A suivre dans notre Hardtalk sur Top FM ce mercredi Budget 2024/2025 : Quelles mesures courageuses pour faire face aux défis de l’avenir ? Comment assurer un avenir durable loin des clameurs électoralistes et politiciennes. C’est la tâche difficile qu’attends la population du prochain grand oral de ministre des Finances. Cela implique des mesures courageuses qui auront des effets macroéconomiques pour le pays. Quelles seront les moteurs de la croissance ou les nouveaux piliers économiques ? Toutes ces questions seront abordées lors du Hardtalk ce mercredi. Jimmy Jean-Louis réunit : (i) Amar Deerpalsingh, Président de la Fédération des Petites et Moyennes Entreprises. (ii) Suraj Mannick, expert-comptable. A suivre d’autres interventions dont : (a) Geerish Bucktowonsingh, ancien président de la MACOSS et activiste sociale très engagé au sein de plusieurs ONGs. (b) Daniel Saramandif, Consultant International et Président de l’Association des Professionnels du Tourisme Vos questions sur le 213 7777, 213 7777. Emission à suivre également sur Facebook et nos plateformes TopFM Mauritius et TopTV Mauritius mais aussi sur TopFM Live TV TopFM Live TV Comment faire: Téléchargez notre application "Top Fm Radio " sur l'App Store ou TOPFM MAURITIUS sur Google Play Store
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NewsTranscription
00:00:30euh, la population euh, au
00:01:00l'entreprise et également sur
00:01:04un expert comptable qui dirige
00:01:05un cabinet d'experts comptables
00:01:06et nous poursuivre euh,
00:01:10intervention de ancien
00:01:12président de la et activiste
00:01:14sociale très engagée au sein de
00:01:15plusieurs ONG également Daniel
00:01:18Sarramondi, consultant
00:01:19international et président de
00:01:20l'association des professionnels
00:01:22du tourisme. Comme chaque
00:01:23semaine, au téléphone nous, le
00:01:25deux cent treize soixante-
00:01:26dix-sept soixante-dix-sept,
00:01:27émission à suivre également sur
00:01:28Téléjournal France et l'ONU
00:01:31bonne plateforme, Top FM
00:01:33Mauritius, Top TV Mauritius,
00:01:34mais aussi sur Top FM, Top FM
00:01:37Live TV, Top FM Live TV,
00:01:38justement, comment faire?
00:01:39Télécharge-nous application Top
00:01:42FM Radio sur l'app store ou Top
00:01:44FM Mauritius sur Google Play
00:01:46Store et bien sûr, euh, aux
00:01:47capables suivent-nous. Chers
00:01:48invités, bon après-midi.
00:01:51Oui, donc nous vécons un
00:01:53contexte euh, particulier pour
00:01:55le budget vingt-vingt-quatre
00:01:56qui part de Paris comme les
00:01:58l'année là je peux dire qu'il
00:02:02peut faire dans un contexte
00:02:03électoraliste et qui peut causer
00:02:05ce matin même les journaux
00:02:06peuvent causer dernier virage
00:02:07avant les élections. Est-ce
00:02:08qu'il a présenté pour dominer
00:02:11les impératifs économiques à
00:02:14Moldéval-Singh. Ouais, euh,
00:02:18très poche qui dit que c'est
00:02:19le dernier budget pour sa
00:02:21mandala du gouvernement donc
00:02:23pas d'ailleurs euh, le ministre
00:02:25qui présente ce dernier budget
00:02:28et me penser qui euh, pendant
00:02:31qu'il est fini de ministre
00:02:33ces quatre dernières années,
00:02:34il est fini un petit peu
00:02:36bousculé dans ce dans ce
00:02:38fonction, étant donné qu'il
00:02:39vient de faire face à la
00:02:40COVID, de fermeture des
00:02:42frontières, etc., etc. Et
00:02:44ben, le secteur a bien
00:02:45souffert, qui m'a, toute
00:02:46l'entreprise a bien souffert
00:02:47pendant cette période-là. Il
00:02:49y en a beaucoup, ben le
00:02:50secteur, heureusement, avec
00:02:52soutien euh, du gouvernement
00:02:55récits, rebondir, d'ailleurs,
00:02:58en ce moment-ci,
00:03:01etc.
00:03:04dans le secteur du tourisme
00:03:07euh, euh, bien rebondir, mais
00:03:09il y en a un secteur encore en
00:03:10souffrance. Donc euh, et ça
00:03:12m'a un secteur-là, si euh,
00:03:15nous pas faire n'a rien et
00:03:16qui nous laisse ni comme
00:03:17alliété, malheureusement, nous
00:03:18pouvons dire que ça m'a un
00:03:19secteur-là, surtout parce
00:03:21qu'il y a un secteur qui est
00:03:23en grande déficience, il y en
00:03:25a très peu d'investissement
00:03:27dans dans le secteur
00:03:28productif à Maurice et nous
00:03:29peut augmenter nos
00:03:30dépendances par rapport à
00:03:32l'importation et nous peut
00:03:33aussi malheureusement euh, à
00:03:35travers la copréférentielle
00:03:37avec ben de grands pays, nous
00:03:38peut au lieu qui nous peut
00:03:40protéger de l'industrie, nous
00:03:41peut encourager encore plus
00:03:43l'importation, des vices peut
00:03:45y en a dans la banque, taux de
00:03:47change peut augmenter, etc.,
00:03:50donc le pouvoir d'achat peut
00:03:51augmenter. Donc, il y a
00:03:52beaucoup de problèmes
00:03:54structurels, il y en a beaucoup
00:03:55de problèmes qu'il faut régler
00:03:57pour qu'ils nous caractérisent
00:03:59euh, l'avenir d'une façon
00:04:01beaucoup plus euh, sereine et
00:04:05je pense que c'est le budget
00:04:08qui nous peut attendre pour
00:04:11qu'ils puissent avoir au moins
00:04:12euh, de nous un lieu d'espoir
00:04:14qui c'est un secteur pour
00:04:16pouvoir euh, éventuellement
00:04:18répondre parce qu'aujourd'hui
00:04:20il y a des produits tels
00:04:22qu'il y était, des fines
00:04:24nettement regressées, des
00:04:25squelettés avant euh,
00:04:28l'avènement des COVID euh, que
00:04:30ce soit en termes de nombre
00:04:32d'emplois qui est engagé dans
00:04:34ce secteur-là ou même les
00:04:36autres contributions dans le
00:04:37PIB. La retournement vers ou
00:04:40quel regard porter l'eau, sa
00:04:42première question du PDG là,
00:04:43est-ce que RealPolitics peut
00:04:45devenir les impératifs
00:04:46économiques et surtout sa
00:04:47contexte spéciale d'un année
00:04:50Jean-Louis et bonjour à tous
00:04:53les auditeurs top FM qui
00:04:55écoutent nous et bonjour à
00:04:57tous les auditeurs euh, qui
00:04:59peuvent suivre nous live le
00:05:01Facebook et les réseaux
00:05:03sociaux. Bon euh, nous vous
00:05:06inquiétez qui dans les qui
00:05:08contexte qui le budget est
00:05:10présenté donc on connaît que
00:05:12c'est le dernier budget du
00:05:13gouvernement et sa budget-là
00:05:16en même temps populiste, en
00:05:18même temps électoraliste parce
00:05:21que le rappel bien, l'autre
00:05:23côté, si cherchant l'économie
00:05:25après les pandémies, après la
00:05:27guerre, la Russie, l'Ukraine
00:05:29qui finit impactée dans euh,
00:05:31nos pays assez considérablement
00:05:34donc euh, mon pensée qui euh,
00:05:38malgré tout ça va être problème
00:05:40euh, international qui finit
00:05:42faire face à nos pays euh, les
00:05:45travail d'arrache-pied et finit
00:05:47amène ben euh, ben chiffre euh,
00:05:49les taux de croissance même
00:05:51quand nous voyons que depuis
00:05:53deux-mille-vingt-un, vingt-deux
00:05:55euh, sept-huit pour cent, les
00:05:57taux de croissance euh, finit
00:05:59euh, à sept-point-un pour cent
00:06:01et puis euh, à cinq pour cent
00:06:03estimé de cette année-ci à la
00:06:05fin du mille-vingt-quatre, les
00:06:07taux de l'inflation euh, quand
00:06:09nous pouvons dans les environ
00:06:11des huit pour cent en
00:06:14dix pour cent en dix-mille-
00:06:16vingt-deux, dix-point-huit pour
00:06:18cent, toute l'inflation euh,
00:06:20qu'il ne se peut faire face,
00:06:22suite à ça en dix-mille-vingt-
00:06:24trois avec ben euh, mesures
00:06:26politiques euh, monétaires,
00:06:28fiscales, etc., donc euh, ça
00:06:30finit ramène-nous en euh,
00:06:32l'inflation à euh, cinq-point-
00:06:34cinq pour cent d'ici deux-mille-
00:06:36vingt-quatre et euh, l'indicateur
00:06:38économique qui nous quittait,
00:06:40nous, déficit fiscal, ça aussi,
00:06:42dix-point-six pour cent et ça
00:06:44a une régressive, six-point-un
00:06:46pour cent en dix-mille-vingt-
00:06:48deux, cinq-point-quatre pour
00:06:50cent en dix-mille-vingt-trois
00:06:52et maintenant, on peut expecter
00:06:54quatre-point-sept pour cent,
00:06:56déficit fiscal, donc, on me
00:06:58pensez qui euh, quand nous
00:07:00quittent ça, les trois
00:07:02indicateurs économiques là, les
00:07:04ministres de finance euh,
00:07:06ensemble qui peut travailler
00:07:08avec les premiers ministres,
00:07:11pendant les derniers, trois
00:07:13derniers années-là, après
00:07:15COVID et bien sûr, est-ce qu'il
00:07:17est pour affecter euh, les
00:07:19impératifs économiques euh,
00:07:21bon, c'est pour une bonne
00:07:23dose des bonnes euh, des
00:07:25bonnes euh, projets qui peut
00:07:27qui pour finir, disons,
00:07:29disons,
00:07:31ou euh,
00:07:33etc.
00:07:35définitivement mais en même
00:07:37temps, il est pour euh,
00:07:39pour une bonne dose, euh,
00:07:41des mélanges euh, dans la
00:07:43prochaine vie qui peut venir.
00:07:45D'accord. Il y a un un un
00:07:47quelque chose très important
00:07:49le défilant c'est une cause
00:07:51qui euh, l'accent pour le
00:07:53revalorisation du capital
00:07:55humain et réduction des
00:07:57inégalités. Ouki, on comprend
00:07:59pas ça. Ouais, moi, ce qui me
00:08:01comprend, c'est que euh,
00:08:03pour une répartition plus
00:08:05équitable euh, de la richesse
00:08:07ça veut dire euh, plus
00:08:09gâteau national pour augmenter
00:08:11et plus euh, le
00:08:13gouvernement pour pour une
00:08:15une euh, équilibre
00:08:17équilibrage par rapport
00:08:19à distribution ça
00:08:21ça assure plus de
00:08:23de. Du gâteau. Du gâteau
00:08:25qui pour éventuellement il y en a par
00:08:27rapport à la croissance. Mais de l'autre
00:08:29côté, c'est que c'est aussi
00:08:31bizarre qu'on ait qui
00:08:33limite
00:08:35au départ aussi qui
00:08:37euh, à un moment donné et dans
00:08:39sa répartition-là et
00:08:41il fait d'une façon
00:08:43très responsable. Par exemple
00:08:45euh, quand on augmente le
00:08:47salaire minimum euh,
00:08:49nous finit aussi créer
00:08:51beaucoup de déséquilibre au sein
00:08:53de l'entreprise et surtout qu'il
00:08:55doit pas nous faire dire comme à Bézinfère, nous le faire dire
00:08:57au pied levé parce qu'il finit de
00:08:59gagner une question d'emportement, etc. par
00:09:01rapport à quatorzième mois, etc.
00:09:03Donc, euh, vous pensez
00:09:05qu'il fait sa redistribution
00:09:07là, c'est une bonne chose,
00:09:09mais qu'il m'aille faire dire aussi
00:09:11il est très important. Dans le sens
00:09:13qu'aujourd'hui, mon indicateur
00:09:15a démontré clairement qu'il nous gagne
00:09:17en augmentation de salaire sans
00:09:19aucun gain dans la productivité.
00:09:21Et qu'il nous paye, il en a
00:09:23aujourd'hui et tout le secteur
00:09:25qui dépend
00:09:27euh, de
00:09:29le capital humain d'une façon intensive
00:09:31Et malheureusement,
00:09:33c'est là qu'on voit le bazar où
00:09:35on retrouve avec un panier ménager
00:09:37qui coûte quatre, cinq fois plus cher
00:09:39qu'il le c'était. Donc, à la fin de la
00:09:41journée, bien qu'il y ait un
00:09:43bon l'équilibre pour qu'il démarre comme à dire
00:09:45euh, euh,
00:09:47qu'il n'y a pas besoin de manger tout frigorifié dans Maurice.
00:09:49C'est ça fait
00:09:51revalorisation du capital humain là
00:09:53et réduction des inégalités qui ne prenaient pas
00:09:55le ministre des Finances qui nous cause ça
00:09:57semaine dernière, dimanche, à la une
00:09:59euh, qui
00:10:01euh,
00:10:03Manik.
00:10:07Récemment
00:10:09des Boston Consulting Group
00:10:11finit de montrer qu'il y en a un lien
00:10:13bien faux entre les
00:10:15résultats
00:10:17opérationnels dans l'entreprise
00:10:19et les salariés. Donc,
00:10:21les salariés sont des personnes
00:10:23qui, très très importants sont
00:10:25en cœur dans l'entreprise.
00:10:27qu'il soit dans l'entreprise publique ou publique.
00:10:33Les salariés sont les plus épanouis.
00:10:37Cet épanouissement est un vecteur de productivité.
00:10:42Ils sont motivés et fidèles à leur entreprise si ils gagnent un salaire.
00:10:48Si les gouvernements amènent aujourd'hui un minimum salaire de 12 575 à 15 000 € à partir de janvier 2024,
00:11:01et qu'ils donnent chaque salarié 10 % de compensation à partir de janvier 2024,
00:11:09le total est de 16 500 € par mois pour un salarié dans l'île Maurice.
00:11:15Ce n'est pas dans ce secteur.
00:11:18Cette décision est une décision honorable, respectueuse, qui montre la dignité de son travail.
00:11:30Pour rappel, à l'époque, l'augmentation du salaire que l'on peut gagner dans Maurice,
00:11:36190 € de compensation, 210 €, 300 € par an,
00:11:42à un certain moment, je ne critique aucun gouvernement,
00:11:46je ne viens pas pour défendre le gouvernement ou l'opposition,
00:11:50mais pour réaliser qu'à un certain moment,
00:11:53quelqu'un peut gagner 10 000 € de salaire par mois.
00:11:56Est-ce qu'il est capable de dire qu'il peut gagner 2 500 € par mois ?
00:12:03Aujourd'hui, même un salarié peut dire avec la tête haute qu'il peut gagner 18 500 € par mois.
00:12:14Le gouvernement donne ce respect.
00:12:17C'est-à-dire qu'il travaille avec beaucoup d'assurance,
00:12:21alors il donne sa valeur.
00:12:24C'est tellement important quand le ministre peut dire qu'il valorise la capitale humaine.
00:12:32Le gouvernement fait cela, et possiblement dans le futur, il pourra continuer à le faire,
00:12:38mais c'est très important pour donner sa valeur.
00:12:41Sans un climat, une relation, une bonne condition de travail,
00:12:47un bon salaire, c'est pratiquement difficile pour nous.
00:12:54Donc, je pense que c'est un thème très important.
00:13:00Je pense que le ministre des Finances doit prendre cela en considération.
00:13:04Il doit amener un bon équilibre, une bonne culture de travail,
00:13:11dans toute l'entreprise, que ce soit privée ou publique.
00:13:16C'est ce que je dirais.
00:13:19Mais il y a une autre chose.
00:13:21Il y a beaucoup de gens qui combattent la perte du pouvoir d'achat.
00:13:24C'est très important.
00:13:25L'inflation, la dépréciation de l'arrivée.
00:13:28Ils combattent tous ces problèmes.
00:13:31L'inflation, la dépréciation de l'arrivée.
00:13:33Mais comment pouvons-nous faire face à cela?
00:13:35On l'a dit ce matin.
00:13:37On l'a dit dans les journaux.
00:13:40On trouve que le frais est augmenté de 146% ces derniers jours.
00:13:45Peut-être qu'il y a un facteur externe qui est incontrôlable.
00:13:52Qu'est-ce qu'on doit faire, d'après vous?
00:13:54Quel est le problème?
00:13:57Dans certains pays, on a des billets de 10 000, 100 000, 200 000.
00:14:03Je ne crois pas qu'on gagne 100 000.
00:14:06On gagne beaucoup moins.
00:14:08C'est ce qu'on a acheté.
00:14:10Je vais vous dire qu'il n'y a pas longtemps,
00:14:14de l'autre, c'est 37 roublions.
00:14:1632 roublions.
00:14:18Aujourd'hui, c'est 47 roublions.
00:14:20Bientôt, c'est 50 roublions.
00:14:22D'ailleurs, c'est le bon prix.
00:14:24Le frais peut augmenter.
00:14:28Tout cela a un facteur multipliant.
00:14:30Parce que tous ceux qui rentrent dans Maurice,
00:14:32qui payent toutes les charges à la douane,
00:14:36le CIFF, le Cost of Goods,
00:14:39avec ce frais.
00:14:41Donc, pour le gouvernement, c'est un Winful Gains.
00:14:44Dans le sens que,
00:14:46un produit qui coûte 1 rouble avec ce frais,
00:14:50qui coûte 15%,
00:14:52aujourd'hui, il coûte 1 rouble 10, il coûte 15%.
00:14:54Le gouvernement ne fait rien.
00:14:56Ce frais-là est augmenté.
00:14:58Ce n'est pas qu'il y a une raison ou une autre.
00:15:01C'est incontrôlable à Maurice.
00:15:03Et là aussi, le monde passe à 45%
00:15:05par rapport à ce qu'il était.
00:15:07Pendant la Covid, il était même
00:15:09600-700%.
00:15:11Tout cela a une raison.
00:15:13On rentre dans la caisse gouvernement.
00:15:15Moi, à un moment donné, je propose
00:15:17qu'on mette un cap sur le frais.
00:15:19C'est-à-dire qu'un conteneur rentre dans la douane
00:15:21par rapport à une destination, à une origine
00:15:23qu'il est sorti, et que le gouvernement mette un cap.
00:15:25Avant, c'était 950$.
00:15:27À un moment donné, c'est 7000$.
00:15:29Nous devons être d'accord avec le CIFF
00:15:31pour pouvoir contrôler l'inflation.
00:15:33Aujourd'hui, qu'est-ce qui est arrivé?
00:15:35Nous devons travailler
00:15:37beaucoup plus, nous devons employer
00:15:39beaucoup plus, pour qu'ils nous comprennent
00:15:41qu'ils sont dans la boutique, dans le bazar,
00:15:43ils doivent nourrir leur famille,
00:15:45ils doivent payer leurs frais, l'électricité, etc.
00:15:47Et tout peut augmenter.
00:15:49Et qu'est-ce qui fait qu'il augmente?
00:15:51C'est ça la bonne question.
00:15:53C'est parce qu'il y a une dévaluation
00:15:55continue
00:15:57des nouveaux pays
00:15:59par rapport à la devise principale
00:16:01qu'ils nous utilisaient pour faire
00:16:03une majorité de l'importation de l'or,
00:16:05d'euros, etc.
00:16:07Le coût de tous nos transports
00:16:09qui dépensent le coût
00:16:11de l'énergie, donc le coût du diesel
00:16:13et de l'essence, il continue d'augmenter.
00:16:15Le coût de l'électricité, que ce soit
00:16:17à l'usine ou bien
00:16:19au domestique, il continue d'augmenter.
00:16:21Mais quand tout augmente,
00:16:23comment nous employer
00:16:25pour pouvoir faire face à cette situation-là?
00:16:27Et qu'est-ce qui fait qu'il augmente?
00:16:29Qui est-ce qui est responsable?
00:16:31Est-ce que l'entreprise est responsable
00:16:33parce qu'elle a fait une augmentation? Non.
00:16:35Ce n'est pas l'entreprise qui est responsable.
00:16:37C'est la Banque des Maurices qui supposait
00:16:39sa première mission,
00:16:41c'est de contrôler
00:16:43l'inflation. Donc, pour moi,
00:16:45mal contrôlée.
00:16:47Donc, qu'est-ce qui fait qu'aujourd'hui,
00:16:49l'entreprise puise
00:16:51beaucoup plus
00:16:53en termes de masse salariale, représente
00:16:55plus à la fin du mois. Ce qui est arrivé
00:16:57aujourd'hui,
00:16:59ce qui nous a produit
00:17:01à la fin de la journée,
00:17:03retourne à un prix beaucoup plus élevé,
00:17:05ce qui fait que nous
00:17:07perdons notre compétitivité,
00:17:09que ce soit sur le marché local
00:17:11ou bien sur le marché international.
00:17:13Et d'ailleurs,
00:17:15nous l'exportons en nette
00:17:17régression. Donc, notre déficit
00:17:19commercial peut
00:17:21continuer d'augmenter. Est-ce qu'il y a de bonnes
00:17:23affaires pour lui? Est-ce qu'il est soutenable
00:17:25dans l'avenir? Est-ce qu'il nous peut envoyer
00:17:27un bon signal? C'est ça le problème.
00:17:29Est-ce qu'il ne va pas nous perdre tout de même l'entreprise
00:17:31qui peut produire à Maurices?
00:17:33C'est ça la bonne question.
00:17:35Maintenant, pose toute la question qu'il nous
00:17:37fait face pendant la COVID, ou même
00:17:39aujourd'hui nous peut faire face
00:17:41quand nous gagnons certains pays, mettre des restrictions
00:17:43sur l'exportation d'endroits alimentaires.
00:17:45Donc,
00:17:47d'endroits
00:17:49élémentaires, essentiels
00:17:51pour le pays. Est-ce qu'il ne peut pas
00:17:53nous mettre tout cela à risque
00:17:55parce qu'il ne peut envier
00:17:57satisfaire
00:17:59les besoins politiques
00:18:01ou les
00:18:03gains politiques, juste pour faire croire
00:18:05que les gens peuvent gagner plus
00:18:07beaucoup d'argent, qu'ils vont devenir plus riches, ou bien
00:18:09ils vont vivre plus bien. La bonne question
00:18:11aujourd'hui, moi je connais certains
00:18:13quartiers, par exemple, où les gens
00:18:15de la classe moyenne ne sont pas
00:18:17capables d'acheter un bout de terrain pour construire une maison.
00:18:19Par exemple, moi j'ai un enfant,
00:18:21j'ai aussi une aspiration de construire
00:18:23une maison pour acheter un bout de terrain, est-ce qu'il peut
00:18:25acheter? C'est ça
00:18:27qu'il nous fait poser. Aujourd'hui,
00:18:29il est capable d'être un professionnel, gagner X
00:18:31dans leurs ans, mais moi je me connais, comme
00:18:33dans la banque, il n'est pas éligible pour gagner
00:18:354 pour acheter un petit appartement.
00:18:37C'est ça la vérité aujourd'hui.
00:18:39Serge Manick, alors
00:18:41cette question de combattre
00:18:43la perte du pouvoir d'achat, l'inflation
00:18:45et la dépréciation de l'Europe, comment
00:18:47est-ce qu'il y a un facteur
00:18:49externe en contre là,
00:18:51avec sa frais de 246% qui est augmentée?
00:18:53Nous sommes d'accord que
00:18:55la majorité des gens
00:18:57sont importés,
00:18:59la majorité,
00:19:01comme nous l'avons dit,
00:19:03l'essence, le diesel,
00:19:05les produits alimentaires,
00:19:07la majorité, 70%
00:19:09sont importés. Alors quand on peut
00:19:11importer, on paye en delà, la majorité de l'argent
00:19:13peut aller, et l'exploitation
00:19:15est beaucoup moins.
00:19:17Alors de ce fait, nous sommes
00:19:19un pays net à l'importation.
00:19:21Notre dépendance à l'importation est
00:19:23beaucoup. Qu'est-ce qui nous fait
00:19:25si
00:19:27les produits, là-bas même,
00:19:29à source, peuvent monter?
00:19:31Et peuvent monter, nous savons qu'il y a
00:19:33des raisons qui peuvent monter, la cause,
00:19:35il y a la Russie-Ukraine,
00:19:37il y a l'impact de la COVID-19, etc.
00:19:39La cause, c'est que les produits
00:19:41à source même, peuvent monter.
00:19:43Alors l'endroit où nous contrôlons
00:19:45une grande partie de l'importation,
00:19:47l'endroit où nous contrôlons,
00:19:49nous n'avons pas
00:19:51aucune mémise là-dessus.
00:19:53Donc, ici,
00:19:55à Maurice, nous avons la banque
00:19:57de Maurice, je pensais qu'il y avait
00:19:59un débat, même dans le budget,
00:20:01c'est une
00:20:03façon que les ministres
00:20:05doivent intervenir
00:20:07avec la politique
00:20:09monétaire et fiscale, pour
00:20:11amener une stabilité
00:20:13de la Russie, pour arrêter
00:20:15la dépréciation. Maintenant,
00:20:17pour venir
00:20:19diminuer un petit peu
00:20:21la dépendance
00:20:23de l'importation, je pensais
00:20:25que nous devions commencer à mettre l'emphase
00:20:27dans l'agriculture, parce que l'agriculture
00:20:29est vraiment ignorée
00:20:31considérablement
00:20:33à l'île Maurice.
00:20:35Alors, moi, pour faire
00:20:37une proposition au ministre des Finances,
00:20:39il faut un budget
00:20:41assez conséquent pour l'agriculture.
00:20:43Il y a beaucoup de jeunes,
00:20:45beaucoup de nouvelles idées,
00:20:47hydroponique, hydroforming, etc.
00:20:49Pour nous, il n'est pas nécessaire
00:20:51que la jeunesse
00:20:53s'éloigne, qu'elle prenne une pièce
00:20:55et qu'elle pioche dans le soleil
00:20:57ou quoi.
00:20:59Exactement, il y a beaucoup
00:21:01de différentes façons de faire.
00:21:03Il n'est pas nécessaire
00:21:05que les jeunes
00:21:07travaillent sous le soleil.
00:21:09Non, pas du tout.
00:21:11Il y a beaucoup de façons de faire.
00:21:13Je pensais que
00:21:15si le ministre venait avec un bon budget
00:21:17sur l'agriculture,
00:21:19il allait
00:21:21s'éloigner
00:21:23dans l'île Maurice,
00:21:25venait avec un schéma.
00:21:27Déjà, il y a un schéma au niveau de la banque
00:21:29de DBM ou SME
00:21:31de Mauritius, et
00:21:33nous serions en lien
00:21:35avec les autres niveaux,
00:21:37avec le discount rate.
00:21:39Nous pouvons diminuer
00:21:41les dépendances, pas à 100%,
00:21:43mais en grande majorité, nous pouvons diminuer
00:21:45la dépendance. Et ça peut amener
00:21:47un petit peu de soulagement
00:21:49de la consommation domestique.
00:21:51Voilà, nous piquons le budget
00:21:532024-2025, qui mesure
00:21:55courageuse, bien fait. Nous sommes à Mordier-Palsing
00:21:57avec Sourad Joumanic, qui est déjà
00:21:59sur le plateau. Nous manquons de pauses.
00:22:01La suite, c'est juste après.
00:22:05Hard talk, hard talk.
00:22:35Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org
00:23:05Abonnez-vous !
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00:25:36La Banque de Maurice.
00:25:41Hard talk, hard talk.
00:25:48Voilà, 213 77 77, 213 77 77,
00:25:53le numéro que vous pouvez faire pour causer avec nous
00:25:55les invités d'un hard talk tout à l'heure.
00:25:57Nous sommes à Mordier-Palsing, président de la Fédération
00:25:59des petites et moyennes entreprises.
00:26:01L'expert comptable Sourad Joumanic qui est avec nous
00:26:03nous fait causer une mesure courageuse qui visait
00:26:05dans le budget 2024-2025.
00:26:08Et un homme qui nous trouve tout bon économiste,
00:26:12tout bon du monde fait causer.
00:26:14Je m'appelle Eric Knieg qui nous cause l'OLA
00:26:17et qui a également l'opinion d'analyse.
00:26:21Il fait causer cette question de ce qu'il appelle
00:26:24la dette publique et le servicing of the debt.
00:26:27Peut-être, Sourad, si tu l'as démarré, l'OLA,
00:26:30qui reste un gros problème.
00:26:32Il y a beaucoup de gens qui disent que la dette est trop
00:26:34beaucoup parce qu'elle a un chiffre de 532 milliards.
00:26:36Mais il y a des gens qui disent que c'est la qualité
00:26:38de la dette qui ne fait qu'avec la dette, le développement
00:26:40infrastructurale, etc.
00:26:41Qu'est-ce que vous pensez?
00:26:42Qu'est-ce que vous pouvez nous dire sur le budget
00:26:44par rapport à l'issue de la dette publique?
00:26:48La dette publique arrive à 530 milliards cette année-ci.
00:26:53Historiquement, ça a évolué pendant 3-4 dernières années.
00:26:59Avant la COVID, la dette n'était pas si élevée.
00:27:02Elle est environ à 273 milliards.
00:27:05Pendant la COVID, le gouvernement n'a pas fait le choix
00:27:10pour venir avec beaucoup de schémes,
00:27:13comme le Scheme d'assistance à l'économie,
00:27:15le Scheme d'assistance à l'emploi,
00:27:17pour aider tous les salariés,
00:27:21les entrepreneurs et tous les entreprises à mourir.
00:27:27Si vous n'êtes pas en aide aux entreprises,
00:27:31vous pourriez imaginer des catastrophes
00:27:35pour beaucoup d'entreprises aujourd'hui.
00:27:39Alors, le gouvernement, à ce moment-là,
00:27:43n'a pas fait les choix pour venir soutenir
00:27:47toutes ces entreprises, toutes ces personnes-là,
00:27:49parce qu'ils se rappellent bien,
00:27:50à partir du confinement du 18 mars 2020
00:27:54jusqu'à le 29 mai 2020,
00:27:583 mois 2020, 3 mois 2021.
00:28:00Donc, personne ne travaille,
00:28:02tout le monde est confiné à la maison.
00:28:04Donc, pour gagner de l'argent,
00:28:06pour rouler la maison,
00:28:08ou prendre l'exemple des parents,
00:28:10s'ils n'avaient pas de travail,
00:28:11ils pourraient gagner de l'argent.
00:28:12Donc, c'est assez clair qu'ils pourraient gagner de l'argent.
00:28:15Et puis, dans le compte Savings,
00:28:17ils ont gardé le nom de leur maman,
00:28:20ou le nom de leur madame,
00:28:21ou le nom de leurs enfants.
00:28:23Alors, le gouvernement a fait un choix
00:28:25pour prendre un petit peu avec la Banque des Maurices,
00:28:29pour prendre un petit peu l'endettement,
00:28:31pour venir soutenir ce peuple.
00:28:33Et nous avons trouvé qu'après la COVID qui est passée,
00:28:38notre dette a graduellement augmenté
00:28:43à 18 %,
00:28:45et là, il y a 100 % de notre PIB, de notre GDP.
00:28:50Et l'année dernière,
00:28:52on a pris en considération
00:28:55l'aspect important
00:28:57qui est la dette publique
00:28:59pour diminuer,
00:29:01pour arriver à 79 %.
00:29:04Et là, on a trouvé
00:29:06qu'on n'a pas réussi à atteindre cet objectif-là.
00:29:09Moi, je pense que le gouvernement,
00:29:12les ministres des Finances,
00:29:13ont donné des priorités
00:29:15pour diminuer cette dette publique.
00:29:18Et là, bien sûr, à travers toutes les croissances,
00:29:22nous n'avons aucune alternative,
00:29:26à part travailler, travailler et travailler,
00:29:30et amener les gâteaux,
00:29:32grandir les gâteaux,
00:29:33et puis, en même temps,
00:29:36faire une juste partage avec le peuple,
00:29:39et en même temps, nous payer cette dette-là.
00:29:42Nous n'avons pas dit qu'on allait l'amener à 79 à 175 millions,
00:29:45mais qu'on allait, au moins,
00:29:47venir à 400,
00:29:49au-dessus des 400 milliards.
00:29:52Donc, c'est une démonstration
00:29:55qui, moi, comme un expert comptable,
00:29:57m'a souhaité que la dette publique
00:29:59diminue dans ce sens-là.
00:30:01Amandé Balsing ?
00:30:03Nous nous affectons,
00:30:05d'une autre façon,
00:30:07dans l'entreprise,
00:30:09c'est qu'à chaque fois que le gouvernement
00:30:12prend l'empreinte sur le marché,
00:30:14surtout interne,
00:30:16beaucoup d'empreintes sont faites
00:30:18sur le marché local.
00:30:20Donc, ils mettent une pression
00:30:22sur le marché,
00:30:24et surtout par rapport à sa capacité,
00:30:26à travers la Banque de Maurice,
00:30:28le gouvernement Burns, etc., etc.
00:30:30Donc, ce qui fait qu'aujourd'hui,
00:30:32nous retournons dans une situation
00:30:34à cause, par rapport à
00:30:36d'autres facteurs aussi,
00:30:39externes de l'île Maurice,
00:30:41que nous retournons aujourd'hui
00:30:43à un coût financier
00:30:45à l'intérêt de l'entreprise,
00:30:47à travers les empreintes
00:30:49que toute l'entreprise a,
00:30:51les overdrafts, le leasing, etc.,
00:30:53ce qui fait qu'aujourd'hui,
00:30:55nous payons un taux d'intérêt
00:30:57et des frais bancaires énormes.
00:31:01Il ne faut pas oublier aussi
00:31:03que pendant la COVID,
00:31:05quand le gouvernement a détourné
00:31:07l'entreprise à Maurice,
00:31:09pour la suite,
00:31:11il y a eu beaucoup d'entreprises
00:31:13qui ont réussi à survivre
00:31:15grâce à l'aide du gouvernement,
00:31:17à travers les empreintes
00:31:19que le gouvernement a facilité
00:31:21pour gagner pour être capables
00:31:23d'assurer leur survie,
00:31:25mais il n'y a pas fait une cadeau.
00:31:27Aujourd'hui, ces empreintes-là
00:31:29doivent retourner,
00:31:31et ces empreintes-là,
00:31:33même si des fois,
00:31:35elles ont un taux d'intérêt bonifié,
00:31:37ils sont capables de continuer
00:31:39à respirer, pour la mauvaise cause,
00:31:41par rapport au PME.
00:31:43Dans Maurice, il y a un
00:31:45SME Financing Scheme
00:31:47qui a été mis en place en 2011.
00:31:49À cause du PME,
00:31:51tu payes un taux d'intérêt
00:31:53moins élevé
00:31:55que les autres empreintes
00:31:57parce que le gouvernement
00:31:59peut soutenir le secteur
00:32:01à travers une garantie bancaire.
00:32:03Et cette garantie bancaire a fait
00:32:05qu'aujourd'hui, les PME doivent
00:32:07emprunter directement
00:32:09à la banque,
00:32:11au taux que la banque dicte aux autres.
00:32:13La banque le connaît à Maurice,
00:32:15elle considère ce secteur PME
00:32:17comme un secteur à risque,
00:32:19ce qui fait qu'aujourd'hui, les PME
00:32:21payent un taux d'intérêt beaucoup plus
00:32:23que les entreprises,
00:32:25les conglomérats.
00:32:27Dans ces conditions-là,
00:32:29les coûts financiers sont énormes
00:32:31pour soutenir,
00:32:33ce qui fait qu'aujourd'hui,
00:32:35les PME sont dans une grosse difficulté
00:32:37pour pouvoir
00:32:39rembourser leurs dettes.
00:32:41Et si le gouvernement
00:32:43continue avec
00:32:45son appétit
00:32:47pour continuer à emprunter
00:32:49sur le marché local,
00:32:51c'est-à-dire mettre une pression financière
00:32:53sur le marché local,
00:32:55et comme vous le connaissez, nous n'avons pas
00:32:57le fonds NPF,
00:32:59ce qui fait qu'il y a une masse monétaire
00:33:01qui répartit dans la banque,
00:33:03aujourd'hui dans la banque,
00:33:05pour avoir le choix d'emprunter
00:33:07les PME ou les conglomérats.
00:33:09Et nous savons que c'est dans la banque
00:33:11qu'il faut faire.
00:33:13Donc, l'accès même aux finances
00:33:15peut être difficile.
00:33:17Voilà. Nous avons Guirish Bokhtawansing
00:33:19qui est avec nous au téléphone.
00:33:21Guirish Bokhtawansing,
00:33:23ancien président de la MACOS
00:33:25et activiste social très engagé
00:33:27au sein de plusieurs ONG.
00:33:29Bon après-midi.
00:33:31Bon après-midi à tout le monde.
00:33:33Donc, comment le citoyen lambda,
00:33:35comment les ONG
00:33:37trouvent le prochain
00:33:39grand oral du ministre des Finances,
00:33:41et qui ou où peut-on attendre de cela
00:33:43en pouvant ONG?
00:33:45Écoute, si nous parlons de perspectives
00:33:47de la société civile,
00:33:49nous ne trouvons pas de livres comme ça.
00:33:51Tous les ans, il y a beaucoup de consultations
00:33:53dans les ONG, il y en a dans le budget
00:33:55social, il y a des livres présentés,
00:33:57probablement, nous faisons des livres
00:33:59de cette perspective-là.
00:34:01Aujourd'hui, quelle évolution est-ce qu'on peut faire
00:34:03pour penser plus grand?
00:34:05ONG, est-ce qu'on peut penser au développement
00:34:07du secteur civique à Maurice?
00:34:09Le pays développe un secteur civique,
00:34:11mais sans doute,
00:34:13bien sûr, réunis autour de cela,
00:34:15ONG, fondation,
00:34:17advocacy group,
00:34:19professional association,
00:34:21et tout cela, quand on y fait,
00:34:23il y a un troisième secteur,
00:34:25c'est moi qui appelle le secteur civique.
00:34:27ONG, ce rôle n'est pas capable
00:34:29d'effacer, il n'est pas obligé de se combattre
00:34:31pour les élèves, c'est lui qui commence,
00:34:33c'est la garage, il y a des gens qui viennent à Chida,
00:34:35ou encore la protection de l'environnement,
00:34:37il y a un autre rôle.
00:34:39Mais quand nous pouvons nous réorganiser,
00:34:41et c'est ça l'inférieur, quand nous pouvons nous réorganiser
00:34:43en société civique,
00:34:45et à ce moment-là,
00:34:47demain, ils sont capables aussi de contribuer
00:34:49dans l'identité, ils sont capables aussi de créer
00:34:51l'emploi, mais c'est cet écosystème-là
00:34:53qu'ils ont créé. Cet écosystème-là
00:34:55demande un amendement dans la législation,
00:34:57parce qu'aujourd'hui,
00:34:59le challenge peut changer,
00:35:01le challenge est différent,
00:35:03les gens volontaires, oui,
00:35:05mais nous n'allons plus dans la direction
00:35:07volontaire professionnelle qu'on appelle
00:35:09les professionnels volontaires, et nous allons
00:35:11mettre l'emphase sur un secteur, comme vous avez dit,
00:35:13le secteur civique. C'est le secteur
00:35:15non-for-profit, le secteur qui ne peut pas
00:35:17payer de dividendes, le secteur qui
00:35:19réinvestit tout dans l'organisation,
00:35:21et c'est le secteur qui ajoute un rôle
00:35:23important dans sa gamme qui est là,
00:35:25entre secteur public et secteur privé.
00:35:27Le secteur public,
00:35:29il gagne du public, il gagne de la politique,
00:35:31le secteur privé, il produit
00:35:33des richesses,
00:35:35il crée l'emploi,
00:35:37mais le secteur civique, il a
00:35:39un rôle spécial, de
00:35:41fulfil comme une goutte. C'est ce secteur-là
00:35:43qui m'a fait penser, qui nous a
00:35:45pensé de l'avant comment nous développer,
00:35:47nous donner un encadrement à ça,
00:35:49et cet encadrement-là,
00:35:51pour contribuer,
00:35:53une nouvelle société, une entreprise,
00:35:55bien beau, mais comment nous créer une société
00:35:57encore plus juste, plus sustainable,
00:35:59et comment
00:36:01cette société civique-là, il a beaucoup de rôles
00:36:03qu'il est capable d'obtenir,
00:36:05d'encourager
00:36:07le gouvernement, de décider
00:36:09de la politique qu'il faut,
00:36:11d'avoir des balances,
00:36:13comme Watchdog, donc ça c'est mon
00:36:15record, parce qu'aujourd'hui,
00:36:17nous sommes assez dispersés dans
00:36:19plusieurs places, différents
00:36:21registres d'associations, fondations, etc.,
00:36:23et à ce moment, je suis un
00:36:25partenaire fouli avec
00:36:27le gouvernement, avec le secteur privé,
00:36:29dans une seule mission,
00:36:31soutenir les développements.
00:36:33Mais est-ce qu'au niveau de Bano-NG,
00:36:35il y a une réflexion dans sa sens,
00:36:37dans lequel vous pensez que ça amène
00:36:39sa professionnalisation-là?
00:36:41Est-ce qu'il y a des ateliers de travail?
00:36:43Oui, mais il y a beaucoup d'ateliers de travail,
00:36:45vous savez, le registre d'associations
00:36:47maintenant, on finit dans
00:36:49un feu
00:36:51Rosalie Domaine, qui commençait
00:36:53l'étude à l'époque, avec
00:36:55le financement de l'UNDP,
00:36:57moi-même étant le président de la Marcos,
00:36:59ça nous amène beaucoup de réflexions,
00:37:01mais tout ceci amène, vous savez,
00:37:03quand on fait cause d'un changement, une transformation,
00:37:05il n'est pas venu du jour au lendemain,
00:37:07il demande encore plus de consultations,
00:37:09et c'est un truc où on va nous organiser
00:37:11à Maurice, nous focus,
00:37:13nos perceptions,
00:37:15on nous regarde au ONG, n'oubliez pas
00:37:17ce rôle important qu'il y a,
00:37:19ne pas réaliser, qu'il y a un ingrédient
00:37:21important dans le développement
00:37:23économique d'un pays, ok?
00:37:25Donc oui, il y a énormément de réflexions,
00:37:27il y a énormément d'articles, il y a énormément de papers,
00:37:29dans le passé, depuis
00:37:31les derniers dix ans, les derniers vingt ans.
00:37:33Et comment vous trouvez l'avenir
00:37:35d'un ONG à Maurice, s'il
00:37:37ne parle pas dans sa direction de l'UPD alors?
00:37:39Non, l'ONG, ce rôle, moi, je ne
00:37:41l'ai pas effacé. L'ONG n'a pas oublié
00:37:43de jouer un rôle côté des services
00:37:45publics arrêtés,
00:37:47ok? L'ONG, dans ce rôle
00:37:49d'accompagnement, je vais donner un exemple simple,
00:37:51les enfants en discipline,
00:37:53quand ils n'ont pas récemment passé,
00:37:55ils sont dans un garage avec l'ONG.
00:37:57Et là, je salue les mamans qui
00:37:59finissent de montrer beaucoup de preuves de courage
00:38:01et qui ne finissent pas d'abandonner leurs enfants.
00:38:03Mais nous devons vivre à un
00:38:05autre niveau maintenant.
00:38:07Comment nous faisons-nous encore plus user-friendly?
00:38:09Ok? Qu'il soit
00:38:11malvoyant,
00:38:13que ce soit dans le combat de l'environnement,
00:38:15Maurice est dans un combat
00:38:17de la sustainabilité. Nous sommes
00:38:19dans un petit état insidieux.
00:38:21Si ce gouvernement n'est pas capable,
00:38:23nous devons être tous ensemble, gouvernement,
00:38:25public, privé, ensemble dans cette mission-là,
00:38:27qu'on peut dire SDGs,
00:38:29nous dire ce qu'il faut fixer là.
00:38:31C'est dans la collaboration
00:38:33que nous devons faire,
00:38:35comme des partenaires constructifs, bien sûr.
00:38:37Grich, Dr. Wansing,
00:38:39merci beaucoup pour toutes ces informations.
00:38:41C'est moi qui vous remercie,
00:38:43Jimmy. Voilà, nous continuons avec
00:38:45le débat. Mon corps Grich, il n'importe ce pire
00:38:47à l'édifice, dedans, par rapport à
00:38:49son intervention. Ce qui, beaucoup
00:38:51de monde aussi demandait, donc,
00:38:53à mes invités, donc,
00:38:55quel est le nouveau pilier qui est capable d'une bonne
00:38:57mouture de la croissance à long terme?
00:38:59Peut-être sur Adjuanik?
00:39:01Oui, moi,
00:39:03moi, j'ai pensé
00:39:05côté technologie,
00:39:07artificial intelligence,
00:39:09AI, c'est un des
00:39:11secteurs que nous devons avancer
00:39:13beaucoup, beaucoup. C'est assez vaste,
00:39:15bien dynamique.
00:39:17Le monde peut évoluer avec
00:39:19digitalisation, avec
00:39:21tout l'aspect
00:39:23des technologies.
00:39:25Aujourd'hui, si nous pouvons prendre, nous pouvons faire
00:39:27l'agriculture, l'agriculture, nous pouvons mélanger
00:39:29avec la technologie. Nous devons
00:39:31dire aux jeunes qui peuvent travailler,
00:39:33ils peuvent venir avec la technologie.
00:39:35Simple exemple, moi-même, personnellement,
00:39:37j'ai un client qui
00:39:39travaille, une jeune mademoiselle qui
00:39:41travaille, qui quitte l'université,
00:39:43il fait
00:39:45un graphic designer. Avec ce graphic designer,
00:39:47il fait des jolis produits,
00:39:49il fait des
00:39:51brochures pour
00:39:53des compagnies, des produits
00:39:55pour des compagnies. Donc,
00:39:57nous trouvons qu'il y a beaucoup, beaucoup de scopes
00:39:59dans ce domaine-là. Alors,
00:40:01c'est un des
00:40:03piliers qui
00:40:05est très recommandé,
00:40:07que le ministre des Finances
00:40:09prend en considération.
00:40:11Deuxièmement, nous venons avec
00:40:13l'économie bleue. Nous connaissons qu'en lancé un gouvernement,
00:40:15nous venons avec l'économie bleue.
00:40:17C'est un vaste sentier
00:40:19où nous avons
00:40:21une zone économique exclusive
00:40:23qui couvrait
00:40:252,3 millions de kilomètres
00:40:27carrés.
00:40:29Un continental
00:40:31de 396 milles
00:40:33qui co-giraient par
00:40:35les Seychelles et le Maurice.
00:40:37Donc, à mon avis,
00:40:39nous avons un vaste
00:40:41sentier qui peut nous atteindre.
00:40:43Il est pratiquement impossible
00:40:45que Maurice ne puisse pas importer
00:40:47des poissons et des fruits de mer pour
00:40:49donner à nos populations de manger quand nous sommes
00:40:51entourés par la mer.
00:40:53Alors, pas seulement
00:40:55les fruits de mer ou les poissons,
00:40:57mais il y a un secteur
00:40:59pour les touristes.
00:41:01Alors, nous avons des touristes à Cocotier,
00:41:03nous avons du sea-walking, nous avons du sky-clipping,
00:41:05nous avons toute une panoplie
00:41:07de services qui nous permettent
00:41:09de donner à nos clients touristiques,
00:41:11pas seulement à nos clients touristiques, mais
00:41:13à nos peuples, nous permettant d'avoir
00:41:15cette facilité-là. Alors,
00:41:17l'économie bleue nous donne beaucoup,
00:41:19beaucoup d'opportunités. C'est un vaste
00:41:21sentier qui nous a développé.
00:41:23C'est une des meilleures
00:41:25qui, je pense, le ministre a mis en place
00:41:27et nous avons commencé à
00:41:29développer. Je pense que
00:41:31c'est un des
00:41:33mouvements dans cette direction-là, mais pas
00:41:35dans l'exploitation.
00:41:37Nous connaissons le bien-être pour l'exploitation,
00:41:39mais nous devons commencer quelque part.
00:41:41Il y a l'énergie renouvelable,
00:41:43il y a l'économie verte,
00:41:45il y a la sécurité alimentaire,
00:41:47comme je l'ai mentionné,
00:41:49l'agriculture,
00:41:51nous devons donner l'importance
00:41:53capitale, nous devons
00:41:55donner de la chance à toutes
00:41:57les personnes qui, dans l'agriculture,
00:41:59ré-engagent,
00:42:01ré-influencent,
00:42:03pour pouvoir
00:42:05exploiter ce terrain.
00:42:07Nous ne pouvons pas dormir,
00:42:09nous ne pouvons pas amener de grandes récoltes,
00:42:11nous ne pouvons pas planter nos légumes. Aujourd'hui,
00:42:13les pommes de terre, nous les avons importées.
00:42:15Nous avons tout ce terrain
00:42:17dans le sud ou dans le plateau
00:42:19central qui ne peut pas être
00:42:21exploité.
00:42:25Si nous exploitons
00:42:27ces trois ou quatre filières,
00:42:29c'est un grand
00:42:31avancé de notre pays.
00:42:33Amman,
00:42:35quel est le bon filier
00:42:37pour amener une moteur solide de la croissance?
00:42:39Moi, j'ai une lecture un peu différente
00:42:41de ce que nous avons fait à Maurice.
00:42:43Je ne pense pas
00:42:45qu'il y ait
00:42:47assez de ressources humaines pour
00:42:49amener l'économie bleue,
00:42:51par exemple.
00:42:53Dans le sens
00:42:55qu'aujourd'hui, nous avons
00:42:57l'espace maritime,
00:42:59l'exploitation pour 25 millions d'euros
00:43:01à l'Union Européenne.
00:43:03Pour moi, c'est un pécadille.
00:43:05Donc, depuis
00:43:07la nuit des temps,
00:43:09nous n'avons pas pu faire l'exploitation
00:43:11qui n'est capable de faire de ces
00:43:13ressources naturelles qu'il y a là.
00:43:15Et nous savons que, par exemple,
00:43:17dans un pays plus petit que nous,
00:43:19avec moins de ressources
00:43:21et moins de
00:43:23personnes
00:43:25que nous, peut-être,
00:43:27nous aurions pu
00:43:29aider un pays étranger
00:43:31pour qu'ils puissent
00:43:33faire l'exploitation qu'ils veulent faire.
00:43:35Une bonne cause, par exemple,
00:43:37c'est le Seychelles, qui est un vrai loin
00:43:39de la pêche. Et à Maurice,
00:43:41je crois que depuis
00:43:43que j'ai fait le tour de Francvaron
00:43:45pour la pêche, nous n'avons pas fait
00:43:47aucun développement depuis la nuit des temps.
00:43:49Nous avons une vraie école de formation
00:43:51pour les pêcheurs
00:43:53à Maurice.
00:43:55Nous n'avons pas fait la pêche dans le lagon,
00:43:57nous avons fait la pêche professionnelle.
00:43:59Nous n'avons pas demandé à un pays
00:44:01pour qu'il nous aide
00:44:03pour aller dans cette direction-là. Parce qu'il y a beaucoup
00:44:05de pays qui ont fait
00:44:07des avancées technologiques
00:44:09incroyables. Nous avons fait
00:44:11au Japon, etc., à l'Union Européenne,
00:44:13à l'Union Nordique, etc.
00:44:15Ça nous donne un gros potentiel,
00:44:17malheureusement, qui n'a pas été fait
00:44:19jusqu'à aujourd'hui.
00:44:21Deuxième affaire, le smart agriculture.
00:44:23Aujourd'hui, nous sommes capables
00:44:25de faire
00:44:27l'agriculture
00:44:29d'une façon beaucoup plus intelligente.
00:44:31Par exemple,
00:44:33c'est l'IAI, qui n'a pas besoin
00:44:35de mettre un système d'irrigation
00:44:37quand la pluie peut tomber,
00:44:39ou les mêmes décalculations, quand le poids rosé
00:44:41comme il a besoin d'être, comme ce dosage,
00:44:43ce fertilisation,
00:44:45tout ce qu'il a besoin de faire, et qui, en plus,
00:44:47ne doit pas mourir.
00:44:49Moi, je crois fermement
00:44:51que ce qu'on peut manger aujourd'hui
00:44:53permet un résultat.
00:44:55Ce qu'on peut gagner aujourd'hui, c'est-à-dire
00:44:57une population malade, c'est-à-dire une population
00:44:59avec un taux
00:45:01de diabète
00:45:03le plus élevé au monde,
00:45:05cardiovasculaire le plus élevé au monde.
00:45:07Maintenant, le cancer vient
00:45:09de terriblement affecter
00:45:11presque toute la famille de Maurice,
00:45:13et ça peut continuer.
00:45:15Donc, je pense que si on peut
00:45:17au moins faire des efforts
00:45:19dans la direction de développer
00:45:21cette pilière de small agriculture
00:45:23pour, au moins, avoir une population
00:45:25en bonne santé,
00:45:27peu importe ce que ça peut coûter,
00:45:29je pense qu'il ne peut pas faillir.
00:45:31C'est un de nos devoirs pour les générations à venir.
00:45:33Parce qu'aujourd'hui,
00:45:35les gens du monde
00:45:37très, très jeunes atteignent
00:45:39que ce soit des problèmes
00:45:41cardiaques, que ce soit le diabète,
00:45:43que ce soit le cancer.
00:45:45Et pour moi, c'est un drame national
00:45:47qui est atteint.
00:45:49Et du coup, si nous faisons ça, nous pouvons atteindre
00:45:51deux buts. Un, une population
00:45:53en bonne santé, et deuxièmement,
00:45:55nous pouvons économiser beaucoup de vies et nous pouvons
00:45:57assurer une sécurité alimentaire
00:45:59à l'intérieur. Troisième affaire
00:46:01qu'ils ne peuvent pas faire,
00:46:03c'est qu'aujourd'hui,
00:46:05il y a l'exode
00:46:07des compétences à Maurice.
00:46:09C'est-à-dire qu'imaginez-vous
00:46:11quand un enfant est né
00:46:13avec l'état de providence que nous tous connaissons,
00:46:15possiblement qu'il est né dans l'hôpital,
00:46:17qu'un docteur l'ait,
00:46:19qu'il est allé dans l'école publique,
00:46:21que la population paye sur l'éducation
00:46:23jusqu'à ce qu'il termine sur l'étude.
00:46:25Et là, un pays
00:46:27étranger qui n'a pas investi
00:46:29rien dans ces enfants-là,
00:46:31qui a des gens bien formés, et très souvent,
00:46:33des gens
00:46:35qui font partie un peu de l'élite,
00:46:37pas nécessairement,
00:46:39mais beaucoup qui font partie de l'élite
00:46:41dans un pays étranger.
00:46:43Ils sont là-bas et ils travaillent
00:46:45dans l'intérêt de ce pays
00:46:47qui n'a pas investi
00:46:49rien dans les enfants.
00:46:51Donc, je pensais que c'était
00:46:53un drame
00:46:55parce qu'un pays
00:46:57n'est pas capable de progresser
00:46:59si tous ces gens,
00:47:01si la majorité de ces jeunes,
00:47:03compétents, professionnels,
00:47:05ne sont pas là. Nous trouvons ça dans le passé.
00:47:07Dans les autres pays, quand ils sont là,
00:47:09ce pays-là est écroulé.
00:47:11Donc, moi, je pensais que c'était extrêmement important
00:47:13qu'ils aient le plaisir
00:47:15d'être dans le budget.
00:47:17Et même s'ils finissent à l'élite,
00:47:19aujourd'hui, nous avons
00:47:21l'incentive pour dire
00:47:23à nos vieux, aux gens qui retirent dans un pays étranger
00:47:25qu'ils ne passent pas leur rétirement de Maurice,
00:47:27ou bien, nous donnons l'incentive
00:47:29pour dire aux professionnels étrangers
00:47:31qu'ils sont capables d'acheter la case,
00:47:33d'acheter ceci, d'investir dans l'immobilier,
00:47:35qu'ils travaillent comme professionnels.
00:47:37Ils sont même capables d'arriver avec un visa touriste
00:47:39après faire des morts, leur permis de travail, etc.
00:47:41Mais qu'est-ce qu'ils nous peuvent faire
00:47:43pour qu'ils nous demandent,
00:47:45dans notre diaspora,
00:47:47qui n'acquérit autant de compétences
00:47:49et c'est nos mêmes citoyens,
00:47:51qu'est-ce qu'ils nous peuvent faire pour dire aux autres
00:47:53de retourner à Maurice et de contribuer à l'économie?
00:47:55Mais c'est ce que je pensais.
00:47:57Je pense qu'ils ont un gros, gros potentiel
00:47:59et je suis à tous ceux qui ont beaucoup d'expérience
00:48:01et qui travaillent à l'étranger
00:48:03qu'ils sont capables de contribuer énormément
00:48:05à l'économie mauricienne.
00:48:07C'est ce que je pensais.
00:48:09Une réaction?
00:48:11Oui, j'aimerais pousser un certain exemple.
00:48:13Nous savons que les jeunes
00:48:15sont inspirés par l'objectif
00:48:17de trouver un travail
00:48:19et un salaire
00:48:21qui est attirant.
00:48:23Et nous savons que dans l'année 1970,
00:48:27il y avait même des marchés
00:48:29de demand and supply
00:48:31où il y avait beaucoup d'opportunités.
00:48:33Les jeunes pouvaient quitter Maurice
00:48:35dans les années 1960-1970.
00:48:37Ils pouvaient y aller.
00:48:39Ils pouvaient immigrer à la France, au Canada, etc.
00:48:41Et puis, il y a eu
00:48:43l'industrialisation à partir de 1980-1990.
00:48:45Donc, nous avons trouvé
00:48:47comment nous pouvions évoluer
00:48:49pendant les 20-25 dernières années.
00:48:51Et maintenant,
00:48:53nous trouvons qu'il y a des opportunités
00:48:55au Canada, en Australie
00:48:57et dans d'autres pays.
00:48:59Les jeunes peuvent éduquer
00:49:01leurs parents ici.
00:49:03Nous pouvons leur sacrifier tout.
00:49:05Nous pouvons leur faire lire,
00:49:07montrer, leur donner tout
00:49:09au niveau de l'éducation.
00:49:11En plus, nos pays sont multilingues.
00:49:13Nous connaissons l'anglais, le français, l'hindi,
00:49:15le portugais et le créole.
00:49:17Nous pouvons rentrer dans tous les pays.
00:49:19C'est plus facile pour nous.
00:49:21Par contre, en Angleterre,
00:49:23quelque part,
00:49:25nous avons des difficultés
00:49:27pour rentrer.
00:49:29Donc, nous, nos enfants,
00:49:31nous sommes un peu plus chanceux
00:49:33de pouvoir rentrer dans notre pays,
00:49:35de pouvoir aller au travail.
00:49:37Donc, moi, je ne suis pas pour
00:49:39l'idée que les enfants
00:49:41devraient quitter le travail.
00:49:43Je prends un simple exemple.
00:49:45Moi-même,
00:49:47j'étudie ici.
00:49:49J'ai un certificat
00:49:51ici à Maurice.
00:49:53Je suis un expert comptable.
00:49:55Donc, j'apprends, je travaille, je vis là.
00:49:57Je suis avec la famille.
00:49:59Si je travaille, bien sûr, je peux y aller.
00:50:01Je peux gagner 400-500 $
00:50:03par mois.
00:50:05Mais qu'est-ce que c'est la vie pour moi
00:50:07si la moitié de mon pays
00:50:09est dans l'accommodation,
00:50:11les 15-20 %
00:50:13dans le transport,
00:50:15dans la nourriture.
00:50:17Donc, je fais un petit savings.
00:50:19Je sais que je fais un savings,
00:50:21mais à quel coût?
00:50:23Il faut réaliser qu'à quel coût
00:50:25on peut faire ce savings-là?
00:50:27Je ne peux pas accompagner
00:50:29avec mes parents,
00:50:31ma société.
00:50:33Ici, je peux accompagner
00:50:35malgré que je gagne
00:50:37un peu légèrement moins,
00:50:39mais je suis entouré de ma famille,
00:50:41je suis entouré de ma société.
00:50:43Parfois, je suis tellement loin
00:50:45que j'oblige ces jeunes-là
00:50:47à ne pas, quand il y a
00:50:49des problèmes dans la maison,
00:50:51quitter la maison pour y aller.
00:50:53Bien sûr, ça dépend de l'idée,
00:50:55de l'opinion,
00:50:57mais parfois, nous arrivons,
00:50:59nous passons des moments difficiles
00:51:01économiquement, financièrement,
00:51:03que ce soit la famille, que ce soit le pays même,
00:51:05mais nous avons un scope,
00:51:07nous avons un potentiel,
00:51:09nous avons un secteur qui peut venir.
00:51:11Nous avons beaucoup
00:51:13de secteurs que nous pouvons étudier.
00:51:15Le ministre peut venir avec
00:51:17de nouveaux créneaux,
00:51:19de nouveaux piliers de l'économie.
00:51:21Nous pouvons avoir des opportunités pour ces jeunes-là
00:51:23pour qu'ils puissent gagner leur place
00:51:25dans nos sociétés.
00:51:27Je pense que ces jeunes-là
00:51:29restent là, ces jeunes-là
00:51:31travaillent pour leur pays,
00:51:33pour leur famille,
00:51:35pour leur société.
00:51:37Voilà, nous manquons une pause pub
00:51:39et bien sûr, nous retrouvons juste après ceci.
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