Avec Christine Cotton, biostatisticienne, auteure de "Tous vaccinés, tous protégés ? Vaccins Covid-19, chronique d'une catastrophe sanitaire annoncée" publié aux éditions Guy Trédaniel.
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NewsTranscription
00:00 Ici Sud Radio, les Français parlent au français, les carottes sont cuites, les carottes sont cuites.
00:13 Sud Radio Bercov dans tous ses états.
00:16 AstraZeneca retire son vaccin du marché.
00:23 Pourquoi le vaccin anti-coronavirus, Vaxzevria ?
00:27 Pourquoi le laboratoire diluant n'a pas assez de demandes ?
00:31 Les gens ne veulent plus se faire vacciner ?
00:34 Qu'est-ce qui se passe ?
00:36 On est dans le régime de l'offre et de la demande.
00:39 On va en parler tout de suite avec Christine Cotton.
00:43 Sud Radio André Bercov.
00:46 Bercov dans tous ses états, ça balance pas mal sur Sud Radio.
00:51 Les goguettes, très spécialisées dans les parodies.
01:02 Les gens de mon âge existent, disent-ils, ils sont jeunes,
01:07 mais ils ne sont pas apparemment les seuls à hésiter,
01:10 puisque chute des ventes, chute des ventes, qu'est-ce qui se passe ?
01:15 On va en parler avec Christine Cotton.
01:17 Christine Cotton, je le rappelle, elle est biostatisticienne.
01:21 Elle est auteure de, et on l'avait reçu déjà pour cela,
01:24 un livre qui a fait beaucoup parler de lui, beaucoup de bruit.
01:27 "Tous vaccinés, tous protégés", "Vaccin Code V-19",
01:31 chronique d'une catastrophe sanitaire annoncée, aux éditions Guy Trédaniel.
01:35 Alors Christine Cotton, vous n'avez pas attendu la chute des demandes pour parler de cela.
01:41 Alors, qu'est-ce qui se passe exactement ?
01:44 Alors que d'autres laboratoires, Pfizer et compagnie,
01:48 annoncent à la fois d'autres pandémies, ou d'autres épidémies,
01:53 et puis d'autres vaccins, AstraZeneca, en tout cas, rend son tablier là-dessus,
01:59 là-dessus, pas pour le reste.
02:00 Qu'est-ce qui s'est passé ? Qu'est-ce qu'on peut en tirer ?
02:03 Alors, bonjour M. Bercoff.
02:05 Bonjour.
02:06 Bonjour à ceux qui nous écoutent.
02:07 Alors, donc ce retrait de l'autorisation de l'AstraZeneca,
02:11 il est rendu officiel par la Commission européenne le 27 mars,
02:17 mais il ne rentre en vigueur qu'au mois de mai.
02:20 Alors ce qu'on sait, enfin moi ça ne m'étonne pas du tout,
02:23 parce que comme vous le savez et vous l'avez dit,
02:25 cela fait depuis décembre 2020 que je travaille sur ces vaccins Covid,
02:29 en tant que biostatisticienne, c'est-à-dire la personne qui fait les analyses dans les essais cliniques,
02:36 et comme certains ne le savent pas, ce ne sont pas les médecins.
02:40 Oui, sur le fond, quand vous avez commencé, on en a déjà parlé,
02:44 mais je voudrais qu'on en reparle évidemment,
02:46 sur le fond, quand vous avez commencé,
02:48 vous avez pris des positions très très précises et très tranchées là-dessus,
02:52 en tant que biostatisticienne,
02:54 je voudrais peut-être, Christine Cotton, c'est important,
02:57 que vous disiez, quand vous disiez, nous nous regardons,
03:00 je voudrais que vous précisiez un peu plus aux yeux du public,
03:05 ce que c'est que votre rôle et pourquoi vous avez un regard spécifique et très précis sur ce qui s'est passé.
03:12 Parce que moi, mon rôle, en tant que biostat,
03:16 et en tant qu'ancienne directrice d'une société de recherche sous contrat
03:20 spécialisée dans la gestion des données des essais cliniques,
03:24 c'était d'écrire, vous le savez toujours, puisque je travaille encore pour quelques laboratoires,
03:28 et j'ai d'ailleurs travaillé pour AstraZeneca,
03:30 et je ne peux pas dire que j'ai rencontré des gens qui travaillaient mal,
03:34 ce serait faux de dire ça.
03:37 Mon rôle, c'était de fournir à partir des bases de données des essais cliniques,
03:42 les tableaux de résultats,
03:44 et d'écrire la méthodologie correcte
03:46 pour que les résultats soient donc, ce qu'on appelle,
03:50 fiables et intègres du point de vue des bonnes pratiques cliniques.
03:54 Mais d'ailleurs, ce rôle-là, ce regard critique, il n'y a pas que moi qui l'ai eu.
03:58 Si on relit les avis des agences,
04:01 parce que là, les gens ont l'air de tomber de la lune,
04:04 on découvre, non, on ne découvre rien.
04:07 Dans l'avis de la HAS, donc c'est quand même la Haute Autorité de Santé française,
04:11 en février 2021, c'est-à-dire au moment où ils écrivent leur stratégie
04:17 d'utilisation de l'AstraZeneca,
04:19 en plus de ce Moderna qui a déjà été accepté en décembre,
04:22 et donc le Pfizer un petit peu avant,
04:24 ils nous disent quand même,
04:26 aucune donnée ne permet d'estimer l'efficacité de ce vaccin
04:29 sur certaines populations vulnérables,
04:31 mais M. Bercov, c'est bien celle qui a été vaccinée en premier,
04:34 si je ne m'abuse,
04:35 susceptible de développer des formes graves de la Covid-19,
04:38 telles que les personnes immunodéprimées,
04:40 il n'y a pas d'argument pour penser que le rapport bénéfice-risque
04:44 puisse être défavorable.
04:45 Oui, il n'y a pas d'argument, enfin bon,
04:47 il n'y a pas d'argument non plus pour penser qu'il va être favorable.
04:50 Il n'y a pas de données disponibles sur l'interchangeabilité du vaccin
04:55 avec d'autres vaccins Covid.
04:57 Et qu'est-ce qu'il nous disait ?
04:59 Le vaccin, il nous disait
05:02 absence de données d'immunogénésité à long terme,
05:07 sur les femmes enceintes bien évidemment,
05:09 absence d'efficacité prouvée,
05:11 pas manque de recul,
05:13 chez les personnes âgées de plus de 65 ans.
05:16 Ah ben mince alors !
05:18 Donc vous voyez, ça c'est l'avis de la HAS.
05:21 Absence de données, absence de données, absence de données,
05:23 c'était à chaque fois ça, vous dites.
05:25 L'absence de données ou le manque de recul.
05:27 Oui.
05:28 Donc quand vous savez ça,
05:30 toutes ces données elles sont ensuite reprises
05:33 dans le plan de gestion des risques,
05:34 quand vous savez ça,
05:35 vous vous doutez bien que vous allez avoir des problèmes.
05:37 Après on nous dit qu'ils sont rares.
05:40 On va voir, je vous ai préparé la petite mise à jour
05:44 avec la pharmacovigilance européenne,
05:46 ils ne sont pas si rares que ça.
05:47 Pour rester dans ce qu'on savait,
05:49 on a quand même toujours, j'en parle tout le temps,
05:52 y compris pour le Pfizer, le Moderna, etc.
05:54 On a quand même des gens qui, aux États-Unis,
05:57 dans les organes de surveillance des vaccins,
06:01 le CDC, etc.,
06:02 nous parlaient le 22 octobre 2020
06:06 des événements indésirables d'intérêt particulier,
06:09 c'est-à-dire ceux qu'il faut surveiller.
06:11 Et là-dedans ils avaient quoi ?
06:12 Ils avaient des décès,
06:13 ils avaient des tonnes de pathologies neurologiques,
06:17 des encéphalomyélites, des encéphalites,
06:19 des crises d'épilepsie, des AVC,
06:21 des infarctus aigus,
06:22 ils avaient la myocardite, la péricardite,
06:24 qui est sortie bien après.
06:27 Là on est en octobre 2020.
06:29 Donc vous voyez qu'en fait,
06:31 depuis le début, moi j'alerte en disant
06:33 que les méthodologies ne sont pas bonnes,
06:35 les résultats sont faux.
06:36 J'ai fait ma première émission en avril 2021,
06:38 j'ai dit que la méthodologie d'analyse
06:42 de l'AstraZeneca dans le rapport n'est pas bonne.
06:45 C'est-à-dire que l'AstraZeneca,
06:47 ce n'est pas un essai clinique, c'est quatre.
06:50 Donc quand vous additionnez les données comme ça,
06:53 ça s'appelle un pool en langage de stat,
06:55 il faut que vos études soient totalement homogènes
06:58 pour qu'on puisse évidemment considérer
07:00 que les patients peuvent être mélangés.
07:04 Et là vous avez 1er février 2021,
07:07 commission technique des vaccinations.
07:10 Donc là qu'est-ce qu'ils nous disent ces braves gens ?
07:12 Les données de ces essais ont été regroupées,
07:15 des analyses intermédiaires ont été réalisées,
07:18 les schémas vaccinaux mis en oeuvre dans ces essais
07:21 sont très hétérogènes.
07:23 Mais depuis quand en méthodologie biostatistique
07:25 vous groupez des essais qui sont hétérogènes ?
07:28 - Qui sont différents.
07:29 - Vous voyez les problèmes en fait.
07:31 Au départ vous avez tous ces problèmes méthodologiques,
07:33 c'est pour ça que c'est un travail de biostatisticien.
07:36 Mais les autorités l'ont remarqué.
07:39 - Alors Christine Cotton justement,
07:41 mais alors on vous répond toujours,
07:44 AstraZeneca dit, je cite,
07:50 il dit "il n'y avait plus de vente à propos toujours du retrait,
07:54 il n'y aurait pas eu de vente depuis certains temps,
07:56 nous sommes alors, ils ajoutent,
07:58 nous sommes incroyablement fiers du rôle que le vaccin Zévria a joué
08:01 pour mettre fin à la pandémie,
08:03 qui affirme, le communiqué d'AstraZeneca affirme
08:06 que selon des estimations indépendantes,
08:09 plus de 6,5 millions de vies ont été sauvées
08:12 dans la seule première année d'utilisation du sérum,
08:15 et plus de 3 milliards de doses ont été distribuées dans le monde.
08:19 Et alors on vous dit, attendez, vous dites ça, vous dites ça, d'accord,
08:22 il y a eu des effets, il y a eu des dommages collatéraux,
08:26 et des effets extrêmement dévastateurs,
08:28 mais enfin, par rapport aux milliards de gens qui ont été vaccinés,
08:32 par rapport aux 100 millions, etc., regardez,
08:35 il n'y a pas 400 millions de cercueils à travers le monde,
08:38 donc pourquoi vous essayez de faire une théorie
08:42 sur la non-innocuité de ces vaccins ?
08:47 Alors d'une, pardon M. Merck, d'une,
08:50 la méthodologie des essais cliniques,
08:52 elle date d'une trentaine d'années,
08:54 elle doit suivre des tas de règles
08:56 qui sont édictées par un consortium
08:58 auquel toutes les agences de santé ont adhéré.
09:01 Donc il n'y a aucune raison qu'on fasse exception
09:03 pour les vaccins Covid,
09:04 qui sont en plus des technologies,
09:08 notamment pour le Moderna et le Pfizer,
09:10 qui ont été développées dans des temps records.
09:12 Donc aucune raison.
09:13 De deux, ce n'est pas parce que…
09:17 enfin les modèles,
09:19 les soi-disant millions de vies sauvées,
09:22 ce sont des modélisations.
09:24 Donc une modélisation, c'est quoi ?
09:26 C'est que vous prenez des hypothèses.
09:28 Si je fais un modèle,
09:29 je ne sais pas moi,
09:30 Y = AX + B,
09:32 mon X, je le remplace par quelque chose.
09:36 Donc je fais varier mon X.
09:38 C'est une hypothèse.
09:39 Oui, c'est-à-dire que si j'ai tel résultat à une semaine,
09:41 je vais modéliser sur trois semaines
09:43 ou quatre semaines, etc.
09:45 Voilà, si je prends dans ma modélisation
09:47 une efficacité de, je ne sais pas moi,
09:49 pour le Pfizer 80%,
09:51 pour l'AstraZeneca 60%,
09:53 au départ ils avaient 66% je crois.
09:56 Oui, et 90% pour Pfizer au départ.
09:58 Voilà, donc 95%.
10:00 Donc si je prends ces chiffres-là,
10:02 qui sont les chiffres de l'essai clinique,
10:05 comme étant les vrais chiffres en vie réelle.
10:07 Ce qui est faux,
10:09 puisque je n'ai pas dans les essais cliniques
10:11 d'études de la transmission,
10:12 attention, dans aucun, pour aucun labo.
10:14 Aucune étude de la transmission.
10:16 Aucune.
10:17 Donc aucune efficacité prouvée sur la transmission.
10:19 Je n'ai pas d'efficacité prouvée
10:21 sur les cas asymptomatiques.
10:23 Or, nous, le nombre de cas qu'on comptait,
10:25 il y avait bien là-dedans des milliers,
10:27 peut-être des millions d'asymptomatiques.
10:29 Donc, si je prends des hypothèses d'efficacité
10:33 qui sont complètement surestimées
10:36 par rapport à la réalité,
10:37 mais mon modèle va conclure que j'ai sauvé
10:39 30 millions, 40 millions,
10:40 ça on peut raconter ce qu'on veut.
10:42 Concrètement, le rapport bénéfice-risque,
10:45 c'est quand même d'épargner des vies,
10:48 effectivement, d'épargner des hôpitaux.
10:50 Et vous n'avez pas, dans aucun rapport,
10:53 d'effet démontré sur la mortalité.
10:55 Moi, je suis désolée que quelqu'un me montre
10:57 dans un rapport clinique,
10:58 l'efficacité sur la mortalité Covid.
11:00 Ça n'existe pas.
11:02 Donc, vous voyez que c'est depuis le début,
11:04 je vous l'avais déjà dit,
11:05 M. Berghoff, depuis le début,
11:06 on nous prend vraiment pour des cons
11:08 et on nous prend surtout pour des gens
11:10 qui ne savent pas lire les documents.
11:12 Et encore plus, moi qui suis harcelée,
11:15 ça fait trois ans, plus ou moins trois ans,
11:18 qu'on alerte avec les associations de victimes
11:20 dont Verity France.
11:21 En France, on a le cas Anthony Rio,
11:24 qui est décédé dix jours après
11:28 sa première dose AstraZeneca,
11:30 d'une thrombose massive abdominale.
11:32 La rate a éclaté.
11:34 Donc, la famille a mis trois ans,
11:36 enfin, pour obtenir l'imputabilité.
11:38 Ce cas est déféré à la justice.
11:41 Je ne sais plus, son avocat, c'est Maître Boitain,
11:44 il est déféré à la justice.
11:46 Ce n'est pas de l'empoisonnement,
11:48 mais ça y ressemble.
11:50 Bon, on a quand même,
11:52 on regarde les chiffres,
11:54 je vais vous donner les chiffres.
11:56 Donc, on a, sur le site Eudra Vigilance,
11:59 on a 553 655 cas reportés.
12:03 Le site Eudra Vigilance français,
12:06 c'est le site français ça ?
12:07 Pharmaco Vigilance Européenne.
12:09 Oui, Européenne, d'accord.
12:10 Donc, vous avez 43% de cas graves.
12:13 Ça ne devrait pas alerter les autorités
12:15 d'avoir 43% de cas graves,
12:17 surtout quand on sait qu'on a un sous-report.
12:20 C'est-à-dire qu'il y a plein de gens, peut-être,
12:22 ou des décès,
12:23 ces gens ne figurent pas là-dedans,
12:25 puisque ça n'a pas été déclaré.
12:27 Donc, combien de malades,
12:29 pour épargner, combien de vies ?
12:31 Mais le rapport bénéfice-risque,
12:32 il est vite calculé.
12:33 Et dans ces cas, vous avez quoi ?
12:35 Vous avez 285 000 cas,
12:37 ce sont des troubles nerveux.
12:39 C'est exactement le cas de Briandressen,
12:41 maladie neurodégénérative.
12:43 Vous avez 17 000 cas
12:46 qui touchent le système sanguin ou lymphatique.
12:49 Vous avez des composantes, bien évidemment.
12:52 Et sans parler des femmes enceintes,
12:54 et sans parler des jeunes,
12:56 moi je me rappellerai toujours,
12:58 et vous vous rappelez de cette vidéo
13:00 qu'on a vue du matin au soir,
13:02 pendant quelques mois,
13:03 de la petite fille qui embrassait sa grand-mère,
13:05 et la grand-mère se retrouvait intubée.
13:07 C'est une vidéo qui a fait...
13:10 Sachant que le vaccin n'empêchait pas aucun.
13:13 La transmission, ce n'était pas prouvé
13:15 dans les essais cliniques.
13:16 Alors ensuite, ils nous ont sorti
13:18 tout un tas d'études en vie réelle
13:20 qui ne valent pas un clou,
13:22 au niveau méthodologique,
13:23 pour dire que finalement,
13:24 ça freine la transmission.
13:25 Si vous vous souvenez bien,
13:26 ça freinait de 80%,
13:28 puis de 62%,
13:29 puis de 56%,
13:30 et puis finalement,
13:31 on était à 3% que ça freinait la transmission.
13:33 Visiblement, ça ne freinait rien du tout,
13:35 puisque pour quelque chose
13:36 qui était censé éradiquer le Covid,
13:38 on en est toujours au même point.
13:40 Donc là, je pense que les gens ont compris,
13:42 puisqu'ils ne vont plus se faire vacciner.
13:44 Pour en revenir à ce cas d'Antony,
13:46 qui a été emblématique en France,
13:48 il a été sorti par l'association
13:49 Verity France,
13:50 avec laquelle je travaille depuis 3 ans.
13:52 Oui.
13:53 Pas loin.
13:54 Et donc, enfin,
13:56 il a fallu une bataille de 3 ans
13:58 pour enfin reconnaître
14:00 que ce pauvre garçon
14:01 étudiant en médecine de 24 ans
14:03 était décédé des suites de ce vaccin.
14:05 Alors en Angleterre,
14:06 on en a plein.
14:07 On a des cas qui sortent de partout.
14:10 AstraZeneca,
14:12 je crois qu'il leur demande
14:14 100 millions de livres
14:16 de dommages et intérêts
14:18 pour 50 victimes.
14:19 Bon, donc du coup,
14:20 ils retirent du marché
14:22 parce qu'ils ne vendent plus.
14:24 Je veux dire, encore une fois,
14:26 il faut arrêter de se foutre de nous.
14:28 Retirent du marché
14:30 parce que je crois qu'ils ont commencé
14:32 à comprendre qu'il fallait limiter les dégâts.
14:34 Bon.
14:35 Et que c'est que le début
14:39 de la chute des vaccins anti-Covid,
14:42 est-ce que le début de la chute des laboratoires ?
14:44 Parce que, alors je rappelle, M. Bercov,
14:46 pour tous ceux qui ne le savent pas
14:48 et qui nous écoutent,
14:49 je rappelle que le produit Pfizer
14:52 reçu par la population
14:53 n'est pas celui de l'essai clinique.
14:56 Donc là, vous voyez le nombre
14:58 d'effets qu'on peut avoir
15:00 avec AstraZeneca,
15:01 les plaintes qui commencent
15:02 à tomber de partout.
15:04 Vous imaginez les problèmes
15:06 qu'on va avoir
15:07 avec les autres qui restent.
15:09 Ceux qui sont donc ARN messagers,
15:11 et qui ont été développés
15:13 en quelques heures,
15:15 pour Moderna,
15:17 sans avoir jamais vu le virus.
15:19 Oui, et en fait,
15:21 alors tout cela,
15:22 bon évidemment, je dis ça
15:24 parce que nous accueillons
15:26 toutes les vues.
15:27 Évidemment, si AstraZeneca ou Pfizer
15:30 veut répondre,
15:31 évidemment, il a le micro ouvert
15:33 et ce serait très bien.
15:34 D'ailleurs, face à Christine Cotton.
15:37 Il n'y a pas de problème.
15:39 Vous êtes d'accord là-dessus.
15:40 Ah ben, il n'y a aucun problème.
15:42 Christine Cotton, juste un mot.
15:43 Par rapport à ce qui se passe aujourd'hui,
15:45 vous avez parlé de l'Angleterre,
15:46 vous avez parlé aux États-Unis aussi,
15:48 qu'il y a énormément de plaintes
15:50 déposées même par des États, etc.
15:53 Est-ce qu'aujourd'hui,
15:55 il y a vraiment, à votre avis,
15:57 une prise de conscience assez grande,
16:00 même si elle n'est peut-être pas majoritaire,
16:02 mais assez grande,
16:03 en disant au moins,
16:04 et c'est vrai,
16:05 on a le droit de se poser des questions,
16:07 en tout cas, je parle des gens
16:08 qui ne sont pas comme vous.
16:09 Ni biostatisticien,
16:11 ni épidémiologue,
16:13 ni virologue,
16:15 et qui, effectivement,
16:17 ont le droit, en tout cas,
16:18 de poser des questions
16:19 sans qu'on les traite de complotistes
16:22 et de factieux, etc.
16:24 Ça, ça me paraît la moindre des choses.
16:26 M. Bercov,
16:27 il suffit de lire les documents officiels.
16:29 Moi, qu'est-ce que j'ai fait ?
16:30 Déjà, d'une, je n'ai fait que mon métier
16:32 de biostatisticien.
16:33 Qu'est-ce que j'ai fait ?
16:34 J'ai récupéré les rapports des laboratoires
16:37 dès décembre 2020
16:38 pour ceux qui étaient disponibles,
16:40 en 2021 pour l'AstraZeneca,
16:43 et le Johnson & Johnson.
16:45 J'ai lu les rapports cliniques,
16:47 j'ai lu les plans de gestion des risques,
16:49 j'ai lu les résumés des caractéristiques produits,
16:51 j'ai lu les avis de la HHS.
16:53 Bon, je n'ai rien inventé.
16:55 Je veux dire, on lit.
16:56 Moi, mon métier,
16:57 c'est la méthodologie des essais cliniques.
16:59 Je lis,
17:00 je vois tout ce qui n'est pas testé,
17:02 je vois tout ce qui est donné manquant,
17:04 je vois tout ce qui n'est pas prouvé
17:05 comme étant efficace.
17:06 Aucune efficacité démontrée sur les cas sévères,
17:09 ni pour l'AstraZeneca,
17:11 ni pour le Pfizer,
17:12 ni pour le Moderna.
17:13 Donc, on ne vienne pas maintenant nous raconter.
17:15 Bon, alors voilà,
17:16 on nous sort depuis...
17:17 Je vous dis, on nous harcèle,
17:19 on nous insulte,
17:20 on nous diffame,
17:21 mais concrètement,
17:22 il n'y a pas un professionnel
17:23 qui a rédigé un document
17:25 qui tient la route
17:26 pour contredire ce que j'ai écrit
17:28 depuis trois ans.
17:29 Pas un seul.
17:30 Mais de toute façon,
17:31 c'est impossible
17:32 puisque ce sont les docs officiels.
17:35 Donc, si maintenant ces gens,
17:37 ils ont été pressurisés à un moment
17:40 parce qu'on leur a mis la pression
17:42 pour accepter vite vite
17:44 l'Agence Européenne du Médicament
17:46 qui autorise un produit Pfizer
17:48 qui n'est pas celui de l'essai clinique,
17:50 mais depuis quand on autorise un produit
17:52 pour lequel on n'a pas de résultat d'efficacité,
17:54 de tolérance
17:55 ou de dosage des anticorps ?
17:56 Depuis quand ?
17:57 Jamais !
17:58 Donc, on ne respecte pas les règles
18:00 qu'on a mis des années à établir
18:02 et qui permettaient d'avoir des vaccins
18:04 et des médicaments
18:06 sûrs et efficaces.
18:07 Ou à peu près,
18:08 on va dire dans 95% des cas.
18:10 Parce qu'il faut le rappeler,
18:11 même vous, Christine Cotton,
18:13 vous n'êtes pas "antivax"
18:15 au sens théorique du terme.
18:17 Mais "antivax" c'est complotiste,
18:19 c'est du vocabulaire de cabinet de conseil
18:21 que blablatent les incultes
18:23 qui ne sont pas capables d'ouvrir trois documents
18:25 pour éviter le débat.
18:27 Alors, ils ne veulent pas débattre
18:29 parce que, soi-disant, je suis antivax.
18:31 Non, moi je suis biostatisticienne
18:33 pour l'industrie pharmaceutique depuis 1995
18:35 et quand ces gens auront travaillé
18:37 dans 500 essais cliniques,
18:39 voire plus, comme moi,
18:41 ils pourront ouvrir leur bouche.
18:43 Pour le moment, la seule chose qu'ils ont à faire,
18:45 c'est se taire.
18:46 Et de toute façon, leurs insultes,
18:48 aujourd'hui, on a quand même le professeur Raoult
18:50 qui passe aussi...
18:51 En tout cas, vous l'ouvrez, Christine Cotton,
18:55 et effectivement,
18:57 personne n'a à se taire,
18:59 mais opposer des arguments
19:01 et débattre vraiment sur des faits.
19:03 Merci, Christine Cotton.
19:05 Merci beaucoup, monsieur Bercoff.
19:07 Merci d'avoir été avec nous.
19:09 On va marquer une courte pause sur Sud Radio.
19:11 À tout de suite.
19:13 Tous ces états midi 14h.
19:15 André Bercoff.