🔵 MID MORNING SHOW Thème : Les tests disponibles à Maurice pour détecter les anemalies chez les bébés Pamela Patten reçoit Dr. Kevin Teeroovengadum, Chirurgien Pédiatre, ce lundi 17 mars 2025 à partir de 10 heures 📞Vos appels au 213 77 77 🔴Emission live à suivre également sur notre application TOPFM LIVE TV et sur Parabole chaine 36 📲Comment faire: Téléchargez notre application "Top FM Mauritius" sur l'App Store ou le Google Play Store, puis sélectionnez TOPFM LIVE TV.
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ÉducationTranscription
00:30Merci de démarrer cette nouvelle semaine avec nous, aujourd'hui dans Bébé ZO, nous
00:40avons le plaisir de retrouver le Docteur Kevin Natero-Vangadam, chirurgien-pédiatre.
00:44Bonjour Docteur.
00:45Bonjour Camilla.
00:46Bonjour à tous les auditeurs et les internautes.
00:48Alors, nous avons choisi un thème, c'est surtout qu'on a choisi un thème, on va élaborer
00:52un petit peu ça, les tests qui sont disponibles à Maurice pour détecter les anomalies chez
01:01les bébés.
01:02Il ne va falloir pas réaliser, mais il y a beaucoup de tests qui sont disponibles à
01:07Maurice.
01:08Oui, exactement.
01:09C'est-à-dire qu'il nous faut un dépistage.
01:12Dépistage, ça veut dire trouver un problème, une anomalie, avant qu'il ne commence un symptôme.
01:21Donc déjà, tout le monde connaît que l'adulte, par exemple, a un cancer du sein à un certain
01:28âge.
01:29Madame nous conseille de faire une mammographie ou une autopalpation, ou qu'il y ait un médecin
01:35avec un cancer colon en augmentation, donc c'est la même chose ici, de faire une colonoscopie.
01:40Le principe d'un dépistage, c'est que nous ne donnons pas de guidelines, pas d'informations,
01:48mais en aucune façon, nous n'obligeons personne à faire le dépistage.
01:53Donc, il y en a le choix.
01:55Il y en a le choix.
01:56Donc, par an, il y a le choix de faire ce type de tests qu'il ne peut pas faire, ou en tout
02:01cas, discuter avec votre pédiatre, avec votre médecin généraliste, et décider que vous
02:05n'avez pas envie de faire.
02:07Mais pour moi, il est important que la population soit au courant du progrès qu'il y a, et
02:14si c'est le cas, il y a des tests qui sont disponibles maintenant.
02:16Avant, tu ne pouvais pas faire ça.
02:17Tu devais envoyer des e-mails, tu prenais beaucoup de temps, et peut-être pas intéressant
02:21parce qu'il y a les révenus, si c'est des tests pendant la grossesse, par exemple.
02:26Quand il n'y a pas de résultat, il n'est plus utile.
02:29Mais là, il y a beaucoup d'affaires qu'il faut faire localement.
02:32Donc, j'ai envie de donner un peu d'informations.
02:35C'est-à-dire, je ne veux pas dire que je fais des tests, je veux dire qu'ils existent,
02:38que je peux les renseigner, que je peux les lire, que je peux demander à un médecin.
02:42Mais il est important qu'on ait ce qui est possible maintenant.
02:46Oui, alors justement, on dit un petit peu le principe d'un dépistage.
02:50Les parents ont le choix.
02:52Alors, comment on peut connaître comme ça?
02:54Qu'est-ce qu'ils veulent faire avec ça?
02:57Nous ne commençons pas par un test qui s'appelle un test de gutterie.
03:02Gutterie, c'est G-U-T-T-H-R-I-E, gutterie.
03:07Alors, c'est quoi?
03:08Le test de gutterie, c'est un test qu'ils nous font en 3 ou 5 jours de vie des bébés, idéalement.
03:15Même nous, qu'on a fait l'an après aussi, nous prélèvent un petit peu du sang du talon du bébé.
03:20C'est-à-dire qu'il n'y a pas de la veine.
03:23Ce n'est pas compliqué, quoi.
03:24C'est un petit truc qu'on nous fait pour tester le diabète, là, sur les doigts.
03:29Un petit truc sur le talon, là, nous récupère un petit peu du sang qu'ils nous mettent sur un papier buvant.
03:35Lorsque ça goûte du sang-là, nous éliminons beaucoup d'anomalies.
03:40Je vais vous donner un exemple.
03:44Mon grand-garçon a presque 8 ans maintenant.
03:47À l'époque, il nous suffisait d'envoyer un tesla à l'étranger.
03:50Je l'ai fait, ici.
03:52Là, je l'ai envoyé au laboratoire CEABA, en France, pour le faire.
03:58J'étais déjà au courant de l'implication de cela.
04:04J'ai fait des marches pour le faire.
04:05À l'époque, il nous suffisait d'aller dans une clinique privée, quelque part, pour le faire.
04:08Mais maintenant, quand je travaille là, à CEABA, je le fais, là.
04:13Alors, je serais interrompu, mais qu'est-ce qu'il fait?
04:16Est-ce qu'il a des symptômes qui poussent par en-là pour faire ça?
04:19Alors, justement, le principe, c'est que c'est une anomalie qui part d'un symptôme à la naissance.
04:26Qui part d'un symptôme après.
04:28Moi, je vous donne un exemple.
04:29Par exemple, problème thyroïde.
04:31Un enfant qui a ce thyroïde qui n'a pas fonctionné.
04:34On appelle ça hypothyroïde.
04:36Au début, il n'y avait pas de symptômes.
04:38Il est un peu plus... comment dire?
04:42Il est un peu plus tenu.
04:43Il est un peu plus... comme si... un peu plus mou, les choses.
04:47Mais, il y a les autres affaires qui partent d'un enfant qui n'est pas tonique.
04:53Donc, on ne va pas forcément penser à l'hypothyroïde.
04:56L'hypothyroïde, si vous le découvrez à la naissance et que vous donnez des hormones à la naissance,
05:01vous avez un enfant qui est presque normal après.
05:04Tandis que si vous le découvrez quand il n'est plus grand,
05:09les autres symptômes...
05:10Par exemple, on a déjà fait un diagnostic.
05:12On a un enfant qui constipait simplement.
05:14On fait une quantité de tests.
05:17On teste le thyroïde.
05:18Les enfants ont déjà un an.
05:20Même quand on commence à donner des hormones,
05:22en gros, ce dégât qui est dans ce cerveau-là, il est un petit peu irréversible.
05:27Donc, il n'est pas réveillé dans un enfant normal.
05:29C'est pour ça le dépistage.
05:31C'est pour trouver dans l'anomalie qu'il y a quelque chose qui nous peut faire.
05:37Il faut dépister quelque chose que, de toute façon,
05:41quand il n'y a pas d'intervention médicale ou chirurgicale, ça change les choses.
05:45Parce que là, il n'y a pas que, par exemple,
05:48on dirait l'hypothyroïde,
05:50il y a des choses comme la cystic fibrosis,
05:52mais il y en a trop dans Maurice.
05:54Mais non, ça c'est plutôt à l'étranger.
05:56Maintenant, on a testé même la thalassémie sickle cell,
05:59qui nous est dans Maurice.
06:00Parce qu'il y a l'association Thalassémie.
06:02Et par exemple, la thalassémie sickle cell,
06:05bon, quand je dis moi,
06:07il y a pas grand-chose.
06:09On est des parents.
06:10On connaît ces affaires.
06:11Mais il y a la thalassémie majeure et la thalassémie mineure.
06:14C'est-à-dire que si on a une seule gêne qui est touchée,
06:16c'est mineure.
06:18Si on a une gêne-maman et une gêne-papa ensemble,
06:20elle est majeure.
06:21Et majeure, elle est assez grave.
06:23Et aujourd'hui, dans la thalassémie majeure, par exemple,
06:26nous avons la possibilité de faire le bone marrow transplant.
06:29Et le bone marrow transplant,
06:31on le fait très tôt dans la première année de vie.
06:34Donc, si on a un diagnostic là,
06:37tôt,
06:39ou pour faire sa intervention là plus tôt,
06:44il peut y en avoir plus dans ce marché
06:46que si vous le découvrez après.
06:48Donc, ce test de gutterie là,
06:51pour moi,
06:53surtout qu'il n'est pas extrêmement cher,
06:553-4 000 roupies, quelque chose comme ça.
06:59Pour moi, même à l'hôpital public,
07:01tous les enfants ont dit,
07:02parce qu'on arrive à un niveau de développement,
07:04Maurice, maintenant,
07:06que je peux dire,
07:07nous devons le faire pour tout le monde.
07:09Mais nous devons dire, en même temps,
07:11les bonnes mesures de prévention.
07:14Ça aide nous un petit peu.
07:16Oui, les préventions.
07:18Dans le cadre, par exemple,
07:20la prévention de la vaccination,
07:21qui nous connaît, tout ça.
07:23Mais oui, d'une certaine façon,
07:25il y a un petit peu plus de technique.
07:28Avant, la technologie partait là,
07:30tu faisais ça à vos idéaux,
07:32tout ça là.
07:33Quand tu peux venir un peu compliqué,
07:34moi je comprends.
07:35Mais là, c'est juste un petit truc,
07:37l'autre à l'eau.
07:38Mais moi, j'ai envie que mes parents
07:41demandent à leur pédiatre,
07:43que ce soit à l'hôpital public,
07:44que ce soit dans le privé,
07:45peu importe,
07:46qui était sa thèse de gutterie là,
07:47et je l'ai lu à l'internet,
07:48et je décidais après,
07:50si j'avais envie de le faire ou pas.
07:52Alors, une chose que tu mentionnes,
07:53pour même l'exemple de l'outil croissant,
07:56c'est qu'on voit ça à l'extérieur.
07:58C'est dans mon laboratoire privé,
08:00qui peut recueillir le papier buvant.
08:03Là, je peux prendre à peu près,
08:05à l'époque, plus qu'un mois,
08:07pour avoir un résultat.
08:09Mais il y a une logistique
08:11qui est bien en place pour faire ça,
08:13et ça coûte un peu plus cher aussi,
08:17tout ça,
08:18mais bon, je trouve ça important,
08:20je fais ça,
08:21il y a beaucoup de gens qui font ça aussi.
08:23Mais ce qui est arrivé,
08:24c'est qu'il y a des gens,
08:25partout même,
08:26qui connaissent l'existence.
08:27Mais maintenant que le test
08:30est fait à Maurice,
08:31je pensais,
08:32ce n'est pas très compliqué,
08:34les bébés vont quand même finir dans la maison.
08:37Souvent,
08:38il y a des jours où les bébés
08:39ne sont pas en bonne santé.
08:41Ce qui n'est pas grave,
08:42c'est que quand ils sont nés,
08:43c'est parce qu'ils finissent
08:45à se nourrir.
08:47Ils commencent à boire du lait,
08:49à la serrer,
08:50ils ont un peu de temps après
08:52pour certaines maladies métaboliques
08:54qu'ils trouvent.
08:55Il y a des maladies
08:56qui font qu'ils se nourrissent.
08:59C'est une maladie que,
09:01si jamais il y a ça,
09:03ils doivent boire du lait spécial,
09:04ce n'est pas grave,
09:05du lait normal, etc.
09:07Il y a des autres anomalies
09:08qui sont détectées dans la gutterie.
09:10Là où tu donnes l'exemple,
09:12on va l'essayer,
09:13maintenant, il y a un test
09:14qui est disponible à Maurice.
09:15À Maurice,
09:16dans le privé uniquement,
09:17pour l'instant.
09:18Et bien sûr,
09:19il prend moins de temps,
09:20pas plus de temps,
09:21pas un mois,
09:22moins.
09:23Là, actuellement,
09:24il prend environ une dizaine de jours
09:25pour finir les résultats.
09:28Par exemple,
09:29quand j'imaginais même
09:30un enfant né à l'hôpital public,
09:32mais qu'il était au courant
09:33que ça existait,
09:34les démons se pédiaient
09:35« qu'est-ce que c'est ? »
09:36Même s'il y en a
09:37pour payer un petit peu,
09:38ils le faisaient.
09:39OK,
09:40jusqu'à ce qu'éventuellement
09:41il n'y ait pas
09:42de vaccination,
09:43qu'il y ait quelque chose
09:44de national.
09:45Mais pour moi,
09:46il n'y a pas autant
09:47qu'au courant,
09:48un petit peu.
09:49Au courant, oui.
09:50Et dépendant du choix
09:51des parents,
09:52mais dans la majorité
09:53des cas,
09:54vous pensez
09:55que c'est une bonne idée
09:56de le faire.
09:57Dépendant de quel test.
09:58Il suffit,
09:59on trouve,
10:00parce que nous,
10:01nous médecins,
10:02on trouve un débat
10:03dans le cas
10:04où il y a tort
10:05tout en disant
10:06« si tu découvres
10:07un bonheur,
10:08il n'y a pas autant
10:09de complications. »
10:10Mais c'est vrai
10:11que le principe
10:12du dépistage,
10:13le principe
10:14de l'assurance,
10:15il y a des gens
10:16qui ont envie
10:17de prendre l'assurance
10:18pour quelque chose
10:19parce que
10:20ils paient
10:21un problème arrivé,
10:22ils préfèrent
10:23assurer.
10:24Il y a des gens
10:25qui disent
10:26« bon, c'est arrivé,
10:27il est arrivé. »
10:28Vous comprenez ?
10:29Il y a un petit peu
10:30comment les gens
10:31voient les choses.
10:32Pas qu'ils obligent
10:33mais seulement,
10:34pour moi,
10:35c'est information.
10:36C'est dire qu'ils
10:37connaissent,
10:38qu'ils connaissent
10:39qu'il existait,
10:40qu'ils connaissent
10:41que c'est possible
10:42s'ils ont envie de le faire
10:43et peut-être,
10:44vous ne connaissez pas,
10:45parfois il y a des gens
10:46qui sont exposés
10:47à des problèmes
10:48dans la famille.
10:49Vous comprenez ?
10:50Par exemple,
10:51un adulte,
10:52s'il a un cancer du sein
10:53ou quelque chose
10:54dans la famille,
10:55il n'a plus de chance
10:56qu'une femme
10:57puisse décider
10:58de ne pas
10:59le faire dépister.
11:00Vous comprenez ?
11:01Donc,
11:02chaque cas,
11:03chaque parent
11:04est différent.
11:05Alors,
11:06nous connaissons
11:07et nous l'avons déjà fait
11:08d'ailleurs.
11:09Alors,
11:10nous faisons une pub avant,
11:11après,
11:12nous continuons.
11:13En tout cas,
11:14déjà,
11:15commencez à téléphoner
11:16au 213 77 77.
12:02Madame, only beauty.
12:32Et maintenant,
12:33je vous invite
12:34à regarder
12:35une autre vidéo
12:36d'une autre femme
12:37qui a un cancer
12:38du sein.
12:39Je vous invite
12:40à regarder
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13:26d'une autre femme
13:27qui a des questions
13:28et qui a un cancer
13:29du sein.
13:30Je vous invite
13:31madame chirurgien-pédiatre. Alors docteur, la nouvelle cause, c'est le bébé, mais parfois est-ce
13:38qu'il arrive, on a déjà dit ça quelque part, un IPT, c'est-à-dire un test avant la naissance même du
13:44bébé? Oui, exactement, ça aussi, il est disponible maintenant à Maurice et c'est bon que la population
13:50connaît. Alors normalement, un test de dépistage qui nous est donné avant la naissance, c'est
13:57essentiellement l'échographie. C'est déjà qu'on a dit dans le passé, une échographie idéale pour
14:05dépister un problème, c'est à cinq mois de vie fétale. Qui fait cinq mois, à cinq mois tous
14:11les organes informés, cinq mois c'est-à-dire entre 20 et 22 semaines de grossesse quand nous causons
14:17une semaine, tous les organes informés, et bien le bébé-là est suffisamment petit pour se
14:23tourner dans l'équilibre amniotique, c'est-à-dire quand on fait l'échographie, ou en tout cas, par exemple,
14:29tu peux trouver, tu peux avoir cinq doigts, tu peux se lamer, à un moment donné, tu peux se lamer, mais après
14:34tu peux te tourner, tu ne trouves pas derrière, tu trouves sur le côté, tout ça. Quand on fait trop
14:38de bonheur, car les organes informés, donc il n'y a pas qu'à faire une bonne échographie morphologique, quand on fait
14:42trop tard, parfois c'est fini, fixé dans une certaine position, donc ou pas, donc une échographie
14:49morphologique de bonne qualité, ça prend 45 minutes, c'est une check-list ça, soit un gynécologue qui est bien à l'aise
14:58pour faire l'échographie d'un bon appareil éco récent, avec des probes appropriées pour trouver un détail,
15:05soit, je t'avoue, il y a des radiologues qui sont habitués à faire ça, mais besoin qu'il y ait quelqu'un qui est habitué à faire
15:12une échographie pointue, comme on dit, on ne peut pas trouver un garçon ou une fille, on peut trouver une cavité cardiaque,
15:20on peut trouver une forme des reins, on peut trouver des détails. Donc ça, c'est la base. Ensuite, à nouveau, ce qu'il y a
15:30une demande moi là, c'est NIPT, c'est Non Invasive Pregnancy Test. Qu'est-ce qu'il veut dire? Il veut dire juste
15:38par une prise de sang chez la maman enceinte, c'est-à-dire il nous prend un échantillon du sang chez la maman,
15:47il y en a quelques gouttes de sang du fœtus qui circulent dans le sang de la maman. Et sur cet échantillon, nous pouvons connaître
15:56si il y a une anomalie, bon les pépins connaissent de plus en plus les affaires maintenant, mais ce qui est déjà possible
16:05maintenant, c'est par exemple trisomie 21, trisomie 13, trisomie 18, c'est-à-dire qu'ils connaissent juste une prise de sang.
16:15Alors, justement, vous pouvez répondre à ma question parce que là, d'après ma liste, le 21 mars, c'est la journée mondiale de la trisomie 21.
16:21Donc, ils sont capables de détecter?
16:23Alors, normalement, la trisomie 21, nous connaît plus une maman de cet âge avancé, plus elle a de chance de gagner la trisomie 21.
16:31Et comme vous le connaissez aujourd'hui, l'âge moyen des mamans est augmenté par rapport à 10 à 20 ans de cela,
16:40maintenant, on peut gagner 20 enfants un petit peu plus tard. Et donc, l'échographie, il y en a déjà 26, en faveur ou non de la trisomie 21.
16:50En gros, il y a des affaires avec la clarté mucale qui nous guettent 12 semaines. Ensuite, il y a un test qu'on peut faire avant,
16:59mais qui est invasif. C'est pour ça qu'ils nous appellent NIPT, qui veut dire non-invasive.
17:04Quitter une amniosynthèse veut dire que le bébé, dans un sac de liquide, qui s'appelle liquide amniotique, dans le ventre de son maman,
17:14le gynéco met des aiguilles dans le liquide amniotique qui aspire un peu au liquide amniotique.
17:20On appelle ça amniosynthèse, en anglais, amniosynthesis.
17:23Là, les gens veulent tester ça. Souvent, c'était à l'étranger pour guetter 6 enfants-là et non trisomie 21.
17:29Donc, c'était quelque chose d'invasif. Quand vous faites ça, il y a un risque que vous mettez une infection, que la grossesse se termine.
17:38Ensuite, si vous faites ça à l'étranger pour tester, quand vous typez, l'écharpe prend plusieurs semaines encore avant de gagner un résultat.
17:46Et maintenant, ça existe, ce NIPT.
17:52Là, par contre, il est pour moi encore relativement cher. C'est pour ça que c'est, je ne vais pas dire que toute maman doit faire NIPT.
18:01Parce que moi, ça coûte dans les 15 000 roupies quand même, parce que c'est un test assez pointu.
18:08Mais, si par exemple, il y a des raisons, par exemple, une échographie, ou par l'âge de la maman, peu importe les raisons,
18:18je peux gagner un petit peu de tracas, qui gagne trisomie 21, je suis capable de faire ça, au lieu de faire une amniosynthèse.
18:25Alors, il n'est pas 100%, mais il y a 99% fiables. Il n'est pas 100%, ce qui est 100%, c'est vraiment soit une ponction du sang,
18:36du cordon fétal, ou bien une amniosynthèse, là, on gagne vraiment du sang.
18:41Fais-tu cela, ou bien il y a une cellule, fais-tu cela, qui est dans le liquide amniotique, qui doit analyser. Mais c'est quand même très, très fiable.
18:49Bon, après, on ne peut pas faire tout ça, mais on peut reconnaître que ce n'est pas une gorge scientifique, on peut reconnaître beaucoup de détails.
18:54Une gorge scientifique, par exemple, qui est capable, comme tu le disais tout à l'heure, de la maladie de Duchenne avec moi.
19:00C'est une maladie musculaire qui est extrêmement grave, parce que les progressifs, les enfants, normalement, se décèdent dans l'adolescence, dans la deuxième décennie de vie.
19:12Et, par exemple, les garçons sont malades. Les filles ne sont pas hôteuses, mais c'est que les garçons qui sont malades.
19:20Par exemple, si on fait un I.P.T. et si on connaît une petite fille, on connaît tranquillement qu'elle n'a pas cette maladie-là.
19:32Mais quand on fait ce test-là, pourquoi pas détecter ces enfants-là pour gagner cette maladie-là?
19:39Là, non, ce qui nous peut causer un I.P.T. qui existe déjà dans les laboratoires, Maurice, là, ça c'est quelque chose de, je dirais un kit qui peut rôder, trisomier, etc.
19:57Si vous voulez quelque chose de plus précis, là, c'est autre chose. Là, vous devez rôder un gène spécifique. Là, il est un petit peu plus compliqué.
20:08Mais comme on connait chaque chose, ça a l'air de le passer. Maintenant, il y a une affaire qui s'appelle le diagnostic pré-implantatoire.
20:14Par exemple, il n'y a pas de trisomie, il n'y a pas de maladie de Duchenne qui est une maladie extrêmement grave.
20:21Donc, si par exemple, on est sûr qu'il n'y a pas de Duchenne ou qu'il n'y a pas d'IVF, il y a plusieurs embryons, choisir l'embryon quand il a sa anomalie, sa gêne-là, là où il plante son embryon-là.
20:42On appelle ça PGTM, ça veut dire un diagnostic pré-implantatoire. Tout cela existe. Mais là, il n'y a pas de dépistage. Là, il y a vraiment un niveau technique un petit peu plus élevé.
20:55Mais tout ce qu'on a fait là, ce n'est pas science-fiction. Il peut le faire régulièrement.
21:03Oui, alors question justement, comment on peut connaître si ces enfants-là peuvent gagner cette maladie-là? Parce que la Duchenne, qui va le causer? Qui fait qu'il est capable de gagner ça?
21:12La maladie de Duchenne, on la connaît parce que c'est génétique. Génétique veut dire maman-là et papa-là, tous les deux. Enfin, papa-là, non, maman-là, les porteuses.
21:27Ce n'est pas papa, c'est maman-porteuse.
21:29Vous pensez qu'ils sont au courant?
21:31Parfois, ils sont au courant parce qu'il y a des enfants dans la famille qui déjà ont cette maladie-là. S'ils le font tester, ils savent les porteuses.
21:40Mais là, non, du tout, du tout, ils ne le connaissent pas.
21:44Par exemple, alors, si il y a un enfant dans la famille, ils le testent, ils le connaissent, parce qu'il y a une maladie, on appelle ça liée à l'X.
21:58Quand on a, en simple, on simplifie, au niveau des chromosomes, pour connaître si un enfant est identifié, il y a un chromosome qui s'appelle X.
22:08Et là, si vous êtes XX, vous êtes identifié, si vous êtes XY, vous êtes un enfant.
22:14Par exemple, si maman-là porteuse, c'est-à-dire qu'il y a un chromosome X malade et un chromosome X normal.
22:21Le chromosome X normal, là, il prend le dessus, c'est-à-dire qu'il ne porte pas malade, il ne porte pas malade.
22:28Par contre, un enfant, il n'a pas un seul malade, un seul chromosome X, donc si ce chromosome X est malade, il est plutôt malade.
22:39Donc, on va pas en parler, c'est un peu plus compliqué, mais faire comme dire qu'une maman connaît les porteuses de sa maladie, là,
22:48elle connaît si elle a un enfant, son enfant n'est pas malade.
22:51Donc, elle est capable de faire une NIPT, par exemple, il y a tellement d'options, il y a une option réelle, comme on va dire là,
22:59elle peut faire une NIPT, si elle en a suffisamment, elle connaît celui-là de toute façon, partout.
23:04Elle est capable des porteuses, mais elle n'est pas tout malade, donc elle est capable, quand on vit, bien, ça, il faut dire qu'on connaît la interruption de grossesse aussi,
23:15légale, Maurice, maintenant, mais pas, il faut dire qu'il y a un médecin qui va été, tout ça, mais ça, je pense que si un parent demandait un médecin pour accéder à la demande,
23:28parce qu'il y a une maladie tellement grave, il y en a une maladie tellement grave qu'il ne s'y peut pas en demander ou pas accéder à cette demande.
23:37Oui, alors, il y a justement beaucoup de maladies graves, on ne les connaît pas, ce n'est pas dans nos gènes qu'on a ça.
23:43Quand on fait la NIPT, on grandit, on se trouve équilibré, on développe ça, et ça, c'est un cauchemar pour la famille quand on découvre ça.
23:55Et là, justement, qu'est-ce qu'il n'y a pas à faire?
23:58Là aussi, il n'y a pas tout à fait de dépistage, puisque le dépistage, la définition, c'est qu'il n'y a pas encore un symptôme.
24:08Le dépistage, c'est, ou alors, il y a un symptôme bien frustrant.
24:14Là, on peut dire que pour nos enfants, il y a une anomalie, on a douté qu'il y avait une anomalie dans le passé.
24:24Quand on n'a pas accès à notre test génétique, on peut dire qu'on laisse grandir, au fur et à mesure qu'on grandit, on développe de nouveaux symptômes.
24:32Là, on peut faire une diagnostic.
24:34Mais maintenant, je pense qu'au niveau génétique, on peut prendre le devant, il y a une quantité, quantité de tests génétiques possibles maintenant.
24:42Il y a des généticiens, par exemple, il y a un généticien qui s'appelle docteur Martin Bofis, qui est là, qui parfois vient assister à nos enfants.
24:52Mais là aussi, il nous faut connaître ce qu'il nous peut demander, parce qu'il est tellement vaste.
24:57Et quel est le test qui est le plus prisé, qui est le plus demandé?
25:02Par exemple, vous savez, maintenant, c'est dans le panel.
25:06Par exemple, récemment, il y a eu des enfants qui sont venus avec des problèmes musculaires.
25:11Ça veut dire qu'ils n'appartiennent pas à Duchenne, parce qu'ils avaient une faiblesse.
25:16C'est-à-dire, en gros, ils marchaient, ils n'étaient plus capables, ils étaient arrêtés, ils ne partaient pas à l'école, tout ça.
25:23Un grand garçon, peut-être, un petit peu moins de 10 ans.
25:26Ben là, on fait une biopsie musculaire, on enlève un petit peu de muscles, on l'envoie à l'analyse, au laboratoire.
25:32À Maurice même?
25:33Oui, à Maurice, oui.
25:34Pour guetter, je ne sais pas, il y a une dystrophie musculaire.
25:38Duchenne, n'est-ce pas le cas?
25:40Mais toujours, il y a des symptômes.
25:42Donc, il y a des tests génétiques, on envoie dans le panel, toutes les anomalies génétiques,
25:47même un peu rares, qui peuvent donner une maladie, soit musculaire même, soit une nerve qui a élevé un muscle.
25:54On appelle ça une maladie neuromusculaire.
25:57Mais donc, il y a dans le panel génétique qu'on peut envoyer.
26:02Moi, je dirais qu'avant, je pensais que ces tests-là n'étaient pas extrêmement intéressants dans Maurice
26:12parce que pour faire ça, il faut un centre hyper spécialisé pour, par exemple, il faut quelqu'un qui est spécialisé dans neurologie pédiatrique, dans ça, quelque chose comme ça.
26:25Mais bizarrement, quand on a accès à ces tests génétiques-là, c'est dans le panel.
26:32Avant, on disait, il y a quelqu'un qui a cette maladie-là, ok, quand il gagne ces symptômes-là, il demande ça,
26:40et il peut demander dix, un jeune.
26:42Mais on n'est pas capable de demander un jeune, le résultat vient trois mois après, il n'y a pas ça, l'un aurait demandé l'autre.
26:52Vous comprenez, souvent, par exemple, il coûte cher, tu peux dire, laisse tomber, il y a une variété après.
26:58Mais maintenant, quand on dit qu'il y a un panel, c'est par exemple, on peut tester 50 gènes, on sait le coup.
27:03On va tester 50 gènes qui sont responsables, là on peut donner un exemple au niveau neuromusculaire,
27:09mais il existe 50 gènes de retards, de croissance, de troubles de langage, des choses.
27:18Donc, il n'y a pas de panel, qu'il n'y a pas à faire, parfois, on gagne une anomalie, c'est le panel qui vit là.
27:26Alors, nous tenons justement de plus en plus chez les enfants, là, une mention du chêne,
27:32vous pensez, il est bien clair maintenant, parce que parfois, mes parents ne connaissent pas mes mains,
27:37et nous tenons de plus en plus parler de l'autisme, peut-être quelques mots dessus.
27:42Oui, oui, oui, alors c'était quelque chose qui, à Maurice, c'était bien rare,
27:48mais moi, vous, dans vos pratiques, nous faisons peut-être un petit pause.
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28:42Alors, juste avant la pause, vous suivez justement dans vos cabinets de consultation,
29:09le spectre de l'autisme, docteur.
29:11Oui, donc, dans le passé, c'était quelque chose de rare, mais maintenant, dans la pratique de tous les médias,
29:21tous les médecins qui examinent les enfants régulièrement, il y a beaucoup d'enfants qui ont ce qu'on appelle les troubles du spectre autistique,
29:34ça veut dire qu'ils ont une forme pas grave jusqu'à une forme très grave.
29:38Et il y a même une maladie qui n'est pas vraiment de l'autisme, qui s'appelle l'autism-like,
29:44qui est liée à des comportements liés aux écrans.
29:55C'est-à-dire qu'il y a des enfants qui interagissent tellement...
29:58Et de plus en plus.
30:00Ça veut dire qu'ils ont tellement interagi avec une machine depuis tout petit,
30:04qu'ils développent un trouble de comportement avec l'immune.
30:10Alors là, nous avons une petite parenthèse, c'est vrai, nous le savons à plusieurs reprises,
30:14et malgré ça, malgré le contrôle des parents, nous trouvons nos enfants un peu plus exposés à l'écran.
30:22Exact, oui. Je pensais...
30:24On va voir que même si on a la possibilité...
30:28Mais ça peut être à cause du tort.
30:30À cause du tort, parce qu'en fait, l'autisme c'est quoi ?
30:34Enfin, il y a une définition scientifique bien compliquée,
30:38mais en gros, tout le monde comprend, c'est un trouble essentiellement de relation, de comportement, d'interaction.
30:46C'est-à-dire qu'il n'y a pas des enfants qui sont, entre guillemets, plus bêtes ou quelque chose comme ça,
30:52qui ne sont pas capables d'étudier ce qu'ils vivent, d'interagir avec eux.
30:57C'est extrêmement compliqué.
30:59Donc, le fait d'interagir tout le temps avec un écran,
31:04où il y a des enfants qui ont besoin d'aller voir quelqu'un,
31:09de demander quelque chose, je sens que c'est mal à l'aise, pas capable.
31:15Bon, on va dire l'écran de l'autisme, ça c'est un autisme laïque,
31:21mais il y a beaucoup de parents qui viennent dire,
31:24bon, ces enfants-là ne passent pas avec, quand il y a des enfants de ce âge,
31:29ils ne passent pas avec, il y a des mouvements répétitifs,
31:32il y a des affaires qu'ils font tout le temps, comment on tient ça ?
31:36Ils pleuraient, et il y a beaucoup, beaucoup, beaucoup de personnes
31:41qui viennent nous demander des tests d'épistage.
31:44Bien sûr, il existait.
31:47Il existait, il y a l'autisme, oui, il y a plusieurs possibilités de faire des tests.
31:51Si on le sent, on a besoin.
31:54Là, les tests sont assez compliqués, parce qu'il n'y a pas qu'une consultation
31:58avec un pédiatre, avec un médecin généraliste,
32:02on n'est pas capable, en 15 minutes, 30 minutes,
32:05de faire un diagnostic comme ça.
32:07Donc, nous trouvons qu'ici, les tests,
32:11je ne sais pas si c'est un psychologue, un speech thérapiste,
32:15il y a un questionnaire qui n'est pas rempli,
32:19comment vous comprenez que vous êtes à la maison, tout ça.
32:21Parfois, il y a un deuxième, enfin, souvent, il y a un deuxième rendez-vous, etc.
32:25Là, il y a un score objectif
32:29pour mettre vous dans ce spectre de l'autisme.
32:35Mais est-ce qu'il y a un sous-traitement ?
32:37Pas de médicaments,
32:40mais il y a des interventions pour psychologues,
32:45speech thérapistes, occupational thérapistes,
32:48qui vous ont fait de façon intense au début,
32:51pour pouvoir vous rattraper.
32:54Bien sûr, le pire, c'est de vous mettre devant l'écran,
32:58si vous êtes déjà dans des troubles là, c'est...
33:01Tant que vous n'êtes pas invité.
33:03Tant que vous n'êtes pas invité.
33:04C'est pour une raison toute petite, surtout.
33:06Oui, oui, oui.
33:07Enfin, même en adolescence.
33:08En adolescence, j'ai une fille, j'ai une fille,
33:10j'ai un petit-fils, j'ai un petit-fils, j'ai un petit-fils,
33:12j'ai un petit-fils, j'ai un petit-fil, j'ai un petit-fils,
33:13mais il n'y a rien de petit, là.
33:15Ce n'est pas avant 3 ans, ce n'est pas quoi, là.
33:17C'est vraiment l'âge que tu peux apprendre
33:21ta relation sociale, là.
33:24Et si je te montre un signe
33:28de repli complètement de choses,
33:31besoin, besoin,
33:32interagir vite avant...
33:36Je connais souvent des parents,
33:38il y a beaucoup de parents qui préfèrent garder leurs enfants
33:40à la maison jusqu'à l'âge,
33:44après primaire, à 3 ans.
33:47Et non, il n'y a pas,
33:49je dirais qu'il n'y a pas de mauvais choix.
33:52C'est un choix des parents,
33:53parce que c'est sûr que quand on reste...
33:55Si on a la possibilité,
33:57il y a des gens qui peuvent y aller, etc.
34:00Il y a des gens qui sont malades,
34:02il y a des gens...
34:05Il y a des gens qui pensent que
34:07c'est eux-mêmes ou la famille
34:09qui s'occupe des enfants-là mieux
34:11que dans une crèche.
34:13Donc, il n'y a pas des choses...
34:15Chaque cas est différent.
34:16Il n'y a pas des choses qu'il faut à tout prix dire non.
34:19Mais par contre,
34:20si je peux garder les enfants-là à la maison,
34:24il faut une interaction.
34:26Il ne faut pas aller à la maison
34:28et manger dans l'air.
34:29C'est correct.
34:30Mais après, il faut juste les voir sur la télévision.
34:33Parce que, vous comprenez,
34:34on peut rendre le service d'une certaine façon.
34:36Il ne peut pas être malade, malade.
34:37Il peut manger bien,
34:38il peut prendre soin.
34:39Mais en termes de comportement,
34:42en termes d'interaction avec les autres,
34:45il peut y avoir des problèmes plus tard.
34:47Et même à 3 ans,
34:48au cas où il finit,
34:49il y a des enfants
34:50qui peuvent avoir beaucoup de difficultés
34:52à interagir après.
34:54Oui, et dans le passé,
34:55il y a eu des témoignages
34:56où les grands-parents disaient
34:58que les petits-enfants avec eux,
34:59à 2 ou 3 ans,
35:00les comportements,
35:01ils ne connaissaient plus qui pouvaient faire.
35:03Oui, oui, oui.
35:04Donc, je trouve que ça n'est pas fort.
35:08Les enfants-là,
35:09ils peuvent grandir bien,
35:11ils se lient,
35:12ils mangent bien.
35:13Au moins, là,
35:14on sait qu'ils ne peuvent pas manger.
35:15On sait qu'on ne peut pas vivre.
35:16Il n'y a pas d'étranger qui ne peut pas manger.
35:18C'est ça aussi qu'on remarque.
35:20Mais ce qu'on peut gagner d'un côté
35:22au rapport à l'HIPAA,
35:25l'HIPAP,
35:26avec les virus qu'il y a dans la crèche,
35:28au CAF,
35:29le PPP,
35:30c'est au niveau des interactions.
35:31Maintenant,
35:32c'est possible aussi à la maison
35:33qu'il y ait des interactions,
35:35qu'il y ait des besoins.
35:36Mais il faut des parents
35:37au courant de ça.
35:38Ça veut dire,
35:39voilà,
35:40les Libyens,
35:41en plus d'une bonne nourriture,
35:43un environnement en sécurité,
35:46tout ça,
35:47ils ont besoin de ces interactions-là
35:50et de ce développement.
35:52Oui.
35:53Alors,
35:54il y a une photo là,
35:55tout autour de nous,
35:56qui nous dit dépistage.
35:57C'est là où tu mentionnes Tarlon.
35:59Il n'y a pas n'importe qui
36:00qui porte l'écho sur ce bébé-là
36:02pour faire ce dépistage-là,
36:04ce test-là.
36:05Oui, dépistage.
36:06Là, on peut dire test de gutterie
36:08qu'il nous fait à la naissance.
36:10Enfin, un petit peu à la naissance.
36:11Idéalement,
36:12trois jours de vie.
36:13Mais pas une lésion d'anomalie.
36:14Non, là,
36:15en fait,
36:16il ne fait pas un bébé
36:17parce que normalement,
36:18un bébé,
36:19un petit peu plus difficile,
36:20donc,
36:21à cause de ça,
36:22je ne fais pas le Tarlon
36:23parce que vous faites sauter les doigts
36:24aussi bien petit à petit.
36:25Donc, Tarlon,
36:26c'est un endroit un peu plus gros,
36:27moins douloureux aussi,
36:29probablement.
36:30On est piqué au bout du sang.
36:32Mais en gros,
36:33c'est juste pour dire
36:34qu'il n'est pas très,
36:35il n'est pas difficile à faire,
36:36le bébé,
36:37pas pour plaire,
36:38pas pour faire le rodin de la veine.
36:40Enfin, on va dire,
36:41un petit bébé,
36:42on fait le rodin de la veine
36:43pour tirer du sang
36:44quand on le tire dans le laboratoire
36:45pour faire un bon test.
36:46Il n'est pas un petit peu difficile.
36:47Juste pour dire,
36:48c'est très,
36:49très facile à faire.
36:50Un petit pric,
36:51un petit papier buvant,
36:52on gagne un peu du sang
36:53et on élimine actuellement
36:56encore ces 6 ou 7 anomalies fréquentes
37:02qui n'ont pas encore de symptômes.
37:03Alors,
37:04il y a des tests disponibles à Maurice.
37:05On mentionne quelques-uns.
37:07Quel est le dernier test
37:08qui est disponible,
37:09justement,
37:10chez vous?
37:11C'est ça,
37:12c'est un test NIPTD,
37:13par exemple.
37:14Ça aussi,
37:15par exemple,
37:16moi aussi,
37:17c'est un test qui s'appelle Hormony
37:18qui est envoyé à l'étranger
37:19et qui existe toujours.
37:20C'est-à-dire,
37:21si tu as envie,
37:22passe-toi un laboratoire privé,
37:23fais un test là,
37:24il est lié à l'étranger.
37:25C'est quoi, là?
37:26Hormony,
37:27c'est la même chose qu'un NIPTD.
37:28C'est-à-dire,
37:29le principe,
37:30en fait,
37:31mon pensée dans l'avenir,
37:32elle éprouve quelque chose
37:33de beaucoup plus fréquent.
37:34On appelle ça
37:35liquid biopsy.
37:36En gros,
37:37tu tiens un peu du sang.
37:38Dans ce sang-là,
37:39on fait,
37:40on va dire,
37:41l'anopéque,
37:42l'anopéque,
37:43c'est une autre affaire.
37:44C'est un dépistage pour les enfants,
37:45on va dire,
37:46où il y a un cancer.
37:47Et il est possible
37:48que dans l'avenir,
37:49au lieu d'avoir besoin
37:50de mettre des aiguilles
37:51dans l'endroit
37:52où il y a un cancer
37:53avant pour savoir
37:54s'il peut revenir.
37:55Là,
37:56dans le sang,
37:57il y a des trois cellules cancéreuses
37:58qui peuvent balader
37:59pour finir par savoir
38:00qu'il y a un risque
38:01pour avoir un métastase
38:02avant même
38:03d'avoir un métastase.
38:04On appelle ça
38:05liquid biopsy.
38:06Il existait déjà.
38:07Il existait déjà
38:08et probablement
38:09il n'y a pas eu
38:10il existait déjà
38:11et probablement
38:12dans l'avenir,
38:13il est pour quelque chose
38:14de fréquent.
38:15Ça veut dire
38:16qu'il n'y a pas beaucoup
38:17de cas de cancer du sein
38:18dans la famille.
38:19On fait un mammographie
38:20et il n'y a rien.
38:21Mais en plus,
38:22on fait un test du sang
38:23et là,
38:24on dit qu'il n'y a pas
38:25aucune cellule cancéreuse
38:26qui peut balader.
38:27Bon,
38:28peu importe,
38:29on ne voit pas
38:30comment ça se dit,
38:31mais NIPT,
38:32là,
38:33c'est ce principe-là.
38:34NIPT,
38:35ça veut dire
38:36ça détroit cellules
38:37qui nous gagnent
38:38dans du sang
38:39maman,
38:40là,
38:41qui sont des cellules
38:42du fœtus.
38:43Là,
38:44on peut faire
38:45n'importe quel test.
38:46En gros,
38:47l'équivalent,
38:48on gagne du sang
38:49du fœtus
38:50à analyser.
38:51N'importe quel test génétique
38:52qu'on a envie de faire,
38:53on peut le faire
38:54dans l'avenir.
38:55Alors,
38:56dans l'avenir,
38:57justement,
38:58ou personnellement
38:59en tant que chirurgien-pédiatre,
39:00quels tests
39:01vous pensez
39:02pas encore
39:03disponibles à Maurice
39:04qui vous a souhaité
39:05nous gagner?
39:06Euh...
39:07Vous savez,
39:08par exemple,
39:09quand on dit
39:10un test génétique,
39:11tout ça,
39:12s'il y a un généticien
39:13sur place
39:14dans Maurice,
39:15dans l'hôpital public,
39:16dans tout ça,
39:17là, là,
39:18ce test-là,
39:19c'est pour orienter.
39:20Vous comprenez?
39:21Parce que,
39:22maintenant,
39:23j'ai l'idée
39:24qu'il est capable
39:25de dire
39:26un problème,
39:27une maladie,
39:28avant qu'il ne puisse
39:29commencer le symptôme.
39:30Quand les enfants-là
39:31deviennent grands,
39:32deviennent évidents,
39:33ça,
39:34là, là,
39:35c'est facile,
39:36vous savez.
39:37Quand la maladie
39:38est développée,
39:39vous savez,
39:40c'est intéressant
39:41parce qu'il y a
39:42un généticien.
39:43Un généticien...
39:44Il n'y en a pas du tout?
39:45Il n'y en a pas assez?
39:46C'est une spécialité
39:47qu'il n'y a pas là.
39:48Enfin,
39:49il y en a,
39:50c'est un étranger
39:51qui travaille,
39:52mais...
39:53Mais,
39:54le mauricien même,
39:55non.
39:56Qui travaille
39:57à l'hôpital public,
39:58moi,
39:59pas quoi.
40:00Je quitte l'hôpital
40:01depuis quelques années,
40:02mais moi,
40:03pas quoi.
40:04Donc,
40:05oui,
40:06c'est le mauricien
40:07qui travaille.
40:08Il travaille,
40:09mais il n'y en a pas assez.
40:10Et lui,
40:11il travaille bien.
40:12Pourquoi je dis ça?
40:13Parce que c'est
40:14un travail cher.
40:15Il ne peut pas
40:16aller chercher un travail
40:17pour rien.
40:18Il a besoin...
40:19Il a besoin...
40:20il a fini...
40:21Il a une bonne idée.
40:22Qui peut aider?
40:23C'est là où
40:24vous vous demandez.
40:25Pour terminer,
40:26docteur?
40:27Pour terminer,
40:28bon,
40:29je fais...
40:30Chaque fois,
40:31j'ai un papier
40:32à me faire parompris,
40:33tout ça.
40:34Je ne suis pas là
40:36pour dire qu'il y a
40:37des tests qui,
40:38avant,
40:39un petit peu bizarres,
40:40qui sont maintenant
40:41accessibles.
40:42Je vous donne deux exemples.
40:43Il y en a tellement.
40:44Oui,
40:45il y en a un petit
40:46qui existait.
40:47Maintenant,
40:48il y en a
40:49beaucoup de choses.
40:50Des fois,
40:51il y en a des parents
40:52qui disent
40:53que même
40:54s'il y a une anomalie,
40:55ce n'est pas pour
40:56interrompre la grossesse.
40:57Vous connaissez
40:58quand...
40:59Avant la naissance,
41:00il y avait un test
41:01de dépistage.
41:02Fait qu'on va dire
41:03qu'on trouve un problème
41:05et,
41:06bon,
41:07au cas où il y a aussi,
41:08les parents la préparent.
41:09Ce n'est pas pour un gros
41:10choc
41:11quand les enfants
41:12l'ont.
41:13Ils sont déjà au courant.
41:14Ils sont déjà au courant.
41:15Mais,
41:16il y a aussi la possibilité,
41:17si c'est une anomalie
41:18très sévère,
41:19c'est une possibilité
41:20d'interrompre la grossesse.
41:21Surtout si on fait
41:22bientôt dans
41:23la pregnancy.
41:24La grossesse.
41:25Mais,
41:26si comme on dit,
41:27on connaît
41:28pour des raisons religieuses
41:29par exemple,
41:30on va dire que
41:31même s'il y a une grosse
41:32anomalie,
41:33de l'avant.
41:34Oui,
41:35on parle de l'avant.
41:36Et,
41:37bien là,
41:38peut-être,
41:39on va pas le faire.
41:40Il dépense un gros
41:41genre d'argent
41:42pour un test
41:43qui,
41:44s'il n'y a pas
41:45aucun
41:46répercussion
41:47de la bonne décision
41:48qu'il peut prendre après.
41:49Donc,
41:50je pensais,
41:51c'est ce que je voulais dire là.
41:52J'espère que c'est pas
41:53un parent qui a écouté tout ça.
41:54En tout cas,
41:55pose question
41:56aux autres pédiatres,
41:57aux autres médecins généralistes.
41:58Exactement,
41:59exactement.
42:00À lire sur Internet.
42:01Connais,
42:02c'est ça,
42:03j'ai décidé.
42:04Et moi,
42:05j'aimerais justement,
42:06à quelques auditeurs qui disent
42:07justement,
42:08écoutez,
42:09j'apprends beaucoup de choses
42:10grâce à cette émission-là.
42:11Parce que,
42:12je pense que tu connais
42:13qu'il y a autant
42:14de tests
42:15qui sont capables
42:16de faire,
42:17non seulement
42:18chez la future maman,
42:19mais chez le bébé.
42:20En tout cas,
42:21je remercie beaucoup ça.
42:22Cette buterie-là,
42:23tape ça sur Internet,
42:24allie alors là,
42:25c'est quelque chose
42:26de,
42:27pour moi,
42:28pour moi,
42:29c'est quelque chose de,
42:30j'avoue,
42:31sur l'importance.
42:32Merci.
42:33En tout cas,
42:34merci beaucoup Docteur,
42:35au plaisir de vous retrouver
42:36le mois prochain
42:37pour un autre thème.
42:38Avec plaisir,
42:39merci.
42:40Merci.