Le rapport de l’audit 2023-2024 sera au cœur du Zoom Extra ce jeudi 27 mars 2025. Linley Appadoo aura comme invités le Dr Cunden Rengassamy, expert-comptable, Kadress Pillay, ancien ministre, et Yvan Martial, journaliste et observateur politique. Les points saillants du rapport seront discutés, et l'apport du Performance Based Budgeting (PBB) sera également abordé comme solution aux excès relevés par le bureau de l'audit. Rendez-vous donc de 17h30 à 19h00. Vos questions au 213 7777. L’émission sera également diffusée sur notre application TOPFM TV et sur la chaîne 10 du bouquet Parabole Maurice.
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00:00:00Merci à tous les auditeurs et chers internautes qui pérennent sur notre plateforme de réseaux
00:00:29sociaux. Donc bienvenue dans l'émission Zoom Extra ce soir. Concentrez-nous sur le rapport
00:00:35de l'Audit qui fait une rente publique mardi dernier pendant la séance parlementaire. Et
00:00:40avec moi pour nous causer ce sujet-là, on a trois invités. Le premier, c'est le docteur
00:00:46Kundan Rengasamy qui est un expert comptable. Docteur Rengasamy, bonsoir plutôt et bienvenue
00:00:51dans l'émission. Alors mon deuxième invité, c'est un ancien directeur de l'Audit, le premier
00:00:57mauricien à être directeur de l'Audit, c'est Cadre Spillet qui est aussi un ancien ministre.
00:01:01Cadre Spillet, bonsoir et bienvenue. Et bien sûr, nos non-économistes sur le plateau ce soir,
00:01:10Yvan Mauricien, journaliste et observateur politique. Yvan, bonsoir et bienvenue.
00:01:14Bonsoir à tous les auditeurs.
00:01:15Donc qu'est-ce qui nous peut guetter dans ce rapport-là ? S'il nous guette bien, il est dans
00:01:22660 pages. Il est un peu difficile pour nous d'en utiliser les temps qu'il nous est dans,
00:01:26une heure et demie, pour nous capables de guetter tous les points qu'il y a là-dedans. Mais nous
00:01:32pouvons toujours guetter les points saillants de ce rapport-là parce que tous les années,
00:01:35il y a même, en cette période d'année, de rapports sortis. Il y a beaucoup, comme je disais,
00:01:41beaucoup d'encre qui coulait dans ce rapport-là, beaucoup de critiques qui sont faites sur ce
00:01:47rapport, sur la gestion de l'économie, la gestion du budget, etc. Mais il nous pousse à guetter un
00:01:53peu les points saillants de ce rapport-là. Et aussi, il nous propose ce qu'il fait proposer
00:02:00pour le prochain budget, ce qu'il appelle le Performance-Based Budgeting, le PPB. Et donc,
00:02:08comment est-ce qu'il a une solution à l'excès qu'il nous trouvait dans le rapport ? Alors,
00:02:13pour démarrer, je peux peut-être demander à chacun de me donner brièvement, quand vous avez
00:02:20dit ce rapport-là, qu'il a respiré ou en premier, qui au premier regard de ce rapport-là a guetté
00:02:27votre recommandation et votre constat qu'il a fait ? Moi, je peux dire que c'est un déclin de
00:02:40la bonne gouvernance et la redevabilité. Quand on reprend le document, on me dit « Something is
00:02:50wrong in the Kingdom of Denmark ». Comment se peut-il qu'il n'arrive pas à l'État, quand on a
00:02:59des critiques qui sont faites sur ce rapport-là, et nous trouvons qu'il nous pose la question,
00:03:07il nous donne le droit de poser la question, que de gouvernance il n'y a-t-il ? Et d'ailleurs,
00:03:12dans plusieurs places, il dit dans ce rapport-là que c'est « breakdown of governance ». Et c'est
00:03:20l'acte de gouvernance, breakdown of governance. Alors, on me dit comme ça qu'il, pour moi,
00:03:24est très inquiétant qu'il nous donne « representative governance » à Maurice.
00:03:29Ce parlement-là, il représente le peuple. Et le peuple gagne le droit d'avoir une compte.
00:03:37Il nous donne le pouvoir pour décider pour nous. Je lui dis que je gagne le droit,
00:03:46je lui dis que nous pouvons faire ça. Et alors, la réponse qu'il m'a gagnée ? La réponse qu'il
00:03:52m'a gagnée, c'est qu'il m'a dit que mon pouvoir n'a plus aucune valeur. C'est comme ça qu'il m'a
00:04:00dit ça. Alors, il m'a dit qu'aujourd'hui, gouvernance est une fulcrum, et redevabilité,
00:04:06c'est ce qu'en anglais on dit « accountability », il m'a toujours dit qu'aucune démocratie ne
00:04:11peut pas survivre sans accountability. Je me suis pensé qu'il y a des directeurs de l'État qui
00:04:19disent les mêmes affaires, et donc un jour qu'on ne fait que dire là, ils vont ne pas oublier tout.
00:04:24Mais il y en a un. Chaque fois qu'il nous donne une situation pareille, c'est que la démocratie,
00:04:32petit à petit, s'est glissée. Elle ne peut pas se retrouver dans l'acte d'accountability,
00:04:39manque de relevabilité. C'est comme ça que j'ai réagi à la première réaction.
00:04:44Tout à fait. Et je me pose la question, candidat Nassami, ou la même question à vous,
00:04:50quel est le premier regard que vous gagnez quand vous commencez à lire ce rapport?
00:04:53Oui, premier avance, bonsoir tout le monde auditeur. Et moi, bon, rapport l'audite,
00:05:03comme je l'ai respecté, c'est que tous les années, jusqu'à l'indépendance,
00:05:10tous les années, la critique, et aucun gouvernement, il n'y a pas quelque chose de gouvernement,
00:05:16aucun gouvernement ne prend vraiment pas une action nécessaire. C'est ça. Quand on peut
00:05:21causer là, on ne peut pas dire ancien gouvernement, nouveau gouvernement. C'est objectivement,
00:05:26comme un auditeur, moi je suis un auditeur plusieurs années. Et moi, je trouve que,
00:05:30mon rapport d'audite là, comparativement avec mon précédent, excuse-moi, il y a un petit peu de
00:05:38fad, on peut dire, il y a un petit peu de fad. Je ne vais pas dire qu'il n'est pas bon, il est bon, mais je trouve qu'il y a un petit peu de fad.
00:05:43Pourquoi je dis ça? Parce que quand on regarde ce point de critique, ce point de recommandation,
00:05:48etc., en général, il se concentre sur deux aspects. L'aspect où il y a des gaspillages, qui sont bons d'ailleurs,
00:05:56et l'aspect de l'inefficience. Alors, l'inefficience, par exemple, nous n'achetons pas de software,
00:06:02nous n'achetons pas de computer, etc., qui ne nous servent pas. Et la catégorie gaspillage, par exemple,
00:06:12nous n'achetons pas de médicaments, c'est ça, qui ne nous servent pas, pas de vaccins, etc.
00:06:20Un petit peu cette catégorie-là. Mais on ne trouve pas ça, malheureusement. Bon, qu'il n'y ait pas de pénalité, tant mieux.
00:06:26Par exemple, dans le conflit d'intérêts, quand on a un fraud, enfin, on appelle ça un fraud,
00:06:32c'est quelque chose qui n'est pas dans le nom, c'est un mal-don, qu'on ne peut pas ravir, etc.
00:06:40Mais il n'y a pas de pénalité, tant mieux, comme on dit. Mais je ne crois pas, d'après moi, qu'il y ait un conflit d'intérêts.
00:06:46Par exemple, nous ne connaissons pas un conflit d'intérêts. Bon, il n'y a pas d'insight, nous ne le connaissons pas maintenant.
00:06:50Mais avant tout, nous connaissons un petit peu, par exemple, le conflit d'intérêts, le SLD.
00:06:58Alors, je ne trouve pas qu'il n'y ait aussi ce genre de langue-là, malheureusement. Bon, s'il y a une pénalité, tant mieux, comme on dit.
00:07:07Mais je suis un petit peu sceptique de ça.
00:07:09Très bien. Il nous faut souvenir aussi que le directeur de l'audit dit qu'il n'a pas accès à toutes les informations qu'il nous demande.
00:07:15Il nous a dit dans son rapport, clairement, qu'il nous a dit qu'il y a certaines informations qu'il n'a pas fini de gagner.
00:07:20Mais ça, c'est une... il a continué depuis plusieurs rapports qu'il nous a dit ça.
00:07:24Il m'a mentionné où, comme moi, nous n'avons pas d'experts dans le domaine de l'économie ou de la comptabilité.
00:07:31Où, quand on commence à avoir des commentaires et que le directeur de l'audit commence à faire, quels sont les sentiments auxquels on peut dire ça ?
00:07:42Ça, le rapport de l'audit, là, il est arrivé à un moment exceptionnel.
00:07:48En ce sens que, si on revient deux ou trois années en arrière, c'est un gouvernement qui tient en place, qui reçoit un rapport de l'audit accablant.
00:07:59Et accablant pour ce gouvernement-là.
00:08:02Donc, ce gouvernement-là, il cachette, il fait comme s'il n'y avait pas une tente, il n'y a pas une tente de rien, etc.
00:08:10Ce coup-là, c'est différent complètement.
00:08:14Un nouveau gouvernement.
00:08:15En ce sens que, le gouvernement en place travaille sans même aime.
00:08:19Ils ont gagné... ils ont donné un bâton, un gourdin, pour grâcer l'ancien gouvernement MSM.
00:08:29Seulement, nous ne savons pas s'ils ont servi ce gourdin-là.
00:08:36S'ils ont servi le bon, parce qu'ils ont pu mettre l'accent sur les défaillances qu'ils finissent de tolérer pendant trop longtemps.
00:08:45Mais la manière dont ils ont servi ce gourdin-là, ça pourrait se rendre compte dans les prochaines années.
00:08:51Donc, il faut faire bien attention.
00:08:53Et, nos populations ne sont pas trop contentes avec un gouvernement dominaire.
00:08:59Si trop batté, Benjamin vous commence à dire chasse aux sorcières, dominaire, tout ça pour...
00:09:07Donc, vous devez faire ça avec beaucoup de délicatesse.
00:09:10Seulement, la vérité, c'est que la population n'est plus capable de renseigner sa rapport de l'audit.
00:09:17Non pas à cause de la qualité comptable de l'exercice.
00:09:22Ça, c'est hors de cause.
00:09:24Mais, vous n'êtes pas capable, pratiquement depuis l'indépendance, enfin, sauf...
00:09:31Je ne peux pas vous dire ça, vous cadresse-pilé.
00:09:34Parce qu'en tant que journaliste, je me connais qui cadresse-pilé quand il s'est directé à l'audit.
00:09:39Tout le monde s'y peut aller.
00:09:41Il y a eu l'événement Pâques et Lièvres, qui fait ben du monde qu'il y a un cauchemar.
00:09:46Mais, disons, depuis 30 ans, sa rapport de l'audit, là, pour moi, c'est une boule d'oeuf édentée.
00:09:55Ou bien une musulière.
00:09:59Il fait ce rapport, 400, 500, 600 pages, la prochaine fois pour 1000 pages.
00:10:06Puis, il y a plus de groupes, moins de causes-lors.
00:10:09Je ne sais pas s'il pourrait y avoir un débat dans le Parlement, pour permettre aux députés,
00:10:13surtout aux backbenchers, de donner leur opinion, là.
00:10:18Je ne crois pas que c'est dans l'agenda.
00:10:21Ce timing, il nous met un peu en cause, entre discours-programme avec budget.
00:10:29Budget, là, en avril, préparation pour commencer.
00:10:34Donc, il est un peu coincé.
00:10:35Est-ce qu'il y a une bonne époque dans l'année?
00:10:38Pour présenter sa rapport de l'audit, là, ça, je ne m'occupe pas de dire.
00:10:42Mais, enfin, l'expérience du passé montrait que le rapport de l'audit publié,
00:10:50la Gazette fait un bel, bel article, jolis titres, etc.
00:10:55Mais, 15 jours, 3 semaines après, tout le monde l'a oublié.
00:10:58On fait comme si le rapport de l'audit, là, n'existait pas.
00:11:01Aujourd'hui, il me permet de défier un Mauritien,
00:11:04qui n'a pas eu de rapport de l'audit les années précédentes.
00:11:07Tout ça qui est fin d'hier, je peux répéter les mêmes affaires.
00:11:11Donc, là, tout ce que la population est capable de faire, c'est attendre.
00:11:17Qui est ce gouvernement-là pour faire ce rapport de l'audit, là?
00:11:20Et, moi, enfin, qu'adresse cela devant moi, il est intéressant,
00:11:26il me pose la question, si le directeur de l'audit est capable de lui-même,
00:11:34tenant un pouvoir constitutionnel,
00:11:37pour soumettre, soit au DPP, soit à la Crime Financial Commission,
00:11:45dans quelques cas.
00:11:48— Et l'entêtement qui finit sous le bébé, dans tout cas.
00:11:50— Peu importe, tout, parce qu'il peut y avoir une inondation.
00:11:54Mais, dans certains cas, simplement pour montrer la population,
00:12:01la fonction publique, un peu tout du monde qui, quand même,
00:12:04doit faire attention quand on gère l'ordre public.
00:12:08— Parce que l'impression que la population a, c'est que,
00:12:12malgré ce qu'elle a, elle peut le faire en toute impunité.
00:12:16Personne n'a besoin d'une réponse.
00:12:18Et donc, rien, vraiment, ne change.
00:12:21— Ce n'est pas possible qu'il y ait autant de scandales
00:12:23et qu'il n'y ait pas de responsables.
00:12:25Ce n'est pas possible, ça.
00:12:26— Très bien.
00:12:27Alors, Outhipédiat, elle est là.
00:12:29Quelle sera la réaction du gouvernement ?
00:12:32Il y a quelques minutes, le premier ministre
00:12:35trouvait dans la circonscription n°5,
00:12:37que, justement, il peut faire une site-visite,
00:12:40il y a un stade là-bas.
00:12:42Et là, il posait la question, quelle est votre réaction ?
00:12:44Il nous dit un mot, cette réaction.
00:12:48C'est un massacre.
00:12:50Voilà ce qu'il nous dit pour le rapport de l'audit,
00:12:52le contenu de rapport de l'audit.
00:12:54C'est un massacre.
00:12:54Donc, on va attendre un petit peu après pour connaître
00:12:58qui fait l'épidémiothèque et comment...
00:12:59— Oui, mais c'est un premier ministre.
00:13:00— Tout à fait.
00:13:01— Il connaît c'est un massacre.
00:13:02Mais qui l'est pour faire ?
00:13:03— Exactement.
00:13:04— C'est ça qui nous intéresse, nous.
00:13:06— Alors, il y a des chiffres qui sont aussi dans l'audit
00:13:11qui nous disent, quelque part,
00:13:14ce que nous étions économiquement dans nos pays.
00:13:16Un des chiffres qui nous tout le temps était,
00:13:18c'est la dette publique, la dette du secteur public.
00:13:22Et nous apprenons que la dette du secteur public
00:13:25fut augmentée par 164,3 milliards de roupies en 5 ans,
00:13:29soit 43% d'augmentation.
00:13:31Est-ce que ça...
00:13:34Donc, pour vous, cadres pilés, il y a une signification ?
00:13:38Après, vous me posez la même question, bien sûr, à Kennedy,
00:13:40mais quand vous disiez que la dette du secteur public
00:13:43en 5 ans fut augmentée par 43%,
00:13:45est-ce qu'il y a eu de l'influence, justement,
00:13:48de la situation économique au réseau ?
00:13:50— Certainement, certainement.
00:13:52Mais moi, ce qui m'inquiète beaucoup plus,
00:13:55c'est qu'ils prennent l'hypothèque de la dette de nos enfants.
00:14:01Nous, nous permissons qu'à cela.
00:14:04Qu'à cela, nous pouvons nous permisser en termes de dette.
00:14:07Et l'avenir, c'est nos enfants qui deviennent payés.
00:14:11Est-ce qu'ils me considèrent malhonnête ?
00:14:16Certainement, mais immoral, immoral.
00:14:20Et quand nous prenons l'argent prêté,
00:14:25il y a une relation avec l'économie.
00:14:28Ça dépend de quelle manière nous dépensons,
00:14:30ou de qui nous dépensons.
00:14:34Mais si nous prenons ça, et nous ne faisons qu'à cela,
00:14:39nous ne pensons pas à des millions,
00:14:41si on s'en va comprimer la COVID qui tire,
00:14:44et qu'il y a des millions qui sont dépensés,
00:14:51et comme ça, il n'y en a pas quelqu'un dedans.
00:14:53Et si nous prenons ce rapport-là,
00:14:56nous comptabilisons la quantité de casse qui vient de se jeter là-dedans,
00:15:00mais qui veut dire que,
00:15:02comment nous l'équilibrons maintenant que nous ne pouvons pas en prêter là,
00:15:05pour avoir un impact sur l'économie ?
00:15:08Nous prenons, par exemple, Métro-Léger.
00:15:11Nous prenons 15 millions à peu près,
00:15:15on dépense à peu près 15 millions à peu près.
00:15:19On peut faire des pertes de millions aujourd'hui.
00:15:23Quand le planning est arrivé,
00:15:25je me pose la question,
00:15:27OK, nous avons vu Métro-Léger rendre beaucoup de services,
00:15:35mais seulement la manière dont ils ont mis en œuvre la mise en œuvre,
00:15:41ils l'ont fait d'une façon très amateur.
00:15:44Aujourd'hui, il n'y a pas besoin d'être là pour obtenir de l'argent.
00:15:48Alors, certainement que la façon publique d'être et de dépenser aujourd'hui,
00:15:54c'est simplement immoral,
00:15:55et nous pouvons mettre une hypothèque là,
00:15:57peut-être que nos enfants, c'est comme ça qu'ils vont obtenir ça.
00:15:59Et du point de vue économique,
00:16:01non, on ne voit pas trop grand l'impact sur l'économie,
00:16:04absolument pas,
00:16:05parce qu'ils leur donnent la fin,
00:16:07puis ils gâchent le billet.
00:16:08Alors, je me rappelle, nous avons un auditeur qui, à partir de 6h, 6h15,
00:16:12nous serons capables de prendre votre appel sur le 213 77 77,
00:16:15peut-être qu'ils seront capables de commenter aussi ce rapport de l'audite.
00:16:19Et bon, maintenant, je me tourne vers Kendon Arangasamy,
00:16:23qui est un expert comptable,
00:16:24quand nous pouvons dire que la dette publique,
00:16:27en juin 2024, c'est 546,5 milliards d'euros,
00:16:32et qu'il nous fait une tonne ce matin même,
00:16:33un ministre qui nous dit qu'il en arrive à 600 milliards d'euros.
00:16:36Pour nous, la population, il veut dire quoi exactement ?
00:16:39Oui.
00:16:41Bon, dette, nous devons prendre, bon,
00:16:46premièrement, nous pouvons dire,
00:16:49il y a plein de raisons seulement,
00:16:51mais seulement tous les pays dans le monde en dette actuellement,
00:16:54qu'ils soient l'Amérique, qu'ils soient l'Angleterre,
00:16:59la France, pire encore.
00:17:01À différents niveaux, bien sûr.
00:17:02Différents niveaux, bien sûr.
00:17:04Et s'il y a un mauvais résultat là,
00:17:09suite à, nous l'avons déjà dit aussi,
00:17:11il y a la Covid, etc., etc.
00:17:13Et nous mourir, en dettement là,
00:17:18nous devons être, comment dire,
00:17:20quand nous avons un budget déficit,
00:17:23ou soit une dette, ça veut dire une dépense,
00:17:25nous dépenser, quand nous avons une dépense,
00:17:27c'est ce qu'il nous faut faire.
00:17:28Alors, si nous dépensons,
00:17:30autant qu'il me connaît dans les chiffres,
00:17:32c'est qu'il y a un gouvernement,
00:17:34il dépense beaucoup sur la construction de la maison,
00:17:37la résidence, on va peut-être l'oublier.
00:17:41Alors, il y a beaucoup de casinos là-dedans aussi,
00:17:43et beaucoup de gaspillage aussi, OK?
00:17:45Alors, il y a beaucoup d'allowances pour la Covid.
00:17:48Il continue, même après la Covid-19,
00:17:49même avec l'allowance qui n'est pas très bien.
00:17:53Alors, c'est-à-dire qu'il ne nous reste plus qu'une cause,
00:17:56et puis, bien sûr,
00:17:57il ne nous reste plus qu'une personne dans le monde,
00:17:59même un individu pour qu'on travaille en DT.
00:18:02Nous devons baisser la dette, bien sûr,
00:18:03ça, nous devons faire un nouveau management.
00:18:05Nous devons, même après la Covid,
00:18:06nous devons avoir le challenge,
00:18:09mais nous devons prendre l'action pour diminuer la dette.
00:18:12Mais quand même, il y a à peu près 80% du PIB,
00:18:19et nous ne devons pas être alarmés.
00:18:23Compte tenu de la situation qui nous passait,
00:18:27il n'y a pas d'alarming, ce n'est pas gratuit.
00:18:30Sinon, l'IMF, c'est pour finir,
00:18:33pour prendre un donnement négatif à l'extrême.
00:18:36On ne peut pas dire qu'il n'y a pas de données négatives,
00:18:37ni de donnements de recommandations,
00:18:40mais quand même, il ne nous reste pas trop,
00:18:42comment dire, à l'extrême,
00:18:43faire toujours une paire, OK?
00:18:45Mais nous devons, bien sûr,
00:18:46prendre une action, une mesure pour le diminuer.
00:18:48Vous pourriez venir, dans un petit moment,
00:18:50peut-être me laisser, Yvan Martial,
00:18:52comment, justement,
00:18:53sa dette publique-là,
00:18:56qui, d'après les chiffres qui sont publiés,
00:19:00il y a 600 milliards d'euros de PIB,
00:19:03qui diffère à peu près à 500 000 euros de PIB
00:19:07pour chaque tête d'habitant.
00:19:09Quand nous, la population nous regarde ça,
00:19:11il y a un alarmement pour nous,
00:19:12parce que ces bonnes chiffres qu'ils amènent,
00:19:14nous, nous ne sommes pas capables
00:19:16de comprendre dans le sens qui nous donne l'impression
00:19:18qu'on a besoin de payer ça nous-mêmes demain.
00:19:20Ou quand on trouve un chiffre comme ça,
00:19:24qu'est-ce qui vient vraiment de l'avant
00:19:26quand on voit ça dans les histoires?
00:19:30M. Martial, quand on fait une comparaison
00:19:31entre secteur public et secteur privé,
00:19:35dans le secteur public,
00:19:36moi, j'ai l'impression, moi,
00:19:37qu'il n'y a pas de gouvernement,
00:19:39surtout l'ancien gouvernement,
00:19:41ils finissent en dépensant bruit.
00:19:45Quand ils en manquent,
00:19:46ils finissent en ajoutant la dette, hein?
00:19:50Sans aucun planning, hein?
00:19:52Ça, c'est surtout ça.
00:19:53Métro-Express, c'est un cas typique, hein?
00:19:57Autant de dépenses
00:19:58sans qu'on lève tout l'inconvénient
00:20:01qui nous fait déshabiller,
00:20:03qui nous fait gagner gros gros l'inconvénient,
00:20:05pour ne pas connaître qu'il y a des commerçants
00:20:07sur la route de 15 ans
00:20:09pour réagir, hein?
00:20:11Perdus, c'est fini.
00:20:13Ils cancellent pratiquement leur business, ça, hein?
00:20:18C'est une crise financière, ça, à Côte d'Ivoire, hein?
00:20:21On va connaître si demain,
00:20:22il y a une réclamation,
00:20:23combien ça peut coûter.
00:20:26Dans le secteur privé,
00:20:29si on ne peut pas faire l'investissement,
00:20:31l'endettement,
00:20:33avec un souci de plus de l'argent,
00:20:36pour, d'abord, pour rembourser sa dette, là,
00:20:38et pour augmenter dans le revenu,
00:20:40on va mourir.
00:20:42Mais dans le secteur public,
00:20:44pénalisation, je dis tout ça,
00:20:45ça crainte, là.
00:20:47T'attraques un contribuable pour payer.
00:20:50Et mourir, là, on dirait comme une vache à lait, ça.
00:20:54Les lèvres rosses,
00:20:55ils trouvent l'argent, ça.
00:20:57C'est...
00:20:59Aucun problème, il arrive Covid,
00:21:02besoin de telles affaires,
00:21:03et mourir, là.
00:21:05Faire une espèce de budget minimum brut.
00:21:09Toutes les entreprises peuvent arracher leur CV,
00:21:13hein?
00:21:15Et non, elles mourraient pour donner, ça.
00:21:17Quatorzième mois,
00:21:18quinzième mois, pas de problème,
00:21:20elles mourraient pour donner.
00:21:21Mais jusqu'à quand, ça, elles mourraient, là,
00:21:23vous capables de...
00:21:24Je sais pas si ça, ça, elles mourraient, là.
00:21:26Ils tirent dans nos postes, ça.
00:21:28Ça, les Mauriciens peuvent
00:21:29travailler pour comprendre, ça.
00:21:31Quand je dis gouvernement pour donner,
00:21:33je ne comprends pas qui...
00:21:35Le gouvernement prend l'argent dans notre poste,
00:21:37et donne ça.
00:21:38Ça, je ne suis pas capable de comprendre.
00:21:40Mais ça, c'est le grand problème,
00:21:42enfin, on ne peut pas connaître.
00:21:44Un jour, la population pourrait venir,
00:21:46mais là, on ne peut pas connaître
00:21:47qu'il y a des massacres qui pourraient arriver.
00:21:50Très bien, quand on pourrait venir voir,
00:21:52comment on peut dire,
00:21:53c'est-à-dire qu'on dirait que,
00:21:54ben, voilà, la dette publique,
00:21:55tous les pays endettés,
00:21:57mais on ne peut pas causer
00:21:58une grande économie,
00:21:59comme en Amérique, la Chine,
00:22:01la France, l'Angleterre,
00:22:03l'Europe en général.
00:22:04Les Mauriciens, ce pays,
00:22:07il y en a, il y a des limitations
00:22:09de capables de payer
00:22:10les dettes qu'il y a.
00:22:12On peut dire que 80% du PIB
00:22:14représente la dette.
00:22:16Mais comment est-ce qu'on peut
00:22:17payer cette dette-là?
00:22:19Bien sûr.
00:22:20Et oui, justement,
00:22:22les affaires dans la dette,
00:22:24vous avez fait très attention.
00:22:25C'est que, bon, relativement,
00:22:27on peut dire que c'est bon,
00:22:28ce n'est pas mauvais.
00:22:29C'est qu'on peut avoir
00:22:30beaucoup de dette étrangère.
00:22:31On peut avoir beaucoup de dette
00:22:34qui nous doit l'étranger.
00:22:35Si on nous doit l'étranger,
00:22:38pourquoi, enfin,
00:22:39on peut avoir le chiffre exact,
00:22:40mais il est bien peu relativement
00:22:42avec la dette domestique.
00:22:44Alors, ça, il y a beaucoup d'affaires.
00:22:46Alors, bien sûr, il peut augmenter.
00:22:48La dette étrangère peut augmenter.
00:22:50Dernièrement, elle commence à augmenter.
00:22:52C'est une mauvaise érable.
00:22:53Alors, si on a beaucoup de dette étrangère,
00:22:55comment serait-ce qu'il y en a encore?
00:22:55Là, c'est très inquiétant.
00:23:00Comment serait-ce qu'il y en a encore à l'époque?
00:23:01Alors, le fait qu'il y ait
00:23:02la dette domestique,
00:23:03c'est toujours pas...
00:23:05c'est manageable, comment dire?
00:23:07Alors, il y a quelque chose
00:23:08que comment on peut faire
00:23:11Mais nous devons essayer,
00:23:12nous devons produire.
00:23:14Nous devons produire la richesse.
00:23:16Quand nous, la richesse nous a augmenté
00:23:19et nous gagne plus beaucoup de revenus.
00:23:23Après, quand le gouvernement
00:23:24gagne plus beaucoup de revenus,
00:23:25quand le BPI gagne plus beaucoup de revenus,
00:23:26le gouvernement gagne plus beaucoup
00:23:28de revenus du chiffre
00:23:29en forme de la taxe, etc.
00:23:31Là, on est capable,
00:23:31on est capable de payer la dette.
00:23:33OK, nous finons,
00:23:35peut-être, moi,
00:23:36toi, moi, avec la respiration,
00:23:37nous finons trouvé
00:23:39au courant des, peut-être,
00:23:40huit, neuf dernières années,
00:23:42nos productions manufacturières,
00:23:44les fines baissées
00:23:46et par un chiffre assez conséquent,
00:23:49presque 50% depuis 2015.
00:23:52Et donc, le peuple produit aujourd'hui
00:23:53sa quantité qu'il a déjà...
00:23:54Non, nous n'avons pas une référence.
00:23:59C'est le produit national brut.
00:24:04Et les logiques,
00:24:06c'est sa capacité qu'il a
00:24:09par rapport aux productions.
00:24:11Nous, il produit PNB,
00:24:16PNB du moins,
00:24:18mais sous...
00:24:22Qu'est-ce qu'il propriétait,
00:24:23il faisait par rapport à ça.
00:24:26Niveau de revenus
00:24:29qu'il gagnait en partant du produit.
00:24:31C'est pareil,
00:24:31comment on voit la banque,
00:24:32on prend un loan,
00:24:33une propriété,
00:24:34comment on peut gagner...
00:24:34C'est une référence internationale.
00:24:36Comment est-ce qu'on peut gagner?
00:24:38Malheureusement, nous nous défonçons
00:24:41littéralement.
00:24:43Je suis tout à fait d'accord
00:24:44qu'il y a une différence
00:24:47entre être interne, local
00:24:50et être extérieur.
00:24:52C'est un élément
00:24:53foreign exchange
00:24:54qui est là-dedans
00:24:55et qui travaille contre nous.
00:24:57Mais, d'être est d'être.
00:24:59Répayé, bien répayé.
00:25:02Ils vont nous faire ressortir
00:25:03dans le privé.
00:25:04Dans le privé,
00:25:06on calcule avant,
00:25:08après, on prend propriété.
00:25:12Vous ne comprenez pas?
00:25:13Ici, nous prenons propriété,
00:25:14après, nous défonçons.
00:25:16Après, nous gaspillons.
00:25:18Oui, c'est ça.
00:25:19Et nous gaspillons en même temps.
00:25:20Alors, le drame aujourd'hui,
00:25:22c'est que moi,
00:25:23je me considère
00:25:24que le système
00:25:25de contrôles financiers publics
00:25:27est littéralement
00:25:29une fêle.
00:25:31Et certainement,
00:25:33pour l'avenir,
00:25:34il augure
00:25:35beaucoup de bons
00:25:36pour l'avenir.
00:25:38Et il y a un gros travail
00:25:40de ce pauvre gouvernement
00:25:42qui ne t'écoute.
00:25:44Pourquoi pas quelques
00:25:45déclarations
00:25:46que vont faire la presse
00:25:47qui vont dire
00:25:48que ce gouvernement
00:25:49n'a pas pu réaliser
00:25:50qu'il allait se casser.
00:25:53Oui, nous riez,
00:25:54mais quelque part,
00:25:55il y a une grande réalité
00:25:56aussi, quelque part.
00:25:57Mais, si on me prend,
00:25:58il y a des affaires
00:25:59qui nous peuvent
00:26:00assez souligner,
00:26:01c'est que nous,
00:26:02l'économie,
00:26:03c'est quand même
00:26:04une économie
00:26:05assez fragile,
00:26:06un peu artificielle.
00:26:07Nous dépendons
00:26:08beaucoup de l'extérieur
00:26:09pour gagner
00:26:10ça, la monnaie, là.
00:26:11Aujourd'hui,
00:26:12l'IMA, c'est bien,
00:26:13mais demain,
00:26:14nous ne pouvons pas
00:26:15connaître.
00:26:16Parce que si le reste
00:26:17du monde
00:26:18fleurit
00:26:19en progrès,
00:26:20nous pourrons
00:26:21progresser.
00:26:22Mais si,
00:26:23nous n'avons pas
00:26:24de signes déjà
00:26:25que la situation
00:26:26peut devenir
00:26:27difficile,
00:26:28là, on remarque
00:26:29qu'en janvier,
00:26:30février,
00:26:31les touristes
00:26:32diminuent.
00:26:33Et mars aussi,
00:26:34jusqu'au 15 mars.
00:26:35C'est un signal, ça.
00:26:36Un indicateur
00:26:37qui, les beaux jours,
00:26:38peut-être,
00:26:39ne vont pas durer éternellement.
00:26:40C'est peut-être pas aussi
00:26:41parce que...
00:26:42Dans tous nos calculs,
00:26:43c'est comme si,
00:26:44tout à l'heure,
00:26:45qu'à Drestin,
00:26:46on prend l'exemple
00:26:47de la banque.
00:26:48La banque,
00:26:49pour gagner,
00:26:50coûte le travail.
00:26:51Combien elle gagne?
00:26:52Combien elle gagne,
00:26:53mais coûte le travail.
00:26:54Elle est capable
00:26:55de gagner un paquet
00:26:56d'argent.
00:26:57Elle est prise un peu
00:26:58dans le doute.
00:26:59La banque va prendre
00:27:00plus des ventes.
00:27:01Absolument.
00:27:02Et on connaît
00:27:03qu'à un moment donné,
00:27:04la banque
00:27:05pourrait être
00:27:06une règle bien claire
00:27:07de 40 %
00:27:08de ses employés
00:27:09qui sont capables
00:27:10du maximum
00:27:11qu'ils peuvent.
00:27:12Oui.
00:27:13Et on ne peut pas
00:27:14oublier
00:27:15que l'économie
00:27:16est une économie
00:27:17de conservation.
00:27:18Absolument.
00:27:19Il y a
00:27:20trois petits bouts
00:27:21que le directeur
00:27:22de l'audit indien
00:27:23dit.
00:27:24L'indien,
00:27:25c'est ce qu'il dit
00:27:26dans un rapport précédent
00:27:27identifié.
00:27:28Trois petits bouts
00:27:29bien importants
00:27:30dans l'économie mauricienne,
00:27:31dans la gestion
00:27:32de l'argent.
00:27:33Il dit comme ça.
00:27:34« Weaknesses
00:27:35in expenditure control,
00:27:36deficiencies in asset
00:27:37and project management,
00:27:38and non-compliance
00:27:39with applicable laws. »
00:27:40C'est un troisième
00:27:41item-là.
00:27:42Il fait un pire
00:27:43parce qu'il ne peut dire
00:27:44qu'il ne peut pas
00:27:45faire d'après
00:27:46ce qu'il a le droit
00:27:47de dire.
00:27:48C'est-à-dire
00:27:49qu'il ne peut pas
00:27:50faire d'après
00:27:51ce qu'il a le droit
00:27:52de dire.
00:27:53C'est-à-dire
00:27:54qu'il ne peut pas
00:27:55faire d'après
00:27:56ce qu'il a le droit
00:27:57de dire.
00:27:58Ça veut dire
00:27:59« Brutal governance »
00:28:00si on ne peut pas
00:28:01appliquer la loi
00:28:02pour voyaiter.
00:28:03Parce que
00:28:04quand on parle
00:28:05de « governance »
00:28:06on veut parler
00:28:07de « compliance »
00:28:08on parle de
00:28:09« prudence »
00:28:10si on ne peut pas
00:28:11dire ça.
00:28:12En d'autres mots
00:28:13on ne peut pas dire
00:28:14« governance »
00:28:15si on ne veut pas
00:28:16le dire.
00:28:17Parce que la loi
00:28:18ne peut pas être
00:28:19respectée,
00:28:20ne peut pas être
00:28:21appliquée.
00:28:22Bon, on peut
00:28:23pas dire
00:28:24« governance »
00:28:25si on ne peut pas
00:28:26l'appliquer.
00:28:27C'est-à-dire qu'on
00:28:28ne peut pas
00:28:29appliquer la loi
00:28:30si on ne peut pas
00:28:31le dire.
00:28:32C'est-à-dire qu'on
00:28:33ne peut pas
00:28:34appliquer la loi
00:28:35si on ne peut pas
00:28:36l'appliquer.
00:28:37C'est-à-dire qu'on
00:28:38ne peut pas
00:28:39appliquer la loi
00:28:40si on ne peut pas
00:28:41l'appliquer.
00:28:42C'est-à-dire qu'on
00:28:43ne peut pas
00:28:44appliquer la loi
00:28:45si on ne peut pas
00:28:46l'appliquer.
00:28:47C'est-à-dire qu'on
00:28:48ne peut pas
00:28:49appliquer la loi
00:28:50si on ne peut pas
00:28:51l'appliquer.
00:28:52C'est-à-dire qu'on
00:28:53ne peut pas
00:28:54appliquer la loi
00:28:55si on ne peut pas
00:28:56l'appliquer.
00:28:57C'est-à-dire qu'on
00:28:58ne peut pas
00:28:59appliquer la loi
00:29:00si on ne peut pas
00:29:01l'appliquer.
00:29:02C'est-à-dire qu'on
00:29:03ne peut pas
00:29:04appliquer la loi
00:29:05si on ne peut pas
00:29:06l'appliquer.
00:29:07C'est-à-dire qu'on
00:29:08ne peut pas
00:29:09appliquer la loi
00:29:10si on ne peut pas
00:29:11l'appliquer.
00:29:12C'est-à-dire qu'on
00:29:13ne peut pas
00:29:14appliquer la loi
00:29:15si on ne peut pas
00:29:16l'appliquer.
00:29:17C'est-à-dire qu'on
00:29:18ne peut pas
00:29:19appliquer la loi
00:29:20si on ne peut pas
00:29:21l'appliquer.
00:29:22C'est-à-dire qu'on
00:29:23ne peut pas
00:29:24appliquer la loi
00:29:25si on ne peut pas
00:29:26l'appliquer.
00:29:27C'est-à-dire qu'on
00:29:28ne peut pas
00:29:29appliquer la loi
00:29:30si on ne peut pas
00:29:31l'appliquer.
00:29:32C'est-à-dire qu'on
00:29:33ne peut pas
00:29:34appliquer la loi
00:29:35si on ne peut pas
00:29:36l'appliquer.
00:29:37C'est-à-dire qu'on
00:29:38ne peut pas
00:29:39appliquer la loi
00:29:40si on ne peut pas
00:29:41l'appliquer.
00:29:42C'est-à-dire qu'on
00:29:43ne peut pas
00:29:44appliquer la loi
00:29:45si on ne peut pas
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00:33:31De retour dans l'émission, juste avant, le directeur de l'audit me dit qu'il y a une non-compliance avec les lois.
00:33:44Quand la loi n'est pas respectée, il y a une insanction.
00:33:49Oui, définitivement, au contraire, il y a une occasion à l'audit, formellement, même si eux, l'audit n'a pas ce pouvoir-là dans la loi,
00:34:01mais les carrières advisent le gouvernement ou écrivent au gouvernement pour dire, voilà, c'est un cas spécifique là,
00:34:07« find ways and means to refer it to the attorney general » et les attorneys générales avec des pipis,
00:34:15mais il n'y a pas de solution, peut-être qu'il y a une autre cause-là,
00:34:20et il n'y a pas de travail chez ce gouvernement-là, c'est-à-dire le « mean business »,
00:34:24et il y a une institution qui commette du boulot pour qu'à part, parce qu'Yvan avait dit, avec raison,
00:34:31qui, dans 15 jours, fait un billet livré, mais il y a un système qui commette du boulot pour pas oublier.
00:34:39Mais est-ce qu'il y a d'autres politiques qui mettent ce système-là?
00:34:43Parce que, comment dire, il y a de la paix parmi les politiciens, c'est qu'ils mettent un système où le peuple du monde rentre là-dedans.
00:34:50On ne voit pas, on peut faire rendre un détail.
00:34:54Justement, mon réponse à sa pointe, c'est qu'elle est venue l'année passée, l'année retournée,
00:35:05sa particulierité, c'est-à-dire que maintenant, la loi n'est pas plus respectée, les rétiers, les rétiers.
00:35:12Et jusqu'à aujourd'hui, on ne peut pas croire qu'il y ait la haine du monde qui finit inquiété
00:35:16par rapport à sa gestion de sa partie de son budget-là.
00:35:21Mais il n'est pas donné un message bien clair, quelque part, qui est d'impunité.
00:35:27Ce qu'il ne peut pas toujours comprendre, c'est que depuis l'indépendance,
00:35:33dans le gouvernement, successifs, pas un plus qu'un autre,
00:35:38chacun a un peu de pouvoir qui, autrefois, était entre les mains de certains chefs de départements,
00:35:47d'administralités, qui tiennent une certaine autonomie.
00:35:54Le gouvernement, sans cesse, il prend ça.
00:35:57Et pour ne pas dire premier ministre, finalement, c'est devenu quelque chose de tellement gros
00:36:03qu'il n'est pas gagné le temps de faire tout. Il fait ce qu'il est capable.
00:36:08Et il n'est pas quelque chose qui arrive à un certain moment où l'impunité règne.
00:36:16Un fonctionnaire, il se dit, on va faire ça qui m'a l'air.
00:36:20Il n'y a pas d'arrivée.
00:36:21Il n'y a pas d'arrivée.
00:36:23Même s'il met des affaires devant le DPP, devant le Financial Crime Commission,
00:36:29le temps qu'il a pour prendre, il a le droit de procès qui dure plus de dix ans.
00:36:35Tout est bloqué, tout est paralysé.
00:36:38Vous me trouvez là récemment.
00:36:40La population a besoin d'une sanction rapide.
00:36:42Absolument.
00:36:43Si nous voulons que ça se sanctionne, il y a un effet pédagogique.
00:36:46Il y a besoin de ce qui est rapide.
00:36:48C'est comme si on polluait ou payait.
00:36:52Oui, c'est tout de suite.
00:36:53Mais c'est dix ans après.
00:36:55Mais qui sait, il n'y en a qui peut imaginer.
00:36:57Il y en a qui ne peuvent pas imaginer.
00:36:58Un autre aspect de cette question-là.
00:37:01Je me pose une question.
00:37:03Aujourd'hui, au échelon du service civil,
00:37:08qui veut dire ceux qui ont des exécutifs responsables.
00:37:12Des décideurs.
00:37:13Des décideurs.
00:37:15Comment est-ce qu'on est capable de dire qu'on est indépendant de la classe politique ?
00:37:21Comment est-ce qu'on est capable de dire qu'on commence journaliste en 1975 ?
00:37:26Et pas avec n'importe qui de journaliste.
00:37:28Ben, ceux-là ne viennent pas d'eux.
00:37:30Jean-Claude Delestreppe.
00:37:32Si Margaux.
00:37:33Vous savez qui c'est qui travaille.
00:37:35Vous avez encore plus l'importance de secrétaire permanent qu'un ministre.
00:37:40Vous n'avez pas pu perdre du temps avec un ministre.
00:37:42Vous travaillez directement avec un secrétaire permanent.
00:37:44Et avec Richard.
00:37:45Avec Richard.
00:37:46Avec Richard.
00:37:47Avec Richard.
00:37:48Avec Richard.
00:37:49Avec Richard.
00:37:50Avec Richard.
00:37:51Avec Richard.
00:37:52Avec Richard.
00:37:53Avec Richard.
00:37:54Il coûte zut zot d'y.
00:37:55Il coûte zut zot d'y.
00:37:56Ah, c'est une jolie question.
00:37:57Il coûte zut zot d'y.
00:37:58Tout à fait.
00:37:59Nous ne sommes même pas intéressés pour savoir qui s'en a acquis dans tel ou tel programme précis.
00:38:04Je ne vous connais pas.
00:38:06Allez-y.
00:38:07Il y a une chose qui est très très importante.
00:38:10C'est que les directeurs de l'audit ne complient pas avec les lois.
00:38:16Mais si on ne complie pas, on peut vivre dans le foie ouest.
00:38:20Ce n'est pas correct du tout.
00:38:22C'est moi le directeur de l'audit.
00:38:24Enfin, si je ne me trompe pas, comme on a vu dans le rapport, il y a une méthode assez générale.
00:38:28Par exemple, il y a une méthode qui est le Procurement.
00:38:30Nous ne pouvons pas suivre le Procurement.
00:38:32Il ne peut pas dire qui ne peut pas suivre.
00:38:34Si je ne me trompe pas.
00:38:35Alors ça, les directeurs de l'audit, c'est bien explicite ça.
00:38:38Décrire qui peut dire, dans quel cas spécifiquement, on ne peut pas suivre le Procurement.
00:38:43Bon, maintenant on connaît.
00:38:45Je vais faire un extrait là.
00:38:48Dans le programme de gouvernement.
00:38:50Dans le programme, il mettait là-dedans.
00:38:52To foster greater transparency and accountability.
00:38:55Gouvernement.
00:38:56Et il m'a peut-être sélecté un item là-dedans.
00:38:58Il dit pour broaden the mandate of the public's account committee.
00:39:02And ensure transparency of the deliberations.
00:39:06Et il dit déjà accountability.
00:39:08Ah bien, il s'amène l'intention.
00:39:09Enfin, moi pour dire tout, il y en a plusieurs.
00:39:11Par exemple, il dit pour faire un débat du rapport de l'audit dans le Parlement, etc.
00:39:15Alors il s'amène l'intention.
00:39:17C'est extrêmement intéressant.
00:39:18Mais c'est peut-être mon intention après le fait.
00:39:21C'est-à-dire que j'ai l'impression qu'il est capable de contrôler les choses.
00:39:26Il a bien fait avant, en amont, prépare en amont.
00:39:30Pour mettre en place un système qui est capable de contrôler.
00:39:34Mais peut-être nous prenons l'appel d'un auditeur.
00:39:37On dit bonsoir.
00:39:38C'est qui à l'appareil ?
00:39:39Allo, bonsoir.
00:39:41C'est Mauvent alors ?
00:39:42Oui Mauvent, on l'écoute.
00:39:43Et bonsoir à tous.
00:39:46Et moi je voudrais qu'on mette le rapport de l'audite.
00:39:50Le rapport d'un citoyen, d'un motoriste, de cette façon-là.
00:39:54Allez-y.
00:39:55Qu'est-ce qu'il y a dans l'audite ?
00:39:59Est-ce que c'est pour faire sensation ?
00:40:02Ou bien pour être contre l'État ?
00:40:04Ok ?
00:40:05Alors, nous tous nous trouvons que les négatifs,
00:40:12il y a de belles belles publicités.
00:40:14Qu'est-ce qu'il faut faire pour ne pas être négatif ?
00:40:17Là moi j'ai une question,
00:40:19et là il y a l'audite interne.
00:40:21L'auditeur, l'internal controller.
00:40:24Qu'est-ce qu'il faut faire avant qu'il arrive une situation néfaste ?
00:40:29Je ne vais pas arrêter le débit avant même.
00:40:32En amour on va dire.
00:40:35C'est bien, ce qui est arrivé,
00:40:37c'est qu'il y a un officier internal auditeur là,
00:40:41ils sont dans la maison, dans la même maison.
00:40:45Ils sont employés dans le même ministère,
00:40:48dans le même secteur.
00:40:50Ils sont à la pique-nique,
00:40:52ils sont au restaurant,
00:40:53tous ensemble.
00:40:54Je ne suis pas capable de mettre au point
00:40:58les maladies qu'il peut faire.
00:41:00Ce qu'ils m'ont suggéré,
00:41:02c'est que cet internal auditeur là,
00:41:04il est employé par le bureau de l'audite.
00:41:09À rotation, tous les 1 an, 10 ans,
00:41:12dans le même secteur, dans le même ministère.
00:41:15Il n'est pas possible qu'il y ait une zone qui est en place.
00:41:18Bon, on va trouver comme ça,
00:41:20il est en place,
00:41:21il y a le port, il y a la réception,
00:41:23il y a l'inauguration, tout, ensemble.
00:41:26Il n'est pas posé pour mettre une affaire néfaste.
00:41:31Alors dans cette façon là,
00:41:33vous comprenez, vous faites une audite report,
00:41:37il n'est pas pour sensationner,
00:41:38il n'est pas pour...
00:41:39Il me trompe beaucoup.
00:41:40Quand j'étais là, je me suis dit comme ça.
00:41:42Alors, depuis avant même,
00:41:43on a fini avec tout le maldon.
00:41:45Très bien.
00:41:46Merci beaucoup Mauvin pour cette suggestion là.
00:41:48Mauvin, faire une suggestion,
00:41:49vous pensez qu'il est valable ?
00:41:54Comme un ancien directeur de l'audite,
00:41:57je peux vous dire,
00:41:59l'internal auditing,
00:42:02c'est une management function.
00:42:05C'est une audit function.
00:42:08Ça veut dire qu'à l'intérieur d'un ministère,
00:42:14il y a le permanent secrétaire,
00:42:16le senior chief executive,
00:42:18j'ai une responsabilité,
00:42:21parce que dans le budget qui est approuvé,
00:42:25le finance act, l'appropriation act,
00:42:28quand c'est approuvé,
00:42:30les noms sont cités.
00:42:33Spécifiquement, celui qui est accountable,
00:42:36c'est le permanent secrétaire du ministère.
00:42:40Alors, c'est pourquoi des bons journalistes de l'époque,
00:42:44je me suis trouvé qu'il y avait
00:42:46une grande bande d'hommes là.
00:42:49Vous comprenez ?
00:42:51Mais cette grande bande d'hommes là
00:42:53qui étaient là,
00:42:54c'était un petit groupe à l'intérieur,
00:42:57ce qu'on appelle les internals.
00:42:59Avant, on s'appelait les internals controllers.
00:43:02Et ce mot, internal auditeur,
00:43:04là, quoiqu'il est commun, le titre,
00:43:06il y a une grande confusion.
00:43:08Mais il n'est pas la même fonction.
00:43:10Oui, il y a une grande confusion.
00:43:12Quand on disait l'auditeur, ça faisait l'influence.
00:43:15Ça, c'est une confusion.
00:43:17Mais ce que j'ai envie de dire,
00:43:19c'est que l'internal audit,
00:43:23c'est faire partie de la gestion.
00:43:28Tandis que l'accountabilité
00:43:30de la loi et de la constitution,
00:43:32c'est une nuance.
00:43:34Oui, il n'est pas capable, par exemple,
00:43:36de poser une question là-haut.
00:43:38Très bien.
00:43:39Moi, je vais répondre à ça en détail là.
00:43:41Très bonne question.
00:43:43Dans mon département ministère,
00:43:46il y a un internal auditeur.
00:43:48Oui.
00:43:49Mais ce qui fait, vous voyez,
00:43:51on dirait la question précédente,
00:43:53une commentaire précédemment,
00:43:55c'est qu'il parait ça avant.
00:43:57Avant et après.
00:43:58Avant, comment parler de ça,
00:44:00vous êtes maintenant 10 personnes
00:44:02qui comptent bien mettre
00:44:03la bonne personne à la bonne place,
00:44:05premièrement.
00:44:06Après, vous avez un contrôle interne
00:44:08bien rigoureux.
00:44:09Après, vous avez un reporting aussi.
00:44:11Alors, vous avez la cote interne
00:44:13de l'auditeur fini,
00:44:14et la personne qui peut en sortir
00:44:16de sa département-là,
00:44:17elle est bien compétente.
00:44:18Et puis, nous avons un sujet
00:44:20comme en Angleterre.
00:44:21Il y en a aussi.
00:44:22Peut-être des affaires fiscales,
00:44:24responsabilités qu'ils n'ont pas menées là.
00:44:25Peut-être du cas intégré.
00:44:26Il y en a un qui s'appelle budget.
00:44:28Il y en a un qui s'appelle
00:44:29un budget responsibility office, là-bas.
00:44:31OK?
00:44:32Lui, il dit que c'est du budget même.
00:44:33OK?
00:44:34Il est intéressé par le budget.
00:44:35Après, peut-être le PBB,
00:44:36c'est là où nous avons l'occasion
00:44:37de parler.
00:44:38Il y a un beau concept,
00:44:39mais là-dedans,
00:44:40nous pouvons aller en détail.
00:44:41Mais lui, c'est capable d'apporter
00:44:42sa manière de détecter
00:44:43sa manière de mal de l'avoir.
00:44:45La loi qui vient de passer récemment
00:44:47le public audit,
00:44:48l'amendement de Bill.
00:44:49Oui.
00:44:50Je vais aller dans le détail.
00:44:51Oui.
00:44:52Je vais vous montrer
00:44:53quel est mon niveau de contrôle
00:44:55qui est présent.
00:44:56Nous prenons maintenant
00:44:57un auditeur toujours en ligne.
00:44:58Il y en a Sanjay.
00:44:59Sanjay, bonsoir.
00:45:00Bonsoir.
00:45:01Bonsoir.
00:45:02Et tous les invités sur le plateau.
00:45:04Bon.
00:45:05Bon.
00:45:06Je vais vous demander
00:45:07un peu sur le rapport de l'audite.
00:45:08Allo?
00:45:09Oui.
00:45:10Oui.
00:45:11Bon.
00:45:12Le rapport de l'audite.
00:45:13Bon.
00:45:14L'année.
00:45:15L'année.
00:45:16Il paraît qu'il y en a
00:45:17beaucoup.
00:45:18Bon.
00:45:19Il paraît vrai.
00:45:20Il est vrai.
00:45:21Bon.
00:45:22Mais souvent,
00:45:23il y a quelque chose
00:45:24qui ne peut pas
00:45:25ressortir.
00:45:26Comme un autre fonctionnaire
00:45:27qui ne veut pas
00:45:28arrêter à un moment.
00:45:29Il y a quelque chose
00:45:30qui vraiment,
00:45:31un autre fonctionnaire
00:45:32qui ne sait pas
00:45:33si c'est une pièce.
00:45:34Ce n'est pas aussi facile
00:45:35pour dire.
00:45:36Prenons l'exemple
00:45:37d'une pièce
00:45:38spéciale
00:45:39qui ne sait pas
00:45:40si c'est une pièce.
00:45:41Moi,
00:45:42je suis le publicateur
00:45:43du comité.
00:45:44Devant
00:45:45Richard Hutey,
00:45:46le mec de l'équipe
00:45:47qui est un monsieur
00:45:48qui est un...
00:45:49En fait,
00:45:50plusieurs.
00:45:51Oui,
00:45:52plusieurs.
00:45:53J'ai parlé
00:45:54avec M. Hutey.
00:45:55Il m'a dit,
00:45:56comment quand le ministère
00:45:57de l'éducation
00:45:58a pris 500 projets,
00:45:59500 projets,
00:46:00les gérés par des
00:46:01ingénieurs,
00:46:02avec technical staff.
00:46:03Montrez-moi un coup
00:46:04sur les réseaux.
00:46:05Sur les réseaux,
00:46:06un ingénieur
00:46:07pour 250 projets.
00:46:08Et projet,
00:46:09quel projet,
00:46:10hein?
00:46:11C'est un projet
00:46:12très complexe.
00:46:13Mais comment
00:46:14vous diriger?
00:46:15M. Hutey me dit
00:46:16à moi,
00:46:17il y a quelque chose
00:46:18d'un côté,
00:46:19il me dit,
00:46:20vous avez besoin
00:46:21d'un staff.
00:46:22Il me dit,
00:46:23il y a quelque chose
00:46:24d'un côté,
00:46:25il me dit,
00:46:26il y a quelque chose
00:46:27d'un côté,
00:46:28il me dit,
00:46:29il y a quelque chose
00:46:30d'un côté,
00:46:31il me dit,
00:46:32il y a quelque chose
00:46:33d'un côté,
00:46:34il me dit,
00:46:35il y a quelque chose
00:46:36d'un côté,
00:46:37il me dit,
00:46:38il y a quelque chose
00:46:39d'un côté,
00:46:40il me dit,
00:46:41il y a quelque chose
00:46:42d'un côté,
00:46:43il me dit,
00:46:44il y a quelque chose
00:46:45d'un côté,
00:46:46il me dit,
00:46:47il y a quelque chose
00:46:48d'un côté,
00:46:49il me dit,
00:46:50il y a quelque chose
00:46:51d'un côté,
00:46:52il me dit,
00:46:53il y a quelque chose
00:46:54d'un côté,
00:46:55il me dit,
00:46:56il y a quelque chose
00:46:57d'un côté,
00:46:58il me dit,
00:46:59il y a quelque chose
00:47:00d'un côté,
00:47:01il me dit,
00:47:02il y a quelque chose
00:47:03d'un côté,
00:47:04il me dit,
00:47:05il y a quelque chose
00:47:06d'un côté,
00:47:07il me dit,
00:47:08il y a quelque chose
00:47:09d'un côté,
00:47:10il me dit,
00:47:11il y a quelque chose
00:47:12d'un côté,
00:47:13il me dit,
00:47:14il y a quelque chose
00:47:15d'un côté,
00:47:16il me dit,
00:47:17il y a quelque chose
00:47:18d'un côté,
00:47:19il me dit,
00:47:20il y a quelque chose
00:47:21d'un côté,
00:47:22il me dit,
00:47:23il y a quelque chose
00:47:24d'un côté,
00:47:25il me dit,
00:47:26il y a quelque chose
00:47:27d'un côté,
00:47:28il me dit,
00:47:29il y a quelque chose
00:47:30d'un côté,
00:47:31il me dit,
00:47:32il y a quelque chose
00:47:33d'un côté,
00:47:34il me dit,
00:47:35il y a quelque chose
00:47:36d'un côté,
00:47:37il me dit,
00:47:38il y a quelque chose
00:47:39d'un côté,
00:47:40il me dit,
00:47:41il y a quelque chose
00:47:42d'un côté,
00:47:43il me dit,
00:47:44il y a quelque chose
00:47:45d'un côté,
00:47:46il me dit,
00:47:47il y a quelque chose
00:47:48d'un côté,
00:47:49il me dit,
00:47:50il y a quelque chose
00:47:51d'un côté,
00:47:52il me dit,
00:47:53il y a quelque chose
00:47:54d'un côté,
00:47:55il me dit,
00:47:56il y a quelque chose
00:47:57d'un côté,
00:47:58il me dit,
00:47:59il y a quelque chose
00:48:00d'un côté,
00:48:01il me dit,
00:48:02il y a quelque chose
00:48:03d'un côté,
00:48:04il me dit,
00:48:05il y a quelque chose
00:48:06d'un côté,
00:48:07il me dit,
00:48:08il y a quelque chose
00:48:09d'un côté,
00:48:10il me dit,
00:48:11il y a quelque chose
00:48:12d'un côté,
00:48:13il me dit,
00:48:14il y a quelque chose
00:48:15d'un côté,
00:48:16il me dit,
00:48:17il y a quelque chose
00:48:18d'un côté,
00:48:19il me dit,
00:48:20il y a quelque chose
00:48:21d'un côté,
00:48:22il me dit,
00:48:23il y a quelque chose
00:48:24d'un côté,
00:48:25il me dit,
00:48:26il y a quelque chose
00:48:27d'un côté,
00:48:28il me dit,
00:48:29il y a quelque chose
00:48:30d'un côté,
00:48:31il me dit,
00:48:32il y a quelque chose
00:48:33d'un côté,
00:48:34il me dit,
00:48:35il y a quelque chose
00:48:36d'un côté,
00:48:37il me dit,
00:48:38il y a quelque chose
00:48:39d'un côté,
00:48:40il me dit,
00:48:41il y a quelque chose
00:48:42d'un côté,
00:48:43il me dit,
00:48:44il y a quelque chose
00:48:45d'un côté,
00:48:46il me dit,
00:48:47il y a quelque chose
00:48:48d'un côté,
00:48:49il me dit,
00:48:50il y a quelque chose
00:48:51d'un côté,
00:48:52il me dit,
00:48:53il y a quelque chose
00:48:54d'un côté,
00:48:55il me dit,
00:48:56il y a quelque chose
00:48:57d'un côté,
00:48:58il me dit,
00:48:59il y a quelque chose
00:49:00d'un côté,
00:49:01il me dit,
00:49:02il y a quelque chose
00:49:03d'un côté,
00:49:04il me dit,
00:49:05il y a quelque chose
00:49:06d'un côté,
00:49:07il me dit,
00:49:08il y a quelque chose
00:49:09d'un côté,
00:49:10il me dit,
00:49:11il y a quelque chose
00:49:12d'un côté,
00:49:13il me dit,
00:49:14il y a quelque chose
00:49:15d'un côté,
00:49:16il me dit,
00:49:17il y a quelque chose
00:49:18d'un côté,
00:49:19il me dit,
00:49:20il y a quelque chose
00:49:21d'un côté,
00:49:22il me dit,
00:49:23il y a quelque chose
00:49:24d'un côté,
00:49:25il me dit,
00:49:26il y a quelque chose
00:49:27d'un côté,
00:49:28il me dit,
00:49:29il y a quelque chose
00:49:30d'un côté,
00:49:31il me dit,
00:49:32il y a quelque chose
00:49:33d'un côté,
00:49:34il me dit,
00:49:35il y a quelque chose
00:49:36d'un côté,
00:49:37il me dit,
00:49:38il y a quelque chose
00:49:39d'un côté,
00:49:40il me dit,
00:49:41il y a quelque chose
00:49:42d'un côté,
00:49:43il me dit,
00:49:44il y a quelque chose
00:49:45d'un côté,
00:49:46il me dit,
00:49:47il y a quelque chose
00:49:48d'un côté,
00:49:49il me dit,
00:49:50il y a quelque chose
00:49:51d'un côté,
00:49:52il me dit,
00:49:53il y a quelque chose
00:49:54d'un côté,
00:49:55il me dit,
00:49:56il y a quelque chose
00:49:57d'un côté,
00:49:58il me dit,
00:49:59il y a quelque chose
00:50:00d'un côté,
00:50:01il me dit,
00:50:02il y a quelque chose
00:50:03d'un côté,
00:50:04il me dit,
00:50:05il y a quelque chose
00:50:06d'un côté,
00:50:07il me dit,
00:50:08il y a quelque chose
00:50:09d'un côté,
00:50:10il me dit,
00:50:11il y a quelque chose
00:50:12d'un côté,
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00:50:14il y a quelque chose
00:50:15d'un côté,
00:50:16il me dit,
00:50:17il y a quelque chose
00:50:18d'un côté,
00:50:19il me dit,
00:50:20il y a quelque chose
00:50:21d'un côté,
00:50:22il me dit,
00:50:23il y a quelque chose
00:50:24d'un côté,
00:50:25il me dit,
00:50:26il y a quelque chose
00:50:27d'un côté,
00:50:28il me dit,
00:50:29il y a quelque chose
00:50:30d'un côté,
00:50:31il me dit,
00:50:32il y a quelque chose
00:50:33d'un côté,
00:50:34il me dit,
00:50:35il y a quelque chose
00:50:36d'un côté,
00:50:37il me dit,
00:50:38il y a quelque chose
00:50:39d'un côté,
00:50:40il me dit,
00:50:41il y a quelque chose
00:50:42d'un côté,
00:50:43il me dit,
00:50:44il y a quelque chose
00:50:45d'un côté,
00:50:46il me dit,
00:50:47il y a quelque chose
00:50:48d'un côté,
00:50:49il me dit,
00:50:50il y a quelque chose
00:50:51d'un côté,
00:50:52il me dit,
00:50:53il y a quelque chose
00:50:54d'un côté,
00:50:55il me dit,
00:50:56il y a quelque chose
00:50:57d'un côté,
00:50:58il me dit,
00:50:59il y a quelque chose
00:51:00d'un côté,
00:51:01il me dit,
00:51:02il y a quelque chose
00:51:03d'un côté,
00:51:04il me dit,
00:51:05il y a quelque chose
00:51:06d'un côté,
00:51:07il me dit,
00:51:08il y a quelque chose
00:51:09d'un côté,
00:51:10il me dit,
00:51:11il y a quelque chose
00:51:12d'un côté,
00:51:13il me dit,
00:51:14il y a quelque chose
00:51:15d'un côté,
00:51:16il me dit,
00:51:17il y a quelque chose
00:51:18d'un côté,
00:51:19il me dit,
00:51:20il y a quelque chose
00:51:21d'un côté,
00:51:22il me dit,
00:51:23il y a quelque chose
00:51:24d'un côté,
00:51:25il me dit,
00:51:26il y a quelque chose
00:51:27d'un côté,
00:51:28il me dit,
00:51:29il y a quelque chose
00:51:30d'un côté,
00:51:31il me dit,
00:51:32il y a quelque chose
00:51:33d'un côté,
00:51:34il me dit,
00:51:35il y a quelque chose
00:51:36d'un côté,
00:51:37il me dit,
00:51:38il y a quelque chose
00:51:39d'un côté,
00:51:40il me dit,
00:51:41il y a quelque chose
00:51:42d'un côté,
00:51:43il me dit,
00:51:44il y a quelque chose
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00:51:47il y a quelque chose
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00:51:49il me dit,
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00:51:59il y a quelque chose
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00:52:14il y a quelque chose
00:52:15d'un côté,
00:52:16il me dit,
00:52:17il y a quelque chose
00:52:18d'un côté,
00:52:19il me dit,
00:52:20il y a quelque chose
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00:52:26il y a quelque chose
00:52:27d'un côté,
00:52:28il me dit,
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00:52:30d'un côté,
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00:52:35il y a quelque chose
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00:52:46il me dit,
00:52:47il y a quelque chose
00:52:48d'un côté,
00:52:49il me dit,
00:52:50il y a quelque chose
00:52:51d'un côté,
00:52:52il me dit,
00:52:53il y a quelque chose
00:52:54d'un côté,
00:52:55il me dit,
00:52:56il y a quelque chose
00:52:57d'un côté,
00:52:58il me dit,
00:52:59il y a quelque chose
00:53:00d'un côté,
00:53:01il me dit,
00:53:02il y a quelque chose
00:53:03d'un côté,
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00:53:11il y a quelque chose
00:53:12d'un côté,
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00:53:20il y a quelque chose
00:53:21d'un côté,
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00:53:23il y a quelque chose
00:53:24d'un côté,
00:53:25il me dit,
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00:53:27d'un côté,
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00:53:37il me dit,
00:53:38il y a quelque chose
00:53:39d'un côté,
00:53:40il me dit,
00:53:41il y a quelque chose
00:53:42d'un côté,
00:53:43il me dit,
00:53:44il y a quelque chose
00:53:45d'un côté,
00:53:46il me dit,
00:53:47il y a quelque chose
00:53:48d'un côté,
00:53:49il me dit,
00:53:50il y a quelque chose
00:53:51d'un côté,
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00:53:54d'un côté,
00:53:55il me dit,
00:53:56il y a quelque chose
00:53:57d'un côté,
00:53:58il me dit,
00:53:59il y a quelque chose
00:54:00d'un côté,
00:54:01il me dit,
00:54:02il y a quelque chose
00:54:03d'un côté,
00:54:04il me dit,
00:54:05il y a quelque chose
00:54:06d'un côté,
00:54:07il me dit,
00:54:08il y a quelque chose
00:54:09d'un côté,
00:54:10il me dit,
00:54:11il y a quelque chose
00:54:12d'un côté,
00:54:13il me dit,
00:54:14il y a quelque chose
00:54:15d'un côté,
00:54:16il me dit,
00:54:17il y a quelque chose
00:54:18d'un côté,
00:54:19il me dit,
00:54:20il y a quelque chose
00:54:21d'un côté,
00:54:22il me dit,
00:54:23il y a quelque chose
00:54:24d'un côté,
00:54:25il me dit,
00:54:26il y a quelque chose
00:54:27d'un côté,
00:54:28il me dit,
00:54:29il y a quelque chose
00:54:30d'un côté,
00:54:31il me dit,
00:54:32il y a quelque chose
00:54:33d'un côté,
00:54:34il me dit,
00:54:36il me dit,
00:54:37il y a quelque chose
00:54:38d'un côté,
00:54:39il me dit,
00:54:40il y a quelque chose
00:54:41d'un côté,
00:54:42il me dit,
00:54:43il me dit,
00:54:44il y a quelque chose
00:54:45d'un côté,
00:54:46il me dit,
00:54:47il y a quelque chose
00:54:48de l'autre.
00:54:50Le retour donc d'une émission
00:54:51pendant l'impose continued
00:54:53le débat sur le plateau
00:54:55cadresse Boeing
00:54:56histoire de contrainte
00:54:58qui engenderait
00:54:59laouble
00:55:00les officiers
00:55:01les services publiques
00:55:03les fonctionnaires
00:55:04mais aussi de la compétence, de l'ingérence politique.
00:55:08Mais est-ce que ça a des affaires permanentes qui disparaissent, qui ne peuvent pas continuer ?
00:55:13Moi, je me prépone, parce que je suis dans le service civil,
00:55:16je me positionne pour dire qu'il y a une pression là pour tout le temps.
00:55:20Il y en a tout le temps avant.
00:55:23Mais il y a des gens de caractère.
00:55:25À l'époque, Baron Tchobé, Ramaswami Pindia,
00:55:28Bisson Adensouben, Goïnzami, Venkatasami,
00:55:32c'est même 10 personnes qui se posent devant les ministres.
00:55:36Moi, je me présente, je me débute et je me trouve comme si je débutais comme ministre.
00:55:41Il n'y a pas de ministre. Poliment, avec respect, il n'y a pas de ministre.
00:55:45C'est quelque chose que nous n'avons pas le droit de faire, nous n'avons pas le droit de faire ça.
00:55:50Finalement, il y a, par exemple, Breach of Loan à Kalipo,
00:55:55le secrétaire financier, Pindia, stand-up.
00:55:58Il dit, non, ça ne va pas faire.
00:56:00Si vous voulez faire l'IA, l'amende à loi,
00:56:02elle augmente ce ceiling-là.
00:56:04Le parlement, l'ex-parlement donne-nous la valve pour augmenter ce ceiling-là.
00:56:08Qui va faire ça aujourd'hui ?
00:56:11Alors, nous donnons un système très, très difficile à gérer,
00:56:16mais moi, je dirais que 60.0, ça 60.0-là, pour moi, impose une responsabilité énorme.
00:56:22Surtout qu'il faut dire qu'il y a Bérenger et Ramgoulam.
00:56:27Aujourd'hui, on arrive à une âge, Bérenger est 80, Bantier encore,
00:56:33que tout ce qu'ils ont pu laisser, c'est le legacy.
00:56:37Pour la postérité, c'est un vrai défi.
00:56:40Tout à fait. Nous, on a un autre appel. Bonsoir.
00:56:44Bonsoir.
00:56:45Oui, qui est à l'appareil ?
00:56:47C'est Paul de Roderick.
00:56:48Paul, nous écoutons Paul.
00:56:50Oui, bon, moi, moi, j'ai une petite réflexion.
00:56:54Vous savez, des mains de mains du monde au plateau.
00:56:56Qu'est-ce que vous pensez, si jamais le rapport, vous le dites,
00:57:01il y a une année, nous gagnons un rapport,
00:57:04donc nous sommes capables de gagner un mini-rapport au double premier six mois,
00:57:09donc il faut de nouvelles indications.
00:57:12Donc, peut-être maintenant, si nous sommes capables de rectifier les tirs,
00:57:16au lieu de nous attendre au final pour nous gagner une catastrophe,
00:57:19voilà, c'est tout mon point, monsieur.
00:57:21Merci. Peut-être qu'il y a un autre cas répondant à ça.
00:57:24Oui. Il n'y en a pas eu, il y en a eu, si je ne me trompe pas,
00:57:27en Scandinavie, il y en a eu.
00:57:31Mais il y a un coût, il y a un coût de ça.
00:57:34Bon, ça dépend du gouvernement.
00:57:36On est capables de faire le six mois.
00:57:39Si on fait tous les six mois, ils reviennent à la même chose,
00:57:42c'est-à-dire qu'ils nous font un rapport,
00:57:44qu'il n'y a pas de fausses de loi, qu'il n'y a pas de...
00:57:46Nous, on peut le constater.
00:57:48Non, mais moi, ce que je veux dire,
00:57:50c'est que dans le financement de l'État,
00:57:52il n'y a pas de provision pour ça.
00:57:54D'accord, d'accord.
00:57:56Il n'y a pas de provision pour ça.
00:57:58Mais selon que le directeur du titre,
00:58:00est-ce qu'il a envie de prendre avantage de ça,
00:58:03de ne pas avoir de provision de la loi-là,
00:58:06on peut dire, dans un cas spécifique,
00:58:08sur l'implication financière ou de principes tellement énormes,
00:58:11qu'ils auront envie d'avoir une special report.
00:58:17Mais maintenant, entre nous,
00:58:19si il y a tellement de scandales,
00:58:21là-là, il pourrait y avoir un rapport logique
00:58:23de 600 pages tous les mois.
00:58:27Alors, ça aussi, nous devons prendre en considération.
00:58:29Alors, une des lacunes
00:58:31qui sera pour cela amenée,
00:58:34c'est l'utilisation de la technologie informatique
00:58:37qui peut nous suivre le pas
00:58:40par rapport aux autres pays
00:58:42et qui, je dirais, justement,
00:58:44c'est la lacune qui nous gagne
00:58:46les problèmes qu'il y a aujourd'hui.
00:58:48Il faut penser qu'aujourd'hui,
00:58:50qu'on ne peut dire qu'il y a de l'île digitale,
00:58:53qu'il y a de l'île qui nous suit,
00:58:55dans le secteur privé, sûrement,
00:58:57tout est informatisé.
00:58:59Aujourd'hui, pour nous permettre
00:59:01de mettre un système informatisé
00:59:03dans la fonction publique,
00:59:05il paraît être un défi énorme.
00:59:07Donc, vraiment, l'informatisation,
00:59:09c'est un secteur qui ne m'a pas intéressé du tout à ça.
00:59:12Et je n'ai pas pensé
00:59:14que je serais capable de donner une réponse là.
00:59:17Mais est-ce que pour vous...
00:59:19Mais la population,
00:59:21il n'y a pas que l'informatisation,
00:59:23il y a envie qu'ils systèmentent la masse.
00:59:25Qu'ils retournent à la normale,
00:59:27qu'ils arrêtent avec ces bonnes affaires
00:59:29en gérant ce politique-là,
00:59:31qu'ils définissent bien le rôle des politiciens,
00:59:34le rôle des fonctionnaires,
00:59:36qu'ils redonnent à la fonction publique
00:59:38tout ce pouvoir,
00:59:40qu'ils travaillent correctement,
00:59:43et les politiciens, simplement,
00:59:45vérifier, contrôler
00:59:47ce que les fonctionnaires peuvent faire,
00:59:49c'est selon la volonté du gouvernement en place.
00:59:52Parce que tout ce pouvoir-là,
00:59:54les politiciens ne font qu'un.
00:59:57Chaque année, tirer, tirer,
00:59:59faire un fonctionnaire compétent,
01:00:03et dans un autre expérience,
01:00:05rester tranquille, nous qui décidons.
01:00:07Ce n'est pas possible, ça.
01:00:09D'ailleurs, il y a un drapeau public sur le sac.
01:00:12Oui, oui, oui.
01:00:13Il y en a trois par là.
01:00:15Quand ils reprennent ce qu'ils ont dit là,
01:00:18c'est-à-dire, « where the buck stops ».
01:00:21Chacun a sa responsabilité.
01:00:23Chacun a sa responsabilité.
01:00:25L'idée est celle-là.
01:00:26Alors, tout ça, c'était un grand espoir
01:00:28pour ce gouvernement-là,
01:00:29qui, avec sa sagesse,
01:00:31met tout ça là.
01:00:33Freedom of Information Act,
01:00:35Public Service Act,
01:00:37l'Association publique d'inconsumité.
01:00:39Il y en a aussi chez le gouvernement.
01:00:41Il y en a un gros travail qui n'a pas fait,
01:00:44qui ne désavère d'ailleurs,
01:00:45chez le gouvernement,
01:00:46pour justement que le directeur d'audit
01:00:48parle moins dans 15 jours.
01:00:50Et qu'il reste d'actualité tout le temps.
01:00:54Candan, peut-être au niveau de sa informatisation-là,
01:00:57parce qu'il nous connaît,
01:00:58l'informatique nous aide à faire des choses plus vite,
01:01:01mieux, dans le sens qu'il n'y a pas de contrôle.
01:01:04Est-ce qu'aujourd'hui, quand le directeur de l'audit
01:01:07lui-même vient dire
01:01:09que le plan de digitalisation de l'économie
01:01:15n'est pas vraiment bien aussi,
01:01:17est-ce que si demain, ça rentre en place,
01:01:19ça peut amener l'avancement ?
01:01:22Bien sûr, totalement.
01:01:24C'est le moment que nous pouvons vivre actuellement.
01:01:28Il est dispensable, il n'y a pas de question.
01:01:31Nous pouvons nous obliger à informatiser
01:01:33nos systèmes, nos manières de travail.
01:01:36Et en plus, nous pouvons mettre dans l'IA,
01:01:38Artificial Intelligence,
01:01:40obligatoirement dans le pays, Singapour, etc.
01:01:42Nous avons avancé beaucoup.
01:01:44Mais je suis bien content que le directeur d'audit
01:01:46nous mentionne ça.
01:01:47Et nous pouvons investir là-dedans
01:01:49et nous pouvons mettre ça en pratique.
01:01:51Par exemple, il y a un auditeur,
01:01:53on peut dire qu'il manque de ressources.
01:01:55Il y a beaucoup d'ingénieurs, je ne sais pas quoi.
01:01:57Bien sûr, il y a beaucoup,
01:01:59nous devons commencer à informatiser,
01:02:01il y a beaucoup de travail, probablement,
01:02:03qui nous mène à l'IA,
01:02:05nous mène au système d'informatique digital
01:02:07qui est capable de faire qu'il nous donne l'hôpital.
01:02:09Je t'en conseille, c'est la même carte là,
01:02:11si je ne me trompe pas.
01:02:13Alors, il y a ça.
01:02:14Quand il y a le temps passé avec ça,
01:02:16quand il y a l'inefficience,
01:02:17il y a besoin d'informatiser ça.
01:02:20Ce n'est pas sans dire que la digitalisation,
01:02:23si on veut avancer,
01:02:25je dirais, si on veut avancer,
01:02:27c'est une condition sine qua non.
01:02:29Sine qua non.
01:02:31Mais autre chose qui est important,
01:02:33c'est que nous, comme une économie,
01:02:35je dirais, il y a tellement
01:02:37d'avenues que nous pouvons développer.
01:02:40C'est-à-dire que si nous savons
01:02:41qu'il y a un pays ici,
01:02:42nous savons qu'il y a un pays là-bas,
01:02:44et qu'il y a un pays offshore,
01:02:46nous savons qu'il y a un pays là-bas,
01:02:48et que nous pouvons,
01:02:49quand une équipe arrive,
01:02:50nous pouvons développer.
01:02:52Mais aujourd'hui,
01:02:54nous, l'avenir,
01:02:55reste dans nos capacités,
01:02:58rentre dans le global trade.
01:03:02Oui, oui.
01:03:03Mais il faut rentrer dans le global trade.
01:03:06On peut aller dans la cour des grands,
01:03:09on peut rentrer dans la cour des grands,
01:03:10et on peut le choisir.
01:03:11On peut choisir,
01:03:12soit on reste comme on était,
01:03:15et on mange nos margaux,
01:03:16ou bien nous disons,
01:03:17nous avons la capacité
01:03:19de rentrer dans le global trade.
01:03:22Toutes les proportions gardées.
01:03:24Absolument.
01:03:25Mais on m'a apprécié ça,
01:03:26les bons qui nous mentionnaient
01:03:27qu'aujourd'hui,
01:03:28quand on cause global trade,
01:03:29tout est fait à travers un système informatisé.
01:03:32Absolument.
01:03:33C'est là, non seulement ça.
01:03:35Compétences.
01:03:37Si vous prenez une manière,
01:03:39ou vous développez une université
01:03:41qui n'est pas capable
01:03:42de produire le meilleur cerveau,
01:03:45ce n'est pas possible.
01:03:46Je ne sais pas comment faire ça.
01:03:48Nous avons une institution politisée,
01:03:51avec des gens qui ont la tête,
01:03:53qui sont là pour protéger,
01:03:56ça va pas aller.
01:03:57Il y en a qui sont aussi là-dedans.
01:03:59Il faut mettre un défi
01:04:01pour tout le monde,
01:04:03sans compétences,
01:04:04sans technologies avancées,
01:04:07pour assumer le risque
01:04:10qu'on a sur l'économie,
01:04:11qu'on a sur la vie.
01:04:12C'est impossible.
01:04:14Bonsoir.
01:04:16Bonsoir à tous les gens,
01:04:17surtout à M. Pilet.
01:04:18Il y a plein de gens
01:04:19qui nous font des preuves à cette époque.
01:04:21Je vais répondre justement
01:04:23à ce que M. Pilet m'a dit.
01:04:24C'est le cerveau.
01:04:26Il est marié,
01:04:27il est né à Mauritius.
01:04:28Le cerveau n'est pas là-dedans.
01:04:30Quand il est là-dedans,
01:04:31quand il a l'incentive
01:04:32pour faire des revenus,
01:04:33comme dit un auditeur,
01:04:34il peut dire,
01:04:35il travaille dans le public
01:04:36pour 15, 20.000 rupees,
01:04:37tandis qu'il travaille dans le privé
01:04:39avec les mêmes compétences
01:04:40qu'il a avec 70, 75, 400.000 rupees.
01:04:42Il n'y a pas de motivation.
01:04:43Maintenant,
01:04:44quand il y a des gens qui travaillent
01:04:46dans n'importe quel ministère,
01:04:47n'importe quelle institution,
01:04:48est-ce qu'il n'y a pas de fou ?
01:04:50Est-ce qu'il n'y a pas de fou qui peut fonctionner ?
01:04:52Il faut attendre un an après
01:04:54pour faire un rapport audite.
01:04:55C'est comme ça qu'on fait
01:04:56un rapport audite, vous entendez ?
01:04:57Mais il y a des gros, gros tuyaux qui sont vides.
01:04:59Ces tuyaux-là, regardez,
01:05:00juste pour prendre un rapport là,
01:05:01pour remplir les tuyaux,
01:05:02il y a des gens qui tapent les piles
01:05:03autour des boucheries,
01:05:04autour des rapports des boucheries
01:05:05qui prennent action,
01:05:06autour des quais qui sont fermés.
01:05:08Il y a des gens qui ont des propriétés à l'hôtel,
01:05:10les beaux frères,
01:05:11le Premier ministre,
01:05:12le chef du Premier ministre,
01:05:13Maradiva, Pouget.
01:05:14Personnalisez, s'il vous plaît.
01:05:15Non, mais je le connais,
01:05:16dans le domaine du public,
01:05:17ça, tout le monde le connaît.
01:05:18Oui, mais préférez-vous pas
01:05:19mentionner les noms, s'il vous plaît.
01:05:20Allez, correct.
01:05:21Faites l'enquête.
01:05:22Faites mettre ça
01:05:23dans votre langue de terre.
01:05:24Faites prendre Badine,
01:05:25faites prendre Sigor,
01:05:26KCMA ici,
01:05:27KCMTPA.
01:05:28C'est déjà arrivé, ça.
01:05:29Allez, Maurice,
01:05:30assume le développement d'autorité.
01:05:31Faites l'enquête, ça aussi,
01:05:32vous pouvez trouver.
01:05:33Dans le cours, là,
01:05:34m'espérez qu'on m'encadre.
01:05:35C'est-à-dire,
01:05:36ça, le gouvernement,
01:05:37le mine business,
01:05:38mette tout ça dans l'institution, là.
01:05:39Même ce Freedom of Information Act,
01:05:41tout ça là,
01:05:42mette tout ça là.
01:05:43Allez, là, vous pouvez trouver
01:05:44votre mine business,
01:05:45quatre mois dans l'année, là.
01:05:46Comme dire aussi Badin,
01:05:47quatre zéros dans l'année de 60.
01:05:48Reste encore,
01:05:4956 zéros,
01:05:50là, nous, qu'est-ce qui peut arriver ?
01:05:51Les peuples, là,
01:05:52nous, on se passe des démons, là.
01:05:53Nous, qu'est-ce qui peut arriver ?
01:05:54Ou ça, mettre votre 120 zéros
01:05:55dans une autre corde blanche,
01:05:56c'est encore pas tout.
01:05:57Bien, comment dire ?
01:05:58Réfléchissez,
01:05:59qu'est-ce qui peut arriver ?
01:06:00Godfout, c'est ça,
01:06:01même l'opposition,
01:06:02c'est Godfout, ça.
01:06:03Mais m'espérez que tant d'autres
01:06:04comprennent.
01:06:05Merci, vous êtes...
01:06:06Merci beaucoup, Robin.
01:06:07Donc, Robin dit
01:06:08qu'il nous a mis dans Godfout,
01:06:09et dans Godfout démocratique,
01:06:10c'est l'opposition.
01:06:11Bon, ça ne dit pas
01:06:12dans ce qui n'a pas existé.
01:06:13Mais il faut le dire
01:06:14qu'il y a ça.
01:06:15Le gouvernement,
01:06:16à travers le programme,
01:06:17tout au moins,
01:06:18à travers ce programme-là,
01:06:19de bonne volonté.
01:06:20Même la rentabilité,
01:06:21avec la réforme
01:06:22qu'il faut amener.
01:06:23Il faut qu'il y ait
01:06:24des réformes.
01:06:25Il faut amener
01:06:26la fabrication
01:06:27de ce comité.
01:06:28Et il y a une disposition
01:06:29à bien faire.
01:06:30Il n'y a pas de doute.
01:06:31Alors, avant qu'ils nous causent
01:06:32la solution que le gouvernement
01:06:33peut proposer,
01:06:34comme le performance-based
01:06:35budgeting,
01:06:36nous causons un petit peu
01:06:37l'institution
01:06:38qui est endettée
01:06:39jusqu'au cou.
01:06:40Nous prenons
01:06:41des exemples,
01:06:42en particulier,
01:06:43le Wastewater Management
01:06:44Authority,
01:06:45c'est une institution
01:06:46qui est endettée
01:06:47jusqu'au cou.
01:06:48Le Wastewater Management
01:06:49Authority,
01:06:50la CWA,
01:06:51et aussi,
01:06:52peut-être,
01:06:53le Rodrigues
01:06:54Regional Assembly.
01:06:55En somme,
01:06:56c'est une dette
01:06:57incroyable.
01:06:58Comment est-ce qu'on arrive
01:06:59à cette situation-là
01:07:00aujourd'hui?
01:07:01La politisation
01:07:02des institutions.
01:07:03Ma réponse
01:07:04est brutale.
01:07:05Chaque fois,
01:07:06nous venons
01:07:07des politiciens
01:07:08à la tête de CWA.
01:07:09Aujourd'hui,
01:07:10nous avons fait
01:07:11700 millions.
01:07:12Je ne sais pas
01:07:13combien de détails.
01:07:14Je tourne
01:07:15la gazette,
01:07:16etc.
01:07:17Mais un,
01:07:18comme ça,
01:07:19on peut le trouver.
01:07:20Mais comment finir
01:07:21dans le passé?
01:07:22Alors,
01:07:23malheureusement,
01:07:24pour gérer
01:07:25une institution
01:07:26de salon de gueule
01:07:27où vous avez
01:07:28un professionnel
01:07:29de gestion,
01:07:30on dit qu'il y a
01:07:31un tracteur
01:07:32de management.
01:07:33Mais si on peut
01:07:34prendre un top
01:07:35des Canaries,
01:07:36c'est pour s'attirer
01:07:37parce qu'il n'y a pas
01:07:38d'étiquette.
01:07:39Dès qu'il s'en sort,
01:07:40il n'y a pas
01:07:41d'étiquette,
01:07:42on lui donne un job.
01:07:43S'il n'y a pas
01:07:44d'étiquette,
01:07:45on lui donne un titre.
01:07:46C'est comme ça
01:07:47qu'il va marcher.
01:07:48Il faut faire
01:07:49un peu attention.
01:07:50Par exemple,
01:07:51CWA,
01:07:52c'est une
01:07:53coopérative
01:07:54qui n'a pas
01:07:55le droit
01:07:56de faire la monnaie.
01:07:57Après,
01:07:58trouver un client
01:07:59d'été
01:08:00qui n'a pas vraiment
01:08:01besoin d'aide,
01:08:02mais on peut
01:08:03essayer de gagner
01:08:04la monnaie,
01:08:05pas tous
01:08:06les tarifs
01:08:07des lois.
01:08:08Mais les tarifs
01:08:09des lois,
01:08:10il y a des affaires
01:08:11dedans.
01:08:12Il y a un petit
01:08:13consommateur
01:08:14dans le bas
01:08:15qui a besoin
01:08:16d'une certaine
01:08:17utilisation des lois.
01:08:18Mais faire,
01:08:19je ne m'empêche.
01:08:20Au moins,
01:08:21le coût,
01:08:22le coût
01:08:23de production,
01:08:24il n'est pas capable
01:08:25comme ça
01:08:26d'en avoir.
01:08:27Je crois que
01:08:28dans tout pays
01:08:29dans le monde,
01:08:30le délai n'est pas
01:08:31aussi grave.
01:08:32On va voir
01:08:33ce qu'il y a.
01:08:34Westwater,
01:08:35ce n'est pas
01:08:36comme ça.
01:08:37C'est un département
01:08:38que personne
01:08:39ne peut entendre parler.
01:08:40C'est une malédiction
01:08:41dans ce département-là.
01:08:42C'est un tabou,
01:08:43ce n'est pas comme ça.
01:08:45Comment voulez-vous
01:08:46que les affaires
01:08:47ne marchent pas?
01:08:48Faire comme si
01:08:49cette réalité-là
01:08:50n'existait pas.
01:08:52Voilà
01:08:53ce qui peut arriver.
01:08:56Trop de politisation.
01:08:58Des décisions
01:08:59politiques,
01:09:00électorales,
01:09:01clientélistes.
01:09:04Pour résoudre
01:09:05exactement
01:09:06ce que nos deux
01:09:07camarades ont fait
01:09:08dire,
01:09:09il nous faut
01:09:10s'assurer de notre mentalité.
01:09:11Il nous faut s'assurer
01:09:12de notre mentalité
01:09:13pour qu'on soit
01:09:14dans le monde
01:09:15le plus bon marché.
01:09:16Moi, moi quand je me
01:09:17réveille,
01:09:18bon,
01:09:19vous trouvez,
01:09:20ça grimpe,
01:09:21c'est tellement
01:09:22le bon marché.
01:09:23Il nous faut être
01:09:24très clair.
01:09:25Mais tout le monde
01:09:26n'est pas responsable.
01:09:27Tout le monde
01:09:28n'a pas l'habitude
01:09:29d'être assis,
01:09:30d'être dépendant,
01:09:31d'avoir un casque,
01:09:32d'avoir un casque,
01:09:33d'avoir un casque.
01:09:34Je ne sais pas
01:09:35comment ça sort.
01:09:36Excuse-moi.
01:09:37Il nous faut être
01:09:38responsable.
01:09:39Après,
01:09:40c'est inquiétant.
01:09:41Moi, je travaille
01:09:42dans la communication
01:09:43avec mon secteur public.
01:09:44Ce qui,
01:09:45quand un jeune
01:09:46peut rentrer,
01:09:47ce qui est dommage,
01:09:48quand un jeune
01:09:49peut rentrer,
01:09:50pourquoi nous disons
01:09:51que le jeune,
01:09:52c'est l'avenir,
01:09:53quand un jeune
01:09:54peut rentrer,
01:09:55c'est un jeune
01:09:56qui parle,
01:09:57excuse-moi,
01:09:58c'est un jeune
01:09:59qui ne parle pas là,
01:10:00je peux traîner
01:10:01ce jeune-là.
01:10:02Et ce jeune-là,
01:10:03quand il se retrouve,
01:10:04quand il se retrouve
01:10:05dans le système,
01:10:06il est pareil
01:10:07qu'il n'existe pas.
01:10:08Ça, c'est bien grave.
01:10:09Et si on continue
01:10:10comme ça,
01:10:11ça va bien.
01:10:12Mais je m'en pose
01:10:13toujours une question
01:10:14parce qu'il y a
01:10:15finalement un renouvellement
01:10:16comme on dit
01:10:17dans plusieurs instances
01:10:18publiques
01:10:19depuis l'arrivée
01:10:20du gouvernement.
01:10:21Est-ce qu'ils ont trouvé
01:10:22que cette tendance-là
01:10:23est inversée
01:10:24ou dans la même direction?
01:10:25Trop tôt pour dire,
01:10:26très trop tôt pour dire.
01:10:27Mais
01:10:28il n'y a pas d'un choix,
01:10:29il n'y a pas d'un choix.
01:10:30Là,
01:10:31on peut veiller
01:10:32sur le cadre
01:10:33métro-liger,
01:10:34le cadre métro-liger
01:10:35est une chose
01:10:36qui est
01:10:37très importante
01:10:38dans le cadre
01:10:39du gouvernement
01:10:40mais trop léger.
01:10:42Mais le gueté, parce que la personne qui... le ministre responsable, c'est quelqu'un de...
01:10:47que je connais personnellement, c'est quelqu'un de très, très bien.
01:10:51Donc, d'un coup, comment allez-vous gérer ce problème-là? Parce que le choix...
01:10:55Si on donne tout le monde un cadeau
01:10:57de voyage,
01:11:00on n'est pas trop capable, bien qu'il fraude seulement,
01:11:04puis amène sa qualité à la perte.
01:11:08Est-ce qu'il nous a une garantie que demain, on élimine tout le fraude?
01:11:12On dit pas payer le train,
01:11:13pas payer le métro léger,
01:11:15si nous ne faisons que tout payer, nous vous courrons.
01:11:18Mais moi, je crois que
01:11:20le coût de cette opération-là
01:11:23ne va pas permettre, nous,
01:11:26cette dangereuse.
01:11:29Alors, pour nous,
01:11:31prendre ces choses, c'est une décision difficile.
01:11:36Vous vous en prendriez? Alors, nous, on va le faire. Dans chaque cas, nous, on va le faire.
01:11:40Oui, bien sûr.
01:11:42Oui, c'est... bien sûr, il y a des traiteurs.
01:11:44Les traiteurs, nous, on va le faire. C'est une bonne intention, mais nous, on va le faire.
01:11:48Mais seulement, c'est un...
01:11:51Je pense que la nomination dans mon bureau
01:11:54est un peu sceptique.
01:11:55Parce que tout le monde qui est là, depuis le début de l'époque,
01:11:59dans la crise qui est là,
01:12:02le régime, etc.,
01:12:03tout le monde est revenu.
01:12:04Alors, là, il n'y a pas d'inquiétude.
01:12:07Enfin, nous espérons
01:12:09que nous pouvons mettre notre bonne intention en pratique
01:12:13et le pays pourra gagner.
01:12:14Très bien. Alors, une des bonnes solutions qui est proposée pour les prochaines 15 minutes,
01:12:18peut-être avant que nous donnions la parole à l'affaire,
01:12:21par le gouvernement, c'est, finalement, dans le Parlement,
01:12:24il y a une votée, le Finance and Audit Amendment Bill,
01:12:28que je viens de dire, qui est dorénavant pour le prochain budget.
01:12:31C'est un autre système
01:12:33qui était déjà existé avant,
01:12:34mais un système amélioré, ce qu'il ne peut trouver par rapport
01:12:38au projet de loi qui est fini d'amener,
01:12:40avec bonne contrôle, avec bonne vérification.
01:12:44Est-ce que ce système-là, qu'adresse-tu,
01:12:47est-ce qu'il y a une solution qui est capable de m'aider ?
01:12:50Déjà, nous causons comme ça.
01:12:52Est-ce qu'il y a une solution qui est capable de m'aider
01:12:54pour empêcher l'hémorragie
01:12:56des fonds publics qu'il ne peut trouver aujourd'hui ?
01:13:00La réponse, c'est non.
01:13:02C'est non, mais je m'explique.
01:13:06Il y a un système financier qu'on a développé pendant des années.
01:13:11Ce système-là,
01:13:13je le connais, comme je le connais ma mère,
01:13:16je le connais parce que je l'ai géré,
01:13:18je suis dans ce système-là pendant beaucoup d'années.
01:13:22Ce système-là ne pouvait pas fonctionner.
01:13:26Moi, quand tout le monde a un petit peu de bon sens,
01:13:29bien sûr, il faut se poser la question,
01:13:31qu'est-ce qui fait qu'il ne peut pas fonctionner ?
01:13:34Qu'est-ce qui a de mal avec ce système ?
01:13:38Là, on trouve un système,
01:13:41on met des gouttes,
01:13:42qui corrige les défauts du système existant.
01:13:47Je ne sais pas si ça fait sens, ce qu'il m'a fait dire.
01:13:50Oui.
01:13:51Il ne peut pas.
01:13:53Il ne peut pas.
01:14:04Ça fait du sens.
01:14:05Alors, je vais connaître quelqu'un qui m'advise,
01:14:07je vais deviner un peu,
01:14:09parce qu'il y en a certains qui causent certaines solutions,
01:14:15comme ça.
01:14:17Just throw it out.
01:14:19Alors, oui, vous connaissez ce qu'ils ont pu recommander.
01:14:23Il n'y a rien de nouveau.
01:14:25Je vous demande si j'ai eu le temps d'expliquer ça.
01:14:29Il n'y a rien de nouveau.
01:14:3250, 60 ans derrière,
01:14:34parce que je suis là, moi,
01:14:36je suis un petit junior dans le gouvernement,
01:14:4050 ans de cela,
01:14:42il y a un système de contrôle
01:14:46qui paraît,
01:14:48comment ça qu'ils ont pu le recommander,
01:14:50il s'appelle le Capital Budgeting System.
01:14:53Il y a un gros livre,
01:14:54je vais l'essayer à volant comme ça,
01:14:56dans mon âge, pour connaître ce qu'il m'a fait dire.
01:14:59Il y a un gros livre comme ça qui monite
01:15:02activités par activités.
01:15:06Basically, ce qui nous fait cause,
01:15:08puis PBS nous fait cause,
01:15:10est Activity-Based Budgeting,
01:15:14qui veut dire qu'on zéro-down
01:15:16une spécifique activité
01:15:19pour ne pas avoir plus de contrôle.
01:15:22Le papier, il paraît joli, ça.
01:15:25Mais si vous avez un système informatique
01:15:28sophistiqué,
01:15:31c'est difficile de le moniter,
01:15:33c'est très difficile.
01:15:35Mais moi, mon objection,
01:15:37c'est que nous n'avons déjà
01:15:39un système informatique pas extra.
01:15:43Nous désamènes du monde
01:15:45qui est en fonction, pas extra.
01:15:47Rappelons-le-dit, je vais clairement ressortir ça.
01:15:50Nous devons mettre un système,
01:15:53qui nécessite ça et un tronc-là,
01:15:57qui veut dire du monde de qualité,
01:15:59avec un système informatique de qualité,
01:16:02et nous ne savons même pas qui faire,
01:16:05nous ne faisons rien dans le passé.
01:16:07Alors, je trouve ça l'approche la,
01:16:10l'approche totalement désorganisée.
01:16:13Et parce qu'il est désorganisé,
01:16:15il y a du monde qui dit non,
01:16:17c'est pas pour moi aussi.
01:16:19Très bien.
01:16:21Dans le domaine,
01:16:23dans le domaine de la comptabilité,
01:16:25quand il y a un performance-based,
01:16:27ça veut dire qu'il y a un système
01:16:29qui vise l'excellence.
01:16:31Est-ce qu'il est où,
01:16:33quand on parle du secteur public,
01:16:35aujourd'hui, quand on peut dire
01:16:37qu'on peut installer le performance-based,
01:16:40bon, il y a ce concept-là,
01:16:43quand on l'étudie théoriquement,
01:16:45c'est un bon concept.
01:16:47Il y a plusieurs pays serviliens,
01:16:49comme l'Australie,
01:16:51il y a la Grande-Bretagne même,
01:16:54et les autres.
01:16:56Et nous-mêmes, nous sommes serviliens en 2008.
01:16:58En 2008, après, on s'est arrêtés,
01:17:00je crois, en 2015.
01:17:02Et tu as un rapport
01:17:04d'une association internationale
01:17:09qui nous assiste avec l'Afrique du Sud,
01:17:13qui est, comment dire,
01:17:15qui est compliante,
01:17:17qui est plus ou moins successeuse
01:17:19dans le performance-based budgeting,
01:17:21et nous avons un score de 9 sur 16,
01:17:23autant me rappeler.
01:17:25Mais 9 sur 16, quand même,
01:17:27c'est de ne pas en gagner.
01:17:29Ça veut dire qu'il y a une difficulté déjà.
01:17:31Bon, nous ne gagnons pas un score
01:17:33relative avec notre pays, comme le Mali, etc.
01:17:35Bon, le performance-based budgeting,
01:17:37c'est un concept,
01:17:39beaucoup de députés
01:17:41qui nous proposent ça, etc.,
01:17:43qui sont dans le Parlement,
01:17:45c'est beaucoup de jeunes.
01:17:47Alors, comment cadrer, c'est de dire,
01:17:49quand on les a, ils les ont.
01:17:51Mais c'est vraiment sur l'implémentation,
01:17:53c'est vraiment dur.
01:17:55Premièrement, comment nous nous sommes faits,
01:17:57je dirais, en 2008, quand on a fait ça,
01:17:59et nous partageons 16 sur 16.
01:18:01Ça veut dire qu'il y a énormément de difficultés.
01:18:03Alors, le plus gros aspect,
01:18:05la base
01:18:07d'un PBB,
01:18:09PBB, c'est quoi?
01:18:11C'est d'obtenir
01:18:13le résultat,
01:18:15de lier le résultat,
01:18:17l'objectif,
01:18:19avec les dépenses que vous pouvez faire.
01:18:21Par exemple, demain, vous pouvez dire,
01:18:23par exemple, en Indien,
01:18:25on met en ligne,
01:18:27le hôpital,
01:18:29alors, disons, nous pouvons faire ça dans 3 ans.
01:18:31Alors, nous finissons ces tests-là,
01:18:33nous pouvons les mettre dans un objectif,
01:18:35c'est la première année pour faire des affaires, des affaires, des affaires.
01:18:37Alors, nous pouvons faire des dépenses
01:18:39d'après ça. Après, nous pouvons monitorer.
01:18:41Monitorer est très important.
01:18:43C'est bon, le concept est très bon.
01:18:45Ça veut dire les propres aspects, etc.
01:18:47Mais si nous payons la taille,
01:18:49je dirais, si on paye la ressource.
01:18:51Si nous payons la ressource,
01:18:53qui nous peut la contrôler?
01:18:55Nous avons besoin d'un bon corporate governance,
01:18:57avant tout, il y a des critères qui nous ont besoin de base.
01:18:59Parce que si
01:19:01il y a un cas de désordre,
01:19:03nous pouvons le contrôler.
01:19:05Nous pouvons le contrôler.
01:19:07Mais si ça ne va pas marcher,
01:19:09il y en a un, c'est que nous avons besoin d'un propre
01:19:11corporate governance, initialement.
01:19:13Nous avons besoin d'une ressource qui est déjà là.
01:19:15On ne peut pas la mesurer sur la performance.
01:19:17Quand vous payez la taille de votre travail,
01:19:19vous payez une computer sur votre laptop cassée, etc.
01:19:21Vous payez la taille de votre travail,
01:19:23vous payez la taille de votre travail,
01:19:25il y a des gens qui ne peuvent pas la mesurer.
01:19:27Deuxièmement, la technologie.
01:19:29Il y a beaucoup de reporting là-dedans.
01:19:31Si nous passons le temps avec report, report, report,
01:19:33il y a des gens qui ne font pas leur travail.
01:19:35Alors il y a beaucoup de reporting
01:19:37dans PBB.
01:19:39Alors l'informatique est très importante.
01:19:41Il y a ça.
01:19:43Il y a le training.
01:19:45Est-ce que ça marche
01:19:47fonctionnellement un train pour faire ça?
01:19:49Nous ne pouvons qu'installer le taux.
01:19:51Après, nous ne pouvons pas le contrôler.
01:19:53Il n'y a pas d'écoute pour mettre la clé, etc.
01:19:55Nous avons besoin d'un bon training
01:19:57avant de nous faire aller.
01:19:59Vous pensez moi, il y a un très bon concept.
01:20:01Très bon.
01:20:03Mais seulement,
01:20:05nous ne pouvons pas nous préparer.
01:20:07Bon, seulement je souhaite au gouvernement
01:20:09un bon sens. Il y a un bon concept.
01:20:11Mais il paraît un peu difficile.
01:20:13Enfin, j'espérais sincèrement
01:20:15qu'il y ait réussi.
01:20:17Parce qu'il y a un bon concept,
01:20:19mais seulement il paraît...
01:20:21Nous n'avons pas la propre gouvernance.
01:20:23Nous n'avons pas...
01:20:25Nous n'avons pas assez de ressources.
01:20:27Et si nous n'avons pas les mêmes critères,
01:20:29les mêmes ressources de base,
01:20:31c'est un peu difficile.
01:20:33Je vais m'en charger d'une écoute des experts
01:20:35pour qu'ils nous donnent notre opinion là-dessus.
01:20:37Ou quand on fait l'écoute ça,
01:20:39qui vous trouvez?
01:20:41Moi, l'expérience, je dirais que
01:20:43tous les institutions
01:20:45peuvent créer,
01:20:47inventer à l'infini.
01:20:49Mais toujours,
01:20:51il y a des gens qui sont plus importants
01:20:53que l'institution.
01:20:55Absolument.
01:20:57Si il y a des bons gens, ils peuvent fonctionner
01:20:59même dans un mauvais système.
01:21:01Ils peuvent donner satisfaction.
01:21:03Mais s'il y a des gens qui sont mauvais,
01:21:05ou d'une meilleure institution,
01:21:07ils peuvent faire leur vie dans le bazar.
01:21:09Et pour qu'il y ait des gens corrects,
01:21:11ils ont besoin d'un chef
01:21:13sans repose,
01:21:15exemplaire, capable,
01:21:17c'est le plus important.
01:21:19Récemment,
01:21:21il y a une motine liée dans la Gazette
01:21:23qui fait
01:21:25une comparaison
01:21:27avec un précédent gouvernement.
01:21:29Ils ont dit
01:21:31qu'un journaliste
01:21:33avait un rôle
01:21:35Christian Rivalant.
01:21:37Il était capable d'aider
01:21:39non seulement dans la campagne électorale,
01:21:41mais également
01:21:43dans le fonctionnement d'un pays,
01:21:45dans le choix d'un conseiller,
01:21:47le choix d'une personne
01:21:49qui puisse faire un bon planning.
01:21:51C'est ce qui nous manque
01:21:53aujourd'hui.
01:21:57Je n'ai jamais été un ministre
01:21:59comme vous l'adressez,
01:22:01mais un ministre
01:22:03peut-il choisir un conseiller,
01:22:05une personne qui puisse
01:22:07avoir le courage d'y aller ? Non.
01:22:09Tu peux faire une bêtise,
01:22:11pour ne pas dire une plus grosse bouffe.
01:22:13Je comprends.
01:22:15Si vous ne prenez pas une yes-man,
01:22:17quelle utilité ?
01:22:19Moi, si je suis Premier ministre,
01:22:21je fais passer une loi
01:22:23pour permettre que l'opposition
01:22:25soit renforcée
01:22:27par une simple nomination.
01:22:3170 euros aujourd'hui,
01:22:33c'est bien dansé.
01:22:35On ne peut pas conduire à l'aveugle.
01:22:37Nous prenons l'autorité.
01:22:39Nous avons Raj en ligne.
01:22:41Bonsoir.
01:22:43Bonsoir à tous les
01:22:45invités
01:22:47qui peuvent nous écouter.
01:22:49Mon problème,
01:22:51c'est que je ne crois pas
01:22:53qu'il n'y ait pas
01:22:55de gouvernement venu
01:22:57ou allé, tout bon système,
01:22:59nous avons un
01:23:01protocole qui nous finit
01:23:03laissé là-haut. Mais c'est moi
01:23:05qui n'arrive pas à l'être
01:23:07durant le cours du travail,
01:23:09au-delà de
01:23:11la PS,
01:23:13la PAS,
01:23:15qui ont des responsabilités
01:23:17diminuées
01:23:19pour les politiciens.
01:23:21Et quand
01:23:23ils se sentent abaissés,
01:23:25quand ils trouvent
01:23:27des advisors
01:23:29qui gagnent toute qualité
01:23:31et facilité, c'est eux qui
01:23:33décident. Ce n'est pas
01:23:35qu'il y a un caractère,
01:23:37c'est eux qui partent dans le gouvernement.
01:23:39Il y a un advisor.
01:23:41Il fait un deal dans
01:23:4312, 15, je ne sais pas combien
01:23:45millions d'euros.
01:23:47Mais comment fonctionnel a-t-il été ?
01:23:49Si le gouvernement n'est même pas bon,
01:23:51si la tête est mauvaise,
01:23:53n'importe combien de systèmes,
01:23:55tout est là
01:23:57en ligne.
01:23:59Il n'y en a qu'une pour appliquer.
01:24:01Mais seulement le gouvernement
01:24:03parle d'après les normes.
01:24:05C'est ça qui est le mal
01:24:07dans Maurice.
01:24:09Merci.
01:24:35Alors, je vais dire ce qu'il m'a dit au commencement.
01:24:37Sa rapport de l'audit, là,
01:24:39l'a démontré clairement
01:24:41qu'il y a un breakdown
01:24:43dans le système de contrôle financier à Maurice.
01:24:45Il l'a montré ça, premièrement.
01:24:47Il est inquiétant pour le pays
01:24:49qu'il soit comme ça, surtout
01:24:51l'envergure du budget aujourd'hui
01:24:53et de nos projets
01:24:55à venir.
01:24:57Il est inquiétant pour le pays
01:24:59qu'il soit comme ça, surtout
01:25:01l'envergure du budget aujourd'hui
01:25:03et de nos projets à venir.
01:25:05Ce gouvernement-là,
01:25:07c'est un gouvernement
01:25:09qui n'est pas responsable du tout
01:25:11de sa rapport de l'audit, là,
01:25:13et tout rapport, parce qu'il l'a montré
01:25:15direct. Il a demandé
01:25:17sans appel,
01:25:19et ça impose lui une grande responsabilité.
01:25:21Et pour l'avenir
01:25:23de ce pays-là,
01:25:25pour que tout le monde,
01:25:27quand l'histoire peut écrire,
01:25:29reconnaisse
01:25:31qu'il y a
01:25:33Béranger et Ramboulam,
01:25:35je connais ça déjà, mais certainement avec tout le monde
01:25:37qui est autour d'eux,
01:25:39ils donnent un deuxième sens
01:25:41à Maurice.
01:25:43Parce qu'ils continuent de dire
01:25:45et Ramboulam, d'ailleurs, il a dit ça récemment,
01:25:47qu'il veut réinventer son pays.
01:25:49Lui, il dit qu'il a tout
01:25:51à recommencer.
01:25:53Tout à recommencer.
01:25:55Moi, je dis simplement
01:25:57qu'il veut réinventer Maurice.
01:25:59Ni Béranger, ni Ramboulam,
01:26:01ni ce gouvernement,
01:26:03ils n'ont pas le droit à l'erreur.
01:26:05Ils ont tous les pouvoirs,
01:26:07toutes les capacités pour pouvoir
01:26:09mettre une nouvelle ligne Maurice
01:26:11du bout. Merci.
01:26:13Très bien, merci beaucoup.
01:26:17Dans la même direction,
01:26:19qu'est-ce qu'il adresse?
01:26:21Moi, le rapport, je pense qu'il est très bon.
01:26:23Il y a beaucoup de très bons points dedans.
01:26:25Mais quand même, je pense qu'il y a une langue
01:26:27qui n'est pas lancée au fond,
01:26:29à fond. Et ça,
01:26:31mon premier commentaire général.
01:26:33Et puis, déjà, ma affaire, c'est que
01:26:35nous trouvons avec Manuel Guterre, quand on pose
01:26:37ma question, il y a un cri de cœur
01:26:39qui se transmet d'un coup de gouvernance dans le pays.
01:26:41Alors, moi, je pense que le
01:26:43nouveau gouvernement a la bonne intention.
01:26:45Et le Premier ministre,
01:26:47je pense qu'il a commenté, comment tu peux dire,
01:26:49tout à l'heure, et
01:26:51Xavier, je pense que tout le monde
01:26:53pense que le gouvernement, le fait
01:26:55qu'il ait la bonne intention, qu'il ait la même direction
01:26:57qu'il nous mène Guterre et
01:26:59la masse de la population
01:27:01en veut faire.
01:27:03Et je pense qu'il a bien mis le système en place,
01:27:05qu'il a mis
01:27:07dans son programme
01:27:09de gouvernement,
01:27:11qu'il a mis le système, qu'il a mis la loi dure,
01:27:13et qu'il a dit qu'il ne peut pas
01:27:15le mettre dans le bon endroit
01:27:17et laisser le pays
01:27:19progresser. Et c'est très important,
01:27:21c'est un audit report. Malheureusement,
01:27:23nous ne l'avons pas pris au sérieux.
01:27:25Très bien. Le mot de la fin.
01:27:27Vous pouvez dire ce qu'il m'a fait dire
01:27:29au début. C'est un
01:27:31rapport de l'audit qui est arrivé
01:27:33à un moment exceptionnel.
01:27:35Comme Catherine l'a fait dire,
01:27:37le gouvernement actuel n'est pas responsable
01:27:39en rien de
01:27:41toute bande de gabarits qui est dans
01:27:43ce rapport-là. Il a besoin
01:27:45de services à l'occasion-là pour
01:27:47mettre l'ordre, s'il a besoin
01:27:49de condamner, s'il a besoin de sanctionner
01:27:51à l'avant.
01:27:53Mais nous finons d'arriver à un stade
01:27:55qui finit avec
01:27:57toute sa ingérence politique
01:27:59qui tient dans le passé. Nous devons,
01:28:01je suis d'accord avec Catherine,
01:28:03reconstruire un pays maurice
01:28:05sur des nouvelles
01:28:07bases, et nous devons
01:28:09calculer ce qu'il ne faut pas faire
01:28:11en 1968, quand il a gagné
01:28:13l'indépendance. C'était peut-être plus
01:28:15facile pour Sibusaga, parce que
01:28:17il a continué simplement
01:28:19l'anglais fin de faire, en bien
01:28:21ou en mal, mais avec quand même
01:28:23des ouvertures sur l'étranger,
01:28:25sur les organismes internationaux,
01:28:27Banque mondiale, FMI,
01:28:29nouveaux piliers économiques, etc.
01:28:31Mais aujourd'hui, il faut
01:28:33refaire nos pays,
01:28:35nos systèmes,
01:28:37et il faut qu'il y ait
01:28:39un avant
01:28:41et un après
01:28:4310 novembre 2024.
01:28:45Ça, c'est capital.
01:28:47Si j'avais un conseil pour donner
01:28:49à ce gouvernement-là, prendre
01:28:51un modèle au Singapour,
01:28:53prendre un modèle sur l'Inde,
01:28:55mais l'Inde dans son meilleur
01:28:57technicien,
01:28:59qui est capable vraiment
01:29:01de donner l'éclairage
01:29:03à nos pays maurices,
01:29:05parce que, je dirais encore une fois,
01:29:07nous, l'économie est bien artificielle,
01:29:09nous avons bien besoin
01:29:11de dépendre de l'extérieur
01:29:13pour que l'économie
01:29:15qui l'a fonctionné,
01:29:17n'est pas capable de faire l'erreur.
01:29:19Très bien, merci beaucoup
01:29:21Yvan Martial, merci beaucoup
01:29:23Aders Pidey, merci beaucoup Kandana Ngasame,
01:29:25nous finirons la fin de l'émission.
01:29:27Merci pour votre éclairage,
01:29:29j'espère que nos auditeurs
01:29:31vont apprécier justement
01:29:33vos commentaires là-dessus.
01:29:35Je vous souhaite une très bonne soirée
01:29:37et on se retrouve la semaine prochaine
01:29:39pour une autre émission de Zoom Extra.
01:29:41Demain soir, ce sera mon collègue
01:29:43Ashwin Sokapadu Kipula
01:29:45pour le 7 chez 7 des actualités commentées de la semaine.
01:29:47Bonne soirée à vous tous.