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“Le retour de la NATReSA, est-ce la solution attendue contre le fléau de la drogue ?”

Dorothy Bonnefemme reçoit Ali Lazer, travailleur Social, Ashvin Gungaram directeur de l’Association AILES, Taroonsingh Ramkoosalsing psychiatre et le Dr Nitish Raj Sookool, officer in charge de la Harm Reduction Section, du ministre de la Santé et du Bien-Etre
Anil Gayan, ancien ministre de la Santé, interviendra au téléphone.
Maurice.

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Transcription
00:00:00Merci d'avoir regardé cette vidéo, n'hésitez pas à liker la vidéo et à vous abonner à la chaine pour ne manquer aucune de mes nouvelles vidéos !
00:00:30Bon après-midi à tous et bienvenue dans votre émission Hot Talk, première émission de l'année 2025.
00:00:37Et là, le thème qu'on va choisir cet après-midi, c'est la drogue et surtout la drogue synthétique,
00:00:43qui nous connaît peut faire beaucoup de ravages dans le pays.
00:00:47Des familles peuvent être brisées, nous trouvons de plus en plus de jeunes qui tombent dans l'enfer de la drogue.
00:00:52Des travailleurs sociaux peuvent avoir des raisonnements, des féminisations.
00:00:57Il y a beaucoup de saisir qui peuvent se faire, mais quand même, nous pouvons trouver sur le terrain encore et toujours de la drogue.
00:01:06Comme nous le dit à chaque fois et comme nous le connaît M. Halilaz, il est aussi content de dire cela, mais nous pouvons entendre qu'il y a une pénurie de la drogue.
00:01:12Alors tout cela, nous pouvons l'aborder cet après-midi dans l'émission Hot Talk.
00:01:17Et surtout, nous pouvons nous réveiller sur la question que nous avons reçue par le vice-premier ministre Paul Béranger,
00:01:23le premier ministre le docteur Naveen Ramboulam, sur le retour de la natreza.
00:01:29Alors, est-ce que c'est la solution attendue contre le fléau de la drogue?
00:01:33C'est comme nous le rappelle, la natreza a aussi existé, mais malheureusement, ou heureusement, nous ne l'avons pas trop connu.
00:01:38Nous pouvons faire le point, définir, démanteler.
00:01:41Et alors, quelle est la situation qui fait que nous pouvons réciter ce combat contre la drogue?
00:01:46Qu'est-ce qui fait que nos familles peuvent continuer à se briser?
00:01:49Qu'est-ce qui fait que nos âges peuvent continuer à tomber dans la drogue?
00:01:52Alors, c'est cela qui nous peut causer cet après-midi.
00:01:55Nous l'inviter, c'est monsieur Halilaz, travailleur social.
00:01:58Nous avons également Ashwin Gangaram, directeur de l'ONGL.
00:02:03Nous avons le docteur Tarusing Ramkousalsing, psychiatre, qui pourra rejoindre nous dans quelques instants.
00:02:09Et nous avons le docteur Nitish Rajsukol, officier en charge de la section de réduction du ministère de la Santé.
00:02:17Messieurs, bonjour et bienvenue sur le plateau de Top FM.
00:02:23Et laissez-moi aussi vous dire qu'il y a un peu plus tard, Rosepo écoute aussi un témoignage d'une maman.
00:02:27Ce cri de coeur, il peut raconter comment il est passé avec ce garçon qui est un fils unique.
00:02:34Et nous prenons également Anil Gayan, ancien ministre de la Santé, qui peut intervenir au téléphone.
00:02:41Laissez-moi vous rappeler que l'émission s'y a suivi également sur notre page Facebook, Top FM Mauritius,
00:02:46et également sur Top TV Mauritius, ainsi que Top FM Live TV, et aussi sur la chaîne 10 de Parabole Maurice.
00:02:55Tout à l'heure, nous pouvons prendre des réactions et des commentaires, peut-être des idées.
00:03:00Alors, 237777, alors comment nous dire, nous préposons la drogue qui fait, nous rappelons qu'il y a un dernier rapport statistique Mauritius,
00:03:09il y avait une cause de 1,2 milliard d'euros de drogues saisies en 2023.
00:03:15Nous finissons, et il y a aussi Custom Anti-Narcotic Section de la Mauritius Revenue Authority, qui finit aussi en résister beaucoup en 2024.
00:03:25Le chiffre qu'il y peut causer, c'est 77 saisies, valeur totale 2,5 milliards de roupies.
00:03:32Et l'an dernier aussi, il y a eu une grosse saisie, une cause de 30 millions d'achiches, qui a été saisie à l'aéroport en novembre dernier.
00:03:4014 kilos de cannabis à Chamarel en septembre 2024, il a suspecté une connexion avec La Réunion.
00:03:47Il y a aussi 14 millions de roupies de drogues qui finissent saisies là, tout récemment, le 10 janvier, chez un habitant de Rocheter.
00:03:56Alors, quand nous voyons tous ces chiffres-là, laisse-moi me tourner, moi, vers O.H. Wingen-Garam, le directeur de l'ONG L.
00:04:05Alors, comment réagir par rapport à ces chiffres-là?
00:04:08Et surtout, souvent, on nous dit qu'il faut arrêter les petits, les gros cas et continuer, malheureusement, le travail.
00:04:17Déjà, toi aussi, par rapport aux chiffres qu'on m'a annoncés, peut-être que les camarades d'Alibu d'accord, ça, c'est juste des saisies.
00:04:27De l'autre côté, les nouveaux trafiquants font 10 fois plus que ça.
00:04:3510 fois qu'à part 20 fois plus.
00:04:37On dit, moi aussi, que la drogue Amoris, Lipé, Zendafé, qui est autour de 20-25 millions de roupies qu'à part plus.
00:04:45Donc, imaginez qu'a été l'économie parallèle qui s'est permenée et la disponibilité de la drogue.
00:04:53La drogue n'est pas partout disponible et c'est surtout la drogue synthétique qui, moi aussi, n'est pas partout disponible,
00:05:01qui est facile pour être, comment dire, être smuggle parmi les Amoris.
00:05:06Donc, c'est ça, ça qui peut faire beaucoup plus de drogue.
00:05:10Camarades d'Alibu est au terrain depuis longtemps.
00:05:12Finina Brown.
00:05:14Mais, je vous dis, sa quantité de drogue synthétique peut faire beaucoup, beaucoup plus que ce que l'héroïne peut faire pendant 25-30 ans dans l'Amoris.
00:05:26Pourquoi, je ne sais pas, camarades d'Alibu d'accord.
00:05:29Et la situation est qu'on est très, très en retard.
00:05:33Et une chose que tout bon travail social nous dit, c'est que le combat contre la drogue n'est plus existé.
00:05:40C'est un combat qui nous finit perdu depuis 10 ans, 15 ans, d'ici là.
00:05:44Est-ce que nous d'accord, ça M. Ali Lazaire, que nous nous perdions dans ce combat-là?
00:05:50Et l'autre point qui arrive, c'est qu'il m'a dit qu'il a envie de se lever, faciliter avec lequel peut gagner la drogue, peut gagner synthétique.
00:05:58Alors, je suis totalement d'accord avec ce que l'héroïne peut dire.
00:06:04Et d'abord, je veux remercier Théopo Femme et remercier vous-même pour l'émission de ce soir.
00:06:15Vous connaissez l'héroïne qui dit qu'elle ne connait pas d'héroïne, qu'elle ne connait pas de cocaïne, qu'elle ne connait pas beaucoup de drogue.
00:06:25Mais moi, je l'ai fait dire lors d'une interview d'un journal dimanche.
00:06:30Je lui ai dit que la drogue synthétique, c'est des armes d'destruction massives pour nos vingt-cinq.
00:06:37Plusieurs années, j'ai été relationné avec l'homme. Malheureusement, j'ai crié dans les oreilles des sourds.
00:06:43J'ai fait un renseignement avec une féminisation.
00:06:47Moi, personnellement, dès l'école primaire, quand une maîtresse d'école, à l'école primaire,
00:06:55elle m'appelle et elle me dit qu'il y a des élèves qui ont dix ans, parce que c'est l'école primaire.
00:07:02Un autre maître d'école, il a tous les défauts pour lui.
00:07:08Il m'appelle et il dit qu'il y a des enfants qui ont dix ans dans la toilette avec la drogue synthétique.
00:07:16Ils ont dix ans.
00:07:18Comme on peut dire, nous, les travailleurs sociaux de l'autre terrain, nous pouvons dire que ce n'est pas l'homme.
00:07:22Rassainissement, rassainissement.
00:07:24Nous ne passons pas entre quatre murs dans un coin, nous pouvons causer.
00:07:30La drogue n'est pas faite entre quatre murs dans un coin, elle est faite dans l'autre terrain.
00:07:34Vous comprenez ?
00:07:35Moi aussi, j'ai un autre fonctionnaire, 43 ans de service.
00:07:39J'ai l'habitude de lui dire tout le respect qu'il peut avoir pour son fonctionnaire.
00:07:43Il peut me dire comme ça, combat contre le trafic de drogue, prévention, traitement, réhabilitation, etc.
00:07:51Ce n'est pas dans le bureau qu'il peut gagner ça.
00:07:54Alors, ce qu'il peut nous dire, c'est, j'ai servi le mot un peu faux, dimanche, dans mon interview, il peut nous dire, c'est des hommes de destruction massive.
00:08:06Là, nous avons trouvé comment la drogue synthétique, là nous avons les cas, moi avec mon collègue médecin, nous avons discuté avant de commencer l'émission, nous avons les cas des grands B.
00:08:19Aujourd'hui, la drogue synthétique est une arme fatale pour éliminer.
00:08:24Je peux raconter, moi je finis par dire la chance, bien mal chance, un consommateur de la drogue qui a arrêté avec sa dose de la drogue.
00:08:35Maintenant, dans le bureau Hatshou, on prend sur l'enquête, ça dit qu'un consommateur, il dit avec qui il a vendu la drogue, il a acheté sa dose.
00:08:46Maintenant, je connais que si vous mettez tout ça là-dessus, vous avez un problème, vous avez un question par ici, par là, pas maintenant, quand il a acheté.
00:08:53Il dit, moi là, ce qui est passé, il y a six mois, le jour où il est sorti, ça dit qu'il a balancé le cahier de la drogue là.
00:09:02Il a envoyé, dès qu'il est sorti, il a imaginé six mois avant le cahier de la drogue.
00:09:06Maintenant, il est sorti, tout le monde tourne autour sur une dose pour le cahier de la drogue.
00:09:10Il a envoyé, il a fait comme un homme, pique-lé, overdose, maman a changé le cadavre, a mis dans la vanne, a passé à la station Pleine-Vert, a amené à l'hôpital pour faire l'autopsie.
00:09:24Aujourd'hui, quand on a un petit bébé d'un an et demi, correct ?
00:09:30Alors, consommateur de la drogue synthétique, sous l'effet de la drogue synthétique, il n'a pas fait de pitié pour un petit bébé d'un an et demi.
00:09:38Il n'est pas loin d'ici, il est en Châssis.
00:09:42Sous l'influence de la drogue synthétique, il a tué un enfant de 7 ans, violé, tué, touffé.
00:09:48Alors, tous ces bananes qui sont dans l'homme-là, c'est vrai qu'il peut dire, malgré tous les chiffres statistiques qui le disent, oui, la sépté est là.
00:09:58Mais ce qu'il ne veut pas dire, c'est quand tu arrêtes un kilo.
00:10:04Tu arrêtes un kilo, il y en a 5-10 kilos, tu défonces filé et tu y vas.
00:10:09C'est pour ça, depuis que j'ai eu un combat, après plus de 43 bananes,
00:10:16C'est aussi une stratégie.
00:10:18Oui, oui, oui.
00:10:20J'ai rencontré une South Africaine, qui a fait une interview, qui a fini grâce à cela,
00:10:25qui est retournée en South Afrique, qui l'a étudiée.
00:10:27Alors, quand il y a des oignons, ou des pommes de terre,
00:10:32quand il y a des ferrailles de construction, quand il y a du ciment,
00:10:36Dernièrement, nous avons trouvé, il n'y a pas d'ité sec,
00:10:39il n'y a pas d'irrigation.
00:10:41Dans l'année, il n'y a pas de gaz.
00:10:44Dans le pays, il n'y a pas de gaz.
00:10:46Dans le pays maurice, il n'y a personne qui s'en va au défi.
00:10:49Jamais, même pas pour une année à temps, nous faisons une arpènerie là-dedans.
00:10:52Qu'est-ce qu'on fait ?
00:10:54Septembre, septembre, mois de septembre,
00:10:57le directeur de la poursuite publique,
00:11:00dit pipi, Amine,
00:11:02il fait une table ronde, quand moi je suis présent,
00:11:05je suis invité avec l'autre camarade,
00:11:09dit pipi, monsieur Amine, dans son intervention,
00:11:13il dit comme ça,
00:11:15il dit, c'est mon petit poisson qui fait tasse d'enfiler.
00:11:19Pas moi, le directeur de la poursuite publique,
00:11:24qui donne ma preuve que mon gros requin ne fait pas tasse d'enfiler.
00:11:28Vous ne comprenez pas ?
00:11:30Alors, les points plus faibles, sinon,
00:11:32il y a un combat contre le trafic de drogue,
00:11:34qui peut faire ravage dans nos pays,
00:11:36les points les plus faibles de trafic de drogue,
00:11:39c'est les autrices mal acquises.
00:11:42Pour qu'il y ait un combat contre la drogue,
00:11:44il faut qu'il y ait un combat contre les autrices mal acquises.
00:11:47Ça veut dire, et le plus grand obstacle
00:11:50dans le combat contre la drogue, après 43 ans,
00:11:53c'est la corruption.
00:11:56Vous entendez ?
00:11:58Dernièrement, avant les élections,
00:12:00on peut taper l'estomac,
00:12:02on peut casser les reins trafiquant la drogue.
00:12:04Moi, j'ai lancé un défi,
00:12:06je vais casser les reins,
00:12:08je vais vous montrer comment casser les reins.
00:12:10Allez, laissez-nous, quand on peut casser tout ça là,
00:12:12malheureusement, quand on peut faire le point,
00:12:14un petit peu, le docteur Nitish Raj,
00:12:16est-ce qu'on nous demande un petit peu,
00:12:18au niveau du ministère là-bas,
00:12:20le ministère de la Santé, et surtout,
00:12:22l'officier en charge de la Home Reduction Section,
00:12:24quel est votre rôle,
00:12:26qu'est-ce que vous voulez faire,
00:12:28pour qu'il y ait un vrai combat,
00:12:30parce qu'on peut trouver un petit peu,
00:12:32quand ça, deux travailleurs sociaux là,
00:12:34peuvent faire le point.
00:12:36Écoutez, merci pour cette question-là,
00:12:38qui nous connaît depuis nos jeunesses,
00:12:40depuis des années, des années,
00:12:42et m'apprécie beaucoup ce combat
00:12:44contre la drogue.
00:12:46Ashwin Gangaram,
00:12:48qui est un collaborateur,
00:12:50nous travaillons en étroite collaboration
00:12:52avec NGOCAT,
00:12:54depuis de nombreuses années maintenant.
00:12:56Justement, dans un des problèmes
00:12:58de réduction de risque,
00:13:00qui me revient un peu en détail,
00:13:02une cause dans le chiffre,
00:13:04permette-moi aussi de nous rappeler dans le chiffre,
00:13:06que l'ensemble des staffs qui travaillent
00:13:08dans Home Reduction, nous participent
00:13:10dans un nombre de surveys,
00:13:12et donc ce chiffre-là nous donne une situation,
00:13:14on connaît tout le temps les bons,
00:13:16nous prenons soin d'un état des lieux,
00:13:18des données que nous gagnons avec un état des lieux,
00:13:20à partir de là, nous analysons un petit peu le problème,
00:13:22dans tout son ensemble,
00:13:24nous analysons quels sont les éléments
00:13:26qui sont là-dedans, pour que nous puissions
00:13:28trouver une solution durable.
00:13:30Mais, dès le départ,
00:13:32nous faisons le bien ressortir,
00:13:34et la compétition, ça,
00:13:36chaque stakeholder,
00:13:38chacun qui a un million de compétitions
00:13:40avec ses camarades, chacun a un rôle,
00:13:42un rôle fondamental,
00:13:44dans ce l'espace, dépendant
00:13:46de ses compétences, de ses capacités,
00:13:48de ses ressources, pour faire quelque chose d'avancé
00:13:50dans ce combat-là.
00:13:52Nous n'en avons pas, dans cette chaîne-là,
00:13:54que, comment dire,
00:13:56Home Reduction Unit, Home Reduction Section
00:13:58du ministère de la Santé.
00:14:00Au fait, il commençait avec tout ce qui est
00:14:02présentation de la stratégie
00:14:04de réduction des risques, 2006.
00:14:06Je ne vais pas aller en détail, bien entendu,
00:14:08mais je vais passer un petit peu
00:14:10un tableau avant.
00:14:12Alors, il y a
00:14:14toute cette stratégie-là,
00:14:16mais quelle est la situation aujourd'hui?
00:14:18Nous disons qu'en 2020,
00:14:20il y a eu un dernier survey
00:14:22officiel, parmi les injecteurs de drogue,
00:14:24qui a donné un chiffre
00:14:26des injecteurs de drogue
00:14:28de l'ordre de 6600 injecteurs actifs.
00:14:30Donc, l'année plus avant,
00:14:32il était autour de 10 000, il était varié
00:14:34autour de ça même, et tout le temps,
00:14:36quand on fait un survey, il est capable d'arriver à cet estimat.
00:14:38Et là, il y a un chiffre qui est apprécié, un petit peu
00:14:40moins, mais il est autour de ça.
00:14:42Effectivement, nous avons causé féminisation,
00:14:44oui, et là, parmi ces 6600-là,
00:14:46déjà, nous avons 1000, c'est bonne forme,
00:14:48d'accord? D'autre part,
00:14:50il y a eu un autre survey,
00:14:52en 2021, ça, c'est un national
00:14:54survey among people who use drugs,
00:14:56dans forme non injectable, nous avons causé cette fois-ci,
00:14:58il fait état d'un chiffre
00:15:00moyen de 55 000
00:15:02usagers de drogue dans forme non injectable.
00:15:04Il y a une non injectable, là, qui l'était, là.
00:15:06Ça veut dire que l'héroïne,
00:15:08effectivement, il trouvait que ses 55 000,
00:15:10comment dire,
00:15:12usagers de drogue qu'il a recensé, là,
00:15:14là-ci, on pourrait dire qu'il y en a plus,
00:15:16il y en a un petit peu moins, c'est d'accord,
00:15:18Zopé utilise 3 major
00:15:20drugs of concern,
00:15:22l'héroïne, synthétique, cannabis.
00:15:24Dans Maurice,
00:15:26nous avons un phénomène de
00:15:28polydrogus qui ne peut pas être oublié,
00:15:30jamais, jamais, jamais, très important.
00:15:32Alors, qu'est-ce qui nous donne ce chiffre-là, déjà,
00:15:34là, il montre un chiffre de
00:15:36là aux 60 000 usagers de drogue,
00:15:38en forme injectable, non injectable,
00:15:40mais là-dedans, si vous regardez
00:15:42ce chiffre-là, c'est qu'il finit
00:15:44parce que la consommation de l'héroïne
00:15:46connaît synthétique, là, ça, c'est une affaire qui
00:15:48quasiment, comment dire, là-dedans,
00:15:50c'est normal, il finit par se prendre en étape, là,
00:15:52là, quand arrive l'héroïne, c'est qu'il est toujours
00:15:54dans un autre type de drogue. Alors,
00:15:56tout cela, il rend ce qui
00:15:58nous appelle problématique, la drogue-là,
00:16:00encore plus complexe, d'accord.
00:16:02Maintenant, au niveau
00:16:04de la Reduction Unit, ce qui est arrivé, c'est que
00:16:06l'éthique commençait
00:16:08par l'implément de sa même stratégie
00:16:10de réduction du risque-là.
00:16:12Justement, quand nous comprenons un peu
00:16:14ce qui se déroulait dans le passé, c'était
00:16:16parce que l'incidence,
00:16:18la prévalence du VIH s'est atteinte
00:16:20à ce pic dans les années 2000, précisément
00:16:22en 2005, à côté dans une année
00:16:24récente, 1920,
00:16:2621,
00:16:28des gens qui étaient infectés par le VIH,
00:16:30la cause, ils n'utilisent pas le matériel
00:16:32d'injection et tout. Alors,
00:16:34l'ONU décide de venir avec plusieurs recommandations,
00:16:36y compris de venir avec ce qu'ils appellent
00:16:38l'opioïde agoniste-thérapie,
00:16:40méthadone, needle exchange programme,
00:16:42aussi pour les patients
00:16:44infectés par le VIH, donc
00:16:46ERT, traitement de l'hépatite C,
00:16:48traitement tuberculeux, entre autres.
00:16:50Voilà ce qu'ils ont commencé
00:16:52avec l'implémentation de la stratégie
00:16:54de réduction des risques et l'invincible.
00:16:56Maintenant, en cours de route,
00:16:58il est vrai aussi de dire qu'il y a tout ce qui
00:17:00nous connait, comme la Commission
00:17:02of Inquiry on Drug Trafficking Report de 2018,
00:17:04l'une officielle,
00:17:06sur les recommandations, il y a un setting-up de ce
00:17:08qu'il nous appelle en 2019,
00:17:10le High Level Drug and HIV Council,
00:17:12et éventuellement, il y a aussi
00:17:14le National Drug Control Masterplan
00:17:16de 2019 à 2023,
00:17:18et donc, en réduction unique, on retrouve
00:17:20ça un peu dans le rôle
00:17:22de l'IGAE, tout ce qui est
00:17:24l'aspect de drug demand reduction
00:17:26et aussi harm reduction.
00:17:28Donc, ça c'était le pilier du masterplan,
00:17:30et là, je peux vous dire qu'il y a un autre
00:17:32masterplan qui est en cours
00:17:34d'élaboration, avec un concours
00:17:36de tous les acteurs, tous les stakeholders
00:17:38dans le domaine
00:17:40du combat de la drogue, mais aussi
00:17:42d'experts étrangers de United
00:17:44Nations, résidents, etc.
00:17:46Bref, tous les experts qui sont concernés
00:17:48par ces problématiques-là,
00:17:50Kittivine Maurice, qui est dans mon atelier de travail,
00:17:52etc. Alors, toute l'été,
00:17:54il n'y a pas de morceau pour donner plus de détails,
00:17:56c'est plutôt un niveau plus
00:17:58au niveau du
00:18:00LDS, etc.,
00:18:02qui peut dire ça au niveau du
00:18:04premier ministre de l'Office. Alors, on ne peut pas attendre.
00:18:06Et donc, nous,
00:18:08quand il s'agit de drug demand reduction,
00:18:10il y a un composant
00:18:12là-dedans de prévention,
00:18:14il y a un composant là-dedans de prise en charge médicale
00:18:16d'un patient qui est un
00:18:18opioïdus disorder. Voilà, c'est l'affaire
00:18:20qu'il nous proposait tout à l'heure, oui. Voilà. Donc, ça veut dire
00:18:22un opioïdus disorder, c'est qu'il
00:18:24consomme
00:18:26tout ce qui est dans la drogue
00:18:28synthétique OPAC, particulièrement
00:18:30à cause de l'héroïne. Après, il développe
00:18:32tout ce qui est dans le symptôme. Quand on l'a arrêté,
00:18:34il commence à avoir souvent une withdrawal. Et donc,
00:18:36éventuellement, beaucoup de disorders qui...
00:18:38le docteur Amkousalsing,
00:18:40le psychiatre qui, lui-même,
00:18:42est passé, s'est invoqué dans le
00:18:44programme de méthadone, en tout cas,
00:18:46à cause de l'héroïne. Et donc,
00:18:48de ce fait, c'est sa
00:18:50rôle quand nous
00:18:52faisons le méthadone substitution
00:18:54thérapie programme. Il y en a aussi
00:18:56le needle exchange programme, quand on cause
00:18:58le problème du VIH et donc
00:19:00un diocorte activement avec nous. Existamment,
00:19:02on m'a dit qu'il y a de toutes façons pour l'injecter
00:19:04la drogue. Alors, mieux vaut
00:19:06qu'il y ait un matériel, comme ça, pour
00:19:08affecter les autres avec l'hépatite C, le VIH
00:19:10et d'autres blood-borne infections.
00:19:12C'est ce qu'il y a, ça. Et aussi,
00:19:14le counseling et d'autres traitements
00:19:16qu'il faut refaire vers,
00:19:18par exemple, l'hépatite C,
00:19:20le screening, etc.
00:19:22Alors, pas que, nous sommes aussi
00:19:24impliqués, il y a quelques années de cela,
00:19:26dans ce qui est de la campagne mass-media.
00:19:28Et éventuellement, ce qui nous
00:19:30peut m'interpeller en face, c'est qu'il y a aussi ce qu'on appelle
00:19:32le setting up de drug users
00:19:34administrative panel, qui est mis en opération
00:19:36en avril 2024.
00:19:38Donc, quand c'est quelqu'un qui est un consommateur,
00:19:40qui n'est pas un dealer, nous faisons bien ressortir,
00:19:42ni dealer, ni trafiquant, bien sûr.
00:19:44Lui, un usager, donc,
00:19:46un usager de drogue, il est intercepté par la police,
00:19:48au lieu qu'il
00:19:50passe par tout ce qui est criminal justice
00:19:52system, quand il y a une condamnation,
00:19:54il paye la main ou bien il a un casier judiciaire
00:19:56qui n'est plus VIH, par exemple, pour certains,
00:19:58ou encore il va faire prison.
00:20:00Et au lieu de faire ça,
00:20:02et quand il rentre dans un cercle vicieux, encore
00:20:04plus difficile pour sortir, il passe
00:20:06par la réhabilitation.
00:20:08Donc, le panel,
00:20:10après l'interception, la cause
00:20:12de possession de drogue, la police
00:20:14peut faire une enquête, il peut fisser
00:20:16ce dossier, il peut avouer sa DPP,
00:20:18il peut prendre une décision, référé ou pas
00:20:20au niveau du DURP, éventuellement,
00:20:22s'il est référé au niveau du DURP,
00:20:24il peut prendre une décision pour avouer du code
00:20:26dans le rang de l'action unique pour la prise en charge.
00:20:28Vous pouvez nous dire tout ça, si vous pouvez nous expliquer
00:20:30tout le travail, tout ce qui a été fait, mais est-ce que vous pouvez
00:20:32trouver, il y en a quelque part, une faillite,
00:20:34est-ce qu'il y a des résultats qui sont supposés?
00:20:36Bon, écoutez, nous nous sommes bien
00:20:38compris que
00:20:40nous sommes comme ça.
00:20:42Nous ne sommes pas capables de dire tout noir, tout blanc,
00:20:44bien entendu, nous ne pouvons pas dire tout parfait,
00:20:46ça c'est,
00:20:48il n'est pas correct de dire ça,
00:20:50mais nous sommes capables aussi d'apprécier
00:20:52à juste prix les efforts
00:20:54que l'autorité peut faire, c'est-à-dire
00:20:56le ministère de la Santé, particulièrement
00:20:58de tout ce qu'il nous fait dire.
00:21:00Et aussi, nous sommes en collaboration avec
00:21:02avec
00:21:04mais il est aussi vrai de dire
00:21:06qu'il y a l'aspect
00:21:08encore plus d'efforts, l'emphase,
00:21:10ressources,
00:21:12améliorer beaucoup plus
00:21:14les choses, soyons plus concrets.
00:21:16L'aspect médical, par exemple,
00:21:18nous nous faisons beaucoup d'efforts.
00:21:20Tout d'abord, comme je vous l'ai dit,
00:21:22nous avons un plan d'action, nous avons une activité,
00:21:24nous avons un programme, c'est puisé
00:21:26depuis le droit de contrôle
00:21:28dans ce plan. Mais qu'est-ce qu'il y a à faire pour améliorer?
00:21:30Alors, c'est, allons dire
00:21:32que même si
00:21:34nous là, nous pouvons faire ce qu'on peut faire,
00:21:36nous sommes un peu contents
00:21:38qu'il n'y ait pas de prise en charge
00:21:40psychosociale qui est fondamentale
00:21:42pour qu'on puisse remettre des gens
00:21:44dans la société. L'aspect médical,
00:21:46nous désignons un protocole de prise en charge
00:21:48de l'usage de drogues à moins de risque qui est validé
00:21:50en 2023. Et
00:21:52nous travaillons d'après un standard, aussi
00:21:54de dire que depuis 2021,
00:21:56il y a une performance audit, report,
00:21:58audit. Donc, c'est, c'est, c'est
00:22:00bureau de l'audit qui diffère. Par côté
00:22:02des finances, bien entendu, nous faisons ça.
00:22:04Performance audit, ça veut dire qu'il y a une pratique
00:22:06qui est en place.
00:22:08Comment est-ce qu'on peut améliorer cette pratique-là
00:22:10par rapport au standard international et tout?
00:22:12Et nous faisons cette recommandation.
00:22:14Basé sur cette recommandation, nous
00:22:16amènons cette amélioration
00:22:18voulue. Nous venons avec un protocole
00:22:20qui prend en gros en considération
00:22:22cette recommandation-là
00:22:24pour améliorer les choses justement. C'est-à-dire
00:22:26d'après un standard.
00:22:28Mais il est vrai de dire que si
00:22:30l'aspect médical nous fait base, nous avons un
00:22:32protocole de prise en charge codifié
00:22:34et il y a ce guide-line-là d'après
00:22:36les recommandations de prise en charge médicale
00:22:38internationale, WHO,
00:22:40UNODC et autres agences
00:22:42internationales.
00:22:44Nous finissons par faire tout ça-là. Nous avons un lien
00:22:46avec les NGOs qui, d'ailleurs, dans le contexte
00:22:48de l'IUAP, sont très actifs en nous,
00:22:50quand ils prennent en charge ces patients-là.
00:22:52Malgré que nous aussi, nous avons nos
00:22:54psychologues, nous aussi, nous avons un
00:22:56counseling qu'ils nous font, mais ils nous suivent
00:22:58à ce que nous, nos paramètres,
00:23:00arrivent en place et arrêtés. Vous trouvez qu'ils me redisent.
00:23:02Cette partie-là, c'est un
00:23:04point très, très important
00:23:06que nous devons consolider
00:23:08pour que nous puissions trouver des résultats plus
00:23:10tangibles. Et éventuellement,
00:23:12nous finissons par réhabiliter quelqu'un, mais le devons
00:23:14réinsérer dans la société. Il y a beaucoup d'autres
00:23:16aspects à prendre en considération, y compris
00:23:18les recommandations qu'il y a dans
00:23:20la commission d'enquête. Alors, moi,
00:23:22j'ai beaucoup à vous dire, nous n'avons pas tout noir
00:23:24ni blanc, nous analysons les choses,
00:23:26nous avons tout renforcé
00:23:28avec le soutien de tout un chapitre.
00:23:30N'empêche, donc, qu'il y a une situation
00:23:32actuelle, nous sommes au terrain,
00:23:34nous pouvons dire que la situation n'est pas bonne.
00:23:36Si on écoute le docteur, il va dire
00:23:38tout parfait, nous n'adressons pas de problème, etc.
00:23:40Il y a
00:23:42beaucoup de vrais problèmes.
00:23:44Aujourd'hui, par rapport à la distribution
00:23:46de la méthadone,
00:23:48il n'y a pas de boule fixe.
00:23:50Disposer peut être
00:23:52distribuée dans un centre de santé.
00:23:54Depuis
00:23:56beaucoup d'années, il y a eu la guerre pour ça,
00:23:58jusqu'à l'heure où il y a eu un protocole
00:24:00dont le docteur a mentionné
00:24:02que le ministre Chivini a annoncé, etc.
00:24:04Est-ce qu'il met en place? Non.
00:24:06Il n'y a pas ce qui, il y a des difficultés.
00:24:08Aujourd'hui, le docteur peut dire
00:24:10oui au niveau de la prise en charge,
00:24:12mais il y a des gens qui sont
00:24:14stigmatisés, il y a des discriminations,
00:24:16il y a des problèmes dans l'hôpital.
00:24:18Pourquoi ne pas mettre la méthadone
00:24:20dans un centre de santé? Parce que
00:24:22les infirmiers se dispensent.
00:24:24Avant l'élection, il y avait
00:24:26des médecins
00:24:28qui ne donnaient pas de méthadone.
00:24:30Donc comment ne pas avancer?
00:24:32Il y a un traitement, mais les gens
00:24:34qui supposent dispenser ce traitement
00:24:36se dispensent de ce traitement.
00:24:38Ça, c'est un gros problème
00:24:40concernant le traitement.
00:24:42Aujourd'hui, le plus gros dégât,
00:24:44le plus gros problème, c'est la drogue synthétique.
00:24:46Au niveau du ministère
00:24:48de la Santé,
00:24:50le docteur l'a confirmé,
00:24:52il y a des gens qui
00:24:54consomment la drogue synthétique,
00:24:56mais qui ne consomment pas l'héroïne,
00:24:58mais il y a un traitement.
00:25:00Il y a un traitement aussi...
00:25:02Si vous avez un traitement, je vais vous le dire.
00:25:04Finis, finis.
00:25:06Il y a un traitement, il y a des affaires
00:25:08qui sont arrêtées,
00:25:10il y a des bénéficiaires qui demandent.
00:25:12Tout ça, c'est une bonne recommandation
00:25:14qu'il nous fait,
00:25:16qui malheureusement,
00:25:18peut-être que le docteur n'est pas capable de dire ça,
00:25:20mais il y a beaucoup de réticences
00:25:22de la part du gouvernement
00:25:24pour faire, pour bouser,
00:25:26parce qu'ils entendent
00:25:28le ministre de la Cour,
00:25:30le ministre peut entendre le premier ministre,
00:25:32etc. Donc, nous bousons.
00:25:34Par rapport à la
00:25:36drogue injectable,
00:25:38le docteur mentionne un chiffre.
00:25:40Home Reduction International
00:25:42a mentionné de 12 000, à peu près
00:25:4412 000 personnes qui ont un programme
00:25:46qui prend ses règles, etc.
00:25:48et qui prévalance,
00:25:50par exemple, l'hépatite.
00:25:52Parmi ces personnes-là,
00:25:54ils tournent autour de 65 à 70 %.
00:25:56Donc, il y a un gros problème de l'hépatite
00:25:58parmi les personnes qui ont été injectées.
00:26:00Il y en a à peu près
00:26:028 000 personnes qui ont été
00:26:04injectées.
00:26:068 000 personnes qui ont besoin d'un traitement,
00:26:08mais qui encore peuvent
00:26:10aller en station et qui ont
00:26:12repris quelque chose, il y a toujours un problème.
00:26:14Le DUAP,
00:26:16nous l'accrochons bien et
00:26:18classiquement, nous ne pouvons pas gagner d'informations.
00:26:20Il ne peut pas fonctionner. Il y a beaucoup de
00:26:22recommandations qu'ils nous font. Nous ne pouvons pas
00:26:24gagner de retour.
00:26:26Moi, j'aime beaucoup
00:26:28les gens, personnellement,
00:26:30qui ne passent pas là.
00:26:32Tu peux faire mention pour des gens
00:26:34qui ne passent pas dans le trafic, etc.
00:26:36Mais j'aime beaucoup les gens
00:26:38qui sont là,
00:26:40la police,
00:26:42ils ne passent pas la route, ils se cassent.
00:26:44Ils ne se cassent pas,
00:26:46nous ne faisons pas ce DUAP, nous ne nous cassons pas.
00:26:48Ça, c'est une bonne chose
00:26:50qui fait qu'ils ont des gens dans une situation
00:26:52qui nous a été. Parce que,
00:26:54comme à l'étude mentionnée, le plus gros problème
00:26:56c'est la corruption.
00:26:58Monsieur Ali Lazelle, on l'a vu que le docteur
00:27:00Rame Koustal Sengine
00:27:02nous a aidés, nous, psychiatres, et nous comprenons
00:27:04qu'il est un peu impliqué dans le truc,
00:27:06en mettant en place le programme de méthadone.
00:27:08Alors, est-ce qu'on peut dire ça,
00:27:10c'était qui qui a trouvé le programme
00:27:12de méthadone ? Est-ce que c'est satisfaisant ?
00:27:14C'est comme ça que tu as envie d'y être ?
00:27:16Est-ce qu'il y a des résultats attendus ?
00:27:18Bon,
00:27:20c'est vrai qu'à la base de l'introduction
00:27:22de méthadone,
00:27:24au début,
00:27:26quand on a commencé, ça supportait
00:27:28ces causes sociales-là.
00:27:30Fonctionnellement, moi, je connais
00:27:32qu'on n'est pas capable
00:27:34de donner ça qu'on a besoin.
00:27:36Si il y a un pays comme l'Amérique, le Canada n'est pas capable
00:27:38de donner une bonne support sociale.
00:27:40Ainsi, nous, avec nos moyens de
00:27:42bourses qu'on a,
00:27:44je connais que c'est difficile.
00:27:46Tout de même, notre staff, notre psychologue,
00:27:48notre social worker, ça fait faire le travail
00:27:50dans le gouvernement et dans le privé,
00:27:52dans l'NGO.
00:27:54Côté prise en charge médicale,
00:27:56le docteur Moukoul, il a mentionné
00:27:58le protocole, tout ça.
00:28:00Moi, j'ai une prise en charge médicale là aussi,
00:28:02c'est-à-dire que
00:28:04quand il y a un toxicomane,
00:28:06il dit, moi, le matin, je prends
00:28:08cette dose de méthadone, tantôt,
00:28:10il commence à sentir qu'il en manque.
00:28:12Alors, il a le piqué.
00:28:14Mais pourquoi est-ce qu'il en manque tantôt?
00:28:16C'est parce qu'il n'a pas
00:28:18besoin d'une dose qui est suffisante.
00:28:20Moi, je connais que
00:28:22le matin, quand je prends cette méthadone,
00:28:24je suis content.
00:28:26Cette méthadone, c'est une
00:28:28euphorie.
00:28:30Je suis content, il y a du travail et cette méthadone
00:28:32dure 24 heures. C'est le lendemain,
00:28:34le grand matin, qu'il répond sur la dose.
00:28:36Donc, moi,
00:28:38la plupart des méthadones,
00:28:40je suis
00:28:42sur cette dose-là.
00:28:44Et, quand
00:28:46quelqu'un me dit qu'il en manque,
00:28:48il me donne une lettre.
00:28:50Je lui dis, allez, je te suggère,
00:28:52considère, augmente
00:28:54cette dose de méthadone.
00:28:56Et là, je lui dis, le grand matin,
00:28:58il m'a dit, allez,
00:29:00tu peux gagner 55 mg.
00:29:02J'ai dit, je n'en manque pas 2,5.
00:29:04Il m'a dit,
00:29:0657,5.
00:29:08Je lui ai dit, après, il ne peut pas me dire
00:29:10que ce n'est pas assez.
00:29:12Je lui ai dit, il ne peut pas m'en augmenter.
00:29:14Donc,
00:29:16tous les médecins
00:29:18qui donnent ce service-là,
00:29:20actuellement,
00:29:22sont sous l'impression
00:29:24que
00:29:26les médicaments-là,
00:29:28ils peuvent plus de méthadone pour gagner
00:29:30que ça.
00:29:32Alors, ils limitent l'augmentation
00:29:34de cette dose-là.
00:29:36Ce qui est arrivé dans nos services,
00:29:38c'est qu'il y a eu un paquet de jeunes docteurs
00:29:40qui n'ont pas encore
00:29:42une année d'addiction,
00:29:44mais ils sont là-bas.
00:29:46Quand j'étais là-bas,
00:29:48quand j'étais consultant dans ce cas,
00:29:50le ministère, chaque année, demandait
00:29:52qui nous donnait des requirements,
00:29:54qui nous donnait des besoins.
00:29:56Je lui ai dit, il faut créer
00:29:5825 docteurs, psychologues,
00:30:00dans l'addiction.
00:30:02Mettre en place
00:30:04un diplôme en collaboration
00:30:06avec Bordeaux, faire ça.
00:30:08Et je lui ai dit, pour gériatrie aussi.
00:30:10Mais, je crois, début 2016,
00:30:12non, il n'y a pas de fait.
00:30:14Un petit point avec quoi, après, nous pouvons faire une pause-pub.
00:30:16M. Alirazia, tout à l'heure, après la pause-pub,
00:30:18nous pouvons écouter les écoutes.
00:30:20Nous refaisons partie, tu proposes,
00:30:22d'accord?
00:30:24C'est une piqûre qui, comme si, pour remplacer
00:30:26la méthadone.
00:30:28Tu es au courant de ça?
00:30:30J'ai entendu,
00:30:32mais je n'ai pas
00:30:34fait de recherche, je ne connais pas l'existence.
00:30:36Allez, ce que nous pouvons faire, il est déjà
00:30:3818h, laisse-nous faire une courte pause,
00:30:40et après, nous pourrons revenir sur le plateau de Top FM.
00:30:42Nous pouvons écouter d'abord un témoignage,
00:30:44ensuite, je peux demander à M. Alirazia,
00:30:46je sais qu'il y a beaucoup de choses pour lui dire,
00:30:48s'il est capable de réagir par rapport à tout ce qui a été dit,
00:30:50ou ce témoignage d'une maman
00:30:52qui peut nous raconter son souffrance.
00:30:54Vous êtes bon chez Top FM, c'est votre émission
00:30:56qui continue juste
00:30:58après ceci.
00:31:00Bonjour madame.
00:31:02Alors, bienvenue sur les ondes de Top FM,
00:31:04et nous écoutons ton témoignage.
00:31:06Moi, pourquoi j'en écoute,
00:31:08c'est avec un équilibré, parce que
00:31:10c'est mon fils unique.
00:31:12Téléchargez notre application Top FM Radio
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00:33:08Top FM Radio
00:33:10sur App Store, Play Store,
00:33:12et sur aussi Huawei.
00:33:14Alors, c'est votre émission
00:33:16de ce mercredi qui continue
00:33:18sur les ondes de votre
00:33:20radio Top FM. Alors, nous
00:33:22pêchons la drogue, comment la famille peut
00:33:24briser, comment la drogue, surtout la drogue synthétique,
00:33:26peut faire un ravage
00:33:28parmi la jeunesse, parmi la famille,
00:33:30et nous pêchons aussi qu'il y a un
00:33:32rajeunissement, qu'il y a une féminisation.
00:33:34Nous pêchons le point cet après-midi
00:33:36sur les ondes de votre radio Top FM.
00:33:38Nous l'invitez, Ali Elazer, travailleuse sociale,
00:33:40Ashwina Gungaram, directeur de
00:33:42l'association Elle.
00:33:44Nous l'invite également le docteur
00:33:46Taru Singh Raham Kusalsing,
00:33:48psychiatre, et le docteur
00:33:50Nitish Raj Sukol,
00:33:52officier in charge de la
00:33:54Harm Reduction Section du
00:33:56ministère de la Santé et du Bien-être.
00:33:58Dans quelques minutes, nous pourrons accueillir aussi
00:34:00au téléphone M. Anil Gayen,
00:34:02ancien ministre de la Santé, et nous
00:34:04pêchons aussi cet après-midi
00:34:06la natresa. Le gouvernement
00:34:08annonce le retour de
00:34:10la natresa. Est-ce que c'est la
00:34:12solution attendue contre le
00:34:14fléau de la drogue? Nous ferons le point dans
00:34:16quelques minutes, mais pour l'heure, comme on le disait,
00:34:18laisse-nous écouter un témoignage d'une
00:34:20maman qui peut raconter le calvaire
00:34:22qu'il y peut vivre. Et nous vous demandons aussi
00:34:24d'un auditeur, si j'ai le temps d'intervenir,
00:34:26je ne peux pas téléphoner au 213-7777.
00:34:28Bonjour.
00:34:30Bonjour, madame.
00:34:32Alors, bienvenue sur les ondes de
00:34:34Top FM et nous écoutons vos témoignages.
00:34:36Moi, moi, pourquoi j'en écoute?
00:34:38C'est parce que
00:34:40j'ai un fils unique.
00:34:42Mon garçon, c'est un enfant
00:34:44qui se fréquente au collège royal
00:34:46de Port-Louis.
00:34:48Mais pendant son éducation,
00:34:50je n'ai pas eu aucun problème avec lui.
00:34:52Mais c'est à l'âge de 19 ans
00:34:54qu'il commence à se droguer, qu'il m'a battu
00:34:56au nez. Et c'est
00:34:58l'année dernière qu'il m'a emprunté
00:35:00parce qu'il a causé un docteur.
00:35:02Moi, je l'ai même amené dans le centre.
00:35:04Et
00:35:06ce qui m'occupe, c'est que
00:35:08il n'est pas violent, mais seulement
00:35:10il fatigue moi beaucoup.
00:35:12J'ai même besoin de quitter la classe.
00:35:14J'ai besoin d'aller dans une autre place.
00:35:16Parce qu'il ne paye pas la part.
00:35:18Il vend tous les affaires qu'il a
00:35:20sur la classe et même dans ma classe aussi.
00:35:22J'ai besoin de fermer ma classe.
00:35:24J'ai besoin de fermer mon business.
00:35:26J'ai besoin d'aller.
00:35:28Il y a tellement de bons certificats
00:35:30qu'il y a un travail d'un gros compagnon
00:35:32qui se paye presque 60 000 euros
00:35:34sur la paye.
00:35:36Il arrête ça aussi pour qu'il fasse un petit boulot
00:35:38pour qu'il gagne la classe tous les jours.
00:35:40Là, comme on est dans le centre Maibou,
00:35:42quand il est sorti, il m'a dépensé
00:35:44beaucoup de classes, mais
00:35:46il n'est plus le pire des pires.
00:35:48Jusqu'à l'année dernière, avec
00:35:50des camarades, il a fait un délit
00:35:52quand il me faisait fermer pendant deux mois.
00:35:54Là, il est sorti, il est venu
00:35:56et il a refermé mes affaires.
00:35:58Finalement, il a quitté la classe.
00:36:00Il reste dans une place
00:36:02où il y a tout.
00:36:04Il y a manger, il y a boire, il y a la drogue
00:36:06trois fois par jour.
00:36:08Il y a tout.
00:36:10Je n'ai pas eu de contact.
00:36:12Tout ce qu'il m'a donné,
00:36:14il a fini vendé.
00:36:16Franchement, j'ai le coeur pleuré.
00:36:18Il m'a dit qu'il n'était pas bien, qu'il n'était pas en bonne santé.
00:36:20Mais seulement,
00:36:22il m'a donné de la poudre pour me taper.
00:36:24Il me dépense beaucoup, beaucoup, beaucoup
00:36:26pour moi.
00:36:28Il m'a donné du cachot,
00:36:30pas besoin de quitter moi car il est quart de 6ème.
00:36:32Mais là, bientôt,
00:36:34il devrait avoir 30 ans.
00:36:36Mais il a quitté la classe pour ne rien faire.
00:36:38Juste à cause de la drogue,
00:36:40il reste dans sa place là
00:36:42pour lui garder tout là-bas.
00:36:44C'était un fils unique.
00:36:46Pas juste moi, mais même
00:36:48mon maman, mon frère,
00:36:50ils ont tout bien
00:36:52compte en lui.
00:36:54Parce qu'il est unique.
00:36:56Mais je n'ai pas beaucoup de temps,
00:36:58sur la drogue, l'hypérésiste à base, c'est à cause de la drogue.
00:37:01Point d'affaire.
00:37:03Il est quasiment dans les mêmes points de l'année, là.
00:37:06Il ne m'a même pas demandé de maman, laisse-moi téléphoner.
00:37:11Quand on peut écouter un témoignage de cette madame-là,
00:37:13on peut trouver un témoignage qui me connaît,
00:37:16qui beaucoup de mamans, malheureusement,
00:37:18peuvent vivre cette situation-là.
00:37:19Ce témoignage-là nous donne une certaine jeûne.
00:37:22On trouverait même, comment on peut dire, un rajeunissement
00:37:25de toxicomanes.
00:37:27L'hypédien, nous également, c'est un garçon qui fait une bien étudiée,
00:37:30il a une bonne école, quand il commence à travailler,
00:37:33il se fait gagner un bon salaire.
00:37:34On trouve ça aussi encore une jeûne qu'il a abandonnée.
00:37:36On peut trouver déjà qu'il a une mauvaise cause,
00:37:39manque de main-d'oeuvre.
00:37:40Et justement, quand on voit cette situation-là,
00:37:42on peut trouver de plus en plus de jeûnes qui, malheureusement,
00:37:44peuvent rentrer dans cette enfer, la drogue-là.
00:37:46Et je sais que c'est un témoignage qui nous touche,
00:37:49mais je sais que M. Alilazer,
00:37:50souvent, entend ce genre de témoignage-là.
00:37:54Oui, d'abord, j'ai une pensée spéciale pour toutes les mamans.
00:37:59C'est une maman qui, dans ce temps-là, a fait quelque chose de cassé.
00:38:03Mais je peux vous dire que moi, tous les jours,
00:38:06quand je trouve l'homme-maman,
00:38:10quand je ressens la souffrance de la maman,
00:38:12moi, je peux plaire à l'homme de l'eau salée.
00:38:16C'est cette maman-là que je plais, c'est l'homme d'ici.
00:38:20Je peux vous dire qu'avant l'élection,
00:38:24j'avais fait une causerie dans Kéapip.
00:38:27Pendant que je finis de prendre la parole, je peux causer.
00:38:30Je vois un papa rentrer avec un petit garçon.
00:38:35Quand je finis d'intervenir,
00:38:37papa-là me dit que demain, il y a une émission,
00:38:40mon garçon cause deux minutes.
00:38:43Ce garçon-là, c'est un ancien lauréat.
00:38:46Pareil, comme on dit à sa maman, on peut le voir.
00:38:49C'est-à-dire que c'est l'ancien qui prend l'avenir devant lui.
00:38:53Qu'est-ce qui peut être l'avenir de l'ancien?
00:38:56Vous ne trouvez pas?
00:38:57Alors, c'est pour ça que moi, je l'appelle,
00:39:00pour profiter pour dire à l'ancien,
00:39:02ne pas essayer d'essayer et ne pas tasser.
00:39:05Maintenant, j'ai envie de retourner
00:39:07à ce que nos camarades, les médecins,
00:39:09hommes, réduction unites,
00:39:11une cause physique,
00:39:13une fois dans un sacrifice.
00:39:14Je le comprends, je le comprends.
00:39:16Je ne vais pas donner tout, une cause,
00:39:18et chose, et stakeholders.
00:39:22Mais vous savez,
00:39:25c'est un médecin là pour d'accord, psychiatre,
00:39:27quand tu introduis un méthadone dans le morice,
00:39:30tu es dans la consultation.
00:39:32Tu peux aller dans le ONG, dans le centre,
00:39:35peut-être dans le centre de référence,
00:39:38il y a des clients qui parlent du méthadone.
00:39:43Jour après jour,
00:39:46il y a un cas dans Rochebois,
00:39:48un grand-père s'est posé méthadone,
00:39:51dispensé, vite dans la gauche,
00:39:54dispensé là, vite dans la gauche.
00:39:57Pas de nouveau, fiole, amène la case.
00:40:00Il y a un grand-père de Rochebois,
00:40:02il prend ce fiole,
00:40:04il y a la case, il pose là,
00:40:06ses enfants, des enfants, boire, morts.
00:40:10Après ça, finalement,
00:40:12ils se rendent à temps.
00:40:14Ça veut dire, j'ai fait ça dans un journal,
00:40:16dans une interview,
00:40:17méthadone, maintenant,
00:40:19ils ne viennent pas vendre à l'hôpital,
00:40:21ils viennent dire, demain, on va à l'hôpital,
00:40:23c'est à vieux,
00:40:24ou bien, si vous dites comme ça,
00:40:25vite, ils l'emmènent dans le shopping,
00:40:27ils l'emmènent, ils l'emmènent.
00:40:28Ils parlent de ça.
00:40:29Camara d'Arsene, bien dire,
00:40:31c'est pas, moi, je passe 6 mois
00:40:34dans la clinique méthadone dans Londres.
00:40:37Moi, j'ai raison de dire ici,
00:40:38méthadone dispense, on va dire,
00:40:40malgré, rappelle-moi le protocole,
00:40:43le protocole qui dit est strict.
00:40:45Je dis, on boit, on dispense,
00:40:47on n'a pas d'endroit à mettre dans la case.
00:40:48Là, les stakeholders prennent en considération,
00:40:52aussitôt, le ministre Djagatpal,
00:40:53quand il a décidé, il a eu 15 ans,
00:40:56ou d'accord, qu'est-ce qu'il a dit au début,
00:40:58pas plus d'une manzaine,
00:40:59en bas 20 ans.
00:41:01J'aurais dit, il a eu 15 ans,
00:41:03et pas plus, pas juste d'une manzaine de 15 ans,
00:41:06il a eu une livraison à domicile.
00:41:09Vous connaissez bien sûr la vie,
00:41:10beaucoup, à l'innocence d'enfants,
00:41:13vous ne comprenez pas.
00:41:14Alors, qui, qui,
00:41:16est-ce qu'il y a des jeunes stakeholders?
00:41:18Vous connaissez, je vais vous dire,
00:41:20avant, nous, il n'existait pas beaucoup,
00:41:22avant, avant la Tresa,
00:41:24avant, avant le ministère de la Santé,
00:41:27responsable de ces drogues.
00:41:30Vous connaissez, avant, 25, 30 ans,
00:41:32il n'y avait pas de centre,
00:41:33on a fondé un centre de traitement,
00:41:36je connais beaucoup de centres,
00:41:37comme un centre comme moi,
00:41:39tu as plusieurs médicaments,
00:41:41que tu peux donner,
00:41:42que tu peux pôtre ce fruit.
00:41:44Vous comprenez, pôtre ce fruit,
00:41:46les meilleurs médecins,
00:41:48il n'y a pas des gens qui viennent accrocher, etc.
00:41:52Tu peux faire,
00:41:53parce que, vous connaissez le problème de la drogue,
00:41:55il y a un problème global, ça.
00:41:57Vous ne voyez pas quelqu'un venir et dire,
00:41:58metadone, metadone, metadone,
00:42:01vous ne comprenez pas,
00:42:02il élimine tout.
00:42:03M. Diagapal, M. Contour,
00:42:06il élimine tous les centres
00:42:08que tu peux donner les autres médicaments,
00:42:10ils viennent et disent, metadone.
00:42:12Moi, je me pose la question,
00:42:13vous connaissez mon gène,
00:42:14mon étranger,
00:42:15il me dit,
00:42:16pour faire un lobbying,
00:42:17metadone dans mon richement.
00:42:19Vous comprenez ?
00:42:20Alors, je me demande,
00:42:21est-ce qu'il y a un lobbying,
00:42:22parce qu'il faut,
00:42:23M. Diagapal,
00:42:25pour qu'il cancelle
00:42:26tous les médicaments de substitution.
00:42:30Il y a un problème varié, ça.
00:42:31Pour la résolution ici,
00:42:33c'est varié.
00:42:34Je vous dis,
00:42:34c'est ce qui vous donne le metadone.
00:42:36J'accompagne des journalistes,
00:42:38un investigateur français.
00:42:40TF1, ils vont mourir,
00:42:42ils vont faire une reportage
00:42:43de la distribution de metadone.
00:42:46Je vais monter en tant que mauricien.
00:42:48Quand on a une, deux, trois bases
00:42:49qu'on peut donner le metadone,
00:42:51maintenant, on recorde,
00:42:52on joue, on regarde
00:42:53la télévision française.
00:42:55Vous comprenez ?
00:42:55Maintenant, on prend le metadone
00:42:57du côté droit,
00:42:58pourtant, il y a un policier là,
00:42:59il y a un dispensaire,
00:43:00il faut éviter ça sur la gauche.
00:43:02Il prend,
00:43:03il prend le metadone là à droite,
00:43:04il vient venir à gauche
00:43:06avec des gens qui...
00:43:07Le metadone, c'est pour les héroïnes humaines.
00:43:10C'est pour les gens qui ont des héroïnes.
00:43:12Quand un médecin est d'accord avec moi,
00:43:14aujourd'hui, il connaît combien
00:43:15d'addicts de metadone
00:43:16qu'il y a dans notre pays.
00:43:17Ils l'emmènent pour les héroïnes,
00:43:18ils viennent à l'addict.
00:43:19Parce que ce dispensing,
00:43:22pas préféré qu'on a besoin.
00:43:23Là-dedans, comment tu dis,
00:43:24au départ,
00:43:25probablement, il y a un an,
00:43:2620 ans,
00:43:27il y a besoin de boire,
00:43:28ils vont dispenser.
00:43:29Aujourd'hui,
00:43:30le ministre de la Garde parlement,
00:43:31il y a un grand paquet.
00:43:33Ils nous diront comme ça,
00:43:34les livraisons de metadone
00:43:37à domicile,
00:43:38les dire maintenant,
00:43:39des enfants de quinze ans.
00:43:40Et oula,
00:43:41quinze ans,
00:43:42le metadone connaît qui vous préférez.
00:43:44D'accord,
00:43:45pour ceci,
00:43:46malheureusement,
00:43:47il y a toute une émission
00:43:48pour causer,
00:43:49mais quand même,
00:43:50allez-moi écouter le docteur
00:43:51si tu as envie de dire le metadone.
00:43:52Après, nous passons
00:43:53la réhabilitation.
00:43:54Ce qu'il faut dire,
00:43:56ce qu'il a dit,
00:43:57ce que l'a dit,
00:43:58ce que l'a dit,
00:43:59ce que l'a dit,
00:44:00ce que l'a dit,
00:44:01ce qu'il a dit,
00:44:02ce qu'il a dit,
00:44:03ce qu'il a dit,
00:44:04ce qu'il a dit,
00:44:05ce qu'il a dit,
00:44:06ce qu'il a dit,
00:44:07ce qu'il a dit,
00:44:08ce qu'il a dit,
00:44:09ce qu'il a dit,
00:44:10ce qu'il a dit,
00:44:11ce qu'il a dit,
00:44:12ce qu'il a dit,
00:44:13ce qu'il a dit,
00:44:14ce qu'il a dit,
00:44:15ce qu'il a dit,
00:44:16ce qu'il a dit,
00:44:17ce qu'il a dit,
00:44:18ce qu'il a dit,
00:44:19ce qu'il a dit,
00:44:20ce qu'il a dit,
00:44:21ce qu'il a dit,
00:44:22ce qu'il a dit,
00:44:23ce qu'il a dit,
00:44:24ce qu'il a dit,
00:44:25ce qu'il a dit,
00:44:26ce qu'il a dit,
00:44:27ce qu'il a dit,
00:44:28ce qu'il a dit,
00:44:29c'est-à-dire qu'en fait,
00:44:30le dispensing,
00:44:31c'est-à-dire qu'en fait,
00:44:32le dispensing,
00:44:33c'est-à-dire qu'en fait,
00:44:34le dispensing,
00:44:35c'est-à-dire qu'en fait,
00:44:36le dispensing,
00:44:37c'est-à-dire qu'en fait,
00:44:38le dispensing,
00:44:39c'est-à-dire qu'en fait,
00:44:40le dispensing,
00:44:41c'est-à-dire qu'en fait,
00:44:42le dispensing,
00:44:43c'est-à-dire qu'en fait,
00:44:44le dispensing,
00:44:45c'est-à-dire qu'en fait,
00:44:46le dispensing,
00:44:47c'est-à-dire qu'en fait,
00:44:48le dispensing,
00:44:49c'est-à-dire qu'en fait,
00:44:50le dispensing,
00:44:51ça dépend beaucoup
00:44:52de ce qui va fonctionner
00:44:53dans votre vie,
00:44:54en vie,
00:44:55au travail,
00:44:56etc.
00:44:57Là,
00:44:58comme on disait,
00:44:59dans l'élaboration
00:45:00de ce masterplan
00:45:01qui est venu
00:45:02pour les prochaines années,
00:45:03pour les cinq prochaines années,
00:45:04quand on est avec
00:45:05ces experts étrangers-là,
00:45:06quand on est avec
00:45:07ces experts étrangers-là,
00:45:08nous guettons le problème
00:45:09dans son ensemble,
00:45:10nous donnons
00:45:11notre input,
00:45:12nous donnons notre input,
00:45:13nous donnons notre input,
00:45:14nous donnons notre input,
00:45:15nous donnons notre input,
00:45:16nous donnons notre input,
00:45:17nous donnons notre input,
00:45:18nous donnons notre input,
00:45:19nous donnons notre input,
00:45:21pour nous trouver
00:45:22sa formule
00:45:23qu'on est capable
00:45:24de prendre
00:45:25des bénéficiaires
00:45:26de méthadone
00:45:27qui ont une passion
00:45:28d'addiction
00:45:29dans ces institutions
00:45:30de santé.
00:45:31Le processus
00:45:32qui a commencé
00:45:33depuis 2020,
00:45:34nous aussi,
00:45:35bien qu'on prend
00:45:36un aspect,
00:45:37en 2020,
00:45:38on a 5400 bénéficiaires
00:45:39de méthadone,
00:45:40aujourd'hui,
00:45:41on peut dire 8000,
00:45:42au fait,
00:45:43ils ont augmenté
00:45:44à 9000.
00:45:45Si on continue pareil,
00:45:46si on a bien
00:45:47les indications
00:45:48avant l'admission,
00:45:49on peut arriver
00:45:50à les 10000 probablement.
00:45:51Quand il y a
00:45:525600 personnes
00:45:53qui peuvent prendre
00:45:54dans un centre,
00:45:55un seul coup
00:45:56dans l'hôpital,
00:45:57c'est immobile.
00:45:58Qu'est-ce qu'il faut faire?
00:45:59On peut trouver là.
00:46:00D'autre part,
00:46:01il n'est pas logique,
00:46:02on n'est pas d'accord
00:46:03du tout avec ça.
00:46:04Des stations,
00:46:05on ne peut pas les faire.
00:46:06Il y en a à Malbourg,
00:46:07il y en a à Caen-les-Vieux,
00:46:08mais il y en a encore
00:46:09dans les postes de police,
00:46:10ça veut dire dans les police stations,
00:46:11à Côte-Pédonné,
00:46:12qui ne sont pas d'accord.
00:46:13Un patient,
00:46:14il a besoin
00:46:15que ce problème-là
00:46:16finisse d'être identifié
00:46:17depuis un bout de temps.
00:46:18Une partie du monde,
00:46:19déjà, il y en a
00:46:20autour de 1500
00:46:21dans un centre de soins
00:46:22depuis l'ouverture
00:46:23jusqu'à la fermeture,
00:46:24mais aussi une partie
00:46:25dans un caravane
00:46:26dans un centre de soins.
00:46:27Au total,
00:46:28il y en a 3000
00:46:29à 3500,
00:46:30l'autre, 9000.
00:46:31Ça, c'est un aspect.
00:46:32Le Dr Amko Chalsing
00:46:33dit effectivement
00:46:34que la formation
00:46:35est primordiale.
00:46:36Là aussi,
00:46:37nous reconnaissons
00:46:38qu'il y a
00:46:39certains médecins
00:46:40qui sont capables
00:46:41d'avoir une formation
00:46:42qui est primordiale.
00:46:43C'est-à-dire
00:46:44qu'ils sont capables
00:46:45d'être très bons médecins,
00:46:46mais dans le domaine
00:46:47d'addiction,
00:46:48ils méritent
00:46:49constamment
00:46:50d'avoir une formation
00:46:51continue
00:46:52ou encore d'avoir
00:46:53une exposition
00:46:54avec tout ce qui est,
00:46:55par exemple,
00:46:56diplôme universitaire.
00:46:57Mais il faut dire
00:46:58qu'il y a un diplôme
00:46:59universitaire
00:47:00qui offre
00:47:01pas mal de médecins
00:47:02qui ont déjà
00:47:03une formation
00:47:04plus poussée
00:47:05et il y en a
00:47:06beaucoup qui ont
00:47:07un double diplôme
00:47:08universitaire
00:47:09en addictologie
00:47:10et aussi le VIH.
00:47:11Alors, il faut dire
00:47:12que constamment,
00:47:13les médecins
00:47:14augmentent nos capacités
00:47:15et font que le docteur
00:47:16est beaucoup plus performant
00:47:17mais aussi,
00:47:18il faut pas oublier
00:47:19l'autre aspect.
00:47:20Il y a une compétence
00:47:21et le docteur
00:47:22a beaucoup plus
00:47:23d'empathie par rapport
00:47:24à cette patiente-là.
00:47:25Il y a un problème,
00:47:26nous reconnaissons
00:47:27ce problème.
00:47:28Il y a des choses
00:47:29qui peuvent être faites.
00:47:30Nous espérons être
00:47:31tous d'accord
00:47:32quand même.
00:47:33Nous espérons qu'il y a
00:47:34une solution très vite.
00:47:35Et nous espérons
00:47:36qu'il y a une solution
00:47:37vite, durable,
00:47:38mais nous avons
00:47:39beaucoup d'espoir
00:47:40de ramasser le plan
00:47:41qui est pourvenu.
00:47:42Donc, c'est une conclusion
00:47:43et une recommandation
00:47:44qui nous permettent
00:47:45de ramasser le plan
00:47:46pour l'implémenter.
00:47:47D'accord.
00:47:48Et là, on peut aussi
00:47:49parler du côté réhabilitation.
00:47:50Et là, on peut trouver,
00:47:51je vous rappelle
00:47:52que le 15 janvier 2016,
00:47:53justement,
00:47:54il y a neuf ans,
00:47:55jour pour jour,
00:47:56le NATREZA a fait
00:47:57une dissolution.
00:47:58Alors,
00:47:59ceux qui sont dans
00:48:00le domaine,
00:48:01les ONG,
00:48:02etc.,
00:48:03nous connaissons
00:48:04M. Alilazé
00:48:05qui a fait
00:48:06un petit peu
00:48:07la NATREZA
00:48:08qui était là
00:48:09mais malheureusement,
00:48:10le problème a été identifié
00:48:11au niveau de la gestion
00:48:12administrative,
00:48:13financière,
00:48:14et lors,
00:48:15il y a eu des problèmes
00:48:16avec les ONG,
00:48:17etc.
00:48:18Finalement,
00:48:19quand tu peux trouver,
00:48:20même quand on nous dit
00:48:21que c'est financier,
00:48:22il y a un moment,
00:48:23le budget financier
00:48:24de la NATREZA,
00:48:25on peut aller
00:48:26voir les ONG
00:48:27pour aider
00:48:28les toxicomanes.
00:48:29On peut aller voir
00:48:30les toxicomanes.
00:48:31Tu peux trouver
00:48:32une grande partie,
00:48:33tu peux rester avec eux
00:48:34pour même,
00:48:35comme si l'association,
00:48:36même la NATREZA,
00:48:37se gestion au quotidien,
00:48:38etc.
00:48:39Arrive un moment,
00:48:40le ministre de la santé,
00:48:41à l'époque,
00:48:42les filles,
00:48:43disent sur la NATREZA,
00:48:44justement,
00:48:45tu pouvais écouter
00:48:46quelques milliers de livres
00:48:47de nos semaines de raison,
00:48:48mais on,
00:48:49M. Lali Lazeim,
00:48:50retourne-moi vers vous.
00:48:51Alors, brièvement,
00:48:52allons-y.
00:48:53Où se trouve la NATREZA?
00:48:54Quelle est l'opinion?
00:48:55Bon,
00:48:56je suis capable de dire
00:48:57que moi,
00:48:58avec une série de mes camarades,
00:48:59Kadr El-Skengen,
00:49:00Dani Philippe,
00:49:01Imran Danou,
00:49:02Samad Dallou,
00:49:03etc.
00:49:04Nous n'existions pas
00:49:05avant la NATREZA.
00:49:06Avant la création
00:49:07de la NATREZA,
00:49:08nous n'avons pas
00:49:09créé la NATREZA.
00:49:10À un certain moment,
00:49:11je représentais
00:49:12le ministre
00:49:13de la NATREZA.
00:49:14OK?
00:49:15Je ne représentais pas
00:49:16le centre de la communauté,
00:49:17je représentais
00:49:18le ministre.
00:49:19Je tiens à la sonnette
00:49:20d'alors à dire
00:49:21que la NATREZA
00:49:22est une dévastation.
00:49:23Parce qu'elle n'est pas
00:49:24capable,
00:49:25pareil comme les autres
00:49:26institutions,
00:49:27de prendre
00:49:28un nominé politique
00:49:29comme un chairman
00:49:30ou prendre un nominé.
00:49:31La majorité
00:49:32sont les staffs.
00:49:33Ce n'est pas
00:49:34les techniciens
00:49:35qui sont les staffs.
00:49:36Ce n'est pas
00:49:37les techniciens
00:49:38qui ont la connaissance
00:49:39de la drogue.
00:49:40Puis on prend
00:49:41l'autre part ici,
00:49:42l'autre part là,
00:49:43etc.
00:49:44Finalement,
00:49:45il y a eu
00:49:46des affaires disparables
00:49:47qui se sont déroulées.
00:49:48Là,
00:49:49je connais bien
00:49:50un nursing officer
00:49:51de l'IPA.
00:49:52Maintenant,
00:49:53je peux dire ce nom.
00:49:54C'est madame
00:49:55Ragupat,
00:49:56Charmaine Ragupat.
00:49:57C'est une madame
00:49:58qui est venue
00:49:59pour travailler.
00:50:00Mais j'ai pas donné
00:50:01le temps
00:50:02à Nadia
00:50:03de travailler là
00:50:04parce qu'elle a envie
00:50:05de travailler
00:50:06dans la NATREZA.
00:50:07Madame là,
00:50:08je l'ai fait obliger
00:50:09de se démissionner
00:50:10et d'y aller.
00:50:11Vous comprenez ?
00:50:12Moi,
00:50:13je me suis démissionné
00:50:14là-dedans
00:50:15parce que je n'étais plus
00:50:16capable,
00:50:17chaque board meeting,
00:50:18de me dire
00:50:19qu'il faut
00:50:20revoir,
00:50:21qu'il faut
00:50:22réassister.
00:50:23Je n'ai pas d'accord
00:50:24du tout
00:50:25qu'ils ferment
00:50:26la NATREZA.
00:50:27Je n'ai pas d'accord
00:50:28du tout.
00:50:29Vous savez,
00:50:30il y a un moustique
00:50:31dans la case.
00:50:32Vous savez,
00:50:33c'est la vie.
00:50:34Vous ne pouvez pas
00:50:35mettre une bombe
00:50:36dans la tête
00:50:37de la nation.
00:50:38Vous savez,
00:50:39la drogue peut faire
00:50:40avancer
00:50:41le terrorisme.
00:50:42Et c'est l'institution
00:50:43de la NATREZA
00:50:44qui pacifie.
00:50:45Je veux dire,
00:50:46dans chaque région,
00:50:47je ne veux pas dire
00:50:48dans chaque circonscription,
00:50:49chaque région,
00:50:50les nord,
00:50:51les sud,
00:50:52l'est, l'ouest,
00:50:53il y a une institution
00:50:54comme la NATREZA.
00:50:55Vous ne comprenez ?
00:50:56Mais c'est avec
00:50:57des gens compétents.
00:50:58Avec des gens compétents.
00:50:59Vous ne comprenez ?
00:51:00Moi,
00:51:01je me suis démissionné
00:51:02là-dedans
00:51:03et je me suis dit
00:51:04qu'il y a une lettre
00:51:05qui est là-dedans
00:51:06et que je ne peux pas
00:51:07envoyer ça à des gens
00:51:08qui ne viennent
00:51:09ne représenter
00:51:10la NATREZA
00:51:11mais à cause d'un
00:51:12logline
00:51:13d'une flippe fanée
00:51:14qui fait du bien.
00:51:15Alors,
00:51:16je suis allé revoir
00:51:17ce fonctionnement
00:51:18et je me suis demandé
00:51:19des gens compétents
00:51:20pour me dire
00:51:21que dans la drogue
00:51:22ou qu'il y a
00:51:23des gens qui veulent
00:51:24aider.
00:51:25Moi,
00:51:26je ne suis pas un grand
00:51:27expert,
00:51:28je ne suis pas un terrible
00:51:29malgré ce que je fais
00:51:30dans beaucoup
00:51:31d'institutions
00:51:32internationales.
00:51:33Je ne pense pas
00:51:34qu'il y a
00:51:35des gens qui sont
00:51:36compétents.
00:51:37Donc,
00:51:38il y a une raison
00:51:39de suggérer
00:51:40que les médecins
00:51:41doivent avoir
00:51:42une formation
00:51:43plus poussée,
00:51:44spécialisée
00:51:45dans les choses.
00:51:46Pareil,
00:51:47comme nous,
00:51:48les travailleurs
00:51:49sociaux à l'époque,
00:51:50vous comprenez,
00:51:51à travers la NATREZA,
00:51:52il faut avoir
00:51:53une bonne formation,
00:51:54il faut avoir
00:51:55des Américains
00:51:56pour venir
00:51:57et il faut avoir
00:51:58des Français
00:51:59pour bénéficier.
00:52:00Mais,
00:52:01je me suis dit
00:52:02qu'il ne faut pas
00:52:03s'exciter
00:52:04pour dissoudre
00:52:05la NATREZA,
00:52:06il faut donner
00:52:07la raison
00:52:08et puis nous
00:52:09pouvons écouter
00:52:10Achvin
00:52:11et peut-être
00:52:12le docteur
00:52:13Ram Kousalsing
00:52:14aussi par rapport
00:52:15à ça.
00:52:16Nous écoutons
00:52:17le ministre.
00:52:18D'abord,
00:52:19M. Anil Gaïa,
00:52:20nous capables,
00:52:21rappelle-nous
00:52:22pour quelles raisons
00:52:23la NATREZA
00:52:24a-t-il fait une
00:52:25démantelée en 2016
00:52:26alors qu'il était
00:52:27ministre de la santé?
00:52:28Enfin,
00:52:29il y avait plusieurs
00:52:30raisons,
00:52:31mais une des raisons
00:52:32c'est que la NATREZA
00:52:33et le Baud
00:52:34étaient constitués
00:52:35par les ONG
00:52:36qui,
00:52:37elles-mêmes,
00:52:38décidaient
00:52:39de la répartition
00:52:40des fonds.
00:52:41Alors,
00:52:42il y avait un conflit
00:52:43d'intérêts
00:52:44énorme
00:52:45dans la prise
00:52:46de décision
00:52:47des fonds.
00:52:48Ils étaient demandés
00:52:49par les ONG
00:52:50et dépensés
00:52:51par les ONG
00:52:52mais sans
00:52:53aucune responsabilité
00:52:54de faire savoir
00:52:55comment l'argent
00:52:56était dépensé.
00:52:57Et après,
00:52:58il y avait d'autres
00:52:59soucis
00:53:00institutionnels,
00:53:01il y avait
00:53:02un manque
00:53:03de discipline
00:53:04et généralement,
00:53:05c'était
00:53:06une institution
00:53:07qui ne faisait
00:53:08pas le travail
00:53:09auquel
00:53:10elle était
00:53:11destinée.
00:53:12Et vous savez
00:53:13que
00:53:14quand on a
00:53:15commencé
00:53:16la méthadone,
00:53:17la méthadone
00:53:18était
00:53:19destinée
00:53:20aux toxicomanes
00:53:21pour un
00:53:22traitement.
00:53:23C'était un
00:53:24traitement.
00:53:25C'était un
00:53:26traitement
00:53:27limité
00:53:28dans le temps
00:53:29mais
00:53:30au fur
00:53:31du temps,
00:53:32la méthadone
00:53:33est devenue
00:53:34une affaire
00:53:35qui dure
00:53:36des années,
00:53:37des années
00:53:38et qui n'était
00:53:39pas dans
00:53:40l'esprit
00:53:41de la narcésa.
00:53:42Alors,
00:53:43il y a eu
00:53:44un dysfonctionnement
00:53:45total
00:53:46au sein
00:53:47de la narcésa
00:53:48et c'est
00:53:49pour cette raison
00:53:50qu'on a
00:53:51décidé
00:53:52de dissoudre
00:53:53la narcésa
00:53:54et de remplacer
00:53:55cela par
00:53:56d'autres
00:53:57formes
00:53:58de réhabilitation
00:53:59et c'est
00:54:00pour cela
00:54:01qu'il y a eu
00:54:02une unité
00:54:03à l'hôpital
00:54:04qui fonctionnait
00:54:05très bien
00:54:06mais tout
00:54:07allait bien
00:54:08jusqu'à ce que
00:54:09l'autre ministre
00:54:10soit loué en 2017.
00:54:11Là,
00:54:12je ne sais pas
00:54:13ce qu'il s'est passé
00:54:14mais l'intention
00:54:15était
00:54:16de faire
00:54:17le suivi
00:54:18de ceux
00:54:19qui sont
00:54:20quand même
00:54:21vulnérables
00:54:22à la drogue,
00:54:23de faire
00:54:24le suivi
00:54:25de le traitement
00:54:26de les réhabiliter
00:54:27pour qu'ils
00:54:28ne se retrouvent
00:54:29pas
00:54:30partout
00:54:31dans la nature
00:54:32et il y avait
00:54:33toutes sortes
00:54:34de problèmes.
00:54:35À l'époque,
00:54:36on nous rappelle
00:54:37que vous avez
00:54:38fait un travail
00:54:39sur la dissolution
00:54:40de la narcésa.
00:54:41Est-ce
00:54:42que vous pensez
00:54:43que si
00:54:44vous avez
00:54:45démantelé
00:54:46la narcésa
00:54:47mais que vous avez
00:54:48restructuré
00:54:49vous n'avez pas
00:54:50autant de problèmes
00:54:51de drogue
00:54:52en ce moment?
00:54:53C'était
00:54:54une mesure
00:54:55temporelle
00:54:56et c'est pour cela
00:54:57qu'on a
00:54:58fait au ministère
00:54:59d'avoir
00:55:00des unités
00:55:01de réhabilitation
00:55:02des toxes
00:55:03dans
00:55:04certains
00:55:05hôpitaux
00:55:06pour avoir
00:55:07les données
00:55:08nécessaires
00:55:09pour restructurer
00:55:10la narcésa.
00:55:11Mais est-ce
00:55:12que la narcésa
00:55:13peut revivre
00:55:14comme je vois
00:55:15dans les jours
00:55:16là?
00:55:17Écoutez,
00:55:18le problème
00:55:19ce n'est pas
00:55:20un problème
00:55:21facile,
00:55:22c'est un problème
00:55:23complexe.
00:55:24On ne peut
00:55:25pas penser
00:55:26que ça va
00:55:27résoudre
00:55:28demain
00:55:29et ça va
00:55:30résoudre
00:55:31les problèmes
00:55:32de la drogue.
00:55:33Non,
00:55:34ce n'est pas ça
00:55:35du tout.
00:55:36Je crois
00:55:37qu'il faut
00:55:38bien réfléchir
00:55:39comment on
00:55:40va faire
00:55:41de cette
00:55:42nouvelle institution
00:55:43qui fonctionne
00:55:44et qui aide
00:55:45les gens
00:55:46et ne devient
00:55:47pas une
00:55:48forme
00:55:49de livelihood
00:55:50pour certaines
00:55:51personnes.
00:55:52C'est ça
00:55:53qui m'inquiète
00:55:54dans
00:55:55cette
00:55:56situation.
00:55:57Je crois
00:55:58que c'est
00:55:59une responsabilité
00:56:00finale
00:56:01de
00:56:02comment
00:56:03l'argent
00:56:04est dépensé,
00:56:05est-ce
00:56:06qu'il y a
00:56:07réhabilitation,
00:56:08est-ce
00:56:09qu'il y a
00:56:10une suivi
00:56:11psychologique,
00:56:12sociétale,
00:56:13familiale
00:56:14et tout.
00:56:15On ne sait
00:56:16pas.
00:56:17Mais ce qui est
00:56:18plus important
00:56:19c'est qu'aujourd'hui
00:56:20je vois que
00:56:21l'ancien
00:56:22gouvernement
00:56:23avait décidé
00:56:24que c'était
00:56:25un problème
00:56:26complet.
00:56:27Je ne
00:56:28minimise
00:56:29pas
00:56:30l'ampleur
00:56:31du problème
00:56:32mais je crois
00:56:33que la vitesse
00:56:34à laquelle on pense
00:56:35qu'on va remplacer
00:56:36ça et avoir une
00:56:37institution qui va
00:56:38fonctionner du jour
00:56:39au lendemain,
00:56:40je crois
00:56:41que c'est
00:56:42l'idéal
00:56:43et pas
00:56:44quelque chose
00:56:45qui va s'écraser
00:56:46dans le concret.
00:56:47Ce qu'il faut
00:56:48c'est le travail
00:56:49sur les terrains,
00:56:50le travail social
00:56:51sur les terrains
00:56:52et non pas
00:56:53le travail
00:56:54scientifique.
00:56:55Il faut qu'il soit
00:56:56présent avec
00:56:57les toxicomanes.
00:56:58Quand on fait
00:56:59la distribution
00:57:00d'un méthadone,
00:57:01il faut qu'il
00:57:02dénonce ceux
00:57:03qui sont en train
00:57:04de vendre
00:57:05des drogues
00:57:06synthétiques.
00:57:07Il faut
00:57:08qu'il y ait
00:57:09ce renseignement
00:57:10qui filtre
00:57:11à travers
00:57:12toutes les instances
00:57:13par les autorités
00:57:14pour pouvoir
00:57:15prendre des sanctions
00:57:16contre
00:57:17les trafiquants
00:57:18des drogues
00:57:19de synthèse.
00:57:20Le problème
00:57:21est que
00:57:22on ne sait
00:57:23pas
00:57:24qui sont
00:57:25ces gens-là
00:57:26qui vendent,
00:57:27qui sont
00:57:28les consommateurs,
00:57:29qui sont
00:57:30les jouquistes.
00:57:31Mais il faut
00:57:32que ce renseignement-là
00:57:33devienne
00:57:34aux oreilles
00:57:35des autorités.
00:57:36Et c'est
00:57:37le travail
00:57:38des travailleurs
00:57:39sociaux
00:57:40si vraiment
00:57:41on veut.
00:57:42Je ne crois pas
00:57:43qu'on va débarrasser
00:57:44la drogue
00:57:45totalement du pays
00:57:46mais au moins
00:57:47on peut minimiser
00:57:48grandement
00:57:49l'ampleur
00:57:50de ces fléaux
00:57:51de la drogue
00:57:52dans le pays.
00:57:53Donc il faut
00:57:54considérer ça
00:57:55comme un problème
00:57:56national.
00:57:57D'accord.
00:57:58Ben voilà,
00:57:59merci à vous
00:58:00M. Anil Gayant
00:58:01qui vient intervenir
00:58:02en tant qu'ancien
00:58:03ministre de la Santé
00:58:04et il y a une
00:58:05question
00:58:06de l'ANATRESA
00:58:07qui fait
00:58:08qu'on peut
00:58:09revenir
00:58:10à l'ANATRESA
00:58:11parce qu'on nous
00:58:12rappelle aussi
00:58:13que le premier
00:58:14ministre,
00:58:15le docteur
00:58:16Naveen Ramgoolam
00:58:17et également
00:58:18le vice-premier
00:58:19ministre
00:58:21qui ont envie
00:58:22d'intervenir
00:58:23parce qu'ils
00:58:24connaissent
00:58:25l'ANATRESA.
00:58:26Bon,
00:58:27en 2016,
00:58:28M. le ministre
00:58:29Anil Gayant
00:58:30prend des grandes
00:58:31décisions
00:58:32sur l'ANATRESA.
00:58:33Donc,
00:58:34en 2016,
00:58:35l'ANATRESA,
00:58:36quand on est
00:58:37dans l'ANATRESA,
00:58:38on peut faire
00:58:39une causerie
00:58:40par-ci,
00:58:41par-là,
00:58:42partout,
00:58:43l'école,
00:58:44mais tout ça
00:58:45est fini
00:58:46d'après moi.
00:58:47C'est pour ça
00:58:48qu'en 2016,
00:58:49il y a eu
00:58:50une décision
00:58:51de M. le ministre
00:58:52Gayant
00:58:53qui a dit
00:58:54qu'il y a
00:58:55une bonne réponse
00:58:56pour la métadone
00:58:57qui peut consommer
00:58:58la drogue.
00:58:59Deuxième,
00:59:00qui un petit peu
00:59:01pose des questions
00:59:02là,
00:59:03mais M. le ministre
00:59:04Gayant
00:59:05donne réponse.
00:59:06Il dit
00:59:07que le traitement
00:59:08de la métadone
00:59:09a un durée
00:59:10limitée
00:59:11dans le temps.
00:59:12Mais M. Gayant
00:59:13n'est pas un médecin.
00:59:14Il ne connaît pas.
00:59:15Le traitement
00:59:16de la métadone,
00:59:17c'est un traitement
00:59:18de la métadone
00:59:19depuis 60 balles d'année.
00:59:20Alors,
00:59:21je pose à M. Gayant
00:59:22une question.
00:59:23Avant ça,
00:59:24nous,
00:59:25comme médecins,
00:59:26corps médical,
00:59:27infirmiers,
00:59:28sopratiologues,
00:59:29surtout,
00:59:30il n'y a pas
00:59:31toute maladie
00:59:32qui nous guérit.
00:59:33Il y a des maladies
00:59:34qui nous contrôlent
00:59:35avec les médicaments.
00:59:36Nous contrôlons
00:59:37la toxicomanie,
00:59:38la dépendance
00:59:39avec la métadone.
00:59:40Pareil,
00:59:41nous contrôlons
00:59:42le diabète,
00:59:43la tension,
00:59:44avec la métadone.
00:59:45Il n'y a pas
00:59:46une maladie
00:59:47qui nous guérit
00:59:48avec le diabète,
00:59:49la tension,
00:59:50avec les médicaments.
00:59:51Est-ce qu'il nous guérit?
00:59:52Est-ce qu'il y a
00:59:53quelqu'un qui a un diabète
00:59:54qui nous guérit?
00:59:55Est-ce qu'il y a quelqu'un
00:59:56qui a une tension
00:59:57qui nous guérit?
00:59:58Oui!
00:59:59Si vous avez une pneumonie,
01:00:00vous avez une bronchite,
01:00:01au cas où vous donnez
01:00:02un médicament,
01:00:03la pneumonie,
01:00:04un mois,
01:00:05antibiotique,
01:00:06fini,
01:00:07bronchite,
01:00:08diso,
01:00:09fini,
01:00:10guéri!
01:00:11Mais il ne nous guérit
01:00:12pas la toxicomanie.
01:00:13La toxicomanie
01:00:14reste toxicomanie.
01:00:15Un diabétique,
01:00:16un diabétique
01:00:17dans l'éveil.
01:00:18Ok.
01:00:19Laisse-nous faire
01:00:20une courte pause
01:00:21et puis nous pouvons
01:00:22écouter un petit coup
01:00:23de Monsieur Gungram
01:00:24qui va réagir
01:00:25un petit coup
01:00:26par rapport à tout ça.
01:00:27Laisse-nous faire
01:00:28une courte pause.
01:00:29Hard talk,
01:00:30hard talk.
01:00:31Téléchargez
01:00:32notre application
01:00:33TOP FM Radio
01:00:34sur App Store,
01:00:35Play Store,
01:00:36Google Play Store,
01:00:37Google Play Store,
01:00:38Téléchargez
01:00:39notre application
01:00:40TOP FM Radio
01:00:41sur App Store,
01:00:42Play Store,
01:00:43Google Play Store,
01:00:44Google Play Store,
01:01:15Tea with a twist!
01:01:17Sip it along with the rising sun
01:01:19or savour it after a long run.
01:01:21Your respite during a hectic day
01:01:24or when you're in the mountains far away.
01:01:27Finest of green teas, herbs and spices.
01:01:30Gives a flavour that's twice as nice.
01:01:33Detoxing, now made easy.
01:01:35Just dip and sip.
01:01:37No wonder they say,
01:01:38Girnar, my chai, my time.
01:02:15Madame, only beauty.
01:02:45Dr Ram Kousalsingh,
01:02:47the government has announced
01:02:49that it wants to get back together
01:02:51with Natreza.
01:02:52Could they call Natreza
01:02:54to form an NGO?
01:02:56What do you think?
01:02:58First of all, it doesn't matter
01:03:00who forms it.
01:03:02It's very important
01:03:04that they say
01:03:06that the government can decide
01:03:08to take action.
01:03:10What I find unfortunate
01:03:12is that so far,
01:03:14there has been no meeting
01:03:16with the civil society
01:03:18to make a state of the place.
01:03:20We know that there is
01:03:22the National Drug Secretariat
01:03:24which is supposed to have
01:03:26a national strategic approach.
01:03:28So far, we don't have any information.
01:03:30We don't know how it will work.
01:03:32What drives the terms of reference?
01:03:34What drives the responsibilities?
01:03:36Today, there is the problem
01:03:38of drug use.
01:03:40But there is also a lot
01:03:42of transversality
01:03:44with, for example,
01:03:46poverty, precariousness, etc.
01:03:48that needs to be addressed
01:03:50and reflected
01:03:52around all these issues.
01:03:54And then,
01:03:56I think that a debate
01:03:58that needs to end
01:04:00and that needs to be mentioned
01:04:02is around
01:04:04a kind of crime model
01:04:06which is the D.U.A.P.
01:04:08which means
01:04:10how it can work,
01:04:12the results, the output, etc.
01:04:14This is a very important issue
01:04:16in every crime model in the world.
01:04:18It's not because of depenalization,
01:04:20it's because of decriminalization.
01:04:22That is to say, when you stop someone
01:04:24with a product,
01:04:26they don't go to court, etc.
01:04:28They are referred to a committee
01:04:30to take care of their health
01:04:32and drug use.
01:04:36So, in every crime model,
01:04:38for example,
01:04:40people are not able to have
01:04:42a large amount of weed
01:04:44or heroin
01:04:46or whatever the drug is.
01:04:48But this is not defined
01:04:50in terms of who is able to pass
01:04:52the D.U.A.P.
01:04:54It's very, very ambiguous.
01:04:56This needs to be defined
01:04:58and then there needs to be a real debate
01:05:00around the depenalization of cannabis,
01:05:02the recreational use,
01:05:04and then there is no alternative
01:05:06For example,
01:05:08many people
01:05:10don't use synthetic drugs.
01:05:12For example,
01:05:14cannabis is sold
01:05:16very, very cheaply in Mauritius
01:05:18where there is a lot of traffic
01:05:20and they say,
01:05:22for example,
01:05:24if the state takes this route,
01:05:26like a lot of other countries do,
01:05:28they make a product
01:05:30and then sell it.
01:05:32So, for the economy,
01:05:34there is a lot of reflection
01:05:36on this subject.
01:05:38Not just reflection,
01:05:40but there is a lot of debate
01:05:42about how to pass the D.U.A.P.
01:05:44Thank you very much.
01:05:46So, Mr. Alilazer,
01:05:48let's talk a little bit about
01:05:50what the former minister said
01:05:52and I would like you to react
01:05:54to that, of course,
01:05:56and also what you think
01:05:58about rehabilitation
01:06:00and prevention.
01:06:02Don't be surprised,
01:06:04I always ask myself
01:06:06who benefits
01:06:08when a farm is in trouble?
01:06:10I would say
01:06:12that I have resigned
01:06:14and, as the doctor said,
01:06:16you know, when there is a strike,
01:06:18in my case, as soon as there is a strike,
01:06:20I do it all over Mauritius,
01:06:22Saint-Denis, Sainte-Madame,
01:06:24the union,
01:06:26the association of the bosses, etc.
01:06:28I do it.
01:06:30But only
01:06:32a few people, a few technicians
01:06:34in Natreza.
01:06:36You understand?
01:06:38All my local council
01:06:40ends up
01:06:42doing it for Natreza.
01:06:44You understand?
01:06:46I can say, no matter who
01:06:48we are, of course,
01:06:50Natreza has a daughter.
01:06:52For me, a daughter.
01:06:54We are a family,
01:06:56and I agree with Comrade Arsene,
01:06:58we take into consideration
01:07:00the stakeholders,
01:07:02we have a relationship,
01:07:04we have a meeting,
01:07:06all the concerned people
01:07:08sit together,
01:07:10you understand?
01:07:12Mr. Contou shouldn't make all the decisions.
01:07:14Now I want to greet the new
01:07:16Prime Minister when he says
01:07:18there will be the right person
01:07:20in the right place.
01:07:22Before, no, with all the presidents,
01:07:24chairman of Natreza,
01:07:26he was my political nominee
01:07:28who had no knowledge
01:07:30in the field of drugs.
01:07:32How can you say there will be a bankruptcy,
01:07:34a closed shop? You don't understand?
01:07:36And after, I'm not surprised,
01:07:38the former Prime Minister Gayan,
01:07:40he's the only person who wants
01:07:42to say to the Parliament,
01:07:44we're laughing, as if we were investigating
01:07:46drug trafficking, we're laughing.
01:07:48I would like to put him as a social worker,
01:07:50he would like to put him as a lawyer,
01:07:52as a lawyer.
01:07:54When he says there will be no synthetic drugs in Mauritius,
01:07:56zero words,
01:07:58zero words with synthetic drugs.
01:08:00Even though
01:08:02I'm a civil servant,
01:08:04tomorrow we're going to have a demonstration
01:08:06in front of the Ministry
01:08:08and in front of the building.
01:08:10When he says there will be no
01:08:12drug trafficking in Mauritius.
01:08:16So I hope the new government
01:08:18will come and take into account
01:08:20and get my stakeholders,
01:08:22who have been there for years and years
01:08:24and say,
01:08:26Mr. Prime Minister,
01:08:28you put the right people in the right place.
01:08:30I'm not saying we put Ali Lader,
01:08:32Ali Lader was born as a social worker,
01:08:34voluntary in the field,
01:08:36I was born as a social worker,
01:08:38voluntary in the field,
01:08:40but Nabhan Djimon is capable.
01:08:42You know Nabhan Djimon,
01:08:44he's been in America for a year,
01:08:46law of addiction.
01:08:48We can put a political nominee,
01:08:50we can put a political nominee,
01:08:52but we have to review,
01:08:54we have to review,
01:08:56my stakeholders didn't do
01:08:58what Mr. Djagal says.
01:09:00Every decision he makes,
01:09:02he's the only one who knows
01:09:04with a few clicks.
01:09:06Let's take the call.
01:09:08Good evening.
01:09:10Good evening, sir.
01:09:12Good evening.
01:09:14Good evening, guests.
01:09:16Yes, good evening.
01:09:18Good evening.
01:09:20Good evening.
01:09:22Good evening.
01:09:24Good evening.
01:09:26Good evening.
01:09:28Good evening.
01:09:30Good evening.
01:09:32Good evening.
01:09:34Good evening.
01:09:36Good evening.
01:09:38Good evening.
01:09:40Good evening.
01:09:42Good evening.
01:09:44Good evening.
01:09:46Good evening.
01:09:48Good evening.
01:09:50Good evening.
01:09:52Good evening.
01:09:54Good evening.
01:09:56Good evening.
01:09:58Good evening.
01:10:00Good evening.
01:10:02Good evening.
01:10:04Good evening.
01:10:06Good evening.
01:10:08Good evening.
01:10:10Good evening.
01:10:12Good evening.
01:10:14Good evening.
01:10:16Good evening.
01:10:18Good evening.
01:10:20Good evening.
01:10:22Good evening.
01:10:24Good evening.
01:10:26Good evening.
01:10:28Good evening.
01:10:30Good evening.
01:10:32Good evening.
01:10:34Good evening.
01:10:36Good evening.
01:10:38Good evening.
01:10:40Good evening.
01:10:42Good evening.
01:10:44Good evening.
01:10:46Good evening.
01:10:48Good evening.
01:10:50Good evening.
01:10:52Good evening.
01:10:54Good evening.
01:10:56Good evening.
01:10:58Good evening.
01:11:00Good evening.
01:11:02Good evening.
01:11:04Good evening.
01:11:06Good evening.
01:11:08Good evening.
01:11:10Good evening.
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01:11:14Good evening.
01:11:16Good evening.
01:11:18Good evening.
01:11:20Good evening.
01:11:22Good evening.
01:11:24Good evening.
01:11:26Good evening.
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01:11:30Good evening.
01:11:32Good evening.
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01:11:42Good evening.
01:11:44Good evening.
01:11:46Good evening.
01:11:48Good evening.
01:11:50Good evening.
01:11:52Good evening.
01:11:54Good evening.
01:11:56Good evening.
01:11:58Good evening.
01:12:00Good evening.
01:12:02Good evening.
01:12:04Good evening.
01:12:06Good evening.
01:12:08Good evening.
01:12:10Good evening.
01:12:12Good evening.
01:12:14Good evening.
01:12:16Good evening.
01:12:18Good evening.
01:12:20Good evening.
01:12:22Good evening.
01:12:24Good evening.
01:12:26Good evening.
01:12:28Good evening.
01:12:30Good evening.
01:12:32Good evening.
01:12:34Good evening.
01:12:36Good evening.
01:12:38Good evening.
01:12:40Good evening.
01:12:42Good evening.
01:12:44Good evening.
01:12:46Good evening.
01:12:48Good evening.
01:12:50Good evening.
01:12:52Good evening.
01:12:54Good evening.
01:12:56Good evening.
01:12:58Good evening.
01:13:00Good evening.
01:13:02Good evening.
01:13:06So, everyone can say they have a 60-0 government.
01:13:08I am saying we don't have a 60-0 government,
01:13:10we have a 64-0 government,
01:13:12because there are 4 deputy Roderigt I don't believe
01:13:21without capital penalty,
01:13:23there is no end.
01:13:55donc voilà, juste avant nous,
01:14:00laisse-nous tourner vers vous,
01:14:02Docteur, pour le mot de la fin,
01:14:04d'un côté, alors justement,
01:14:06on fait un tour de table,
01:14:08justement, on laisse un petit peu
01:14:10l'ONG causer, on laisse aussi quatre
01:14:12et vous, en tant que représentant du ministère
01:14:14de la santé, quand on peut écouter tout ça là,
01:14:16qu'est-ce que vous pensez qu'on peut faire
01:14:18pour qu'il y ait une proposition
01:14:20qui peut dire là, pour améliorer la situation,
01:14:22qu'au niveau du ministère de la santé,
01:14:24qu'est-ce que vous êtes capable de faire ?
01:14:26Moi, je suis capable de dire que le ministre de la santé
01:14:28actuel, qui a à coeur
01:14:30le problème de la drogue,
01:14:32y compris toute l'équipe qui peut diriger,
01:14:34moi, je suis là-bas.
01:14:36Vous avez l'alcool aussi.
01:14:38Ce que moi, j'ai envie de dire,
01:14:40c'est qu'il faut comprendre quelque chose.
01:14:42Pour, en tout cas, délivrer
01:14:44les bons, pas seulement moi, bien sûr,
01:14:46pas seulement nous, les camarades,
01:14:48tout le monde qui est dans le combat de la drogue,
01:14:50il faut donner le bon mot,
01:14:52il faut donner une formation
01:14:54qui est adéquate, qui est bien,
01:14:56et aussi, après, une synergie
01:14:58entre différents acteurs dans un combat là,
01:15:00pour qu'il y ait un résultat.
01:15:02Moi, je veux dire aussi, il ne nous faut pas hésiter.
01:15:04Identifier nos problèmes,
01:15:06accepter nos problèmes.
01:15:08Comme je vous l'ai dit, nous n'avons aucun problème
01:15:10qui n'est évoqué sur le plateau là,
01:15:12à côté de nous, depuis quelques temps,
01:15:14nous nous identifions, nous essayons
01:15:16de trouver une solution, nous proposons,
01:15:18nous mettons nos problèmes devant nos experts,
01:15:20nous proposons certaines recommandations,
01:15:22et l'envie, l'enthousiasme,
01:15:24tout ce qui veut dire nous mettre nous les pieds là,
01:15:26c'est là qu'on nous amène les résultats voulus.
01:15:28L'occasion est, comment nous dire,
01:15:30l'espoir, c'est là,
01:15:32nous gagnons notre propre tour,
01:15:34nous gagnons notre propre direction
01:15:36de la part de tous ceux qui sont les ministres,
01:15:38tous ceux qui sont au cadre, etc.,
01:15:40et nous délivrons les bons.
01:15:42Voilà un petit peu, moi, ce que j'ai envie de faire,
01:15:44surtout pour, de mon côté.
01:15:46Et de votre côté, qu'est-ce que vous pouvez dire
01:15:48au niveau du ministère?
01:15:52Écoutez, pour m'en dire, c'est une
01:15:54major policy decision, on prend connaissance
01:15:56de ça. Nous attendons dans notre travail
01:15:58tout ce qui est ce structure,
01:16:00ce fonctionnement, les modalités,
01:16:02et qui donne le rôle pour être là-dedans,
01:16:04et nous dire qu'il nous anime
01:16:06de très bonnes intentions pour qu'il nous donne
01:16:08le maximum pour qu'ils nous trouvent ensemble,
01:16:10nous amènent les résultats qu'ils nous touchent et espérer.
01:16:12D'accord, ben voilà, chers amis, c'est ici
01:16:14que prend fin votre émission de ce
01:16:16mercredi. Je tiens à remercier
01:16:18M. Ali Lazare qui fait le déplacement,
01:16:20idem pour Achvin Gungaram,
01:16:22et le docteur Ram Kusulsing aussi
01:16:24qui nous vient avec nous sur le plateau
01:16:26aujourd'hui, et le docteur Soukhol
01:16:28et le ministère de la Santé qui nous envoient
01:16:30un nouvel représentant, nous disons
01:16:32merci beaucoup, et nous souhaitons vous passer une belle soirée.
01:16:34Merci à tous.

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