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A suivre sur notre antenne l’émission Parleman Lepep Pleins feux sur The National Agency for Drug Control Bill présenté par le Premier ministre visant à combattre le fléau de la drogue. A suivre également l’analyse de la Private Notice Question et les interpellations parlementaires du jour sans oublier le contexte des Municipales du 4 mai prochain.. Mais retour aussi sur les démarches en vue d’introduire le Kreol Morisien au Parlement. Jimmy Jean-Louis reçoit : (i) Faizal Jeeroobarkhan pédagogue et observateur politique. A suivre d’autres interventions dont celle de Kunal Naik, addictologue et expert en politique pour lutter contre les drogues. Vos questions également sur le 213 7777, 213 7777 Emission live à suivre également sur notre application TOPFM TV et sur Parabole chaîne 10.

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00:00:30et conservateurs politiques et membres de Fink, Mollishus, Faisal, bon après-midi.
00:00:34Bon après-midi, Jimmy, et bon après-midi aux auditeurs et auditrices de Top FM.
00:00:40Alors, les bons qui m'audirent, ben, auditeurs et auditrices, qui nous prennent également plusieurs interventions,
00:00:44nous pourrions suivre plusieurs sujets, notamment l'introduction du Créole au Parlement,
00:00:49et bien sûr, les débats qui pourront venir par le projet de loi qui finit présenté en première lecture
00:00:55cet après-midi par le Premier ministre pour combattre le fléau de la drogue,
00:00:58c'est-à-dire le National Agency for Drug Control Bill, est allé obtenir l'occasion d'intervenir à 213, 77, 77, 213, 77, 77,
00:01:08émissions à suivre live, bien sûr, sur notre application Top FM TV et sur la chaîne Parable 10,
00:01:16parce qu'il n'y a plus que deux millions d'immunes qui sont connectées à nous.
00:01:20Après, on peut aussi dire, ben, aux auditeurs, que chaque semaine,
00:01:23on peut revenir à la séance parlementaire précédente, à partir de 18h05,
00:01:27et qu'on pose la séance du jour, ou un élément qui nous soulevait dans le Parlement,
00:01:30ou qu'on peut, là, nous poser, bien sûr, et là-bas, on peut débattre.
00:01:36J'ai aussi, dans le Parlement, à l'heure des statements, des déclarations ministérielles,
00:01:39le Premier ministre finit par dire qu'il pouvait écrire une lettre à Donald Trump
00:01:43pour exprimer ses concerns par rapport à un nouveau régime tarifaire qui peut mettre l'eau dans les produits,
00:01:52C'est énorme, right? Alors, pour expliquer comment il y a 40% à choisir,
00:01:56c'est parce qu'il y a un très déficit de l'Amérique, de 186,5 millions,
00:02:02qui représente 80% et qui est divisé en deux, donc, il n'y a plus que 40%.
00:02:09Le Premier ministre dit qu'il y a 16 700 employés qui ont été impactés directement avec cette décision-là,
00:02:16pour, bien sûr, aller dans toutes les négociations bilatérales, régionales,
00:02:23et même au niveau de l'Union africaine, soumission à Washington,
00:02:26parce qu'il n'y a pas d'autres pays, comme en Lesotho ou en Kamadagascar, qui sont également très affectés par cela,
00:02:31mais lui, personnellement, il peut écrire à Donald Trump pour exprimer ses préoccupations, ses inquiétudes,
00:02:37lors de ce problème-là.
00:02:39Deuxième chose très intéressante à l'heure des déclarations ministérielles,
00:02:42c'est la décision que le ministre de l'Intégration sociale et de la Sécurité sociale, de la Solidarité nationale,
00:02:51Ashok Subban, finit d'annoncer que tous les gens qui ont l'attitude limitée type R,
00:02:56dans les fonds de la NPF-NSF en emploi, c'est-à-dire 1,45 milliard de roupies,
00:03:03finissent d'être retournés aux 27, avec le dernier paiement qui finit vers le 27 mars 2025.
00:03:09Donc, il finit de faire un historique de ce problème-là, parce que depuis septembre l'année dernière,
00:03:14si vous avez payé, il aurait poussé, il aurait poussé.
00:03:16Mais l'actionnaire finit de monter, finit d'acheter sa dette-là, parce que sa dette-là,
00:03:23il y a un intérêt capital et pénalité de 1,6 milliard, je ne peux pas vous dire les chiffres exacts,
00:03:29mais c'est environ 1,6 milliard, et c'est très bon qu'il y ait une résolution rapide de ce problème-là,
00:03:36parce que ça sauvegarde, Faisal, l'intérêt de nos travailleurs, de nos ouvriers qui contribuent massivement
00:03:43dans la NPF et dans la NSF.
00:03:45Une réaction lors de ces nouvelles annonces-là ?
00:03:50Ben, je crois que le Premier ministre finit par prendre une très bonne décision
00:03:56de prendre un petit peu les taureaux par les cornes,
00:04:01dans un problème de 40% de taxes que Trump filmait dans le pays,
00:04:08pour nos bonnes exportations vers l'Amérique.
00:04:10Et je crois que c'est une très bonne décision du Premier ministre,
00:04:14pour essayer de convaincre Trump, pour faire lui comprendre qu'il est non anti-pays,
00:04:23et qu'il est très affecté par sa décision qui vient de par là,
00:04:27et qui peut-être suffisait à être un petit peu plus souple.
00:04:33Envers nous, surtout.
00:04:34Envers nous, plus accommodant, plus souple.
00:04:36Surtout qu'il nous peut mettre à son disposition, possiblement, Diego.
00:04:41Parce que le Premier ministre nous dit, au niveau du Parlement,
00:04:44que l'Amérique indienne est disposée à revoir, on a case to case basis,
00:04:49par rapport à des pays qui répondent à ses exigences sécuritaires.
00:04:55Et je crois que le Premier ministre, s'il a l'occasion, d'après ce qu'il dit,
00:05:02s'il a l'occasion et s'il approche de Donald Trump personnellement,
00:05:07il a une possibilité, il n'y a rien à perdre.
00:05:11Il n'y a rien à perdre.
00:05:12Il y a tout à tenter.
00:05:13Il y a tout à tenter, et je crois que c'est un très bon mouvement
00:05:16de la part du Premier ministre, pour essayer de convaincre Donald Trump
00:05:20qui, nous, Maurice, nous donne une situation difficile,
00:05:23et qui, s'il y réduit le taux d'intérêt pour nous, en particulier,
00:05:29ça peut aider le pays énormément.
00:05:32Taux de tarifs douaniers.
00:05:33Taux de tarifs douaniers, oui.
00:05:34Par rapport au deuxième, là, il n'y a pas de la bonne gouvernance à Fesal ?
00:05:40Oui, bien sûr, bien sûr.
00:05:44Moi, je crois que c'est une très bonne chose,
00:05:47qu'on a la tissue limitée,
00:05:49et qu'on décide de rembourser le 1,6 milliard.
00:05:57Oui.
00:05:58Et ça, c'est une très bonne chose.
00:06:00Moi, j'espérais que les autres compagnies,
00:06:03par exemple, qui finissent par prendre de l'argent avec MIC,
00:06:06eux aussi, ils seraient capables de suivre un petit peu le pas,
00:06:09et de trouver une façon de rembourser le loan.
00:06:13C'est de l'argent public, ça.
00:06:15C'est de l'argent public.
00:06:16Par exemple, NPF avec NSF,
00:06:19tout ça, c'est de l'argent des bonnes travailleurs.
00:06:21Travailleurs.
00:06:22Et les bons qui l'accompagnent,
00:06:24moi, je crois que l'accompagnement, c'est une très bonne...
00:06:28C'est tout à son honneur, sa compagnie-là,
00:06:31qu'il peut prendre la décision,
00:06:33rembourser sa somme d'argent qu'ils ne finissent pas.
00:06:36Et comme je disais tout à l'heure, je peux le répéter,
00:06:38c'est l'argent des travailleurs,
00:06:40l'assurance des travailleurs,
00:06:43c'est important qu'ils puissent rembourser l'argent-là
00:06:47pour le bien des travailleurs dans le pays.
00:06:51Dans le vif du débat, c'est concernant, bien sûr,
00:06:53l'introduction du créole au Parlement.
00:06:55Et là, nous nous trouvons dans un épisode,
00:06:57pour nous réconcilier, contextualiser,
00:06:59dans un épisode que Johanna Béranger,
00:07:01l'adjoint-ministre, fait à NSF,
00:07:03fait un discours lors de la dernière séance,
00:07:05avant la séance d'aujourd'hui, bien sûr, en créole.
00:07:07C'était le 25 mars dernier, l'Aubélac.
00:07:09À nous, écoute ce que Johanna Béranger
00:07:11dit à ce jour-là.
00:07:41Madame la Présidente, je comprends les contraintes
00:07:43et je suis disposée à donner une copie
00:07:45de mon discours au Hansard Unit, s'il le faut.
00:07:47Non, non, je ne peux pas vous laisser
00:07:49parler d'un discours en entier en créole
00:07:51pour le moment.
00:07:53Madame la Présidente, c'est tant mieux
00:07:55si l'on veut adapter l'ère technologique
00:07:57à l'ère moderne,
00:07:59si l'on veut adapter l'ère technologique
00:08:01à l'ère moderne,
00:08:03si l'on veut adapter l'ère technologique
00:08:05à l'ère moderne,
00:08:07si l'on veut adapter l'ère technologique
00:08:10si l'on veut adapter l'ère technologie
00:08:12et les compétences, si l'on veut consacrer
00:08:14le créole mauricien dans nos lois,
00:08:16mais comme je l'ai expliqué la dernière fois,
00:08:18rien ne nous empêche aujourd'hui
00:08:20de donner une lecture plus démocratique
00:08:22à notre Constitution, dès maintenant,
00:08:24sans attendre la création des comités.
00:08:26Je ne peux pas être d'accord avec vous.
00:08:28Je respecte votre décision,
00:08:30mais dans ces conditions...
00:08:32Non, mais je tiens tout à ce que vous dites.
00:08:34Dans ces conditions, je n'ai pas
00:08:36d'autre choix. Madame la Présidente,
00:08:38mon discours sera, comme le créole mauricien
00:08:40aujourd'hui, réduit au silence.
00:08:42Too bad.
00:08:44Voilà, et quand même
00:08:46too bad, l'a expliqué dire.
00:08:48Et bien sûr, le Conseil des ministres, aussitôt ça est arrivé,
00:08:50le 25 mars au Parlement, le mardi 25 mars,
00:08:52et trois jours après, le Conseil des ministres
00:08:54prend une décision, le 28 avril,
00:08:56le 28 mars,
00:08:58pour bien sûr nommer un comité
00:09:00pour accélérer son introduction
00:09:02et qu'on enlève toutes les pratiques qui empêchent
00:09:04l'utilisation du créole mauricien au Parlement,
00:09:06c'est-à-dire qu'il n'y a pas d'autre choix
00:09:08que d'accélérer l'utilisation du créole mauricien au Parlement.
00:09:12Tout d'abord,
00:09:14j'écoute sa
00:09:16échange
00:09:18de points de vue entre le speaker
00:09:20qui n'est pas capable d'un
00:09:22genre d'ambiranger inessayé,
00:09:24inessayé quand même, et c'est
00:09:26bon qu'il défine inessayé, mais
00:09:28tout est, comme on dit en anglais,
00:09:30le fait qu'il n'est pas capable de construire
00:09:32le Parlement.
00:09:34Moi je crois que le speaker
00:09:36aussi, le speaker
00:09:40il réagissait d'une façon
00:09:42qui lui était bizarre de réagir,
00:09:44parce que j'ai appris la loi,
00:09:46d'après les règlements,
00:09:48il n'y a pas d'endroit, il n'y a pas d'endroit pour lui.
00:09:52Juste pour nos
00:09:54bonnes auditeurs,
00:09:56auditrices et bonnes internautes,
00:09:58il est intéressant qu'on ait
00:10:00qu'il a 649
00:10:02et l'article
00:10:04131 de la loi sur les
00:10:06tribunaux de 1945
00:10:08dire des procédures
00:10:10judiciaires
00:10:12la primauté de l'anglais
00:10:14comme langue officielle des procédures
00:10:16judiciaires, ça c'est la loi
00:10:18de 1945 qu'il y a lue.
00:10:20Et puis on a l'article 131-1
00:10:22des tribunaux
00:10:24intermédiaires et de districts
00:10:26qui désignent l'anglais comme
00:10:28la langue à utiliser.
00:10:30Alors on a la loi
00:10:32et le speak-up
00:10:34et sa
00:10:36intervention, j'ai appris cette loi-là.
00:10:38Il y a aussi l'article
00:10:40175 de la loi
00:10:42qui dit
00:10:44que les témoignages
00:10:46rendus dans une langue
00:10:48autre que l'anglais
00:10:50doivent être traduits
00:10:52en anglais.
00:10:54Et tout ça, c'est la loi qui dit ça.
00:10:56Et alors il y a quand même
00:10:58et il est bon que nos
00:11:00bons auditeurs comprennent ça
00:11:02qu'il y a d'après la loi
00:11:04bon
00:11:06impératif
00:11:08qui fait que l'anglais
00:11:10est quand même la langue
00:11:12à utiliser au Parlement.
00:11:14Mais
00:11:16mais c'est négative pour le français aussi.
00:11:18Oui, bien sûr, bien sûr.
00:11:20L'anglais ou le français
00:11:22mais certainement pas
00:11:24le créole pour le moment.
00:11:26Pour le moment.
00:11:28Et alors ce qui est intéressant là
00:11:30c'est que le gouvernement
00:11:32prend la décision
00:11:34de mettre sur pied
00:11:36un comité
00:11:38présidé par Mme le Speaker.
00:11:40Présidé par Mme le Speaker
00:11:42et ce comité-là pour travailler sur ça
00:11:44et là on m'a supposé prendre un expert
00:11:46dans le domaine, parce que moi je ne suis pas un expert
00:11:48dans le domaine, je ne suis ni un linguiste
00:11:50ni un légiste
00:11:52et alors
00:11:54un expert dans le domaine pour venir
00:11:56pour discuter, m'a spéré que c'était une discussion
00:11:58qui fait une base
00:12:00comment dirais-je
00:12:02une base claire, mais pas une base
00:12:04qui est nuancée par la politique
00:12:06parce que la politique partisane
00:12:08y fait beaucoup du tour.
00:12:10C'est une discussion
00:12:12qui est claire et transparente
00:12:14et une discussion qui peut amener
00:12:16à quelque chose de productif.
00:12:18Et moi, personnellement
00:12:20je suis très content de la langue créole
00:12:22parce que c'est ma langue maternelle
00:12:24c'est une langue dans laquelle je me sens le moins à l'aise
00:12:26mais le seul problème qui me tient
00:12:28avec ça, c'est qu'il y a attention
00:12:30qui est au niveau
00:12:32du parlement
00:12:34parce que le parlement est là
00:12:36pour légiférer
00:12:38et la loi-là, il y a au niveau
00:12:40du judiciaire, quand là-bas
00:12:42c'est avissable pour pouvoir faire juste
00:12:44bonnes affaires. Alors moi
00:12:46mon inquiétude
00:12:48c'est que si la loi-là
00:12:50peut faire dans l'autre langue
00:12:52qui peint dans sa
00:12:54technicité, qui peint dans sa
00:12:56de langue
00:12:58qui suffisait, non?
00:13:00Mais là, moi je suis surpris quand même
00:13:02agréablement surpris
00:13:04quand on reçoit un papier de la Ligue
00:13:06et le papier qui peut faire moi
00:13:08comprendre qu'il y a beaucoup de choses qui me
00:13:10font déjà...
00:13:12On pourrait finir là-là dans un instant.
00:13:14Ecoute, Mme Speaker, sous position là-là
00:13:16Mme Speaker
00:13:18à l'occasion de la
00:13:20Journée Mondiale de la langue maternelle.
00:13:22Allons écouter ce qu'elle dit.
00:13:24Il apporte un lien à tout le monde.
00:13:26C'est ça une communauté.
00:13:28Le Premier Ministre l'a même dit à ça
00:13:30à l'occasion du 1er février récemment.
00:13:32Les gens, les normales
00:13:34surtout maintenant,
00:13:36nous ne peuvent plus directement
00:13:38la télévision, nous ne pouvons plus le YouTube
00:13:40etc. Les normales,
00:13:42la population est frustrée
00:13:44s'il n'y a pas Paris 6 qu'on prend ce qui peut passer.
00:13:46Mais en même temps, on connait
00:13:48qu'il y a beaucoup de difficultés,
00:13:50de complications et puis en même temps,
00:13:52je le dis et je le répète,
00:13:54il ne faut pas dire créole
00:13:56après nous oublier qu'il y a beaucoup
00:13:58d'autres langues internationales
00:14:00qui sont déjà dans le Parlement
00:14:02et qui sont extrêmement importantes pour le pays.
00:14:04Moi, je suis pour le multilinguisme
00:14:06mais en même temps, je veux que le créole
00:14:08trouve sa place partout où il peut
00:14:10et le Parlement c'est la maison du peuple.
00:14:12Il y a aussi un appel au créole
00:14:14au niveau parlementaire d'un député
00:14:16qui travaille tout ça.
00:14:18Moi, l'équipe d'un député aussi,
00:14:20vous pensez, la majorité des députés
00:14:22certainement pensent comme moi
00:14:24mais de toute manière, c'est eux
00:14:26qui ont une fonction
00:14:28pour promouvoir la langue créole
00:14:30y compris au Parlement,
00:14:32bien sûr. Mais je fais
00:14:34l'appel aussi pour que quand ils
00:14:36vivent une réalité, qu'ils ne savent pas
00:14:38quoi c'est qu'il faut que ça passe avec le créole
00:14:40comme à dire d'une façon, on appelle ça
00:14:42basilectale
00:14:44comme à dire juste pour
00:14:46ils n'ont dit même pas quoi au créole
00:14:48pour dire une chose qui n'est pas correcte.
00:14:50Donc, le créole n'est pas une langue
00:14:52comme à toute langue, nous ne connaissons qu'un
00:14:54niveau de langue qui nous serve dans le Parlement
00:14:56y compris anglais, y compris français.
00:14:58Merci.
00:15:00Voilà, donc c'était l'occasion
00:15:02de la journée de la langue maternelle.
00:15:04Noéna est déjà avec nous au téléphone.
00:15:06Lindsay Cullen est pour tout le travail
00:15:08qui l'éducation pour travailler,
00:15:10elle a envie de faire avec Noéna Lindsay Cullen
00:15:12qui est avec nous au téléphone.
00:15:14Lindsay, bon après-midi.
00:15:16Bon après-midi, Jimmy.
00:15:18Alors, comment peut-on accueillir ce développement
00:15:20de la langue créole qu'ils ont amérangée
00:15:22et que Mme Speaker finit d'initier
00:15:24au niveau du Parlement?
00:15:26C'est un développement absolument
00:15:28fantastique et
00:15:30c'est un vrai appui.
00:15:32D'un côté,
00:15:34Shirin, en tant que Speaker,
00:15:36elle a agi de façon
00:15:38proactive.
00:15:40Lindsay, en tant que Speaker,
00:15:42elle trouve l'étude qui nous aide
00:15:44de l'avant, comme a plusieurs
00:15:46premiers ministres dans le passé,
00:15:48une dire pour aller de l'avant.
00:15:50Et on dirait que Lindsay prend le devant.
00:15:52Et en même temps,
00:15:54un junior ministre,
00:15:56qui est pas mal,
00:15:58ça veut dire,
00:16:00pour Lindsay,
00:16:02faire une action
00:16:04de résistance
00:16:06pacifique,
00:16:08qui est extraordinaire, ça veut dire
00:16:10une classe de discours en créole.
00:16:12Alors, je félicite ça à des
00:16:14femmes-là qui soutiennent
00:16:16le langage maternel.
00:16:18Elle est la base de travail
00:16:20qui, dans la
00:16:22Société de l'éducation pour les travailleurs,
00:16:24qui a, comment dire,
00:16:2640-50 ans d'expérience
00:16:28dans,
00:16:30comment dire, formaliser le langage
00:16:32créole et promouvoir le langage
00:16:34en créole. Nous lui envoyons une lettre
00:16:36à Madame Speaker pour demander si nous
00:16:38pouvons donner un coup de main dans sa consultation-là.
00:16:42D'accord. Et que
00:16:44la législation a envie de faire partie de
00:16:46sa consultation-là,
00:16:48si je comprends bien. En fait, l'éducation
00:16:50pour les travailleurs. Oui.
00:16:52Parce qu'il y a une grosse semaine qui est arrivée.
00:16:54Je trouvais qu'il y a des
00:16:56standing orders déjà existants
00:16:58de deux versions, une pour nos compérences,
00:17:00une pour l'éducation pour les travailleurs,
00:17:02une pour l'éducation pour les travailleurs,
00:17:04mais aussi dans le travail que Ramaballah a
00:17:06fait à la Constitution. Oui.
00:17:08Alors, il y a des versions Constitution aussi.
00:17:10Des versions standing orders.
00:17:12Ça, c'est bien intéressant.
00:17:14Parce qu'il a montré sa,
00:17:16comment dire, la richesse.
00:17:18Et là, il y a des gens qui
00:17:20comprennent parlement,
00:17:22des députés, il y a des gens
00:17:24qui filment des députés,
00:17:26qui donnent un coup de main pour finir
00:17:28une version extraordinaire.
00:17:32Oui.
00:17:34Oui,
00:17:36il existe
00:17:38mais tout le monde peut dire
00:17:40qui pensez-vous là?
00:17:42Pour que tout le monde ne pense pas.
00:17:44Tout le temps, il dit à cause de
00:17:46pour servir ça.
00:17:50Oui.
00:17:52Il y a une drôle
00:17:54l'idée qui
00:17:56parce qu'il y en a sa tendance
00:17:58surtout parmi
00:18:00dans Maurice,
00:18:02quand il est dans une situation formelle,
00:18:04en plus, il développe
00:18:06et, comment dire, laisse
00:18:08le langage créole épanouir
00:18:10dans une résistance formelle.
00:18:12Il dit qu'il pense à cause
00:18:14français ou bien anglais.
00:18:16Mais là, vraiment,
00:18:18il y a une certaine, comment dire,
00:18:20réticence pour développer sa
00:18:22langue formelle.
00:18:24Mais en fait, dans la radio privée,
00:18:26il donne beaucoup de mains
00:18:28dans développer une résistance formelle.
00:18:30Il commence à
00:18:32longues traditions dans les forums et les débats.
00:18:34Ça aussi, il en a ajouté.
00:18:36Et, en général,
00:18:38je trouve qu'il n'y a plus trop
00:18:40une réticence.
00:18:42Parce que dans l'école, tout le monde peut faire
00:18:44des cours
00:18:46sur le langage créole.
00:18:48Et il y en a six dans l'école.
00:18:50Dans l'université,
00:18:52il y en a des cours.
00:18:54Alors, le langage,
00:18:56c'est bien développé.
00:18:58Il y a une question de la députée
00:19:00la question de
00:19:02le monde comprend que par rapport
00:19:04à l'absence du ministre
00:19:06au pays, la question a été
00:19:08retirée sans doute pour être remise
00:19:10à la prochaine. Mais d'après vous,
00:19:12dans combien de temps
00:19:14pensez-vous, Lindsay,
00:19:16que le créole
00:19:18est une réalité?
00:19:20Moi, je pense qu'il est capable
00:19:22de faire toutes les interventions
00:19:24en créole parlée
00:19:26dans l'espace des trois mois.
00:19:28Ce qui me fait dire ça,
00:19:30c'est que toutes ces choses
00:19:32comme la transcription
00:19:34automatique,
00:19:36toutes ces choses qui impliquent
00:19:38la technologie super moderne,
00:19:40c'est qu'il y a beaucoup de données.
00:19:42Ça veut dire que quand
00:19:44on fait ça dans n'importe quelle langue,
00:19:46qu'on peut le faire dans n'importe quelle
00:19:48nouvelle langue partout dans le monde,
00:19:50on a fini de le faire et qu'on peut le faire,
00:19:52et là, sa traduction,
00:19:54sa transcription automatique
00:19:56l'est peaufinée.
00:19:58Et d'ailleurs, on connaît
00:20:00un aban spellcheck
00:20:02que l'éducation bouddhravaïenne
00:20:04finit de faire tout nouveau un moment,
00:20:06parce qu'elle est assez répandue.
00:20:08Et en même temps,
00:20:10il y a un aban technicien côté computer
00:20:12dans l'Université Maurice qui fait beaucoup
00:20:14de recherches sur la transcription
00:20:16créole et la traduction
00:20:18créole, anglaise-anglaise-créole.
00:20:20D'ailleurs, Google, si je ne me trompe pas,
00:20:22il m'a mis une autre version créole-mauricien
00:20:24pour son website,
00:20:26pour son site de recherche.
00:20:28Oui, il est peaufiné
00:20:30à mesure
00:20:32que vous le servez.
00:20:34C'est comme ça qu'il donne
00:20:36son travail, son travail d'IA.
00:20:40Merci beaucoup, Lindsay,
00:20:42pour toutes ces précisions,
00:20:44et je rappelle aux auditeurs que la lettre
00:20:46qui est adressée à Mme Spiegel
00:20:48est disponible pour les autres websites,
00:20:50et il est très intéressant qu'il
00:20:52vous ait écouté là-dedans.
00:20:54C'est beaucoup d'informations. Merci, Lindsay.
00:20:56Allez, bonsoir à tous.
00:20:58Faisal, une réaction?
00:21:00Moi, je crois que
00:21:04qu'on s'appelle
00:21:06Lindsay Collin.
00:21:08Oui, Lindsay Collin.
00:21:10Et sur l'organisation.
00:21:12L'éducation pour les travailleurs.
00:21:14Je crois que depuis longtemps,
00:21:16je peux lutter.
00:21:18C'est une grosse alliée qu'ils ont amenée.
00:21:20C'est une grosse alliée, et c'est une alliée
00:21:22qui nous a fait un chapeau, parce qu'ils ont fait
00:21:24aller contre tous les
00:21:26obstacles qu'ils avaient sur le chemin.
00:21:28Ils ont continué de garder
00:21:30une alliée bien droite.
00:21:32Ils ont persisté, et aujourd'hui,
00:21:34Lindsay Collin peut dire
00:21:36que c'est fantastique.
00:21:38Effectivement, pour eux,
00:21:40c'est une grande avancée
00:21:42de cette alliée qu'ils ont
00:21:44ammenée là.
00:21:46Et comme on le dit,
00:21:48les radios privées aussi
00:21:50font un grand rôle ces derniers temps.
00:21:52Pour démocratiser la langue créole.
00:21:54Et même le chat GPT.
00:21:56Moi, ce qu'ils m'ont fait,
00:21:58c'est que j'ai écrit un texte
00:22:00en français pour faire
00:22:02une présentation.
00:22:04J'ai donné ça au chat GPT
00:22:06et il l'a fait en créole.
00:22:08Seulement, bien qu'on l'ait écrit,
00:22:10sinon, sa prononciation
00:22:12n'est pas bonne.
00:22:14Par exemple, il y a un programme
00:22:16que j'ai passé,
00:22:18où on dit « Pravin ».
00:22:20Mais si vous connaissez
00:22:22comment on peut écrire « Pravin »
00:22:24en créole, vous le savez.
00:22:26Alors, ça dépend de la façon
00:22:28dont on l'écrit.
00:22:30Mais en créole, on fait une belle
00:22:32remontée, un bel PSC
00:22:34ces derniers temps.
00:22:36Comme une langue qui peut servir
00:22:38officiellement dans le pays.
00:22:40Alors, aujourd'hui,
00:22:42on a beaucoup de parents
00:22:44même dans l'émission
00:22:46Levé-Maurice samedi.
00:22:48Il y a beaucoup de parents
00:22:50qui ont téléphoné
00:22:52parce qu'ils ont fait
00:22:54une tombe dans le fléau
00:22:56de la drogue.
00:22:58Et j'ai fait une première
00:23:00présentation,
00:23:02finie la présentation
00:23:04d'ailleurs par le premier
00:23:06ministre qui remplace
00:23:08les enfants préciblés tant au
00:23:10primaire qu'au secondaire.
00:23:12C'est un problème
00:23:14bien grave, Jimmy.
00:23:16En tant que pédagogue, oui.
00:23:18C'est un problème bien grave
00:23:20et c'est un problème complexe.
00:23:22Et pas un problème simple.
00:23:24Il y a beaucoup de facteurs
00:23:26impliqués là-dedans.
00:23:28Et malheureusement,
00:23:30une des affaires que je peux trouver,
00:23:32c'est
00:23:34la façon dont le ministère
00:23:36de l'éducation
00:23:38peut réagir.
00:23:40La façon dont je peux réagir,
00:23:42je peux essayer de trouver des règlements
00:23:44comment on peut
00:23:46coïncer par ici, comment on peut coïncer par là-bas,
00:23:48comment on peut passer
00:23:50la loi pour empêcher ça.
00:23:52Je pense que c'est une bonne approche
00:23:54un petit peu
00:23:56comment dirais-je...
00:23:58C'est pas une bonne approche qui peut
00:24:00donner des résultats vraiment valables.
00:24:02Parce que pour moi,
00:24:04il y a les racines
00:24:06du problème. Et les racines
00:24:08du problème se trouvent
00:24:10au niveau de l'école.
00:24:12Parce que pour moi, le gros problème
00:24:14c'est le curriculum.
00:24:16Le gros problème,
00:24:18c'est la pédagogie qui peut s'éviter dans l'école.
00:24:20Le gros problème, c'est
00:24:22la façon pour évaluer
00:24:24les enfants dans l'école.
00:24:26Le gros problème, c'est la façon dont l'école
00:24:28peut gérer.
00:24:30Quand on met tout ça l'ensemble,
00:24:32parce que longtemps,
00:24:34nos enfants, nous aussi dans l'école,
00:24:36nous tous, nous passons nos jeunesses
00:24:38dans une école publique
00:24:40et en tenant
00:24:42ce qu'on appelle le respect,
00:24:44en tenant la discipline.
00:24:46Tandis qu'aujourd'hui,
00:24:48malheureusement,
00:24:50il y a un relâchement, un laisser-aller
00:24:52au niveau
00:24:54de la gestion dans les écoles.
00:24:56Il y a un relâchement au niveau des professeurs.
00:24:58Il y a un désengagement
00:25:00au niveau des professeurs.
00:25:02Ce qui fait que, et bien souvent,
00:25:04ce n'est pas en tort.
00:25:06Ni l'école, ni les professeurs
00:25:08ne sont pas en tort. Ce qui est en tort là-dedans,
00:25:10c'est le ministère.
00:25:12Parce que le ministère,
00:25:14il prend toutes les libertés.
00:25:16Le ministère,
00:25:18c'est lui qui dirige tout.
00:25:20Alors,
00:25:22dans l'école, il y a les exécutants.
00:25:24Les professeurs,
00:25:26les recteurs,
00:25:28dans les écoles,
00:25:30ils sont les exécutants.
00:25:32Et ça, ça fait qu'ils ont un peu
00:25:34perdu l'intérêt qu'ils avaient avant.
00:25:36Avant,
00:25:38quand on était recteur
00:25:40ou dans les écoles,
00:25:42c'est quelqu'un qui est vraiment engagé,
00:25:44qui est intéressé.
00:25:46Parce qu'il y a une certaine liberté
00:25:48de prendre des décisions par lui-même.
00:25:50Il est capable de décider comment modifier le curriculum,
00:25:52comment il pédagogie.
00:25:54Il y a une certaine liberté.
00:25:56Pendant ces derniers 5 ou 10 ans,
00:25:58tout ça a été enlevé
00:26:00complètement.
00:26:02En plus,
00:26:04il y a la PSSA,
00:26:06l'inspectorat,
00:26:08c'est eux
00:26:10qui imposent la loi.
00:26:12Et ça fait
00:26:14que les recteurs,
00:26:16les professeurs ont perdu un peu
00:26:18leur goût
00:26:20de bien faire dans les écoles.
00:26:22C'est ça qui nous a amenés quand nous étions aujourd'hui.
00:26:24Nous pouvons marquer une pause pub à Faisal.
00:26:26Et bien sûr, nous pouvons
00:26:28continuer juste après ceci,
00:26:30parce qu'il est important que nous continuions cette discussion.
00:26:54Vivez en temps réel
00:26:56la première radio TV
00:26:58de Maurice.
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00:36:36Un éditeur et un expert en politique de lutte contre la drogue.
00:36:46Comment vous accueillez ce projet de loi qui provient avec la création d'un National Agency for Drug Control et ADC?
00:36:56J'ai mis une machine en masse. Pour moi, mon besoin est lié favorablement parce qu'il fait 6 mois qu'il n'y a pas eu aucune instance de coordination
00:37:06par rapport à la lutte contre l'état de drogue à Maurice. Pour moi, c'est quelque chose de positif qui peut finir.
00:37:14Bien sûr, il me prend sur les dents. Maintenant, quand nous guettons cette bille-là, il n'y a pas de point positif, bien sûr,
00:37:20parce qu'ils produisent les mêmes efforts à travers une agence nationale. Donc, là-dedans, maintenant, bien sûr, il y a plusieurs acteurs qui peuvent évoluer.
00:37:28Il y a le conseil d'administration aussi. Et bien sûr, ce qu'ils veulent mettre en place, c'est qu'ils puissent accélérer la santé publique,
00:37:34inclure les mêmes traitements et aussi mentionner la réduction des risques. Ça, c'est le même point qui est positif.
00:37:40Cependant, c'est vraiment une des mêmes affaires que nous devons prendre en compte, qui est le besoin de définir qui se peut protéger par la réduction des risques,
00:37:46parce qu'il n'est pas juste limité à l'échantillonne, à la méthadone, bien sûr, et non même les autres molécules qu'il n'a pas utilisé.
00:37:52Et même le point qu'il mentionnait, mais c'est vraiment le point en détail auquel il se peut proposer, c'est qu'il nous faut aussi comprendre qu'ils mettent en place
00:38:01même un cadre qui est très spécifique, qui peut garantir les mêmes affaires en termes de droits humains pour même les gens qui peuvent consommer la drogue,
00:38:09qui, pour l'instant, ne peuvent pas trouver la dent. Et bien sûr, après, malheureusement, ce qui manquait dans ce projet de loi-là,
00:38:15surtout, c'est une approche qui est un peu progressiste, qui peut s'aligner avec tout ce qu'une même instance internationale peut dire,
00:38:21et sur tout ce qui est passé dans même plusieurs pays. Je finis par comprendre que la répression, ce n'est pas la seule solution qu'il y a.
00:38:29Il faut mettre en place un programme qui accepte l'accès social, qui fait que vous ne pouvez pas consommer, et non, bien sûr, l'aspect santé publique,
00:38:38vous ne pouvez pas traiter la même personne avec la même thérapie. Mais aussi, il y a beaucoup de projets qui peuvent être faits à travers le monde,
00:38:47et il y a beaucoup de formes de décrimination qui sont mises en place. Cela veut dire qu'il ne faut pas vraiment consommer la drogue en prison,
00:38:53et surtout, ce qui peut manquer pour moi, là-dedans, ce n'est pas vraiment ce qu'il y a autour du cannabis.
00:38:59Est-ce qu'il y a un comité qui peut chier, qui peut discuter de ça? Parce que, comme je le connais, moi et plusieurs autres personnes,
00:39:05nous ne pouvons prendre qu'une approche, bien sûr, parmi toutes les réponses qui existent, incluant la prévention, la réduction des risques et la réhabilitation.
00:39:14Il existe, et non, un cadre très spécifique pour la consommation du cannabis, c'est-à-dire pour contrôler le taux de THC et le taux de CBD,
00:39:22comme une réponse qui ne peut pas être liée à ce qu'on appelle la drogue chimique. Donc, pour moi, ça, il manquait.
00:39:28Il y a aussi un problème que j'ai trouvé, c'est qu'il y a une fonction qui, supposément, le National Aid Secretariat peut faire par rapport au VIH,
00:39:36ce qu'il peut mettre là-dedans, parce qu'en termes de plan national VIH, il y a un programme qui est relatif à le VIH.
00:39:43Donc, ça va être centralisé en bas du National Drug Agency, comme je l'ai dit. Donc, est-ce que le National Aid Secretariat pourrait disparaître?
00:39:54Je ne crois pas que ça soit une bonne idée. Et maintenant, ce qui est aussi important, c'est de clarifier bien les sélections qu'il peut faire par rapport à l'assurance civile.
00:40:04Ça n'a pas l'air. Bien sûr, aussi, qui est-ce qui l'a proposé? Quand on a une discussion, est-ce qu'ils sont capables de faire quoi?
00:40:10Est-ce qu'ils sont capables de proposer des changements? Parce que malheureusement, je me reconnais, Sam, qui vient d'être le vice-chairman,
00:40:18mais ils ne sont pas capables d'accélérer l'approche qu'ils ont fait dans le passé et projeter un peu dans le futur,
00:40:25car il y a beaucoup de changements qui peuvent arriver à travers le monde.
00:40:34Mais quand même, ne trouvez-vous que David Sauvage, qui est candidat de l'Alliance du changement au 2 de vacquois,
00:40:40qui dit qu'il y a des pénalisations du cannabis, est-ce que vous pensez que c'est une direction dans laquelle le projet gouvernemental peut aller plus de l'avant
00:40:50avec sa National Agency for Drug Control?
00:41:11qui n'est jamais inégalisé, bien sûr, qui, après l'exemple du Canada, n'est jamais inégalisé, peut-il dire qu'il y a une étude qui est montée qui n'est pas un gros problème?
00:41:20Ce qui ne s'est pas réalisé, c'est que ce mandat, c'est la répression déjà.
00:41:25Et donc, tout le rapport que je fais, il est très parfois biaisé aussi.
00:41:29Donc, pour moi, malheureusement, c'est pas une occasion, c'est quand même un comité pour révoir les politiques en général autour des drogues,
00:41:37et spécifiquement, je pense qu'il faut avoir un groupe de travail technique pour étudier ce qu'ils veulent faire.
00:41:45Donc, là-dedans, pour l'instant, il n'est pas clair, mais je suis un peu pessimiste par rapport à ça.
00:41:49Et nous trouvons qu'il y a dans ce projet de loi, dans la section 3B de l'explanatory memorandum, plusieurs divisions pour venir ensemble.
00:41:56Policy Research and Strategy Division, Treatment Rehabilitation, Prevention and Public Awareness Division, HIV and AIDS Prevention,
00:42:04tout cela peut venir ensemble. Est-ce qu'il n'est pas trop bulky, finalement, l'agence-là, et qu'il n'est pas mis sur le même objectif, d'après vous?
00:42:10Donc, pareil, il est bien connu que ça n'a pas l'air de s'amener en division.
00:42:14Et ce qui est vraiment biaisé, c'est que c'est dans le National Drug Secretariat,
00:42:18que tu peux coordonner tes affaires avec tes policiers, et aussi, il y a une coordination qui se fait avec les ONG.
00:42:23Il y a aussi le National AIDS Secretariat, mais je ne sais pas si tu connais ce qui s'est passé,
00:42:28parce que le National AIDS Secretariat, bien sûr, tu peux travailler avec les ONG dans ce domaine-là.
00:42:33Maintenant, est-ce qu'il est trop bulky? Bien sûr, mon propre prononcement là, tant qu'on ne connaît pas comment les personnes travaillent,
00:42:39est-ce qu'il y a une équipe qui est qualifiée? Est-ce qu'il y a une équipe qui est formée?
00:42:43Est-ce qu'il y a une équipe qui est divisée dans cette maintenance-là, où ça peut se centraliser à travers une petite équipe?
00:42:49Là, il y a un gros problème, parce que cette petite équipe-là n'est pas capable de faire ça.
00:42:53C'était un même problème qu'ils gagnaient avec le National Drug Secretariat, malheureusement,
00:42:56même si c'était dans la volonté d'une personne qualifiée.
00:42:59Ce n'est pas assez énorme de ressources en termes de personnes qui sont formées et qualifiées,
00:43:04et bien sûr, ressources pour payer les mêmes personnes, pour travailler aux mêmes affaires spécifiques.
00:43:08Là, ce qui manque là-dedans, c'est qu'ils prennent un budget pour allouer, mais pas de préciser le budget,
00:43:13pas de préciser qui tranche le budget pour servir pour les recherches, qui tranche le budget pour servir pour l'emploi.
00:43:20Il y a un Treatment and Rehabilitation Services Division là-dedans,
00:43:25en étroite collaboration avec les ONG engagées dans la réhabilitation et la réintégration sociale.
00:43:30Est-ce que ces ONG-là, vous les avez définies au préalable, ou bien comment vous vous taillez avec eux?
00:43:36Qui a l'opinion là-dedans?
00:43:37Bon, à ce moment-là, il est intéressant que vous puissiez me dire ça.
00:43:40Pour moi, c'est l'occasion pour me dire bien que tous les centres qui travaillent avec les personnes qui utilisent la drogue
00:43:47sont les mêmes centres qui ont enregistré, les mêmes centres qui ont agréé,
00:43:51soit au ministère de la Sécurité Sociale, soit au ministère de la Santé.
00:43:55Donc, POSKY, et comment vous le connaissez, il y a beaucoup de centres marrons.
00:43:59Là, c'est l'occasion de clarifier ça, peut-être dans le bilan qu'on peut poser dans le Parlement,
00:44:04pour bien mettre ça à clause là, parce qu'il n'est pas capable d'accepter tous les ONG.
00:44:08Il faut des ONG qui ont enregistré, des ONG qui reconnaissent que vous travaillez,
00:44:12pour faire un appui beaucoup plus fort.
00:44:15Et nous trouvons aussi un Real-Time Monitoring System pour assurer le suivi de bonnes personnes sous méthadone.
00:44:21En concret, dans la réalité, est-ce qu'il est possible ça?
00:44:23Bon, avec le nombre de personnes qui l'ont méthadone, c'est compliqué, bien sûr.
00:44:29Ce Real-Time Monitoring System-là, c'est un système qui est proposé pour qu'il y ait un coup de pied
00:44:34qui peut passer sur le terrain, pas juste avec la méthadone.
00:44:36C'est surtout par rapport à qui même produit le PCR qu'il est,
00:44:39et comment on peut avoir des informations qui peuvent remonter très très vite
00:44:43C'est ça qu'ils veulent mettre là, ce n'est pas spécifiquement la méthadone,
00:44:46parce que méthadone, il y a des milliers de personnes qui l'ont,
00:44:48et bien sûr, tous les jours, il y a un rapport qui se fait à travers le ministère de la Santé.
00:44:51Je pense que ça ferait une petite loi qui est juste méthadone.
00:44:54Et nous trouvons que dans NBAN, l'objectif du National Agency for Drug Control,
00:45:00Pédiacalypse a collaboré étroitement avec FACC, Financial Crime Commission,
00:45:06en matière de blanchiment d'argent.
00:45:08Est-ce que ce n'est pas une duplicité de fonctions?
00:45:11Non, ce n'est pas une duplicité de fonctions.
00:45:13Je pense qu'il y a une étroite collaboration,
00:45:16parce qu'on le connaît, quand on cause des trafics de la drogue,
00:45:19ce n'est pas seulement des gens qui peuvent vendre ça au terrain,
00:45:21qui peuvent gérer ça comme ça.
00:45:23On peut causer des millions,
00:45:25on peut causer quelque chose qui peut disparaître d'un fond,
00:45:27quasiment appelé un fond noir.
00:45:30Donc là, je pense que c'est important de souligner
00:45:34qu'il y a une collaboration étroite qui se fait,
00:45:37communiquant sur tout, ça mène à une grosse somme d'argent
00:45:40qui malheureusement disparaît, qui mène au chien,
00:45:43qui n'est jamais trouvé.
00:45:44D'accord. Et ce que les gens veulent savoir,
00:45:47qu'ils ont la drogue, qu'ils souffrent,
00:45:49c'est bien pour leurs mamans, pour leurs familles,
00:45:51mais vous voyez, même pour la société.
00:45:53Est-ce qu'avec ce National Agency for Drug Control,
00:45:57qui nous connaît le sérieux de Sam Lutton quand même,
00:45:59mais est-ce qu'il ne faut pas arrêter de trouver des zombies là,
00:46:01ou des chemins, ou des gens qui ont flashé leurs volants,
00:46:04ne sont pas capables quand ils roulent autour.
00:46:06Est-ce qu'il ne faut pas arrêter avec ça?
00:46:07Est-ce que vous pensez que c'est pas dans cette direction-là
00:46:09qu'on peut aller?
00:46:37Et quelle est la conséquence économique du problème
00:46:40de la drogue à Maurice, d'après vous?
00:47:06C'est une économie quasiment parallèle là-dedans.
00:47:09Et c'est ça qui fait qu'il y a des pratiquants
00:47:11qui continuent de faire ce qu'ils peuvent faire,
00:47:13parce qu'à travers cette économie parallèle-là,
00:47:15je peux effectuer un système
00:47:18où je peux avoir une personne qui fait du travail,
00:47:20une personne qui fait de la qualification,
00:47:21une personne qui est, comment dire,
00:47:23victime de ce cycle de pauvreté-là,
00:47:25et je peux trouver des gens,
00:47:27même si ces gens-là, ça veut dire
00:47:29qu'ils ont une carte-là, sa carte-là,
00:47:31qui sont capables de faire la vente,
00:47:32ils sont capables de nourrir leur famille,
00:47:34ils sont capables de bâtir leur maison,
00:47:36ils sont capables de nourrir leur famille, tout ça.
00:47:38Donc au final, c'est une affaire
00:47:40qui engraine beaucoup de systèmes qui sont ici.
00:47:43Kunal Naik, merci beaucoup pour toutes ces précisions.
00:47:46Merci beaucoup, Jamy.
00:47:48Et certainement, ça laisse à réfléchir
00:47:50tous ceux qui, Kunal Naik,
00:47:51qui ont fait une jeune,
00:47:52qui ont eu l'occasion de revenir là-bas.
00:47:53Tout à l'heure, Maudiaouka a posé la même question,
00:47:55le 213, 77, 77, 213, 77, 77.
00:47:58Nous abordons, Faisal, la question du PNQ.
00:48:01Aujourd'hui, la PNQ de Diolo Jango
00:48:03qui fait l'accès aux deux décès des patients
00:48:05après une intervention à New Cancer Hospital,
00:48:08le ministre Anil Betu qui nous répond,
00:48:10qui fait une cause de la complexité
00:48:11de ce genre d'opération des personnes
00:48:13qui sont atteintes du cancer.
00:48:15Mais Diolo Jango, il met en lumière
00:48:17l'absence d'une unité de ICU,
00:48:19pour penser post-opératoire,
00:48:21dans l'hôpital-là.
00:48:23Mais le ministre, il me dit, en sérieux,
00:48:25il est pressé pour ouvrir l'hôpital-là
00:48:27sans même mettre une ICU.
00:48:28Et c'est dans un mois qu'il va gagner sa ICU-là.
00:48:30A nous écoute ce qu'Anil Betu
00:48:32et ce que Diolo Jango
00:48:34veulent dire sur l'extrait de la PNQ du jour.
00:49:00...
00:49:24...
00:49:29...
00:49:31...
00:49:33...
00:49:34...
00:49:55...
00:49:57à l'hôpital de Victoria.
00:50:00C'est un fait.
00:50:01Tout le monde devrait comprendre
00:50:02que dans tous les fonds,
00:50:04cet hôpital a été ouvert.
00:50:06Mais en fait, il n'y avait rien,
00:50:07pas la moindre équipement qui était en utilisation.
00:50:10Et merci à ce gouvernement
00:50:12et merci au moins à notre Premier ministre,
00:50:14au député du Premier ministre.
00:50:15Ils ont le droit à cet hôpital
00:50:18et nous faisons de notre mieux.
00:50:20Même les vêtements ne peuvent pas être installés
00:50:22dans un mois ou deux.
00:50:24Merci, monsieur le Président.
00:50:28Il y a un moment.
00:50:30Oui, il y a un moment.
00:50:54Madame la députée,
00:50:57c'est maintenant le ministre.
00:50:59Il devrait avoir pris les bonnes décisions.
00:51:01Est-ce qu'il s'agira...
00:51:03Votre honorable ministre,
00:51:04est-ce qu'il s'agira que cette procédure
00:51:07n'est pas seulement problématique,
00:51:09mais aussi dangereuse et catastrophique ?
00:51:13Madame la députée,
00:51:14quand 62 opérations oncologiques ont été menées,
00:51:20malheureusement, comme je vous l'ai dit,
00:51:22il y a eu deux morts.
00:51:23Qu'a-t-il fait le gouvernement ?
00:51:26Nous n'avons pas de l'ICU.
00:51:28En fait, dans les mois à venir,
00:51:31nous aurons une ICU moderne dans cet hôpital.
00:51:34Il n'y a pas d'autre moyen
00:51:36que de commencer l'opération.
00:51:38Je ne peux pas permettre aux patients de mourir
00:51:40sans être attendus médicalement.
00:51:42Merci.
00:51:45Nous avons confirmé que le patient TS,
00:51:50après sa intervention chirurgicale,
00:51:51qui était une intervention très complexe,
00:51:54a été transferté du nouveau hôpital cancer
00:51:57à l'hôpital SAGE à Vladivostok,
00:51:59qui est de 45 minutes à une heure,
00:52:04et qui a exposé ce patient
00:52:06à des complications, des infections
00:52:08et à des conditions dangereuses.
00:52:10Madame la députée.
00:52:12Soyez courte, douce et directe dans votre propre esprit.
00:52:15Le patient lui-même a exprimé son souhait
00:52:20pour qu'il soit opéré.
00:52:22Il a exprimé son souhait et nous l'avons fait.
00:52:25Comme je vous l'ai dit, dans Mauritius,
00:52:26nous avons une ICU moderne
00:52:29qui se trouve à Vladivostok.
00:52:30Madame la députée, je dois être courte.
00:52:33Oui, la maison doit savoir
00:52:35que pour mon ministère,
00:52:38nous avons 2,2 milliards d'euros de déficit.
00:52:44Comment pouvez-vous nous attendre,
00:52:45le soir, pour construire une ICU?
00:52:50Nous n'avons pas payé 575 millions d'euros
00:52:53pour la COVID,
00:52:54alors qu'ils ont chargé 2 euros par litre de pétrole.
00:52:57Ils ont pris la taxe,
00:52:58mais ils n'ont pas payé l'argent.
00:53:01Voilà, toujours la petite politique politique.
00:53:07Et là, tout de suite, mon poil en direction
00:53:09du troisième député de Granby-Poutredor,
00:53:11du numéro 6,
00:53:12M. l'honorable Ram Ettouaria, qui est avec nous.
00:53:15Ram Ettouaria, bon après-midi.
00:53:18Oui, bonsoir.
00:53:19Il y a des questions très intéressantes,
00:53:21B289 et B342,
00:53:24qui causent les missions des ambassadeurs
00:53:27et également les appointements des ambassadeurs
00:53:30et des commissionnaires pour amener notre représentatif.
00:53:32Qui a trouvé une ressource de ces interventions
00:53:35que le ministre des Affaires étrangères
00:53:37répond concurremment?
00:53:40La première chose,
00:53:42pour aller direct dans le sujet,
00:53:45c'est que l'ancien régime a fait beaucoup de frappes,
00:53:49beaucoup d'abus de pouvoir
00:53:52dans la diplomatie mauricienne.
00:53:57La diplomatie, c'est quelque chose qui est bien important.
00:53:59Il concerne le développement du pays.
00:54:02Il concerne la place des milieux mauriciens dans le monde.
00:54:05Et donc, normalement, on faisait un appointement
00:54:09du monde compétent
00:54:10et qui faisait ce travail avec patriotisme
00:54:13et développement pour son pays.
00:54:16Or, l'ancien régime, ce qu'il a fait une fois,
00:54:18c'est qu'il n'y avait pas d'agents politiques
00:54:20dans la trancherie.
00:54:22Et donc, ce n'est pas le travail qu'il a fait une fois,
00:54:24mais c'est surtout l'abus de pouvoir.
00:54:29Et l'objectif de vos questions était justement
00:54:33de dévoiler, de dénoncer cet abus-là.
00:54:37Et surtout, il y a aussi un reminder
00:54:40pour dire que l'actuel gouvernement
00:54:42dont je fais partie, il va faire la même affaire,
00:54:46la même gaffe.
00:54:48– Oui, mon permet pour vous suivre, oui ?
00:54:53– Oui, c'est-à-dire les excès d'abus qui ont été commis
00:54:56par ce régime-là, c'est la population bien connue.
00:55:01Pas seulement qu'il y ait un abus dans Maurice,
00:55:03mais aussi par un mauricien,
00:55:04un diplomate mauricien à l'étranger.
00:55:08Vous connaissez, la diplomatie, elle coûte cher.
00:55:12Un bureau à Genève, à Londres, à Paris,
00:55:15ça coûte très, très cher.
00:55:17Une résidence d'un nouveau diplomate,
00:55:18ça coûte très, très cher.
00:55:20Donc, quand on peut faire la diplomatie,
00:55:23quand on a une ressource limitée,
00:55:24une ressource financière limitée,
00:55:26tout le monde peut dépenser de façon optimale.
00:55:30– Vous avez un value for money, c'est ce que vous pouvez dire.
00:55:32– Oui, j'ai un value for money.
00:55:33Or, le ministre a montré dans sa réponse
00:55:36les abus qui finissent là.
00:55:39Par exemple, un diplomate qui revient au pays
00:55:42en octobre, novembre dernier,
00:55:44ce n'est pas un diplomate,
00:55:46ce n'est pas un diplomate agent qu'on va dire,
00:55:48il revient au pays pour faire campagne.
00:55:51– Mais ce n'est pas une pratique normale
00:55:52que tout le gouvernement fait depuis l'indépendance jusqu'à ce jour ?
00:55:56– Ce n'est pas parce que le gouvernement,
00:55:58avant un siècle, faisait la même chose.
00:56:01Nous, nous nous inquiétons qu'ils payent l'abus,
00:56:03que l'argent du public est dépensé à bon escient
00:56:06et n'est pas servi à une cause partisane.
00:56:09– D'accord.
00:56:10– Ce n'est pas normal qu'un agent politique,
00:56:14un voyageur, puisse mourir pour faire campagne.
00:56:17Mais il y a un autre exemple encore plus important,
00:56:20il y a un diplomate qui transforme ses vacances annuelles
00:56:25en jours travaillés tout en étant en vacances.
00:56:30– D'accord.
00:56:30– Dans certains cas, un diplomate paye son loyer, la case,
00:56:34jusqu'à un million d'euros par mois.
00:56:36Donc c'est une semaine d'affaires qui n'est pas qu'à accepter.
00:56:39À Riyad et à Dubaï, un diplomate consacre millions et millions d'euros
00:56:44pour l'achat des voitures, mais un après l'autre.
00:56:48Donc c'est ça que j'ai envie de faire ressortir dans cette question-là.
00:56:52– Merci beaucoup pour cette intervention,
00:56:54député Ram Eto'oharia, député de la circonscription
00:56:57numéro 6, grand bip pour Trudeau, la suite c'est juste après ceci.
00:57:00– Paule Montlépèpe, Bizarre Encontre.
00:57:06– Téléchargez notre application Top FM Radio sur App Store, Play Store
00:57:13et sur aussi Huawei App Gallery.
00:57:15Top FM Live TV, une grande première, vivez en temps réel,
00:57:20la première radio-tv de Maurice.
00:57:24Découvrez notre studio, nos animateurs, vos hits musiques préférés en clips
00:57:31et l'info complète, factuelle et crédible.
00:58:24– Sous-titrage par SousTitreur.com
00:58:54– Sous-titrage par SousTitreur.com
00:59:08– Et justement, les députés Ram Eto'oharia,
00:59:09c'est une cause, cette question d'être accountable,
00:59:13quand même, l'infecte intervenir là sur Top FM dans Paul Montlépèpe.
00:59:20Faisons-le dire encore, une réaction, avant de prendre l'appel d'un auditeur.
00:59:24– Eh bien, M. Eto'oharia, c'est une cause de l'abus,
00:59:31d'un excès qui est énorme dans ce domaine-là.
00:59:37Mais ça, nous connaissons ça depuis assez longtemps,
00:59:40mais malheureusement, ça finit en un laissé-aller.
00:59:46Fini en un laissé-aller, un manque d'accountability,
00:59:50pas faire d'autres rencontres, une impunité.
00:59:54Vous faites ce que vous voulez, Paris, vous n'avez rien.
00:59:58Et ça, je crois qu'il est temps de s'arrêter.
01:00:01Parce que de plus en plus, nous finançons pas les squeezes,
01:00:05nous ne pouvons pas mettre l'argent par la fenêtre.
01:00:08Et nous trouvons un abus extraordinaire au niveau de nos diplomates,
01:00:15Mauritien et Quidéo.
01:00:17Un an, ils ont acheté la case, et puis ils ne peuvent pas rester dans la case.
01:00:20Ils ont dû louer un hôtel pour rester, ce n'est pas possible.
01:00:24Un an, ils ont acheté la case à un prix extraordinaire,
01:00:29des meubles qui ne me connaissent pas, qui coûtent des millions et des millions,
01:00:34et des voitures, etc.
01:00:36Et tout ça-là, je crois qu'ils ont aujourd'hui décidé
01:00:39de mettre un contrôle bien strict dans tout ça-là.
01:00:43Et aussi, la nomination.
01:00:46Nous connaissons dans le passé finalement des nominations un petit peu
01:00:50avec des figures, avec des noms, avec des acquaintances, etc.
01:00:55Et alors, je pense que pour une nomination,
01:01:00il faut baser sur la compétence, il faut baser sur l'expérience,
01:01:04il faut baser sur votre engagement pour le pays,
01:01:09votre intérêt, votre patriotisme, comment dire.
01:01:13Et tout ça, je crois, est très important pour bien revoir
01:01:17comment ils nomment.
01:01:19Et les sanguinants, pour dire qu'ils nomment à présent,
01:01:23de toute façon, ils nomment certains diplomates,
01:01:29ils laissent à désirer.
01:01:30Et moi, je crois que le gouvernement actuel
01:01:33laisse passer une occasion en or
01:01:36pour pouvoir faire une bonne sélection de diplomates
01:01:40sans avoir 20 petits copains, 20 petites copines par ici.
01:01:44D'accord. Nous avons Isaac qui est avec nous pour une question.
01:01:47Isaac, bonsoir.
01:01:48Bonsoir. As-salamu alaikum, M. Jorge, d'accord ?
01:01:52Bonsoir.
01:01:53J'ai deux questions pour vous dire.
01:01:55Ma première question, comment limiter la police
01:01:59et la dame Maurice ?
01:02:01Qui fait un ou deux caméras partout ?
01:02:04Moi, je me dis, quand tu vas dans la drogue,
01:02:07quand tu vas dans la drogue,
01:02:09tu vas limiter la police, tu vas mettre les siens,
01:02:12tu donnes tout le pouvoir pour dire aux autres
01:02:16que tu es bizarre et que tu es vendu.
01:02:18Si il y en a un de moins pour être vivant,
01:02:19ben, là, tu vas le faire.
01:02:21Est-ce qu'il y a un consommateur ou une liste ?
01:02:24Si la boutique est fermée, tu n'es pas capable de consommer.
01:02:28Mais qui fait qu'on ne mette pas la police ?
01:02:31Est-ce qu'il y a quelqu'un qui prend la police ?
01:02:33Tu ne prends pas la police, non, comme M. Jumbier comprend,
01:02:36tu prends la police bien calibrée.
01:02:39Moi, quand je prends la police, franchement,
01:02:41je me dis, dans l'hôpital,
01:02:43je me dis, je ne vais pas me mettre de vêtements,
01:02:44je me dis, je compte, je me dis tout.
01:02:47Je me dis, calibrée, enfin, je ne sais pas,
01:02:50je me dis, franchement, je n'ai rien.
01:02:52Mais si je me fais un délit,
01:02:54là, je me dis, oui, je sacre la tête,
01:02:56je me dis, you are the right man in the right place.
01:02:59Mais la police, ce qu'il peut me dire,
01:03:01vous savez qu'il y a un simple exemple, je me dis,
01:03:03tu es tolérant, je vais te battre comme un zombie.
01:03:05Tu fais ça, wrong people in the right place.
01:03:09Deuxième affaire, moi, je suis bien content
01:03:12si mes langages mauriciens me fient de ça.
01:03:15Parce qu'il y en a pas une troisième affaire,
01:03:17parfois, je ne sais pas ce qu'il faut faire
01:03:20quand je me quitte, probablement, à cause du langage.
01:03:23Alors, je suis content de connaître ce qui peut passer.
01:03:25Qu'est-ce qu'il faut faire pour un grand président de la ville de Maurice ?
01:03:29Il faut que son langage donne valeur à son langage.
01:03:32Je ne sais pas si vous comprenez ou pas,
01:03:34j'ai un médecin intérprète.
01:03:35Nous, mauriciens, ce qu'il faut, c'est qu'on augmente nos langages.
01:03:39Nos langages, c'est nos magettons.
01:03:41Il y a des gens qui restent 20 ans à Maurice.
01:03:44Ils sont 20 ans, ils sont allés,
01:03:46ils sont capables de causer ennui là-bas,
01:03:47mais seulement, ils ne sont pas capables d'oublier son langage,
01:03:49ils ne sont pas capables d'une plus bonne explication dans son langage.
01:03:53D'accord. Merci, Isaac, pour qu'on nous comprenne et nous causer l'eau-là.
01:03:57Moi, j'ai envie de nous avancer un petit peu aussi dans le débat.
01:04:00Fais ça pour qu'on fasse un round-up tout à l'heure, l'eau-là.
01:04:03Le Parlement fait une interprétation, le rapport l'audite,
01:04:06et sur l'Italie de scandale,
01:04:10qui, selon le premier ministre, fait une rituelle annuelle.
01:04:12Le député Adrien Dubal fait une demande,
01:04:15une mesure pour qu'il y ait une organisation gouvernementale
01:04:18capable, obligée, pas capable,
01:04:21obligée de soumettre ce rapport annuel au directeur de l'audite.
01:04:24A nous écoute ce que le premier ministre fait dire à ce sujet.
01:05:03...
01:05:09Second, we already announced and taken a commitment
01:05:12to introduce a fiscal responsibility act.
01:05:15Madam Speaker, as stated in the government program,
01:05:19to foster greater transparency and accountability,
01:05:22we propose to make it mandatory for the public's account committee
01:05:26to look into the annual audit reports
01:05:30with the accounting officer in attendance.
01:05:32We will also ensure that the report of the director of audit
01:05:35is debated in the National Assembly
01:05:37and is submitted to the relevant institution
01:05:40for investigation where appropriate.
01:05:44Voilà, ça, c'est très important, l'intention est là,
01:05:46et que nous devons savoir comment ça se traduit dans la réalité.
01:05:49Et là, nous avons Sundiren de Saint-Pierre qui est avec nous.
01:05:52Sundiren, bon après-midi.
01:05:56Sundiren ?
01:05:58Bonsoir.
01:06:00Bonsoir, monsieur l'invité.
01:06:02Moi, ce que j'ai envie de dire, c'est que nous, les jeunes,
01:06:05nous travaillons, nous faisons un travail grammatical en ce temps-là.
01:06:11C'est pas correct.
01:06:12Mais le premier ministre a répondu à une question sur l'audite.
01:06:16Mais moi, je suis un peu content, je viens avec la loi,
01:06:21qui dit que ceux qui peuvent faire des dépenses
01:06:24peuvent faire leurs ordres dès aujourd'hui,
01:06:26faire quelques millions,
01:06:28et puis gaspillage, je suis content, mais la loi.
01:06:32Ça veut dire que si vous avez une autre cause,
01:06:34vous avez dit que ce n'est pas pour payer la main,
01:06:38c'est pour faire la prison.
01:06:39Ça, je suis un peu content,
01:06:40parce qu'il y a une transparence.
01:06:42Il faut avoir une transparence
01:06:44parce que je pourrais faire pareil l'année prochaine
01:06:47et pourquoi je n'aurai pas gagné.
01:06:49Puis, le côté MBC, je suis un peu content
01:06:52comment ils répondent à la loi de l'OMBC,
01:06:56tu peux regarder le football en anglais,
01:06:58mais je ne sais pas qui les décisions ils vont prendre.
01:07:00Et moi, je suis content,
01:07:02c'est tout les proches décisions qu'ils font.
01:07:05Parce que tout le monde,
01:07:06moi, je ne peux pas mettre une scène privée,
01:07:08je dois attendre,
01:07:10parce que c'est comme ça dans la campagne électorale,
01:07:11je dois attendre qu'ils fassent ça vite.
01:07:13Et c'est ce que j'ai fait d'abord.
01:07:15Moi, je dois attendre cinq mois, parce qu'ils ont fait mon BDU,
01:07:18moi, je suis dans l'année 60, je ne vais pas aller à l'école beaucoup.
01:07:20Je dois écouter l'information
01:07:22pour savoir ce qu'ils ont à dire d'abord.
01:07:25Mais moi, je suis content qu'ils fassent ça plus vite,
01:07:28je suis content, je suis bien apprécié de ça.
01:07:31Mais si j'ai mes envies, je l'écoute.
01:07:34– D'accord. Et les mots de réponse, Cézanne ?
01:07:36– Je dirais qu'il y a un gaspillage,
01:07:40et l'Indien a besoin de la loi pour empêcher ce gaspillage.
01:07:43Justement, le Premier ministre est venu avec le Fiscal Responsibility Act,
01:07:49qui est un des moyens très, très, très importants
01:07:52qu'il peut introduire pour empêcher ce gaspillage.
01:07:55Mais l'autre, c'est le Public Account Committee.
01:07:59Parce qu'ils escalèrent le Public Account Committee,
01:08:01ils ne partiennent à aucun pouvoir, ce rôle est assez effacé.
01:08:06Mais là, on suppose que le Public Account Committee
01:08:09doit gagner plus de pouvoir, il doit être capable de bien s'organiser,
01:08:13et il doit être capable d'appeler les personnes concernées
01:08:17pour le gaspillage, faire des devenirs,
01:08:19et demander ce qu'ils font s'il y a autant de gaspillage.
01:08:25Il y a aussi le fait que le gouvernement peut dire
01:08:30que toutes les organisations gouvernementales
01:08:33doivent soumettre leurs rapports, parce qu'ils l'ont trouvé dans le passé.
01:08:36– On va l'insister là-haut. – Exactement.
01:08:38– Il ne faut pas être sur fonction.
01:08:40Adrien Duval, c'est le Président du Public Account Committee.
01:08:43Là, actuellement, il est le Président du Public Account Committee,
01:08:46donc il peut dire que beaucoup d'organisations
01:08:51ne soumettent pas leurs rapports annuels à la Directrice de l'Audit,
01:08:54et je ne sais pas si c'est la même Directrice de l'Audit,
01:08:56donc je ne suis pas légal, je ne suis pas capable de signaler comme ça.
01:08:59– Exactement, et là, pendant 4 ans, 5 ans,
01:09:02ils ne soumettent aucun, et le « get away with it »,
01:09:05c'est ça, ce n'est pas correct du tout.
01:09:07Alors, je crois que c'est une très bonne mesure,
01:09:10il faut que, par la loi, comme les Indiens le disaient,
01:09:14il faut que ils soumettent leurs rapports annuellement,
01:09:18et aussi le « audit report »,
01:09:19c'est un rapport qui est discuté au Parlement.
01:09:22– Débattu. – Il n'y a pas de rapport,
01:09:23il n'y a pas de rapport, là-là, il donne un rapport,
01:09:25là-là, il n'y a que ça, là-dessus, on finit, on oublie.
01:09:27– Il n'y a qu'à essayer de mettre des oeufs, après, on finit.
01:09:28– Après, on finit, mais non, c'est une affaire qui est bien débattue,
01:09:31il y a bien trop de solutions.
01:09:33Comment faire pour ce problème-là ne pas le répéter ?
01:09:37– Nous pourrions venir, là, sur cet aspect de l'intervention de Soudanese.
01:09:39– Moi, il y a Vimala qui est avec moi.
01:09:41Vimala, bon après-midi.
01:09:44– Alors, oui, bon après-midi, tout le monde, chers les blagueurs.
01:09:49Moi, j'ai envie de dire quelque chose à propos de la « gaspillage ».
01:09:56– « Gaspillage », oui.
01:09:58– À propos du rapport « l'audit »,
01:09:59et à propos du rapport « gaspillage », qui est un peu partout.
01:10:03Premièrement, nous demandons au gouvernement
01:10:06qu'il lui donne un paquet de bâtiments pour le gouvernement.
01:10:10Dans place qu'il lui donne des bâtiments,
01:10:13qu'il lui donne de l'argent qu'il ne gagne pas en mois,
01:10:16ça fait beaucoup de l'argent, nous demandons à un député partout
01:10:21qu'il fasse un paquet de bâtiments pour le gouvernement
01:10:24en télé-maurice, et c'est ça.
01:10:29Nous pourrions avoir moins de dépenses, nous pourrions avoir moins de chèques.
01:10:33Et encore une fois, nous avons demandé,
01:10:37avant qu'il n'y ait pas d'opérations, pas de chemin pour tout ça,
01:10:41nous donnons un contrat, nous voulons avoir un bon ingénieur
01:10:45qui va vérifier s'il n'est pas bon ou bien qu'il n'est pas bon.
01:10:49– Oui.
01:10:50– Et surtout, c'est le cas de l'hôpital.
01:10:54Dans l'hôpital, il y a vraiment de la « gaspillage »,
01:10:58qui, je crois, au ministère de la Santé,
01:11:03il faut encore bien trouver.
01:11:07Il faut bien savoir ce qui se passe, et il y a de la « gaspillage »,
01:11:12et c'est surtout pour les grandes compagnies de la même,
01:11:16les chèques, c'est ça que je veux dire.
01:11:21– Merci beaucoup pour l'intervention, Vimala,
01:11:23et les mots de réponse avec Faisal Dirouba,
01:11:25je crois que c'est un des points très très intéressants.
01:11:27– Très très important, oui.
01:11:29– Très pertinente aussi.
01:11:30Les bâtiments, nous connaîtrions par exemple,
01:11:32soit dans ceux-là, comment dire, nous sentions…
01:11:39– Dans la capitale.
01:11:40– Pas dans la capitale, mais…
01:11:42
01:11:45Ébène.
01:11:46Sinon, à Ébène, il y a un bâtiment que le gouvernement peut louer fermé.
01:11:51Il le loue pendant des mois, ça reste fermé, il ne peut pas servir.
01:11:55Comment on ne peut pas permettre de faire un « gaspillage » pareil ?
01:11:58Et je crois que Vimala fait une bonne suggestion
01:12:00que le gouvernement essaie d'être sur ses propres bâtiments.
01:12:05Il y a des bâtiments que le gouvernement peut servir,
01:12:08et s'assurer qu'il peut servir ces bâtiments-là optimalement.
01:12:12Ça veut dire ne pas laisser les emplacements dormir,
01:12:14mais les servir de façon plus optimale.
01:12:18Et puis il peut dire aussi de vérifier les travaux publics.
01:12:21Absolument important.
01:12:23Parce que les gens…
01:12:25
01:12:29Et les gens regardent ce travail-là, après, c'est catastrophe.
01:12:33Et alors, il s'y pose énormément d'ingénieurs
01:12:36qui s'y posent pour contrôler.
01:12:39Mais je ne sais pas comment c'est arrivé qu'ils soient capables,
01:12:42ici aussi, de faire un bon travail, un peu bric-à-brac,
01:12:45d'aller, et puis il n'y a aucun rapport,
01:12:47il n'y a rien, il passe, comment dire, une lettre à la poste.
01:12:51Et moi, je crois que ça aussi, c'est très mauvais.
01:12:53D'ailleurs, mon copain a déjà dit, aujourd'hui, au Parlement,
01:12:56le député Nitin Bijan, il pose une bonne question
01:13:00par rapport à resurfacing Triangle Road jusqu'à la boutique Perron,
01:13:04et Mlle Zann, à Goodlands, il peut demander quand ça peut se lever.
01:13:08Et la dernière fois, le député Kaviradjopini,
01:13:12il a dit qu'il soulève le chemin Macadam et Triangle Road
01:13:15au niveau de Béjutombo et de Pointe-aux-Piments.
01:13:20Ça a un problème.
01:13:21Bien sûr.
01:13:22Alors, moi, je crois que le gouvernement, pour Bijan,
01:13:24prend ça à cœur et essaie de faire ça.
01:13:27Et puis, Gaspillard, dans les hôpitaux,
01:13:29il y a le ministère de la Santé et le ministère de l'Éducation.
01:13:34C'est le plus gros budget qu'il y a.
01:13:36Il y a un ministère de la Sécurité sociale aussi.
01:13:39Mais quand on veut qu'il y ait un ministère de la Santé,
01:13:41avec ce budget qu'il y a, il peut augmenter d'année en année.
01:13:45Et pendant qu'il va augmenter,
01:13:46il y a beaucoup de patients qui peuvent aller dans le secteur privé.
01:13:49Il y a de plus en plus de patients.
01:13:51Alors, comment on peut expliquer ça ?
01:13:53Il est un peu difficile.
01:13:54Même pour le ministère de l'Éducation,
01:13:57les enfants dans l'école ne diminuent pas plus que la moitié.
01:14:00Et le budget de l'éducation en 2020,
01:14:07c'est à peu près 4 milliards.
01:14:09Aujourd'hui, il est 21 milliards.
01:14:12Cinq fois plus.
01:14:13Et le nombre d'élèves finit par réduire.
01:14:15Alors, comment on peut expliquer ça ?
01:14:17Bizin est capable de faire une évaluation
01:14:22pour voir s'il peut gagner de l'argent pour gagner de l'argent.
01:14:2521 milliards, c'est un gros chiffre, ça, Jimmy.
01:14:28Et alors, pour Bizin, quand même,
01:14:30essayer de voir qui coûte l'argent,
01:14:33puis aller, est-ce qu'il peut se réveiller convenablement,
01:14:35quels résultats il peut donner.
01:14:36Alors là, je crois que c'est très important d'avoir un exercice pareil.
01:14:39Voilà, il y a Ibrahim qui est avec nous.
01:14:42Ibrahim ?
01:14:43Oui, bonsoir.
01:14:44Bon après-midi.
01:14:46Oui.
01:14:50Oui.
01:14:55Oui.
01:15:15Oui.
01:15:32D'accord.
01:15:33Éléments de réponse ?
01:15:34Bon, dis-le aux ceux qui s'inquiètent.
01:15:36Les gens qui s'inquiètent, ils me disent,
01:15:38non, c'est vrai, quand on prépare la police,
01:15:40Bizin est bien, bien strict,
01:15:41pour les spécifications,
01:15:43OTR, GR, etc.,
01:15:45les autres Bizins, c'est une bonne personne.
01:15:49Je crois que c'est une bonne motivation aussi pour la force policière,
01:15:52parce que moi, les policiers qui causent avec moi,
01:15:54souvent, j'ai ma motivation,
01:15:57et je suis parti en vacances.
01:15:58Ça, c'est sûr.
01:16:00Parce que pendant la méritocratie,
01:16:04au niveau de la police,
01:16:06il y a une bonne, comment ça s'appelle,
01:16:09une promotion qui fait comme ça,
01:16:11bric-à-brac,
01:16:13protège, ça en a l'un, protège l'autre,
01:16:15guette couleur politique,
01:16:16tout ça là, c'est des affaires qui sont bien arrêtées.
01:16:18Nous voulons une police qui est capable de les respecter.
01:16:21Et pour que la police soit respectée,
01:16:23c'est bien une police qui est disciplinée,
01:16:26parce qu'on trouve ça, quand il y a des problèmes
01:16:28qu'il y a au niveau de la police,
01:16:30la police qui veut vendre la drogue,
01:16:31qui est impliquée dans la drogue,
01:16:32la police qui s'admet bien à la coca,
01:16:34la police qui veut attaquer les gens,
01:16:37et ne pas faire honneur à la police.
01:16:39Il est démoralisant pour ceux qui travaillent avec la rue.
01:16:44Il est démoralisant.
01:16:45Parce que moi, j'ai un policier qui n'est pas d'accord
01:16:47avec mon collègue, mais je dois m'en occuper.
01:16:50Et c'est la majorité des policiers qui travaillent bien.
01:16:52Alors qu'on est un petit groupe,
01:16:55on perd notre valeur, on perd notre honneur,
01:16:58et c'est grave.
01:17:00Et je crois qu'on a un besoin sérieux
01:17:05pour mettre un ordre.
01:17:06Je suppose qu'avec ce nouveau CP,
01:17:10peut-être qu'ils seront capables de changer les choses un peu,
01:17:14mais bien faire les choses bouger,
01:17:15et ça, nous avons besoin que la population respecte les policiers.
01:17:21Mais il y a une dernière chose que j'ai envie de dire, Jimmy.
01:17:25Nous, dans la police, nous sommes armés.
01:17:28Je sais bien que quand on est dans la police,
01:17:29et qu'il y a des arrêtés, les gens se battent.
01:17:32Ça, pour nous, c'est...
01:17:34Je ne sais pas qui fait, qui ne peut pas faire,
01:17:36mais pour nous, c'est donner les moyens pour défendre nous.
01:17:40Même si nous avons besoin d'une méthode dure,
01:17:44pour nous, nous sommes capables de défendre.
01:17:46Il n'est pas possible qu'une bonne police
01:17:47soit battue comme ça avec le public.
01:17:49Bien sûr, parfois, nous sommes même responsables,
01:17:52mais pour nous, sans cette mentalité-là.
01:17:56Et je vous signale que le Parlement,
01:17:58aujourd'hui, tient un invité d'honneur.
01:18:00C'était la présidence de Jean Todt,
01:18:01un expert en sécurité routière,
01:18:03à l'invitation du Premier ministre au Parlement.
01:18:06Et le Parlement l'applaudit pour sa présence.
01:18:08Et bien sûr, demain, d'après ce que je comprends,
01:18:11il peut être à l'école Raoul Rivette
01:18:12pour une interaction avec les élèves.
01:18:15C'est très bon.
01:18:16Et ensuite, il peut, d'après ce que je comprends,
01:18:19faire une conférence de presse avec le ministre Ousmane Mohamed.
01:18:24Le ministre qui, bien sûr...
01:18:27Le ministre Ousmane Mohamed qui...
01:18:32Qui, comment dire,
01:18:34pour une conférence de presse avec lui, bien sûr.
01:18:37Mais aussi, bien, je donne une deuxième information aussi,
01:18:39c'est que cet après-midi,
01:18:40le Valais de Stéhalogue, Endemic Garden Foundation,
01:18:44repeal bill, finit d'être adopté sans amendement.
01:18:48Donc, ce n'était pas un projet de loi très important.
01:18:51Il y a eu un bon discours, quand même,
01:18:53du ministre de l'Agro-Industrie, Anil Avinboulel,
01:18:57sur toute la question.
01:19:00Et que Jean Todlam, au cours de sa présence,
01:19:02l'important, la sécurité routière, il y a eu un gros problème.
01:19:05Moi aussi, dire que sur le plan économique,
01:19:07Faisal, le premier ministre finit d'être en réponse
01:19:10à une question durant la Prime Minister's Question Time.
01:19:13Un député, tu peux demander,
01:19:15qui peut faire pour contrer la hausse du prix du coût de la vie?
01:19:20Là, ils donnent une panoplie de mesures.
01:19:22Et le premier ministre a plusieurs réponses
01:19:24avec une portée économique,
01:19:27qui n'a pas de mesures importantes
01:19:30qu'il peut prendre dans le budget.
01:19:31Donc, ces mesures importantes-là, qui ne l'ont pas été,
01:19:34c'est une expectation, une raie d'expectations.
01:19:39Beaucoup dans le budget,
01:19:41il n'a pas de mesures pour remettre,
01:19:42d'après ce qu'il dit, l'économie de la raie,
01:19:44parce qu'il est très critique avec l'ancienne gestion.
01:19:47Mais il dit que la roupie finit d'être appréciée
01:19:50de 4,5 % vis-à-vis du dollar américain
01:19:53depuis que le nouveau gouvernement est en place.
01:19:56Déjà, si la roupie finit d'être appréciée,
01:19:58ça peut jouer le prix.
01:20:00C'est une bonne chose pour coûter un peu moins cher.
01:20:03On n'a plus envie de trouver les répercutés.
01:20:05C'est ça le problème.
01:20:07Et qui va mesurer le gouvernement pour adopter,
01:20:09pour assurer que ce 4,5 % qu'il finit d'être apprécié là,
01:20:13ça pourrait répercuter le prix de l'article dans les supermarchés.
01:20:19C'est très important.
01:20:20Et aussi, il y a une question qui va fonctionner très rapidement,
01:20:24parce qu'il y a une grosse attente.
01:20:28Le premier ministre, le docteur Nathan Goulam,
01:20:30nous a dit qu'il y aurait un rapport
01:20:32pour les bureaux de recherche en décembre 2025.
01:20:36Par rapport au contexte économique et à la situation économique,
01:20:39est-ce qu'on pourrait faire face au prochain rapport du PIB ?
01:20:44Le premier ministre m'a expliqué mon défi pour cet exercice-là
01:20:47avec plusieurs interviews, des nombres incalculables.
01:20:50Et déjà, qu'on donne un rapport avec 126 coopératives
01:20:54même si je ne suis pas sûr qu'il y ait autant de coopératives.
01:20:57Il y a plusieurs réunions et interviews
01:20:59dans le cadre de cet exercice à venir.
01:21:02Et il y a une grosse attente.
01:21:05D'ailleurs, le PIB, c'était un enjeu électoral.
01:21:08Oui, bien sûr.
01:21:10Mais avec le problème financier en ce moment,
01:21:15je pense que nous ne pouvons pas faire face à cette demande.
01:21:22Je crois qu'il est très, très difficile.
01:21:26La marge de manœuvre est très réduite.
01:21:29Généralement, le PIB, non seulement il guette le niveau de vie,
01:21:34la qualité de vie des fonctionnaires,
01:21:36mais aussi il amène une autre dimension.
01:21:39Il amène une modernisation aussi de l'outil du service public.
01:21:43Est-ce que vous trouvez ça ou sont-ils capables d'être faits ?
01:21:47S'ils ont les moyens pour satisfaire les demandes des travailleurs,
01:21:52certainement, ils prennent un effet positif sur leur rendement,
01:21:56sur leur façon de produire.
01:22:01Mais mon gros problème, c'est qu'il y a un déficit de finance en ce moment.
01:22:07Jusqu'à quel point je pourrais permettre d'essayer
01:22:15de répondre à l'appel des bons employés, des bons fonctionnaires ?
01:22:20Massivement soutenir le gouvernement durant les dernières élections,
01:22:24c'est clair.
01:22:26Non, mais ça, c'est clair, parce que cette situation-là,
01:22:29qui est vraiment une situation bien, bien catastrophique...
01:22:33Patient en choix.
01:22:34Patient en choix, patient en choix.
01:22:36Et c'est vraiment impossible
01:22:39de soutenir le gouvernement précédent dans cette situation-là.
01:22:45Alors, dernière partie de l'intervention aujourd'hui,
01:22:47c'est que Franco-Cyrien,
01:22:48qu'elle est la montagne de nos bonnes couleuses,
01:22:51je pense que c'est Sundiren, sans doute, qui nous a dit ça,
01:22:58qui fait une cause, l'English Premier League,
01:23:01et Franco-Cyrien au Parlement fait une pleine douaille au Premier ministre
01:23:05pour qu'il y ait un match fort de la Premier Ligue anglaise
01:23:07qui soit diffusé gratuitement par l'MBC.
01:23:09Chaque semaine, comme il était promis, durant la campagne électorale,
01:23:12l'MBC travaille déjà là-haut, d'après ce qu'il nous comprend.
01:23:15Mais déjà, il y a des négociations pour la Coupe du monde 2026,
01:23:20la saison hippie qui est entamée,
01:23:22mais l'MBC peut prendre disposition pour diffuser également
01:23:24les matchs du club.
01:23:26Vous connaissez le football, c'est une culture à Maurice très importante,
01:23:30et moi, je crois que...
01:23:32Moi, j'ai envie de gagner l'opinion de Faisan Djirouba encore.
01:23:35Fink, Maurice, qu'est-ce que vous pensez de cette question
01:23:37d'avoir les matchs au moins forts de l'English Premier League ?
01:23:42Est-ce que c'est la réponse du Premier ministre comme ça a été ?
01:23:44Ben, moi, je crois que le football à Maurice,
01:23:47c'est une forme de distraction.
01:23:50Et c'est pas...
01:23:51Même s'il vous a payé, c'est pas une perte.
01:23:54C'est une perte parce qu'en retour, il permet à Benjamin
01:23:58d'être un peu plus à l'aise, plus en bonne santé, détendu.
01:24:02Et ça, il y a un rôle quand même, un rôle sur la santé des gens
01:24:07qui est absolument important.
01:24:10Alors, il ne faudrait pas nous gâter comme un agent qui ne peut pas gâter.
01:24:12C'est un agent qui pourrait tourner encore toujours
01:24:15de productivité, de bien-être de la population.
01:24:20Mais ce qui me suffit aussi, c'est d'insister.
01:24:23Il ne faudrait pas nous gâter le football, juste la télévision,
01:24:26pour bien promouvoir le football comme un sport dans le pays.
01:24:31Comment un pays, l'Afrique, peut mettre de l'argent là-dedans
01:24:33et peut gagner un résultat ?
01:24:34Exactement. Pas simplement, pas juste pour gagner une bonne ligue.
01:24:40Non, pour permettre aux gens de faire du sport,
01:24:43des activités physiques, pour leur santé.
01:24:48La santé mentale, la santé physique, c'est très, très important.
01:24:51Il n'y a pas que le football, il y a tous les sports.
01:24:55Et ça, c'est une des affaires dont il faut insister
01:24:57dans l'aspect de l'éducation.
01:25:02Il faut que le sport devienne une partie intégrante du curriculum.
01:25:07Parce que le sport développe des enfants,
01:25:10ils deviennent disciplinés, ils suivent les bonnes règles.
01:25:14Parce que tout le sport a ses règles, il faut bien les suivre.
01:25:18Alors, il faut apprendre comment les suivre.
01:25:20Il faut travailler en équipe, c'est un travail important.
01:25:24Pour les cours physiques, il faut les développer.
01:25:28Pour la santé mentale, c'est bon.
01:25:30Alors, il y a un paquet d'affaires qui sont arrivées.
01:25:33C'est bon qu'on cause ces affaires de discipline là, Faisal,
01:25:35parce qu'un des plus grands footballeurs qui est né en Angleterre,
01:25:39je ne sais pas son nom, Steven Gerrard,
01:25:42il a écrit un livre et il a dit dans sa biographie
01:25:45que son premier travail, vous savez c'était quoi ?
01:25:47C'était de nettoyer, je suis un védète footballeur à l'époque,
01:25:51et il a dit que ça fait un très grand service dans la vie.
01:25:55Oui, un petit truc comme ça qui est capable d'avoir un impact terrible
01:26:00sur l'avenir, sur la carrière d'une personne,
01:26:03c'est très, très, très important.
01:26:06Et puis, il y a un délaissement de football à Mauritie,
01:26:08mais encore pour Bizinc, qui n'a pas refait sa vie.
01:26:11D'accord. Merci.
01:26:12Quand on trouve la banque peut faire profit pour un million,
01:26:14nous, incroyables, trouvent l'état dans lequel nos footballs étaient.
01:26:17Merci, Faisal Djeroubakan,
01:26:19pédagogue et observateur politique de FIC Mauritieuse
01:26:21pour l'intervention cet après-midi.
01:26:23Merci aussi à tous nos bons intervenants, en particulier à Kunal Naik
01:26:27et bien sûr à Ram Etoira,
01:26:30le député de la séquence numéro 6 pour votre intervention.
01:26:33On vous retrouve très bientôt sur les chaînes de TORREFLE.
01:26:38Merci aux auditeurs et auditrices aussi.
01:26:40Merci.

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