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́ ’́ :Tempo La So revient ce lundi avec la responsabilité fiscale comme premier thème de discussion. Après la pause pour les fêtes de fin d’année, Tempo La So revient en force avec un sujet brûlant d’actualité. Ainsi, Linley Appadoo aura comme invité le Dr Ashok Aubeeluck, économiste et ancien directeur du Budget, et Bernard Saminaden, journaliste et observateur politique, en studio, alors que Kee Chong Li Kwong Wing, professionnel des finances, et Radakrishna Sadien, syndicaliste, interviendront au téléphone. 🔵Rendez-vous donc le lundi 13 janvier, de 17h30 à 19h00, à la radio. Émission à suivre également sur Facebook, nos plateformes TopFM Mauritius et TopTV Mauritius, mais aussi sur TopFM Live TV et sur la chaîne 10 de Parabole Maurice. 📞Vos appels seront les bienvenus au 2137777

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00:00:00Chers auditeurs et chers internautes qui pourraient nous rejoindre sur notre plateforme digitale,
00:00:16bonsoir et bienvenue et permettez-moi de vous souhaiter une bonne année, un petit
00:00:20peu en retard mais ce n'est pas grave, nous pourrons reprendre l'émission aujourd'hui
00:00:24le lundi 13 janvier. Alors, qui fait nous là aujourd'hui ? Tempo là, bien sûr, bien
00:00:31sûr. Le thème qui nous fait choisir aujourd'hui, c'est un thème qui dans l'actualité aujourd'hui,
00:00:37la responsabilité fiscale sur l'implication, sur préparation et sur mise en oeuvre, surtout
00:00:43le projet de loi qui nous peut discuter aujourd'hui avec moi en studio, deux invités, le docteur
00:00:50Arashotlou Bilok, économiste et ancien directeur du budget. Docteur Bilok, bonsoir et bienvenue.
00:00:55Bonsoir, Olivier, bonsoir les audiences. Et donc, nous avons Bernard Saminadin, journaliste
00:01:00et observateur politique qui habite ces réseaux avec nous souvent. Bernard, bonsoir et bienvenue.
00:01:04Bonjour et auditeurs et interprètes, bonsoir, docteur Bilok.
00:01:09Alors, Kichom Nikonguing, économiste, ancien parlementaire pour le pari du MMM dans le
00:01:13Parlement, le budget et l'économie. Je suis aussi lectureur dans l'université Maurice
00:01:17Corban de finances publiques. Et pour intervenir, je vais vous interviewer un petit peu plus
00:01:20tôt cet après-midi. Nous pouvons passer un petit peu sur l'interview dans un moment.
00:01:25Et aussi, nous prenons l'intervention justement d'un syndicaliste, Gradat Krishna Sardien,
00:01:32qui propose l'ON devant l'aspect de sa thème qu'il nous fait choisir là, les fonctionnaires,
00:01:39comment ça pour moi aussi. Mais l'actualité oblige aujourd'hui, nous
00:01:44finissons par avoir une information concernant les négociations sur la souveraineté de
00:01:50Mauritie sur les îles Chagos. Il y a une déclaration conjointe qui est faite par le
00:01:56gouvernement britannique et le gouvernement mauricien, qui dit que la discussion se passe
00:02:02bien, qu'il y a une bonne direction et qu'il y a éventuellement quelque chose pour déboucher.
00:02:11Ils disent qu'ils ont un engagement mutuel pour conclure un traité concernant les Chagos
00:02:17qui est destiné à sécuriser et garantir à long terme l'opération de la base militaire
00:02:21sur les Chagos et aussi assurer la souveraineté de Mauritie. C'est ça qu'ils font dire.
00:02:26Gavin Glover, l'atténdant général, fait une petite déclaration à la MBC sur ce sujet-là.
00:02:33Une parole qu'il fait servir, c'est « Until there is an agreement, there is no agreement ».
00:02:38C'est ce qu'il fait dire, mais il dit justement que les choses sont bien passées
00:02:43pendant qu'il est à la base militaire. Peut-être qu'il y a une réaction suite à ça sur ce sujet-là.
00:02:49Oui, mais bon, si on veut le communiquer tel quel, et le communiquer est court, il est sobre,
00:02:56il ne parle pas dans tous les détails, c'est normal, parce qu'il ne veut pas divulguer
00:03:00beaucoup de choses, il n'y a pas beaucoup de spéculation sur le montant, sur les milliards, etc.
00:03:06Et moi, j'ai eu l'occasion avec des personnes concernées et qui sont impliquées directement,
00:03:14j'ai eu l'occasion avec Gavin Glover ce matin, et il m'a dit quelque chose qui est le plus important
00:03:20pour le pays, c'est-à-dire que depuis 60 ans, il y a eu la guerre concernant la souveraineté
00:03:27de Mauritie sur les Chagos, et ça, il y a eu un « breakthrough ».
00:03:32Il n'y a même plus de détails là-bas, c'est la chose la plus importante qui nous l'a guidée là-bas.
00:03:38Et ça, c'est la première information qu'il m'a gagnée ici, et dans l'après-midi,
00:03:43dans les milieux proches du ministère des Affaires étrangères, je dirais qu'il y a un réchauffement
00:03:47des relations entre Pau-Louis et Lourdes, au-delà de Chagos,
00:03:52il parle de l'aide du gouvernement britannique concernant le changement climatique,
00:04:01quand Maurice fait face, comme on le connaît, l'océan Indien, c'est l'océan le plus chaud,
00:04:08l'océan le plus chaud de la planète, et il peut être affecté par ça.
00:04:12Mais il y a même des autres discussions qui peuvent aller au niveau manaco-bilatéral,
00:04:17dans le secteur de l'éducation, de la santé, et au-delà de ça, c'est ça qu'il m'a dit,
00:04:20il y a un réchauffement.
00:04:22– Il est bien refroidi.
00:04:24– Bien refroidi, alors ce qui peut arriver là, c'est que la diplomatie,
00:04:28il a eu un rôle très important, et c'est l'accord-là, le bon trac,
00:04:37et ce que vous pouvez comprendre, c'est qu'il peut aller dans le Parlement à Maurice,
00:04:45très bientôt, et là-bas, il peut prendre peut-être, pour des raisons techniques,
00:04:50il va quand même deux mois à peu près, en deux à trois mois.
00:04:54– Parce qu'il a besoin de voter un traité.
00:04:55– Oui, c'est ça, c'est une bonne chose.
00:04:57Bon, maintenant, les retombées, c'est possible qu'il y ait, je ne sais pas ce qu'on va dire,
00:05:03qu'il y ait un bon parti en termes d'argent, et qu'il y ait un bon parti en termes de vote.
00:05:15– Oui, la presse britannique, la presse mauricienne aussi,
00:05:18fait mention d'un nombre de 9 milliards d'externaux.
00:05:20– Oui, mais comme on le connaît, 9 milliards d'externaux, ce n'est pas grand-chose,
00:05:23mais si on gagne ce paiement-là, ce qui n'est pas encore arrivé,
00:05:27pour gagner un paiement, pour gagner un « first payment » en vrac,
00:05:31parce que si on ne peut pas atteindre 99 ans,
00:05:33on va croire que les autres ne vivent plus là, nous-mêmes ne vivons plus là.
00:05:36– C'est attendu.
00:05:36– Et il pourrait être un peu trop tard,
00:05:40et c'est un peu à cause de ça qu'il va donner une parole de choses positives.
00:05:44Et maintenant…
00:05:46– Tout pour t'accroître qu'il ne peut pas gagner une déclaration assez rapidement.
00:05:50– Oui, je suis d'accord, parce que s'il y a une communauté qui est conjointe,
00:05:54c'est aussi, c'est qu'il est dans la bonne direction.
00:05:57Si on n'a pas de communauté conjointe, et qu'il va retourner,
00:06:01et les postes vides, bon, on ne peut pas gagner de rien.
00:06:04Et là, il y a une question qu'ils m'ont posée, mais je n'ai pas de réponse,
00:06:08parce que je me suis demandé, est-ce que ces négociations-là,
00:06:11c'est mieux que les négociations qu'il y a quand Pravin Jagnath s'est négocié ?
00:06:16Je n'ai pas de réponse là-haut, mais il paraît,
00:06:19quand on décode une bonne communauté, et on regarde ce qu'il a fait à l'étranger.
00:06:25– Oui, c'est certainement un bon progrès qu'il y a.
00:06:27– Et quand on a un meilleur deal,
00:06:30la partie mauricienne, avec l'équipe qui l'a négocié,
00:06:33j'ai utilisé tout mon corridor,
00:06:37sous l'instruction, bien sûr, du Premier ministre, de Paul Béranger,
00:06:41et ça a pris ses fruits.
00:06:45Et il y a de bonnes affaires pour Maurice,
00:06:47à un moment, quand le pays fait face à pas mal de difficultés,
00:06:53au niveau, d'ailleurs, le « state of economy »,
00:06:57et il y a des chiffres qui sont manipulés.
00:07:02– Absolument.
00:07:03– Et je pense qu'il faut créer un « feel-good factor »,
00:07:07parce qu'il y a beaucoup d'entreprises qui peuvent souffrir,
00:07:11il ne faut pas oublier, beaucoup d'entreprises peuvent souffrir,
00:07:13parce que ces 5 ans, et ces 10 ans qu'il y a de Maurice qui travaillent ici,
00:07:18nous finissons de négliger la productivité,
00:07:23et nous finissons de négliger la nouvelle industrie
00:07:26qui est capable d'amener l'argent,
00:07:30qui est capable de faire la croissance durer, perdurer.
00:07:35Et aujourd'hui, il y a un retour de presque 10 ans pour rattraper,
00:07:39et ça, l'argent qui peut venir là, il peut m'aider plus dans l'économie du pays.
00:07:43– Absolument.
00:07:44– Et là, dans chaque chose, la sagesse, le bon sens, il me prie valoir.
00:07:51– Il te prie valoir, oui.
00:07:52– Et ce serait malhonnête de parler de braderie, etc. aujourd'hui.
00:07:57– Écoutez, à ton envoi, peut-être, le docteur Obilok,
00:08:00vous avez quelques mots là-dessus, sur cet accord qui paraît…
00:08:05– Moi, tout le temps, je suis optimiste,
00:08:08qu'il y ait l'accord là pour aller dans une bonne direction,
00:08:12et ce qui m'a le plus intéressé là-dedans, c'est un petit peu
00:08:16que ça prenne une importance capitale pour qu'on vienne dans un vrai état océanique.
00:08:24Moi, c'est ça, à juste un petit peu,
00:08:26quand c'est des zones exclusives économiques qui nous prennent,
00:08:31et une partie de là-bas n'est pas trop loin,
00:08:34quand vous voyez techniquement, géographiquement,
00:08:37quand nous avons l'accumulation de manganese, nos joules.
00:08:42Et là, l'important, en même temps, en parallèle avec ce qu'on peut faire,
00:08:46c'est qu'on commence à faire des négociations,
00:08:49parce qu'il y a une compagnie, je crois, de l'Inde,
00:08:52qui a déjà une permission pour exploiter 150 000 kilomètres carrés,
00:09:00il n'est pas trop loin dans ça,
00:09:01et peut-être dans une zone qui n'a pas une quantité de métal,
00:09:06de joules, de manganese, de cobalt,
00:09:09il est important,
00:09:11et nous devons commencer à faire nos formations,
00:09:13parce que ça, c'est un bon travail,
00:09:15ce n'est pas, comment dire, du jour au lendemain,
00:09:18que vous allez faire l'Inde,
00:09:19et moi, j'ai pensé à l'Université Maurice,
00:09:21qui a un département d'océanographie,
00:09:27donc il faut les réviver,
00:09:30et pour pouvoir l'exploiter,
00:09:32il faut une multidisciplinarité,
00:09:34sur chimie, sur scuba diving, sur technologie,
00:09:39sur les gens qui ont de l'IA, qui connaissent la robotisation,
00:09:43les gens qui comprennent comment faire une procédure manufacturière,
00:09:48industrielle, chimie,
00:09:50toutes ces choses-là, sur comptabilité,
00:09:52alors c'est une grande chose.
00:09:54Un chantier.
00:09:55Un chantier, là-bas, pour avant qu'ils les aient.
00:09:57Et pas seulement ça, hein ?
00:09:59Deuxièmement, c'est qu'il y a de bons compétiteurs pour la qualité
00:10:04qui m'indiquent ce tourisme marocain.
00:10:07Parce que quand on est là-bas,
00:10:09et je pense qu'on peut capturer
00:10:12le marché allemand qui est venu pour l'exclusivité,
00:10:16et là, avec plusieurs types d'îles qui sont là-bas,
00:10:20mais il nous a fallu une façon planifiée
00:10:22qui ne nous antagonise pas l'environnement.
00:10:26L'écologie, là-bas, est très, très, très fragile.
00:10:29Mais je pense que l'Algérie et ça,
00:10:33je sais qu'il y a une certaine communauté là-bas.
00:10:37Alors si maintenant il y a un marché
00:10:39qui est très florissant de l'Allemagne,
00:10:43je pense qu'il y a un bon compétiteur pour ça,
00:10:46et en même temps pour la Chine aussi.
00:10:48Mais aussi sa région.
00:10:49Là-bas, il nous a fallu mentionner,
00:10:51c'est la pétrole, le nazisme en gaz.
00:10:56Bon, là, on est un petit peu trop loin dans nos réflexions.
00:10:58Non, non, non. Enfin, il n'est pas trop là,
00:11:00mais c'est un fait.
00:11:01Oui, il manque encore un stade quand nous perdons l'arc-en-ciel.
00:11:05Qui n'est jamais dans le marché.
00:11:07Moi, j'ai un peu l'idée d'arrêter ces choses-là,
00:11:12parce que déjà, il y a une région qui est très réchauffée.
00:11:17Je ne suis pas un petit peu trop content
00:11:19d'exploiter quelque chose qui est marginal
00:11:21pour gagner du hydrocarbone.
00:11:23Je préfère qu'on gagne du hydrogène
00:11:26d'une façon hydrogène-vert.
00:11:31Naturel, oui.
00:11:32Avec l'énergie éolienne.
00:11:34Oui, tout à fait. L'UV a un grand sens.
00:11:37Ça, c'est beaucoup plus.
00:11:38Les technologies arrivent assez loin.
00:11:40Mais l'énergie éolienne, malheureusement,
00:11:42coûte bien cher.
00:11:44Pour l'instant.
00:11:45Pas nécessairement.
00:11:45Pas nécessairement, je n'ai pas envie de mentionner le livre,
00:11:50mais dans le livre, on donne des chiffres.
00:11:52On donne des chiffres que les Danois peuvent faire,
00:11:54on donne des chiffres que les Norvégiens et les Écossais peuvent faire.
00:11:58Et il est assez compétitif pour pouvoir le faire,
00:12:01s'il y a la volonté politique et économique.
00:12:04Très bien.
00:12:05Merci, monsieur, pour ce sujet-là.
00:12:06Nous avons notre thème principal,
00:12:08justement, la responsabilité fiscale,
00:12:10le Fiscal Responsibility Act.
00:12:13Et comme je l'ai dit auparavant,
00:12:15nous avons une cause avec Kichong Likongwing,
00:12:17économiste ancien parlementaire pour le Parole du MMM,
00:12:20le budget et l'économie,
00:12:22lecturé à l'Université de Maurice sur les finances publiques.
00:12:24Il m'a posé certaines questions,
00:12:26et il m'a proposé d'écouter sa interview qu'il nous a faite faire,
00:12:29et puis par rapport à ça, il nous va réagir.
00:12:32Ma régie, c'est le cas pour cette interview.
00:12:34Kichong Likongwing, merci,
00:12:36vous venez de nous, au Lacos,
00:12:37pour participer dans notre émission aujourd'hui,
00:12:39Tempo Lasso.
00:12:40Alors, pour introduire vous, un économiste,
00:12:42un ancien parlementaire pour le Parole du MMM,
00:12:45dans le Parlement sur le budget et l'économie,
00:12:47aussi lecturé dans l'Université de Maurice sur les finances publiques,
00:12:51donc aujourd'hui à la retraite,
00:12:53mais toujours un observateur très averti de la chose fiscale.
00:12:57Donc, aujourd'hui, le thème de l'émission,
00:13:00c'est justement la responsabilité fiscale.
00:13:02Alors, en tant qu'ancien responsable de chez l'économie,
00:13:05au sein du MMM,
00:13:06mais aussi expert dans le domaine économique,
00:13:08qui aux compréhensions du terme responsabilité fiscale ?
00:13:11Responsabilité fiscale,
00:13:13il existe une discipline dans la vision budgétaire.
00:13:17Il veut dire qu'il n'y a pas de responsabilité dans le passé,
00:13:21c'est-à-dire qu'il montre une irresponsabilité dans la vision du budget.
00:13:26Donc, nous avons un système pour empêcher cette irresponsabilité-là.
00:13:30Donc, nous avons une loi qui empêche ce genre de problème-là,
00:13:36quand j'ai une défense budgétaire,
00:13:38quand j'ai une augmente de la fiscalité par le plafond,
00:13:42et je crée un trou budgétaire qui permet à l'institution internationale
00:13:46de prendre la confiance dans Boris,
00:13:48et ça est capable d'affecter l'investisseur étranger.
00:13:52Donc, il y a une fiscalité soutenable,
00:13:55qui crée confiance dans le monde-là,
00:13:57dans le pays bien géré,
00:13:58et qui est capable d'investir dans le pays.
00:14:00Mais comment est-ce capable d'exiger sa responsabilité-là ?
00:14:04C'est d'une certaine manière qu'il prend en compte
00:14:06que le responsable du budget,
00:14:08que ce soit le ministre,
00:14:09que ce soit le secrétaire permanent,
00:14:11le secrétaire financier,
00:14:13que ce soit tout un officier responsable du Trésor,
00:14:17nous rendent attentibles.
00:14:18Et tout ça, donc, nous devons prévoir une sanction,
00:14:21une punition,
00:14:22dans un cadre très sévère,
00:14:24pour qu'il n'y ait qu'un vrai réchauffement discipliné,
00:14:28de rigueur et responsable.
00:14:30Mais tout ça-là dépend aussi de la transparence.
00:14:33Parce que si je modifie un budget-là,
00:14:35avec tout l'appareil qu'il y a là,
00:14:38il manipule mon chiffre,
00:14:39et je n'ai pas même publié mon chiffre,
00:14:41et je t'invoque ma confidentialité,
00:14:43ce qui veut dire qu'il prend un reporting.
00:14:45C'est pourquoi, dans ce cadre-là,
00:14:47la liberté d'information est très importante.
00:14:49Et il y a le pair avec la responsabilité fiscale.
00:14:53Après, ce qu'il nous disait,
00:14:54ce n'est pas seulement la responsabilité fiscale,
00:14:56il nous faisait très clair,
00:14:57il nous disait la transparence fiscale,
00:15:00la responsabilité et la compétence.
00:15:04Voilà.
00:15:05Donc, tous les trois éléments mis à présent dans cette loi-là.
00:15:08Tout ça-là, c'est parce que,
00:15:09parfois, il y a des règlements clairs,
00:15:12parfois, il y a des lois
00:15:14qui imposent un conduit sérieux du budget.
00:15:18On va dire la loi Côte de la route, ça.
00:15:20Mais si vous venez à la Côte,
00:15:21la Côte d'Idia où, si vous passez 80 km par heure,
00:15:25il y a une sanction,
00:15:26la Côte-Noëntrie où quelqu'un doit rentrer,
00:15:28et puis il y a cette Côte-Claire-là,
00:15:30et bien sûr, vous avez votre budget-là,
00:15:33comment vous êtes en vie,
00:15:34et puis il y a le contrôle de l'eau.
00:15:36Donc, ce qu'il nous faisait faire,
00:15:37dans le cadre de cette loi-là,
00:15:39nous faisions un amende
00:15:40régulièrement bien établie
00:15:42dans plusieurs facteurs.
00:15:43Premièrement, nos dépenses gouvernementales.
00:15:46Nous faisions une limite
00:15:47de nos dépenses gouvernementales.
00:15:49Sinon, vous pouvez continuer de dépenser
00:15:51sans fin,
00:15:52et de continuer de faire du boulot de neuf
00:15:54si vous n'êtes pas capable d'empêcher
00:15:55de dépenser encore.
00:15:56Parce qu'il y a le Parlement qui a réclamé,
00:15:57parce qu'il a décidé qu'il allait trouver
00:15:59sur l'économie pour ces échelons bons,
00:16:01et vous pouvez continuer de dépenser.
00:16:03Deuxièmement, nous faisions une limite
00:16:04sur le pourcentage de déficit budgétaire.
00:16:07Les quantités de déficit budgétaire
00:16:09par rapport à OPD
00:16:11sont capables d'être acceptables.
00:16:12Troisième limite, nous faisions alors
00:16:14le taux d'endettement.
00:16:15Ce n'est pas un certain plafond.
00:16:17Mais seulement une fois,
00:16:19il y a un élément
00:16:20qu'on ne peut pas trop comprendre.
00:16:21Et nous faisions ça aussi
00:16:23dans la public disclosure.
00:16:25Par exemple, nous faisions
00:16:26une disclosure des petites quantités
00:16:28de gouvernements qui sont garanties
00:16:29sur notre trésor,
00:16:31sur notre SPV,
00:16:32sur notre entité d'états-de-chiffres
00:16:34qui ne sont pas capables de tracer.
00:16:36Donc, c'est une limite,
00:16:37l'autre quantité garantie
00:16:39que les gouvernements donnent
00:16:40puisque ce n'est pas une différente
00:16:41société paritatique
00:16:44et pas une différente SPV.
00:16:45C'est ce qu'ils m'appellent
00:16:46les contingents de déficit budgétaire.
00:16:48Ça, c'est une limite.
00:16:49Et donc, ce règlement-là
00:16:50devient très clair.
00:16:51Et s'il y a des exceptions
00:16:53qui nous permettent de prévoir
00:16:54en cas de crise,
00:16:56comme la COVID-19,
00:16:58ou simplement en cas d'urgence,
00:17:01c'est ça.
00:17:01Aussi, il y a des provisions de la loi
00:17:04qui disent dans quels circonstances
00:17:06quelle quantité
00:17:08mangent de la manœuvre
00:17:09que nous avons donnée
00:17:10et qui disent
00:17:11qu'il y a une approbation du parlement.
00:17:14Si il n'y a pas de sanction,
00:17:16donc quand on met tout ce qui a été
00:17:17la loi, tout ce qui a été le règlement,
00:17:19c'est pour qu'on m'agende
00:17:20pour l'Occident.
00:17:21C'est pourquoi il y a une sanction
00:17:23en cas qu'ils vous transgressent la loi,
00:17:25en cas qu'il y a une violation
00:17:27de notre règle budgétaire.
00:17:28Ça ne nous compte pas.
00:17:30Il y a une provision
00:17:31qu'un ministre est capable de révoquer
00:17:33et de faire
00:17:34une récidive
00:17:36pour une récidiviste
00:17:37qui continue de dépenser la monnaie
00:17:38qu'il lui fait la provision
00:17:40et qui lui fait rendre ce pays-là
00:17:42vulnérable.
00:17:43Il y a une possibilité
00:17:44capable de disqualifier
00:17:46un officier de gouvernement
00:17:47complice dans ce genre d'affaires.
00:17:49Il n'y a pas quelqu'un
00:17:49qui peut faire ce travail-là.
00:17:51Il y a le directeur de l'EDIT.
00:17:52Il y a un institution de contrôle
00:17:55qui est capable d'arrêter
00:17:56ce genre d'excès.
00:17:57Ce qu'il a trouvé n'est pas vrai.
00:17:58Ça n'est pas arrivé.
00:17:59Il y a une technologie
00:18:00qui a fait ce chiffre-là
00:18:02pour montrer qu'il n'y a pas autant de déficits.
00:18:04Pour montrer qu'il n'y a pas de réserves,
00:18:05pour montrer qu'il n'y a pas de chiffres cachés
00:18:07près du niveau de l'endettement public.
00:18:09C'est pourquoi il y a autant
00:18:10et là, c'est ce qu'il nous appelle
00:18:12une Independent Fiscal Commission.
00:18:15Nous faisons un amende droit constitutionnel
00:18:17comme a dit Pipi.
00:18:18Donc, il est là pour agir
00:18:19vraiment pour une chaîne égale.
00:18:20Il doit évaluer les deuxièmes rapports.
00:18:22Il ne doit pas retenir ses rapports.
00:18:23Là, ça parle comme une sanction.
00:18:25Donc, nous faisons ça.
00:18:26D'autre part,
00:18:26nous travaillons en étroite collaboration
00:18:29avec les départements de l'EDIT.
00:18:30Les départements de l'EDIT
00:18:31se faiblissent ce qui est l'année
00:18:33et l'année suivante,
00:18:34ils se faiblissent en même temps.
00:18:35Ils ne peuvent plus faire la même chose.
00:18:36Donc, ils doivent élargir leur pouvoir
00:18:39pour qu'ils puissent faire de la valeur
00:18:41pour les monnaies élevées.
00:18:42Donc, le Public Accounts Committee,
00:18:44moi, je crois que
00:18:45ils doivent faire ce qu'un parlementaire
00:18:47qui s'occupe de la PAC fait.
00:18:49Ils doivent faire ça
00:18:49pour être des employés en plein temps.
00:18:52Ils doivent travailler
00:18:52à plein temps dans la PAC
00:18:54avec un équipe qui est capable
00:18:57de fouiller, de regarder
00:18:58comment on trouve M. Arsoc-Soubon
00:19:00et à la gauche, à droite,
00:19:01pour voir ce qui peut arriver.
00:19:02M. Haussmann, moi, j'ai décidé de faire ça
00:19:04parce qu'il y a un pouvoir
00:19:06sous le Parlement.
00:19:07Alors, il y a d'autres problèmes
00:19:08et d'autres maldonnées
00:19:10que le Public Accounts fait rapport au Parlement.
00:19:12Alors, tout ça demande un changement,
00:19:15un véritable changement
00:19:16au niveau de l'institution,
00:19:19au niveau du scope
00:19:20et au niveau des ressources aussi
00:19:22que l'institution doit gagner.
00:19:24L'autre aspect important,
00:19:25c'est qu'il nous faut digitaliser
00:19:26toutes les institutions
00:19:28qui concernent les dépenses
00:19:30et les revenus.
00:19:32Ce qui veut dire
00:19:33que nous devons digitaliser
00:19:34toutes ces banques de dépenses,
00:19:36nous faisons un tracing of funds,
00:19:38nous faisons un audit trail,
00:19:40nous faisons des cotes de dépenses finales.
00:19:42Et là, nous pouvons s'en servir
00:19:43dans des affaires comme la blockchain technologie.
00:19:45Nous pouvons dire qui en a qui
00:19:46qui a le droit de dépenser,
00:19:47qui a le budget pour dépenser.
00:19:49Tout de suite, nous pouvons tracer
00:19:51qui en a qui nous donne
00:19:52l'autorisation pour faire des dépenses,
00:19:54qui en a qui nous signe pour faire des dépenses.
00:19:56On dépense la cote finale de l'armée,
00:19:58qui en a, tout de suite,
00:19:59on peut le tracer
00:20:00à travers votre blockchain technologie.
00:20:01Donc, le tout dépend beaucoup
00:20:03du commitment et de la volonté.
00:20:06Le commitment politique,
00:20:08justement, c'est ce qu'il dit.
00:20:10Donc, il y a une analyse
00:20:11assez approfondie de ce qu'il pensait
00:20:18le Fiscal Responsibility Act était.
00:20:21Vos premières réactions
00:20:22par rapport à ce qu'il dit.
00:20:25Généralement, il y a beaucoup de concepts
00:20:28qui nous d'accord sur ça.
00:20:31D'ailleurs, je peux dire
00:20:32une bonne partie de ces concepts-là.
00:20:34Mais c'est moi, le problème
00:20:36est beaucoup plus complexe.
00:20:38Et ça dépend dans quelles circonstances,
00:20:40quelles variables nous avons,
00:20:42quand nous pouvons commencer,
00:20:45quel objectif,
00:20:46quelle orientation politique nous avons.
00:20:48Et nous commençons un petit peu plutôt
00:20:51qui nous comprend
00:20:52par Fiscal Responsibility Act.
00:20:55Quand nous avons fiscal,
00:20:57nous pouvons dire généralement
00:21:00qu'il n'y a pas de politique dans la case,
00:21:04dans une compagnie,
00:21:05dans un club et dans un gouvernement.
00:21:10Il n'y a pas de régional government,
00:21:12il n'y a pas de national government.
00:21:14Et la définition de l'Ouest,
00:21:18c'est qu'il peut nous dire
00:21:19fiscal responsibility,
00:21:22c'est-à-dire revenu
00:21:24et dépenses peut balancer.
00:21:26Ou dans un pays comme Mauritius,
00:21:30qui a encore beaucoup à développer
00:21:32pour arriver à un stage de développement mature,
00:21:36il n'est pas capable de faire un budget équilibré.
00:21:39D'ailleurs, il n'est pas recommandable,
00:21:41économiquement,
00:21:42qu'il y ait un budget équilibré.
00:21:44Il n'est pas recommandable
00:21:45qu'il y ait un surplus de revenus,
00:21:49sinon, nous ferions un petit peu de développement.
00:21:52Ce qui veut dire, d'une certaine façon,
00:21:54nous pouvons faire un petit peu de déficit
00:21:57aussi longtemps que le pays.
00:21:59Le déficit primaire.
00:22:01Dans un pays comme celui-ci,
00:22:03il y a une dette qu'on peut prendre,
00:22:06on peut utiliser ça pour augmenter le capital,
00:22:11pour investir.
00:22:12Et sans investir,
00:22:13parce qu'on est impératifs
00:22:15par rapport aux autres pays,
00:22:17comme l'Angleterre,
00:22:18comme l'USA,
00:22:18comme le Singapour,
00:22:19comme l'Irelande.
00:22:21Mais si on a un déficit,
00:22:22comment on peut faire de l'infrastructure,
00:22:24comment on fait de la déficit ?
00:22:26Et en même temps,
00:22:27on ne peut pas trop pénaliser
00:22:29l'autre côté.
00:22:29Quand même,
00:22:30ça n'a pas arrivé à une situation
00:22:31qu'on a réussi à faire,
00:22:33qui met tout dans le capital,
00:22:35et ça ne permet pas
00:22:36qu'on puisse vivre notre vie.
00:22:37Donc, il existe des pays
00:22:39qui s'en vont dans un an.
00:22:41Donc, on n'est pas allé arriver
00:22:42à une situation.
00:22:44Alors, il y a une perception
00:22:47qui, de l'autre côté,
00:22:49si on est trop rigide
00:22:52avec un gouvernement,
00:22:54c'est qu'on n'a pas les limites
00:22:59manœuvres.
00:23:00Moi, je pensais
00:23:03la première chose,
00:23:04c'est que quand vous permettez,
00:23:05ce n'est pas le ministre
00:23:07qui est responsable,
00:23:08mais il y a des officiers
00:23:11qui sont officiers
00:23:12et qui ont une certaine intégrité.
00:23:14Ils sont capables de résister.
00:23:16Mais ce n'est pas à cause
00:23:17de la promotion,
00:23:18ce n'est pas pour gagner.
00:23:19Ils veulent être dans les bons livres
00:23:21des ministères.
00:23:23C'est fini.
00:23:24C'est pas n'importe quoi.
00:23:25C'est bien n'importe quoi,
00:23:26c'est vraiment n'importe quoi.
00:23:27Parce qu'avant de continuer,
00:23:30nous prenons une pause rapidement
00:23:32et là, nous allons
00:23:33en plus largeur dans le sujet.
00:23:58Les symptômes,
00:23:59c'est la fièvre,
00:23:59douleur à la tête,
00:24:00douleur musculaire,
00:24:01saillement de nez,
00:24:02des taches en bas de la peau
00:24:04et aussi des boutons.
00:24:05En cas de symptômes,
00:24:07consultez votre docteur.
00:24:09Pour pouvoir prévenir,
00:24:11adoptez des bons gestes
00:24:12comme garder l'environnement propre,
00:24:14nettoyer la cour régulièrement,
00:24:16enlever les vieilles roues,
00:24:18ramasser les boîtes de conserves,
00:24:20drones,
00:24:20paquets,
00:24:21containers,
00:24:22enlever les sous-coupes,
00:24:24poufler,
00:24:25laisser les ramasser,
00:24:26dévider régulièrement.
00:24:28Ensuite, nettoyez la cour avec du drain.
00:24:31Utilisez des produits anti-moustiques
00:24:33comme le moustiquaire,
00:24:35la crème,
00:24:35le spray,
00:24:36les sandales moustiques.
00:24:38Nettoyez l'entourage,
00:24:39évacuez les gens qui ont accumulé de l'eau dans la maison,
00:24:42ramassez de l'eau dans la cour
00:24:44comme dans les boîtes de conserves
00:24:45avec des vieilles roues.
00:24:47Si vous ne respectez pas la loi,
00:24:48vous pouvez payer jusqu'à 10 000 rupees
00:24:51et jusqu'à 12 mois de prison.
00:24:53Ensemble, nous combattons les moustiques,
00:24:55gardons l'environnement propre,
00:24:57c'est une campagne,
00:24:58Ministère la Santé et bien-être.
00:25:25Infos complètes, factuelles et crédibles.
00:25:55N'oubliez pas de vous abonner à notre chaîne pour ne manquer aucune de nos vidéos.
00:26:56Les moustiques transmettent des maladies comme la dengue,
00:26:59la chikungunya et la malaria.
00:27:01Les symptômes de la dengue commencent à apparaître
00:27:03entre 4 à 7 jours après qu'une moustique infectée soit piquée.
00:27:07Les symptômes de la dengue sont la fièvre,
00:27:09la douleur de la tête, la douleur musculaire,
00:27:11les saignements de nez, la tasse en bas de la peau
00:27:13et aussi les boutons.
00:27:15En cas de ces symptômes,
00:27:16consultez votre docteur.
00:27:18Pour pouvoir prévenir la dengue,
00:27:20adoptez les bons gestes que je vous conseille.
00:27:56Il y a beaucoup de paradoxes.
00:27:58Il y a des choses qui sont bonnes parfois.
00:28:00Par exemple, si vous dépensez trop,
00:28:02beaucoup de gens disent que c'est bon
00:28:04parce qu'on peut dépenser,
00:28:06on ramasse l'argent, on fait un petit coup.
00:28:08Pour un gouvernement, parfois,
00:28:10ça dépend de la circonstance.
00:28:12S'il dépense trop,
00:28:14on peut avoir une récession.
00:28:16De la même façon,
00:28:18il y a ce qu'on appelle la fiscal policy.
00:28:20Et la fiscal policy,
00:28:22ou CFP,
00:28:24c'est la circonstance
00:28:26de l'état où l'économie est.
00:28:28Il y a des outils,
00:28:30des outils pour pouvoir
00:28:32influencer le développement.
00:28:34Mais quand on influence
00:28:36le développement, il y a des variables.
00:28:38Il y a des indicateurs.
00:28:40Comme tout à l'heure,
00:28:42Kichong a dit
00:28:44qu'on doit s'en détenir
00:28:46pour pouvoir faire
00:28:48le développement d'un pays.
00:28:50Mais on doit avoir une certaine prudence.
00:28:52Et pour cela,
00:28:54l'EU, par exemple,
00:28:56a une règle.
00:28:58On ne peut pas dépasser 60%
00:29:00de l'EU-PIB.
00:29:02On ne peut pas dépasser 60% de l'EU-PIB.
00:29:04Et beaucoup de pays ne sont pas capables de tenir.
00:29:06Mais ici,
00:29:08peut-être que
00:29:10la COVID est un outlier.
00:29:12Et c'est bon pour faire ressortir
00:29:14que la banque IMF,
00:29:16qui nous donne une certaine flexibilité
00:29:18pour les autres pays,
00:29:20a trouvé qu'à cette époque,
00:29:22il n'y a pas eu de mention
00:29:24de la mort d'une liste
00:29:26de presque 70 pays.
00:29:28À cette époque-là, c'est satisfaisant.
00:29:30Mais je pensais peut-être que la COVID
00:29:32a fait en sorte
00:29:34qu'on a oublié
00:29:36ce qu'on appelle
00:29:38l'observation des fondamentaux économiques.
00:29:40Mais c'est ça
00:29:42qui nous a déviés là-haut.
00:29:44Et là, nous sommes plus loin.
00:29:46Nous ne faisons pas quelque chose
00:29:48qui a une relation incestueuse
00:29:50entre le ministère des Finances
00:29:52et la banque de Maurice
00:29:54qu'en utilisant un total divorce
00:29:56en termes d'indépendance
00:29:58des institutions.
00:30:00Et c'est ça
00:30:02qui nous fait intiper
00:30:04le problème que Maurice a gagné.
00:30:06Maintenant, comment
00:30:08est-ce que la politique fiscale est vraiment invincible?
00:30:10Nous retournons à l'époque
00:30:12de 1930,
00:30:14quand il y a eu une grande dépression.
00:30:16Quand on emploie
00:30:18l'Angleterre, l'Amérique. L'Amérique
00:30:20est à 25 %, l'Angleterre
00:30:22à 30 %.
00:30:24Et soudain, une personne,
00:30:26c'est ça qui a commencé à s'appeler
00:30:28la police canadienne.
00:30:30Quand on dit qu'on a besoin d'une politique,
00:30:32que le gouvernement
00:30:34taxe ses revenus
00:30:36et ses dépenses,
00:30:38tout cela forme partie intégrale
00:30:40de la politique fiscale.
00:30:42Et ce qui est arrivé,
00:30:44ce qui suggère
00:30:46une affaire, c'est qu'un matin,
00:30:48il y a eu un trou.
00:30:50Tantôt,
00:30:52il a rempli
00:30:54sa éclatère. Le lendemain,
00:30:56il a fait la même chose. Il a prouvé
00:30:58qu'il gagnait de l'argent.
00:31:00Et à ce moment-là, il a généré
00:31:02à travers un multiplicateur
00:31:04un effet direct,
00:31:06un effet indirect
00:31:08et un effet indirect.
00:31:10Et le total, il a fait un effet multiplié.
00:31:12Et là, il a fait
00:31:14que l'économie revive.
00:31:16Mais ça, c'est une question
00:31:18quand il y a une dépression,
00:31:20quand il y a une récession.
00:31:22Maintenant, de l'autre côté, quand un pays
00:31:24abuse trop beaucoup,
00:31:26il y a un autre problème qui vient.
00:31:28Et c'est un prix Nobeliste
00:31:30de Milton Friedman.
00:31:32Il dit que quand le gouvernement dépense
00:31:34trop beaucoup, il y a un autre
00:31:36problème. Ce problème-là,
00:31:38ce qu'on appelle techniquement un
00:31:40cutting-out effect.
00:31:42Vous comprenez ce que je veux dire?
00:31:44Ça veut dire que si vous mettez une économie,
00:31:46une fiscale politique très expansionnerie,
00:31:48il n'y a pas de crowd-out
00:31:50ressources. C'est-à-dire
00:31:52le secteur gouvernement prend les meilleurs
00:31:54ressources humaines.
00:31:56Le secteur privé ne gagne pas ça pour faire
00:31:58le développement. Il prend
00:32:00les ressources financières.
00:32:02Le secteur privé ne gagne pas ça.
00:32:04Alors le pays devient totalement
00:32:06dépendant du gouvernement.
00:32:08Mais le gouvernement,
00:32:10il n'est pas un bon gestionnaire
00:32:12de toutes les choses
00:32:14qu'il a besoin tous les jours.
00:32:16Il est bon pour l'infrastructure,
00:32:18etc. Il a besoin
00:32:20qu'on fasse la différence.
00:32:22Quel gouvernement peut faire mieux?
00:32:24Quel secteur privé peut faire mieux?
00:32:26Ok?
00:32:28Maintenant, peut-être
00:32:30toute cette question
00:32:32de responsabilité fiscale,
00:32:34revient à ce que je viens de dire,
00:32:36sur l'ancien gouvernement et qui,
00:32:38le nouveau gouvernement,
00:32:40fait une ligne de l'avant avec un
00:32:42bilan
00:32:44économique qui paraît
00:32:46catastrophique. Et c'est là que sa
00:32:48responsabilité fiscale
00:32:50pévite sur le plateau, sur la table
00:32:52pour discuter.
00:32:54Aujourd'hui, quand nous pétons dire
00:32:56que, par exemple, il y a une relation
00:32:58incestueuse, comme l'adopteur au bilan
00:33:00qui me dit, entre la MIC
00:33:02et l'avocat de Maurice et le ministère des Finances,
00:33:04tout cela
00:33:06vient montrer que, quelque part,
00:33:08jusqu'à l'heure, les choses peuvent
00:33:10marcher correctement. Est-ce qu'il arrive l'un
00:33:12pour mettre l'autre dans tout ce qui lui passe?
00:33:14Oui, bien sûr, parce que depuis longtemps,
00:33:16il a besoin de sa responsabilité fiscale. D'ailleurs,
00:33:18c'est un des
00:33:20bibles
00:33:22de la Banque mondiale.
00:33:24Il dit qu'il a besoin
00:33:26de bien gouverner,
00:33:28de responsabilité fiscale,
00:33:30il a besoin de transparence
00:33:32et dans ce qu'il veut faire,
00:33:34il a besoin de transparence
00:33:36et il arrive
00:33:38un bon moment, parce que
00:33:40quand il y a de l'argent qui est gaspillé,
00:33:42quand il y a des rapports logiques
00:33:44l'année après l'année,
00:33:46il y a des millions,
00:33:48peut-être même des milliards d'argent
00:33:50qui est gaspillé sans
00:33:52que personne ne le rende compte.
00:33:54Et l'autre problème
00:33:56qui existait, vous le disiez
00:33:58pendant la pause, c'est qu'il y a un lobby
00:34:00qui tue les projets.
00:34:02Par exemple,
00:34:04il y a un exemple qui est encore là,
00:34:06pour vous rappeler,
00:34:08ce matin, la radio
00:34:10avait fait très chaud
00:34:12et le CEB a fait
00:34:14un tour sur les moteurs,
00:34:16parce qu'il y avait beaucoup de charbon
00:34:18et d'huile, parce qu'il
00:34:20avait traversé les 525 mégawatts,
00:34:22il y avait un récord,
00:34:24qui va venir encore.
00:34:26Et il y a quelques
00:34:28années de ça, le CEB lance un appel d'offres
00:34:30pour tuer le gaz.
00:34:32Et moi, c'était faux,
00:34:34George. Et
00:34:36à l'époque, le directeur d'alors
00:34:38du CEB, moi, c'était Gérard Ibra,
00:34:40qui est parti d'ailleurs, la retraite,
00:34:42et le contrat
00:34:44s'est alloué à une firme
00:34:46spécialisée dans le secteur, c'était une
00:34:48firme grecque, dont il y a
00:34:50l'antenne en Afrique du Sud.
00:34:52Le contrat était autour, à peu près,
00:34:54de 6 à 7 milliards.
00:34:56Le contrat, il finit à allouer,
00:34:58j'arrive au stade
00:35:00de discussion technique
00:35:02avec mon dimanche dans CEB,
00:35:04et soudain, quelqu'un au ministère
00:35:06de finances décide
00:35:08pour
00:35:10ne pas accorder le contrat
00:35:12à sa firme là,
00:35:14alors qu'il tombe à la procédure, il n'y a pas assez,
00:35:16ils l'ont sélectionné,
00:35:18et je te laisse ça, après quelques
00:35:20temps, j'étais dans mon lobby,
00:35:22c'était une firme indienne qu'ils choisirent,
00:35:24et quand la firme indienne est venue à la table
00:35:26des négociations, quand j'ai posé une question
00:35:28à l'équipe technique du CEB,
00:35:30ils n'ont pas répondu à ma demande,
00:35:32finalement, le projet
00:35:34n'a pas été abouti,
00:35:36résultat, sa projet
00:35:38des centrales à gaz
00:35:40n'a pas été
00:35:42opéré,
00:35:44et aujourd'hui, comme on demande aux gens
00:35:46qui connaissent ce secteur-là,
00:35:48si vous faites ce projet-là aujourd'hui, il peut coûter
00:35:5012 milliards.
00:35:52Qui est-ce qui est plus responsable aujourd'hui
00:35:54quand le
00:35:56CEB a rajouté plus beaucoup d'argent?
00:35:58Qui est-ce qui peut payer ça?
00:36:00Qui est-ce qui prend la responsabilité
00:36:02de sa lobby qu'ils veulent faire
00:36:04pour tous les projets qui sont bénéfiques
00:36:06pour le pays
00:36:08à un moment où il y a une crise
00:36:10énergétique, parce que la population
00:36:12a de plus en plus
00:36:14de morcellements
00:36:16qu'elle peut construire, avec le salaire
00:36:18elle peut brûler plus...
00:36:20Il ne servit plus beaucoup d'électricité.
00:36:22Un projet vital,
00:36:24et qui tout le temps
00:36:26est l'opposition, tu tiens la sonnette d'alarme,
00:36:28tu tiens la sonnette d'alarme
00:36:30de l'horlogeuse énergétique.
00:36:32Et aujourd'hui, qui est-ce qui prend la responsabilité
00:36:34de ça? Un projet qui coûte 12 milliards,
00:36:36peut-être plus même.
00:36:38Justement, c'est qui
00:36:40Chung finit d'être allé là, c'est qui
00:36:42quelque part,
00:36:44il ne pas seulement amène le projet,
00:36:46mais il est bizarre, coste-effectif, sa projet-là.
00:36:48Maintenant, il y a des affaires où tu peux ajouter,
00:36:50parce que c'est
00:36:52beaucoup de questions macro-économiques, sur la dette.
00:36:54Il y en a plein de dettes qui
00:36:56vont faire,
00:36:58il y en a plein de dettes qui vont obliger à faire.
00:37:00Pareil, comment un dimanche, ils prennent un loan,
00:37:02ils prennent une dette
00:37:04pour construire une maison,
00:37:06ils payent ça aux 15 ans, aux 20 ans, aux 25 ans.
00:37:08C'est plein de dettes
00:37:10qui nécessitent.
00:37:12Il est vrai que dans de grands pays,
00:37:14comme au Japon, comme aux Etats-Unis,
00:37:16j'ai tant de dettes,
00:37:18même la France a tant de dettes,
00:37:20et quand je t'investis dans un projet d'infrastructure,
00:37:22et
00:37:24c'est un projet de service,
00:37:26comme le métro à Maurice.
00:37:28Le métro, c'est quoi ?
00:37:30C'est un projet,
00:37:32c'est pas un projet qu'il fait,
00:37:34il n'y a aucun projet de métro
00:37:36dans le monde qui est rentable.
00:37:38C'est un projet
00:37:40qui finit en amenant quoi ?
00:37:42C'est-à-dire,
00:37:44il y a un service qu'il nous fait.
00:37:46Mais quand on fait ce projet-là,
00:37:48il n'y a pas de manquement,
00:37:50entre autres.
00:37:52Et comme on connaît, il y a maintenant Bouteillaz,
00:37:54dans quatre villes,
00:37:56et un projet
00:37:58qui est mal fait.
00:38:00Mais le projet en lui-même,
00:38:02le projet de métro,
00:38:04c'est un projet qu'il a besoin de faire depuis longtemps.
00:38:06C'est-à-dire que ça a un coût de casse.
00:38:08Mais c'est pas un projet
00:38:10qui est rentable, même en Angleterre
00:38:12aujourd'hui.
00:38:14En Angleterre aujourd'hui, après cent ans,
00:38:16ce système ferroviaire,
00:38:18c'est cette année-ci qu'ils ont payé le dividende.
00:38:20Ça veut dire que pendant toutes ces années-là,
00:38:22il y a un déficit.
00:38:24Mais c'est pas un projet pour eux, mais c'est moi, le gouvernement,
00:38:26quand ils venaient de l'avant, avec le projet métro,
00:38:28ils avaient des mesures qu'ils avaient à prendre,
00:38:30notamment,
00:38:32il y a eu un cinquantenaire
00:38:34qui est venu de Maurice, le professeur
00:38:36qui, je me rappelle,
00:38:38il était ministre du transport à l'époque,
00:38:40il a fait un rapport,
00:38:42c'est à ce rapport-là qu'il a dû dire.
00:38:44Il a dû dire qu'il avait besoin d'introduire
00:38:46le congestion pricing, tout le monde qui rentre
00:38:48dans le capital, de sept heures
00:38:50à neuf heures et demie, ils ont besoin de payer une taxe,
00:38:52oblige les gens à prendre un autre mode
00:38:54alternatif de transport,
00:38:56alors,
00:38:58ça n'a pas fini d'appliquer,
00:39:00les gens continuent d'acheter,
00:39:02ils continuent de prendre le taux, ils rentrent dans le capital.
00:39:04Maintenant, celui qui peut avoir
00:39:06la volonté politique
00:39:08d'appliquer ça,
00:39:10il est là, où vous avez un résultat
00:39:12qui est bizarre, au niveau du métro,
00:39:14et il n'est pas capable...
00:39:16La congestion routière aussi.
00:39:18Alors, nous avons
00:39:20Radha Krishna Sadyan en ligne,
00:39:22justement,
00:39:24Radha Krishna Sadyan,
00:39:26bonsoir et bienvenue dans l'émission.
00:39:28Oui, bonsoir Linley,
00:39:30et bonsoir tout le monde qui est là.
00:39:32Alors, vous me connaissez, vous finissez d'écouter un petit peu
00:39:34l'émission depuis le début,
00:39:36et je vous écoute, justement, Kichong Likongmin,
00:39:38qui fait une cause sur la responsabilité
00:39:40de tout un chacun,
00:39:42sur la responsabilité fiscale,
00:39:44sur la responsabilité des ministres,
00:39:46mais il fait une cause,
00:39:48surtout, sur la responsabilité
00:39:50des hauts cadres et de certaines
00:39:52personnes qui sont impliquées
00:39:54dans la gestion
00:39:56d'un budget.
00:39:58Et ça, c'est des fonctionnaires.
00:40:00Donc, vous, en tant qu'un syndicaliste,
00:40:02quand vous entendez ça,
00:40:04c'est un syndic qui, justement,
00:40:06prend sa responsabilité.
00:40:08Est-ce qu'il, déjà,
00:40:10vous trouvez ça, c'est un bon
00:40:12mouvement qui responsabilise
00:40:14et qui est dans la même sanction
00:40:16sur les autres côtés?
00:40:18Oui, pour moi, la loi,
00:40:20elle est là, mais elle a aussi l'attitude.
00:40:22Mon avis réfère, moi,
00:40:24avec la constitution. La constitution
00:40:26dit qu'il y a un ministre qui n'est pas
00:40:28capable de donner
00:40:30la direction politique.
00:40:32C'est-à-dire qu'il n'y a pas
00:40:34de mission de gouvernement liée
00:40:36à un programme. Maintenant,
00:40:38les fonctionnaires sont là pour exécuter
00:40:40le programme du gouvernement du jour.
00:40:42Je pense qu'il faudrait qu'on comprenne ça bien
00:40:44parce que beaucoup de monde se confondent
00:40:46entre ce travail dans l'intérêt
00:40:48du gouvernement du jour
00:40:50avec l'intérêt d'un parti politique.
00:40:52Je pense que les fonctionnaires
00:40:54le comprennent très bien.
00:40:56Ce qui permet, je vous le dis,
00:40:58vous trouvez, dans le passé,
00:41:00de mentionner le cas
00:41:02de mauvaise gouvernance,
00:41:04de ne pas finir aussi
00:41:06les procédures qui suivent,
00:41:08le gaspillage de fonds publics.
00:41:10Mais après, vous vous posez une question
00:41:12des années qui se passent,
00:41:14le rapport fini, terminé dans le tiroir,
00:41:16le rapport PAC,
00:41:18est-ce que tout le monde,
00:41:20que les politiciens, que les hauts fonctionnaires,
00:41:22est-ce qu'il y a une récolte?
00:41:24C'est la raison publique, ça.
00:41:26Pour cette raison-là, moi, je suis totalement
00:41:28dans la responsabilité actuelle.
00:41:30Mais c'est un point important,
00:41:32c'est le mindset.
00:41:34C'est pourquoi j'ai mentionné,
00:41:36après que le gouvernement finit
00:41:38le pouvoir, c'est vrai,
00:41:40le gouvernement finit le pouvoir
00:41:42avec 80% de vote,
00:41:44il y a un changement,
00:41:46pas seulement de personne,
00:41:48mais au niveau de la politique.
00:41:50Une façon de faire qui faisait affaire
00:41:52aussi dans le dialogue.
00:41:54Il y a un gouvernement qui finit
00:41:56avec la politique dictatoriale,
00:41:58la mauvaise gouvernance,
00:42:00casse-pillage des fonds publics, etc.
00:42:02Maintenant, il faut dire ce changement-là
00:42:04et résumer dans ce changement de latitude-là.
00:42:06Moi, je vous réfère à cette section
00:42:08de la constitution-là.
00:42:10Maintenant, je voulais aussi dire au départ
00:42:12qu'il y a une induction.
00:42:14On connaît quelqu'un qui est ministre,
00:42:16une fonction publique.
00:42:18Quand on est ministre,
00:42:20comme on dit, on vit dans un tiroir,
00:42:22dans un petit royaume.
00:42:24Il y a quelqu'un qui appelle un non-fonctionnaire.
00:42:26Je l'ai vu dans mon bureau.
00:42:28Mais ça n'a pas de sens.
00:42:30Il y a quelqu'un qui, quand il est ministre,
00:42:32il croit qu'il est capable d'appeler un fonctionnaire
00:42:34à un petit moment.
00:42:36Alors, je pensais qu'il fallait
00:42:38que ce fonctionnaire-là aussi
00:42:40se protéger quand il fait son travail.
00:42:42Pas oublier qu'il y a un bon fonctionnaire
00:42:44cadre administratif,
00:42:46qui travaille tout seul,
00:42:48qui donne réponse à des questions parlementaires
00:42:50sur le fonctionnaire qui travaille.
00:42:52Les fonctionnaires administratifs,
00:42:54ils dépendent de l'autre support technique,
00:42:56c'est-à-dire département de finance,
00:42:58département de professionnel technique,
00:43:00département H.O.
00:43:02Ils dépendent du mouvement professionnel
00:43:04qui contient ce dossier.
00:43:06Maintenant, si un PS dit qu'il y a la tête,
00:43:08le ministère devient une affaire qui est réalisée,
00:43:10qui compte justement les règlements.
00:43:12Il devrait faire le ministère plaisir.
00:43:14C'est ça un peu le problème de la fonction publique.
00:43:16Beaucoup de nos fonctionnaires
00:43:18peinent sa courage pour dire au ministère
00:43:20que c'est une affaire réelle.
00:43:22Peut-être qu'il y a une façon d'y aller.
00:43:24Alors, quand on dit qu'il y a un ministre,
00:43:26on peut dire que c'est parce qu'il y a
00:43:28un transfert qui se fait,
00:43:30ou qu'il y a un ministre après une élection,
00:43:32ou qu'il y a un fonctionnaire qui est allé
00:43:34à l'eau dans ses faveurs.
00:43:36Le ministre doit calculer
00:43:38s'il peut faire du bien
00:43:40quand il peut fonctionner dans l'administration.
00:43:42Est-ce qu'il n'a pas besoin de laisser
00:43:44son fonctionnaire opérer le travail?
00:43:46Bien sûr, quand c'est une affaire réelle,
00:43:48on peut dire que c'est un rapport
00:43:50qui est sorti actuellement de la finance.
00:43:52Qui sont ces fonctionnaires qui font le travail
00:43:54dans ce rapport-là?
00:43:56Qui sont les bureaux statistiques?
00:43:58Qui sont les ministères de finances
00:44:00qui font donner de l'information
00:44:02à l'ancien gouvernement?
00:44:04Vous savez, quelque part,
00:44:06il y a des gens qui n'ont pas de cerveau.
00:44:08J'entends dans l'émission,
00:44:10il y a un camarade qui dit
00:44:12qu'il y a des gens qui sont contre
00:44:14l'accountability.
00:44:16C'est important là aussi.
00:44:18Effectivement, il ne faut pas
00:44:20t'appeler quelqu'un.
00:44:22Si c'est un chef dans l'administration
00:44:24gouvernementale, il est capable
00:44:26de faire mettre le ministre à l'office
00:44:28pour qu'il le mette de l'autre côté.
00:44:30Après, il met le dirigeant de l'office
00:44:32pour qu'il le mette de l'autre côté.
00:44:34Il peut dire qu'il n'y a pas d'allocation
00:44:36de contrat. Qu'est-ce qu'il est capable de faire?
00:44:38C'est pourquoi le changement.
00:44:40Il a besoin maintenant d'un mindset
00:44:42comme un politicien.
00:44:44Il a besoin d'un cadre administratif
00:44:46au pire, en toute transparence.
00:44:48Il a besoin de travail.
00:44:50Il a besoin d'un technicien
00:44:52et d'une équipe de techniciens.
00:44:54Si je peux venir avec mon ministre
00:44:56et dire que c'est moi qui décide
00:44:58toutes les affaires, il a besoin
00:45:00de faire respecter la constitution.
00:45:02C'est pourquoi vous connaissez à plusieurs reprises
00:45:04qu'on a toujours la guerre pour ce public service.
00:45:06Parce que ça a fonctionné.
00:45:08Il a besoin de protection.
00:45:10S'il n'a pas fait son travail,
00:45:12il a besoin d'une aide.
00:45:14Quand l'on trouve un ministre qui ne fait pas son boulot,
00:45:16quand on lui dit que c'est lui qui a pris le transfert,
00:45:18on ne gagne pas le temps.
00:45:20Quand on lui demande de prendre un ministère
00:45:22mais qu'il n'a pas fait son boulot,
00:45:24quand on ne lui demande pas de garder son bureau,
00:45:26quand on lui demande d'arrêter son émission,
00:45:28tout cela arrive dans la fonction publique.
00:45:30Malheureusement, on ne peut pas prendre
00:45:32ce type de personnel.
00:45:34Il y a quelques fonctionnaires
00:45:36qui ont longtemps été déposés
00:45:38à la carte d'administration
00:45:40la loi, mais il faut des mindsets. Parce qu'ils auront dit, nous n'avons plus de l'île à voir dans ce pays-là.
00:45:44Le problème, c'est la mise en pratique de la loi. C'est un nouveau problème qu'ils auront à s'ouvrir.
00:45:48Donc, je pense qu'il est important, camarade Bimbé, qu'ils nous arrêtent sur l'attitude
00:45:54« yes, yes, ministre, yes, ministre ». Bien sûr, mais quand ils n'ont qu'une sortie qu'un ministre peut faire,
00:46:00c'est de nous responsabiliser. Nous ne payons pas l'État pour faire ce travail-là, pour donner nos conseils.
00:46:05Nous ne pouvons pas payer pour donner nos conseils. Nous avons besoin d'y aller.
00:46:08Maintenant, il faut dire de l'autre côté qu'il y a une protection. Parce que si quelqu'un nous dit qu'il y a une sortie,
00:46:14mais qu'il n'y a pas de comptant, il a besoin d'une protection quelque part.
00:46:17C'est un rapport de sa secrétaire cabinet. Il y a des secrétaires cabinets là aussi.
00:46:20Ils comprennent, ils passent le message qu'il y a de ça. Donc, on ne peut pas faire ce travail.
00:46:24Maintenant, si quelqu'un le dit, il ne peut pas faire le travail.
00:46:26Si quelqu'un le dit, il fait le travail. Donc, il faut dire que la classe fonctionnaire
00:46:30nous exécute la politique du gouvernement dans le cadre de la loi, dans le cadre des règlements qui existent.
00:46:36Et si quelqu'un dit qu'il n'est pas possible d'aller là-dedans parce qu'il a un problème de contrat qu'il a loué,
00:46:42ou si quelqu'un fait une complice dans sa situation, quand il prend des décisions,
00:46:48après, il a une sortie, il y a un Golden Handshake.
00:46:50Je pense que c'est ça. Fiscal Responsible.
00:46:52Il faut aussi bien adresser ses problèmes. Il ne faut pas qu'il y ait une sortie comme ça, stock-free.
00:46:57Très bien. Merci beaucoup pour ce que vous venez de dire.
00:47:03dans l'encontre ensemble avec ce qui mène les autres indiens.
00:47:06Donc, restez avec nous si vous êtes capables et si vous avez besoin d'intervenir, nous allons vous intervenir.
00:47:12Bien sûr, bien sûr, on ne va pas vexer.
00:47:14D'accord. Alors...
00:47:15Il y a un cas, un cas récent, qui est de l'actualité,
00:47:21qui n'est pas directement fiscal responsable, c'est le directeur de la météo.
00:47:25Quand il y a une guerre en Togo, on dit avec l'ancien ministre Usnu,
00:47:30il a fini avec nous, il a fini avec nous,
00:47:32et finalement, il a été suspendu de ses fonctions.
00:47:37C'était un cas.
00:47:38Absolument.
00:47:39Et, parmi tant d'autres, il est arrivé...
00:47:41Oui, écoute, montrer justement la lacune d'un système.
00:47:44Alors, il y a quelque chose que peut-être je ne vais pas finir par citer là-dedans,
00:47:47quand je suis un petit peu causé, je vais partager avec vous,
00:47:49c'est de dire que tout ça dans cette loi-là,
00:47:52il y a une entité qui existait, une entité indépendante,
00:47:56justement pour assurer que tout quelque chose ne se passe pas dans les normes.
00:48:00Quand il y a, par exemple, un fonctionnaire qui est en conflit avec le ministre
00:48:06ou d'autres fonctionnaires qui n'est pas d'accord avec la décision qu'il prend,
00:48:09il est capable de dire à l'instance-là,
00:48:12il peut dire, ok, ça c'est raison qu'il fait,
00:48:14mais il n'est pas capable de faire ça,
00:48:16et regardez s'ils sont capables, est-ce qu'ils sont d'accord avec l'instance pareille.
00:48:20Et, bon, vous pensez, peut-être, formation est important,
00:48:26et il est important que tous les services civils se connaissent
00:48:30qu'ils servent le gouvernement du jour,
00:48:32qu'ils, comme s'agendaient,
00:48:35décident de la politique, de l'implémentation,
00:48:39mais le service civil est la moitié du gouvernement,
00:48:43parce que nous méritons le même système que les Britanniques,
00:48:46et tous les gens qui font un peu de British Constitution
00:48:49connaissent que le service civil
00:48:51fait 50% du gouvernement.
00:48:54Bon, il y a beaucoup de décisions,
00:48:56moi, tout récemment,
00:48:58j'ai un ministre,
00:49:01qui est un fini ministre,
00:49:03il prend une position plus haute,
00:49:05il dit à moi comme ça, dans son ministère,
00:49:0790% des décisions,
00:49:09il ne les connaît pas.
00:49:11Jusqu'à l'arrivée de l'armée,
00:49:14assurément qu'il s'occuperait de ce fini ministre.
00:49:17Et tout le temps, je connais la presse,
00:49:19tu peux tout le temps appeler ton ministre,
00:49:21mais peut-être qu'ici, il y en a,
00:49:23il n'y en a pas assez.
00:49:24Absolument, il faut bien connaître qui peut passer au sein de son ministère.
00:49:27Mais, généralement,
00:49:30moi, disons, si je dis à moi-même l'expérience,
00:49:33quand j'ai quelqu'un qui...
00:49:35je ne suis pas quelqu'un de très prétentieux,
00:49:37parce que tout le temps, ce qu'il me fait,
00:49:39je travaille par théorie,
00:49:42je travaille par évidence,
00:49:44je travaille par statistique.
00:49:46Quand on est venu tout le temps,
00:49:48et tout le temps, j'ai l'habitude, je cite les sources,
00:49:50quand j'ai mon statistique.
00:49:52Par exemple, si j'étais, beaucoup de fois,
00:49:54les gens, parfois, sont confus,
00:49:56les journalistes aussi, beaucoup.
00:49:58Ils n'ont pas pu faire autrement, convenablement.
00:50:00Une fois, nous écrire,
00:50:02écrire un rapport,
00:50:04ce n'est pas un budget, ce n'est pas n'importe quel rapport,
00:50:06c'est possible.
00:50:08C'est à l'époque qu'il peut écrire, là.
00:50:10C'est la figure.
00:50:12Et les statistiques, elles le mettent bien.
00:50:14Elles le mettent dans un petit footnote,
00:50:16ou avec un superscript,
00:50:18ils le disent provisionnel.
00:50:20Il y a une première estimation,
00:50:22il y a une figure révisée,
00:50:24parfois, la base changée.
00:50:26Alors, tout cela, on peut l'écrire.
00:50:28Quand on peut l'interpréter, on peut l'écrire.
00:50:30Pour ne pas fousser le débat,
00:50:32pour ne pas, comment dire, faire totalement
00:50:34«everything is dark».
00:50:36On ne peut pas faire un petit peu comme
00:50:38l'époque d'Hitler,
00:50:40qui disait «everything white becomes dark
00:50:42and everything black becomes white».
00:50:44Donc, il nous faut un certain
00:50:46objectif, une certaine conscience
00:50:48aussi, quand on peut faire
00:50:50l'analyse, quand on peut faire tout cela.
00:50:52Parce que, si on peut faire
00:50:54une confusion, là,
00:50:56on peut travailler
00:50:58pas pour le pays.
00:51:00On peut travailler pour qui?
00:51:02«For your self-aggrandisement».
00:51:04Vous pouvez penser,
00:51:06«the first loyalty is to Mauritius».
00:51:10Il y a une autre chose
00:51:12qui peut se dire, c'est que, justement,
00:51:14le fonctionnaire
00:51:16besoin d'un certain
00:51:18niveau de protection.
00:51:20Parce qu'il vient travailler dans un cadre,
00:51:22quand les passants ont l'impression qu'ils veulent l'oublier,
00:51:24les lobbyistes l'attaquent,
00:51:26que le ministre n'a pas d'idées sur la loi l'oublier.
00:51:28Donc, est-ce que, justement,
00:51:32l'institution
00:51:34qui peut proposer pour les gens là,
00:51:36c'est là, c'est eux qui
00:51:38peuvent vérifier.
00:51:40Ils se gardent fous. Est-ce qu'il y a pas autant
00:51:42dans ça, ils donnent sa protection là?
00:51:44Il y a pas autant. Si le fonctionnaire
00:51:46ne garde pas sa protection là,
00:51:48là, nous parlons d'une situation
00:51:50de paralysie de la fonction publique.
00:51:52Vous pouvez avoir
00:51:56un «gosselot»
00:51:58où le fonctionnaire
00:52:00ne peut pas trop «casser la tête».
00:52:02C'est-à-dire qu'il n'a pas vraiment sa responsabilité là
00:52:04ou s'il se trouve
00:52:06qu'il y a pas de pression,
00:52:08qu'il n'y a pas de harassment
00:52:10systématique,
00:52:12il peut poser problème.
00:52:14Maintenant, ce projet de loi-là,
00:52:16comment il peut être,
00:52:18tous les tenants et aboutissants
00:52:20du projet de loi, est-ce qu'il peut avoir
00:52:22un effet rétroactif?
00:52:24Moi, je ne suis pas content de la loi qui n'a pas d'effet rétroactif.
00:52:26La loi qui n'a pas d'effet rétroactif,
00:52:28c'est la loi qui n'a pas d'effet rétroactif.
00:52:30Moi, je trouve ça anti-démocratique.
00:52:32Je ne sais pas.
00:52:34Mais la loi-là,
00:52:36comment elle peut être,
00:52:38il ne faut pas qu'il y ait aussi
00:52:40un bon fonctionnaire
00:52:42qui a un certain niveau
00:52:44académique,
00:52:46qui a un certain niveau
00:52:48assez haut dans la hiérarchie.
00:52:50Je ne suis pas capable de vous dire
00:52:52là, vous êtes la main,
00:52:54de dire non, que le ministre ne peut pas mettre pression sur moi.
00:52:56Quelque part,
00:52:58c'est un petit peu ce qu'il ne peut trouver
00:53:00avec l'affaire MIC.
00:53:02Par exemple, l'affaire MIC,
00:53:04qui est arrivée.
00:53:06C'est comme des passe-boules.
00:53:08Il faudrait une synergie
00:53:10entre le ministre
00:53:12et le fonctionnaire.
00:53:14Il n'y a pas autant.
00:53:16Si on a ça,
00:53:18on va mettre n'importe quel projet de loi.
00:53:20Maurice, il a beaucoup de projets de loi
00:53:22qu'il fait, mais
00:53:24il faut qu'on mette ça en pratique.
00:53:26C'est là que ça pose problème.
00:53:28C'est ce qu'il a dit tout à l'heure.
00:53:30C'est là qu'il pose problème.
00:53:32Il faut qu'on parle
00:53:34et qu'on débatte.
00:53:36Nous prenons une pause tout de suite
00:53:38et puis nous revenons.
00:53:40Et puis nous viendrons aussi,
00:53:42car on a téléphoné sur le 213 77 77
00:53:44pour voir ce qui fait une débat jusqu'à l'heure.
00:53:46Mais nous prenons une pause tout de suite et nous revenons.
00:53:54Tempola sous.
00:53:56Où la voie, où s'y met la nuit.
00:54:24Comment garder l'environnement propre.
00:54:26Nettoyer la cour régulièrement.
00:54:28Enlever la vieille roue.
00:54:30Ramasser la boîte de conserve.
00:54:32Trône, baquets, containers, dis-le.
00:54:34Enlever la soucoupe.
00:54:36Poufler.
00:54:38Ramasser.
00:54:40Dévider régulièrement.
00:54:42Nettoyer la cour avec du drain.
00:54:44Servir des produits anti-moustiques.
00:54:46Moustiquaires, la crème,
00:54:48spray, sandales moustiques.
00:54:50Nettoyer l'entourage.
00:54:52Ramasser l'eau dans la cour.
00:54:54Commander la boîte de conserve avec la vieille roue.
00:54:56Si on ne respecte pas la loi,
00:54:58on peut payer jusqu'à 10 000 euros
00:55:00et jusqu'à 12 mois de prison.
00:55:02Ensemble, nous combattons les moustiques.
00:55:04Gardons l'environnement propre.
00:55:22Réfléchir.
00:55:24Fiscaliser.
00:55:26Réfléchir.
00:55:28Fiscaliser.
00:55:30Fiscaliser.
00:55:32Fiscaliser.
00:55:34Fiscaliser.
00:55:36Fiscaliser.
00:55:38Fiscaliser.
00:55:40Fiscaliser.
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00:55:44Fiscaliser.
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00:55:48Fiscaliser.
00:55:50Fiscaliser.
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00:55:58Fiscaliser.
00:56:00Fiscaliser.
00:56:02Fiscaliser.
00:56:04Fiscaliser.
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00:56:08Fiscaliser.
00:56:10Fiscaliser.
00:56:12Fiscaliser.
00:56:14Fiscaliser.
00:56:16Fiscaliser.
00:56:18Fiscaliser.
00:56:20Fiscaliser.
00:56:22Fiscaliser.
00:56:24Fiscaliser.
00:56:26Fiscaliser.
00:56:28Fiscaliser.
00:56:30Fiscaliser.
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00:56:36Fiscaliser.
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00:56:44Fiscaliser.
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00:56:50Fiscaliser.
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00:56:54Fiscaliser.
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00:56:58Fiscaliser.
00:57:00Fiscaliser.
00:57:02Fiscaliser.
00:57:04Fiscaliser.
00:57:06Fiscaliser.
00:57:08Fiscaliser.
00:57:10Fiscaliser.
00:57:12Fiscaliser.
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00:57:26Fiscaliser.
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00:59:50Fiscaliser.
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01:00:00Fiscaliser.
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01:00:04Fiscaliser.
01:00:06Fiscaliser.
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01:01:00Fiscaliser.
01:01:02Fiscaliser.
01:01:04Fiscaliser.
01:01:06Fiscaliser.
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01:01:18Fiscaliser.
01:01:20Fiscaliser.
01:01:22Fiscaliser.
01:01:24Fiscaliser.
01:01:26Est-ce qu'il peut se vendre du monde là?
01:01:28C'est qu'apparemment, à l'air, et qui l'a fait, il y en a ça, le GDP.
01:01:32Oui, il y a l'effet positif.
01:01:33Le GDP.
01:01:34Oui.
01:01:35Et nous pouvons quantifier ça.
01:01:36Le l'environnement.
01:01:37Oui.
01:01:38Non mais déjà, peut-être au départ même, quand on fait cause, la préparation à un
01:01:43projet, bien quantifier ça va en bénéfice là.
01:01:47Exactement.
01:01:48Justement, qui les pourrait amener?
01:01:49Par exemple, qu'est-ce qu'on a là?
01:01:50Qu'est-ce qu'on a dans l'environnement?
01:01:52Apparemment, 5.3%, le carbone emission, il a augmenté par 5.3%.
01:01:58Bon, une des petites choses qu'il voulait faire, nous faisions une holistique approche
01:02:03tout à l'heure.
01:02:04C'est qu'il ne peut pas carrément sa quantité fluide de l'eau tout là, sa vitesse qui
01:02:08peut augmenter là, et il ne peut pas brûler sa quantité fossile fuel là, et qui l'a
01:02:14fait ça?
01:02:15Il y en a pour la santé.
01:02:16Qui l'a fait ça?
01:02:17Il y en a pour la maladie de guerre.
01:02:18Et pire.
01:02:19Il y en a pour bronchitis.
01:02:20Absolument.
01:02:22Dans tout projet, pour résumer, il y a besoin d'avoir ça d'une façon holistique.
01:02:27Pas justement d'avoir ça pour faire profit.
01:02:30Et le plus important, c'est quoi?
01:02:32Clean Energy?
01:02:33Exactement.
01:02:34Et ça, beaucoup de monde peut oublier, il n'y a pas de projet en seul gouvernement
01:02:39ça.
01:02:40À un certain moment.
01:02:41Le docteur Enverne, tu amènes un projet.
01:02:43Bien sûr.
01:02:44Si tu es élu, peut-être que tu peux l'implémenter.
01:02:46Mais peut-être que nous retournons.
01:02:49Mon premier affaire, c'est le délivery compétitif.
01:02:51Tu ne peux pas prendre un projet, au lieu que tu délivres, je ne sais pas, d'un an et
01:02:55demi, dix-huit mois.
01:02:56Tu prends cinq bananes et tu overlap.
01:02:58Et là, on a un cost overrun.
01:03:00Beaucoup de projets.
01:03:02Beaucoup de projets.
01:03:03Et surtout, là, comme on dit, il y a un lobby.
01:03:06Et beaucoup de lobbyistes, il y en a des construction companies qui n'observent pas
01:03:11certains lois.
01:03:12Ils traînent les lois.
01:03:14Ils gagnent les projets.
01:03:15Ils payent la finance pour compléter.
01:03:17Et tout le peuple, toute la région, n'est pas capable de compléter un projet.
01:03:22Là, il y a besoin d'un encore.
01:03:24Mais ce qui est encore plus grave, c'est que si, par exemple, un projet peut overrun
01:03:30et peut coûter plus d'un an, il n'y a aucune sanction.
01:03:32Exactement.
01:03:33Donc, il continue comme ça jusqu'à ce que peut-être le projet n'est pas complété.
01:03:37Il y a le lobby.
01:03:38Par exemple, nous trouvons ça dans un projet d'infrastructure routière.
01:03:41Oui.
01:03:43Et la route-là, tu fais un coup de temps, ils l'extendent et ça coûte 500, 600 en
01:03:55plus.
01:03:56Si tu as une fiscal responsabilité, actuellement, tu remplaces ta valeur.
01:04:00Et ça, c'est une éducation, c'est la culture là.
01:04:02Parce que si le gouvernement prend la leçon, il applique sa sanction et fait ça,
01:04:08tu connais de l'autre côté l'individu qui rend la case.
01:04:11Montre-moi qu'il y a un individu qui n'est pas satisfait avec ce qu'on a apporté.
01:04:14Personne.
01:04:15Docteur, avocat, tout a un problème.
01:04:17Oui, c'est le cost of a run.
01:04:19Alors, ça, c'est un problème.
01:04:21Là où il y a une culture qui peut développer, qui peut venir, on connaît qui quitte ce
01:04:26besoin, attendent qui quitte ce besoin.
01:04:27Deuxième chose qu'on a, ça, c'est l'irrépétentité.
01:04:30Et ce qu'il y a dans le New Zealand Fiscal Act, ce qu'il faut dire, c'est la transparence.
01:04:38Et là, on met l'accountability.
01:04:41Et là, ce qu'il faut, c'est une haute disclosure d'informations.
01:04:46Quand on peut faire une affaire, il faut dire tout le monde et la consultation.
01:04:51Moi qui me voyage souvent au Canada et dans d'autres pays, n'importe quel projet qu'il y a,
01:04:56il met une pelle brune et il demande l'opinion de tout le monde avant de faire ça.
01:05:04Pour une extension, une ligne de l'autre côté.
01:05:07Moi, j'en ai déposé deux ou trois fois au Canada.
01:05:10Pourtant, j'ai des propriétés, j'ai des emplois, j'ai des appels, j'en ai.
01:05:14Pour dire qu'il y a de l'importance pour moi, qu'il fallait pour bon, qu'il fallait
01:05:18pas pour bon, qu'il fallait pour faire ça.
01:05:20Alors, on peut faire un building, c'est pas 80 étages, on peut amener tout le monde
01:05:25autour pour demander qui a l'impact pour faire ça.
01:05:28Ici, on peine à la consultation.
01:05:30On peine à la transparence.
01:05:32Ça, c'est important.
01:05:34Qui peut arriver, qui ne peut pas arriver.
01:05:36L'un des autres affaires, c'est un petit peu le tax rate.
01:05:39Un petit peu, ça c'est un peu...
01:05:41Maintenant, nous, nous n'avons pas de compétitive taxeuse.
01:05:44Il n'y a pas de toute petite chose qui est mauvaise à Maurice.
01:05:46Il y a une petite chose, nous qu'on dit,
01:05:48le taxe d'incentive, c'est l'un des meilleurs au monde.
01:05:51Pour vous, le Canada, il est très, très élevé.
01:05:54Si nous sentons ça, si nous venons, là, nous prenons un problème parce que nous n'avons
01:05:58pas de compétitive avec le monde autour.
01:06:00Donc, j'apprends tout ça là en considération.
01:06:03Maintenant, l'autre petite chose qui était, c'est que les bons qui nous ont une culture,
01:06:09qui à la veille d'une élection,
01:06:11ils n'ont pas amené des projets majeurs ou des mesures majeures.
01:06:18Vous connaissez, nous faisons...
01:06:20Par exemple, l'éducation gratuite.
01:06:23C'est un bon projet en lui-même.
01:06:26Et ça, il a un effet très positif à long terme.
01:06:29Mais dans l'annonce...
01:06:31Mais c'est là qu'il est venu la veille.
01:06:35C'est là sa bonne intention qu'il y a là.
01:06:41Oui, c'est ce qui est arrivé.
01:06:42C'est ce qui est arrivé dès l'élection.
01:06:43Ce qui est clair, c'est que, comme on nous finit de dire, là, nous nous discutons,
01:06:46je finis de dire, vous-même, pour un projet marché, il demande un travail en amont.
01:06:51Il n'y a pas besoin d'avoir un projet marché.
01:06:53Il n'y a pas besoin d'avoir une discussion qui l'impacte l'un sur l'autre,
01:06:58pour la finance, qui l'impacte l'un sur l'autre, l'environnement, etc., etc.
01:07:01Il n'y a pas de doute que l'éducation gratuite, sans l'éducation gratuite,
01:07:04on peut avoir ce niveau de vie-là.
01:07:06On peut avoir...
01:07:07L'idée-là, c'est bon.
01:07:09C'est la seule chose qui est venue, c'est qu'il annonce ça,
01:07:12presque à la fin d'une élection.
01:07:14Mais là où il y a toutes sortes de critiques, c'est la même chose.
01:07:17Nous avons un gros problème d'emploi en 1992.
01:07:22Si nous mettons ça dans le contexte de l'économie Keynesienne,
01:07:26nous faisions, à l'époque, une politique d'expansion.
01:07:30Théoriquement, c'est bon.
01:07:32Nous pouvons créer des emplois, nous pouvons faire de l'investissement.
01:07:34C'est consistant avec ce qu'ils vont dire, ce que Keynesienne dit.
01:07:41C'est bon.
01:07:42Mais seulement quand il faut aller laver.
01:07:44Et c'est là qu'on peut ranger.
01:07:46Les gens annulent ça parce qu'ils ont un gros problème,
01:07:49qu'ils ont une croissance qui ne peut pas aller.
01:07:51Ils ont une croissance négative à l'époque.
01:07:55Et ils ne passent pas un mauvais moment.
01:07:57Nous avons une longue croissance adverse aux conditions.
01:08:00Nous avons des floues, nous avons tout ça.
01:08:02Et nous ne faisons qu'une dévaluation.
01:08:04Ces circonstances-là, ce n'est pas approprié.
01:08:06Mais l'idée est bonne.
01:08:08Pour satisfaire ces variables-là.
01:08:11Même ça fait ici.
01:08:12C'est pourquoi il est important que vous puissiez faire une responsabilité fiscale.
01:08:19Au moins six mois avant,
01:08:21vous n'avez pas amené des projets majeurs
01:08:24qui peuvent influencer une élection.
01:08:27Et s'il n'y a pas quelque chose,
01:08:29ils n'ont pas qu'à prendre des décisions.
01:08:31Je vais vous le dire, un peu comme à l'Allemagne.
01:08:33Par exemple, je cite Pension.
01:08:36Moi-même, je suis le chairman de Pension.
01:08:39Et je peux dire que je prends la fierté
01:08:42que nous proposons d'augmenter l'âge de Pension de 60 à 65 ans.
01:08:48Nous mettons une quantité là.
01:08:50Il y a une quantité incompatible
01:08:52avec la possibilité d'implémenter le projet que je vous mettais.
01:08:55Et je peux dire que moi, je n'ai pas fait de Pension.
01:08:58Mais ce qu'ils ont fait, c'est d'avoir eu moi
01:09:01pour remplacer le ministre des Finances.
01:09:03Dans une grande réunion.
01:09:05Par exemple, à l'époque-là,
01:09:07je n'en savais pas.
01:09:08Je pensais que je pourrais remplacer un ministre des Finances.
01:09:11Il y avait 12 ministres des Finances de l'autre côté.
01:09:13Là, je me suis rendu compte
01:09:15qu'une seule mesure qu'ils m'ont proposée,
01:09:17ils l'ont acceptée.
01:09:19C'est l'extension.
01:09:20Et là, ils créent une anomalie
01:09:22qui nous perdit environ 6 milliards par année.
01:09:27Par mois, par deux.
01:09:29Parce que les gens qui gagnent 60 ans,
01:09:31ils travaillent, ils peuvent avoir un bon emploi.
01:09:34Je m'y inclue.
01:09:35Je suis directeur, je suis consultant, je suis n'importe quoi.
01:09:38Moi, j'ai fini avec 60 ans.
01:09:40Mais j'ai gagné ma Pension.
01:09:42Vous comprenez ?
01:09:43Et j'ai gagné mon salaire.
01:09:45Par contre, il y a beaucoup de gens
01:09:48qui travaillent, qui ont un emploi,
01:09:50qui ont besoin de vivre
01:09:52le bon travail qu'ils ont gagné occasionnellement.
01:09:56Alors ça, je trouve ça très, très injuste.
01:09:59Et là, ils arrivent là encore.
01:10:01Parce qu'il y a un problème de mismatch,
01:10:04de shortage of labour.
01:10:06Et il y a des gens qui, physiquement, encore bien,
01:10:09mais qui pensent qu'après 60 ans,
01:10:11ils seront capables de laisser ça aux mains de l'individu
01:10:14et de son employé,
01:10:16parce qu'il décide d'extendre la vie encore trois ans.
01:10:19Tout ça, c'est justement...
01:10:22C'est un problème de dépopulation.
01:10:24Et puis, dépopulation.
01:10:25Et ça aussi, exactement.
01:10:27Vous avez une politique d'immigration.
01:10:29Mais tout ça rentre dans...
01:10:30Tout ça rentre dans...
01:10:31Quand vous pouvez faire une police.
01:10:33Vous comprenez ?
01:10:34Par exemple, si je vous dis aujourd'hui,
01:10:35bon, il y a beaucoup d'incentives qui vont être données.
01:10:38Moi, si je vous dis moi, personnellement,
01:10:40je suis content qu'il y ait un Child Benefit
01:10:43d'au moins 5 000 roupies.
01:10:45Moi, je suis content même qu'il y ait un Marriage Benefit
01:10:48pour les couples qui commencent à s'installer.
01:10:51En Corée du Sud ou en Corée de l'Allemagne ?
01:10:53Non, pas en Corée du Sud.
01:10:54Maurice a fait ça à l'époque coloniale française
01:10:56pour les Français qui établissent Maurice.
01:10:59Ils leur donnent 12 jupes.
01:11:03C'est l'histoire de Maurice.
01:11:05Alors, nous ne pouvons pas inventer rien
01:11:07pour pouvoir publier ça.
01:11:08Mais aujourd'hui, nous ne pouvons pas seulement
01:11:11reproduire la même population.
01:11:13Ce qui nous peut arriver, c'est que nous populationnons
01:11:15en 2021.
01:11:17C'est diminué par 421.
01:11:19En 2022, c'est diminué.
01:11:21En 2023, c'est diminué par 1076.
01:11:24Et si cette chaîne-là continue,
01:11:26il y a un problème.
01:11:27Ce qui nous prévoit en 2050,
01:11:30ça peut finir par arriver vers 2035.
01:11:32C'est l'un des pays les plus bons en Afrique.
01:11:34Peut-être qu'on retourne à la responsabilité fiscale,
01:11:37s'il vous plaît, messieurs.
01:11:38Je comprends le débat.
01:11:40Il y a ces choses.
01:11:41Donc là, nous ne pouvons pas connaître les résultats.
01:11:43Parce que nous devons nous baser là,
01:11:45pour arriver dans les autres pays.
01:11:47Ou pour dire, nous devons
01:11:49calquer la loi
01:11:53par rapport à la réalité mauricienne.
01:11:56Il y en a d'autres qui sont bien résultés.
01:11:58Nous formons nos budgets.
01:12:00Ce n'est pas un cash basis accounting.
01:12:03Le basé, c'est ce qu'on appelle
01:12:05accrual accounting.
01:12:07Nous devons prendre ça en considération.
01:12:11Par exemple, quand on met une mesure,
01:12:13on peut voter une somme ensemble.
01:12:15Qu'est-ce qu'il y a au rapport?
01:12:17Qu'est-ce qu'il y a dans ce journal?
01:12:20Qu'est-ce qu'il y a sur la liabilité?
01:12:22Qu'est-ce qu'il y a sur l'asset?
01:12:24Et là, qu'est-ce qu'on fait?
01:12:26Nous avons une tendance.
01:12:28Et moi, dans mon performance
01:12:30comme directeur de budget,
01:12:32j'ai beaucoup de classe,
01:12:34beaucoup de marginalisation dans ce cas-là.
01:12:37Je vais vous donner un exemple.
01:12:39Nous rendons un billet à l'hôpital.
01:12:42Nous rendons un billet à l'hôpital.
01:12:44À Maurice, le capital,
01:12:46nous fait beaucoup de bons petits trucs.
01:12:48Il y a des bijoux partout.
01:12:50Il y a l'école, il y a les chemins.
01:12:52Il y a tout ça comparativement au monde.
01:12:54Mais quand nos problèmes viennent,
01:12:56c'est que nous payons une maintenance policy.
01:12:58Right?
01:12:59Nous payons une maintenance policy.
01:13:01Et là-dedans, on trouve une situation.
01:13:04Nous annonçons que nous pouvons
01:13:07Nous fournissons un budget
01:13:09pour la maintenance.
01:13:11Mais quand nous dispersons,
01:13:13c'est-à-dire qu'on a déjà fini
01:13:15de mentionner ça, l'item,
01:13:17qui pourrait être plus ou moins 50 millions
01:13:19pour faire la maintenance,
01:13:21c'est-à-dire si la toilette n'est pas bonne dans l'hôpital,
01:13:24si la fenêtre est cassée,
01:13:26la porte est cassée,
01:13:28les chaussures ne peuvent pas marcher,
01:13:30les deux loups ne peuvent pas marcher.
01:13:32Bon, nous avons l'argent pour mettre ça là.
01:13:35Nous ne le dispersons pas.
01:13:37Nous le postponons,
01:13:39le postponons, le postponons, il arrive.
01:13:41Et là-bas, c'est les consommateurs,
01:13:43les patients, les docteurs,
01:13:45les médecins qui paient pour le casser.
01:13:47Parce qu'ils paient pour un plan de maintenance.
01:13:51Par exemple, nous parlons dans nos bureaux.
01:13:53Au ministère de la Santé, ils paient pour un monitoring.
01:13:55On comprend les vignes.
01:13:57Les vignes dans la responsabilité fiscale.
01:13:59Exactement.
01:14:00À cause de ça, on mentionne le mot accrual.
01:14:02Maintenant, si nous disons, par exemple,
01:14:04qu'est-ce que c'est l'effet?
01:14:06Quand on dit, nous pouvons faire, disons,
01:14:083,5% de déficit.
01:14:10Alors, quand il arrive un déficit comme ça,
01:14:12les provisions sont dépensées.
01:14:14Mais quand on ne disperse pas une quantité,
01:14:16là-bas, on dit comme ça,
01:14:18hé, on casse un grand paquet.
01:14:20Mais on ne fait pas 3,5%, on fait mieux que ça.
01:14:22On fait juste 2,9%
01:14:24ou 2,8%.
01:14:26Là-bas, on paie un crédit,
01:14:28mais c'est un crédit qui est là-dedans,
01:14:30c'est l'efficacité.
01:14:32Donc, est-ce qu'il est nécessaire
01:14:34qu'il y ait une instance
01:14:36qui est justement vérifiée?
01:14:38Bien sûr.
01:14:40Pas seulement une fois qu'on y est fini,
01:14:42mais tout au long du projet.
01:14:44Ou bien une monitoring unit.
01:14:46Et qu'il est capable de rappeler à l'autre.
01:14:48Un ministère, par exemple.
01:14:50Ou bien une monitoring unit postée.
01:14:52OK, tu ne veux pas tes 1 000 rupees
01:14:54pour ce projet-là,
01:14:56tu as besoin de 500 rupees de dépense.
01:14:58Il y a un problème, tu as besoin de régler-le.
01:15:00Donc, ça n'a aucun sens, ça.
01:15:02Non, ça, il y a un côté quand on est dépassé.
01:15:04Oui, mais quand on ne peut pas
01:15:06respecter ce qu'on dit.
01:15:08Il y a un travail à faire,
01:15:10parce qu'il y a à long terme
01:15:12des détrimentales à l'économie.
01:15:14Des détrimentales, socialement,
01:15:16des détrimentales aux gens qui travaillent.
01:15:18Non, mais qui gagne fou?
01:15:20Justement, c'est qui fait le projet.
01:15:22Peut-être qu'on ne va pas réussir par-ci, par-là.
01:15:24C'est une monitoring unit indépendante
01:15:26qui fait ce travail-là.
01:15:28Et donc, lui, son rôle
01:15:30avec le PAC,
01:15:32avec le bureau de l'audit,
01:15:34c'est énorme.
01:15:36Sa façon,
01:15:38au lieu qu'il se fasse à la fin,
01:15:40c'est de suivre.
01:15:42Mais l'audit et le PAC,
01:15:44tout d'abord, le PAC, c'est sélectif.
01:15:46Il n'y a pas récidivité, c'est trop sélectif.
01:15:48L'audit, comment fait-il?
01:15:50L'audit, l'État est venu, mais c'est moins l'audit aussi.
01:15:52Les biens renforcés,
01:15:54c'est-à-dire que l'État n'est pas
01:15:56équipé par...
01:15:58Non, les biens renforcés.
01:16:00Les biens renforcés,
01:16:02quand vous venez avec la loi-là,
01:16:04les biens renforcés,
01:16:06c'est l'institution qui est la plus compétente
01:16:08pour que la loi-là,
01:16:10il y ait une force de loi
01:16:12et pour qu'il y ait
01:16:14une certaine logique
01:16:16dans la finition.
01:16:18Si nous venons avec la loi,
01:16:20et puis, au bout du compte,
01:16:22il y a une institution
01:16:24pour faire le suivi, mais elle gaspillage.
01:16:26Mais encore une fois, peut-être
01:16:28le sujet est là,
01:16:30au Singapour, il est très rigide.
01:16:32Il y a beaucoup de la loi qui ne veut pas mourir.
01:16:34Oui, qui n'est pas capable d'être appliquée.
01:16:36Par exemple, la protection des droits de la femme
01:16:38et de l'enfance.
01:16:40Vous savez combien de lois sont passées?
01:16:42Toujours, on ne trouve pas de madame.
01:16:44Toujours, on ne trouve pas de madame qui a eu un problème,
01:16:46qui n'a pas eu de protection, la police n'a pas intervenu.
01:16:48Alors que la loi est là.
01:16:50Je veux dire, vous savez,
01:16:52moi, l'opinion personnelle,
01:16:54avec la police actuellement,
01:16:56ce n'est pas qu'il nous manque de gens,
01:16:58c'est qu'il y a trop de gens
01:17:00qui ont une dyséconomie.
01:17:02Et dans le livre que j'ai mis, je fais une comparaison
01:17:04entre plusieurs pays.
01:17:06Vous savez, nous sommes le deuxième pays dans le monde
01:17:08contre le réfuge
01:17:10de l'habitant au policier
01:17:12après Vatican.
01:17:14Nous, après Vatican, nous sommes le deuxième pays.
01:17:16Et quand vous êtes là,
01:17:18ce n'est pas 10 personnes qui sont mortes par la police.
01:17:20C'est l'infrastructure, c'est l'équipement,
01:17:22c'est la formation.
01:17:24Et puis, c'est le problème,
01:17:26c'est qu'il y a un problème.
01:17:28On ne peut pas donner à la police
01:17:30toute l'information.
01:17:32On ne peut pas donner des codes volants à la police.
01:17:34Des codes sur l'adresse.
01:17:36Enfin, sur la famille aussi, on veut les fermer.
01:17:38Parce qu'ils peuvent faire de l'emmerdement là-bas.
01:17:40Mais on n'a pas le droit de faire du travail là.
01:17:42Il y a une réflexion que je veux faire,
01:17:44peut-être que c'est aussi une question.
01:17:46Est-ce qu'il y a la volonté politique
01:17:48pour mettre en pratique la loi
01:17:50sur le fiscalisme?
01:17:52Pourquoi? Non, parce que si déjà,
01:17:54si déjà, nous faisons des débats,
01:17:56que ce soit au plateau,
01:17:58c'est que le gouvernement,
01:18:00qui arrive au pouvoir,
01:18:02quand il y a une trouve,
01:18:04il y a un squelette dans le placard.
01:18:06On ne peut pas penser qu'ils croisent un petit peu les bras.
01:18:08Parce que sinon...
01:18:10Non, mais il y a aussi la possibilité
01:18:12qu'il y ait l'effet d'annonce.
01:18:14Non, c'est mon mot de pensée.
01:18:16Il y a une idée chère.
01:18:18C'est-à-dire que vous êtes capable d'expliquer à la population
01:18:20et
01:18:22voilà mon
01:18:24excès, mon abus.
01:18:26Et voilà comment je peux venir avec ma loi
01:18:28pour faire payer
01:18:30les gens qui sont responsables.
01:18:32Parce que c'est la loi-là.
01:18:34C'est pas facilement pour
01:18:36l'opposition.
01:18:38Le gouvernement d'alors.
01:18:40Il peut appliquer aussi pour les ministres.
01:18:42Pour les ministres,
01:18:44pour les actuels.
01:18:46C'est la loi-là qui est faite pour
01:18:48les partisans d'alors.
01:18:50Mais la question
01:18:52que je me suis posée
01:18:54au début de l'émission,
01:18:56c'est que
01:18:58comment on fait que c'est la loi-là
01:19:00quand un nouveau gouvernement rentre et qu'il n'y en a qu'une
01:19:02avec une majorité simple et une excellence?
01:19:04Non, mon mot de pensée...
01:19:06Laisse-moi vous expliquer.
01:19:08Tout d'abord, mon mot de pensée
01:19:10Le premier ministre,
01:19:12à un certain moment,
01:19:14c'est pas nouveau,
01:19:16à un certain moment, il dit ça.
01:19:18Peut-être qu'il y en a
01:19:20certaines contraintes.
01:19:22Parce qu'il faut dire
01:19:24qu'il faut savoir
01:19:26dans quel état l'économie est convenue.
01:19:28Si on a déjà une économie en récession,
01:19:30là, il faut un petit peu
01:19:32une main libre pour faire ça.
01:19:34Si on a déjà un problème
01:19:36de haute inflation, par exemple,
01:19:38si on a une inflation élevée,
01:19:40là, il faut une monétarité
01:19:42et une fiscalité
01:19:44sans qu'il y ait...
01:19:46Bien, il faut un divorce
01:19:48entre le ministère des Finances et ça, oui,
01:19:50mais seulement en même temps, il faut une synchronisation
01:19:52entre monétarité
01:19:54et fiscalité.
01:19:56On n'est pas capables de faire
01:19:58une détrimentale
01:20:00pour ne pas le faire.
01:20:02OK?
01:20:04Par exemple, là, on connaît
01:20:06que c'est l'inflation qui est un gros problème.
01:20:08Mais quand on voit l'inflation,
01:20:10on sait ce qui est arrivé.
01:20:12On a des statistiques un petit peu.
01:20:14Si l'éloignement
01:20:16de 37 000
01:20:18est équivalent de 6,1 %,
01:20:20ce qui veut dire
01:20:22qu'il n'y a pas de grand progrès.
01:20:24Et ce progrès-là, depuis
01:20:261996, nous ne l'avons pas vu.
01:20:28Tout le temps, il y a une haille.
01:20:30Mais ça aussi, c'est un chiffre qui...
01:20:32Beaucoup...
01:20:34Ils débattent, là, la réalité
01:20:36du chiffre.
01:20:38Parce qu'il y a plein de schemes
01:20:40qui mettent en place, qui tiennent du monde
01:20:42la liste de l'annulation.
01:20:44Non, il y a quelque chose qui nous attrouve.
01:20:46Même la récession. Il y a de l'école dépensée.
01:20:48Il y a de l'école dépensée.
01:20:50J'avoue, comme ça, Maurice, en 1982,
01:20:52quand il prend le pouvoir,
01:20:54il a encore deux mois
01:20:56d'implotation.
01:20:58Six semaines.
01:21:00Six semaines d'implotation.
01:21:02Il a 13 mois d'implotation.
01:21:04Est-ce qu'il ne peut pas dire...
01:21:06Est-ce qu'il ne peut pas dire qu'il est en récession?
01:21:08Ça, c'est une question
01:21:10très débattable.
01:21:12Mais laisse-nous
01:21:14gérer ça d'une façon.
01:21:16Pour un pays comme l'Amérique,
01:21:18qui tout le monde, comment dire,
01:21:20COVID de dollars.
01:21:22Il n'y a pas besoin de garde-réserve.
01:21:24Il n'y a pas besoin de garde-réserve.
01:21:26Tout le monde a besoin de l'or.
01:21:28Par contre, ce que j'ai appris
01:21:30pendant mon cours à l'IMF,
01:21:32la règle d'or, il n'y a pas un pays normal
01:21:34qui garde à peu près
01:21:36quatre mois. C'est suffisant.
01:21:38Mais pour un pays,
01:21:40par exemple,
01:21:42un pays comme les Autochtones,
01:21:44le Swaziland, contexte différent.
01:21:46Parce que toutes sortes de choses,
01:21:48comme peut-être les passeports en Sud-Afrique,
01:21:50votre balance de paiement,
01:21:52c'est lié en Sud-Afrique.
01:21:54C'est un problème totalement différent.
01:21:56Maurice, ce problème est totalement différent.
01:21:58Il y a un secteur financier
01:22:00qui fait 12,5%
01:22:02de PIB.
01:22:04Nous avons
01:22:0613 mois
01:22:08de réserve,
01:22:10équivalent de nos importations.
01:22:12Moi, je pense qu'il y a un élément
01:22:14d'inefficiency.
01:22:16Il n'y a pas besoin de cette quantité-là.
01:22:18Parfois, vous avez la Gazette, vous pouvez dire
01:22:20« Bon, OK, nous déficitons de telles-là. »
01:22:22Mais vous pouvez les leur donner.
01:22:24Moi, je pense que si
01:22:26on avance six mois, c'est bon.
01:22:28Mais le fait qu'il n'y ait pas un secteur financier
01:22:30si on est un gros investisseur
01:22:32et qu'il y a beaucoup d'argent,
01:22:34nous ne pouvons pas faire comme
01:22:36Soros a fait en 1992
01:22:38avec Thaïlande, ou comme ils ont fait
01:22:40en Angleterre.
01:22:42Alors, laissons-nous mettre un buffer,
01:22:44disons, 8 mois. Mais après
01:22:46ces 5 mois qu'il y a là,
01:22:48nous pouvons bien servir cet argent-là
01:22:50pour autre chose, pour nous être efficaces.
01:22:52Par exemple, nous pouvons faire
01:22:54de façon à ce qu'il y ait un « Sovereign Wealth Fund »
01:22:56depuis assez, presque depuis 5 ans.
01:22:58On peut dire qu'il y a
01:23:00l'air qu'il y a du monde depuis le ministère des Finances,
01:23:02depuis la Banque de Maurice,
01:23:04et peut-être de l'université,
01:23:06notamment dans un pays comme la Norvège,
01:23:08comme la Saoudi-Arabie, comme le Singapour,
01:23:10qui est un expert
01:23:12dans « Managing Sovereign Funds ».
01:23:14Et là, vous devinez.
01:23:16Alors, nous arrivons presque à la fin de l'émission.
01:23:18Il nous reste une minute, peut-être 30 secondes,
01:23:20peut-être, pour que
01:23:22nous puissions parler
01:23:24de la responsabilité fiscale
01:23:26et de ce qu'il est capable d'amener pour notre pays.
01:23:28Bon. Moi, je dirais tout d'abord
01:23:30qu'il n'est pas nécessaire
01:23:32qu'il y ait une responsabilité fiscale.
01:23:34Parce qu'il dépend
01:23:36de l'éducation, il dépend de l'intégrité,
01:23:38il dépend de la discipline.
01:23:40Il dépend des variables qu'il y a.
01:23:42Et si nous pouvons faire
01:23:44une chose qui s'appelle
01:23:46« Stabilisation and Structural Adjustment »
01:23:48tout le long
01:23:50de notre gestion de l'économie,
01:23:52ce n'est pas nécessaire.
01:23:54Mais le fait qu'il y ait parfois
01:23:56une déviation,
01:23:58qu'il y a parfois un responsable
01:24:00qui essaie de jouer
01:24:02avec les statistiques,
01:24:04à ce moment, dans ce contexte-là,
01:24:06je dirais que nous avons besoin
01:24:08d'un Acte de responsabilité fiscale.
01:24:10Mais c'est moi qui ai besoin d'un Acte de responsabilité fiscale
01:24:12qui est très flexible,
01:24:14qui prend en considération,
01:24:16comme la loi peut le faire,
01:24:18la loi de l'économie,
01:24:20ne pas attacher un gouvernement
01:24:22ou un ministre de l'armée,
01:24:24un ministre de finances,
01:24:26ou un gouvernement.
01:24:28Sinon, si nous mettons des trop rigides,
01:24:30il n'y a pas de projet,
01:24:32il n'y a pas de mesures
01:24:34qui nous permettront.
01:24:36Pour ce type de projet de loi,
01:24:38pour responsabiliser
01:24:40les élus aussi,
01:24:44ce n'est pas la fin
01:24:46de notre mandat.
01:24:48Je veux une bonne mesure populiste
01:24:50et que le prochain gouvernement
01:24:52puisse annoncer
01:24:54sur le volcan,
01:24:56comme il s'est passé récemment,
01:24:58le quatorzième mois,
01:25:00une bonne mesure comme ça.
01:25:02Il faut qu'il y ait un bon benchmark
01:25:04de peut-être six mois
01:25:06ou l'année
01:25:08que l'élection sera là,
01:25:10par rapport à la mesure
01:25:12qui vous touche,
01:25:14ça nous a fait très important
01:25:16pour responsabiliser le monde
01:25:18et pour amener aussi
01:25:20beaucoup de transparence
01:25:22dans le projet du Bouvigny.
01:25:24Je pense que ce projet de loi
01:25:26est très important,
01:25:28après ce qu'il nous trouvait
01:25:30de la manipulation
01:25:32de nos chiffres,
01:25:34qui est extrêmement grave,
01:25:36et c'est un projet
01:25:38qui arrive à un bon moment.
01:25:40Très bien. Merci à mes invités
01:25:42à la fin de l'émission.
01:25:44J'espère qu'ils ont fini
01:25:46à suivre l'émission
01:25:48et qu'ils ont apprécié
01:25:50ce qu'ils nous ont emmené.
01:25:52La prochaine émission
01:25:54sera mercredi
01:25:56avec Dorothée Bonnefemme.
01:25:58Je vous souhaite
01:26:00une très bonne soirée
01:26:02et restez à l'écoute
01:26:04de Top M.

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