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00:00Les Vraies Voix Sud Radio, le code projecteur des vraies voix.
00:04De quoi se demander si les rencontres à l'Elysée entre le président de la République et les différents partis politiques ne vont pas tempérer les débats.
00:11Ben oui, parce que les représentants du Nouveau Front Populaire sont ressortis ce midi, rassurés par Emmanuel Macron sur sa volonté de cohabiter.
00:19Nous verrons, le défilé se poursuit depuis les Jardins et depuis ce midi, les déclarations vont dans le sens de la nomination incessamment sous peu d'un Premier Ministre, ce serait mardi.
00:33Aussi la question du coup de projecteur que nous vous posons sur le compte X de Sud Radio, hashtag Premier Ministre, les rencontres avec les partis politiques peuvent-elles influencer le choix d'Emmanuel Macron ?
00:45Je vous donne la tendance dans un instant, si vous voulez intervenir, Haute vous attend au 0826-300-300, dites-nous ce que vous en pensez.
00:56Vous Mathieu Hoque, qui des trois vraies voix est le moins positionné politiquement finalement, est-ce que vous pensez que le président de la République a fait ses rencontres pour l'aider à trouver ?
01:08C'est une bonne question, je ne pense pas, je pense qu'il utilise cet événement politique pour faire ce qu'on appelle un coup de communication, c'est-à-dire qu'il a compris, je pense, que les Français l'estiment responsable d'un déni non pas démocratique mais de réalité,
01:26c'est-à-dire que le parti présidentiel a perdu à trois reprises les élections, déjà dès les législatives de 2022, les Français lui ont dit « Monsieur Macron, il faut partager le pouvoir avec d'autres personnes »,
01:37il n'a pas entendu ce message-là, aux européennes ils lui ont rappelé, avec la pire déroute électorale pour un parti présidentiel depuis les années 80, aux européennes, et puis les législatives ont confirmé cet état de fait.
01:48Je pense qu'Emmanuel Macron aujourd'hui, ce qu'il cherche à faire, c'est à légitimer son propre récit politique, c'est-à-dire qu'en fait il a dit...
01:56Il a dit ce matin, et c'est pour ça que je faisais le clin d'œil en entrée du Nouveau Front Populaire, il leur a dit « je reconnais mes erreurs », visiblement ça les a séduits.
02:06Oui, mais parce qu'il est obligé de le faire, le déni de réalité ne peut pas continuer comme ça pendant longtemps, mais par contre il essaye de conforter son récit, son récit est le suivant,
02:14c'est-à-dire qu'il se dit qu'il dit « les élections internes à l'Assemblée nationale, notamment l'élection de Yael Brown-Pivet, à la présidence de l'Assemblée nationale, ont permis de montrer que le seul bloc capable de pouvoir proposer un nom de Premier ministre et un gouvernement, c'est ce qu'on appelle un Premier ministre issu du bloc central ».
02:31Parce que justement c'est ceux, en additionnant les voix de la coalition Ensemble, les voix des Républicains et les voix de l'IOT, c'est ce groupe-là qui s'approche le plus des 289 députés, ils sont à 240 à peu près.
02:44Or, la difficulté qu'il va avoir maintenant c'est comment élargir ce bloc-là, et donc je pense que cet événement-là était aussi de peut-être prendre la température, mais la réalité aujourd'hui c'est qu'il sait très bien que ni le Rassemblement National ne pourra pas ouvrir avec le Rassemblement National,
02:59et il ne pourra pas ouvrir non plus avec le Nouveau Front Populaire, et même avec les socialistes, qui sont prisonniers de leur alliance électorale avec le Nouveau Front Populaire, mais on pourra y revenir.
03:08– Les auditeurs sur le compte X de Sud Radio, pour l'instant, la question, je rappelle, répondez, donnez-nous votre avis, les rencontres avec les partis politiques peuvent-elles influencer la décision d'Emmanuel Macron ?
03:19Vous dites non à 89%, bon, je m'y attendais un petit peu, mais quand même, vous, Philippe Bourgiaki, il y a un intérêt pour chaque partie, pour chaque tendance, d'y aller pour infléchir un peu ?
03:33– En tout cas, le Nouveau Front Populaire a été d'un bloc pour dire c'est nous, point barre, et vous acceptez, sinon à la rentrée, ça va être un petit peu compliqué, rentrée sociale.
03:45Mais ils auraient pu arriver en disant, certes, personne n'a gagné, en vérité, il y a trois blocs, mais on peut travailler en totale intelligence, élargir, concevoir un gouvernement d'union nationale,
03:57parce qu'en vérité, le mensonge du Nouveau Front Populaire, quand ils disent on a gagné mécaniquement et numériquement, oui, ils sont un petit peu en tête devant les autres,
04:08mais en vérité, ce qui a gagné, ça a été le Front Républicain pour éviter l'accession au pouvoir du Rassemblement Social, c'est ça qui a gagné, et rien d'autre, en vérité.
04:17Et tout le monde se renvoie la balle en disant non, mais, enfin, un jeu de dupe.
04:20– Donc, au bout du compte, personne n'a la légitimité, mais alors Philippe Bourgiaki, justement, ces rencontres, du coup, ça sert à fomenter le prochain gouvernement ?
04:30Je pose la question sur le Premier Ministre, mais c'est peut-être…
04:33– Le Président de la République fait une main tendue, mais vous avez, d'un côté, les macronistes, la droite et le Rassemblement National qui disent s'il y a un LFI ou un EELV au gouvernement,
04:40nous, on est sûrs, donc déjà, ça casse tout ce bloc-là de composition, le Parti Socialiste, et tu as raison, il est un petit peu prisonnier en disant,
04:50écoute, si on bouge une oreille, s'il y a une dissolution, ils vont nous mettre 577 candidats, les foufureux de la France Insoumise,
04:56donc ils sont un petit peu bloqués, sauf que vous avez des sociodémocrates qui sont en train de sortir un petit peu du bois,
05:01et on l'a vu avec Bartholone récemment, on le voit avec Gluzman qui dit qu'il faut passer l'air Mélenchon,
05:07on le voit aussi avec Yannick Jadot qui se démarque clairement, qui disent, oui, on le fait à l'Europe, pourquoi pas le faire en France ?
05:16Et je crois que ça, c'est quelque chose qui doit être envisageable et envisagé.
05:19– Alors, Alexandre Darnicolic, bon, je le rappelle, vous êtes membre du Rassemblement National, ça ne vous empêche pas d'être vrai voix ce soir,
05:28vous vous sentez exclu, c'est-à-dire, vous, votre parti, il va y aller, mais est-ce que vous avez l'impression que ça vous sert à quelque chose d'y aller ?
05:34– Dès qu'on est invité pour pouvoir exprimer des idées et pour que les Français vivent mieux, on le fait.
05:40Vous savez, en 2017, Emmanuel Macron était totalement contre le nucléaire, nous, on soutenait justement et on demandait un soutien sur la filière nucléaire,
05:48parce qu'on savait l'impact que ça pouvait avoir sur le prix de l'électricité, on l'a constaté avec 70% d'augmentation en moins de 10 ans par exemple,
05:55mais dans beaucoup de domaines, il y a eu parfois des petits changements comme ça.
05:59Dès qu'on peut essayer d'influencer, on le fait, on va suggérer, je parlais tout à l'heure des référendums pour qu'enfin on consulte les Français,
06:05on va demander une dissolution dans 10 mois pour qu'on essaie de dégager en tout cas une majorité plus claire,
06:10parce que sur ces élections législatives, vous parliez d'un front républicain, tout ça ce sont des mots,
06:16parce qu'en quoi le Rassemblement National n'est pas républicain ?
06:19Aujourd'hui, soyons sérieux, je veux dire, on défend l'autruce.
06:22– C'est-à-dire que vous traînez quand même un certain passé, Alexandre, c'est pour ça.
06:24– De quel passé vous parlez ? Parce que honnêtement…
06:26– Ce qui m'intéresse c'est les idées.
06:28– C'est-à-dire du Front National, vous avez gardé le N et puis Le Pen aussi, ça fait quand même quelques filiations.
06:33– Non mais donc le Rassemblement National et le Front National n'étaient pas républicains, je ne sais pas,
06:38moi je trouve que nos idées qui prônent justement une identité féminine…
06:42– Le Front National, vous avez fait le deuil du Front National ou pas ?
06:46– Non mais moi ce qui m'intéresse c'est parler d'idées, en fait, en quoi ?
06:50Pouvez-vous me citer une idée qui n'est pas républicaine au sein de notre parti ?
06:53– Vous pouvez refouler les idées qui étaient tendances au Front National, j'admire, je les considère les deux.
07:00– Non mais les idées dans le programme qui ne l'étaient pas, et même sur la…
07:03– Vous êtes prisonnier de ça ?
07:04– Non mais on n'est pas prisonnier de tout.
07:05– C'est ça qui va vous bloquer encore longtemps.
07:07– Mais attention, excusez-moi, excusez-moi Alexandre.
07:09– Non mais moi j'aime pas qu'on parle un petit peu de manière abstraite, enfin, je suis désolé.
07:13Qu'est-ce qu'il y a dans notre Constitution ?
07:15Toute souveraineté réside dans la nation, dans la Déclaration du droit de l'homme et du citoyen.
07:19– Moi c'est que vous pouvez vous présenter, Alexandre,
07:22si vous pouvez vous présenter aux élections, pour moi vous êtes un parti républicain,
07:26il n'y a pas de discussion, il n'y a pas de débat.
07:28Je ne dis pas que vous n'êtes pas un parti républicain,
07:30je dis que ce qui a gagné c'était ce qui a été vendu, le Front Républicain, le Rassemblement National.
07:34– Le Front Anti-Rassemblement National avec des gens qui ont peut-être eu peur que,
07:37comme quand on exerce des fonctions dans les communes qu'on dirige,
07:40ça se passe mieux et qu'on soit réélu systématiquement,
07:42et que les gens constatent que c'est le Rassemblement National, ça fonctionne bien.
07:45Vous êtes en train de parler d'un truc d'il y a 30 ans, à chaque fois qu'on gagne en 2014,
07:51– On parle d'un truc d'il y a 30 ans,
07:52mais la question c'est ce que vous avez rompu avec ce qui se faisait il y a 30 ans,
07:56Alexandre Darnicolic.
07:57– Non, je pense que ce qui intéresse les gens,
07:58c'est comment on fait pour qu'ils vivent mieux concrètement,
08:00et nous en termes de pouvoir d'achat, de sécurité,
08:02notre programme sur l'immigration, c'est ça qui les intéresse concrètement,
08:05et ils peuvent le constater dans les communes qu'on dirige,
08:07où on arrive systématiquement à baisser la fiscalité,
08:09où on arrive à baisser la dette, où on gère bien justement,
08:12et où les choses s'améliorent,
08:13et c'est pour ça qu'ils réalisent des maires du Rassemblement National.
08:16– Après, si vous me posez la question, qu'est-ce qui peut ressortir de ça ?
08:19Mais c'est quoi les propositions ?
08:21Lucie Castex, proposée par le Nouveau Front Populaire,
08:23on l'a vu à l'œuvre, elle est aux finances de Paris
08:26en tant que fonctionnaire depuis 2020,
08:28la dette est passée de 6 milliards à 9,
08:30elle a augmenté la taxe foncière de 62%,
08:33c'est ce qu'elle a souhaité,
08:34et ce que les élus ont ensuite validé à la mairie de Paris,
08:36il faut lire son collectif de services publics.
08:38– La question était, qu'est-ce que vous attendez de ces rencontres avec Emmanuel Macron ?
08:41– Moi je n'entends aucune proposition sérieuse,
08:45concrète avec quelqu'un qui peut peut-être apporter quelque chose au pays.
08:51– Est-ce que ça sert à quelque chose ?
08:53Est-ce que ça sert à quelque chose ?
08:54– Est-ce que ça sert à quelqu'un de nouveau qui incarnait le hollandisme ?
08:56Monsieur Bertrand, ou Mathieu Hoque ?
08:59– Quand on regarde les autres pays européens notamment,
09:01et quand on regarde comment ça se passe,
09:03la question n'est pas un nom, c'est plutôt déjà un, quel programme ?
09:05– Ah bah oui.
09:06– Effectivement, il y a des partis qui proposent des choses,
09:08je ne veux pas dire que les Républicains n'ont pas proposé…
09:09– Et en ce sens les rencontres avec Emmanuel Macron servent à ça ?
09:13– Justement, est-ce que vous, vous voteriez des textes à l'Assemblée Nationale
09:17qui sont contre l'assistanat pour réguler les flux migratoires, etc. ?
09:20C'est des questions qui se sont posées…
09:21– C'est deux points différents déjà, j'ai élu les 13 points.
09:25– Vous lisez les 13 points, vous voyez si vous votez ou pas.
09:26– Oui, c'est ça qui intéresse les gens.
09:28– Exactement, et ça je suis d'accord que vous voulez régler…
09:31– Vous êtes engagé à ça, ils sont engagés à les choses qui sont dans l'intérêt des forces à l'effet.
09:34– Non mais les Républicains l'ont fait, le RER l'a fait en partie.
09:36– Comme on l'a fait, nous on n'est pas sectaires.
09:38– Oui, et ensuite après, je terminerai dessus,
09:40ensuite c'est que se passera-t-il notamment dans la tête d'Emmanuel Macron,
09:44par rapport à la question que vous posiez.
09:46Moi je pense, pensons qu'Emmanuel Macron va utiliser éventuellement l'idée d'un gouvernement technique
09:53ou un gouvernement non politique qui serait soutenu par une partie du Bloc central
09:59pour préparer un budget austéritaire,
10:01puisqu'on est sous le coup d'une procédure de déficit excessif,
10:04afin de pouvoir mettre en difficulté,
10:06ou de pouvoir poser la question aux oppositions,
10:10aux Ration Nationale et notamment le Nouveau Front Populaire,
10:12est-ce qu'il voterait un budget de cette nature-là,
10:15sachant qu'il y a des…
10:16– D'accord, en fait la consultation c'est ça.
10:18– Pour essayer de renverser la table,
10:19parce qu'aujourd'hui c'est lui qui bloque en réalité,
10:22mais dans les prochains mois, il pose la question,
10:26est-ce que ce ne seront pas les oppositions nationales qui bloquent ?
10:28– Donc alors les trois vraies voies, quoi qu'il arrive,
10:30on est d'accord, ces rencontres servent puisque ça permet l'échange
10:34et déjà la préparation de l'après,
10:36simplement vous dites, on est d'accord,
10:38ça ne sert à rien, ce n'est pas ça qui va influencer le choix du Premier Ministre,
10:42c'est ce que vous dites Alexandre Nikolic.
10:44– Oui, et quand on parle d'idées,
10:46si juste je peux me permettre,
10:47parce que c'est ça qui va intéresser les gens,
10:49moi je suis surpris quand j'entends la Macronique
10:52qui dit qu'elle veut s'ouvrir même jusqu'à EELV,
10:55enfin EELV qui a un programme aux antipodes,
10:58là on parlait d'énergie,
10:58mais quand on prend vraiment point par point,
11:00ça va à l'encontre totalement de ce que peuvent proposer aujourd'hui les macronistes,
11:06et même sur comment ils défendent leurs idées,
11:08quand vous voyez ce qui se passe à Sainte-Sauline,
11:10les violences qu'il peut y avoir par exemple,
11:11c'est un parti qui prône la désobéissance civile.
11:13– Ce n'est pas le parti, ce sont des groupes activistes.
11:15– Non, non, mais EELV refuse leur dissolution,
11:22et moi j'ai déjà fait des débats avec des membres d'EELV
11:24qui m'ont dit qu'ils assumaient défendre la désobéissance civile
11:27pour défendre leurs idées,
11:28ça veut dire le non-respect de la loi.
11:29– C'est un malentendant.
11:30– Sachant qu'il y a plusieurs courants à EELV,
11:34et d'ailleurs vous en êtes l'exemple, Philippe Boryaki,
11:37puisque vous avez quitté ce parti pour aller dans les écologistes au centre.
11:40– Pour aller dans l'écologie au centre.
11:41– Mais ce qui compte c'est les chefs quand même.
11:42– Non, ce qui compte c'est les adhérents.
11:45– Non mais écoutez…
11:46– Non j'y arrive, s'il vous plaît,
11:47sur EELV je pense que je maîtrise le sujet quand même.
11:50– Allez-y, allez-y.
11:50– Mais effectivement il y a des gens au sein d'EELV qui sont hyper intéressants,
11:54qu'on appelle les Jadotistes,
11:55qui sont très proches de Yannick Jadot,
11:57qui est plutôt un socio-démocrate, écolo-environnementaliste.
12:01– Et là c'est Macron compatible,
12:02c'est gouvernement large compatible par exemple.
12:05– C'est intelligence compatible, plutôt que…
12:07– PS c'est compatible.
12:08– PS c'est compatible.
12:09– Voilà, une certaine partie des LR c'est compatible.
12:11– Complètement, oui, bien sûr.
12:12– Donc le schéma c'est ça,
12:13il doit trouver quelqu'un qui va rajouter un petit peu chacun.
12:17– Mais ils viennent de signer le programme du Nouveau Front Populaire,
12:19qui prône le droit d'asile climatique, la régulation terrestre, le désarroi…
12:24– Il y a une partie majoritaire chez EELV qu'on appelle plus communément
12:35la firme avec qui on ne peut rien faire et rien construire,
12:40et qui seront toujours affiliés,
12:41c'est un satellite aujourd'hui de la France Insoumise,
12:43c'est pour ça que je m'en suis sauvé.
12:44Mais il y a des gens qui sont très intéressants,
12:46y compris au PS, des socio-démocrates.
12:48Moi j'ai un nom, celui de Karim Bouamram, le maire de Saint-Ouen.
12:51– Le fameux maire de Saint-Ouen,
12:52c'est un nom qui revient souvent, effectivement.
12:54– J'espère que Karim ne gêne pas le Rassemblement National,
12:57et on aura la démonstration s'il est nommé.
12:59– Les vrais voix, sachez que les auditeurs ont dit non à 90%,
13:03ce ne sont pas ces rencontres qui vont permettre de faire évoluer
13:06le choix de Premier ministre par Emmanuel Macron.
13:11Effectivement, ce qui ressort de vos débats,
13:13c'est qu'il y a des gens qui peuvent être compatibles,
13:14tout c'est de le trouver, ça s'appelle un puzzle,
13:16et il y a des gens qui arrivent avec les puzzles à mille pièces
13:19à faire ça assez rapidement.
13:21– Visiblement, ils n'ont plus 51 jours pour l'annoncer à Macron.
13:26– Juste une phrase, c'est faux, ils ne sont pas compatibles,
13:29ils ont signé un programme qui va à Londres,
13:31pour eux ils ne sont pas compatibles,
13:33ils jugent qu'il y a un temps pour tout.
13:36– Merci Alexandre Nicolic,
13:40et l'écu directement, elle dirige le groupe Écolo par exemple,
13:42c'est pas une incompatibilité.
13:44– Il faut fermer la maison, il faut fermer la maison.
13:46Merci Alexandre Nicolic, merci Mathieu Hoque,
13:49merci Philippe Bouriaki,
13:51messieurs c'était un plaisir,
13:53vous nous avez fait avancer dans le débat,
13:55même si on n'a toujours pas de réponse, mais c'est comme ça.