Les Vraies Voix avec Nathalie Goulet, sénatrice centriste, vice-présidente de la Commission d’enquête sur les influences étrangères du Sénat.
Retrouvez Les Vraies Voix avec Cécile de Ménibus et Philippe David du lundi au vendredi de 17h à 20h sur #SudRadio.
---
Abonnez-vous pour plus de contenus : http://ow.ly/7FZy50G1rry
———————————————————————
▶️ Suivez le direct : https://dai.ly/x8jqxru
🎧 Retrouvez nos podcasts et articles : https://www.sudradio.fr/
———————————————————————
🔴 Nous suivre sur les réseaux sociaux 🔴
▪️ Facebook : https://www.facebook.com/SudRadioOfficiel
▪️ Instagram : https://www.instagram.com/sudradioofficiel/
▪️ Twitter : https://twitter.com/SudRadio
▪️ TikTok : https://www.tiktok.com/@sudradio?lang=fr
———————————————————————
☀️ Et pour plus de vidéos des Vraies Voix : https://youtube.com/playlist?list=PLaXVMKmPLMDRB7z8JrbG9LyNtTmhxaU-a
##LE_COUP_DE_PROJECTEUR_DES_VRAIES_VOIX-2024-11-26##
Retrouvez Les Vraies Voix avec Cécile de Ménibus et Philippe David du lundi au vendredi de 17h à 20h sur #SudRadio.
---
Abonnez-vous pour plus de contenus : http://ow.ly/7FZy50G1rry
———————————————————————
▶️ Suivez le direct : https://dai.ly/x8jqxru
🎧 Retrouvez nos podcasts et articles : https://www.sudradio.fr/
———————————————————————
🔴 Nous suivre sur les réseaux sociaux 🔴
▪️ Facebook : https://www.facebook.com/SudRadioOfficiel
▪️ Instagram : https://www.instagram.com/sudradioofficiel/
▪️ Twitter : https://twitter.com/SudRadio
▪️ TikTok : https://www.tiktok.com/@sudradio?lang=fr
———————————————————————
☀️ Et pour plus de vidéos des Vraies Voix : https://youtube.com/playlist?list=PLaXVMKmPLMDRB7z8JrbG9LyNtTmhxaU-a
##LE_COUP_DE_PROJECTEUR_DES_VRAIES_VOIX-2024-11-26##
Category
🗞
NewsTranscription
00:00Les Vraies Voix Sud Radio, le code projecteur des Vraies Voix.
00:04Si le budget n'est pas voté, si la censure est votée avant la fin de l'année, que se passera-t-il, Yael Brown-Pivet ?
00:11Alors moi aussi j'entends tout et souvent n'importe quoi. Nos textes sont bien faits, notre constitution et nos règles sont là.
00:18Donc pas de catastrophe annoncée, pas de shutdown à l'américaine, scénario possible.
00:24Et pourtant c'est ce que dit Maude Bréjon, porte-parole du gouvernement.
00:26La présidente de l'Assemblée Nationale vous dit l'inverse ce matin à votre antenne.
00:31Il n'y a pas de scénario catastrophe, nous avons des mécanismes pour faire face, pas d'inquiétude majeure.
00:37Après ça crée de l'instabilité politique évidemment et ça, ça doit inquiéter tout le monde.
00:42Que moi je ne veux pas inquiéter nos compatriotes, nous avons de toute façon des solutions parce que nous sommes en responsabilité.
00:49La présidente de l'Assemblée Nationale s'est voulue rassurante sur Sud Radio ce matin.
00:54Si le budget 2025 n'est pas adopté, la France pourra quand même faire tourner son administration après le 31 décembre.
01:00Pas de scénario catastrophe, pas de shutdown à l'américaine.
01:03Notre constitution permettra de faire face à cette situation, à estimer Yael Brown-Pivet qui refuse tout catastrophisme.
01:09Hier d'ailleurs Marine Le Pen estimait aussi qu'on pouvait entamer l'année nouvelle en repartant sur le budget 2024.
01:15Alors parlons vrai, va-t-on devoir repasser par le budget 2024 ? Est-ce plausible vu le trou qu'il y a dans ce budget ?
01:23Et à cette question, la France peut-elle tourner son nouveau budget ?
01:26Vous dites oui à 82%, vous voulez réagir le 0826 300 300.
01:31Avec nous Nathalie Goulet, sénatrice centriste et membre de la commission des finances, bonsoir.
01:36Bonsoir.
01:37Bienvenue sur Sud Radio.
01:39On va vous faire réagir avant de faire réagir les vrais voix.
01:41Exceptionnellement, est-ce que vous partagez l'optimisme de la présidente de l'Assemblée nationale ce matin sur Sud Radio ?
01:51L'optimisme, c'est un grand mot.
01:54La raison, ce serait pour le coup plus raisonnable.
01:57Parce qu'en réalité, il y a des dispositifs, notamment constitutionnels,
02:03qui vont nous permettre d'éviter le scénario catastrophe s'il devait arriver.
02:09Ce que, évidemment, nous ne souhaitons pas.
02:12Ce que nous ne souhaitons pas, évidemment.
02:14Philippe Bilger.
02:15En fait, j'ai écouté l'entretien ce matin de Jean-Jacques Bourdin avec la présidente de l'Assemblée nationale.
02:24Elle ne manque pas d'une certaine satisfaction d'elle-même.
02:28Elle est contente d'elle.
02:30Mais il me semble tout de même que dans le domaine qui est le nôtre,
02:35elle a raison de dire que notre situation n'a rien à voir avec celle des États-Unis.
02:42Et deuxièmement, qu'il y aurait en revanche une crise politique,
02:46mais qu'il n'y aurait pas de désastre budgétaire et financier.
02:51Une fois qu'on a dit cela,
02:53il me semble qu'on ne peut que souhaiter qu'il n'y ait pas précisément le besoin de se satisfaire de l'absence de vote d'un budget.
03:05Sébastien Ménard.
03:06Je crois qu'on a une équipe gouvernementale plurielle qui est à la tâche,
03:10avec un Premier ministre responsable, expérimenté, investi.
03:16Est-ce qu'on aura une association d'intérêts parlementaires qui utiliseront le budget comme ça peut se faire dans nos villes ?
03:30Souvent on a des maires qui sont mis en minorité parce que des membres de la majorité ne votent pas le budget,
03:36ce qui est le sort de la majorité, ça peut effectivement arriver.
03:39Là, en l'occurrence, le Premier ministre sait qu'il est minoritaire.
03:43Il sait qu'il va devoir composer.
03:45Moi, j'ai la faiblesse de croire qu'évidemment, ce qu'il a proposé,
03:51il a construit un budget, je crois, en 18 jours, qui est parfaitement amendable,
03:56et il est amendé, est susceptible d'être voté.
04:03Sur le fond, il pourrait être voté.
04:06Après, sur la forme, il va y avoir évidemment...
04:10Certains vont vouloir bomber le tord, se mettre des coups de tête, des coups de menton,
04:14utiliser des punchlines, prendre en otage les médias, etc.
04:17pour faire tomber ce gouvernement.
04:19Mais l'idée, c'est de faire un coup politique.
04:21Aujourd'hui, on a encore une fois tout sur la table.
04:26On a tous des efforts à faire.
04:28Moi, je suis consterné de voir les efforts qui sont demandés,
04:31évidemment, monsieur le maire, aux collectivités locales,
04:33mais aussi à tous les entrepreneurs qui, je rappelle, ont énormément contribué,
04:38investi dans les nouvelles technologies, dans ce qu'on a appelé communément la French Tech, etc.
04:43Et quand on voit la manière dont tout est détricoté aujourd'hui,
04:46honnêtement, moi, j'espère qu'on va quand même, malgré les efforts qu'on nous demande,
04:50réussir à faire voter ce budget.
04:52François Osio et les réponses de Nathalie Goulet.
04:54Je salue la sénatrice de l'ORN en tant que normand.
04:57Oui, c'est l'heure, l'ORN, c'est pas très loin, c'est clair.
05:00Mais on a déjà eu l'occasion d'échanger tous les deux il y a quelques années.
05:04Non, mais j'ai envie de vous dire, cette histoire, c'est beaucoup de mousse avec peu de savon.
05:10Déjà, on ne sait pas comment ça va se terminer au Sénat.
05:13Laissons, comme le disait, je crois, Hervé Marcel, il y a quelques semaines,
05:16laissons les professionnels faire leur job.
05:18Et donc, c'est au Sénat qu'on fait le job, qu'on est en train de sortir effectivement le sécateur
05:22sur toutes les atrocités que nous ont fait la gauche, le NFP, à l'Assemblée nationale.
05:27On va voir si Marine Le Pen met en place ce qu'elle a dit hier sur le perron de Matignon,
05:35c'est-à-dire si elle exécute, entre guillemets, ou pas le gouvernement.
05:39Est-ce qu'elle a l'audace de le faire avec le NFP ou pas ?
05:42Est-ce qu'elle a le rôle audace de mettre le pays dans cette situation ?
05:45Je ne suis pas certain que tous les électeurs soient d'accord avec cela.
05:47En tout cas, c'est ce que montrent les sondages.
05:50Une majorité de les, c'est vrai.
05:53Mais je la soupçonne aussi d'avoir derrière un agenda budgétaire, surtout un agenda politique.
06:01Et c'est un peu l'écran de fumée de ce qui lui est en train d'arriver.
06:05En revanche, effectivement, les dispositifs existent.
06:08La loi spéciale peut être votée avant le 31 décembre,
06:11et donc il n'y a pas de sujet de shutdown et de toutes ces atrocités qu'on nous raconte depuis quelques jours.
06:15— Nathalie Goulet, c'est Maude Bréjon, la porte-parole du gouvernement,
06:18qui a mis en garde, je cite, contre le risque d'une crise financière et d'un scénario à la grecque.
06:23Est-ce que vous, en tant que sénatrice, membre de la Commission des finances,
06:26vous y croyez, à ce scénario évoqué par la porte-parole du gouvernement ?
06:31— Non, mais je voudrais juste vous dire...
06:34Moi, ça fait 17 ans que je siège.
06:36J'ai un peu d'expérience parlementaire.
06:39Jamais nous n'avons été dans cette situation.
06:41Je parle pas seulement des problèmes de majorité ou d'absence de majorité à l'Assemblée nationale.
06:46Mais enfin, cette dissolution – parce qu'il faut quand même revenir au sujet –
06:51nous a mis dans une situation absolument impossible.
06:54Alors le travail qui est fait par le Sénat en ce moment, qui revoit le budget complètement,
06:59est un travail qui est fait en responsabilité, dans des conditions extrêmement difficiles.
07:05J'espère qu'on arrivera à une solution.
07:08En tous les cas, je ne suis pas très sûre que nos concitoyens
07:12apprécient beaucoup les débats qui ont lieu aujourd'hui,
07:16ni la pression qui est mise, ni les efforts qui sont demandés
07:21et dont on a le sentiment, à tort ou à raison, qu'ils sont injustement répartis.
07:25Moi, je travaille sur la fraude fiscale, sur la fraude sociale, sur la fraude douanière.
07:30On a du mal à avancer là-dessus.
07:34Alors qu'on a quand même des dispositifs qui sont nécessaires pour plus de justice fiscale, je crois.
07:41– Je vous donne la parole ensuite François Osillo et Sébastien Ménard.
07:44Est-ce que vous diriez qu'il y a un manque de courage dans ce budget ?
07:50– Je pense que la situation est vraiment très difficile.
07:53Et comme le Premier ministre a une majorité friable, il est vraiment sur un fil.
08:02Il est l'otage de cette majorité éclatée.
08:06Et si elle est très solide au Sénat, il y a quand même l'Assemblée nationale.
08:12Et je crois qu'il est dans une situation extrêmement difficile
08:15et qu'il est lui-même très courageux d'avoir pris les rênes dans ces conditions-là.
08:19– Ça c'est sûr.
08:20– Je suis complètement d'accord avec Mme la sénatrice.
08:22Le pauvre Michel Barnier, il est pris complètement en étau.
08:24En étau entre les LR et avec, de l'autre côté, les macronistes.
08:28Et puis avec chacun qui veut sa petite victoire.
08:30Et on a pu le constater très récemment sur les plateaux de télévision.
08:34Et donc du coup, il doit donner entre guillemets à manger aux uns et aux autres.
08:38C'est l'équation impossible, elle est compliquée à résoudre.
08:42Et donc du coup, je ne sais pas comment ça va se terminer.
08:44Je ne sais pas comment le Sénat va effectivement déterminer
08:47de dépatouiller ce qui a été fait à l'Assemblée nationale.
08:51Mais manifestement, il est effectivement courageux, ça là-dessus je ne le nie pas.
08:55Mais comment s'en sortir avec deux ailes qui ne veulent pas forcément les mêmes choses
09:00et qui sont déjà dans l'après.
09:01Parce que les deux dont je viens de vous parler sont plus ou moins candidats à la présidentielle.
09:04– Nette et ligoulée, ensuite on part au 0826-300-300.
09:10– Oui, je partage ce qui vient d'être dit.
09:13Je pense que le Premier ministre est dans une situation extrêmement difficile.
09:17Je crois qu'on a moins le culte de la petite phrase au Sénat.
09:20En plus, le budget est arrivé à zéro.
09:23Donc, laissons travailler.
09:25On est sur la première partie de la loi de finances.
09:27On a voté le PLFSS hier.
09:29Enfin, on l'a voté tout à l'heure, plus exactement, le projet de loi de finances.
09:32– CQ.
09:33– Voilà, qui est le premier étage de la fusée.
09:37Donc là, on est vraiment sur l'examen des recettes.
09:45– Très court Sébastien.
09:46– Moi, je pense que les différentes postures,
09:49tant à l'extrême gauche qu'à l'extrême droite,
09:51même si elles nourrissent le même dessin et partagent le même agenda
09:54qui est le coup d'après, l'après Macron, la présidentielle,
09:56je pense que la conséquence ne sera pas la même.
09:58L'extrême gauche a intérêt à faire tomber ce gouvernement.
10:01Je pense que l'extrême droite a besoin de montrer qu'elle est responsable
10:05face à l'histoire et j'en suis mais intimement convaincu.
10:08Vous verrez qu'ils ne voteront pas la censure.
10:10– On part au 0826-300-300, direction la Seine-et-Marne.
10:14Bonsoir Brigitte.
10:15– Oui, bonsoir à tous vos auditeurs.
10:19Moi, ce que je voulais dire surtout, c'est que je pense que la terre
10:22ne va pas s'arrêter de tourner parce qu'on n'a pas de budget
10:25et qu'à la limite, si on a celui de l'année dernière,
10:27c'est peut-être mieux pour les Français,
10:29parce qu'au moins, il n'y avait pas d'impôts supplémentaires.
10:32Et moi, ce que je ne comprends même pas,
10:34c'est que les sénateurs qui sont en train de revoir ce budget
10:37ne s'arrangent pas pour qu'il y ait des économies
10:39qui soient faites au plus haut niveau de l'État
10:41et que ce soit toujours les petits qui trinquent
10:43et qui vont payer tout un tas de taxes parce qu'on n'en peut plus en fait.
10:47Et moi, j'ai du mal à comprendre que tous ces politiques
10:50ne se rendent pas compte que la France est en train de crever
10:52et qu'ils sont là vers la petite poloche, comme on dit,
10:57tout ça pour le budget, alors qu'en réalité,
11:00il aurait fallu faire des économies drastiques.
11:02On n'a pas besoin de Cézé, on n'a pas besoin de Comité Théodule,
11:05on n'a pas besoin de toutes ces organisations
11:07qui nous coûtent un fric de dingue et de multiples couches, et voilà.
11:11– Alors, Brigitte, merci beaucoup à faire réagir la sénatrice Nathalie Goulet.
11:15Elle parle de tous les Comités Théodule,
11:18on parle de toutes les agences d'État qui coûtent, je crois, 80 milliards.
11:22Est-ce que finalement, les agences d'État, c'est comme les niches fiscales ?
11:25Les niches fiscales, il y a toujours un chien prêt à mordre pour garder son os.
11:29Les agences d'État, il y a toujours des copains à planquer,
11:32et donc on ne peut pas s'en passer.
11:34– Des amis en mal d'exotisme.
11:36En fait, ce qu'il y a, c'est que le 19 décembre prochain,
11:40il y a eu une proposition de loi portée par mon groupe
11:44pour la suppression de 40 Comités Théodule,
11:46donc ça vient en séance le 19 décembre.
11:48– Le 19 décembre.
11:49– Le 19 décembre, oui, donc ça, ça vient vite.
11:52C'est un texte qui a été travaillé, qui vient en séance pour être voté,
11:55donc voilà, il y a eu du travail identique et fait à l'Assemblée nationale.
11:58Et on a enfin obtenu un avis favorable de la Commission des Finances
12:02sur la fin de la fraude à l'arbitrage des dividendes,
12:05qui est un pur scandale que je poursuis depuis des années.
12:08Ce sera 3 milliards de rentrées sur un sujet gravissime,
12:12donc on s'attaque évidemment à cet argent-là et c'est tout à fait normal,
12:16et moi je comprends tout à fait votre auditrice et je partage ses positifs.
12:20– Mais comment expliquer qu'on ait mis aussi longtemps à s'attaquer à ça
12:23et on s'y attaque quand même un minima,
12:25parce que les 80 agences d'État, il y en a qui font 10 fois la même chose,
12:28c'est absolument hallucinant.
12:30– J'ai une collègue à l'Assemblée nationale qui est chargée d'une mission,
12:33je pense qu'il y a de la mauvaise volonté,
12:35et puis il y a une administration qui est pléthorique et qui est extrêmement lourde
12:39et qui parfois prend la place des élus.
12:42Donc toute cette situation, pour permettre aussi aux élus,
12:45enfin je parle devant le maire qui est devant moi,
12:48je veux dire, il sait très bien ce que c'est que les administrations
12:51qui prennent la place des élus et c'est parfois ce qui nous arrive aussi à nous,
12:54on ne peut pas faire entendre raison, tout va très bien madame la marquise,
12:57je pense notamment à la fraude sociale, tout est parfait, tout va très bien,
13:00et bien ce n'est pas du tout le cas et il faut beaucoup, beaucoup d'obstination
13:04pour pouvoir obtenir un résultat,
13:06mais je crois que cette situation catastrophique nous permet de reprendre un peu la main,
13:09c'est triste à dire mais c'est comme ça.
13:11– Merci beaucoup Nathalie Goulet, sénatrice centriste de l'ORN
13:14et membre de la commission des finances, merci François Osio, maire de Vernon,
13:17et avec vous deux, on n'a pas eu de réponse de Normand,
13:19avec deux élus normands, ce qui est quand même assez extraordinaire.
13:22Merci beaucoup Sébastien Ménard, il n'y a pas de réponse de Basque,
13:25alors le problème est réglé.
13:27– Du courage, du courage, du courage.
13:29– Merci beaucoup Philippe Bilger, on se retrouve demain ?
13:32– Avec plaisir.
13:33– Tout de suite, les vraies voix de l'emploi avec Nicolas Leroy
13:36et on va parler de la fonction commerciale, ça va me rappeler de vieux souvenirs.
13:40Allez, on se retrouve tout de suite sur Sud Radio.