:09:22qui connaît qui peut planter,
00:09:24quand peut planter,
00:09:26dans quelle saison peut planter ?
00:09:28J'ai un maître, je le connais,
00:09:30qui a trop beaucoup d'amour
00:09:32pour ce qui est de l'époque.
00:09:34Il dit qu'il ne peut pas planter.
00:09:36Est-ce qu'il y a une solution ?
00:09:38Le malheur avec l'ancien gouvernement,
00:09:40c'est qu'il se prioritait
00:09:42à la spéculation foncière,
00:09:44le développement foncier.
00:09:46Nous devons trouver
00:09:48de quelle manière,
00:09:50quand on n'a pas fini là,
00:09:52une bonne gestion
00:09:54de la terre.
00:09:56Et là-dedans, celui
00:09:58qui paie le prix,
00:10:00c'est le petit planteur.
00:10:02Alors,
00:10:04deuxièmement,
00:10:06comme Talala l'a dit,
00:10:08il n'y a pas d'institution.
00:10:10Il n'y a pas d'approche
00:10:12finie si vous l'adoptez.
00:10:14Par exemple, Food and Agriculture Research
00:10:16at the St. John's Institute,
00:10:18ils font un très bon travail,
00:10:20ils ont de grands scientifiques,
00:10:22mais ça ne m'intéresse pas
00:10:24les autres opéranciers-là,
00:10:26si vous en avez une autre, ensemble.
00:10:28Mais ça n'a pas été fait,
00:10:30durant toute cette année-là.
00:10:32Là, régulièrement, moi et Fabrice,
00:10:34nous faisons des réunions
00:10:36avec nos camarades au sein du ministère,
00:10:38avec les différentes communautés,
00:10:40de sa communauté planteur.
00:10:42Et après,
00:10:44ce qui est malheureux,
00:10:46encore,
00:10:48c'est qu'il n'y a pas de
00:10:50mesure d'accompagnement,
00:10:52que ce soit mesure en termes
00:10:54d'inversivité financière,
00:10:56technique,
00:10:58peine de suivi,
00:11:00peine à l'approche filière.
00:11:02Ça vient de finir, donne-lui,
00:11:04ça mesure l'accompagnement,
00:11:06là, par là.
00:11:08Et les malheureux, encore,
00:11:10pour dire qu'ils étaient délaissés,
00:11:12laissés, comment dire,
00:11:14left very much on their own.
00:11:16Là, il y en a beaucoup pour attraper.
00:11:18Hein?
00:11:20Et ainsi, le coût des intrants
00:11:22peut augmenter.
00:11:24Donc, pas une
00:11:26grande enquête sur le chèvre.
00:11:28Il ne faut pas prendre un revenu, là.
00:11:30Il ne faut pas vouloir investir.
00:11:32Il faut pousser ailleurs.
00:11:34Mais concernant,
00:11:36j'ai une étude qui me fait, depuis 1974,
00:11:38c'est une FAO
00:11:40qui fait une étude
00:11:42sur la viabilité de la terre.
00:11:44Mais il y a la terre, malheureusement,
00:11:46c'est un endroit où il y a une grande spéculation française.
00:11:48Maintenant.
00:11:50Si je peux mettre un bâtiment là,
00:11:52je peux gagner 1 000 roupies.
00:11:54Et si je peux mettre un culturel ouvrier,
00:11:56je peux gagner 50 roupies.
00:11:58Pourquoi vous le mettez?
00:12:00Mais c'est un gouvernement responsable.
00:12:02Surtout, depuis 1974,
00:12:04j'ai fait mon rapport de l'FAO,
00:12:06j'ai fait beaucoup d'études,
00:12:08mon plan Cadasque.
00:12:10Mais le gouvernement
00:12:12s'est mis à définir
00:12:14ce qu'on appelle
00:12:16une zone de priorité agricole.
00:12:18Et ça, vous ne devriez pas,
00:12:20comme on a dit tout à l'heure,
00:12:22vous piquer dans la terre.
00:12:24Et après, vous avez ça,
00:12:26l'économie des chèvres, au-delà de fonds marginaux.
00:12:28C'est un regroupement, etc.
00:12:30Nous écoutons notre
00:12:32ami planté,
00:12:34et, d'un seul coup...
00:12:36Je reprends un peu ce qu'on appelle en Inde.
00:12:38Vous connaissez le projet
00:12:40biofarming, cellated farming.
00:12:42Pour quelles raisons il n'y a pas de marché ?
00:12:44Vous connaissez le projet biofarming.
00:12:46Enfin, la vérité,
00:12:48on dirait que c'est la vérité.
00:12:50Si nous faisons une enquête,
00:12:52nous verrons qui sont ces gens
00:12:54qui ont gagné.
00:12:56Est-ce qu'ils ont vraiment
00:12:58l'intérêt ?
00:13:00Est-ce qu'ils ont vraiment planté ?
00:13:02Est-ce qu'ils ont vraiment l'intérêt dans ce domaine-là ?
00:13:04Est-ce qu'ils ont vraiment développé ?
00:13:06Ou est-ce qu'ils ont simplement pris un petit peu de chèvre,
00:13:08en mettant quelque part,
00:13:10c'est ce qui fait qu'ils sont arrivés.
00:13:12Concernant Villebagge,
00:13:14c'est un projet cellated farming que vous connaissez.
00:13:16Il y a des gens qui n'ont jamais planté de la graine.
00:13:18Quand on les dit, ils gagnent la serre.
00:13:20Mais qui ne peut pas le faire ensemble ?
00:13:22Tout cela
00:13:24demande une formation.
00:13:26Nous devons former.
00:13:28Nous avons l'école hôtelier pour former des gens
00:13:30pour travailler dans l'hôtel.
00:13:32Nous avons l'invité qui forme mécanicien,
00:13:34qui forme chauffeur, qui forme tout.
00:13:36Mais nous payons l'école pour former,
00:13:38il y a une question,
00:13:40il y a un internaute
00:13:42qui m'a demandé sur Facebook,
00:13:44il m'a posé la question
00:13:46aux deux invités.
00:13:48Justement,
00:13:50dans beaucoup de pays, l'agriculture est
00:13:52comme un sujet.
00:13:54Comme un sujet dans l'école.
00:13:56Je connais Cécile, tu peux faire l'agriculture
00:13:58depuis le cours primaire.
00:14:00Mais ici, à Maurice,
00:14:02nous payons...
00:14:04Il y a un bout-de-boute, mais il faut
00:14:06une planification,
00:14:08un programme, un objectif.
00:14:10Nous payons, non, dans Maurice ?
00:14:12Non, parce que l'agriculture
00:14:14n'a jamais fait de la priorité
00:14:16de ce gouvernement.
00:14:18Par exemple,
00:14:20le problème
00:14:22de manque de main-d'oeuvre,
00:14:24il y a un issue.
00:14:26Est-ce qu'il faut développer une politique
00:14:28qui n'empêche pas le travailleur
00:14:30qui tombe
00:14:32dans sa
00:14:34circulaire
00:14:36migratoire ?
00:14:38Ils sont là,
00:14:40ils travaillent, après ils sont dans d'autres pays.
00:14:42Il y a un différent
00:14:44package pour eux.
00:14:46Mais tout en respectant la loi
00:14:48internationale du travail.
00:14:50Après,
00:14:52si vous voulez,
00:14:54vous vous adaptez, par exemple,
00:14:56vous vous asseyez avec le drone.
00:14:58Drone ?
00:15:00Parce que le drone, quand vous le servez,
00:15:02disons qu'il n'a pas
00:15:04l'esprit d'être un citoyen.
00:15:06Le drone est capable de faire son travail.
00:15:08Il aide,
00:15:10et il pallie
00:15:12sa manque de main-d'oeuvre.
00:15:14C'est comme ça qu'on réinvente tout de même.
00:15:16Il y a pour autant ça.
00:15:18Ça s'appelle aussi haute technologie,
00:15:20technologique.
00:15:22Après,
00:15:24Hollande,
00:15:26c'est l'un des plus petits pays
00:15:28en Europe.
00:15:30Il n'y a pas beaucoup de mal
00:15:32dans la Chypre.
00:15:34Mais Hollande,
00:15:36il y a des grands exportateurs
00:15:38de légumes en Europe.
00:15:40Il n'y a pas de fleurs.
00:15:42Il n'y a pas de fleurs qui viennent
00:15:44se marcher à la criée.
00:15:46Il y en a dans tous les autres pays.
00:15:48Mais Hollande,
00:15:50sur l'agriculture,
00:15:52c'est sous la serre.
00:15:56C'est intéressant.
00:15:58Israël.
00:16:00Sur l'agriculture,
00:16:02c'est fait avec de l'irrigation,
00:16:04de l'eau.
00:16:06C'est un projet d'irrigation.
00:16:08Ça nous fait un lieu de petit bonheur.
00:16:12Tout ça demande
00:16:14une grande planification.
00:16:16Israël, aujourd'hui, compte très bien.
00:16:18On peut prendre un petit pays comme Malte.
00:16:20Ils exportent.
00:16:22Il y a une ville
00:16:24qui se latère bien
00:16:26à l'Arcide.
00:16:28Mais ils exportent un type de pommes de terre
00:16:30qui est terrible.
00:16:32Un type de pommes de terre.
00:16:34C'est ce qu'on appelle recherche
00:16:36et développement.
00:16:38C'est important.
00:16:40C'est l'idée.
00:16:42On met ça dans la recherche et le développement.
00:16:44Là, il faut un dimanche commercial.
00:16:48Il faut qu'on innove ce produit-là.
00:16:50Il faut qu'on protège
00:16:52le droit de propriété intellectuelle
00:16:54de ce produit-là.
00:16:56Pour faire tout ça,
00:16:58il faut créer sa politique.
00:17:00Il faut montrer aux gens
00:17:02que l'agriculture,
00:17:04c'est non seulement l'alimentation,
00:17:06valeur nutritive,
00:17:08mais c'est un gain-pain.
00:17:10Il y a beaucoup de profit
00:17:12si on fait l'agriculture bien.
00:17:14C'est vrai.
00:17:16Les sujets, on les attend.
00:17:18Mais aujourd'hui,
00:17:20on peut mettre beaucoup l'emphase
00:17:22de ce qu'on appelle produire ce qu'on mange
00:17:24et manger ce qu'on produit.
00:17:26C'est ça le thème de l'émission, d'ailleurs.
00:17:28Bayer Sen,
00:17:30vous connaissez
00:17:32combien
00:17:34casse
00:17:36nous dépense l'importation ?
00:17:38Beaucoup.
00:17:40Plus que 60 milliards.
00:17:42Oui.
00:17:44Poisson, Bayer Sen, le énorme.
00:17:46Le poisson, c'est étonnant.
00:17:48Plus que
00:17:5011 milliards de roupies
00:17:52nous ont importés.
00:17:54Et nous l'indiquons.
00:17:56Oui, nous l'indiquons.
00:17:58Alors, ça veut dire
00:18:00qu'aujourd'hui, la tête
00:18:02vient sur les épaules.
00:18:04Nous devons redéfinir nos priorités.
00:18:06Sachant très bien
00:18:08que l'organisation,
00:18:10l'agence comme
00:18:12la Moody's Credit Ratings Agency
00:18:14peut nous aider.
00:18:16Elle peut nous aider
00:18:18à augmenter la productivité,
00:18:20qui vend des secteurs
00:18:22porteurs de l'économie.
00:18:24Et un de ces secteurs porteurs de l'économie,
00:18:26c'est ce qu'on appelle
00:18:28fish and chips.
00:18:30L'agriculture
00:18:32et la mer.
00:18:34Parce qu'il nous faut
00:18:36que l'on gère cette politique-là.
00:18:38Il nous faut être symbiose
00:18:40entre les produits de la terre
00:18:42et la mer.
00:18:44Pourtant,
00:18:46il y a ça.
00:18:48Et ce qu'on peut dire,
00:18:50c'est qu'un de nos gros problèmes,
00:18:54c'est le manque d'emploi.
00:18:56Et là aussi,
00:18:58est-ce qu'il nous suffit
00:19:00pour utiliser
00:19:02nos techniques, nos technologies,
00:19:04nos moyens ? Non, ça c'est une autre affaire.
00:19:06Mais nous retournons
00:19:08justement aux main-d'oeuvre
00:19:10étrangères.
00:19:12Est-ce que nous amourissons
00:19:14avec ce qui nous est là,
00:19:16avec ce qui nous est là,
00:19:18et avec le nombre de personnes
00:19:20qui nous amourissent,
00:19:22et avec la terre
00:19:24qui nous est disponible, cultivable,
00:19:26est-ce qu'il nous...
00:19:28Comment est-ce qu'on peut faire
00:19:30pour que l'importation de la main-d'oeuvre
00:19:32rentre bien, carré-carré,
00:19:34rentre là-dedans, carré-carré,
00:19:36et nous surmonte ça,
00:19:38même pendant X temps ?
00:19:40Tout d'abord,
00:19:42nous,
00:19:44nous faisons une coopération,
00:19:46nous nous régroupons,
00:19:48nous allons dire, une plantée moyenne,
00:19:50une lamue,
00:19:52une plantée moyenne,
00:19:54nous allons dire qu'elle plante 3 enfants,
00:19:56alors 6, 4, 5 plantées,
00:19:58nous ferons 10, 15 enfants,
00:20:00nous sommes capables de faire,
00:20:02X nombre de travailleurs,
00:20:04tracteurs, tout le monde a fait.
00:20:06Alors à tous les rôles,
00:20:08je travaille dans 15 enfants.
00:20:10Et le plus gros problème, là-bas,
00:20:12il y a des problèmes,
00:20:14le plus gros problème,
00:20:16c'est l'accès à la terre.
00:20:1890% des plantés
00:20:20qui me connaissent,
00:20:22ils n'ont pas de propriétaires terriens,
00:20:24ils ont loué le terrain,
00:20:26pour se planter.
00:20:28Et ça, il y a même une madame,
00:20:30madame Sauvier,
00:20:32qui nous dit que le plus gros problème,
00:20:34c'est la terre.
00:20:36Qui fait le plus d'encouragement
00:20:38pour planter ou pas planter.
00:20:40Regardez, là, actuellement,
00:20:42je parle pour Valère Dijoux,
00:20:44nous avons planté
00:20:4650 000 rupies,
00:20:48un enfant pour un an.
00:20:50Nous avons 2 enfants, 3 enfants.
00:20:52Fini de mettre la machine,
00:20:54fini de faire tout le travail,
00:20:56ne pas pouvoir planter,
00:20:58parce qu'il y a de l'eau.
00:21:00Si vous avez planté,
00:21:02à partir du mois de novembre,
00:21:04à la fin d'octobre,
00:21:06vous pouvez essayer de planter,
00:21:08parce qu'il n'y a plus d'eau.
00:21:10Depuis bien longtemps,
00:21:12il y a beaucoup de terrains abandonnés,
00:21:14il y a des héritiers
00:21:16qui n'ont pas connu ce terrain.
00:21:18Il faut faire un lendemain,
00:21:20ramasser tous ces terrains abandonnés,
00:21:22les regrouper,
00:21:24donner ça à des genuines planteuses,
00:21:26pas à des fausses planteres.
00:21:28Parce que dans le passé,
00:21:30nous connaissons des fausses planteres,
00:21:32des terrains abandonnés,
00:21:34il y en a encore comme ça.
00:21:36Donner ça à des genuines planteuses
00:21:38qui sont vraiment intéressées
00:21:40de planter et de faire du bien.
00:21:42Et là, nous pouvons développer,
00:21:44faire des mécanisations, faire tout.
00:21:46Justement, quand nous faisons cause,
00:21:48le problème, c'est la terre.
00:21:50Il y a un problème, la terre.
00:21:52Il y a des groupes,
00:21:54des grandes compagnies,
00:21:56sécrières et autres,
00:21:58qui font beaucoup la terre.
00:22:00Il y en a qui,
00:22:02soit ne peuvent pas planter
00:22:04ce tissu comme ça,
00:22:06soit ils peuvent planter du béton.
00:22:08Est-ce qu'il n'y a pas une possibilité
00:22:10de nous dire,
00:22:12ou de ne pas les planter,
00:22:14de mettre un côté libre
00:22:16dans la terre,
00:22:18dans la superficie,
00:22:20donner ça à des genuines ?
00:22:22Angélique, j'ai eu la suggestion
00:22:24que Marcel a fait.
00:22:26Laisse-moi te dire ce qu'il nous faut faire.
00:22:28Il nous faut pratiquer par la terre.
00:22:30Il nous faut créer ce que Marcel
00:22:32nous dit, une terre bête.
00:22:34Nous finissons de discuter de ça.
00:22:36La terre n'est pas vraiment un problème.
00:22:38Mais elle n'est disponible qu'un problème.
00:22:40Accès à la terre,
00:22:42nous faisons ça difficile.
00:22:44Et comment ferons-nous cela ?
00:22:46Parce qu'il y a un système
00:22:48qui est encore très léthargique.
00:22:50Quand le gouvernement nous a cassé
00:22:52les pays boutons,
00:22:54il y a 160 milliards
00:22:56au prix de la banque de Maurice.
00:22:58Quand il n'y a plus d'accès à la terre,
00:23:00nous, ce gouvernement,
00:23:02c'est ce qu'il veut dire,
00:23:04il nous a créé sa banque
00:23:06de données de la terre,
00:23:08qui m'a dit que toute la terre était barrée.
00:23:10Agricultural Services
00:23:12n'est pas à la terre.
00:23:14Rosebell Sugar State
00:23:16n'est pas à la terre.
00:23:18MIC finance la terre
00:23:20avec Médine
00:23:22et avec...
00:23:24Comment appeler ?
00:23:26Non, je ne sais pas.
00:23:28Dans le sud.
00:23:30Rosebell Sugar State.
00:23:32Agricultural Services.
00:23:34MIC.
00:23:36Lensco.
00:23:38SIT.
00:23:40Et après, la terre qu'il a appropriée
00:23:42est dans lui-même.
00:23:44Longtemps, tu peux donner,
00:23:46tu peux relancer la terre pour ne pas la planter.
00:23:48Oui, oui.
00:23:50Après, il y a ce qu'on appelle interline cropping.
00:23:52Aujourd'hui,
00:23:54pour moi,
00:23:56la science
00:23:58change les données.
00:24:00Vous savez,
00:24:02et ça, je le rappelle,
00:24:04c'est comme une petite crise.
00:24:08Parce que
00:24:10en 94,
00:24:12le gouvernement d'alors,
00:24:14moi, je ne connais pas si il y avait des négociations,
00:24:16mais quand
00:24:18Portugal rentre dans
00:24:20ce qu'ils appellent
00:24:22l'Union Européenne,
00:24:24l'Union Européenne Community.
00:24:26Oui.
00:24:30L'étudiant,
00:24:32l'étudiant
00:24:34s'est fait pour raffiner,
00:24:36parce qu'il tient à raffiner.
00:24:38Là, Maurice Gourmand,
00:24:40comme tout, il tient déjà 500 000 tonnes d'ici.
00:24:42C'est-à-dire un quota, non ?
00:24:44Un quota. Maurice Gourmand,
00:24:46comme tout, en 94,
00:24:48en 95,
00:24:50casse-paquet, on va dire,
00:24:52un bel succès.
00:24:54Qu'est-ce qu'il fait ?
00:24:56Il dit, comment dire, oui, nous pouvons fournir.
00:24:58Et MSRL, tout le temps,
00:25:00on reproche MSRL de ça.
00:25:02Très bon.
00:25:04Qu'est-ce qu'il dit ?
00:25:06Il dit, il n'y a aucun problème,
00:25:08nous, Maurice, nous pouvons fournir
00:25:10ça jusqu'à 10 ans.
00:25:12Qu'est-ce qu'il nous fait ?
00:25:14Qu'est-ce qu'il nous rassemble ?
00:25:16Dité.
00:25:18Tout dit et dité là,
00:25:20les combien de velvettes, les combien de carpets.
00:25:22L'État, nous venait en 95.
00:25:24Vous vous rappelez,
00:25:26sur cette campagne, dis-moi, bizarre été,
00:25:28ça s'est fait là.
00:25:30Mais nous, ici, on l'est là.
00:25:32Parce que, bon, l'ancien gouvernement
00:25:34prend l'engagement de l'Union Européenne
00:25:36et n'est pas capable, au non, d'obliger ça.
00:25:38Nous l'avons dit à Théautré.
00:25:40Donc Théautré, dis-moi, nous, nous pouvons
00:25:42venir avec de nouvelles variétés cannes
00:25:44qui peuvent réussir
00:25:46dans un endroit surhumide.
00:25:48Qu'est-ce qu'il arrive ?
00:25:50Comment planter ? Production baissée.
00:25:52Et qu'est-ce qu'ils ont dit ?
00:25:54Qui est-ce qui peut planter dité là-bas ?
00:25:56Manuel.
00:25:58Nous, on fait un petit break,
00:26:00parce que je ne sais pas si il y en a un
00:26:02qui nous fait un break.
00:26:04Et ensuite, nous continuons, nous faisons
00:26:06recentrer nos débats.
00:26:08La production, manger,
00:26:10plante ce qui nous mange et mange ce qui nous plante.
00:26:16La production, manger,
00:26:18plante ce qui nous plante.
00:26:20La production, manger,
00:26:22plante ce qui nous plante.
00:26:24La production, manger,
00:26:26plante ce qui nous plante.
00:26:28La production, manger,
00:26:30plante ce qui nous plante.
00:26:32La production, manger,
00:26:34plante ce qui nous plante.
00:26:36La production, manger,
00:26:38plante ce qui nous plante.
00:26:40La production, manger,
00:26:42plante ce qui nous plante.
00:26:44Voici notre studio,
00:26:46nos animateurs,
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00:27:20Juste déposer et sipper.
00:27:22Sans doute qu'ils diront,
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