7 SUR 7 28 03 2025
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00:00:00Bon après-midi à tous, bienvenue dans notre nouvelle émission 7 sur 7 en ce vendredi.
00:00:09Comme vous le connaissez, nous passons en revue l'actualité, le sujet de l'actualité
00:00:12qui fait une demi-actualité cette semaine-ci.
00:00:14Comme thème, nous avons effectivement Chikungunya et Deng qui peuvent faire un ravage à Maurice
00:00:23et aussi à La Réunion.
00:00:25Et là, il ne nous reste qu'à voir qui fait une augmentation à Maurice, que ce soit
00:00:31au niveau de Deng et au niveau de Chikungunya.
00:00:33Deuxième thème, nous prenons le rapport de l'audit qui finit publié cette semaine-ci.
00:00:37Encore des gaspillages, encore des largesses au niveau des dépenses, au niveau des fonds
00:00:43publics.
00:00:44Nous avons le plaisir et le syndicaliste Radha Krishna Sardien qui est avec nous en studio
00:00:51pour commenter le rapport de l'audit.
00:00:53Radha Krishna Sardien, bonsoir.
00:00:54Oui, bonsoir Dazvim et bonsoir à tous les auditeurs de Top FM.
00:00:58Et au partage aussi, l'opinion de Chikungunya et aussi de MIC, il faut probablement un thème
00:01:03qui nous prenne Zawdy et comme troisième thème, nous avons l'affaire, l'enquête
00:01:09de la Financial Crimes Commission sur le deal MIC à Pavou que finit avec pas mal de révélations
00:01:18cette semaine au niveau de l'enquête de la FCC.
00:01:21Mais entre-temps, pour commencer l'émission, je peux dire directement que l'affaire qui
00:01:26peut passer à Maurice, c'est le cas de Chikungunya et Deng qui en hausse à Maurice.
00:01:32Nous pouvons peut-être en premier passer ça à Maurice, on va aussi aller à la Réunion
00:01:37pour savoir si ça peut faire avantage.
00:01:40Et je peux vous dire aussi qu'on va avoir une vidéo sur la situation au niveau de l'illustration
00:01:45en ce qui concerne Chikungunya et Deng.
00:01:48Chikungunya a officiellement fait ses premiers morts.
00:01:52L'épidémie doit prendre de l'ampleur, cela mobilise-t-il pour autant la vigilance
00:01:56des citoyens ?
00:01:57Après, on fait toujours attention, mais bien sûr, protection de la crème, anti-moustiques.
00:02:04Une moustiquaire en tout cas, surtout pour bébés.
00:02:06On met de l'anti-moustique.
00:02:08On fait attention, oui, mais on fait attention.
00:02:10J'habite à Saint-André, donc chez moi personnellement, il n'y a pas d'eau stagnante
00:02:17ou quoi, donc non, je ne me sens pas concernée par le Chikungunya, en tout cas pour le moment.
00:02:25C'est quelque chose qui vous fait peur ?
00:02:27Ah oui, bien sûr, surtout quand on a des enfants et même pour nous-mêmes.
00:02:32Est-ce que vous prenez des dispositions particulières pour éviter d'attraper le Chikungunya ?
00:02:36C'est plus des anti-moustiques.
00:02:39Je pratique le yoga tous les jours, 365 jours sur 365.
00:02:44Le vaccin est disponible, mais il est cher et non remboursé.
00:02:47Il sera toutefois gratuit pour les plus de 65 ans et toutes personnes atteintes de comorbidité.
00:02:53L'ARS en a commandé 40 000 doses et les attend pour le mois d'avril.
00:02:58Est-ce que vous seriez prêt à mettre le vaccin contre le Chikungunya ?
00:03:00Non, je ne veux pas.
00:03:02Pourquoi ?
00:03:03Comme ça, je n'ai pas envie de mettre de vaccin.
00:03:05Je veux faire des vaccins plus importants que ça.
00:03:08J'attends le remboursement de ce vaccin.
00:03:12200 euros, on m'a dit, c'est quand même un peu excessif.
00:03:17Comment les deux ? Comment vous faites quand c'est des familles nombreuses ?
00:03:21C'est vrai qu'au tampon, du côté de chez nous, il y a beaucoup de moustiques.
00:03:26Mais le vaccin du Covid, ça nous a tellement faibli qu'il n'y a plus de vaccin.
00:03:33On se traite avec des remèdes locaux.
00:03:35Compte tenu de tous les vaccins qu'on a eus ces dernières années,
00:03:40je préfère m'abstenir et rester sur la protection.
00:03:46Est-ce que ça vous tenterait de l'expérimenter ?
00:03:49Pourquoi pas, tant que je ne tombe pas malade après.
00:03:52Ah oui, mais est-ce qu'il a été testé, etc. ?
00:03:57On ne sait pas encore si on le mettrait de suite.
00:04:00La confiance en le vaccin progressera-t-elle si le Chikungunya fait de nouvelles victimes ?
00:04:04A voir, en attendant, certains sont prêts à se sacrifier.
00:04:08Si vous voulez être tranquille avec les moustiques à la maison,
00:04:11quand vous faites tarpas, je vous invite à un Zoreil.
00:04:18Voilà comment je t'ai trouvé.
00:04:19Le Chikungunya fait deux mots déjà au niveau de la Réunion.
00:04:23Au niveau de Maurice, il y a actuellement 12 cas actifs de Chikungunya
00:04:27et 12 cas de Dengue récemment recensés.
00:04:31Et il y a le docteur Fazil Kodabakos, représentant du ministère de la Santé,
00:04:36qui peut peut-être nous expliquer comment le ministère peut entreprendre et essayer de combattre.
00:04:42Nous avons trouvé qu'à la Réunion, je peux essayer de mentionner un vaccin.
00:04:45La plupart des gens étaient un peu sceptiques par rapport au vaccin,
00:04:50mais comme mesure de précaution, au niveau de Maurice,
00:04:53il y a un exercice de fumigation qui peut être fait partout.
00:04:57Il y a aussi un exercice de contact tracing qui peut être fait par le ministère de la Santé
00:05:01par rapport à des cas qui sont détectés.
00:05:03Justement, nous avons Radha Krishna Sardien qui est avec nous en studio
00:05:08en attendant qu'il nous gagne le docteur Fazil Kodabakos.
00:05:10Tu peux causer avec nous, tu es là, en ce qui concerne l'exercice de fumigation.
00:05:14Est-ce qu'il y a un petit problème au niveau de l'exercice que tu fais l'année dernière ?
00:05:20Vous savez, le problème de Chikungunya, il y a un problème de la santé publique.
00:05:26Comment nous trouver avec Covid, comment nous trouver avec Dengue.
00:05:31Bien sûr, il y a des mesures qui, selon moi, sont nécessaires pour tout le monde,
00:05:37pour l'autorité, et aussi il y a des actions qui sont nécessaires pour les citoyens.
00:05:44Il y a des campagnes qui sont nécessaires, selon moi,
00:05:46et il y a des affaires continues qui sont des affaires qui ne sont pas nécessaires.
00:05:50Mais laissez-moi te dire qu'il commence par...
00:05:53parce que nous, les étrangers qui viennent ici,
00:05:55soit ils viennent par l'aéroport, soit ils viennent par le port.
00:06:00Et moi, je crois qu'il faut un contrôle bien métiquelé qu'il faut faire au niveau de l'aéroport.
00:06:07Mais il nous faut un staff pour faire ça.
00:06:10Souvent, quelqu'un vient remplir une forme au ministère de la Santé,
00:06:13il dit qu'il n'a pas gagné de la fièvre, etc.
00:06:15Mais il peut venir, parce qu'il y a un pays
00:06:17où tu mets l'appareil, où tu es capable de faire une dépistage, où tu es connu au départ.
00:06:23Maintenant, il y a un officier au ministère de la Santé qui visite les passagers qui viennent.
00:06:27Il y a des Mauritiens qui sont venus visiter à domicile.
00:06:31Ils suivent les passagers par la suite,
00:06:35pour savoir s'ils sont infectés ou pas.
00:06:38S'ils sont connus avec prise de sang et tout.
00:06:41Mais je crois qu'il y a un gros problème de personnel à l'hôpital de la Santé.
00:06:44C'est la prévention.
00:06:47Donc, il y a un travail qui doit être fait.
00:06:48Malheureusement, au cours des années, le poste n'a pas été rempli.
00:06:51Donc, je vous le dis.
00:06:52Ça, c'est une affaire.
00:06:54Déjà, la fumigation est importante.
00:06:57C'est ce qu'on fait dans le cas d'une fumigation.
00:06:59Mais la fumigation qu'on fait, je vous le dis,
00:07:02il y a un poste qui va encore dans le ministère de la Santé,
00:07:04c'est le poste qui est au budget, qui n'est pas rempli.
00:07:08Quand il n'est pas rempli, c'est un autre problème.
00:07:10Là, on doit prendre un opérateur prêté avec le ministère de l'Agro-Industrie,
00:07:15avec le ministère de l'Environnement.
00:07:16Il faut faire la fumigation partout.
00:07:19Je vous le dis, les escaliers pour couper les autres,
00:07:21le travail qu'ils ont fait, la fumigation.
00:07:23Je vous le dis, les escaliers pour couper les autres,
00:07:24le travail qu'ils ont fait, la fumigation.
00:07:26Parce que, justement, on peut faire face à un gros problème de santé publique.
00:07:30Vous pensez, nous pouvons aussi, quand on travaille, nous pouvons aider les autres.
00:07:33Donc, je vous le dis, ce n'est pas l'année dernière.
00:07:36C'est malgré les demandes qu'ils nous font régulièrement,
00:07:40malheureusement, on n'a pas encore gagné de l'argent pour qu'ils aient un travail.
00:07:44Pour qu'ils aient un travail, il faut aider les sociétés mauriciennes.
00:07:46Et puis, troisièmement, il y a une campagne qui nous a amené,
00:07:50par exemple, Moustique, qui a eu de bonnes places.
00:07:52Il y a une campagne qui m'a amené.
00:07:56Je pense qu'il faut aussi faire des efforts pour qu'il n'y ait pas de propagation de cette maladie-là à travers Moustique.
00:08:04Nous pouvons justement, la campagne, en direct avec nous, le docteur Fasil Kodabakos,
00:08:09qui est directeur au niveau du ministère de la Santé.
00:08:11Il dit même qu'il peut gérer le dossier de Chikungunya.
00:08:13Je vous le dis, parce qu'il ne peut pas y aller à cause du Ramadan.
00:08:17Bien sûr.
00:08:18Mais il est accepté pour répondre aux bonnes questions.
00:08:19Le docteur Fasil Kodabakos.
00:08:21Docteur, bonsoir.
00:08:23Bonsoir.
00:08:24Merci, Oupéra, d'accepter de répondre aux bonnes questions.
00:08:26Si tu ne comprends pas, dis-nous.
00:08:27Première question, dis-nous.
00:08:28Quel est l'état actuel au niveau du Chikungunya et d'Ain Amoris actuellement ?
00:08:33As we speak.
00:08:35Donc, le nombre de Chikungunya, il y en a 13 cas locaux et 3 cas importés.
00:08:45Donc, 16 cas au total.
00:08:47Cet après-midi, nous avons détecté un cas chez un enfant de 4 ans à peu près,
00:08:54qui habitait en Deux Grandes Baies.
00:08:57Donc, là, c'est la situation de Chikungunya.
00:09:02Il y a deux bonnes régions qui ont détecté les bonnes cas.
00:09:07C'est Atamarin, Cap Malheureux, Nguyen Perrébert, Nguyen Ca, Vallée des prêtres,
00:09:15Mapu, et Nguyen Ca, Ses Grandes Baies.
00:09:18Donc, en ce qui concerne la Dane, les plus grandes régions, Pleine-Magnan,
00:09:27donc c'est 12 cas qu'il y en a au total, et parmi, il y en a 11 cas actifs.
00:09:36C'est-à-dire 11 toujours en admission dans Jawaharlal Nehru avec l'hôpital de Suat.
00:09:45Donc, là, autour de ces cas-là, nous prenons des mesures de santé publique.
00:09:50Tout de suite, nous faisons le fogging d'un protocole bien établi,
00:09:55l'outsideing, le contact tracing, le fever survey, les laboratoires et le travail.
00:10:03Cela veut dire tous les jours, et c'est pourquoi nous avons ce résultat-là.
00:10:10Tous les médecins privés et publics sont au courant de la définition de Dane et Chikungunya.
00:10:19Comme ça, nous sommes capables de faire des diagnoses, nous sommes capables de faire des tests,
00:10:24et le plus vite qu'ils sont capables, ils isolent la personne et tenu ce traitement approprié,
00:10:29et font un exercice de fumigation, de l'outsideing autour de ces cas-là.
00:10:37Nous avons le Vector Biology Control Division, qui fait nous connaître la densité des moustiques.
00:10:45Tout cela, nous faisons le travail tous les jours, et nous traitons ce parent avec les mains de média.
00:10:55On peut dire exactement ce qu'il nous faut faire.
00:10:58Donc, nous avons des réguliers qui s'organisent par le SI,
00:11:05nous avons aussi l'intersectoral meeting qui s'organise par le ministre.
00:11:10Après, le SI, tous les jours, nous faisons cela le matin à 9h avec le ministère de l'Environnement,
00:11:17le ministère de la Collectivité locale, SMF, ARIM, les touristes, l'éducation.
00:11:27Donc, nous trouvons que c'est tout du moins immobilisé pour les capables d'empêcher la prolifération des moustiques.
00:11:35Donc, surtout les 5 mois d'avril, la chaleur et l'humidité sont très propices pour les moustiques multipliés.
00:11:45– D'accord, et une question plus précise, M. Koulabakos,
00:11:48c'est qu'il nous trouve à La Réunion, fin d'année 1, des cas de décès.
00:11:54Est-ce qu'un mourisse, est-ce que le chikungunya ou dengue sont capables d'être fatale, de mourir ?
00:12:00La question qui nous pose nous, parmi la population, jour-dix-jours,
00:12:04est-ce qu'il y a des gens qui peuvent mourir avec dengue ou chikungunya ?
00:12:09– Chikungunya, quand on trouve ces deux cas fataux, ce sont deux personnes âgées.
00:12:15Donc, oui, c'est vrai qu'une immunité baissée avec l'âge,
00:12:19aussi, il y a une comorbidité, et quand il y a une infection,
00:12:22il y a quelque chose de compliqué, soit ils sont capables de détériorer une condition qu'il n'y a pas.
00:12:31Par exemple, s'il y a une insuffisance cardiaque, soit une insuffisance rénale,
00:12:35il y a un chikungunya, mais cette maladie-là, même, vous détériorez pour une plus complication.
00:12:41Donc, c'est un peu banalisé, mais pour l'ADEME,
00:12:44c'est-à-dire qu'ils sont capables de causer problème de symptômes, de maladies,
00:12:48et donc, une fois, nous avons trouvé qu'il y avait une transfusion de plaquettes.
00:12:54Pourquoi ne pas banaliser ? Oui, nous sommes au sérieux de ces deux maladies-là,
00:12:59et donc, le médecin peut faire le diagnostic, il peut donner un traitement approprié,
00:13:03et tous les médicaments sont là.
00:13:05Donc, nous ne pouvons pas prendre une vaccine, c'est-à-dire l'automédication,
00:13:10parce que, par exemple, si vous avez une grosse douleur,
00:13:13nous faisons un test pour nous connaître entre ADEME et chikungunya.
00:13:17Paracitamol, si vous parlez à Jacques, c'est OK,
00:13:19mais les anti-inflammatoires, faites attention, surtout dans l'ADEME,
00:13:23les contre-indiqués sont capables de causer plus de problèmes.
00:13:26Donc, il ne faut pas banaliser, nous devons avoir un médecin pour faire le diagnostic
00:13:30et pour donner les meilleurs médicaments appropriés.
00:13:33En 2005-2006, vous avez eu au moins 11 000 cas de chikungunya.
00:13:37Ça, ça frappe-nous à Maurice de Dr. Peterbakers.
00:13:40Est-ce qu'il y a, avec le contact tracing qu'on peut faire au niveau du ministère,
00:13:44c'est quoi la tendance ?
00:13:45Est-ce que le cas peut augmenter ou est-ce que ça peut résymétriser
00:13:49les cas par rapport au contact tracing qu'on peut faire ?
00:13:52On peut essayer de contenir l'infection de main de place.
00:13:57Par exemple, dans le nord, on peut faire l'hôpital,
00:13:59on peut réparer les tamarins, tout ça, autant que possible,
00:14:03mais ça peut augmenter.
00:14:05Parce que, comment je te l'ai dit au début,
00:14:06parce que cette saison-là, c'est une saison favorable pour prolifération de moustiques.
00:14:11Et le maître mot, c'est moustique.
00:14:14Donc, pour tout ce qui est concerné, les petits gestes simples qu'on peut faire,
00:14:18par exemple, nous pouvons convenablement réserver de l'eau
00:14:21que les moustiques peuvent accéder,
00:14:23nous débarrasser tous les objets qui retiennent de l'eau,
00:14:25par exemple, nous utiliser les boîtes de concert,
00:14:28nous veiller à ce qu'il n'y ait pas de rétention d'eau
00:14:31dans les assiettes, sous les pots, aux fleurs.
00:14:33Donc, je crois que nous, individuellement, nous voulons coopérer.
00:14:37Mais bien sûr, les autres ministères aussi,
00:14:40nous pouvons coopérer, nous voulons coopérer davantage.
00:14:44Par exemple, au ministère de l'Environnement, Collectivité et local,
00:14:48ce matin, nous étions, personnellement, à une pleine manière.
00:14:54Donc, là, nous pouvons dire, là encore,
00:14:56tu es capable de prendre des déchets-là, au moins deux fois par semaine,
00:15:00ou un petit peu augmenter de fréquence,
00:15:02parce que quand nous, nous pouvons venir,
00:15:04nous pouvons faire l'orbicide et le fogging,
00:15:07nous voulons un terrain un petit peu plus propre,
00:15:08comme ça, quand le Vector Biology Control Division vient,
00:15:12nous n'avons pas trop un breto-index,
00:15:14c'est-à-dire une densité moustique un peu plus bas.
00:15:17Donc, l'idée, c'est de diminuer la population moustique,
00:15:20comme ça, nous avons moins d'infections.
00:15:24– Mise à part le contact tracing et le fogging que vous pouvez faire,
00:15:27quelles sont les précautions de prévention que vous pouvez prendre
00:15:30au niveau du ministère de la Santé ?
00:15:32Où informent le public, où sensibilisent le public
00:15:35en ce qui concerne les dangers du tic-ou-tac ?
00:15:39– Donc, déjà, avec Mopékozin, avec vous,
00:15:41et merci, nous recevons mal au plateau,
00:15:44donc les médias, nous pouvons faire tout radio et télévision aussi,
00:15:50et aussi, nous avons une campagne de sensibilisation
00:15:55pour les enfants dans les collèges,
00:15:57d'abord, nous avons le ministère de l'éducation
00:15:59qui nous fait distribuer les pamphlets,
00:16:02et nous avons les médecins, le Health Promotion Unit,
00:16:05nous avons les médecins sur place,
00:16:06nous pouvons travailler en étroite collaboration
00:16:08avec le ministère de l'éducation,
00:16:11parce qu'il est très important que les enfants comprennent,
00:16:14et les professeurs aussi, nous pouvons exprimer les messages clés,
00:16:17nous pouvons aller à l'école,
00:16:18là, nous avons les Health Centers, nous avons les Women's Centers,
00:16:24tout ça, nous pouvons faire toute cette sensibilisation-là.
00:16:28Le mass communication est très important,
00:16:30donc nous avons un réseau, nous avons tous les immunités,
00:16:34après nous avons le Hotline 8924,
00:16:37les immunités qui peuvent téléphoner,
00:16:38après nous avons le bureau sanitaire,
00:16:40parce que, par exemple, une immunité capable,
00:16:42elle peut garder son terrain bien,
00:16:44elle est capable de sauver son voisin,
00:16:45son terrain ne peut pas être trompé,
00:16:47mais donc elle doit faire des demandes aux résidents de la région de Pauly,
00:16:52il y a le Health Capable, l'inspecteurat de Pauly,
00:16:55il doit faire ce pamphlet,
00:16:56là, nous ne pouvons pas faire ça, bien sûr,
00:16:59avec, disons, la collectivité locale,
00:17:02nous ne pouvons pas faire ça avec l'environnement,
00:17:03ça veut dire que nous travaillons en collaboration,
00:17:06donc nous demandons à tout le monde de coopérer
00:17:09dans cela au moins deux mois qui peut arriver là,
00:17:13parce que c'est des mois-là bien critiques,
00:17:15parce qu'en hiver, peut-être nos cas gagnent un petit peu moins
00:17:19la circulation domestique parce qu'il fait froid,
00:17:21mais là, avec cette chaleur, avec les métiers-là,
00:17:24c'est extrêmement propice pour la prolifération domestique.
00:17:29Une dernière question, Docteur Cadavacos,
00:17:31au niveau de fogging,
00:17:32en quelle fréquence vous pouvez faire fogging ?
00:17:35Là, nous comprenons que c'est plutôt la région de Pleine-Magnan
00:17:37qui est affectée par le chikungunya.
00:17:40Est-ce que vous pouvez faire fogging dans toutes les régions du pays
00:17:42ou soit les concentrer jusqu'à une place qui ne détecte pas de cas ?
00:17:47Une place qui ne détecte pas de cas,
00:17:48disons à Tamarins, à Mapo,
00:17:51je trouve que toutes ces bonnes places peuvent nous faire fogger.
00:17:59Mais bien sûr, en même temps,
00:18:02je vais regarder la liste, je suppose qu'il y a une personne
00:18:04qui n'a pas une autre place pendant cette période infectée-là.
00:18:11Ça a une place aussi pour nous faire fogging.
00:18:12Il y en a dans l'hôpital aussi pour nous faire fogging.
00:18:15Mais pourquoi je l'envisage de nous faire beaucoup de places
00:18:19et ça tout au long de l'année.
00:18:22D'accord, merci.
00:18:24En tout cas, merci beaucoup.
00:18:25Si vous avez un message à la population,
00:18:26le Docteur Fazil Kodabakas au niveau du ministère de la Santé,
00:18:29me donnez l'occasion pour peut-être passer un message au niveau de la population
00:18:33parce qu'il y a quand même un grave cas qui nous peut gagner en ce moment.
00:18:38Peut-être qu'il y a des gens qui ne peuvent pas aller là-bas.
00:18:41Mais comment pouvez-vous dire qu'il n'y a pas de cas pour certaines personnes âgées ?
00:18:47Il y a des personnes qui ont la comorbidité, il y a des états de risque.
00:18:51Donc, le message c'est early detection, ça veut dire qu'on maintient les symptômes.
00:18:57C'est-à-dire qu'on ne peut pas avoir de la fièvre,
00:18:59on ne peut pas avoir de douleurs articulaires,
00:19:01surtout dans les communes, les douleurs articulaires sont assez fortes.
00:19:04Mais dans nos capables, il y a des douleurs musculaires,
00:19:07des maux de tête, des éruptions vitales dans certains cas.
00:19:10Les villes de l'avant, les centres de santé,
00:19:14le médecin qui va faire le diagnostic et le test,
00:19:17ça c'est un, ça veut dire qu'on maintient les symptômes.
00:19:20Deuxième affaire, éviter les bêtes, ça veut dire ne pas être piqué par un moustique.
00:19:25Il faut avoir de la crème anti-moustique et des vêtements qui nous conviennent convenablement.
00:19:33Et la troisième affaire, empêcher la prolifération des moustiques.
00:19:36Chaque commune doit s'assurer qu'elle se débarrasse de ce qu'on appelle de la jute en verre,
00:19:43de la plastique, des moustiques multipliés.
00:19:46Donc ces trois sujets sont très importants.
00:19:49Il faut prendre autant de précautions parce que là,
00:19:53nous pouvons trouver des cas augmentés et nous devons être extrêmement vigilants.
00:20:00Est-ce qu'il y a des cas qui augmentent plus avec les exercices de contact tracing en cours?
00:20:07Oui, nous pensons que oui, parce que les moustiques,
00:20:12s'ils sont infectés, ils ne peuvent pas piquer les autres personnes.
00:20:17Les personnes qui développent des symptômes, c'est comme ça, ils propagent.
00:20:21Donc c'est pourquoi nous devons prendre extrêmement des précautions
00:20:24pour ne pas piquer les moustiques et empêcher les moustiques de proliférer.
00:20:27D'accord, en tout cas, merci beaucoup M. Fasil Godlapakos.
00:20:30Vous nous jouez le jeu, vous finirez par répondre à nos questions.
00:20:33Et nous saluons aussi l'intervention dans les médias tous les jours
00:20:36par rapport à l'information qui vous plait de nous par rapport au contact tracing.
00:20:40Et nous pourrions aussi, au départ, nous contacter le ministre de la Santé,
00:20:44Anil Bethu, qui est supposé intervenir.
00:20:46Mais le ministre Anil Bethu nous fait comprendre
00:20:48que peut-être c'est mieux qu'il y ait le Dr. Godlapakos qui intervienne,
00:20:52parce qu'il est l'IPJ de celui-là.
00:20:54Le ministre Anil Bethu n'est pas trop un expert dans son matière-là,
00:20:59mais comment vous finit-il de gagner le Dr. Fasil Godlapakos
00:21:03qui finit de nous donner pas mal d'informations?
00:21:05Peut-être une première réaction, M. Alakrishan Sardia?
00:21:08Peut-être que le fait qu'il nous laisse un thème-là,
00:21:12je suis content de dire que c'est vrai que le Dr. Godlapakos
00:21:15finit d'expliquer un peu peut-être l'ampleur que l'IPJ prend.
00:21:19Je trouve même dans les vidéos qu'il y a des rayonnées qui le font mentionner,
00:21:23parce que la santé finit de fragiliser avec les vaccins
00:21:26qu'ils administrent dans le contexte de la COVID.
00:21:31Et puis, il y a aussi une population vieillissante.
00:21:33Donc, c'est une réalité de toutes façons.
00:21:35Mais de l'autre côté, si on peut exposer, c'est la population,
00:21:40mais nous devons aussi protéger nos membres personnels.
00:21:44Moi, la question qui me posait, est-ce qu'il y en a suffisamment de personnes?
00:21:48Qu'est-ce qu'il y a au niveau de l'aéroport?
00:21:50Je ne sais pas qui est arrivé ces derniers temps,
00:21:51mais je sais qu'il y a un débat dans l'aéroport.
00:21:53Il y a un contrôle qui est fait déjà au départ,
00:21:56même quand on a testé des gens qui ont une température un peu beaucoup plus faible.
00:22:02Ils sont capables de finir spotés déjà là-bas.
00:22:04Mais s'il n'y a pas ce contrôle-là,
00:22:05je pense que s'il n'y a pas de contrôle au niveau de l'aéroport,
00:22:08les gens qui vont faire le contract tracing,
00:22:10je pense que là, peut-être qu'on ne va pas pouvoir trapler comme on le faisait.
00:22:16Ça, c'est une.
00:22:17Et puis, deuxièmement, vous connaissez, tout ça va intégrer un problème.
00:22:19Il faut qu'il y ait une supervision,
00:22:21parce qu'il y a un Grand Capital Health Surveillance Office.
00:22:24C'est de supposer qu'il y a un coup de main,
00:22:26parce qu'il y a un système, il y a une façon qu'il fait,
00:22:29il y a une technique qu'il fait, pas un exprès comme ça.
00:22:32Mais en tout cas, je pense que c'est un problème de personnel.
00:22:36Et maintenant, quand il y a des touristes qui viennent,
00:22:38ils doivent suivre ces touristes-là.
00:22:40Et parfois, moi aussi, j'y vais.
00:22:42J'appelle, je vais aller voir le jeune,
00:22:44je prends prise de sang,
00:22:46et je dis ça là aussi, dans certaines températures.
00:22:48Est-ce qu'il y a une facilité pour faire ce travail?
00:22:50Donc, on a besoin qu'il y ait des protections pour les gens qui font le travail.
00:22:53Parce que maintenant, quand je fais le travail,
00:22:55je ne suis pas là pour protéger la population.
00:22:57C'est pourquoi il y a le côté prévention.
00:22:58Et je veux vous conclure pour dire que
00:23:01dans le contexte COVID, l'OMS, il fait une recommandation.
00:23:04Il dit que maintenant, étant donné qu'on connaît l'ampleur de la santé publique,
00:23:11il recommande qu'on prenne 1% du produit national.
00:23:14Oui, pour augmenter le budget de la santé.
00:23:17Il recommande ça pour tout le ministère.
00:23:19Ça faisait du côté prévention.
00:23:21Il fait sa recommandation-là.
00:23:22Mais malheureusement, ce qu'ils m'ont constaté pendant des années,
00:23:25c'est que le budget de la santé a augmenté en termes personnels,
00:23:29en termes de training, en termes d'équipement.
00:23:30Je trouve malheureusement qu'ils n'ont pas fait ce qu'ils m'ont dit
00:23:33d'après sa recommandation.
00:23:34Alors, c'est un travail qu'ils ont fait pour moi, c'est vrai.
00:23:36Ils ont engagé la population de toute façon.
00:23:38Vous le connaissez, moi aussi, je vous l'ai dit.
00:23:40Si quelqu'un, maintenant, est sur un terrain vague,
00:23:42il y a une boîte, comment dire, une boîte qu'on serve,
00:23:46il prend une épaisette, il y a une épaisette à l'autre côté,
00:23:49il ne peut pas réaliser que c'est un petit bout de gout de l'eau.
00:23:51C'est la même que pour un moustique.
00:23:52C'est un moustique là pour rentrer dans son local demain.
00:23:54Je pensais qu'il fallait que les gens comprennent
00:23:55que toute action qu'ils prennent, ils l'exposent eux-mêmes.
00:23:59Donc, je crois que le ministère de l'Environnement a un rôle important.
00:24:03Il nous connaît, il commence à faire un travail.
00:24:07C'est pourquoi il y a des affaires multisectorielles,
00:24:09qui impliquent tout le monde.
00:24:10Même la société civile est impliquée dedans.
00:24:12Il y a des problèmes pour le ministère de la Santé,
00:24:14pour le ministère de l'Environnement,
00:24:16mais il est conscient de la population.
00:24:18C'est vrai qu'il n'y a pas que 20 enfants dans l'école,
00:24:20il y a aussi un an dans la société.
00:24:22Mais il faut compter sur le nombre de personnes.
00:24:24Est-ce qu'il y en a suffisamment de personnes
00:24:26du côté de la prévention,
00:24:28qui ne pourront pas faire tout ce qu'ils doivent faire.
00:24:31Je comprends qu'il y ait un fonctionnaire,
00:24:33qui dit qu'on ne peut pas faire ça,
00:24:34mais combien de monde ne pourra faire ça ?
00:24:35Dans la réalité, c'est la pratique.
00:24:37Comment ça se fait dans la pratique ?
00:24:38Il y a une affaire très importante,
00:24:40le budget du ministère de la Santé a augmenté et a baissé.
00:24:43Mais il y a une affaire qui n'a pas baissé,
00:24:46c'est les dépenses inutiles,
00:24:49les gazpillages qui sont mentionnés
00:24:51au niveau du ministère de la Santé dans le rapport de l'audit.
00:24:54Nous pourrions revenir au deuxième thème,
00:24:55nous pourrions couvrir ça tout de suite.
00:24:57Après la pause pub, nous pourrions revenir au deuxième thème,
00:24:59c'est-à-dire les largesses et les gazpillages
00:25:02mentionnés dans le dernier rapport de l'audit
00:25:04qui fut publié cette semaine.
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00:29:17Et je crois qu'il nous faut publiquement remercier
00:29:20tous ces anciens directeurs de l'audit présents
00:29:23tous ces anciens directeurs de l'audit présents
00:29:26parce qu'il y a quelqu'un qui, quand il est nommé directeur de l'audit,
00:29:29il imagine qu'il a une grande responsabilité
00:29:32et surtout pour faire ce travail qu'il m'a besoin.
00:29:35Au contraire, il n'a qu'à faire des commentaires, des observations
00:29:38après j'ai reçu des critiques
00:29:41qui pour moi, comme un représentant,
00:29:44je pense que nous devons protéger ces gens-là
00:29:47parce qu'ils ont fait des affaires dans l'intérêt national
00:29:50et ils ont fait ce travail honnêtement.
00:29:53Sinon, quand on trouve toute sa qualité d'interférence dans l'incision
00:29:56ou quand tu prends un secrétaire pour l'audit
00:29:59je pense que nous devons continuer, nous devons encadrer
00:30:02le département de l'audit. Je connais là-bas aussi
00:30:05il y a un problème de personnel
00:30:08et là-bas aussi, malgré cela, je ne protège pas.
00:30:12Maintenant, c'est vrai que chaque année,
00:30:15autour du rapport de l'audit, il fait mention des pratiques de mauvaise gouvernance
00:30:18il fait mention des gaspillages, il montre comment
00:30:21il n'a pas de place pour contracter un contrat
00:30:24pour pouvoir faire ce travail qu'il m'a besoin
00:30:27il y a beaucoup de secteurs qui ont une « write-off »
00:30:30c'est-à-dire qu'ils ne peuvent pas payer la pension.
00:30:41Il n'y a pas de digitalisation de ce système
00:30:44au niveau de ce secteur du gouvernement.
00:30:59Comment on arrête ça ?
00:31:02Est-ce qu'ils nous continuent à nous faire rappeler
00:31:05le PAC ? Après Paris, non, il n'y a pas d'aucune action qui arrive.
00:31:11D'ailleurs, dans l'Angleterre, c'est un sélect comité
00:31:14de House of Commons. Ici aussi, il y a un sélect comité
00:31:17qui a des responsabilités et j'ai eu l'occasion
00:31:20d'avoir un « sitting » avec le PAC
00:31:23et vous connaissez peut-être comment j'ai opéré.
00:31:26Ce que je fais, c'est que j'analyse le rapport,
00:31:29je dirige l'audit, je travaille avec les représentants de l'audit
00:31:32je travaille aussi avec les responsables du ministère, j'ai une explication
00:31:35après je fais mes recommandations. Mais une fois que je fais mes recommandations
00:31:38parce que je dirais par exemple, je dirais qu'il y a un pays
00:31:41d'héritiers, pension, qui a décidé.
00:31:44Ce qu'il a fait, c'est qu'il a fait ses recommandations
00:31:47il a dit « bon, il y a un problème »
00:31:50et en même temps il a dit qu'il fallait faire de manière à cela s'arrêter.
00:31:53Et il a dit qu'il a besoin d'une coordination
00:31:56entre le Passport et l'Immigration Office
00:31:59avec le Civil Status Office.
00:32:02Et là, quand on a cette coordination-là,
00:32:06parce qu'il y a quelqu'un d'héritier qui dit qu'il y a un parent qui a décidé
00:32:09mais il n'est pas capable de dire qu'il y a quelqu'un qui a décédé,
00:32:12c'est pour ça qu'on n'a pas de digitalisation, c'est-à-dire
00:32:15l'un des problèmes qu'on fait aujourd'hui
00:32:18c'est justement parce qu'on n'a pas un système
00:32:21bien rôdé qui est capable de suivre.
00:32:24Et je fais mes recommandations, mais c'est moi
00:32:27qui fais mes recommandations, après je ne peux pas suivre
00:32:30parce que si je suis là, je n'ai rien à faire pour le ministère.
00:32:33Est-ce qu'il y a un mécanisme de suivi, je peux dire, ou non?
00:32:36Alors, c'est pourquoi je pensais
00:32:39que mes recommandations, je les prends sérieusement
00:32:42par mon ministère.
00:32:45Et il y a aussi une instance qui fait suivre,
00:32:48ce n'est pas mon suivi-là.
00:32:51Sinon, on a raison, peut-être chaque année, il y a un rapport venu
00:32:54et vous savez, je suis colossal.
00:32:57Aujourd'hui, vous pouvez être le ministre Haussmann,
00:33:00vous pouvez faire des affaires, vous pouvez faire des affaires, vous savez,
00:33:03comme on dit ça, vous savez, une voiture qui rentre dans la garage,
00:33:06vous pouvez payer, de façon publique.
00:33:09Et aujourd'hui, il y a une proposition, et ça, je me rappelle, dans un rapport
00:33:12il y a 4 ans, 5 ans de cela, qui fait mention que je peux coûter l'État
00:33:15700 millions de roupies. Et moi, j'ai fait 1 milliard aujourd'hui.
00:33:18Et vous savez, quand on a un signe qui dit qu'on ne peut pas prendre le bus stop,
00:33:21on ne peut pas se parler parce que c'est sur place.
00:33:24Alors, il y a une proposition qui dit, et même dans un rapport
00:33:27qui dit qu'il faut revoir ce système-là.
00:33:30Il y a eu 10 ans de cela. Mais on ne peut pas le faire.
00:33:33Et là, aujourd'hui, encore une fois, il y a encore un problème.
00:33:36Mais bon, comment dire, on ne peut pas traiter l'euro par les cônes, quelque part.
00:33:39C'est pourquoi je pense, moi, qu'il faut une plateforme,
00:33:42c'est de façon publique, il faut une plateforme après qu'ils aient fait assez
00:33:45parce qu'ils ont fait assez, ils ont fait ce rapport
00:33:48avec le Parlement,
00:33:51avec l'Assemblée Nationale, parce que l'Assemblée Nationale
00:33:54qui fait ce métier-là.
00:33:57Et de là par la suite, il y a besoin d'un mécanisme pour que la société civile
00:34:00fasse partie de ce mécanisme-là, pour que la presse
00:34:03fasse partie de ce mécanisme-là, pour que les professionnels
00:34:06fassent partie de ce mécanisme-là, même un ancien directeur de l'audit
00:34:09fasse partie de ce mécanisme-là. Alors, il faut savoir dans quelle façon
00:34:12on ne peut pas prendre. Et quand il y a un blocage,
00:34:15et qu'est-ce qu'on a pu faire au blocage, en même temps qu'on a sa
00:34:18fiscal responsibility avec nous, on a besoin d'une interconnexion.
00:34:21On a pensé qu'il y a une fiscal responsibility avec les biens nécessaires
00:34:24quand nous trouvons qu'il y a un gaspillage qu'il peut faire avec l'argent public,
00:34:27y compris pour les fonctionnaires, car nous causons souvent les politiciens,
00:34:30les ministères, les ministres, mais quand on est bien,
00:34:33deep down, la grande responsabilité c'est
00:34:36aussi les fonctionnaires qui prennent les décisions,
00:34:39qui pilotent les projets.
00:34:42Il y a beaucoup de choses qui sont arrivées.
00:34:45Est-ce que maintenant les fonctionnaires...
00:34:49Il y a des fonctionnaires et des fonctionnaires.
00:34:52Rappelons-le, même dans le passé, il y avait des
00:34:55techniciens qui faisaient des recommandations,
00:34:58après quand ils ne montaient plus là-haut, les recommandations
00:35:01ne prenaient pas en considération, ne prenaient pas en compte.
00:35:04Vous savez, un fonctionnaire, quand il a un cercle sur la tête,
00:35:07il n'a pas le droit de divulguer son ordre. Il doit accepter ce qui se fait.
00:35:10Alors, quand on trouve des affaires qui peuvent arriver,
00:35:13et là, vous vous rappelez, je vous disais par exemple,
00:35:17sans rentrer dans les détails, il y a le centre récréationnel
00:35:20Rianbelle, qui a lu un contrat en novembre 2015.
00:35:23Et ce projet-là descendait
00:35:26des millions.
00:35:29Malgré PASC, l'audit d'une ferme en Chaux,
00:35:32qui est dans le rétorque, c'est de maintenir l'escalier
00:35:35de l'encadrement opérationnel.
00:35:38Parce qu'il y a une somme importante de 202 millions.
00:35:41Ils ne peuvent pas nous contribuer.
00:35:45Donc, si maintenant, c'est beaucoup en même temps,
00:35:48je peux y aller, sans aucune hésitation,
00:35:51c'est que, bien sûr, ils ont un pouvoir.
00:35:54Et puis, il y a un problème aussi de monitoring.
00:35:57Il y a un problème aussi de contrôle.
00:36:00Parce que, quand on est en finance,
00:36:03on a un cadre qui occupe justement tout ce qui est entré avec la finance.
00:36:06Mais si on est dans ce cadre-là-même,
00:36:09on a une désorganisation.
00:36:13En termes de responsabilité,
00:36:16en termes de supervision, en termes de monitoring.
00:36:19Et malgré le fait que ça finisse
00:36:22avec les responsables,
00:36:25mais qu'on va dire qu'on ne va pas prendre ça en considération.
00:36:28On est quelque part de là où tout le monde a un résultat.
00:36:31Alors moi, je crois qu'il y a un gros travail qui doit être fait,
00:36:34parce que l'argent public est un peu autant
00:36:37qui touche tout le monde ensemble, qui nous met la tête ensemble.
00:36:40Je ne crois pas qu'aujourd'hui, il n'y ait pas de Kissana,
00:36:43on retrouve l'année prochaine un rapport qui dit la même chose.
00:36:46Il y a du monde qui fait un rapport.
00:36:49Qu'est-ce qui nous peut faire?
00:36:52Et là aussi, il y a la question de la punité,
00:36:55parce qu'il n'est pas possible.
00:36:58On trouvait la dernière fois qu'il y avait du monde
00:37:01qui finit impliqué dans une mauvaise décision.
00:37:04Il faudrait aussi qu'il y ait une instruction
00:37:07et qu'il y ait une recommandation technique.
00:37:10Et la secrétaire permanente de l'administration,
00:37:13elle n'a pas besoin d'un ministre.
00:37:16Elle a besoin d'un ministre.
00:37:19Il ne faudrait pas que ces ministres aient des affaires.
00:37:22Ils vont faire plaisir à ces ministres.
00:37:25Mais qu'est-ce qui peut faire l'accord avec le FCC?
00:37:28Qui peut faire l'accord avec le FCC? Ce sont les fonctionnaires.
00:37:31Je pense qu'il nous faut des fonctionnaires.
00:37:34Je pense qu'il nous faut des députés dans le passé
00:37:37qui finissent impliqués, parce qu'il n'y a pas de traces.
00:37:40Les paroles s'envolent. Il n'y a pas de traces.
00:37:43Mais officiellement, il a besoin de prendre une décision.
00:37:46Il a besoin d'assumer ses responsabilités.
00:37:49Mais si vous trouvez, demain, il peut sortir scot-free.
00:37:52Mais pas seulement lui, il y a les autres du monde
00:37:55qui poursuivent les mêmes pratiques.
00:37:58C'est pourquoi il a fallu continuer.
00:38:01Et qu'est-ce qui peut arriver pour la sécurité sociale?
00:38:04Pour la sécurité sociale, vous trouvez là aussi un gros problème
00:38:07que l'ODIT vient de mentionner.
00:38:10Et même avant, le PAC vient aussi attirer l'attention
00:38:13sur les investissements qu'il fait,
00:38:16sur les pratiques de mauvaise gouvernance,
00:38:19et il fait aussi des recommandations.
00:38:22Mais ils disent qu'il n'y a pas...
00:38:25Encore une fois, je voudrais éviter ça.
00:38:29Quand il y a un bureau de sécurité sociale,
00:38:32je ne sais pas si ce comptoir aussi, il y a des officiers qui l'ont.
00:38:35Et le ministre, il mentionne ça la dernière fois.
00:38:38Il y a un gros problème de marque de staff
00:38:41qui peut bien faire une emergency recruitment,
00:38:44mais qui ne le fait pas.
00:38:47Dans le passé, ils recrutent un MSO.
00:38:50Un MSO peut faire le travail technique.
00:38:53Est-ce qu'il est capable d'aller distribuer un médicament dans la pharmacie?
00:38:57Est-ce qu'un MSO est capable d'aller faire un ICG avec un patient?
00:39:00Ça veut dire qu'il y a un problème.
00:39:03C'est pour ça qu'il y a eu, depuis 2016,
00:39:06qu'il faut faire une HR ODIT dans la fonction publique
00:39:09pour qu'il soit de l'autre côté du monde,
00:39:12et pour qu'il soit de l'autre côté de la marque du monde.
00:39:15C'est pour ça que je continue d'y aller,
00:39:18parce que je suis en contact permanent avec ces gens-là.
00:39:21Mon collègue m'a dit que c'était dans la santé.
00:39:25Il y a une petite correction qu'on peut faire.
00:39:28On ne peut pas dire qu'ils baisent la santé,
00:39:31ils réduisent, ils augmentent parce qu'il y a un salaire qui est augmenté.
00:39:34C'est la façon de parler.
00:39:37Mais c'est maintenant qu'on peut ouvrir le personnel voulu
00:39:40parce qu'on a un nouveau service, on a un nouveau AI Center,
00:39:43on a un nouveau hôpital dans Flac avec 400 lits,
00:39:46mais le staff reste pareil.
00:39:49Ils ont dit qu'ils avaient un gros problème.
00:39:53Forcément, quand on peut travailler, il faut payer overtime.
00:39:56Vous connaissez l'overtime de la santé une bonne année plus tard,
00:39:59quand vous payez.
00:40:02Alors là, pas juste ça, on a un problème burn-out.
00:40:05On dit qu'on travaille, mais qui s'en occupe là-dedans?
00:40:08L'officier dit qu'il n'y a personne pour remplacer.
00:40:11Il vient, il travaille quand il peut travailler.
00:40:14Mais bien sûr, vous connaissez, vous avez la même énergie,
00:40:17vous avez la même... ou pas pour pareil, quand on peut venir fraîche pour travailler.
00:40:21Mais qui s'en occupe?
00:40:24C'est le patient.
00:40:27C'est pourquoi moi, on me disait qu'il fallait faire de ça,
00:40:30de ça et de ça, au lieu de dire qu'il n'y a pas autant.
00:40:33Il faut plus vite faire ça.
00:40:36Et c'est pourquoi, vous trouvez aussi,
00:40:39quand c'est circulaire qui finance, il ne fait que tirer.
00:40:42Il dit non, pour cette année-là, fais attention,
00:40:45on va pas vous donner de nouveaux postes.
00:40:49Dans la fonction publique, il y a un comité qui s'appelle l'estimation du comité.
00:40:52Avant, on le disait.
00:40:55Là, on sait qu'il y a un ministère qui envoie ses propos.
00:40:58L'estimation du comité est représentée par le ministère du service civil,
00:41:01le ministère des Finances, d'autres de ce comité-là.
00:41:04Le ministère est allé, il a dit, c'est ce que je me suis demandé.
00:41:07Ce comité-là a un responsable qui dit non,
00:41:10parce qu'il n'y a pas de poste additionnel pour vous donner, il n'y a pas d'argent.
00:41:13Vous trouvez un fonctionnaire qui est dans un comité,
00:41:16le responsable fini, il dit ça, il est parti.
00:41:19Il est retourné, il dit c'est correct.
00:41:22Quand le budget est fini, il n'y a plus de poste.
00:41:25Ça veut dire qu'il y a beaucoup de mêmes affaires encore.
00:41:28L'année prochaine, il y a beaucoup de mêmes affaires.
00:41:31C'est pourquoi je crois que l'important, c'est qu'il n'est pas capable de permettre de gaspillage dans un lieu.
00:41:34Il n'est pas capable de permettre de faire des pratiques de mauvaise gouvernance.
00:41:37Il n'est pas capable aussi de permettre que l'argent public aille dans sa qualité-là.
00:41:40Est-ce qu'il y a un problème de monitoring?
00:41:43Est-ce qu'il y a un problème au niveau d'un compteur qui ne peut pas sortir facilement de là-dedans?
00:41:46Mais vous arrivez à voir.
00:41:49On peut rentrer en pointe parce qu'il y a le Iftar time.
00:41:52Il est 18h19, le Ramadan oblige.
00:41:55Il nous prend la peine de faire l'Iftar time.
00:41:58Après, on peut retourner au studio pour nous recauser les dépenses
00:42:01et les dents qu'il mentionnait dans le rapport de l'audit.
00:44:55On retourne dans l'émission 777.
00:44:58Nous pouvons causer effectivement la publication du rapport de l'audit.
00:45:01Nous parlons de la première réaction du Premier ministre
00:45:04qui finit de réagir par rapport à la publication du rapport de l'audit.
00:45:07Nous parlons de la première réaction du Premier ministre.
00:45:10Nous parlons de la première réaction du Premier ministre.
00:45:40Nous parlons de la première réaction du Premier ministre.
00:45:43Nous avons repéré la question.
00:45:46Nous avons repéré la question.
00:45:49En effet, c'était le député de la hemme.
00:45:52Nous avons répété la question.
00:45:55Nous avons répété la question.
00:45:58En effet, c'était le député de la hemme.
00:46:01Nous avons répété la question.
00:46:04Faites-le.
00:46:07un petit peu de cause aussi, la publication du rapport de l'audit et aussi la non-participation du MSM au niveau des élections municipales.
00:46:14Le Premier ministre peut dire qu'effectivement, c'est une pillage que l'ancien régime finit de faire,
00:46:19mais comment nous finissons-nous d'y aller au plus tôt de l'émission ?
00:46:22Sous le gouvernement du point de travail ici aussi, finit-il là la publication du rapport de l'audit
00:46:27et finit-il là la critique par rapport aux dépenses excédentes et excessives qu'il finit de faire ?
00:46:32Et tout de suite là, nous pourrions peut-être aller voir, pour que vous compreniez bien,
00:46:35Radha Krishna Sardia, la directrice du bureau de l'audit, qui est un peu constitutionnel quand même,
00:46:41qui en a le plaisir, il y a un ancien directeur de l'audit sur le plateau, la personne de Cadre Spillet.
00:46:46Nous pourrions tout de suite aller écouter Cadre Spillet sur sa première réaction par rapport à sa dernière publication du rapport de l'audit.
00:46:54Moi, je voudrais dire que c'est un déclin de la bonne gouvernance et de la redevabilité.
00:47:03Quand on reprend le document, on dirait qu'il y a quelque chose de mal dans le royaume du Danemark.
00:47:10Comment se peut-il que nous arrivions à l'État, quand on a ce rapport-là,
00:47:20et nous trouvons qu'il nous pose la question, qu'on a le droit de poser la question,
00:47:26qu'il n'y a pas de gouvernance ?
00:47:28Et d'ailleurs, dans plusieurs places, il dit dans ce rapport-là,
00:47:32c'est le breakdown of governance, c'est l'acte of governance, breakdown of governance.
00:47:37Alors on peut dire que pour moi, c'est très inquiétant qu'il n'y ait pas de representative governance à Maurice.
00:47:44Ben, ce parlement-là, il représente le peuple.
00:47:47Et le peuple a le droit de faire son compte.
00:47:52C'est à nous deux, le pouvoir, de décider pour nous.
00:47:57Aujourd'hui, j'ai le droit de faire ce que je veux faire.
00:48:01Et là, la réponse que j'ai reçue ?
00:48:03La réponse que j'ai reçue, c'est que mon pouvoir n'a plus aucune valeur.
00:48:10C'est comme ça que j'ai vu ça.
00:48:11Alors, on peut dire qu'aujourd'hui, gouvernance, il fait le compte.
00:48:15Et redevabilité, c'est ce qu'en anglais on dit, accountability, on peut toujours dire
00:48:20qu'aucune démocratie ne peut pas survivre sans accountability.
00:48:25On peut penser qu'il y a un directeur de l'éducation qui fait les mêmes affaires.
00:48:30Et donc, il y a un jour qu'on ne fait que dire là.
00:48:32On peut oublier tout.
00:48:34Mais il y en a un.
00:48:36Il y en a un.
00:48:37Chaque fois qu'il nous donne une situation pareille,
00:48:40c'est que démocratie, tchikit tchikit, est glissée.
00:48:44Elle ne peut être oubliée dans l'acte d'accountability, manque de relevabilité.
00:48:50C'est comme ça que j'ai réagi à la première réaction.
00:48:56Mme Christian Sardien,
00:48:58quand on respire, on peut dire qu'il y a un manque d'accountability.
00:49:02Et aussi, les capables entraînent qu'il y ait une perte de confiance de la population
00:49:07et une démocratie, quand même, capable d'être en danger.
00:49:11Quelles sont vos réactions par rapport à ça ?
00:49:13Je suis totalement d'accord avec le directeur de l'éducation.
00:49:15Il ne faut pas oublier que le directeur de l'éducation est le premier directeur de l'éducation.
00:49:18Mauritien ?
00:49:19Mauritien.
00:49:20Donc, il a quand même une bonne culture anglaise.
00:49:24C'est pourquoi il est assez discipliné.
00:49:27Donc, il a raison.
00:49:29Parce que c'est une institution qui se met sur pied avec l'objectif
00:49:33d'assurer qu'il y ait une meilleure gestion des ressources financières du pays.
00:49:42C'est tout à fait normal qu'avec toute cette année d'existence-là,
00:49:47les papiers récits amènent un sentiment qui est public pour tout le monde.
00:49:51Il peut arriver un moment, bien sûr,
00:49:53où on se demande ce qui est le but d'avoir un département logique.
00:49:59C'est vrai aussi qu'il y a un travail qui est besoin de faire
00:50:02parce que logiquement, il peut arriver un moment, il peut faire ce travail.
00:50:05Mais il y a aussi un contrôle interne,
00:50:07il y a aussi un système de mécanisme de contrôle
00:50:12qui doit être renforcé davantage pour ne pas y arriver.
00:50:15Moi, je pense qu'il y a une grosse action qu'il faut prendre
00:50:18pour assurer qu'il y ait un regain de confiance de la population.
00:50:24Parce que sinon, on ne peut pas dire aux autres,
00:50:25« Bon, c'est vrai, il y a une gaspillage. »
00:50:27Arriver un moment, demain, on ne peut pas dire,
00:50:29on ne peut pas dire, oui, il y a la même affaire,
00:50:31on ne peut pas prendre l'action.
00:50:32Mais si on parle d'une mesure corrective,
00:50:35comme la même PAC a recommandé,
00:50:38et nous connaissons un code de bonne gouvernance
00:50:41qui, actuellement, l'Ile-de-Maurice vient d'adopter,
00:50:44mais si ça pouvait pratiquer nous-mêmes,
00:50:46comme un État, comme un gouvernement,
00:50:48mais qui nous attend, le privé, pour faire ?
00:50:52Nous faisons un bon exemple, je pense,
00:50:55d'autant plus qu'il y a beaucoup d'aspirations de la population,
00:50:59beaucoup de choses que la population peut retenir.
00:51:02Deuxièmement, je fais un autre exemple,
00:51:05pour moi, la PAC, encore une fois,
00:51:09si l'argent perd dans l'eau, comme ça, sa qualité-là,
00:51:12et ça, l'argent, si tu amènes une bonne gestion
00:51:16de sa ressource financière-là,
00:51:18tu es capable d'avoir une distribution
00:51:20pour des gens qui, eux-mêmes,
00:51:22mais quand on peut dépenser 200 millions de roublies
00:51:24pour 90, 92 véhicules luxes,
00:51:30on peut se poser une question,
00:51:32quand de l'autre côté, un officier,
00:51:34un officier sanitaire, par exemple,
00:51:37on peut se poser une question,
00:51:39fais-moi un 70%, pas 100%,
00:51:4170%, 25, 100 cc, même 1000 cc,
00:51:43moi, je fais inspection, je fais le travail qu'il peut faire,
00:51:46et lui, il dit, non, je ne suis pas motocycliste.
00:51:48On peut se poser une question, aujourd'hui, dans le gouvernement,
00:51:50il y a beaucoup de madames qui veulent travailler,
00:51:52je ne parle pas de ça, je ne parle pas de ça.
00:51:54Alors là, quand il y a une situation,
00:51:56c'est-à-dire paniqué, on dit, moi, j'ai besoin d'une aide.
00:51:58Alors, nous ne faisons que les conditions,
00:52:00c'est pourquoi, moi, je suis à cheval pour dire
00:52:02qu'il y a des choses qui,
00:52:04je suis responsable pour les gens,
00:52:06parce que je ne peux pas donner des qualités
00:52:08de traitement d'impunité
00:52:10pour certains,
00:52:12pour certains qui, peut-être,
00:52:14ils m'ont fait du travail,
00:52:16j'ai des sanctions immédiates,
00:52:18mais pour d'autres, c'est aussi avec un golden handshake.
00:52:20Nous pouvons révéler l'impunité
00:52:22qui, peut-être,
00:52:24crée un manque de confiance au niveau de la population,
00:52:26nous pouvons, tout de suite, faire une pause de pub,
00:52:28et ensuite, nous pouvons révéler
00:52:30le rapport de l'audit
00:52:32qui, effectivement, étale le gaspillage
00:52:34de fonds publics, comme tous les années.
00:52:48sur App Store, Play Store
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