MID MORNING SHOW [ World Heart Day ] Thème : La maladie coronarienne & le risque cardio-vasculaire Ce vendredi 27 septembre à partir de 10 heures Vos appels au 213 77 77 Emission live à suivre également sur notre application TOPFM LIVE TV et sur Parabole chaine 36 Comment faire: Téléchargez notre application "Top FM Mauritius" sur l'App Store ou le Google Play Store, puis sélectionnez TOPFM LIVE TV
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ÉducationTranscription
00:00Merci de démarrer cette nouvelle semaine à notre compagnie.
00:12Alors aujourd'hui, on a le plaisir de retrouver le Dr Aled Lutu, cardiologue.
00:18Dr Lutu, bonjour.
00:19Bonjour.
00:20Alors en ce moment, nous pouvons recevoir beaucoup de cardiologues parce que justement
00:23hier, nous avons observé le monde d'aujourd'hui, beaucoup d'activités qu'il peut faire,
00:28qu'il peut faire et qu'il peut continuer et le thème, c'est de mettre l'accent
00:35sur la prévention.
00:36Bien sûr, nous proposons de la prévention au cours de l'émission, mais le thème
00:41choisi, c'est la maladie coronarienne et le risque cardiovasculaire.
00:48Alors peut-être pour commencer, Docteur, est-ce que tu es capable de nous dire, maladie
00:51coronarienne, c'est quoi exactement ?
00:53La maladie coronarienne, c'est la maladie qui justement, qui touche le coeur.
00:59C'est ce qui nous causait, en langage courant, des retours à la bouchée.
01:02Souvent, on vous demande si c'est des retours à la bouchée ou des débouchements à la
01:06bouchée.
01:07C'est ça la maladie coronarienne.
01:08C'est le thème médical.
01:09La maladie coronarienne, c'est quand le coeur commence malade, il y a un dépôt de cholestérol
01:13de plaque, il commence à rétrécir et in fine, malheureusement, parfois, il est quand
01:18même bouché.
01:19C'est ce qu'on appelle crise cardiaque, en langage courant.
01:21Oui.
01:22Alors, j'ai besoin d'avoir justement, il y a pas mal d'appels, parfois, des jeunes
01:27qui ont des retours à la bouchée, il y en a deux, même jusqu'à cinq.
01:32Alors, qu'est-ce qui vient d'après vous, il y a autant de cas de nos jours ?
01:34La maladie cardiovasculaire, en général, et notamment la maladie coronarienne, c'est
01:40la maladie, le problème de la maladie cardiaque, toujours in fine, il y en a beaucoup et malheureusement,
01:46de plus en plus, plus on a une société qui est développée, plus on gagne ça parce
01:51qu'il y a plusieurs facteurs qui viennent en cours, donc la misère est un peu plus
01:54à risque et surtout, tout un facteur de risque cardiovasculaire classique, c'est les cigarettes,
01:59mauvaise alimentation, malalimentation riche en cholestérol, diabète, malalimentation
02:04assez riche en calories aussi, donne un peu plus de cas de diabète et amaurice, il y
02:08a énormément de diabète et de plus en plus de jeunes diabétiques, de plus en plus d'adultes
02:13jeunes qui diabétiquent de nos jours, d'amaurice.
02:15Donc, c'est plus à risque qu'il y a des problèmes coronariens et des problèmes
02:18antiabouchés.
02:19Donc, il y a énormément de maladies actuellement à amaurice, toujours in fine, non, mais probablement
02:24on va commencer à trouver de plus en plus de malades jeunes à ce terre actuellement.
02:27Oui, donc il y a beaucoup de facteurs de risque, une quantité de causes qui arrivent à ce
02:34point-là.
02:35Et avant que nous ne causent un traitement, est-ce qu'il y a des signes, des symptômes
02:39qui peuvent interpeller la personne?
02:41Exactement, donc oui, il y a beaucoup de facteurs de risque amaurice, la population amauricienne
02:45beaucoup de risques.
02:46Il y a des symptômes qui peuvent interpeller et qui, justement, nous amotivent en consultation.
02:50C'est la douleur dans la poitrine, la douleur dans la poitrine, c'est le premier symptôme
02:53qui est plus spécifique de problèmes cardiaques.
02:55C'est notamment ces douleurs qui sont dans la chaise, un petit peu à gauche, qui peuvent
03:01arriver dans les épaules, dans les bras gauche, également dans l'homoplate gauche, les carotides
03:05dans les cou, les carotides dans la mâchoire et pas pour toujours associées classiquement
03:09comme ça, mais les carotides associées quelques-uns ou plusieurs de ces symptômes-là.
03:12Après, il y a l'essoufflement, l'essoufflement principalement quand il commence à aller
03:16fort et qu'il est calmé quand on va au repos, donc ça aussi, il est assez inquiétant.
03:20Pour un moindre effort, quand il y a un essoufflement inhabituel, ça c'est le cas d'un signe d'un
03:24problème cardiaque, un signe d'un artère qui peut boucher.
03:27Donc là, ce moment, on faisait consulter un médecin, soit un médecin traitant, soit
03:31un cardiologue, qui pouvait faire le point et qui, justement, pour faire un examen, qui
03:37pouvait déterminer si c'est vraiment un problème d'artère bouchée ou pas.
03:40Oui, alors, les douleurs qui viennent, c'est le coude comme ça?
03:42Oui, il y a des douleurs qui viennent à l'effort, qui calment au repos, et ça a duré pendant
03:49quelques temps, quelques mois même, mais parfois, ça vient de façon très brutale.
03:53Il y a des douleurs qui, d'un coup, ne passent pas, ne cédent pas.
03:56Si ces douleurs-là ne cédent pas au bout de 15 minutes, là ce moment, on faisait consulter
03:59en urgence.
04:00Le dimanche soir, dès le dimanche matin, quand on va voir un patient, on peut le voir
04:04tout à l'heure, on se fait consulter en urgence, soit aux urgences, soit vraiment la meilleure
04:08chose à faire, c'est téléphone Samuel, vous venez tout de suite.
04:11Et là, comment vous faites le diagnostic pour connaître?
04:13Là, souvent, quand on va arriver à l'hôpital, aux urgences, on va là pour faire, déjà
04:18pour examiner nous, et après, surtout l'examen clé, c'est l'électrocardiogramme.
04:22L'électrocardiogramme, il permet de détecter si une artère est bouchée complètement,
04:26si vous pouvez faire une crise cardiaque.
04:27Et parfois, quand l'électrocardiogramme n'est pas déterminant, nous, il nous demande
04:31prise de sang, ou d'autres examens comme un échographie cardiaque, tout cela, mais
04:36souvent, si c'est une crise cardiaque massive qui peut arriver, et qu'il vous a une prise
04:39en charge en urgence, l'électrocardiogramme, pour vous finir, vous faites le diagnostic,
04:43et là, c'est une prise en charge en urgence de l'ICU.
04:45Alors, vous avez moins de jeunes médecins depuis que vous exercez, est-ce que vous pouvez
04:49trouver, justement, situations rassurantes aussi, malheureusement, beaucoup de cas qui
04:52peuvent enregistrer, et surtout, vous n'avez pas de rajeunissement, donc moins de jeunes?
04:56On a l'impression qu'il y a effectivement un rajeunissement, effectivement, moi, je
05:00m'exerce à Montréal depuis deux ans, et il y a beaucoup de cas dont moins de jeunes.
05:04D'ailleurs, mon premier cas, le premier cas, c'était un jeune, le premier cas d'infarctus
05:07comme on l'a remarqué, c'était un jeune de 38 ans.
05:09Donc, quand même, il y en a beaucoup moins de jeunes, est-ce que c'est de plus en plus
05:14mauvaise alimentation, sédentarité, travail, pas qu'en étant fait à l'activité physique,
05:18et même, moi, devine changer à St-Honoré, ça veut dire tout à fait ne déplacer en
05:22l'autobus, ne pas marcher comme avant, tout travail, c'est, il y en a une machine pour
05:26faire tout, il y en a une machine à laver, tout à fait, à déchirage.
05:30Donc, au point C, il y a pas mal de sédentarisation de la population qui, malheureusement, amène
05:35plus d'événements cardiovasculaires.
05:37Oui.
05:38Alors, nous parlons du risque cardiovasculaire, justement.
05:41Qu'est-ce qui amène risque, là, ça?
05:44Donc, le risque, quand on parle de risque cardiovasculaire, il y a beaucoup de facteurs
05:48qui, justement, font partie du risque cardiovasculaire.
05:50Donc, les facteurs de risque cardiovasculaire, dans les principaux, il y en a l'âge, qui
05:56malheureusement ne va qu'à fin d'année, il y a le sexe masculin, qui ne va qu'à fin
05:59d'année, qui m'admettait plus de risque, madame.
06:01Et par contre, il y a qui fait?
06:02Il y a plusieurs hypothèses, mais il n'est pas sûr à 100%.
06:05C'est probablement qu'il y a une hormone, pas pareil, probablement l'oestrogène, un
06:09petit peu plus protecteur que de la femme, mais nous retrouvons qu'il appartient à
06:12menopause et se rattrape un petit peu le risque.
06:15Donc, probablement, c'est hormonal, mais il n'est pas à 100% sûr.
06:19Après, il y a des autres facteurs qu'on appelle modifiables.
06:22Modifiables, c'est le diabète.
06:24Si vous avez un diabète, vous vous faites traiter correctement.
06:26Hypertension intérieure, si vous vous faites traiter correctement.
06:29Vous ne voulez pas délaisser une pénurie de symptômes, souvent, avec le diabète,
06:32jusqu'à ce qu'il ne soit pas trop tard.
06:34Il y a une tendance, il est OK, il est OK, mais il faut faire attention.
06:38Vous vous faites traiter correctement.
06:40Il y a le cholestérol, ça aussi c'est un facteur de risque cardiovasculaire majeur.
06:44Et après, il y a les autres facteurs de risque, c'est la cigarette, la sédentarité.
06:51Le stress, c'est un facteur de risque un peu plus mineur,
06:53mais aussi font partie d'un facteur de risque cardiovasculaire.
06:55Alors, laisse-nous parler un petit peu plus de l'hypertension.
06:57Il n'y a pas de cas où la famille dit, bon, nous partons,
07:01il y a un coup de tension, une montée, et on a une attaque.
07:03Alors, comment ça est arrivé? Qui fait ça arriver?
07:06Donc, souvent, on ne le connaît pas, mais probablement,
07:10quand on a une petite montée de tension, c'est difficile qu'il y ait un stroke,
07:14une attaque, comment dire, ou une crise cardiaque.
07:17Souvent, pour qu'il y ait vraiment un facteur qui prédispose à un événement,
07:21il est là depuis quelque temps.
07:23Et peut-être la personne va t'y connaître.
07:25Tout simplement, parce qu'il n'a pas gagné aucun symptôme.
07:27Il fait partie de ce qu'on appelle un silent killer.
07:29Tension, diabète, cholestérol, c'est un silent killer.
07:32Quand on se donne un symptôme, c'est trop tard.
07:34C'est qu'il n'est fini qu'avec un décalage au niveau de la main à hauteur,
07:36la main à hauteur et les cœurs, mais pareil,
07:38quand on a la main à hauteur et la tête, c'est pareil,
07:40toutes nos mains à hauteur, abîmées.
07:42Et là, quand il touche les cœurs, c'est crise cardiaque,
07:44quand il touche la tête, c'est ce qu'on appelle un attack ou un stroke,
07:46un AVC en français.
07:48Donc, il est là probablement depuis quelque temps.
07:50Mais pas diagnostiqué.
07:52Alors, conseil idéal, c'est quoi?
07:54C'est check ce tension?
07:56De temps en temps, vous avez check tension,
07:58ça veut dire de temps en temps, vous avez fait un check-up annuel,
08:00que le médecin traitant, pas obligé, un cardiologue,
08:02que le médecin traitant, qui vous fait une prise de sang
08:04avec dépistage diabète, dépistage cholestérol.
08:06Et bien sûr, on a une consultation, toujours,
08:08on check tension, on examine le patient.
08:10Donc, ça permet de dépister, ça n'a pas de problème.
08:12Et au niveau du traitement, vous pensez d'y varier
08:14de cas en cas?
08:16Exactement, le traitement là, il va varier de cas en cas,
08:18de tranche d'âge à tranche d'âge également,
08:20et de type de profil du patient.
08:22Donc, tous les patients
08:24partagent un même traitement, qu'il est pour tension,
08:26qu'il est pour diabète, qu'il est pour cholestérol.
08:28Donc, ça c'est
08:30une évaluation du risque global du patient
08:32qui permet de déterminer ça.
08:34Sur l'âge, sur l'activité,
08:36ça c'est au cas par cas,
08:38c'est au médecin vraiment de faire le point
08:40et de déterminer le meilleur traitement pour chaque patient.
08:42Oui, alors, laisse-nous poser peut-être
08:44au niveau des risques
08:46cardiovasculaires, qui je te rencontrais
08:48le plus souvent à Maurice.
08:50Donc, le plus souvent à Maurice,
08:52c'est, malheureusement, il y a
08:54le tabac, la cigarette. Donc,
08:56heureusement, maintenant, avec la
08:58nouvelle génération, il y a plus de
09:00sensibilisation par rapport au tabac.
09:02J'ai de la fumée, mais je connais qu'elle est mauvaise,
09:04alors que mes parents, grands-parents,
09:06ne me connaissent pas qu'elle est mauvaise pour la santé à ce point-là.
09:08Donc, mais, il y a une sensibilisation,
09:10mais quand même, il y a toujours la cigarette,
09:12il y a toujours le tabac,
09:14c'est un des plus gros facteurs de risque qu'il y a à Maurice.
09:16À Maurice, il y a
09:18deux pays dans le monde qui ont énormément
09:20de tabac, c'est Maurice et la Réunion.
09:22C'est probablement parce qu'il y a un petit pays, un petit
09:24île, que malheureusement,
09:26quand il y a une mauvaise génération, il y a une tendance
09:28concentrée dans la population et souvent,
09:30comme on dit à Maurice, tout le monde n'a pas de famille,
09:32comment dire. Donc, il y a aussi
09:34malheureusement, de loin, tout le monde
09:36n'a pas de famille. Donc, si on a une mauvaise génération,
09:38il y a une tendance concentrée. Donc, il y a
09:40énormément de diabète à Maurice et même que le monde est jeune,
09:42il y a énormément de diabète à Maurice.
09:4435 ans, c'est une maladie qu'on n'a pas trouvée en Europe.
09:46Diabète de type 2, développée
09:48en Europe à partir de 50, 55 ans.
09:50Et Maurice, 35, 40 ans,
09:52il a un diabète, ce qui n'est pas normal.
09:54Mais, c'est comme ça, nos populations,
09:56c'est comme ça, nos affaires avec.
09:58Donc, c'est très important de dépister le diabète
10:00et faire attention au diabète. Le cholestérol aussi,
10:02nous trouvons une partie du cholestérol.
10:04Après, à Maurice, il nous a connu
10:06qui nous font partie d'une population
10:08qui vient de l'Inde,
10:10en grande partie, en grande majorité.
10:12Et nous, plus à risque.
10:14Plus à risque.
10:16Maladie qui est d'origine indienne, un peu plus à risque.
10:18Est-ce qu'il y a un facteur génétique dans cette maladie?
10:20Très probablement un facteur génétique qui n'est pas
10:22forcément 100% connu, identifié,
10:24qui n'a pas fait un test pour dire
10:26où il est, où il n'est pas. Mais,
10:28nous trouvons que sa population qui vient de l'Inde,
10:30c'est un peu plus à risque. Alors, quand
10:32nous causons ce traitement, quand vous avez
10:34un recours à la chirurgie?
10:36Voilà. Quand nous avons un recours
10:38à la chirurgie, il y a deux types d'interventions.
10:40L'intervention que nous appelons percutanée,
10:42c'est ne pas ouvrir du moulin.
10:44Nous passons par la hauteur. Soit la hauteur des bras,
10:46soit la hauteur au niveau de la cuisse. Nous montons
10:48notre débouchement à la hauteur.
10:50Et, également, nous mettons
10:52un stent. Ça, c'est un type d'intervention.
10:54Alors, ce stent-là, c'est quoi? Ce stent-là, c'est
10:56quand nous ouvrons la hauteur avec un ballon.
10:58La hauteur, elle est rétrécie ou débouchée.
11:00Quand nous l'ouvrons, nous mettons un petit ballon pour
11:02réouvrir, pour régonfler.
11:04Sauf si nous la quittons comme ça, elle a tendance
11:06à se refermer. Donc, nous mettons un stent.
11:08Un stent, c'est comme un petit ressort. C'est une armature
11:10métallique qui garde la hauteur
11:12ouverte. Donc, ça, c'est quand nous faisons
11:14ça. C'est quoi? Soit il y a une crise cardiaque
11:16ou un infarctus. Nous allons
11:18déboucher la hauteur. Mettre ce stent-là.
11:20Soit il y a une ongle. L'ongle, c'est une douleur
11:22qui est au moindre effort. Et quand on dit qu'on l'arrête
11:24l'effort, la douleur est calmée.
11:26Quand nous faisons un test, nous trouvons que finalement, c'est la hauteur
11:28qui est rétrécie qui la cause. Et quand
11:30la hauteur est rétrécie de plus de 70%,
11:32vous la réouvrez et vous mettez un stent.
11:34Et les gardes, ce stent-là?
11:36Le stent-là, il reste à l'intérieur. C'est à vie? C'est à vie.
11:38Le reste de la hauteur, les gardes, il est à l'intérieur
11:40de sa hauteur. Et vous pensez qu'elle a suivi
11:42important? Suivi très important.
11:44Médicament très important.
11:46Parce qu'un stent, quand nous le mettons, ce n'est pas fini.
11:48Ce n'est pas guéri. Ce n'est pas à vie.
11:50Ce n'est pas une garantie à vie.
11:52Ce stent-là, les gardes le rétrécissent, les gardes le rebouchent.
11:54Ou les gardes le bouchent à une autre place, à une autre hauteur.
11:56Donc, nous avons un problème cardiaque
11:58et nous mettons un stent à très haut risque.
12:00Donc, suivi,
12:02traitement régulier après, par la suite.
12:04Et après, quand il y a plusieurs hauteurs
12:06bouchées, plus
12:08que 3 ou 4 hauteurs bouchées,
12:10voire 5 hauteurs que nous utilisons,
12:12les labs de chirurgie,
12:14bypass, ce qu'ils appelaient,
12:16pontage en français, les labs
12:18apparemment la veine dans les pieds, ou soit apparemment les hauteurs,
12:20c'est-à-dire ne faire pas le pontage.
12:22Est-ce que parfois les gardes vinent dangereux?
12:24Oui, il est potentiellement
12:26dangereux. Quand on fait une crise cardiaque, c'est toujours
12:28dangereux. C'est toujours la vie qui est
12:30en jeu. Donc, c'est toujours une course contre la
12:32monde pour aller déboucher sur sa hauteur-là.
12:34Et éventuellement, il y a tout ce risque de
12:36complications qui vient avec.
12:38Complications, il y en a qui est là qu'avant de marcher,
12:40les gardes qui ont
12:42insuffisance cardiaque, après.
12:44Mais comme on dit, ça va jusqu'au décès aussi.
12:46C'est ça que tu voulais dire. Ma prochaine question, c'était
12:48les complications. Donc, complications, il est bien là.
12:50Oui, il est là. Il est là à tout moment de la
12:52prise en charge et
12:54éventuellement, quand on le traite tout
12:56correctement et que tout passe bien,
12:58finalement, on diminue sa risque de complications
13:00là. Mais voilà, il y a quand même
13:02des complications qui aillent jusqu'au décès quand même.
13:04Et quand on dit,
13:06justement, plusieurs hauteurs
13:08bouchées, jusqu'à combien, comme si
13:10on déjà trouvait une partie en haine?
13:12Malheureusement,
13:14on trouve une affaire qui est assez
13:16inquiétante.
13:18On a très peu de symptômes.
13:20Il y a un petit douleur quand il fait un défaut ou un petit essoufflement.
13:22Et finalement, quand on fait son ongiographie,
13:24coronarographie, c'est qu'il y a une hauteur
13:26qui passe par un tube,
13:28il y a une hauteur injectée,
13:30et du coup, quasiment toute sa hauteur est bouchée.
13:32Quand on tient tout là comme ça.
13:34Normalement, ce qu'il nous dit, il y a trois
13:36ou quatre principales, mais voire
13:38tous les trois, quatre principales bouchées.
13:40Et bouchées et ou rétrécies.
13:42Même, on trouve tous les trois
13:44principales bouchées.
13:46Et c'est ma petite hauteur
13:48qui fait comme un petit pontage
13:50naturel, qui fait qu'il est encore vivant.
13:52Parce que c'est toutes les trois hauteurs principales
13:54bouchées, normalement, parce qu'on n'est pas supposés l'avoir.
13:56Mais c'est cette petite hauteur, ce qu'on appelle
13:58ma collatérale, qui amène
14:00Hamad Di Sanla, et qui fait que chacun
14:02reçoit un aliment de son camarade.
14:04Di Sanla peut rétrécir pas assez, mais difficilement,
14:06mais il peut rétrécir pas assez.
14:08Bien sûr, Hamad Di Mounabze fait le pontage.
14:10Oui. Et pontage, ça veut dire
14:12qui était ça exactement, comme traitement?
14:14Pontage, comme traitement, c'est une bypass.
14:16Ça veut dire, comme le nom l'indique,
14:18nous bypass ce problème-là. C'est-à-dire qu'au-delà
14:20de la bouchée, nous prenons la veine,
14:22nous connectons l'une à l'autre, et en disant...
14:24La veine, le patient même, là?
14:26La veine, le patient, là, nous prenons dans ce lit-pied,
14:28soit nous prenons une hauteur qui s'appelle la hauteur mammaire,
14:30et nous faisons Di Sanla venir après
14:32qu'il est bouché. Ça veut dire nous faisons comme
14:34un bypass, pas comme dans le chemin,
14:36un chemin bloqué, nous venons après
14:38le chemin-là, pareil, c'est ainsi, pareil,
14:40nous faisons un Di San après qu'il est bouché,
14:42donc tout ce qui est après, tout ce qu'on avale,
14:44que de participer à un Di San, commencerait
14:46à un Di San avec sa vapeur.
14:48C'est une chirurgie bien délicate.
14:50C'est une chirurgie bien délicate, c'est un chirurgien,
14:52c'est pas un cardiologue qui fait ça, c'est un chirurgien
14:54cardiaque qui est spécialisé là-dedans,
14:56qui fait
14:58beaucoup de training,
15:00a formé bien, de façon
15:02longue durée, avant de faire
15:04cette intervention-là, et heureusement,
15:06il y en a plusieurs à Maurice qui fait ça très bien.
15:08Alors, on nous fait une pause, d'accord?
15:10Déjà, comment s'est téléphoné le 213-77-77?
15:12Je vous donne le message WhatsApp,
15:1452-55-06-06.
15:38Je vous donne le message WhatsApp, 52-55-06-06.
15:40Je vous donne le message WhatsApp, 52-55-06-06.
15:42Je vous donne le message WhatsApp, 52-55-06-06.
15:44Je vous donne le message WhatsApp, 52-55-06-06.
15:46Je vous donne le message WhatsApp, 52-55-06-06.
15:48Je vous donne le message WhatsApp, 52-55-06-06.
15:50Je vous donne le message WhatsApp, 52-55-06-06.
15:52Je vous donne le message WhatsApp, 52-55-06-06.
15:54Je vous donne le message WhatsApp, 52-55-06-06.
15:56Je vous donne le message WhatsApp, 52-55-06-06.
15:58Je vous donne le message WhatsApp, 52-55-06-06.
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17:40Il y a des maladies coronariennes, des risques cardiovasculaires, mais nous voulons mettre l'accent justement à l'occasion du World Health Day sur la prévention.
17:51Est-ce qu'il est capable de prévenir ces maladies-là, docteur?
17:54Évidemment. Il y a plusieurs mesures qu'on prend pour prévenir la maladie cardiovasculaire et la maladie coronarienne.
18:00Donc, il y a certaines choses qu'on ne peut pas faire. On est contre l'âge. Malheureusement, ça ne peut pas faire grand-chose.
18:07Mais il y a beaucoup de factures sur lesquelles nous corriger. C'est une facture modifiable.
18:11Et notamment, pour commencer, la cigarette. La cigarette, c'est quelque chose de très, très nocif. C'est à bannir complètement.
18:17D'accord? Donc, la cigarette, ce n'est pas que cardiovasculaire, mais il y a tout le monde risque de cancer et pulmonaire associé.
18:23Donc, cigarette, zéro cigarette. Ça, c'est le message qui nous est vraiment passé à nos jeunes.
18:27Et donc, après, pour les autres mesures de prévention, c'est l'alimentation.
18:31L'alimentation, donc, nous aimons l'alimentation assez saine.
18:34Donc, nous avons tendance à manger beaucoup de force de nos jours parce qu'on a beaucoup de force et nous tenter par toute sa exposition qu'il y en a.
18:40Force de manger facilement, manger des os, etc. Et souvent, ne pas faire attention. Est-ce qu'il ne devrait pas vraiment l'équilibrer ou pas?
18:47Donc, toujours, c'est qu'il ne nous suffit pas. Quand nous étions petits, quand nous étions à l'école primaire, c'est balance diet, repas équilibré.
18:53C'est quelque chose qui marchait toujours jusqu'à aujourd'hui et qui est très important.
18:57Donc, nous avons un repas qui est très équilibré. L'alimentation, c'est un repartiment entre carbohydrate, protéines.
19:03Et surtout, tout ce qui est fibres, donc légumes, salades et fruits, qui est très important.
19:09Donc, nous avons un repas bien équilibré, qui est très important.
19:12Nous, on élimine tout ce qui est graisse saturée, tout le reste qui est gras et toute la graisse d'origine animale.
19:17Il faut faire très attention dans l'alimentation. C'est ce que nous trouvons principalement dans tout le force food.
19:22Après, donc, c'est l'activité physique.
19:24C'est quelque chose qui ne demande pas gagner de temps de nos jours. Faire l'activité avec le travail, finir tôt, ne pas gagner de temps.
19:29Mais il nous a trouvé un tel temps de faire pas mal d'activités physiques.
19:33L'activité physique, ne serait-ce que de la marche.
19:36Parce qu'il y a des gens âgés qui viennent en consultation et qui demandent pourquoi ils ne gagnent pas de temps.
19:40Ne serait-ce que de la marche. La marche, c'est quelque chose de très bénéfique.
19:43Donc, la marche, au moins 30 minutes, 3 fois par semaine, minimum.
19:47Ça, c'est le strict minimum. Si vous le faites de façon quotidienne, tant mieux.
19:50Et si vous le faites inéditement, à chaque fois que vous le faites, encore mieux.
19:54Mais 30 minutes, 3 fois par semaine, c'est excellent.
19:57Ce qui nous a favorisé l'activité physique, c'est tout ce qui est joué sur l'endurance.
20:00C'est-à-dire la marche, vélo, natation, course à pied.
20:04Parce que les axéliens nous les créent.
20:06Et les gorneaux ont un rythme soutenu de façon prolongée.
20:10Et c'est ce qui est meilleur et ce qui est plus bénéfique pour prévenir de la maladie cardiovasculaire.
20:15Oui. Alors, merci à Nasrin pour ce message de vacquois.
20:20Sinon, docteur, question.
20:22Malgré tout ce qu'il nous a donné comme conseils pour sensibiliser le public,
20:28nous trouvons malheureusement que ça va augmenter.
20:32Alors, si jamais quelqu'un a une hauteur bouchée,
20:35quelle précaution prend-il?
20:37Est-ce qu'il ne prend pas en compte ce qui fait qu'il est énuméré?
20:40C'est-à-dire, elle a même pensé qu'elle n'avait pas de problème,
20:43qu'elle n'avait pas d'efforts, pas d'activité physique.
20:47Cela a basculé complètement.
20:49C'est pas tout à fait vrai.
20:51Une fois qu'il est pris en charge dans la phase aiguë,
20:53qui est un moment un peu critique, là, il ne finit pas celui-là.
20:56Mais là, à ce moment-là, quand même,
20:58les voisins reprennent tous les affaires qui font qu'il est énuméré.
21:00C'est-à-dire, s'il peut fumer, s'il peut arrêter sa cigarette,
21:03s'il ne peut pas faire d'activité.
21:04Les voisins reprennent l'activité physique.
21:05Au contraire, il n'est pas contraindiqué quand il y a un témoin qui ne finit qu'un problème liquide.
21:09Il est même recommandé.
21:10Ça dépend un peu de ses conditions.
21:12Mais ça, c'est ce médecin qui vous explique plus en détail.
21:15Mais il est recommandé de reprendre l'activité physique après.
21:18Et les voisins font ça.
21:19Donc, ça et l'alimentation.
21:20Les voisins font un changement de son régime, de son mode de vie.
21:23Donc, les voisins font tous ce genre d'affaires.
21:25Et après, bien sûr, une fois qu'il a un problème cardiaque,
21:27il y a un autre facteur qui rend dangereux.
21:30C'est les médicaments.
21:31Donc, à ce moment-là, malheureusement,
21:33les voisins ne sont même pas contents de prendre des médicaments,
21:35mais ils prennent beaucoup de médicaments à ce moment-là.
21:37Et là, c'est un médicament qui est essentiel.
21:39Il faut qu'à la vie, quand il finit de gagner l'artère bouchée,
21:41il faut avoir ce genre de traitement.
21:43Mais ça, c'est un médecin qui met un instinct.
21:47Alors, quelles sont les précautions, justement, que les voisins prennent?
21:50Les précautions que les voisins prennent, donc...
21:52Est-ce que ça change, quand il est professionnel, sur la vie en général?
21:55Pas forcément. Pas forcément.
21:57Ils vont avoir un instinct, ils vont avoir une vie quasiment normale.
22:00Après, avec un petit précaution à prendre, en plus,
22:02ça fait que les voisins sont un petit peu plus sensibles, plus aware,
22:04qui, comme on va dire,
22:05on a un problème liqué, on doit faire attention à certaines choses.
22:07Mais ils pourront avoir une vie normale.
22:09C'est-à-dire qu'ils pourront voyager, ils pourront travailler,
22:11ils pourront faire des activités physiques,
22:12ils pourront faire ce qu'ils veulent.
22:15Sans aucun problème, sans qu'ils s'agênent ni outre mesure.
22:18Est-ce qu'il y a une patiente qui va mettre plusieurs stents à la fois?
22:22Une patiente qui va mettre plusieurs stents à la fois,
22:24puis il n'y a aucune limite, vraiment,
22:26en termes de nombre de stents qu'il nous va mettre.
22:29Il nous va mettre un, deux, trois.
22:31Dans le cas extrême, il nous va mettre quatre, cinq.
22:33Forcément, je ne recommande pas de mettre beaucoup de stents,
22:35parce que plus on met de stents, plus c'est mal...
22:38En termes de technique, c'est mal fait.
22:39Rien qu'il nous rachète à l'intérieur de ma nature.
22:41Quand vous mettez beaucoup de stents dans le même temps,
22:43peut-être qu'il nous envisage un bypass à ce moment-là.
22:46Peut-être que c'est le bypass qui est la meilleure solution.
22:48Mais dans certains cas, comme un patient fragile
22:50qui ne va pas pouvoir supporter un bypass,
22:52nous allons mettre plusieurs stents.
22:53Quatre, cinq stents, puis il n'y a aucune limite.
22:55Mais toujours, nous faisons raisonnable quand nous faisons ça.
22:58Donc, c'est ma médecin qui fait ça 24 heures du lundi,
23:00qui fait ça 24 heures du lundi.
23:01Interventionnelle, nous faisons modérer.
23:02Et après, avec notre expérience,
23:04vous connaissez ce qui est meilleur pour le patient.
23:06Alors, la différence entre un stent et un bypass?
23:09Un stent, c'est un petit réseau qu'ils nous mettent
23:11à l'intérieur de l'artère.
23:13Donc, ça, c'est pourvoir interventionnel.
23:15Nous ne pouvons pas ouvrir le patient-là.
23:16Nous passons juste un petit poncton, soit dans l'artère des bras,
23:18soit dans l'artère de la cuisse, nous monter,
23:20là, le déploie, il lit.
23:21Alors que le bypass, nous avons ouvert la cage thoracique
23:23et nous prenons maintenant la veine dans les pieds.
23:25Nous prenons une artère qui s'appelle l'artère mammaire.
23:27Et là, nous avons ouvert le thorax.
23:28Et là, nous allons brancher l'artère.
23:31On va l'artérer directement.
23:33Oui. Alors, quand on fait un diagnostic
23:34où tu mentionnes l'électrocardiogramme,
23:36alors, est-ce qu'il va falloir nécessairement faire un stress test?
23:41Oui, il va falloir faire un stress test.
23:43Quand c'est une crise cardiaque, l'électrocardiogramme,
23:45pour finir, mettre en évidence.
23:46Parfois, quand c'est un ango,
23:47où l'artère n'est pas bouchée complètement,
23:49il est juste un petit peu rétréci,
23:51ben, à ce moment-là,
23:52parfois, il se dit que l'électrocardiogramme de repos,
23:55l'écart normal, échographie normale,
23:56prix de sang tout normal,
23:58ben, à ce moment-là, nous faisons un test supplémentaire
24:00qui s'appelle le stress test.
24:01Et là, le stress test,
24:02il permet de dépister un petit peu l'artère
24:04qui est un petit peu rétréci,
24:05mais qui n'a que l'effort,
24:07c'est ça, le stress test,
24:08c'est un test d'effort.
24:09Et là, s'il y a une anomalie là-dessus,
24:11ben, on n'a plus,
24:12on fait une angiographie coronaire.
24:14L'angiographie coronaire,
24:15l'anomalie n'a guérit directement l'artère.
24:18Maintenant, si un patient peut avoir
24:20quelques problèmes,
24:21qu'on va aussi mentionner,
24:22ben, de ces symptômes,
24:24les peines d'artère bouchée,
24:27là aussi, ben, la précaution
24:29est importante,
24:30il est capable de guérir avec des médicaments,
24:32sans passer par la chirurgie?
24:34Oui, ça aussi l'est possible,
24:36par exemple,
24:37il y a un petit symptôme un peu atypique,
24:39bon, il finit,
24:40il y a un petit doute,
24:41ce stress test ne finit pas
24:42à faire l'angiographie,
24:43il y a une lésion dans son artère légaire,
24:44mais qui est de moins de 70%.
24:46Quand l'artère rétrécie,
24:48de moins de 70%,
24:49nous ne sommes pas médecins,
24:50nous ne faisons pas de chirurgie,
24:51nous ne faisons pas de bypass,
24:52nous ne faisons pas d'années.
24:53Là, par contre,
24:54nous ne faisons pas d'années,
24:55nous commandons des médicaments
24:56et nous demandons
24:57un mode de vie correct.
24:58Donc, il y a des médicaments,
25:00comme l'aspirine,
25:01et notamment,
25:02on est un petit peu plus strict
25:03sur le type de cholestérol,
25:04on est un peu plus strict
25:05sur la tension,
25:06sur la tension,
25:07nous sommes bien contrôlés,
25:08sur le diabète,
25:09nous sommes bien contrôlés,
25:10s'il y a un diabète,
25:11et si, bien sûr,
25:12il fumait,
25:13il arrêtait de cigarettes tout de suite.
25:14Et donc, là,
25:15il y a des malprécautions à prendre
25:16et avec ces malprécautions,
25:17parfois,
25:18quand on vit des années,
25:19voire des dizaines d'années,
25:20voire des vingtaines d'années,
25:21sans qu'il arrive
25:22jusqu'au stade de la médecine,
25:23s'il change son mode de vie,
25:24pendant longtemps,
25:25voire des modes,
25:26d'autres choses,
25:27et qu'il n'ait jamais
25:28besoin d'aller au stade.
25:29Et là,
25:30on mentionne l'aspirine,
25:31nous tous connaissons
25:32ce bienfait,
25:33et est-ce que,
25:34parfois,
25:35quand on cause
25:36des mesures de prévention,
25:37il est bon
25:38comme s'il nous prend
25:39l'aspirine tous les jours?
25:40Et là,
25:41c'est une condition
25:42bien spécifique.
25:43Ce qu'on appelle
25:44la prévention primaire,
25:45ça ne veut pas dire
25:46qu'il n'y a aucun problème,
25:47les cas,
25:48on ne peut juste
25:49prendre l'épi-prévenir,
25:50normalement,
25:51l'aspirine peut être
25:52sur place,
25:53après un certain
25:54nombre d'années,
25:55et ou qu'il y a
25:56certains dégâts
25:57causés par le diabète,
25:58ça veut dire
25:59qu'il a atteint
26:00de l'ISI,
26:01il a atteint de l'ERA,
26:02et même les autres
26:03qui sont atteints
26:04du diabète,
26:05là, éventuellement,
26:06on peut prendre l'aspirine
26:07en prévention primaire,
26:08c'est-à-dire avant même
26:09qu'il y ait un problème
26:10liqué, là.
26:11Mais sinon,
26:12si il y a un diabète
26:13ou il y a un problème
26:14liqué,
26:15normalement,
26:16l'aspirine n'est pas
26:17indiquée.
26:18Elle n'est pas indiquée
26:19parce que tous les médicaments
26:20ont un seul lot
26:21dans la vie
26:22d'un médecin.
26:23Alors, justement,
26:24autre question.
26:25On mentionne
26:26justement
26:27les facteurs
26:28de risque,
26:29les principales causes.
26:30Est-ce que,
26:31parfois,
26:32c'est capable
26:33d'arriver
26:34chez les enfants?
26:35Chez les enfants,
26:36c'est exceptionnel,
26:37mais ce n'est pas
26:38la même maladie.
26:39Ce n'est pas
26:40la maladie
26:41coronarienne
26:42comme chez l'adulte.
26:43La maladie
26:44coronarienne
26:45chez l'adulte,
26:46c'est ce qu'on appelle
26:47l'athérosclérose.
26:48En gros,
26:49c'est la maladie
26:50de la plaque
26:51cholestérol
26:52de l'hôpital.
26:53Et ça,
26:54ce n'est pas
26:55chez l'enfant.
26:56Donc,
26:57chez les enfants,
26:58quand il y a
26:59des problèmes,
27:00c'est la malformation
27:01congénitale.
27:02C'est la maladie
27:03de la maladie
27:04coronarienne.
27:05Ce n'est pas
27:06avec un défaut
27:07d'insertion
27:08de l'hôpital
27:09qui n'est pas
27:10placé correctement.
27:11Quand il y a
27:12ce trajet,
27:13il est coincé
27:14par les autres affaires,
27:15par les autres structures
27:16dans le thorax.
27:17Là,
27:18c'est complètement différent
27:19de la maladie
27:20de la plaque
27:21cholestérose.
27:22Donc,
27:23quand il y a
27:24des problèmes,
27:25c'est pas
27:26dans le thorax,
27:27c'est pas dans le thorax.
27:28Donc,
27:29ça est un problème
27:30qui est coincé
27:31par les autres affaires.
27:32C'est pas dans
27:33le thorax,
27:34ça n'est pas dans
27:35le thorax.
27:36Alors,
27:37c'est juste
27:38dans le thorax.
27:39Alors,
27:40j'ai une question
27:41qui me fait
27:42penser.
27:43Je n'ai pas d'exemple
27:44de cas
27:45de malheur.
27:46Alors,
27:47à mon avis,
27:48Mais mon réargué de docteur là, il m'a appelé 6 mois d'ici là.
27:53Et là, pour moi le médecin là, il est resté référent ici là.
27:56Parce que moi j'avais un problème dans les pieds là.
27:58Et ils ont enflammé les pieds là, ils ont enflammé.
28:01Ils ont enflammé. Bon, c'est difficile pour vous faire voir un diagnostic comme ça par téléphone, mais bon...
28:06Mon réargué de docteur là, il m'a expliqué toutes sortes d'affaires.
28:12Il m'a expliqué, il m'a dit, il y a une dizaine de soeurs du côté des pieds là qui ont enflé.
28:16Ils ont enflé chaque coup, après ils ont enflammé d'ici là.
28:42Après, il y a un autre problème.
28:46Comme moi, ça fait 8 mois qu'il y a.
28:48L'instant là, on va dire qu'il y a une route ouverte ou pas.
28:55Oui, mais parce que moi, moi seul, mon opérateur, il est là depuis deux ans là.
29:02C'est difficile pour vous faire un diagnostic comme ça par téléphone.
29:05Mais après, vous savez, quand on enlève la veine de l'un côté des pieds,
29:08c'est souvent un côté qu'on enlève, c'est rare qu'on enlève les deux côtés.
29:11Quand on enlève l'un côté, c'est un côté lippé.
29:13Quand on enlève la veine là, il est un petit peu plus fragile.
29:15Ça veut dire qu'il prend une tendance plus en fait, quand vous restez longtemps,
29:17les bouts d'eau aux pieds, quand vous marchez longuement, quand vous faites très chaud.
29:21Donc, les cas favorisent un enflément d'un seul côté, c'est-à-dire un côté qui contient la veine là.
29:26Et quand vous vous gonflez, rouge, il prend une tendance un petit peu enflammée, un peu rouge.
29:30Comment vous dire, il est enflammé.
29:32Là, il y a ma petite mesure de précaution que je vous apprends.
29:35C'est-à-dire, quand vous restez longtemps, sur les bouts d'eau aux pieds, en hauteur, en fin de journée,
29:39il faut désenfler les pieds là.
29:41Ou ça, vous faites un bain de pieds, vous mettez un sirop d'eau, vous prenez de l'eau fraîche.
29:44Pas de l'eau chaude, pas de l'eau tiède.
29:46De l'eau tiède, il prend une tendance aux pieds à enfler.
29:48Mais de l'eau fraîche, vous mettez là-dedans, il prend une tendance à désenfler les pieds,
29:50il faut soulager les pieds.
29:52Ça, c'est ma petite mesure qu'il faut faire pour soulager les pieds qui ont été enflés là.
29:55Et la dernière chose qu'il faut faire, c'est une chose qu'on appelle une chaussette de contention française,
30:00où on enlève la tête stocking, les bas, qui serrent les pieds là,
30:03pour qu'on puisse les enfler.
30:05Bon, ça, je ne suis même pas trop content, parce qu'on fait chaud.
30:08Il y a un peu plus chaud avec cette chaussette-là.
30:10Mais ça aide.
30:11Mais ça aide beaucoup.
30:12Donc ça, quand on fait ça avec un médecin,
30:14après, ce qu'il faut, c'est une chaussette là,
30:16mais tu lèves les pieds d'en haut.
30:18Il faut que là-haut au bassin, quand on va scisser,
30:20on met les pieds là-haut, plus haut qu'au bassin,
30:22il faut que l'eau revienne en arrière, descend là,
30:24dans l'avent, pour désenfler les pieds,
30:26et prendre ces eaux de l'eau fraîche, où les pieds sont là-dedans,
30:28pour désenfler les pieds, pour soulager un petit peu.
30:30Ok?
30:31Merci docteur, merci.
30:32Allez, ok.
30:33Merci docteur.
30:34Allez, nous faisons une pause,
30:35après, nous parlons de la dernière partie de l'émission.
30:53Une grande première.
30:54Vivez en temps réel.
30:55La première radio TV de Maurice.
30:59Découvrez notre studio,
31:01nos animateurs,
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31:06et l'info complète, factuelle et crédible.
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32:20Nous arrivons à la dernière partie de l'émission.
32:21Laisse-nous prendre le t'appel.
32:22Allô ?
32:23Allô ?
32:24Allô ?
32:25Oui, bonjour.
32:26Bonjour.
32:27Pamela ?
32:28Oui, oui.
32:29Est-ce que je peux écouter le docteur, s'il vous plaît ?
32:31Bien sûr, oui.
32:34Allez-y, allez-y.
32:35Allô, docteur ?
32:36Oui.
32:37Docteur ?
32:38Oui, oui, oui.
32:39Bonjour, docteur.
32:40Bonjour.
32:41Oui, je m'appelle Mahmoud.
32:42Moi, je m'appelle Mousse.
32:43Oui.
32:44Mon problème, c'est mon corps,
32:45mon corps cardiaque.
32:47Oui.
32:48D'accord.
32:53D'accord.
32:56D'accord.
33:01D'accord.
33:08D'accord.
33:18D'accord.
33:25D'accord.
33:42D'accord.
33:48Malheureusement, c'est soit médicament, soit stent, quand c'est possible, soit bypass, là aussi quand c'est possible.
33:56On ne voit pas beaucoup de détails sur la maladie.
34:00C'est le médecin qui fait en géographie.
34:02Si vous avez un rapport, vous pourrez en connaître plus en détail.
34:05Mais bon, il peut arriver qu'une maladie soit diffusée.
34:09C'est-à-dire, depuis le début jusqu'à la fin, les maladies rétrécissent.
34:13On ne peut pas mettre un stent depuis le début jusqu'à la fin, jusqu'à la fin.
34:17Quand il y a un bout de rétrécissement, on ne peut pas mettre un stent à cette place-là.
34:20Bon, on ne peut pas connaître, soit c'est ça que tu veux, soit c'est rétrécissement.
34:24Mais dis-moi, est-ce que 70% des médecins mettent stent ou pas?
34:27Par exemple, c'est fait bypass.
34:29Non, on ne peut pas le faire bypass.
34:31Oui, c'est ça, c'est qu'il n'y a pas besoin.
34:33Mais là, c'est difficile pour nous de donner une réponse concrète.
34:35Mais en tout cas, effectivement, ce que le docteur a dit, c'est qu'il pile.
34:38Ce n'est pas fait en partie pour le traitement.
34:41Non, on peut faire le traitement.
34:43Oui, on peut continuer le traitement.
34:45Mais Mahmoud, si jamais tu mettais ça, tu pensais que tu n'allais pas avoir besoin d'aller?
34:49Normalement, les maladies rétrécissent.
34:53Probablement, on ne peut pas mettre, soit pas besoin, soit ce n'est pas possible de le mettre.
34:57Mais dans tous les cas, les maladies rétrécissent.
35:00Très probablement, les maladies rétrécissent.
35:01L'hôpital rétrécisse, je pense.
35:03Et en tout cas, si les maladies rétrécissent, en tout cas, il faut prendre un traitement.
35:07Vous savez, parfois, quand on ne peut pas mettre ça, on ne peut pas faire ça, ça veut dire que c'est fini.
35:12Les médicaments font parfois aussi bien qu'on ne peut pas mettre ça dans certaines situations.
35:16Donc, les médicaments, c'est très, très important.
35:18Pareil, comment ça, Dimoune, tu t'es téléphoné juste avant ou là.
35:20Pareil, la même chose, tu arrêtes ce traitement et c'est là qu'il est dégradé.
35:24Les médicaments, c'est très important.
35:26Et parfois, les médicaments, quand le traitement Dimoune est maintenu pendant des années, des dizaines d'années, très bien.
35:32Ok, Mahmoud, alors, nous avons un dernier appel.
35:34Allô?
35:35Allô?
35:36Allô?
35:37Oui, bonjour.
35:38Bonjour, bonjour, docteur.
35:40Oui, bonjour.
35:41Oui, moi, je suis âgé, j'ai 77 ans.
35:45Maintenant, je peux appeler l'équerre.
35:47Je ne m'ouvre pas l'équerre, mais j'ai un petit douleur parfois.
35:53L'équerre, ce que je pense, c'est le côté gauche.
35:57J'ai un douleur sur l'équerre.
35:59J'ai un neveu qui a un trou sur l'équerre.
36:03J'ai un petit conseil pour vous.
36:07À l'époque, il y a longtemps, il y a encore 25 ans, sur l'équerre, il y avait un trou pour bousser.
36:17Et vraiment, quand il y a ce traitement, le docteur dit qu'il y a du corique.
36:22Oui.
36:23Est-ce qu'il pourrait recommencer?
36:25Oui.
36:26Après, il y a une maladie dans l'équerre qui désigne et qui nous boussait.
36:30Pour vous appeler, quand vous allez à l'hôpital, il y a une bonne explication avec tous les docteurs qui nous causent.
36:41Avec tous les docteurs présents, on peut faire un bon travail.
36:46Je vous félicite pour ça.
36:48Je vous félicite pour la radio-théopérème qui permet de faire un bon programme pour les gens qui sont malades.
36:57Tout le monde est malade.
36:59C'est ce côté médecine.
37:01Quand on veut un cadeau, c'est l'après-budget.
37:04Tu peux penser qu'à chaque fois, tu peux acheter une médecine à la pharmacie.
37:08Avant de l'acheter à la pharmacie, est-ce que la médecine peut te donner un pastel?
37:13Non, non, pas de pastel, monsieur.
37:16Pour ce neveu, vous pouvez me réviser son question.
37:19Le problème d'avoir des trous dans l'équerre, c'est une maladie différente.
37:24C'est une maladie que beaucoup d'enfants ont.
37:26Ils sont nés avec ça.
37:28Un neveu est né avec ce trou-là.
37:30Je ne vais pas faire le diagnostic.
37:32Parfois, on peut le faire dès l'enfance ou un peu plus tard.
37:36Mais ça, il est né avec ce trou-là.
37:38Ce trou-là n'est pas au niveau de l'équerre.
37:41Ce trou-là est au niveau de l'équerre.
37:44Avec le temps, quand l'enfant grandit, dans la grande majorité des cas, il finit par bouger naturellement.
37:52La nature fait bien les choses.
37:54L'équerre a une tendance à refermer ce trou-là.
37:57Parce que ce trou-là n'est pas supposé exister.
37:59C'est ce qui est arrivé très probablement au neveu.
38:01Ce trou-là finit par rebouger.
38:03Ce trou-là a un problème.
38:05Le trou dans l'équerre, c'est une maladie congénitale.
38:07Il ne revient pas quand il neveut.
38:09Une fois qu'il n'est pas bougé, il finit.
38:12Avec l'âge, l'équerre développe une attention.
38:16L'équerre a un cholestérol.
38:18Là, les autres maladies cardiaques du sujet âgé, ça veut dire que l'équerre a un problème en hauteur.
38:24Ça, c'est différent.
38:25Ce qui n'est pas causé par sa...
38:27Rien à voir avec ce problème qu'il tient quand il était petit là.
38:30Et quand je dis une bouchée, celui qui a une bouchée, ce n'est pas son manoir hauteur qui est bouché.
38:34C'est juste par rapport à ce que tu veux dire.
38:36C'est ce trou, cette cloison-là qui est bouchée.
38:39Ce manoir hauteur, probablement, il est correct là.
38:42Mais bien sûr, il faut faire attention à comment tout le monde s'occupe de ça.
38:45Est-ce qu'on a un dernier rappel?
38:47Non, alors peut-être un rappel, un conseil pour terminer, Docteur.
38:51Un rappel de mon conseil.
38:52Donc, en gros, pour faire un petit résumé, la maladie cardiovasculaire coronarienne est assez prépondérante au risque.
39:00On est à très haut risque.
39:01La population mauricienne, on est à risque.
39:03On est à risque un petit peu de nos problèmes génétiques, de nos mal-origines.
39:07On a beaucoup de diabète à Maurice.
39:10Cigarettes font beaucoup de dégâts dans la population mauricienne, surtout quand on est jeune.
39:15Donc, un petit rappel, c'est surtout pas de cigarettes quand on est jeune.
39:19Arrêter de cigaretter, c'est de ne pas commencer.
39:20Ce n'est pas facile, mais toujours bien essayer d'arrêter.
39:23Activité physique, très important.
39:26Essayer de trouver les temps.
39:27Essayer de relâcher les temps.
39:29Faire au moins des activités physiques au moins 30 minutes, 3 fois par semaine.
39:32Alimentation, c'est très important.
39:34Un repas équilibré avec fruits, légumes, compris dans l'alimentation.
39:39Essayer de diminuer les manifestations.
39:41Et voilà, de temps en temps, faire un petit check-up avec votre médecin.
39:46Quand vous êtes jeune, en bas 40 ans, il n'est pas obligé tous les ans.
39:49Il est carré tous les 2 ans.
39:50Faire un check-up.
39:51Check de tension.
39:52Faire une prise de sang.
39:53Check de cholestérol, diabète.
39:54Après, à partir de 40 ans, peut-être les besoins annuels.
39:57Et voilà, votre médecin pour guider vous.
40:00Pour s'il y en a quoi, que ce soit aller vous guider.
40:03Après, dans la prise en charge, traitement ou pas traitement.
40:05Ou parfois, juste un régime suffisant.
40:08Avant, commencer un traitement pour cholestérol ou pour diabète.
40:11Mais, faire un check-up, faire une suivi régulier.
40:13Alors, rapidement, un petit détroitement au cholestérol.
40:16Cholestérol, donc c'est quelque chose qui malheureusement, nous ne l'écoutons produire naturellement.
40:21Que des individus qui ne peuvent pas faire attention.
40:23Qui ne peuvent pas faire régime, ni faire excès.
40:25Qui mangent normalement.
40:26Un tiers apporté par l'alimentation.
40:28Deux tiers, c'est ceux des corps qui produisent.
40:30Donc, il ne faut pas faire attention à l'alimentation.
40:32Cholestérol, il vient uniquement dans tout ce qui est graisse d'origine animale.
40:36Il n'existe pas dans le rien végétal.
40:38Donc, dans les légumes, il n'existe pas de cholestérol.
40:40Dans l'huile végétale, par exemple.
40:42Pas dans le cholestérol.
40:43Pas ça veut dire que vous consommez en excès.
40:44Mais, pas dans le cholestérol.
40:46Donc, si vous faites attention, il ne faut pas se cuiser.
40:48Juste un tiers là.
40:51Donc, le maximum qu'il y a un taux de cholestérol très élevé.
40:53Malheureusement, il faut bien faire attention.
40:55Dans un premier temps.
40:56Mais malheureusement, s'il ne rentre pas dans les normes.
40:58Là, il faut prendre un médicament.
41:00Mais ça, c'est très très bien.
41:02En tout cas, merci beaucoup docteur.
41:04Et nous espérons retrouver vous pour le thème de radiologie.
41:08Avec plaisir.