• il y a 6 mois
A suivre sur le Hardtalk ce mercredi sur Top FM. Economie, Budget et Politique avec Reza Uteem? A la veille de la présentation du Budget 2024/2025, le porte-parole du dossier économique du MMM sera en studio avec Jimmy Jean-Louis pour analyser la situation économique, les mesures et reformes urgentes de même que le situation politique. Rendez-vous donc avec le Deputy Leader du MMM et une des figures des proue de l’alliance PTr-MMM-ND entre 17h30 et 19h00 ce mercredi. Vos questions sur le 213 7777, 213 7777. Emission à suivre également sur Facebook et nos plateformes TopFM Mauritius et TopTV Mauritius mais aussi sur TopFM Live TV TopFM Live TV Comment faire: Téléchargez notre application "Top Fm Radio " sur l'App Store ou TOPFM MAURITIUS sur Google Play Store

Category

🗞
News
Transcription
00:00:00Bon après-midi, merci d'être
00:00:16avec nous comme chaque
00:00:17mercredi sur Top FM pour
00:00:19suivre le hot talk euh pour
00:00:22cause de l'économie, le budget
00:00:23et la situation politique avec
00:00:24euh à la veille de la
00:00:26présentation du budget euh
00:00:29du MMM Lyon studio avec euh
00:00:32moi-même Jimmy Jean-Louis pour
00:00:33analyse euh la situation
00:00:35économique, les mesures et
00:00:36réformes urgentes de même que
00:00:37la situation politique euh donc
00:00:39au cas par bien sûr pose ou
00:00:41euh pose un lit ou bonne
00:00:43question tout à l'heure le site
00:00:44deux cent treize soixante-
00:00:45dix-sept soixante-dix-sept
00:00:46deux cent treize soixante-
00:00:47dix-sept soixante-dix-sept euh
00:00:48nous pour l'heure jusqu'à
00:00:49dix-neuf heures présente une
00:00:51des figures de proue de l'alliance
00:00:53post-travail MMM euh Nouveau
00:00:55Démocrate, une émission que
00:00:56vous pouvez suivre également
00:00:58sur le Facebook, une bonne
00:01:00plateforme, Top FM, Mauritius
00:01:02et Top TV Mauritius mais aussi
00:01:03sur Top FM Live TV, Top FM
00:01:05Live TV, comment faire?
00:01:06Télécharger nos applications
00:01:08de Top FM Radio sur l'App Store
00:01:10ou Top FM Mauritius sur Google
00:01:12Play Store. Bon après-midi.
00:01:14Bon après-midi Jimmy, bon
00:01:16après-midi à tous les auditeurs
00:01:18de Top FM et tous les camarades
00:01:20qui peuvent écouter les réseaux
00:01:22sociaux. Merci, on a accepté
00:01:24de l'invitation, nous à
00:01:25environ quarante-cinq,
00:01:27le discours du budget comme
00:01:29député leader du MMM qui a
00:01:31pu atteindre de ça, l'exercice
00:01:33là pour le pays? On ne peut
00:01:35pas atteindre grand-chose
00:01:37parce que c'est un dernier
00:01:39budget dans quelques mois
00:01:41d'une élection. C'est un
00:01:43budget que le gouvernement et
00:01:45le ministre des Finances, il
00:01:47connaît qui n'a aucune
00:01:49obligation implément dans le
00:01:51mesure qu'il peut annoncer
00:01:53avant le budget. Donc, les
00:01:55gens ne sont pas au courant
00:01:57de ce qu'il y a en ligne. Ils
00:01:59n'ont pas pour eux-mêmes aucune
00:02:01accountability parce que
00:02:03probablement, il n'y a pas pour
00:02:05eux-mêmes implément aucune
00:02:07décision-là avant la tenue de
00:02:09l'élection générale qui nous
00:02:11connaît pas vraiment
00:02:13obligatoirement dissoudre en
00:02:15novembre de cette année. Mais
00:02:17la plupart des gens pensaient
00:02:19qu'il nous prenait l'élection
00:02:21bien avant novembre de cette
00:02:24année parce que jamais ils ne
00:02:26considèrent pas eux-mêmes
00:02:28limités par taxes
00:02:30et dettes. Donc,
00:02:32depuis qu'il est lié au gouvernement,
00:02:34il ne commence pas à prendre
00:02:36ce qu'il n'a pas pour lui, c'est-à-dire
00:02:38il prend 158 milliards roupies
00:02:40réservées à la Banque Centrale, qui aucun
00:02:42ministre des Finances n'a pas fait avant lui. Donc,
00:02:44il gagne 158 milliards roupies à sa
00:02:46disposition qui est l'équivalent d'un budget en lui-même.
00:02:48Après, les
00:02:50gouvernements de taxes, ils ne le réalisent pas.
00:02:53En 2015,
00:02:55la Chimie Naraïdou présente ce
00:02:57budget. Taxes
00:02:59qui sont payées en
00:03:01environ 90 milliards
00:03:03roupies. Aujourd'hui,
00:03:05d'après les
00:03:07projections qu'ils font pour
00:03:09le gouvernement, eux-mêmes,
00:03:11ils atteignent
00:03:13196 milliards
00:03:15en taxes. Donc, le
00:03:17double de ce qui
00:03:19est taxé en 2014,
00:03:22aujourd'hui, nous pouvons payer le double en termes de taxes.
00:03:24Et puis, il y a certainement la dette publique.
00:03:26La dette publique, là aussi,
00:03:28les chiffres ne tombent pas.
00:03:30Selon le chiffre officiel du ministère
00:03:32des Finances, nos dettes publiques
00:03:34en mars 2024, ils
00:03:36tiennent 524
00:03:38milliards de roupies
00:03:40alors qu'ils n'ont pas
00:03:42descendu
00:03:44quelques milliards en
00:03:462019. Donc, c'est une doublée.
00:03:48Donc, quand on a des
00:03:50dépenses, on peut dépenser.
00:03:52Mais dans le budget précédent,
00:03:54le ministre des
00:03:56Finances, il n'a pas
00:03:58de dette. Il n'a pas
00:04:00d'augmentation de taxes. C'est à cause
00:04:02de ça que moi, je pense que le ministre des
00:04:04Finances, il y a une
00:04:06plus grande marge de manœuvre
00:04:08que n'importe quel autre ministre des
00:04:10Finances auparavant.
00:04:12On finit certainement par lire son entretien de
00:04:14René-Nadine Padiatche qui promet
00:04:16qu'il peut doubler
00:04:18son produit intérieur brut en 5 ans
00:04:20pour 1 trillion d'économies
00:04:22dans quelques
00:04:24années. Est-ce que c'est
00:04:26possible?
00:04:28C'est possible, tout à fait.
00:04:30Est-ce qu'il est réalisable? C'est tout à fait
00:04:32possible. Mais
00:04:34la question que nous posons,
00:04:36quand on peut causer
00:04:381 trillion
00:04:401 000 milliards,
00:04:42est-ce qu'on peut causer
00:04:441 000 milliards de roupies
00:04:46Valérie Azourdi
00:04:48ou 1 000 milliards
00:04:50de roupies
00:04:52en 2014-2019?
00:04:54Vous savez,
00:04:561 roupie en 2014
00:04:58et
00:05:00de là, tu peux changer
00:05:02à 30 roupies.
00:05:04Donc, si tu as
00:05:06300 milliards
00:05:08de roupies,
00:05:10ça fait
00:05:1210
00:05:14milliards
00:05:161 milliard de l'or.
00:05:18300 milliards de roupies
00:05:20ça fait 10 milliards
00:05:22de l'or.
00:05:24Donc, aujourd'hui,
00:05:261 roupie n'est plus
00:05:28de l'or, 1 de l'or n'est plus
00:05:30de 30 roupies, il vaut 46
00:05:32roupies. Donc, une dépréciation
00:05:34de plus de 50%.
00:05:36Donc,
00:05:38aujourd'hui, si on prend
00:05:40ces mêmes 300
00:05:42milliards-là, on divise par
00:05:4445, ça vaut bien moins
00:05:46que 10 milliards de l'or.
00:05:48Donc, pour moi,
00:05:50quand on peut dire qu'on peut augmenter
00:05:52les produits
00:05:54intérieurs bruts,
00:05:56PIB, oui,
00:05:58en termes absolus,
00:06:00il peut augmenter.
00:06:02Mais en termes relatifs,
00:06:04quand on prend en considération la dépréciation
00:06:06de la roupie,
00:06:08il n'y a pas une grande augmentation.
00:06:10Au contraire,
00:06:12quand on prend, nous,
00:06:14l'autre pays, qui a
00:06:16une taille d'inflation moins élevée que nous,
00:06:18on trouve qu'il a une taille
00:06:20de croissance bien plus bonne
00:06:22qu'il n'y a à Maurice.
00:06:24J'ai envie d'inclure le volet politique
00:06:26déjà dans la discussion.
00:06:28En 1995,
00:06:30François-Henri Roudjagnat,
00:06:32il a longtemps regretté, après 1995,
00:06:34qu'il n'ait pas fait une présidence au dernier budget.
00:06:36Il a précipité dans les élections.
00:06:38C'est une question de considération.
00:06:40C'est une question de principe.
00:06:42Est-ce que ce dernier budget-là,
00:06:44c'est l'homme ultime du gouvernement
00:06:46avant les élections?
00:06:48Je pense que
00:06:50le budget,
00:06:52c'est un peu
00:06:54le manifeste électoral
00:06:56du MSM
00:06:58pour les prochaines élections.
00:07:00Le 1er mai,
00:07:02l'alliance post-travail,
00:07:04c'est moi-même,
00:07:06Nouveau-Démocrate,
00:07:08ils viennent avec plusieurs mesures économiques
00:07:10dans les 10 mesures fortes
00:07:12qu'ils nous ont annoncées.
00:07:14Donc, là,
00:07:16la logique du MSM,
00:07:18c'est qu'il fait mieux que nous.
00:07:20Ils nous annoncent, par exemple,
00:07:22qu'ils ne payent pas taxe
00:07:24au premier, un million de roupies
00:07:26pour être sur toutes les classes moyennes
00:07:28et toutes les petites entreprises.
00:07:30C'est un problème, ça.
00:07:32Ils ne remplissent pas taxe, etc.
00:07:34Le montant qu'ils payent taxe
00:07:36n'est pas conséquent.
00:07:38Et en même temps,
00:07:40il y a beaucoup de monde qui, comme on dit,
00:07:42n'a pas besoin de faire de fausses déclarations
00:07:44quand ils parlent qu'ils payent taxe au premier, un million.
00:07:46Maintenant, on nous inquiète.
00:07:48Peut-être qu'ils devraient venir avec un million,
00:07:50deux millions, trois millions.
00:07:52On ne le connaît pas.
00:07:54Donc, peut-être qu'ils vont venir
00:07:56avec une surenchère
00:07:58dans ce budget-là.
00:08:00Et comme on l'aurait dit avant,
00:08:02parce que je te connais,
00:08:04ils ne peuvent pas implémenter
00:08:06aucune de ces promesses avant les prochaines élections.
00:08:08Alors,
00:08:10nous venons maintenant de voir les indicateurs économiques,
00:08:12les indicateurs macroéconomiques
00:08:14plutôt, comme la dette publique,
00:08:16une évoquie, le taux de croissance
00:08:18ou le déficit budgétaire.
00:08:20À la sortie d'une pandémie, comment nous finirons-nous pour le COVID?
00:08:22Est-ce qu'il est capable d'être autrement?
00:08:24Est-ce qu'il est capable d'avoir détité le montant?
00:08:26Mais est-ce qu'il y a un problème COVID
00:08:28là-dedans pour sa augmentation
00:08:30de la dette nationale?
00:08:32Vous savez,
00:08:34le ministre des Finances
00:08:36le contradira lui-même.
00:08:38D'un côté,
00:08:40il tape l'estomac,
00:08:42il dit comme ça,
00:08:44nous l'économie,
00:08:46on retrouve cette situation pré-COVID.
00:08:48Une croissance pré-COVID.
00:08:50Nombre de touristes pré-COVID.
00:08:52Tout le monde dit comme ça.
00:08:54L'économie relance,
00:08:56l'économie ne reprend pas.
00:08:58Et les gens commencent à critiquer.
00:09:00Ils disent qu'ils ont oublié
00:09:02qu'il n'y a pas de COVID,
00:09:04qu'il n'y a pas de guerre en Ukraine.
00:09:06Toutes les choses qui sont bonnes,
00:09:08c'est grâce à ça.
00:09:10Toutes les choses qui ne sont pas bonnes,
00:09:12c'est à cause du COVID.
00:09:14Donc, vous êtes juste dans la vie.
00:09:16Le COVID, vous êtes un grand chapeau
00:09:18à tous les Mauriciens.
00:09:20Les Mauriciens,
00:09:22c'est une nation travailleuse.
00:09:24Nous le retrouvons,
00:09:26tous nous l'annonce.
00:09:28Après qu'il a reculé
00:09:30par 15% de negative growth
00:09:32à l'époque COVID,
00:09:34tout le monde reprend ce travail.
00:09:36Et tout le monde travaille.
00:09:38Et tout le monde reprend
00:09:40le retard qu'il a accumulé.
00:09:42Pas du côté du tourisme,
00:09:44que ce soit dans le secteur financier
00:09:46ou dans la production.
00:09:48Partout, nous mettons les bouchées doubles.
00:09:50Même les manufacturiers,
00:09:52les textiles, tout ça.
00:09:54Moi, je salue l'effort collectif
00:09:56des Mauriciens,
00:09:58des entrepreneurs mauriciens
00:10:00qui investissent.
00:10:02Mais pour moi, personnellement,
00:10:04nous sommes capables de faire mieux
00:10:06et nous devons faire mieux.
00:10:08Et je vous donne un seul exemple.
00:10:10Le Pau.
00:10:12Vous savez, le Pau,
00:10:14Maurice, FMI aussi,
00:10:16me trouve,
00:10:18je vous le dis dans un éditorial aussi,
00:10:20dans le quotidien,
00:10:22la situation géographique.
00:10:24Nous devrions même appeler
00:10:26un rôle très important
00:10:28dans la région.
00:10:30Il y a une île.
00:10:32L'île n'a pas d'accès aérien
00:10:34et il n'y a pas d'accès pour tuer.
00:10:36Aujourd'hui, beaucoup de bateaux
00:10:38ne sont pas capables
00:10:40de passer par la route normale
00:10:42pour aller à travers
00:10:44le canal de Suez,
00:10:46pour aller dans l'Europe,
00:10:48parce qu'il y a
00:10:50une instabilité
00:10:52dans le Moyen-Orient
00:10:54et les bateaux sont attaqués.
00:10:56Beaucoup de pays faisant un détour
00:10:58passent par l'Afrique du Sud.
00:11:00Et l'Afrique du Sud
00:11:02a le même problème.
00:11:04Les pays n'ont pas la capacité
00:11:06d'accueillir autant de bateaux.
00:11:08Nous, par contre, dans l'Arabe,
00:11:10il y a suffisamment de draguage
00:11:12pour avoir un gros container.
00:11:14Et donc, il est tout à fait envisageable
00:11:16qu'il y ait un gros container
00:11:18qui vienne de la Chine
00:11:20qui vienne de Maurice,
00:11:22après Maurice,
00:11:24où il y a un bateau qui fait la navette
00:11:26entre Maurice et l'Afrique.
00:11:28Pareil,
00:11:30un gros bateau,
00:11:32au lieu de remplir
00:11:34cette chute
00:11:36avec le diesel,
00:11:38je suis capable de mettre plus de containers,
00:11:40moins de chute,
00:11:42je vienne de Maurice,
00:11:44Maurice nous refuse,
00:11:46il n'y a pas vraiment
00:11:48un centre de transit
00:11:50de tous ces bateaux,
00:11:52même s'ils ne veulent pas quitter ce container,
00:11:54mais ils reviennent, ils ravitaillent,
00:11:56ils replatissent,
00:11:58et après, ils sont partis.
00:12:00Mais aujourd'hui, c'est pratique,
00:12:026-3 pays travaillent.
00:12:04Et ça aussi, ce n'est pas un à côté de l'autre,
00:12:06c'est deux pour ici, un pour là-bas.
00:12:08Donc, le côté productivité est tombé net
00:12:10à tel point que certaines compagnies
00:12:12internationales
00:12:14reposent sur Maurice,
00:12:16et n'appellent pas directement
00:12:18le Colombo dans Sri Lanka,
00:12:20par exemple, Maurice.
00:12:22Donc, imaginons si vraiment,
00:12:24tout ce qu'on a, tous ces milliards
00:12:26qu'on a là-bas, si on mettait ça dans
00:12:28le développement,
00:12:30et qu'on avait tous ces bateaux-là
00:12:32dans Maurice.
00:12:34Bien sûr,
00:12:36notre croissance économique
00:12:38serait encore plus importante.
00:12:40Si, par exemple,
00:12:42on avait un traité
00:12:44préférentiel,
00:12:46qui est signé avec la Chine,
00:12:48mais aussi avec les pays
00:12:50de l'Union africaine.
00:12:52Mais est-ce qu'il y a vraiment
00:12:54une équipe qui peut faire
00:12:56économie-diplomatie,
00:12:58qui peut promouvoir
00:13:00sa triangle
00:13:02d'investissement,
00:13:04l'Inde, la Chine, Maurice, l'Afrique.
00:13:06C'est un accès
00:13:08préférentiel qui est capable de gagner
00:13:10ou d'avoir une valeur adéquate
00:13:12dans Maurice.
00:13:14D'ici qu'il y ait n'importe qui
00:13:16qui s'est habillé dans Maurice,
00:13:18il y aura des produits finis dans l'Inde,
00:13:20dans la Chine, ou dans les pays africains.
00:13:22Nous ne pouvons pas faire ça.
00:13:24Le potentiel est énorme.
00:13:26Moi, je crois fermement
00:13:28dans le potentiel
00:13:30de Maurice, mais pour cela,
00:13:32il faut de la leadership.
00:13:34La vision est nécessaire.
00:13:36Il y a aussi la question du déficit
00:13:38commercial qui est
00:13:40très inquiétant.
00:13:42104 milliards d'exploitation
00:13:44du secteur manufacturier.
00:13:46L'importation dépasse 300 milliards.
00:13:48Il y a déjà le gap-là
00:13:50qui est clairement une cause de concern
00:13:52parce qu'il n'y a pas suffisamment
00:13:54de production alimentaire.
00:13:56Il n'y a pas suffisamment d'équipements
00:13:58qui nous dépendent.
00:14:00Il y a des raisons
00:14:02qui font
00:14:04un déficit commercial
00:14:06aussi important.
00:14:08La première raison, c'est la dépréciation
00:14:10de la rupee.
00:14:12Quand la rupee est dépréciée,
00:14:14nos importations, automatiquement,
00:14:16coûtent plus cher.
00:14:18Quand on prend un chiffre
00:14:20d'importation, il faut que l'on importe
00:14:22le même produit, le même prix.
00:14:24On peut payer 1000 dollars,
00:14:26mais au lieu de payer 30 000 rupees,
00:14:28on peut payer 46 000 rupees.
00:14:30Il faut prendre ça en considération.
00:14:32Deuxièmement,
00:14:34au niveau de sortie
00:14:36de devise, tout ce qui nous importe.
00:14:38Au niveau d'entrée de devise,
00:14:40c'est tout ce qui nous exporte.
00:14:42Et aussi le secteur
00:14:44touristique.
00:14:46Si nous voulons qu'il y ait une valérance commerciale,
00:14:48il n'y a pas besoin de génie pour nous connaître
00:14:50que la solution est premièrement,
00:14:52on contrôle nos devises
00:14:54pour s'assurer qu'il n'y ait pas
00:14:56d'indéstabilité.
00:14:58Deuxièmement, on augmente l'exportation.
00:15:00Et troisièmement,
00:15:02on réduit l'importation.
00:15:04On donne toutes les mesures
00:15:06pour encourager les investisseurs
00:15:08et les investisseuses de Maurice.
00:15:10Si on a un créneau
00:15:12pour servir des biscuits,
00:15:14par exemple,
00:15:16on peut exporter des biscuits mauriciens vers la Chine
00:15:18et on a des entrepreneurs
00:15:20étrangers qui vont faire
00:15:22de l'usine à Maurice, faire des biscuits,
00:15:24servir la farine
00:15:26au Moulin des Concordes,
00:15:28servir 10 siècles local.
00:15:30Donc on ajoute des valeurs mauriciennes
00:15:32et on importe, on exporte
00:15:34dans l'Afrique.
00:15:36Ou bien,
00:15:38il y a des compagnies
00:15:40comme Huawei, des compagnies chinoises,
00:15:42japonaises, qui font
00:15:44des portables.
00:15:46On a l'accès sur le marché africain
00:15:48à Maurice,
00:15:50on développe certains components
00:15:52de ce téléphone à Maurice,
00:15:54de l'assemblage à Maurice, de la hi-tech à Maurice
00:15:56et là, on l'exporte sur le marché
00:15:58africain pour booster
00:16:00l'exportation.
00:16:02Pour réduire l'importation,
00:16:04tout le monde, depuis
00:16:06mon temps politique, et je me connais avant moi,
00:16:08tout le monde fait la même chose.
00:16:10On mange plus ce qu'on produit et on produit
00:16:12plus ce qu'on mange. Tout le temps, on fait ça.
00:16:14L'époque Covid, tout le monde
00:16:16se demandait l'autosuffisance alimentaire,
00:16:18comment on gagne nos propres
00:16:20oignons, pommes de terre,
00:16:22etc.
00:16:24Maurice, on est dans la même saison.
00:16:26C'est vrai que les légumes ne sont pas
00:16:28poussés tout au long de l'année.
00:16:30On est dans une période où on peut bien
00:16:32importer les produits
00:16:34qu'on mange.
00:16:36Mais si on tient
00:16:38une propre storage facilité,
00:16:40avec toute la hi-tech
00:16:42qui garde la température,
00:16:44qui empêche ces produits-là
00:16:46de gâter, nous pouvons produire
00:16:48plus dans la saison
00:16:50et stocker.
00:16:52Et dans la période de l'hiver,
00:16:54quand les légumes ne sont pas poussés,
00:16:56on prend ce stock-là
00:16:58et on distribue.
00:17:00Après, nous utilisons
00:17:02une nouvelle technologie,
00:17:04Vertical Farming, Integrated Farming.
00:17:06Aujourd'hui, quand on commence
00:17:08à faire des plantations,
00:17:10c'est un cri du cœur, vraiment,
00:17:12Dimitri.
00:17:14Tout au long de l'année, nous restons plantés.
00:17:16Quand on arrive là pour récolter, laver,
00:17:18voler, venir, rassoir,
00:17:20on dit, mais qu'est-ce qu'on fait ?
00:17:22Nous ne pouvons pas mettre
00:17:24des barrages, des trossiers,
00:17:26nous ne pouvons pas mettre des caméras,
00:17:28nous ne pouvons pas mettre
00:17:30du monde pour veiller,
00:17:32des gardiens pour veiller.
00:17:34Mais si demain, on a vraiment un système
00:17:36qui permet de s'y planter,
00:17:38de planter les légumes,
00:17:40sécuriser, empêcher le vol,
00:17:42faire une patrouille régulière,
00:17:44le gouvernement peut-être viendra avec un schéma
00:17:46pour donner des grillages
00:17:48pour encadrer
00:17:50les plantations et peut-être
00:17:52nous serons capables de produire plus
00:17:54les légumes locales et d'épargner moins
00:17:56sur l'importation.
00:17:58Avec ce qui peut arriver à travers le monde,
00:18:00changement, situation géopolitique,
00:18:02et également
00:18:04disponibilité de main-d'oeuvre et de matières premières,
00:18:06par exemple, au-delà de l'automobile,
00:18:08peut-être Toyota,
00:18:10avec Kia,
00:18:12qui a été créé en Corée du Sud,
00:18:14ils ont dit qu'ils pouvaient produire soit en Inde,
00:18:16soit en Indonésie,
00:18:18peut-il produire majoritairement en Inde ?
00:18:20Est-ce qu'il y a d'autres réalités
00:18:22qu'il faut prendre en compte
00:18:24qui permettent de réaliser
00:18:26ce projet-là ?
00:18:28C'est impossible ?
00:18:30Moi, je le vois d'une certaine façon.
00:18:32Je suis totalement conscient de la globalisation,
00:18:34mais je trouve qu'il y a une opportunité.
00:18:36Moi, c'est un petit pays.
00:18:38C'est vrai qu'il n'y a pas de grand terrain,
00:18:40qu'il n'est pas capable de produire
00:18:42la masse qu'il faut
00:18:44pour réduire les coûts
00:18:46et donc les parts économiques
00:18:48pour produire tout,
00:18:50les beaucoup plus économiques importent
00:18:52les choses qu'ils nous produisent.
00:18:54Même par exemple,
00:18:56les bœufs, les carteries,
00:18:58les livestocks.
00:19:00Mais quand on prend la nourriture
00:19:02pour nous-mêmes,
00:19:04les enclos qu'il nous faut faire,
00:19:06les ports qu'il nous faut faire,
00:19:08les parts économiques à grande échelle.
00:19:10Mais c'est là que l'économie-diplomatie
00:19:12rentre en jeu.
00:19:14Nous, les pays africains,
00:19:16nous jouons le rôle des membres
00:19:18de l'Union africaine
00:19:20et nous faisons l'Afrique venir nous grenier.
00:19:22Nous avons l'expertise,
00:19:24nous avons le savoir-faire.
00:19:26Maintenant, c'est à nous d'exporter
00:19:28ce savoir-faire dans d'autres pays.
00:19:30Nous disons préférablement
00:19:32pour le textile.
00:19:34Nous prenons l'exemple de CMT,
00:19:36une compagnie mauricienne de textiles.
00:19:38Elle a une usine dans le Bangladesh.
00:19:40Il y a d'autres compagnies textiles
00:19:42dans le Madagascar.
00:19:44Il y en a dans l'Afrique.
00:19:46Je te contiens,
00:19:48il y a une opération,
00:19:50une base d'opérations en Mauritie,
00:19:52mais je fais beaucoup plus
00:19:54des affaires comme le marketing,
00:19:56le merchandising,
00:19:58le sourcing,
00:20:00ce qui m'a bien impacté.
00:20:02Moi, j'ai vu un petit peu
00:20:04comme en Malaisie,
00:20:06le back-office de Singapour,
00:20:08le front-office.
00:20:10Malaisie,
00:20:12Singapour, c'est beaucoup plus,
00:20:14comment dire, Malaisie produit,
00:20:16Singapour qui vend,
00:20:18qui fait toutes les opérations.
00:20:20Malaisie, si vous prenez cet exemple-là,
00:20:22l'Afrique, c'est nous Malaisie,
00:20:24et nous, nous viens de Singapour.
00:20:26Vous avez raison, peut-être qu'on est un petit peu
00:20:28influencé parce qu'on travaille plusieurs années
00:20:30dans Singapour, donc c'est un modèle économique
00:20:32qui nous fascine tout le temps,
00:20:34parce que, comme Maurice,
00:20:36Singapour, les petits pays,
00:20:38ils n'ont pas de grands ressources
00:20:40à part sur la matière grise,
00:20:42mais il y en a à l'épaule
00:20:44et vraiment, il fait le transit
00:20:46entre les pays comme
00:20:48Indonésie, Malaisie,
00:20:50vers l'Asie, vers l'Europe,
00:20:52tout ça.
00:20:54Et après, contrairement à Maurice,
00:20:56Singapour, il y a
00:20:58une des meilleures airlines
00:21:00au monde.
00:21:02Nous, malheureusement, nous sommes riche
00:21:04aujourd'hui, il n'y a plus beaucoup d'avions qui grandissent,
00:21:06ce qui est un peu embolé, un peu dommage,
00:21:08mais c'est vraiment mon envie
00:21:10d'être
00:21:12dans cette interview,
00:21:14c'est vraiment mon envie d'être
00:21:16là, mais
00:21:18vous avez une connectivité, connectivité
00:21:20portuaire et aussi connectivité
00:21:22aérienne.
00:21:24Le député leader
00:21:26du MMM est bien sûr
00:21:28une des figures de proue de l'alliance
00:21:30MMM Nouveau Démocrate
00:21:32qui est avec nous.
00:21:34L'économie, le budget
00:21:36et la politique nous manquent à une pause
00:21:38pour le temporaire.
00:21:40On retrouve vous juste après ceci.
00:22:04Sous-titres réalisés par la communauté d'Amara.org
00:22:34Abonnez-vous !
00:23:04Sous-titres réalisés par la communauté d'Amara.org
00:23:34Sous-titres réalisés par la communauté d'Amara.org
00:24:04Sous-titres réalisés par la communauté d'Amara.org
00:24:34Sous-titres réalisés par la communauté d'Amara.org
00:24:37Sous-titres réalisés par la communauté d'Amara.org
00:25:07Sondage analysiste
00:25:1063% des ménages
00:25:13arrivent difficilement à boucler
00:25:16leur budget mensuel.
00:25:1863% des ménagers
00:25:21mourissent d'une difficulté
00:25:24de traction tous les mois.
00:25:26Ils viennent nous expliquer
00:25:29qu'ils ne sont plus capables
00:25:32de faire des produits de luxe.
00:25:34Ils n'ont plus assez de bisous.
00:25:36Ils ne peuvent plus voyager,
00:25:38ils ne peuvent plus aller dans l'avion.
00:25:40Tous les mois,
00:25:42ils doivent acheter de nouveau.
00:25:44Maintenant, tous les deux mois,
00:25:46tous les trois mois.
00:25:48La vie chère, c'est le seul constat
00:25:50qui fait l'unanimité dans Maurice.
00:25:52Il y a une augmentation
00:25:54du coût de la vie à Maurice.
00:25:56Qu'est-ce qui fait
00:25:58un coût de la vie inaugmenté ?
00:26:00Bien sûr, il y a la dépréciation
00:26:02de nos pays.
00:26:04Il y a aussi des facteurs externes.
00:26:07C'est vrai que le conflit
00:26:09en Ukraine montre certains produits.
00:26:12C'est vrai qu'avec la COVID,
00:26:14il n'y a pas de retour
00:26:16dans la production.
00:26:18Donc, il y a une pénurie
00:26:20d'augmentation du prix.
00:26:22C'est vrai qu'il freine
00:26:24une montée.
00:26:26Maintenant, on a des problèmes
00:26:28dans le golfe.
00:26:30Les bateaux peuvent prendre
00:26:32plus de temps.
00:26:34Bien sûr, il y a une montée
00:26:36de prix.
00:26:38Tout cela fait qu'à Maurice,
00:26:40il y a des facteurs qui contribuent
00:26:42à l'inflation.
00:26:44Parce qu'on importe
00:26:46l'inflation.
00:26:48On ne produit pas grand-chose,
00:26:50en vérité.
00:26:52Même le gouvernement,
00:26:54quand il décide de faire
00:26:56le métro,
00:26:58il peut injecter
00:27:00l'inflation.
00:27:02Même le tram,
00:27:04il importe l'inflation
00:27:06depuis l'espace.
00:27:08Même la main d'oeuvre.
00:27:10Peut-être que 80 %
00:27:12de sa casse
00:27:14peut investir dans le métro.
00:27:16Puis, à l'endéo,
00:27:18il ne peut pas investir
00:27:20dans Maurice du tout.
00:27:22Pour revenir à
00:27:24vos questions,
00:27:26comment nous faire?
00:27:28Nous contrôlons
00:27:30nos taux d'échange.
00:27:34Je pense
00:27:36qu'il y a
00:27:38une pénurie de devises
00:27:40régulièrement.
00:27:42Même pour les commerçants,
00:27:44il y a une pénurie.
00:27:46Parce qu'il y a des gens
00:27:48qui n'ont pas
00:27:50de devises.
00:27:52Par exemple, dans le secteur
00:27:54touristique, ils préfèrent
00:27:56les produits
00:27:58de consommation,
00:28:00la boisson,
00:28:02depuis l'étranger.
00:28:04Ils doivent payer
00:28:06en devises.
00:28:08La rentrée de devises
00:28:10est faite
00:28:12par les touristes.
00:28:14Vous pensez
00:28:16qu'il faut prendre
00:28:18sa casse pour gagner
00:28:20de l'euro,
00:28:22pour investir
00:28:24dans l'Europe.
00:28:26Il n'y a pas
00:28:28d'investissement
00:28:30pour gagner de l'euro.
00:28:32Il faut gagner en devises.
00:28:34Dans le secteur
00:28:36touristique,
00:28:38il y a un groupe
00:28:40d'hôtels
00:28:42qui font des activités
00:28:44en Europe.
00:28:46Ils font
00:28:48des centres en Europe.
00:28:50Ils font du marketing,
00:28:52ils vendent des billets.
00:28:54En France, par exemple,
00:28:56dans divers pays européens,
00:28:58dans ces pays-là,
00:29:00il n'y a pas besoin
00:29:02de devises pour payer
00:29:04l'emplacement,
00:29:06pour payer les gens qui travaillent là-bas.
00:29:08Donc, il y a tendance
00:29:10à ne pas convertir
00:29:12toutes les devises qui étaient là,
00:29:14mais à en garder une partie.
00:29:16Maintenant, ces mêmes gens,
00:29:18s'ils le connaissent demain,
00:29:20il n'y a pas de difficulté
00:29:22pour le sens des devises.
00:29:24S'ils le connaissent demain,
00:29:26ces devises,
00:29:28il n'y a pas de dépréciation.
00:29:30Oui, il n'y a pas de dépréciation.
00:29:32Donc, c'est possible.
00:29:34Disons, moi, je suis un opérateur
00:29:36qui gagne des devises étrangères.
00:29:38Je connais, par exemple,
00:29:40un million de dollars
00:29:42que vous avez pendant un an.
00:29:44Je trouve une compagnie
00:29:46qui peut lancer une action
00:29:48et que j'ai payé en roupies.
00:29:50Qu'est-ce que je fais?
00:29:52Je prends mes devises,
00:29:54je les convertis en roupies.
00:29:56Moi, c'est cette action-là.
00:29:58Après, dans un an, deux ans,
00:30:00quand cette action-là monte,
00:30:02je les revends.
00:30:04Après, je les convertis en dollars
00:30:06ou en euros et je paie
00:30:08mes impôts à terre.
00:30:10Mais il faut dire qu'il y a avant tout
00:30:12confiance en roupies.
00:30:14Aujourd'hui, les opérateurs,
00:30:16ils ont confiance en roupies.
00:30:18Donc, après, quand ils gagnent en roupies
00:30:20et ils gagnent des devises aussi,
00:30:22ils ne peuvent pas les garder
00:30:24parce que c'est plus difficile
00:30:26de réhasser des devises plus tôt.
00:30:28Et là, vous avez l'indépendance
00:30:30de la Banque centrale.
00:30:32Vous savez,
00:30:34il y en a,
00:30:36vous avez du mal à le dire,
00:30:38l'année dernière,
00:30:40dans ce débat budgétaire.
00:30:42Lui, il s'est servi à un terme
00:30:44qui sonne bien,
00:30:46c'est-à-dire que la dépréciation
00:30:48de la roupie,
00:30:50c'est le meilleur ami du ministre des Finances.
00:30:52Parce que
00:30:54qui est ça?
00:30:56Le ministre des Finances,
00:30:58il vous a cassé.
00:31:00Il vous a cassé pour rouler sur la cuisine,
00:31:02il vous a cassé pour faire ses bonnes dépenses.
00:31:04Quand il vous a cassé, c'est à travers la taxe.
00:31:06Quand vous payez la taxe, c'est TVA,
00:31:08mais c'est aussi du bon duty,
00:31:10custom duty.
00:31:12Un produit qui vous fait voter,
00:31:14il peut coûter plus cher en termes de roupie.
00:31:16Même s'il paraît, en termes de l'or,
00:31:18ce prix n'est pas nécessairement de l'or,
00:31:20de l'euro, mais quand vous le mettez en roupie,
00:31:22à cause de la dépréciation de la roupie,
00:31:24il peut venir plus cher.
00:31:26TVA, là aussi, il peut venir plus cher.
00:31:28Le gouvernement devient plus casse
00:31:30quand le gouvernement déprécie la roupie.
00:31:32Il devient plus casse en TVA,
00:31:34il devient plus casse en frais de douane,
00:31:36customs duties, les vies.
00:31:38Donc, à cause de ça,
00:31:40le gouvernement, lui, n'a pas envie
00:31:42de déprécier la roupie,
00:31:44le ministre des Finances, pour qu'il devienne plus casse
00:31:46en termes de revenus fiscaux.
00:31:48Mais la Banque Centrale, elle,
00:31:50ce rôle,
00:31:52c'est de stabiliser la roupie,
00:31:54parce qu'elle le fait à travers
00:31:56soit l'intervenir dans le marché,
00:31:58ou bien à travers
00:32:00le taux d'intérêt.
00:32:02C'est un outil qui est là
00:32:04pour qu'elle contrôle
00:32:06le taux d'échange.
00:32:08Aujourd'hui,
00:32:10il y a une Banque Centrale
00:32:14qui n'est pas indépendante.
00:32:16La perception, c'est qu'elle n'est pas indépendante.
00:32:18Si vous avez un gouverneur de la Banque Centrale
00:32:20qui est solide, peut-être qu'il l'est,
00:32:22il est obligé de ne pas déprécier la roupie,
00:32:24il est obligé de soutenir la roupie
00:32:26et de combattre l'inflation, combattre la châtaigne de la vie.
00:32:28Peut-être que mon gars n'a pas trop compris,
00:32:30mais,
00:32:32pour exemple,
00:32:34on peut dire qu'il y a un gouverneur
00:32:36de la Banque de Maurice,
00:32:38l'opposition intitule-t-elle alors le gouverneur de la Banque de Maurice.
00:32:40On trouve qu'il continue d'obtenir, année après année,
00:32:42des reconnaissances internationales.
00:32:44Comment explique-t-elle
00:32:46ce paradoxe-là?
00:32:48Oui, c'est bien.
00:32:50Moi, quand j'ai rencontré
00:32:52ce gouverneur, qui est un beau camarade que j'ai connu
00:32:54de longue date, je n'ai pas envie d'être méchant
00:32:56envers lui et je n'ai pas envie
00:32:58de faire des commentaires sur
00:33:02le prix qu'il a gagné.
00:33:04Tant mieux, je suis bien content pour lui.
00:33:06Mais moi, je ne parle pas
00:33:08sur la personne,
00:33:10je parle sur l'institution.
00:33:12Je peux vous dire, je vais essayer d'expliquer
00:33:14à mon auditeur du Top FM,
00:33:16qu'il y a une situation
00:33:18que, quand il y a une rupee
00:33:20qui peut être dépréciée,
00:33:22elle augmente le coût de la vie,
00:33:24elle crée une inflation
00:33:26et en tant que banque centrale,
00:33:28son rôle, c'est
00:33:30de contrôler la rupee,
00:33:32d'appuyer sur la rupee dépréciée
00:33:34pour empuyer l'inflation.
00:33:36Donc, c'est uniquement le contrôle du devise
00:33:38qui empuie l'inflation?
00:33:40Ce n'est pas qu'eux.
00:33:42C'est le QNS qui monite les policiers
00:33:44qui ont besoin,
00:33:46qui ont des devises.
00:33:48Si mon rupee a beaucoup d'intérêt,
00:33:50je ne vais pas l'acheter.
00:33:52Je vais l'acheter de l'or
00:33:54parce que je n'ai pas assez d'or
00:33:56pour l'apprécier vis-à-vis de la rupee.
00:33:58Mais s'il augmente l'intérêt,
00:34:00il n'y a aucune raison pour l'acheter de l'or.
00:34:02Je me casse dans la banque
00:34:04et je gagne l'intérêt.
00:34:06C'est pour cela que
00:34:08pour contrôler l'inflation
00:34:10et stabiliser la rupee,
00:34:12la banque de Maurice
00:34:14soit les jouer avec le taux d'échange
00:34:16s'il y a envie
00:34:18que la rupee ne soit pas dépréciée,
00:34:20il monte le taux d'intérêt,
00:34:22ou bien directement trouver
00:34:24une pénurie de l'or,
00:34:26tout le monde peut avoir de l'or,
00:34:28il y a l'or au marché
00:34:30et il vend de l'or
00:34:32parce qu'il y a une réserve de l'or.
00:34:34Il prend ce de l'or, il le vend,
00:34:36il vend la banque commerciale
00:34:38et il prend la rupee pour la garder.
00:34:40C'est la banque centrale.
00:34:42Comment elle fait s'il y a une politique
00:34:44de contrôle de l'inflation
00:34:46et de contrôle de la rupee
00:34:48à travers
00:34:50le contrôle du taux d'échange ?
00:34:52Mais bien sûr, le problème aujourd'hui,
00:34:54c'est que même si la banque centrale
00:34:56a envie de contrôler la rupee,
00:34:58le ministre des Finances,
00:35:00il a tout à gagner pour la rupee
00:35:02dépréciée.
00:35:04C'est pour ça qu'il faut une indépendance,
00:35:06une cohésion entre les deux.
00:35:08La chérité de la vie...
00:35:10Juste avant d'arriver à la question
00:35:12de la chérité de la vie,
00:35:14est-ce qu'on peut dire aujourd'hui
00:35:16comment on peut baisser
00:35:18le prix des médicaments,
00:35:20des produits alimentaires,
00:35:22de carburant, sans peut-être
00:35:24aucune démagogie politique ?
00:35:26Comment est-ce qu'on peut le faire directement ?
00:35:28Je vais commencer en général.
00:35:30Maintenant, on va dans le spécifique.
00:35:32On prend un domaine
00:35:34que l'on connaît très bien,
00:35:36c'est les médicaments.
00:35:38On connaît ce domaine très bien
00:35:40parce qu'en tant que président de PAC,
00:35:42on passe beaucoup de semaines
00:35:44avec les pharmacistes
00:35:46du gouvernement
00:35:48pour comprendre comment se fait-il
00:35:50qu'il y ait une pénurie de médicaments
00:35:52qui fait qu'à chaque fois,
00:35:54vous avez l'emergency procurement.
00:35:58Donc, nous faisons des recommandations
00:36:00et si
00:36:02nous tenions une meilleure gestion
00:36:04de stock de produits
00:36:06pharmaceutiques,
00:36:08le prix va baisser.
00:36:10C'est quand vous avez cet emergency procurement
00:36:12que vous payez beaucoup plus.
00:36:14Je me souviens avec mon épée ravière,
00:36:16j'avais payé 79 roupies pour un comprimé
00:36:18qui coûtait 9 roupies la veille.
00:36:22Tous les experts
00:36:24qui travaillent
00:36:26sur le dossier
00:36:28du prix des médicaments
00:36:30disent qu'il y a des façons
00:36:32de baisser le prix des médicaments en Mauritie.
00:36:34Le premier, c'est ce que j'appelle
00:36:36le parallèle import.
00:36:38C'est quoi le parallèle import?
00:36:40Aujourd'hui, je prends
00:36:42un exemple que tout le monde comprend,
00:36:44le panadol.
00:36:46J'ai envie d'importer
00:36:48le panadol dans Mauritie.
00:36:50J'ai envie d'importer le panadol
00:36:52parce que
00:36:54Glasgow SmithKline,
00:36:56qui a un GSK,
00:36:58qui a le brevet,
00:37:00fait un accord avec un
00:37:02distributeur exclusif à Mauritie.
00:37:04Et donc,
00:37:06il y a une situation
00:37:08d'importateur
00:37:10du panadol.
00:37:12Donc,
00:37:14même si c'est un produit génuine,
00:37:16j'ai envie d'importer.
00:37:18Avec parallèle import,
00:37:20du moment que
00:37:22c'est un produit génuine,
00:37:24qui est autorisé par GSK,
00:37:26j'ai envie d'importer.
00:37:28C'est-à-dire que c'est une clause d'exclusivité
00:37:30qui dit seulement
00:37:32telle pharmacie, telle compagnie
00:37:34dans Mauritie qui a le droit d'importer le produit.
00:37:36Et je peux dire, je ne suis pas un panadol,
00:37:38mais je peux dire que ce produit,
00:37:40chaque laboratoire,
00:37:42Fizer, Roche,
00:37:44tous sont protégés à Mauritie.
00:37:46Maintenant, ça a-t-il protégé la vie?
00:37:48Parce qu'il y a une situation de monopole.
00:37:50Il fait ce qu'il a envie.
00:37:52A Mauritie,
00:37:54nous contrôlons le marge.
00:37:56Nous contrôlons le marge.
00:37:58Mais le marge, vous le connaissez, vous l'importez.
00:38:00Si vous importez, disons,
00:38:02un médicament à 100 roupies,
00:38:04vous avez un marge de profit
00:38:06de 10%, ça veut dire
00:38:08que vous avez un lit à 110 roupies.
00:38:10Mais si ça produit là,
00:38:12vous faites un intermédiaire
00:38:14pour l'importer
00:38:16à 80 roupies,
00:38:18et après, vous avez un lit à 100 roupies.
00:38:20Mais comment je vais l'importer?
00:38:22Je ne vais pas l'importer à 80 roupies.
00:38:24Je vais l'importer à 100 roupies.
00:38:26Qu'est-ce qu'on va faire là?
00:38:28On va mettre 20 roupies de profit pour stocker ça
00:38:30en déomorice.
00:38:32C'est comme ça que moi, je suis capable
00:38:34de faire de l'over-invoicing
00:38:36pour montrer le prix
00:38:38du médicament.
00:38:40Mais par contre, quand il y a un parallèle import,
00:38:42tout le monde peut avoir une concurrence
00:38:44qui s'adapte pour un produit là
00:38:46plus bon marché.
00:38:48C'est ce que les grands
00:38:50pharmaciens, tout le temps,
00:38:52objectent
00:38:54à un parallèle import.
00:38:56C'est une chose
00:38:58qu'on a discuté depuis longtemps.
00:39:00Et on vient de faire ressortir
00:39:02qu'il y a un rapport international
00:39:04qui recommande ça, et il y a aussi
00:39:06la Competition Commission qui recommande
00:39:08de faire un parallèle import.
00:39:10Mais quand on fait un parallèle import,
00:39:12il y a le risque de
00:39:14counterfeiting.
00:39:16C'est-à-dire qu'il y a
00:39:18des produits contrefaits, des faux produits.
00:39:20C'est-à-dire des produits
00:39:22qui ne sont pas faits par un laboratoire
00:39:24qui produit avec
00:39:26toutes les normes internationales, normes d'hygiène.
00:39:28Donc, il y a des produits qui sont là
00:39:30pour faire un comprimé
00:39:32et ne créer pas de l'eau là,
00:39:34ou pour consommer des matériaux pas connus ou percés.
00:39:36Donc ça, c'était tout le temps l'argument
00:39:38qui était servi. Et ça,
00:39:40ce que nous voulions faire, c'est simplement
00:39:42qu'il y ait nos propres laboratoires
00:39:44au niveau
00:39:46du gouvernement qui
00:39:48pouvaient faire des tests random.
00:39:50Ils prenaient des samples
00:39:52dans la pharmacie, ils les faisaient sur
00:39:54les têtes, ils pouvaient les connaître parce que
00:39:56tous ces médicaments étaient des
00:39:58components, donc ils les faisaient analyser, puis ils les connaissaient.
00:40:00Deuxième façon,
00:40:02c'est générique.
00:40:04Aujourd'hui,
00:40:06si vous achetez un médicament, par exemple,
00:40:08il y a des gens qui ont un problème gastrique,
00:40:10vous êtes servi d'un comprimé qui s'appelle
00:40:12Nexium,
00:40:14qui coûte extrêmement cher.
00:40:16Mais ce même produit,
00:40:18si vous l'achetez
00:40:20dans d'autres laboratoires,
00:40:22qui ne servent pas
00:40:24de la même marque,
00:40:26vous l'achetez bien moins cher.
00:40:28Pareil pour le cholestérol.
00:40:30Vous achetez un médicament pour le cholestérol
00:40:32et il y en a
00:40:34qui va venir sur la marque
00:40:36et il y en a
00:40:38qui servent de générique,
00:40:40c'est-à-dire que c'est le même ingrédient.
00:40:42C'est le même laboratoire
00:40:44qui va tout l'aider.
00:40:46Mais nous, à Maurice, malheureusement,
00:40:48les docteurs ont tendance
00:40:50à prescrire seulement
00:40:52médicaments qui plichent.
00:40:54Il y a une collusion aussi entre les médecins
00:40:56et les pharmacies.
00:40:58Les pharmacies
00:41:00mangent de profits illimités.
00:41:02Si j'achète un produit à 100 roubles,
00:41:04j'ai gagné 10 roubles.
00:41:06Si j'achète un produit à 500 roubles,
00:41:08j'ai gagné 50 roubles.
00:41:10C'est-à-dire que je n'ai pas envie
00:41:12de vendre ce qui pliche
00:41:14pour me faire plus de profits.
00:41:16Donc quand on encourage
00:41:18des produits génériques,
00:41:20que ce soit dans
00:41:22l'hôpital aussi,
00:41:24dans le privé,
00:41:26les docteurs aussi doivent
00:41:28prescrire.
00:41:30Le laboratoire est un docteur
00:41:32qui, quand il prescrit un médicament,
00:41:34doit mettre le nom du médicament
00:41:36et le nom générique.
00:41:38Paracétamol,
00:41:40le consommateur le voit.
00:41:42S'il veut payer plus cher
00:41:44parce qu'il pense que c'est un produit designé,
00:41:46il paie plus cher.
00:41:48Mais s'il pense que
00:41:50le docteur ne va pas réussir,
00:41:52qu'il a un grand laboratoire
00:41:54ou un petit laboratoire,
00:41:56il préfère prendre ce petit laboratoire.
00:41:58Maintenant, les produits alimentaires,
00:42:00de quoi aborderont-ils ?
00:42:02Les produits alimentaires,
00:42:04il y a une politique
00:42:06qui peut aider
00:42:08les planteurs.
00:42:10Déjà, il y a
00:42:12beaucoup de subventions
00:42:14que le gouvernement donne,
00:42:16mais ça fait
00:42:18encore plus, ça fait encore mieux.
00:42:20Là, je vais vous dévoiler
00:42:22tout le contenu de nos programmes
00:42:24parce qu'on a besoin des planteurs
00:42:26et nos programmes nous prennent en bonne mesure
00:42:28pour encourager
00:42:30plus
00:42:32de consommation
00:42:34et de production locale.
00:42:36Mais il y a une seule contradiction.
00:42:38Par rapport au gouvernement,
00:42:40vous pouvez dire
00:42:42qu'il nous faut produire plus.
00:42:44Pour produire,
00:42:46il nous faut la terre.
00:42:48En même temps,
00:42:50il nous faut prendre la terre
00:42:52et produire plus.
00:42:54Le gouvernement
00:42:56encourage les étrangers
00:42:58à acheter la terre.
00:43:00Il encourage les étrangers
00:43:02à acheter la maison
00:43:04qui construit la terre.
00:43:06Mais il y a aussi des gens
00:43:08qui ont une maison de terre
00:43:10et qui pensent
00:43:12qu'ils peuvent gagner
00:43:14de l'argent.
00:43:16Si on prend une maison de terre,
00:43:18on met un bâtiment,
00:43:204 ou 5 étages,
00:43:22franchement,
00:43:24on peut blâmer ces gens
00:43:26qui préfèrent faire un développement
00:43:28real estate
00:43:30et gagner des millions de roupies de profit
00:43:32au lieu d'aller les planter
00:43:34et gagner quelques millions de roupies.
00:43:36Résultat, tout le gouvernement
00:43:38est dans la direction du real estate.
00:43:40Depuis l'an 2000,
00:43:42tout a monté.
00:43:44Je vais vous parler de tout ça.
00:43:46Le premier,
00:43:48c'est le gouvernement MSM,
00:43:50qui vient avec
00:43:52le integrated resource scheme.
00:43:54Le IRS,
00:43:56il y a deux choses intéressantes.
00:43:58Premièrement,
00:44:00il y a une zone,
00:44:02une zone désignée.
00:44:04Ce n'est pas toute l'île,
00:44:06c'est surtout l'endroit
00:44:08près de l'hôtel,
00:44:10près de l'armée.
00:44:12Deuxièmement, le prix.
00:44:14Le prix pour avoir
00:44:16une maison,
00:44:18une villa
00:44:20IRS, en bas,
00:44:22le gouvernement dit 500 000 $,
00:44:24mais tout le monde le connaît.
00:44:26Tu peux payer beaucoup plus que 500 000 $,
00:44:2830 millions, 40 millions,
00:44:30tu peux payer un appartement.
00:44:32Mais aujourd'hui, non.
00:44:34Aujourd'hui, pour les investisseurs
00:44:36gris, j'appelle ça gris économique,
00:44:38c'est-à-dire les gens qui ont plus de 50 ans,
00:44:40y compris moi-même,
00:44:42les étrangers qui ont 50 ans,
00:44:44je viens de Maurice, je paye 200 000 $,
00:44:46c'est 9-10 millions de rupees.
00:44:48Et si je ne suis pas gris économique,
00:44:50je ne paye pas 300 000 $,
00:44:52300 000 $, pareil,
00:44:5412-13 millions de rupees,
00:44:56je peux gagner un appartement,
00:44:58je peux gagner une maison.
00:45:00Et entier, Maurice, il n'est plus dans ma désignité.
00:45:02Et forcément,
00:45:04les gens ne sont plus capables
00:45:06d'acheter la maison de Maurice.
00:45:08Et c'est pour ça que la liste d'attente
00:45:10des gens qui peuvent acheter une maison
00:45:12en NHDC peut augmenter
00:45:14des années à l'année,
00:45:16parce que Maurice n'est plus capable d'acheter une maison.
00:45:18Beaucoup disent qu'on peut dire le budget
00:45:20pour un budget là-bas du tout,
00:45:22un budget là-bas du tout.
00:45:24Ah oui, le troisième, c'est
00:45:26le produit particulier, justement,
00:45:28la chèter de la vie,
00:45:30l'alimentaire,
00:45:32le médicament,
00:45:34et le produit particulier.
00:45:36Le produit particulier,
00:45:38le gouvernement augmente les taxes
00:45:40et autres prélèvements pour 50 %.
00:45:42Donc, c'est une chose très facile
00:45:44pour baisser les taxes.
00:45:46C'est aussi simple que ça.
00:45:48Donc, au lieu d'avoir autant de taxes,
00:45:50on baisse les taxes.
00:45:52Aujourd'hui, il y a un chiffre en tête,
00:45:54le 1 litre d'essence,
00:45:56quand on peut payer 69 roupies
00:45:58à 1 litre,
00:46:0030 roupies,
00:46:0250 % en termes de taxes.
00:46:04Donc, au lieu de 30 roupies,
00:46:06on fait 20 roupies.
00:46:08Automatiquement, on ne paye pas 10 roupies
00:46:10pour baisser. Bien sûr, il n'y a pas de manque à gagner
00:46:12pour le gouvernement, il y a un manque de revenus,
00:46:14mais automatiquement,
00:46:16le prix l'a baissé.
00:46:18Si, vendredi,
00:46:20le ministre peut annoncer une baisse
00:46:22du produit particulier, parce que moi, je suis le ministre des Finances,
00:46:24je peux le faire, parce que vraiment,
00:46:26la moge qu'il y a, quand c'est des taxes
00:46:28qu'il y a, par exemple, il y a des taxes
00:46:30à cause de la COVID,
00:46:32il y a des taxes pour le Solidarity Fund,
00:46:34il y a des taxes pour les vaccins,
00:46:36il y a des taxes pour les soins
00:46:38et il y a tout ça là.
00:46:40Donc, au lieu de ça,
00:46:42on baisse et on augmente
00:46:44les taxes.
00:46:46Donc, baisser les taxes,
00:46:48automatiquement, le prix de l'essence
00:46:50va baisser.
00:46:52Moi, je vois la situation
00:46:54comme ça,
00:46:56parce qu'il y a un budget qui ne bouge pas,
00:46:58etc.
00:47:00Hier, quand on regarde les résultats des élections
00:47:02en Inde, qui demain, bien sûr,
00:47:04nos collègues,
00:47:06qui sont sur ce plateau-là, avec Manisha,
00:47:08étant en ligne sur la question,
00:47:10mais en Inde,
00:47:12une économiste, une intervenante,
00:47:14une grande économiste, qui dit
00:47:16qu'il y a toujours plus, en même temps,
00:47:18en même temps de critiquer la société de la vie,
00:47:20qui dit qu'il n'y a pas de rationnel économique là-dedans,
00:47:22mais aussi, qui dit qu'il y a
00:47:24plus de données,
00:47:26où il y a des affaires qui appellent ciblage.
00:47:28Aucune opposition à cela.
00:47:30On va nous suivre avec beaucoup d'intérêt
00:47:32toute la campagne dans l'Inde,
00:47:34et hier,
00:47:36les grands résultats sont tombés.
00:47:38C'est fascinant,
00:47:40la maturité,
00:47:42pour moi, la maturité
00:47:44du peuple indien,
00:47:46face à ceux qui l'ont voté.
00:47:48En même temps, c'est un claque magistrale
00:47:50à toute cette
00:47:52expérience sondage,
00:47:54qui dit que c'est l'exit poll
00:47:56d'un BGP largement vainqueur.
00:47:58D'ailleurs,
00:48:00je précise qu'aujourd'hui,
00:48:02le président de Bloomberg en Inde
00:48:04est présent sur l'excuse par rapport à cela.
00:48:06Absolument.
00:48:08BGP, aujourd'hui, n'est pas une majorité.
00:48:10Ils ne sont pas alliés pour former un gouvernement.
00:48:12Mais on a raison.
00:48:14C'est une leçon à retenir
00:48:16de la campagne électorale de l'Inde.
00:48:18C'est qu'on ne peut pas
00:48:20tout le temps se promettre, promettre, promettre.
00:48:22Forcément, nous ne sommes plus
00:48:24capables de délivrer des backfires.
00:48:26La campagne
00:48:28de Modi, qui
00:48:30veut accéder à une communauté,
00:48:32à une continuation de ce
00:48:34politique,
00:48:36et la campagne de Raoul Gandhi,
00:48:38qui est un associé de l'Inde,
00:48:40dit beaucoup plus
00:48:42sur ce qui peut
00:48:44se produire.
00:48:46Donc, ils descendent
00:48:48de la région, ils y vont, ils font porte-à-porte,
00:48:50ils l'écoutent, et ils trouvent
00:48:52que malgré le fait
00:48:54que l'économie,
00:48:56l'Inde peut faire bien,
00:48:58les chiffres d'emploi sont bas,
00:49:00l'investissement,
00:49:02le stock market, tout ça,
00:49:04les opérateurs économiques sont contents.
00:49:06Mais il y a beaucoup de monde,
00:49:08surtout dans la région
00:49:10rurale, qui pourtant,
00:49:12dans la circonscription, dans l'État,
00:49:14qui traditionnellement
00:49:16peut soutenir le BGP,
00:49:18comme à Outer Pradesh, décide
00:49:20de voter contre
00:49:22le BGP.
00:49:24Parce qu'il s'est réalisé
00:49:26qu'il n'y avait pas
00:49:28d'amélioration.
00:49:30Donc, aujourd'hui,
00:49:32c'est la même chose.
00:49:34C'est bien
00:49:36que M. Fadati
00:49:38dit qu'il peut faire très bien,
00:49:40que l'économie va bien,
00:49:42qu'il peut avoir un BGP de 1 trillion dollars
00:49:44pour monter,
00:49:46l'emploi est bas, l'inflation est contrôlée.
00:49:48Mais il n'y a pas de ça
00:49:50dans la région.
00:49:52Comment peut-on vivre ?
00:49:54C'est énorme.
00:49:58Qu'est-ce qui nous a introduit à Ciblage ?
00:50:00Nous disons à Ciblage.
00:50:02Comment peut-on dire
00:50:04aux gens
00:50:06qu'ils peuvent avoir
00:50:08des matériaux scolaires
00:50:10ou des social registers ?
00:50:12Comment peut-on dire
00:50:14qu'ils peuvent avoir 10% de la caisse NSDC
00:50:16réservée aux social registers ?
00:50:18C'est pas Ciblage ça ?
00:50:20Comment peut-on dire aux gens
00:50:22qu'ils peuvent avoir un BGP
00:50:24de 1 trillion dollars
00:50:26pour monter,
00:50:28l'emploi est bas, l'inflation est contrôlée.
00:50:30Comment peut-on vivre ?
00:50:32C'est énorme.
00:50:34Comment peut-on vivre ?
00:50:36C'est énorme.
00:50:38Comment peut-on vivre ?
00:50:40C'est énorme.
00:50:42Comment peut-on vivre ?
00:50:44C'est énorme.
00:50:46Comment peut-on vivre ?
00:50:48C'est énorme.
00:50:50Comment peut-on vivre ?
00:50:52Comment peut-on vivre ?
00:50:54Comment peut-on vivre ?
00:50:56Comment peut-on vivre ?
00:50:58Comment peut-on vivre ?
00:51:00Comment peut-on vivre ?
00:51:02Comment peut-on vivre ?
00:51:04Comment peut-on vivre ?
00:51:06Comment peut-on vivre ?
00:51:08Comment peut-on vivre ?
00:51:10Comment peut-on vivre ?
00:51:12Comment peut-on vivre ?
00:51:14Comment peut-on vivre ?
00:51:16Comment peut-on vivre ?
00:51:18Comment peut-on vivre ?
00:51:20Comment peut-on vivre ?
00:51:22Comment peut-on vivre ?
00:51:24Comment peut-on vivre ?
00:51:26Comment peut-on vivre ?
00:51:28Comment peut-on vivre ?
00:51:30Comment peut-on vivre ?
00:51:32Comment peut-on vivre ?
00:51:34Comment peut-on vivre ?
00:51:36Comment peut-on vivre ?
00:51:38Comment peut-on vivre ?
00:51:40Comment peut-on vivre ?
00:51:42Comment peut-on vivre ?
00:51:44Comment peut-on vivre ?
00:51:46Comment peut-on vivre ?
00:51:48Comment peut-on vivre ?
00:51:50Comment peut-on vivre ?
00:51:52Comment peut-on vivre ?
00:51:54Comment peut-on vivre ?
00:51:56Comment peut-on vivre ?
00:51:58Comment peut-on vivre ?
00:52:00Comment peut-on vivre ?
00:52:02Comment peut-on vivre ?
00:52:04Comment peut-on vivre ?
00:52:06Comment peut-on vivre ?
00:52:08Comment peut-on vivre ?
00:52:10Comment peut-on vivre ?
00:52:12Comment peut-on vivre ?
00:52:14Comment peut-on vivre ?
00:52:16Comment peut-on vivre ?
00:52:18Comment peut-on vivre ?
00:52:20Comment peut-on vivre ?
00:52:22Comment peut-on vivre ?
00:52:24Comment peut-on vivre ?
00:52:26Comment peut-on vivre ?
00:52:28Comment peut-on vivre ?
00:52:30Comment peut-on vivre ?
00:52:32Comment peut-on vivre ?
00:52:34Comment peut-on vivre ?
00:52:36Comment peut-on vivre ?
00:52:38Comment peut-on vivre ?
00:52:40Comment peut-on vivre ?
00:52:42Comment peut-on vivre ?
00:52:44Comment peut-on vivre ?
00:52:46Comment peut-on vivre ?
00:52:48Comment peut-on vivre ?
00:52:50Comment peut-on vivre ?
00:52:52Comment peut-on vivre ?
00:52:54Comment peut-on vivre ?
00:52:56Comment peut-on vivre ?
00:52:58Comment peut-on vivre ?
00:53:00Comment peut-on vivre ?
00:53:02Comment peut-on vivre ?
00:53:04Comment peut-on vivre ?
00:53:06Comment peut-on vivre ?
00:53:08Comment peut-on vivre ?
00:53:10Comment peut-on vivre ?
00:53:12Comment peut-on vivre ?
00:53:14Comment peut-on vivre ?
00:53:16Comment peut-on vivre ?
00:53:18Comment peut-on vivre ?
00:53:20Comment peut-on vivre ?
00:53:22Comment peut-on vivre ?
00:53:24Comment peut-on vivre ?
00:53:26Comment peut-on vivre ?
00:53:28Comment peut-on vivre ?
00:53:30Comment peut-on vivre ?
00:53:32Comment peut-on vivre ?
00:53:34Comment peut-on vivre ?
00:53:36Comment peut-on vivre ?
00:53:38Comment peut-on vivre ?
00:53:40Comment peut-on vivre ?
00:53:42Comment peut-on vivre ?
00:53:44Comment peut-on vivre ?
00:53:46Comment peut-on vivre ?
00:53:48Comment peut-on vivre ?
00:53:50Comment peut-on vivre ?
00:53:52Comment peut-on vivre ?
00:53:54Comment peut-on vivre ?
00:53:56Comment peut-on vivre ?
00:53:58Comment peut-on vivre ?
00:54:00Comment peut-on vivre ?
00:54:02Comment peut-on vivre ?
00:54:04Comment peut-on vivre ?
00:54:06Comment peut-on vivre ?
00:54:08Comment peut-on vivre ?
00:54:10Comment peut-on vivre ?
00:54:12Comment peut-on vivre ?
00:54:14Comment peut-on vivre ?
00:54:16Comment peut-on vivre ?
00:54:18Comment peut-on vivre ?
00:54:20Comment peut-on vivre ?
00:54:22Comment peut-on vivre ?
00:54:24Comment peut-on vivre ?
00:54:26Comment peut-on vivre ?
00:54:28Comment peut-on vivre ?
00:54:30Comment peut-on vivre ?
00:54:32Comment peut-on vivre ?
00:54:34Comment peut-on vivre ?
00:54:51Bonjour Monsieur Reza
00:54:53Bonjour à tous les invités à ce plateau
00:54:56Monsieur Reza
00:54:59Oui, comment indiquuis-je être déjà mentionné ?
00:55:02Il y a une popularité, les gens qui ont HIV, ils gagnent une pension sociale de 2100 rupees, comment nous pouvons s'en sortir avec ça, nous tous, nous, quittons-nous les papas.
00:55:20Ok, merci Résultim.
00:55:23On connait Maurice, il a une pension invalide pour les gens qui touchent, qui a une incapacité de plus de 60%, il a le même taux de pension qu'il aurait traité qu'il veut.
00:55:39Mais comme on l'a dit, il y a des gens qui ne sont pas capables de vivre parce que peut-être que cette maladie-là n'est pas équivalente à 60% de l'incapacité, mais avec cette maladie-là, il n'y a pas de travail, il y a beaucoup de stigmatisation,
00:55:59il y a des gens qui ne peuvent pas donner un travail parce qu'ils ont de l'HIV, et finalement, on va voir si j'en ai debout.
00:56:06Donc dans un cas comme ça, moi je suis tout en faveur d'une augmentation de l'allocation qu'ils donnent à des gens qui ne peuvent pas travailler à cause de ça.
00:56:17Ceci dit, tu es là à cause du ciblage, il n'y a pas de stigmatisation dans les gens. Il faut dire qu'il y a des gens qui ont de l'HIV, et je connais beaucoup de gens qui ont de l'HIV et qui vivent une vie normale, qui travaillent normalement,
00:56:36et donc il ne faudrait pas non plus qu'il y ait un stigma et qu'ils me disent parce qu'ils ont de l'HIV qu'ils doivent avoir une allocation parce qu'ils ne peuvent pas travailler.
00:56:46Moi je pense qu'il faut encourager l'insertion des gens qui ont de l'HIV à travers une campagne pour montrer qu'il n'y a pas longtemps que l'HIV ne va pas transmettre ce virus avec eux.
00:57:01Et aujourd'hui il y a beaucoup d'avancées au niveau médical qui sont capables de traiter, même de pré-traiter le cas de l'HIV.
00:57:10D'accord. Nous pouvons prendre un prochain appel en direction de Rose Hill, continué d'un VJ qui est avec nous. VJ, bon après-midi.
00:57:19Bonjour Jimmy, bonjour camarade Rézard, bonjour VJ, et salutations pour la présentation.
00:57:26Qu'est-ce que je peux vous dire, nous tous connaissons que le 20 février, quand il y a eu la crise d'Ukraine, l'essence s'est montée jusqu'à 74 litres.
00:57:41Et nous tous connaissons combien est taxé l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau
00:58:11l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l
00:58:41eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'eau, l'
00:59:11le Eu.... le taux mondial...
00:59:17N'ont pas aucune raison de combattre les décisions d'État en réduisant la...
00:59:25la...
00:59:28Quoi qu'il en prend bien des questionsNT
00:59:31Qu'il n'y a pas quoi...
00:59:33Ce qu'il y a encore lé
00:59:37Z
00:59:40en forme de taxes et prélèvements pour les produits pétroliers.
00:59:446 milliards.
00:59:45Oui.
00:59:46Je n'ai pas trop envie de faire des commentaires sur ce que le Président de la République
00:59:51a annoncé le 1er mai, mais je pense que je vais laisser l'auditeur faire la différence
00:59:56entre les attaques personnelles qu'il y a fait dans Varcois et les mesures, les programmes
01:00:02qu'il nous a annoncés pour lui.
01:00:04D'accord.
01:00:05Et là justement, les programmes, les mesures qu'il nous a annoncées, il y a une question
01:00:09qui m'a été posée, c'est si le gouvernement fulfille les demandes de l'opposition dans
01:00:13ce budget-là.
01:00:14Comment est-ce qu'ils vont réagir dans les prochaines élections?
01:00:18Eh bien, je pense que tout ce qui est au sein de l'alliance du Parti Travail, c'est
01:00:28de faire cette proposition-là pour qu'elle soit implémentée.
01:00:32Donc, si dès maintenant même le gouvernement est capable d'implémenter les mesures qu'il
01:00:36nous a annoncées, tant mieux.
01:00:37Ça veut dire qu'il nous tient à raison et qu'ils y soient pendant dix ans.
01:00:40Vous avez bien dû vous le réaliser.
01:00:42Dix ans, ce gouvernement-là est au pouvoir et dix ans, le Parti ne l'implémente pas
01:00:46de mesures qu'il nous peut donner.
01:00:48Je vais vous dire à cet auditeur-là que ces 20 mesures-là, c'est une échantillonne,
01:00:54ça.
01:00:55Il y a une commission de programmes qui nous a annoncées même, au fait, qu'on peut
01:01:00éplucher secteur par secteur.
01:01:02Et mon grand-père disait qu'il y a une très jolie proposition qu'il nous peut recevoir
01:01:08pour vivre.
01:01:09Ce n'est pas juste quand on vient à une commission de programmes, travailler c'est
01:01:12à un même niveau démocrate.
01:01:13Ce n'est pas juste nous qui faisons ça.
01:01:15Il nous faut des stakeholders et nous pouvons faire face à des problèmes, mais en même
01:01:19temps, nous pouvons proposer des solutions.
01:01:21Et bien sûr, quand nous faisons nos programmes, nous lancons nos programmes, vous trouvez
01:01:26qu'en plus d'une mesure qu'il nous a déjà annoncée, il y a encore beaucoup de mesures
01:01:31très intéressantes qu'il nous peut annoncer.
01:01:33Un autre auditeur peut dire pour contrôler l'inflation, nous voulons ce qu'il appelle
01:01:39un demand management policies ou supply side policies ou direct controls.
01:01:44Lequel est le meilleur là-dedans?
01:01:46Bien, on peut faire déjà une combinaison des trois.
01:01:50Moi, moi, je cause au demand side et supply.
01:01:53Direct controls, c'est quand le ministère vient intervenir pour fixer prix.
01:01:58Déjà, il y a un prix fixé pour certains produits.
01:02:02Par exemple, le marketing board, il y a un prix pour les pommes d'été, les oignons,
01:02:10les médicaments.
01:02:11Il y a une marge.
01:02:12Vous parliez avant de dire qu'il y a une marge.
01:02:15Il y a des produits qui sont contrôlés.
01:02:17Mais il faut faire attention.
01:02:18Par exemple, il y a des produits qui sont subventionnés.
01:02:21C'est une direct contribution.
01:02:23Les produits de base, du riz, la farine, tout ça.
01:02:27Mais il faut bien faire attention.
01:02:29Qu'est-ce qui est arrivé avec le riz ration?
01:02:32À un moment donné, il n'y a plus de riz sur le marché.
01:02:36Et donc, il y a un marché noir qui est développé.
01:02:39Parce que les gens disposent plus que sa seuil.
01:02:46Il y a un prix fixé.
01:02:48Il y a 20 rupees.
01:02:4928 rupees.
01:02:5028 rupees, c'était.
01:02:51Donc, il y a 40 rupees.
01:02:53Parce qu'il y a un manque de riz.
01:02:56Donc, il y a un petit défi de purpose.
01:02:59Donc, si vous pouvez avoir un prix fixé,
01:03:03vous allez avoir des gens qui vont vous assurer,
01:03:06qui vont vous inspecter,
01:03:07qui vont faire un chèque régulièrement
01:03:09pour que votre politique puisse être bien implémentée.
01:03:13Tout à fait.
01:03:14Je suis d'accord avec ça.
01:03:15Au digital, nous faisons vraiment un mix de ça.
01:03:18Voilà.
01:03:19OK.
01:03:20Maintenant, la question.
01:03:21Moi, je serais content que ça mesure l'expérience qu'il y a à Singapour.
01:03:25Là, bien sûr, nous trouvons une réussite à Singapour.
01:03:28Mais trouver Singapour sur la force aussi, c'est la main d'oeuvre.
01:03:32Il y a une politique.
01:03:33Il y a un pays qui n'a pas de ressources humaines.
01:03:36Mais il y a une politique.
01:03:37Vous trouvez des enfants, des étudiants,
01:03:39sur l'université, qui travaillent de nuit et de soir.
01:03:41Vous trouvez un étranger qui travaille dans un restaurant.
01:03:44Il peut faire ça tous les jours.
01:03:45Il peut faire ça sur l'économie.
01:03:46Il y a un centre commercial qui n'est pas fermé.
01:03:48Il roule 24 heures, 24 heures.
01:03:50Ici, on ne peut pas trouver ça.
01:03:51Mais quelle est la politique cohérente?
01:03:54C'est un problème main-d'oeuvre là.
01:03:56Je vais donner un seul exemple.
01:03:57Peut-être vous connaissez.
01:03:58Je vais prendre le numéro deux.
01:03:59C'est aussi la conscription.
01:04:01Quand l'école Raoul Rivette,
01:04:02il y a une pâtisserie.
01:04:03Nabil.
01:04:04C'est fermé.
01:04:05Il y a 10 équipements.
01:04:06Le numéro trois a plein de viettes.
01:04:08Parce qu'il n'y a pas beaucoup de gens pour ça.
01:04:10Il y a toujours des enfants dans l'école Raoul Rivette, etc.
01:04:13Il y a toujours des gens qui pensent que c'est pénalisé.
01:04:17Quel est la politique cohérente?
01:04:19L'eau.
01:04:20La main-d'oeuvre.
01:04:21Vous savez, le mismatch de ce qui est ça.
01:04:25C'est-à-dire qu'il y a un travailleur mauricien
01:04:28qui n'a pas envie de faire ce travail.
01:04:31Et c'est un travail qu'il a envie de faire mais qui est pénalisé.
01:04:35Il y a beaucoup de gens qui sont qualifiés
01:04:37mais qui n'ont pas envie de faire ce travail.
01:04:40L'année dernière, dans le budget,
01:04:42le ministre s'annonce à une mesure très intéressante.
01:04:46Il dit qu'il libéralise et facilite l'importation de main-d'oeuvre étrangère.
01:04:51Malheureusement, ça n'a pas été concrétisé.
01:04:54Parce qu'il y a quelques mois après,
01:04:56il nous vient dire qu'il n'a pas fini même après l'appel pour les permis de travail.
01:05:01Mais après quelques mois, il nous annonce que c'est illégal.
01:05:03Absolument.
01:05:04Absolument.
01:05:05C'est comme ça que nous avons fait notre CV.
01:05:07Enfin, l'appel n'est pas possible.
01:05:09Depuis que je suis là, je me rase la tête.
01:05:11Je ne sais pas quoi faire.
01:05:13Il nous annonce qu'il a fait une demande pour une assistante,
01:05:19un tifinage.
01:05:20Il a fini d'identifier,
01:05:21il a fini d'ouvrir la case,
01:05:22il a fini d'investir dans l'occasion,
01:05:25il a fini d'en donner tout le papier.
01:05:27Après ça, il nous a rejeté.
01:05:29Il nous a dit qu'il allait faire l'appel vis-à-vis du ministre.
01:05:33Donc, nous avons eu un simple salon de coiffure
01:05:37qui n'a pas été gagné par les deux.
01:05:39Ils ont décidé de prendre la dame depuis Madagascar
01:05:42et ce permis, ils l'ont rejeté.
01:05:45Donc, moi, je pense que tout le monde doit réaliser
01:05:51que nous sommes tous des descendants d'immigrants.
01:05:54Il n'y a personne qui est né ici,
01:05:57quand Maurice s'est créé.
01:05:59S'il y a un désir, c'est un désir.
01:06:00Il y a deux deux qui sont là.
01:06:02Donc, nous tous, nous sommes sortis,
01:06:04nous avons quitté les quatre coins du monde
01:06:06pour faire de la vie dans Maurice
01:06:08parce qu'on a envie d'avoir une vie meilleure.
01:06:10Et donc, qu'est-ce qu'il nous a dit aujourd'hui
01:06:12pour nous dire comme ça,
01:06:13non, nous ne prenons pas x, y, ou z,
01:06:14nous venons de travailler à Maurice.
01:06:15Moi, j'ai une telle manière de causer
01:06:17qui apparemment arrête les gens de sortir de tel pays
01:06:20parce que j'ai eu la tendance de mourir et de créer ce Maurice-même.
01:06:23Mais si je me dis qu'ils arrivent là,
01:06:25ils arrivent là, ils se font mourir,
01:06:26ils ne comptent pas identifier,
01:06:27ils ne font pas de force,
01:06:28ils décident de mourir et de fonder une famille.
01:06:30C'est ce qui est le problème là-dedans.
01:06:31Ce qui fait qu'il nous reste, comment dire,
01:06:32il y a un nom,
01:06:33ça va nous dire qu'on reste à Maurice,
01:06:35on n'a pas besoin de notre permis.
01:06:38Non, nous avons une manque de main-d'oeuvre.
01:06:40Et ça, c'est connu,
01:06:41nous avons tous les supermarchés où aller
01:06:43pour trouver de plus en plus
01:06:44les gens étrangers qui travaillent.
01:06:46Pareil, comme ça,
01:06:47ceux-là se font aller à l'étranger.
01:06:48Et en même temps que ça,
01:06:49et c'est ça qui me plie inquiètement,
01:06:51c'est qu'en même temps qu'il y a une manque
01:06:53accrue de main-d'oeuvre,
01:06:55on peut trouver beaucoup de Mauriciens
01:06:57qui quittent Maurice pour y aller.
01:07:00Et nous ne pouvons pas dire
01:07:01qu'il y a des intellectuels,
01:07:03des dégrés qui travaillent
01:07:05dans l'Europe,
01:07:07le Canada, l'Australie.
01:07:09Non.
01:07:10On trouve beaucoup de gens
01:07:12qui travaillent dans l'hôtel,
01:07:14dans le bateau de croisière,
01:07:16des électriciens qui tentent du sens
01:07:18dans la circulation circulaire
01:07:20et dans le Canada.
01:07:22Des gens qui,
01:07:24quand je suis allé,
01:07:25on a une pénurie de plombiers,
01:07:27une pénurie d'électriciens,
01:07:29une pénurie de gens qui,
01:07:31depuis longtemps,
01:07:33qui ont un travail qui est assez facile
01:07:35où il y a un problème dans la maison,
01:07:38où il y a un téléphone,
01:07:39où il y a un voisin,
01:07:40et il y a des gens qui viennent
01:07:42et qui ne répondent pas.
01:07:43Aujourd'hui, non.
01:07:44Il n'y a plus d'électriciens,
01:07:46de plombiers,
01:07:47pour ranger la maison.
01:07:49C'est beaucoup,
01:07:50qui ont émigré et qui sont allés.
01:07:52Maintenant, une question
01:07:53qui a aussi été demandé,
01:07:55c'est, qui pourrait avoir une pension
01:07:58si jamais Zotlayans gagne les élections?
01:08:01Parce qu'il y a encore le docteur Amgoulam
01:08:03qui dit qu'il est dans une situation
01:08:05économique,
01:08:08l'économie l'est dans,
01:08:10et qu'il a de la chance.
01:08:11Mon frère,
01:08:13mon frère,
01:08:15moi, mon vision de pension,
01:08:17c'est qu'il nous faisait
01:08:19un minimum vital.
01:08:22Aujourd'hui,
01:08:24le minimum vital,
01:08:26c'est le prix élevé de la pension
01:08:28qu'on peut donner aux grands-dames.
01:08:30Et donc,
01:08:31si vous avez cette logique,
01:08:33forcément,
01:08:34la pension,
01:08:35pour bien augmenter
01:08:36demain quand on est dans le gouvernement.
01:08:38Mais moi, je pensais qu'il y avait
01:08:40une trice
01:08:41qui nous résume
01:08:42le problème des grands-dames
01:08:44à la pension.
01:08:45Il y a tellement
01:08:47d'autres choses,
01:08:48tellement de choses qui sont capables
01:08:49et bien faites
01:08:50pour les grands-dames.
01:08:51A commencer par le loisir.
01:08:53Aujourd'hui,
01:08:54il y a des gens
01:08:55qui prennent la retraite.
01:08:56Qu'est-ce qu'ils font ?
01:08:57Ils n'ont aucune place
01:08:58où aller.
01:08:59Ils ne savent pas
01:09:00ce qu'ils peuvent faire.
01:09:01Il n'y a aucun sorti pour eux.
01:09:02Il n'y a aucune activité
01:09:03pour eux.
01:09:04Il y en a qui,
01:09:05souvent, les enfants,
01:09:06ne sont plus capables
01:09:07d'y aller.
01:09:08Ils ont besoin d'être
01:09:09dans une maison.
01:09:10Donc,
01:09:11est-ce qu'il y a
01:09:13des logements
01:09:15pour le gouvernement ?
01:09:16Est-ce qu'il y a aussi
01:09:17un certain type
01:09:19de résidences
01:09:20que le gouvernement
01:09:22peut faciliter
01:09:24pour qu'il y ait des gens
01:09:26qui n'ont personne
01:09:27pour les aider ?
01:09:29Pareil,
01:09:30comment on peut encourager
01:09:31les petites villes, etc.
01:09:34Ou bien,
01:09:35on peut encourager
01:09:37la construction d'une maison.
01:09:398 000 maisons
01:09:41que le gouvernement
01:09:42nous aide à construire.
01:09:43Est-ce qu'on peut construire
01:09:44une maison
01:09:45pour les vieux-dames ?
01:09:46Pour ces vieux-dames-là,
01:09:47personne ne peut
01:09:48nous aider.
01:09:49Aucun logement
01:09:50ne peut nous aider
01:09:51parce qu'on est vieux
01:09:52et qu'on ne peut pas
01:09:53les payer.
01:09:54Mais qu'arrive-t-il ?
01:09:55Est-ce que le gouvernement
01:09:56peut-il venir
01:09:57avec des résidences
01:09:58pour les
01:09:59seigneurs-citoyens ?
01:10:02Des résidences
01:10:03qui aient des facilités,
01:10:04c'est-à-dire
01:10:05que régulièrement,
01:10:06les docteurs
01:10:07viennent rendre des visites
01:10:08qui peuvent être
01:10:09annexés
01:10:10avec un centre commercial
01:10:11où il y a une information,
01:10:12où il y a des petites choses
01:10:14qui sont capables
01:10:15de...
01:10:16Toutes les amenities.
01:10:17Toutes les amenités.
01:10:18Et aussi,
01:10:19il y a un bon parcours
01:10:21en sécurité
01:10:22dans un lieu,
01:10:23un enclos sécurisé
01:10:24pour les grands-dames.
01:10:25Donc pour moi,
01:10:26les grandes-dames,
01:10:27il y a beaucoup
01:10:28à faire pour eux.
01:10:29Il n'y a pas de limite
01:10:30seulement
01:10:31à donner une pension.
01:10:32Il y a beaucoup
01:10:33de questions
01:10:34qui ont tombé,
01:10:35malheureusement,
01:10:36mais c'est un compass
01:10:37un dans l'autre.
01:10:38Mais une question,
01:10:39David Sauvage
01:10:40de Résistance égale à la nature
01:10:41qui nous dit
01:10:42que la question écologique
01:10:43est bien calculée,
01:10:44bien inclue
01:10:45la nature
01:10:46comme un élément
01:10:47pour calculer le GDP.
01:10:48Est-ce qu'il est faisable ça ?
01:10:49Est-ce qu'il y a pas mal
01:10:50vers la transition ?
01:10:51Moi, je pense que
01:10:52ce que M. Sauvage peut dire
01:10:53c'est surtout
01:10:54qu'il y a une concentration.
01:10:55Vous savez,
01:10:56Maurice,
01:10:57nous,
01:10:58dans l'État insulien,
01:10:59dans notre petit pays,
01:11:00nous croyons
01:11:01à un bon changement climatique.
01:11:02Nous le trouvons
01:11:03avec une bonne inondation.
01:11:04Nous le trouvons
01:11:05chaque fois
01:11:06qu'il y a
01:11:07une aversion.
01:11:08Nous le trouvons
01:11:09dans un cyclone
01:11:10qui va
01:11:11s'accélérer
01:11:12et qui va
01:11:13s'accélérer
01:11:14et s'accélérer
01:11:15et s'accélérer
01:11:16et s'accélérer
01:11:17et s'accélérer
01:11:19et s'accélérer
01:11:20et s'accelérer
01:11:21et s'accélérer
01:11:22pour qu'il y ait
01:11:23une bonne
01:11:24édification.
01:11:25Et on va
01:11:26étudier
01:11:27en ce moment
01:11:28ce qui est
01:11:46Tout le monde aurait dit qu'une des raisons qui fait qu'il y a une inondation aujourd'hui, c'est parce qu'il n'y a plus de cours naturels,
01:11:55un passage naturel, que de l'autre côté, il y a des boîtes de laine, il y a un grand espace vert, que dès là, tu peux absorber dans la terre.
01:12:04Aujourd'hui, tout est bétonné, tout est asphalté, donc dès là, c'est roulé et ça fait un passage.
01:12:12Donc, oui, je suis tout à fait d'accord que n'importe quel gouvernement qui vit nos pouvoirs, pour obliger à faire une attention particulière à l'écologie
01:12:22et pour obliger à faire l'obligatoire sur l'environnement à 16 mètres.
01:12:29Ce n'est pas normal, par exemple, d'ouvrir une métro express et d'avoir un parc à 16 mètres, un parc à 16 mètres,
01:12:37aujourd'hui, l'opposition nous peut dire qu'il y a une bonne cause de l'inondation, c'est qu'il y a une baisse du drain naturel quand on fait la métro express.
01:12:46Le gouvernement dit, j'avoue ça, non, la métro express n'a rien à faire avec l'inondation,
01:12:51mais s'il y a une étude qui différencie l'impact sur l'environnement, où est-ce qu'on finit ?
01:12:59Est-ce que vraiment, l'endroit où on fait la métro express, est-ce qu'il y a un couvert dans le canal et dans le drain naturel ?
01:13:09Une autre question réservée à Tim, est-ce que le contexte géopolitique à l'avenir, qui reste instable avec la situation dans le Proche-Orient, dans l'Ukraine, etc.,
01:13:20et aussi, nous trouvons des tensions dans les mers de Chine aussi, qui pourraient s'appuyer au niveau local et dans l'économie aussi ?
01:13:31Bien sûr qu'il peut y avoir un grand impact. Comme on dit aussi, il y a une instabilité dans la région, il peut impacter le commerce généralement,
01:13:42et les prix de tous les produits. Il peut impacter aussi si la guerre continue et qu'il y ait une récession mondiale.
01:13:52Quand il y a une récession mondiale, ça veut dire qu'il n'y a pas de touristes pour venir de Maurice, parce qu'il n'y en a qu'à ce moment-là pour venir de Maurice,
01:13:58et ça peut affecter nos secteurs touristiques. Nous ne sommes pas encore arrivés à ce niveau-là.
01:14:02Mais le gouvernement s'y prévoit, et c'est pour ça que je pense que le prochain gouvernement doit mettre beaucoup d'emphase sur comment exporter ses services à partir de Maurice,
01:14:18c'est-à-dire des services qu'il ne peut pas faire à partir de Maurice, qui ne dépendent pas des facteurs externes.
01:14:27Nous nous trouvons, par exemple, pendant la COVID, qu'il y a eu une révolution dans les médias sociaux.
01:14:33Pour longtemps, tout le monde avait des rencontres physiques.
01:14:37À ce moment-là, on fait Zoom, on fait Teams, on fait tout par WhatsApp, par visioconférence.
01:14:43Mais comme ça même, il y a beaucoup de choses qu'on peut faire à partir de Maurice pour nos pays en dehors de Maurice.
01:14:50Il y a beaucoup de services qu'on peut rendre à partir de Maurice.
01:14:54Et je pense que ce secteur de services, nous avons besoin d'être plus en phase là.
01:15:01Traité avec l'Aide, malheureusement, avec ce gouvernement-là, qui ne réussit pas de nouveau protocole qui est à l'encontre de l'intérêt de la société off-shore,
01:15:11nous avons besoin de rendre un nouveau marché.
01:15:13Et le marché naturel, c'est l'Afrique.
01:15:18Pareil, si nous sommes capables de développer nos marchés financiers, Maurice, pour aider les compagnies africaines,
01:15:25si nous sommes capables vraiment de faire de nos Stock Exchange, un Stock Exchange de renom international,
01:15:32que plusieurs compagnies internationales pour coter à Maurice, plusieurs compagnies africaines pour coter à Maurice,
01:15:39que pour les brokerages, firmes, tout ça, qui peuvent entrer dans Maurice, bien sûr,
01:15:44les pouvoirs en plus, parce que nous, c'est ce que nous voulons.
01:15:47Nous voulons générer la croissance.
01:15:49Parce que c'est à travers la croissance que nous sommes capables de soutenir toutes nos dépenses.
01:15:53Et justement, quand on peut régénérer la croissance, nous ne pouvons toujours pas quoi? La consommation ou la construction?
01:16:00Moi, je suis en faveur de la production.
01:16:03Moi, je suis en faveur d'encourager l'exploitation.
01:16:05Comme je vous l'ai dit, on a l'exploitation de nos produits.
01:16:09Là, je vous donne un exemple.
01:16:10On encourage les investisseurs à servir Maurice pour attaquer les marchés qui ont une entrée préférentielle.
01:16:16L'Afrique, l'Inde, la Chine.
01:16:19Et après, le côté service.
01:16:21Moi, je pense qu'il y a vraiment encore une maîtresse à jouer dans l'extérieur des services.
01:16:26Nous prenons, par exemple, le secteur bancaire, le secteur d'assurance.
01:16:30Mais il est là pour nous délocaliser.
01:16:33Nous avons un pays en Afrique qui peut commencer à progresser.
01:16:37Comme ça, nous sommes capables de faire un transfert de nos savoir-faire.
01:16:40Tout en gardant le head office à Maurice.
01:16:42Tout en gardant certaines activités à Maurice.
01:16:44Mais nous l'investissons dans ce pays africain-là.
01:16:47On va pas l'embarrasser, mais quand même.
01:16:49Il va me trouver hostile.
01:16:50Mais quand même, je me suis demandé.
01:16:52Dis-moi, est-ce qu'il y a un futur ministre des Finances?
01:16:55Ou Shadow Finance Minister?
01:16:58Ou Finance Minister dans le Shadow Cabinet?
01:17:01Et il y a une question que j'ai envie de connaître.
01:17:04Mais qui, ou pour une politique fiscale, peut-être?
01:17:07Et qui, si des membres occupent cette position-là, qui quantifie ou donne penche?
01:17:11Jimmy, moi je me souviens de l'honneur et le privilège d'être à la tête
01:17:18de la Commission Économie et Finances du MMM depuis dix ans maintenant.
01:17:23Depuis 2014, deux élections.
01:17:26Et c'est moi le principal porte-parole sur l'économie pour le MMM au Parlement.
01:17:32Et d'ailleurs, c'est moi qui suis le premier orateur du MMM pour répondre au budget lundi.
01:17:38Donc, durant ces dix ans-là, j'ai rencontré beaucoup d'économistes,
01:17:43beaucoup de comptables, beaucoup de gens dans la haute finance.
01:17:46Et bien sûr, je suis tout le temps passionné par l'économie.
01:17:50Et je suis aussi le premier d'Economics dans le Maurice.
01:17:55Je suis boursier grâce à Economics.
01:17:58Donc, tout le temps, je compte sur l'économie.
01:18:01Maintenant, est-ce que moi pour le ministre des Finances,
01:18:05ça dépend entièrement du premier ministre.
01:18:08Donc, premièrement, il faut avoir des élections.
01:18:12Et le premier ministre, c'est lui qui va choisir qui s'en va, qui va le mettre.
01:18:17Pour répondre à la deuxième question de cet auditeur-là,
01:18:20si moi, le ministre des Finances, qui est mon politique,
01:18:25il y a une politique qui est orientée beaucoup plus vers l'encouragement de l'exploitation,
01:18:30créer la richesse et distribuer la richesse.
01:18:33Parce que moi, je pensais que si vous payez ou vous travaillez bien,
01:18:38si vous faites le possible dans le gâteau, dans le profit,
01:18:43il y a une augmentation de la productivité.
01:18:45Donc, tout ça, c'est un prétexte du secteur privé de dire comme ça.
01:18:48Ah, ça augmente le salaire, ça augmente la productivité.
01:18:51C'est pareil.
01:18:52Quand on commence à distribuer avec les gens, quand on commence à augmenter,
01:18:56là aussi, c'est un incentive.
01:18:58Là, il y a un incentive, non seulement pour les produits productifs,
01:19:01mais tout du moins pour sortir des gagnants, qu'ils soient l'employé et l'employeur.
01:19:05Une dernière question.
01:19:07Quelle est la cause-banne-mesure qui se tient là?
01:19:09C'est juste le tip of the iceberg.
01:19:11C'est un comité qui fait le travail.
01:19:13Là, le projet gouvernemental porte travail sur un même nouveau démocrate.
01:19:18Mais est-ce qu'il y a une paradoxe là-dedans avec ce que le docteur David Ramgoulam l'a dit?
01:19:23Par exemple, il a dit qu'il y a un état d'urgence économique.
01:19:26Comment est-ce qu'on peut réaliser ce projet-là?
01:19:28Vous savez, quand FMI m'a fait dire comme ça,
01:19:33qu'on est maintenant dans un pays de haute risque en termes de mauvais payeurs,
01:19:40quand ils nous disent qu'ils maintiennent la bordeline,
01:19:43c'est-à-dire que si maintenant, dans notre cas,
01:19:45nous vivons dans ce qu'on appelle le « junk status »,
01:19:47c'est-à-dire qu'on n'a pas de revenus,
01:19:49les dettes qui nous permettent ne nous donnent pas de revenus,
01:19:51c'est-à-dire qu'on est en junk.
01:19:53Mais maintenant, il y a une situation alarmante,
01:19:56parce qu'il y a trop beaucoup de dettes,
01:19:58et notre capacité à repayer nos dettes peut se remettre en question.
01:20:03Si on a 200 milliards de dettes,
01:20:05ok, vous savez, vous pouvez les repayer.
01:20:08Quand une dette représente 60% du PIB,
01:20:14il y a la loi qui dit qu'elle n'est pas capable de dépasser 60%.
01:20:18Aujourd'hui, c'est 78%.
01:20:22Donc, la loi qui dit qu'elle n'est pas capable de dépasser 60%,
01:20:25je ne sens la loi, je ne fais que 80%.
01:20:27Aujourd'hui, c'est 78%.
01:20:29Donc, c'est énorme.
01:20:31La norme internationale acceptable, c'est 60%.
01:20:34Aujourd'hui, c'est 78%.
01:20:36Mais bien sûr...
01:20:38Oui, oui.
01:20:40Si on servit cette dette-là pour produire,
01:20:43oui, mais qu'est-ce qu'on va produire ?
01:20:46On augmente la dette, qu'est-ce qu'on va faire ?
01:20:48On prend la dette, on fait un direct transfert,
01:20:50c'est ça qu'on fait, on donne à gauche, à droite,
01:20:52on va dire qu'il n'y a pas besoin de donner.
01:20:54On va dire comme ça qu'on n'a pas investi à ça.
01:20:56Si on prend cette dette-là,
01:20:58on investit dans les ports.
01:21:00Si on achète un nouveau bateau,
01:21:02un nouveau portique,
01:21:04on achète un nouveau avion,
01:21:06Air Mauritius, etc.
01:21:07Moi, je comprends.
01:21:08Mais ici, il y a 25 milliards d'euros dans Air Mauritius.
01:21:1125 milliards d'euros,
01:21:13on peut acheter, par exemple,
01:21:15l'avion secondaire qui est en panne.
01:21:17C'est une mauvaise gestion.
01:21:19Pour répondre à ça,
01:21:21le Premier ministre,
01:21:23l'ancien Premier ministre,
01:21:25il a raison pour dire
01:21:27que selon lui,
01:21:29il y a une situation économique d'urgence
01:21:31parce que 63% des ménagères
01:21:33ne peuvent plus payer leurs dettes.
01:21:35C'est un problème.
01:21:37La Banque centrale fait qu'il y a un chiffre
01:21:39quelques semaines de cela
01:21:41pour montrer qu'il y a un sur-endettement.
01:21:43Donc, c'est une urgence économique.
01:21:45Mais, moi, je suis optimiste.
01:21:47Moi, je suis optimiste.
01:21:49Je pense qu'il n'y a pas la capacité
01:21:51d'Air Mauritius, il n'y a pas le savoir-faire
01:21:53si nous mettons les bonnes personnes
01:21:55au bon endroit,
01:21:57nous pouvons retourner à l'économie
01:21:59et recommencer une croissance soutenue.
01:22:01Résultat, merci beaucoup d'accepter
01:22:03l'invitation à TOP FM
01:22:05pour ce retour spécial
01:22:07sur le budget,
01:22:09la politique et l'économie.
01:22:11Je me rappelle que le député
01:22:13leader du MMM et un des figures
01:22:15post-travail, c'est MMM Nouveau-Démocrate.
01:22:17Demain, je me rappelle,
01:22:19le rendez-vous avec Manisha Jyoti.
01:22:21C'est, bien sûr, toute l'élection
01:22:23en Inde qui sera débrief,
01:22:25passée en revue avec Vijay Makan
01:22:27et une première bande d'intervenants
01:22:29en studio et, bien sûr,
01:22:31d'autres intervenants, dont des membres
01:22:33de l'Overseas Friend of BGP.
01:22:35Moi, je vous retrouve vendredi
01:22:37à partir de 14h
01:22:39pour un spécial budget,
01:22:4114h à 19h. Dans la soirée,
01:22:43nous pourrions, bien sûr,
01:22:45deux membres du gouvernement
01:22:47et deux membres de l'opposition.
01:22:49Entre-temps, nous pourrions avoir un économiste,
01:22:51un expert. On va avoir toute une panoplie
01:22:53d'invités qui pourront analyser ce budget-là
01:22:55pour débriefer le budget, pour suivre ensemble
01:22:57le budget avec nous et, bien sûr,
01:22:5914h à 19h vendredi, nous retrouverons.
01:23:01Merci beaucoup.
01:23:13Sous-titrage Société Radio-Canada
01:23:43Sous-titrage Société Radio-Canada
01:24:13Sous-titrage Société Radio-Canada
01:24:43Sous-titrage Société Radio-Canada

Recommandations