Avec Marc Doyer, porte parole de Verity France
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00:00 Sud Radio André Bercoff.
00:02 Bercoff dans tous ses états, ça balance pas mal sur Sud Radio.
00:07 - Marc, vous voyez on vous a déjà reçu à plusieurs reprises et toujours avec plaisir.
00:11 On va rappeler très très très très rapidement évidemment parce qu'on en a parlé, vous continuez évidemment c'est un combat que vous avez mené
00:20 après la maladie terrible et la souffrance et la mort de votre épouse Morissette.
00:26 Et vous restez convaincu d'un lien de causalité entre la mort de Morissette et le vaccin anti-covid développé par
00:32 Pfizer, on en a parlé, les prix ont la maladie de Creutzfeldt-Jakob qu'elle n'avait jamais, dont elle n'avait jamais souffert.
00:38 Mais là il y a de nouveaux développements, ça on en a parlé, vous avez évoqué évidemment vos raisons,
00:44 grosse polémique là-dessus, mais là qu'est ce qui a fait que vous êtes convoqué le 12 mai prochain,
00:52 donc à quelques jours, à la gendarmerie de Clermont.
00:55 Je dis simplement ceci, je rappelle,
00:57 vous allez vous y rendre et vous dites "je n'ai même pas envie de pleurer, j'ai vécu des choses plus graves que ça"
01:02 et vous avez dans une vidéo, vous avez
01:06 évoqué et vous avez donné le numéro de téléphone de portable d'Olivier Véran,
01:12 alors ministre de la Santé et aujourd'hui porte-parole du gouvernement,
01:16 et donc c'est pour ça je pense qu'on vous convoque. Mais alors pourquoi vous avez fait ça Marc Doyer ?
01:21 Parce que je me bats avec les armes qu'on me laisse et puis parce que je considère qu'aujourd'hui dans mon pays
01:28 je suis devenu
01:31 presque un réfugié politique, apolitique dans mon pays uniquement parce que
01:36 j'essaie de chercher la vérité et puis parce qu'en fait
01:39 j'ai voulu aller dans le sens du parti présidentiel qui se veut être un parti participatif.
01:48 Donc j'ai trouvé plutôt bien de permettre aux gens de pouvoir poser leurs questions directement à Olivier Véran.
01:54 J'assume complètement mon acte, je trouve que c'est un acte
01:58 peut-être révolutionnaire, il en faut, c'est comme ça qu'aujourd'hui on est libre.
02:02 - Mais Marc c'est un numéro privé quand même, c'est pas...
02:04 Vous savez que si vous donnez le numéro de privé de quelqu'un, le numéro de portable, c'est un numéro privé, on peut vous dire "mais attendez, vous pouvez effectivement
02:10 attaquer Olivier Véran ou dire ce que vous avez envie de dire sans donner son numéro".
02:16 - Alors ça, à savoir si c'est un numéro privé, c'est des déclarations que je réserve à la gendarmerie vendredi.
02:23 Mais croyez-moi, il va y avoir des surprises justement à ce niveau-là.
02:26 Je rappellerai simplement, puisque ça m'a été reproché, ça aussi j'assume, c'est qu'à un moment donné dans mon parcours
02:32 j'ai cru dans les promesses de faire de la politique vraiment d'Emmanuel Macron et j'ai participé
02:39 en tant que membre du Bureau départemental En Marche de l'Oise.
02:44 - Donc vous imaginez bien que... - Vous étiez membre d'En Marche, vous étiez adhérent d'En Marche. - Bien sûr, oui, bien sûr.
02:50 Donc moi, encore une fois, je pense que je suis dans la continuité de ce que
02:56 Emmanuel Macron avait promis, c'est-à-dire de faire participer les gens, vous rappelez, la société civile à l'Assemblée Nationale, etc.
03:02 Je suis pas coupable si lui s'est
03:05 éloigné très très vite de ses promesses. Donc moi je m'instruis dans cette direction-là.
03:13 - Et donc vous dites, oui, transparence, vous aviez des choses... Alors qu'est-ce que vous avez exactement ?
03:19 On en avait déjà parlé. Qu'est-ce que vous reprochez
03:21 très précisément à Olivier Véran, au ministre de la Santé de l'époque, pas au porte-parole bien sûr ? - Alors je voudrais rappeler à vos auditeurs que
03:29 moi déjà, la première démarche que j'ai eue, puisque je l'ai dit tout à l'heure, il se trouvait que j'avais des relations
03:34 avec des membres d'En Marche, ça a été de demander de l'aide.
03:38 Et j'ai un SMS... - Au moment de la maladie de votre... - Au moment de la maladie, c'est-à-dire que quand on découvre la maladie de Maurice V,
03:44 je fais des recherches un peu partout et je m'aperçois qu'il peut y avoir peut-être des traitements quelque part dans le monde.
03:49 Mais pour certains traitements, il faut apparemment des autorisations, ça peut pas se faire comme ça. Donc j'en parle avec le neurologue,
03:55 et puis comme j'ai encore des relations
03:58 avec des gens proches d'En Marche, j'envoie un message et là je reçois un SMS que j'ai encore à disposition,
04:04 où on m'écrit "Olivier Véran s'en charge
04:08 personnellement".
04:10 On est un petit peu avant les législatives, on est sur une pathologie extrêmement grave où il faut aller vite,
04:15 Olivier Véran est neurologue, il le sait. Je laisse passer les jours,
04:19 une semaine ou deux, et là je découvre un jour Olivier Véran en train de faire la fête
04:24 avec les gens d'En Marche dans un meeting. Je me dis "bon il m'a oublié".
04:29 Je pose la question d'ailleurs, à partir du moment où j'ai fait appel à un médecin à ce moment-là, et que j'ai pas eu de réponse,
04:34 et ça je vais poser la question directement via mon avocat, est-ce que c'est pas de la non-assistance à personne en danger ?
04:39 À ce moment-là, voilà la démarche que j'ai eue. Vous savez j'ai toujours eu une démarche
04:42 "moi je respecte", j'ai toujours dit "je respecte mes institutions".
04:45 Je considère qu'aujourd'hui maintenant, les institutions ne me respectent plus.
04:50 Donc encore une fois, je me bats avec les armes qu'on me laisse, c'est-à-dire que
04:54 il y a à peu près un mois, vous voyez, le tribunal judiciaire de Paris a ordonné une expertise médicale pour le dossier de Morissette.
05:00 C'est pas anodin, parce qu'on n'obtient pas une expertise médicale comme ça pour vos yeux.
05:05 - Rapidement, oui. - Donc rapidement, ça coûte très cher, et
05:08 dans l'ordonnance,
05:11 ils ont
05:13 indiqué que compte tenu des éléments que j'avais fournis,
05:15 il pouvait être probable que l'origine de la maladie vienne du vaccin. Pour rebondir sur ce que tu as dit tout à l'heure,
05:21 c'est pas moi qui, d'un seul coup, qui ai dit "ma femme est décédée du vaccin".
05:25 C'est deux médecins qui l'ont suivi, et deux médecins qui l'ont suivi pendant huit mois.
05:30 - Et qui assument ce témoignage ? - Bien sûr qu'elles assument ce témoignage.
05:33 Il y a tout un tas d'éléments dans le dossier médical qui font que
05:37 elles pensent sincèrement que ça vient du vaccin. Donc j'ai plus confiance
05:42 dans mes deux médecins que dans Olivier Véran, quand il va par exemple à l'Assemblée nationale et qu'il dit "ça ne donnera jamais la maladie Crohn-St-Jacob",
05:49 alors que dans le rapport de l'OMA, le risque de la maladie Crohn-St-Jacob
05:53 concernant le vaccin Pfizer est évoqué. Donc ça veut dire que ce jour-là, il ment.
05:57 Et ça aussi, moi, j'ai porté plainte au Conseil de l'Ordre à ce sujet, et aujourd'hui on me répond par exemple que
06:03 à cause de son immunité, on ne peut pas retenir ma plainte. Je rappellerai simplement... - Sûreté ministérielle ?
06:10 - Oui, ou parlementaire. Je rappellerai simplement que
06:13 Martin Vonner, Alain Hooper ont été
06:16 sanctionnés par l'Ordre des médecins
06:19 alors qu'ils étaient aussi parlementaires. Donc est-ce qu'il y a deux poids, deux mesures ? Est-ce qu'il y a un traitement de faveur pour M. Véran ?
06:25 - Non mais vous êtes d'accord Marc ? Vous êtes d'accord quand même ? On n'a pas le preuve aujourd'hui,
06:30 on n'a pas la preuve du contraire. Bien sûr, vous le dites, que le vaccin est donné. Il y a encore eu des témoignages de ce sujet,
06:37 est donné de façon, je ne dirais même pas certaine, mais enfin plus que probable, la maladie Crohn-St-Jacob, pour le moment, ce n'est pas prouvé.
06:45 Vous êtes d'accord ? - Bien sûr que non, mais de toute façon, je n'ai jamais dit le contraire.
06:49 Simplement, ce que je voudrais vous rappeler, c'est que j'ai mis sur la table de nombreux témoignages
06:53 validés par des médecins. Des personnes ont développé la même maladie que M. Ressette, tous environ quinze jours après.
07:00 Une cinquantaine de témoignages, donc ce n'est pas anodin. Même le professeur Raoult,
07:05 à un moment donné, a dit à partir du moment où vous avez une maladie aussi rare, qui se développe après un nouveau vaccin,
07:10 il faut regarder. - Il faut regarder, d'accord. - Il y a le professeur Vélo qui a sorti plusieurs études.
07:18 J'invite vos auditeurs et puis peut-être le ministre de la Santé à en prendre connaissance, où il fait un lien entre
07:24 les vaccins et les maladies à prions,
07:28 dont le vaccin à Covid. Donc voilà, tout ce que je peux vous dire, c'est que moi dans le dossier médical,
07:33 il y a un certain nombre d'éléments, je le rabâche depuis des mois et des mois,
07:37 qui font penser que M. Ressette a développé une forme nouvelle de Crohn-St-Jacob, à tel point que,
07:42 d'ailleurs,
07:43 elle n'a pas eu un cheminement normal de la maladie telle qu'on la connaît, à tel point que quand on a suivi les recommandations
07:49 du professeur Luc Montagnier, qui lui aussi a été décrié,
07:53 le lendemain, elle allait mieux. Et vous savez, j'ai rencontré l'anesthésiste de M. Ressette,
07:59 qui lui a posé ce qu'on appelle des pipelines, c'est un système pour pouvoir la nourrir.
08:03 Il lui a posé deux fois. La première fois, il a pu à peine poser
08:07 l'élément, il pensait qu'il ne pourrait pas le faire, parce qu'elle était pleine de cloning, elle tremblait de partout, elle faisait des crises épilepsies.
08:13 La deuxième fois, six mois après, après avoir eu le traitement du professeur Luc Montagnier, elle était calme.
08:18 Il m'a dit la chose terrible, ça date d'une semaine, il m'a dit "dans toute ma carrière, je n'ai jamais vu ça", c'est-à-dire que dans ce type
08:24 de pathologie, qu'il puisse y avoir une amélioration.
08:27 Donc, il y a eu un problème avec ma femme. Alors,
08:30 je peux pas entendre tous les gens qui disent "oui, j'ai encore hier entendu un médecin qui disait "oui, mais ça a sauvé des millions de gens".
08:37 Bah écoutez, moi en tout cas, il semblerait que ça ait tué ma femme. - Alors non, ça effectivement, et vous avez...
08:43 c'est pour ça que vous... mais enfin, aujourd'hui, et malheureusement, ça ne fera pas revenir Morissette, vous vous battez
08:50 pourquoi surtout aujourd'hui ? Quelle est la principale raison de votre combat, puisque vous continuez, vous êtes là et vous dites "moi je peux pas laisser
08:59 effectivement ce qui s'est passé, ce drame passer,
09:02 comme ça, moi, il faut que j'ai..." C'est quoi ? Vous voulez, en fait, vous battez pour la vérité,
09:07 et on l'aura peut-être un jour, et il faut espérer qu'on l'ait un jour, sur un lien ou pas de lien entre les vaccins et le
09:14 prion, et la maladie Creutzfeldt-Jakob, ou vous battez pour dire
09:18 "on
09:20 cache les choses, on ne veut pas que les choses avancent". Quel est votre sens de votre combat aujourd'hui,
09:25 Marc Boye ? - Je crois que vous avez tout dit dans votre question. Je me bats d'abord parce que je suis pas seul,
09:29 derrière moi il y a Verity France,
09:31 avec plein de familles de victimes, des familles de victimes qui n'ont pas forcément eu la chance que j'ai eu de s'aider, de pouvoir être
09:37 médiatisé et de m'exprimer, et tous les jours je vois leur détresse.
09:40 Je me bats pour les médecins que j'ai encore croisés à l'Assemblée nationale la semaine dernière, quand l'abrogation de la loi a été votée,
09:47 et qui étaient en pleurs. C'est-à-dire que j'ai vu des adultes,
09:50 c'est pas des enfants, ce sont des adultes pour certains qui ont eu de l'expérience, qui ont passé leur vie à sauver des vies,
09:57 et qui pleuraient tout simplement parce qu'on venait de leur rendre un petit peu de dignité.
10:00 Je me bats parce que mon fils, encore hier, me disait "papa je suis pas bien, je vais aller voir un psychologue, je dors pas la nuit,
10:07 ils ont ils ont flingué ma vie".
10:10 Je me bats parce que
10:12 parce que ma petite fille,
10:13 à un moment donné il faudra que je lui dise pourquoi elle n'a pas sa grand-mère auprès d'elle.
10:16 Je me bats parce qu'on nous a volé 20 ans de notre vie, et je me bats parce qu'on me méprise, et parce qu'on
10:22 méprise les familles.
10:24 Voilà, je pourrais encore rajouter plein de choses. - Mais en fait,
10:28 et donc pour vous aujourd'hui, par exemple le fait que
10:32 je sais que vous avez réservé vos réponses à la gendarmerie, Marc Doyer, mais vous en voulez quand même
10:39 spécifiquement Olivier Véran, là en l'occurrence.
10:41 Non ? - Bah écoutez...
10:44 - Parce qu'Olivier Véran, on pourrait dire, je sais pas comment le défendre, mais on pourrait dire "oui bon il a dit ce qu'il a dit,
10:53 il n'est pas responsable de cet état de fait", ou pour vous "oui il est responsable".
10:57 - Mais bien sûr que si, bien sûr que si qu'il est responsable, à partir du moment
11:01 où il est ministre de la Santé, qu'il décide de mettre en place un certain nombre de choses,
11:06 surtout aujourd'hui, je pense que vos auditeurs ont un petit peu aussi leur propre réponse.
11:11 Il y a eu un reportage il y a quelques jours, je crois sur France 2,
11:14 où on entend la personne qui a négocié les vaccins nous dire "bah finalement on n'a pas demandé,
11:19 voilà, on n'a pas demandé aux labos d'être responsables parce que les vaccins, il n'y avait pas assez de recul sur les vaccins".
11:27 C'est bien Olivier Véran qui à un moment donné a dit "tous vaccinés, tous protégés".
11:31 Encore une fois, c'est bien Olivier Véran qui, par exemple,
11:35 m'empêche de m'exprimer quand je suis invité
11:39 dans un face-à-face
11:42 chez Hanouna, alors qu'on m'a prévenu 15 jours à l'avance,
11:45 et que comme par hasard, 48 heures, alors que les équipes me disent "on a très très envie de vous avoir avec nous",
11:50 j'apprends que c'est, alors pas Olivier Véran directement, mais on sait quand même que ça fonctionne comme ça,
11:55 les politiques vont savoir ce que je dis la vérité, c'est le cabinet du ministre qui a fait pression.
12:01 Voilà, donc moi je
12:04 je ne lui en veux pas
12:07 personnellement, physiquement, mais je veux,
12:09 j'en veux à l'homme qui a pris des décisions qui n'étaient pas bonnes aujourd'hui, je pense que quand même,
12:14 voilà, les gens sont vaccinés, ils tombent quand même malades, et puis surtout, j'en veux
12:19 à l'ensemble de cet exécutif, de ce parti politique qui méprise
12:25 les victimes, voilà.
12:28 - Et juste un mot, un dernier mot, Marc Toyer, vous avez été en contact avec François Braun, le nouveau ministre de la santé,
12:35 ou son cabinet, ou pas du tout, vous n'allez pas chercher à en avoir ?
12:38 - Non non, pas du tout, jamais de contact, mais ces gens-là se contentent en fait d'agir en sous-marin,
12:43 là il y a deux jours il y avait un article affreux, c'est-à-dire que vous savez, il y a quinze jours,
12:48 j'ai par exemple, j'ai envoyé à l'AFP, j'ai envoyé à tous les médias
12:51 l'ordonnance
12:54 judiciaire.
12:55 Je m'attendais à ce qu'il y ait un retour, aucun retour. Là, vous avez les médias qui maintenant commencent à parler de mon affaire parce que
13:01 j'ai donné le numéro de portable d'Olivier Véran. Je vous rassure tout de suite, il ne va pas en mourir.
13:05 Donc vous avez le parisien là qui titre, il y a deux jours,
13:12 une figure anti-vax, Marc Doyer.
13:15 Je suis vacciné depuis ma plus tendre enfance, et si je suis là devant vous aujourd'hui, c'est parce que je suis vacciné.
13:21 Je commence à me poser de sérieuses questions et quand,
13:23 cerise sur le gâteau quand même,
13:26 quand je demande à la journaliste qui l'a signé pourquoi elle a mis une figure anti-vax, elle s'excuse, elle me dit
13:31 "c'est pas de mon fait".
13:33 - Oui. - Voilà.
13:36 Donc c'est quoi cette presse, c'est quoi cette politique, c'est quoi ce pays ?
13:40 Je vais dire, moi je... voilà, je vais continuer de me battre, je suis pas l'ennemi de la France, j'ai déjà dit, mais je vais
13:45 continuer de me battre pour la vérité.
13:46 Et croyez-moi, j'ai des témoignages tous les jours qui m'arrivent, des gens qui me contactent même de l'OMS,
13:50 parce qu'il y a des gens qui n'osent pas parler.
13:53 Et j'espère que cette ordonnance judiciaire va permettre à des médecins, j'invite d'ailleurs
13:59 tous ceux qui veulent le faire. - Cette expertise, oui. - Cette expertise, ça va permettre à des médecins, à mes médecins, de pouvoir
14:05 parler sous la protection de la justice, parce qu'un juge a décidé que dans mon dossier il fallait regarder, voilà.
14:11 - Et juste, elle aura lieu quand cette expertise ? Elle a commencé ou elle...
14:15 - Alors là, on a reçu avec mon avocat l'ordonnance, maintenant la prochaine étape c'est que je vais être convoqué par l'expert qui a été
14:21 désigné
14:23 responsable, et puis après, ben voilà, ça va mettre du temps, mais j'ai le temps.
14:26 - Vous avez le temps, et on aura le temps de vous écouter encore, Marc Noyer, merci. - Merci à vous, merci.