• il y a 8 mois
Le fléau de la drogue au centre de l’émission Korek Pas Korek le vendredi 26 avril 2024. Linley Appadoo reçoit l’activiste Aly Lazer de 09 h à 10 hrs. Vos appels sur le 2137777
Transcription
00:00 Correc ou pas correct, l'autre top FM.
00:03 Les bons connaît.
00:05 Chers auditeurs, bonjour et chers auditeurs de top FM qui paient réseaux en nous,
00:17 l'aubaine réseau social, bienvenue dans l'émission correct par correct aujourd'hui
00:21 contenu pour cause du fléau de la drogue qui depuis des années, des décennies, fatigue sa pays là.
00:30 Et avec moi, nous avons l'invité du jour, c'est Ali Lazer qui, pas bien présent lui,
00:35 mais toujours, c'est l'infatigable travailleur social qui occuplie de la bataille contre le fléau de la drogue
00:42 depuis plus de 40 ans. Ali Lazer, bienvenue et merci au fil de réseaux en nous,
00:46 malgré qu'il est la santé pas trop trop correct, mais nous connaît l'importance de sa thème qu'il nous choisit aujourd'hui.
00:54 La drogue c'est quelque chose qui peut bien fatiguer nos jeunes et aussi nos moins jeunes.
00:59 Bonjour, Linley, et d'abord, j'ai envie de saluer l'initiative
01:07 aux directions top FM et vous-même qui nous choisit aujourd'hui sa thème la drogue là,
01:14 parce que fléau numéro un dans nos pays maurice, c'est la drogue.
01:20 Aujourd'hui, vol avec violence, crime et l'insécurité totale du lien avec la drogue.
01:27 Et personne n'est pas à l'abri de ce fléau là. Ça n'arrive pas qu'aux autres.
01:32 Mon vie est une pensée spéciale pour tous mes parents qui peuvent souffrir,
01:39 qui sont enfants dans l'enfer à la drogue et mon pensée spéciale,
01:44 ces derniers temps là, il y a une série de jeunes qui peuvent mourir avec la drogue.
01:50 Pas plus tard qu'hier, j'ai eu l'information concernant une jeune de 19 ans à Rosy,
01:56 qui meurt avec la drogue et je lui ai dit que nous ne pouvons pas nous éloigner de la drogue.
02:04 Alors, merci encore une fois à Top FM, merci à vous d'avoir choisi cette thème qui nous permet d'aborder aujourd'hui.
02:11 Très bien. Alors, nous devons situer un petit peu la situation, comment dire,
02:18 hier tu es allé à une grande conférence que tu as fait dans l'hôtel,
02:22 que le premier ministre même a fait une causée, il a fait une annonce un petit peu,
02:25 par un chiffre qui paraît important concernant la drogue, le nombre de saisies qu'il a fait,
02:31 la quantité de personnes qui finissent par être arrêtées.
02:35 Donc, ce chiffre là, plus il y a de causées qui finissent récemment,
02:40 quand on nous dit qu'il faut casser les reins des trafiquants,
02:46 malgré ça, on nous dit, comme on l'a fait déjà,
02:51 tous les jours, presque, on nous dit qu'il y a une jeune ou un moins jeune qui peut décéder suite à la drogue,
02:57 pour ou qu'il est au terrain, malgré tout, est-ce que la situation peut améliorer aussi?
03:02 En tant qu'un travailleur social volontaire sur le terrain,
03:08 en tant qu'un fondateur et aussi responsable d'un centre de désintoxication
03:14 qui soigne les gens qui sont dans la drogue,
03:17 mon contact permanent, quotidien, avec tous mes parents, tous mes jeunes,
03:23 moins jeunes, vieux, etc., qui doivent faire la drogue.
03:28 Alors, moi, j'ai passé 4000 dans un coin,
03:31 et je me suis dit quelque chose,
03:35 je me suis dit avec évidence baisse,
03:39 vous comprenez, vous ne pouvez pas dire,
03:41 le Premier ministre a parlé à une conférence internationale sur la drogue,
03:47 il a dit qu'il y a 24 000 délits, c'est-à-dire arrestations pour délits de la drogue,
03:56 il y a 15 milliards de roubles de drogue fin saisie.
04:01 Ma question, c'est que dans ces 24 000 arrestations pour délits de drogue,
04:09 combien est-ce qu'on passe en cours,
04:11 combien est-ce qu'on est condamné pour délits de la drogue?
04:16 Et conséquent, 15 milliards de roubles de drogue fin saisie,
04:21 ma question, tous les gens qui écoutent la radio,
04:24 bien sûr la radio privée tous les matins,
04:27 tous les gens qui lisent les journaux,
04:29 est-ce qu'il y a un jour où on peut trouver,
04:32 ou bien on peut le trouver dans la radio,
04:34 qui paye la fin saisie de la drogue,
04:36 par ton, je dis fin saisie quantité récord,
04:39 l'endemain, autant dire récord, la casse,
04:42 record des jours en jours,
04:44 c'est-à-dire, fin saisie même,
04:47 le poison peut rentrer parce qu'il ne produit pas de héroïne,
04:51 nous sommes un pays consommateur de héroïne,
04:54 mais nous avons un médaille,
04:56 chaque 26 ans où il y a un monde mondial qui trafique la drogue,
05:01 le bureau des Nations Unies pour le contrôle de la drogue,
05:05 et les crimes organisés qui sont basés à Vienne,
05:07 en Autriche,
05:09 les deux pays moristes ont un médaille,
05:11 moi, le Lazer avec Koulinlé,
05:13 si vous comptez, le Moriste gagne une médaille pour le football,
05:16 pour l'athlétisme, pour la natation,
05:18 mais moi, en tant qu'un parent qui a des enfants,
05:21 je gagne ça, je paye pour ce pays-là,
05:25 nous ne produisons pas de héroïne,
05:27 nous avons encore gagné une médaille pour la consommation de l'héroïne,
05:31 et depuis 2020,
05:34 nous avons gagné une autre médaille,
05:36 une médaille pour la consommation de la drogue synthétique,
05:40 alors, moi, je ne crois pas que ce dialogue puisse caresser les reins de trafiquants de la drogue,
05:46 au contraire, il y a des évidences qui peuvent le faire,
05:52 il suffit de suivre les cas de Franklin,
05:56 comment est-ce qu'il a fait la "gentleman agreement" à la haute de Yale,
06:00 pour retirer le financement de l'agence de sale,
06:03 avant de le déposer pour la région.
06:06 Oui, comment on peut dire, la situation-là, elle est catastrophique,
06:12 mais quelle évolution finit-elle dans les derniers 10-15 ans,
06:17 en ce qui concerne la consommation de la drogue ?
06:19 Oui, "from bad to worse",
06:23 vous savez ce qu'il fait un mot d'IAO, ça ?
06:26 Tout le monde le connaît, tous les jours, il y a un journal,
06:29 tous les jours, il y a une radio privée,
06:31 si un jour, il n'y a pas eu une saisie, une saisie de la drogue,
06:37 on dirait qu'il a bien senti, qu'il a bien remis à ses bons dieux.
06:40 Vis-à-vis de cette situation-là,
06:43 et vous connaissez, moi aussi, malheureusement,
06:48 je ne suis pas un politicien, je ne suis pas un futur politicien,
06:53 je suis juste un travailleur social volontaire,
06:56 qui déclic mon combat, si je me sens souffrant,
06:59 je vais me faire un dosage, c'est ça,
07:02 je vais me faire un combat contre la drogue,
07:04 travailleur social, pour gagner des bouts,
07:06 pour me mettre dans un board, pour venir tirer un man-board, moi.
07:09 Parce que je me sens souffrant, je vais me perdre une prose.
07:12 Mais vous savez, dans le combat contre la drogue,
07:15 il y a un aspect extrêmement important,
07:19 il y a l'aspect "réduction de l'offre",
07:22 qui veut dire réduction de l'offre ?
07:24 Réduction de l'offre, veut dire, il concerne la douane,
07:27 il concerne la police, brigade antidrogue,
07:30 il concerne la loi, la cour, il concerne prison, etc.
07:35 Ça s'appelle réduction de l'offre.
07:37 Deuxième aspect qui est aussi important que réduction de l'offre,
07:41 c'est réduction de la demande.
07:43 Qu'est-ce que veut dire réduction de la demande ?
07:45 C'est la prévention, les traitements et la réhabilitation.
07:50 Tous les deux, nous avons mors ensemble,
07:52 pour nous gagner ce combat-là.
07:54 Alors vous savez, je vais vous dire, vous devez tenir à ce que je vais vous dire,
07:58 malgré qu'il y a beaucoup de comités,
08:01 ils ont le droit de dire ce qu'ils veulent,
08:03 ils peuvent le dire, moi à l'île Azère,
08:05 ça ne fait pas dérangement qu'ils aient des amis,
08:09 des amis, mais des amis,
08:11 votre petit copain, votre petite copine.
08:13 Mais quand ils choisissent,
08:15 ils mettent dans l'institution pour combattre la drogue,
08:17 ou non dans le domini politique, non.
08:20 Je ne suis pas d'accord, la drogue est une question de la vie, de la mort.
08:23 C'est pas une politique.
08:25 Oui, nous faisons, quand vous avez donné mon nomination à mon petit copain,
08:29 à la tête, ça,
08:31 récemment, j'ai vu une radio en direct,
08:33 une émission sur le trafic de la drogue,
08:37 et il y a un responsable du ministère de la santé
08:41 qui est intervenu par téléphone,
08:43 il a même avoué,
08:45 il a dit comme ça,
08:47 oui, vous savez, nous, nous, nous trouvons un centre,
08:49 depuis plusieurs années,
08:51 dans Montaigne-Longues,
08:53 pour qu'ils bannent Zenne.
08:55 Ok? Pendant combien d'années font le public,
08:57 payer,
08:59 payer le staff, les médicaments, le docteur, etc.?
09:01 Il a même avoué,
09:03 il a dit à mon copain, il y a une fiasco totale,
09:06 ça, quand l'État,
09:08 quand l'État met des bouts.
09:10 Alors, vis-à-vis,
09:12 quand on trouve un échec total
09:14 de l'hôpital pour Zenne,
09:16 regarde comment je dis, la vie du monde,
09:18 la vie nous banne Zenne.
09:20 Je veux dire, maintenant, nous nous sommes décidé
09:22 pour avouer,
09:24 banne Zenne à partir des 15 ans,
09:26 à Montaigne,
09:28 pour un lot de traitement métadone.
09:30 Ça, même,
09:32 ministère de la santé,
09:34 quand il y a trop de dire,
09:36 la métadone comme substitut
09:38 banne héroïnomane,
09:40 je veux même te dire, non, nous ne pouvons pas
09:42 banne Zenne, ok?
09:44 Nous pouvons banne Zenne,
09:46 le 20 ans. Parce que,
09:48 moi, à l'Ilaséa,
09:50 humblement, j'ai envie de vous faire connaître,
09:52 je passe six mois dans
09:54 une clinique métadone dans Londres,
09:56 en Angleterre, ok?
09:58 Je vais poser la question avec évidence.
10:00 Métadone,
10:02 il ne faut pas le faire pour banne Zenne,
10:04 ok? Il y en a beaucoup, vous savez,
10:06 un jour, vous ne prenez pas de la médecine, vous avez un mal à la tête,
10:08 il y a un side effect.
10:10 Vous savez, la métadone, il y a un side effect.
10:12 Je vais vous dire aussi, banne Zenne,
10:14 si vous savez quel side effect
10:16 il y a dans la métadone,
10:18 ce n'est pas ce que vous citez,
10:20 la métadone, ok?
10:22 Si vous savez quel side effect.
10:24 Alors, je vous dis,
10:26 quand je me fais
10:28 dans le traitement
10:30 pour banne Zenne,
10:32 dans l'hôpital, je me suis même
10:34 envoyé à la radio, je vous dis,
10:36 vous savez qui danser
10:38 était ça?
10:40 Vous savez, le deuxième projet
10:42 de Pevini, livraison
10:44 à domicile.
10:46 Qui veut dire livraison à domicile?
10:48 Tout montrer
10:50 quand il y a trop de diaz,
10:52 dans nos pays, c'est
10:54 qu'il faut dire
10:56 que vous avez une surplace.
10:58 Il y a un dispensaire ministère de la santé
11:00 qui vous fait
11:02 vider la bouche, vous devez boire.
11:04 Ok? Malgré
11:06 que vous pouvez faire ça,
11:08 il y a le trafic
11:10 métadone.
11:12 Il faut boire
11:14 dans la gauche du dispensaire
11:16 ministère de la santé.
11:18 Moi, je les accompagne dans les journalistes français.
11:20 Télévision française,
11:22 ils viennent faire une reportage
11:24 sur la distribution métadone.
11:26 Je suis choqué.
11:28 Quand je peux trouver,
11:30 si je dois boire
11:32 dans la gauche,
11:34 je peux prendre le côté droit
11:36 dans les stations de police,
11:38 dans le centre de santé,
11:40 dans le centre de santé, etc.
11:42 Ils viennent, côté gauche,
11:44 ils vendent ça.
11:46 Ils nous disent ça, ils nous disent ça,
11:48 la télévision française.
11:50 Alors, si déjà, il y a un trafic
11:52 métadone
11:54 qui se pose pour boire sur le lit,
11:56 en Valais, et nous ne parlons pas
11:58 de la situation de la 4e de Rosebois,
12:00 ce grand-père, le métadone,
12:02 il se pose pour boire le métadone
12:04 dans son dispensation.
12:06 Le grand-père amène ce fiole métadone
12:08 dans son dispensation.
12:10 Il pose là, les enfants, 4 ans,
12:12 boivent le métadone, ils meurent.
12:14 Récemment, il y a une jeune,
12:16 un petit bébé, je dirais, de 10 ans,
12:18 il admet à l'hôpital, emergency ICU,
12:20 qu'il y a une récidive sauve sur la vie.
12:22 Il boit le métadone.
12:24 Déjà, là, il peut faire fracas,
12:26 pas gagner un droit,
12:28 amène la case.
12:30 A ce dire, le ministère de la Santé
12:32 peut venir après la distribution métadone
12:34 aux jeunes de 15 ans,
12:36 et il peut dire, justement,
12:38 quand on peut causer ça,
12:40 il est important de situer la chose.
12:42 C'est-à-dire qu'il nous cause
12:44 souvent un rajeunissement
12:46 des gens qui peuvent prendre
12:48 la drogue, et aussi une féminisation.
12:50 Ça, il veut montrer que c'est vrai,
12:52 parce que si on peut distribuer
12:54 le métadone aux enfants
12:56 de 15 ans, il veut prouver
12:58 qu'il y en a, des jeunes qui peuvent
13:00 entrer dedans, et aussi une féminisation.
13:02 Ou, sur le terrain, est-ce qu'on trouve ça?
13:04 C'est un constat vrai
13:06 qui est dans sa rajeunissement
13:08 et sa féminisation, là?
13:10 Bientôt, ça, pour faire
13:12 cinq ans, dès que je vais tirer la sonnette d'alarme,
13:14 par rapport avec
13:16 rajeunissement et la
13:18 féminisation de la consommation de la drogue.
13:20 Malheureusement,
13:22 je peux crier dans les oreilles
13:24 des classes sourdes, je peux crier
13:26 dans le désert.
13:28 En tant qu'un papa qui a des enfants,
13:30 je fais un devoir patriote,
13:32 je sais qu'il y a des
13:34 moments où une maman qui souffre,
13:36 qui
13:38 accouche un enfant,
13:40 il met l'eau sur la terre.
13:42 Je sais qu'il y a des gens qui ont du mal,
13:44 moins d'hommes peuvent dire ça.
13:46 Une madame qui accouche un enfant,
13:48 moins d'hommes peuvent dire ça.
13:50 Et,
13:52 il montre qu'une
13:54 madame qui accouche
13:56 est équivalent à plus
13:58 de 40 oeufs
14:00 fracturés sur les couilles.
14:02 C'est du meilleur accouchement.
14:04 Une maman qui souffre,
14:06 met ses enfants sur la terre,
14:08 fait un sacrifice grand,
14:10 elle est grande.
14:12 Elle demande à sa maman
14:14 de ne pas cacher la drogue.
14:16 La maman dit qu'elle va la payer.
14:18 Elle tue sa maman,
14:20 elle coupe sa maman en morceaux,
14:22 elle la met dans la valise,
14:24 elle la met dans un carotène,
14:26 elle la met dans un poisson salé,
14:28 elle la coupe en morceaux.
14:30 Là, ici,
14:32 on voit toute réaction.
14:34 Justement, Ali Laze,
14:36 c'est une bonne histoire que vous pouvez dire là.
14:38 C'est pas une histoire, c'est une réalité.
14:40 C'est une bonne fée que vous pouvez dire là.
14:42 Au cours de l'école, on dirait une histoire, bien sûr.
14:44 Mais,
14:46 nous ne savons pas
14:48 ce qui peut se faire
14:50 dans le concret
14:52 à part ce qu'on entend dire
14:54 qui finit dans l'arrestation.
14:56 Je pense que vous pourrez venir tout à l'heure.
14:58 Mais, dans le concret,
15:00 pour faire un combat,
15:02 comment on fait ?
15:04 Pour où ? Qui a tellement de temps ?
15:06 Qui fait ?
15:08 Non pas pour
15:10 empêcher l'entrée pour l'instant,
15:12 mais pour traiter ces jeunes,
15:14 ces moins jeunes qui, aujourd'hui,
15:16 accroissent la drogue.
15:18 Que ce soit la drogue dure,
15:20 la héroïne, la cocaïne, etc.
15:22 Mais aussi, surtout,
15:24 la drogue qui, aujourd'hui,
15:26 est disponible presque partout
15:28 dans le pays, la drogue synthétique.
15:30 Oui, vous savez,
15:32 je me présente
15:34 comme un spécialiste
15:36 terrible
15:38 dans le combat contre la drogue.
15:40 J'ai juste 43 ans d'expérience
15:42 qui m'ont causé.
15:44 D'ailleurs, quand je regarde
15:46 toutes les radios qui me regardent,
15:48 tous les médias qui me regardent,
15:50 je n'ai jamais eu un petit bout de papier devant moi.
15:52 Oui, oui, oui, tout à fait.
15:54 Parce que c'est mon expérience.
15:56 Vous savez, comment je vous dis,
15:58 les plus jeunes dans notre pays,
16:00 si vraiment, vous avez une vraie,
16:02 réelle volonté pour combattre
16:04 la drogue, c'est à ce que je vous explique
16:06 qu'il y a deux aspects importants.
16:08 La réduction de l'ordre, la demande.
16:10 La demande, et la cause
16:12 première, c'est la prévention.
16:14 Vous savez, depuis jeudi,
16:16 j'ai eu une autre cause.
16:18 Malgré 50 mots,
16:20 le cimetière est rempli
16:22 en cas d'amour avec la drogue.
16:24 Les parents souffrent à cause
16:26 d'autres enfants dans l'enfer de la drogue.
16:28 Est-ce qu'il n'y a pas
16:30 une politique nationale
16:32 de prévention?
16:34 La prévention est plus simple qu'on ne le sait pas.
16:36 Est-ce qu'il n'y a pas
16:38 une politique nationale
16:40 de prévention
16:42 qui a commencé
16:44 à la fin du siècle primaire?
16:46 C'est-à-dire, on va dire, dans le 4e,
16:48 dans le 5e, 6e,
16:50 de continuer à aller dans le secondaire,
16:52 collège, et aller même dans le 3e,
16:54 dans l'université.
16:56 Ça, il faut que vous ayez une réelle volonté.
16:58 Pas Alilazia, ou bien les autres
17:00 travailleurs sociaux, une fois
17:02 l'État, quand on a
17:04 décidé, fait appel
17:06 à nous, on va faire une causerie.
17:08 Une fois l'État, on va aller nous faire une causerie.
17:10 C'est ça, la prévention.
17:12 Prévention,
17:14 bien définir
17:16 la politique
17:18 prévention nationale
17:20 qui nous paye, et elles ont,
17:22 s'il n'y a pas une réelle volonté.
17:24 Mais quand on paye,
17:26 depuis bien longtemps, on va dire,
17:28 il y a une politique
17:30 nationale de prévention.
17:32 Quand on paye,
17:34 à qui profite?
17:36 Posez la question, à qui profite?
17:38 C'est la question qui est
17:40 beaucoup de monde posée, à qui profite
17:42 la drogue
17:44 dans le pays, on trouve
17:46 quelques éléments de réponse
17:48 quand on trouve un gros baron de la drogue.
17:50 Ça aussi, on peut causer.
17:52 Je me rappelle, on a dit,
17:54 on a eu le 213, 77, 77,
17:56 c'est la même question,
17:58 on pose à Alilazia,
18:00 on fait une cause, collège,
18:02 l'école,
18:04 on peut trouver,
18:06 on fait une tendance aussi,
18:08 la drogue, elle rentre dans l'école,
18:10 dans un collège,
18:12 c'est là que le dégât a commencé.
18:14 Aujourd'hui, quel est le constat
18:16 de la présence
18:18 de produits illicites
18:20 dans votre collège,
18:22 qui vous trouvez dans vos risques?
18:24 Vous savez, moi, j'ai
18:26 l'entrée dans mon collège plutôt privée.
18:28 OK?
18:30 Et parce que
18:32 dans mon collège d'État,
18:34 mon SSS, etc.,
18:36 et avec mes étiquettes,
18:38 j'ai aimé travailler en sociologie.
18:40 OK?
18:42 Le ministre de l'Éducation nationale
18:44 donne l'instruction,
18:46 il ne m'a pas trouvé,
18:48 moi, qui ai une franchise
18:50 qui cause la vérité,
18:52 qui ne pas payer à cause de la vérité,
18:54 je vous demande d'accéder.
18:56 Mais il y a une rectrice,
18:58 une rectrice, je suis allé,
19:00 je prends l'ordre, je t'invite moi
19:02 pour venir causer dans mon collège de l'État.
19:04 Alors, il y a une réalité,
19:06 il y a une réalité,
19:08 moi, mon collègue, je suis plus jeune,
19:10 plus jeune,
19:12 j'ai des enfants
19:14 âgés de 10 ans.
19:16 Pas dans un, dans deux
19:18 l'école primaire, il faut
19:20 bouger pour lui.
19:22 Une maîtresse d'école
19:24 avec une maître d'école,
19:26 il fait la peine avec moi d'aller dans l'école
19:28 primaire, quand dans tous les deux
19:30 l'école, il y a
19:32 des élèves de 10 ans
19:34 avec
19:36 la drogue synthétique.
19:38 C'est à payer ça.
19:40 Quand nous causent rajeunissement en tant qu'associés
19:42 - Oui, c'est vrai. - Une jeune de 10 ans
19:44 - 10 ans qui commence avec la drogue
19:46 synthétique, tellement elle est disponible,
19:48 tellement il y a ces
19:50 - Justement, c'est quelque part
19:52 ça qui peut
19:54 permettre sa prolifération.
19:56 - Bien sûr, bien sûr, vous comprenez.
19:58 Parce qu'il ne faut pas payer une
20:00 zodique ou tout d'abord, c'est les 26 juin.
20:02 Journée mondiale
20:04 contre la drogue. Vous connaissez
20:06 qui s'est organisé ? Concert,
20:08 tam-tam, ok ?
20:10 Chanter, danser.
20:12 La drogue, il y a un problème triste, ça.
20:14 - Tout à fait. - Vous comprenez ?
20:16 Il concerne la vie, la mort, il concerne
20:18 la souffrance par an. Alors,
20:20 faire majorale, faire police band,
20:22 alors, faire la musique,
20:24 célébrer la journée mondiale
20:26 contre la drogue.
20:28 - Allez, Lazer, nous prenons une pause
20:30 tout de suite, nous pourrons y revenir juste après sa pub.
20:33 Correc ou pas correct,
20:35 l'eau de PFM.
20:37 - Les bons connaissent.
20:39 ...
20:41 ...
20:43 ...
20:45 ...
20:47 (...)
20:50 (...)
20:53 (...)
20:56 (...)
20:59 (...)
21:02 (...)
21:05 (...)
21:08 (...)
21:11 (...)
21:14 (...)
21:17 (...)
21:20 (...)
21:23 (...)
21:26 (...)
21:29 (...)
21:32 (...)
21:35 (...)
21:38 (...)
21:41 (...)
21:44 (...)
21:47 (...)
21:50 (...)
21:55 (...)
22:00 (...)
22:05 (...)
22:15 (...)
22:19 - De retour dans l'émission "Correct, pas correct"
22:22 avec nous l'invité Ali Lazaire.
22:24 Nous sommes sur le fléau de la drogue.
22:26 Ali Lazaire, juste avant de prendre une pause,
22:29 la célébration "demain journée" de la lutte contre la drogue,
22:35 quelque part, il paraît absurde qu'on célèbre une journée pareille.
22:40 C'est plutôt la lutte continue qui nous a fait capable d'éradiquer.
22:46 Mais nous nous prenons une carte-figure d'Ali Lazaire,
22:49 nous dirons comme ça, un jeune malheureusement qui est tombé dans la drogue.
22:52 Beaucoup de parents nous téléphonent, dans toutes les émissions qu'ils nous font faire,
22:57 ils nous racontent comment ça se passe.
22:59 Mais nous nous disons qu'il y a un jeune fictum dans ce fléau-là,
23:03 qui est capable de faire, de bien faire, pour aider lui,
23:07 non seulement lui, mais ses parents, ses entourages,
23:10 pour être capable de sortir de ce fléau-là, parce qu'il n'est pas facile de sortir de ce fléau-là.
23:14 Oui, et Linais, c'est... vous avez tout à fait raison.
23:19 Et j'ai envie de profiter, parce que je dois vous saluer,
23:26 beaucoup d'émissions, surtout "Correct ou Pas Correct",
23:30 quand il y a des questions des parents, surtout des mamans qui pleurent,
23:34 les lentilles avec les autres, pour les enfants de la drogue, les proches de la drogue,
23:39 qui, vous pouvez faire une pente, moi, entre mes parents-là,
23:43 par téléphone, je fais ma cause à mes parents-là,
23:47 donner un lieu de l'espoir, dire à eux qui existe pour pouvoir sortir.
23:53 Vous connaissez dans un genre, qui est accro à la drogue,
23:56 qui est dépendant avec la drogue.
23:59 Il y a plein de solutions.
24:02 Les Bézins font un traitement médical,
24:05 pour soigner son physique.
24:08 Accompagnés avec le traitement médical,
24:12 les Bézins soignent leur dépendance psychologique,
24:15 qui doit être dans leur tête.
24:17 Parce que si le soin existe, pardon, sur le physique,
24:22 ou pas soigné sur le mental, ça reste dans leur tête,
24:26 pour récheter.
24:29 Alors, j'ai envie de saisir l'occasion, les lentilles,
24:32 pour dire à mes parents,
24:35 je sais que vous pouvez souffrir,
24:38 je comprends la souffrance, je vois ça,
24:40 je suis malade tous les jours, moi.
24:42 N'ayez pas d'encouragement.
24:44 Et déjà, vous pouvez rimer,
24:47 vous pouvez rimer moralement,
24:49 je dis ça envers mes parents.
24:51 Faites attention avec certaines cliniques,
24:54 escrocs, certaines centres.
24:57 Vous savez, il y a des gens qui peuvent trouver
25:00 un problème, par exemple, qui peut souffrir,
25:03 et des centres peuvent ouvrir comme un champion.
25:06 40 000 rupees une semaine,
25:09 l'autre 150 000 pour un mois, etc.
25:13 Je dirai à mes parents,
25:16 vous savez, dans ce centre, contre moi,
25:19 tout service est gratuit.
25:22 Ce traitement médical, ce médicament,
25:25 et ce suivi psychologique.
25:27 Et il y a des médecins, contre moi,
25:30 qui ne font pas de formation pour l'addiction,
25:33 pour la drogue dans l'Amérique.
25:36 Vous ne comprenez pas?
25:38 Ce n'est pas tout respect pour tous les médecins.
25:41 Vous ne pouvez pas avoir un médecin spécialiste
25:43 pour faire attention au diabète,
25:45 pour soigner vos enfants.
25:47 Alors, ne pas rimer financièrement avec des escrocs.
25:50 - Mais, Ali, j'ai un mot pour vous,
25:53 juste pour me faire un point très important.
25:56 Pour quelqu'un qui est sorti de la drogue,
25:58 qui est conscient qu'il y a des problèmes,
26:01 et qui a envie de sortir de la drogue.
26:03 C'est important.
26:05 - Je vous remercie.
26:07 Je sais que vous pouvez dire,
26:09 vous savez, beaucoup de parents pleurent avec moi tous les jours.
26:12 Ici, Ali Laze, Ali, Ali,
26:15 nous souffrons, nous avons des cas de crâne partout,
26:18 nous avons des problèmes partout,
26:21 et nous avons de la misère.
26:23 Je veux dire, est-ce que vous avez l'intention
26:26 de disposer, vous savez,
26:28 pas à vos mamans qui ont des problèmes dépendants,
26:30 pas à vos papas qui ont des problèmes dépendants,
26:33 c'est aux enfants qui ont des problèmes dépendants.
26:36 Mais si ils n'ont pas envie de sortir,
26:38 non, ils ne peuvent pas mourir.
26:40 Il n'y a pas de miracle de traitement pour mourir,
26:44 parce que les enfants n'ont pas envie de sortir.
26:46 Vous ne comprenez pas ?
26:48 Alors, il faut que...
26:50 Alors, nous, nous travaillons quand même avec les enfants,
26:52 avec les jeunes, surtout,
26:54 dans la drogue consommatrice, comme nous,
26:56 qui viennent volontairement accompagner les autres parents,
26:59 nous préparer pour qu'il y ait des intoxications,
27:02 et pour une suivi des autres...
27:06 travailler les autres mentaux,
27:08 et faire les autres "follow-up", et travailler avec les autres parents, etc.
27:12 Et je voudrais dire,
27:14 et Thalia, si vous pouvez, maintenant,
27:16 je vous donne le numéro téléphone,
27:18 pour les autres parents qui sont dans la détresse,
27:20 pour les autres filles,
27:22 pour les autres parents qui sont en train de finir financièrement,
27:24 avec les centres qui poussent,
27:26 comme à Sampignon, clinique, qui peut...
27:28 - Bien sûr, il y a d'autres qui vont à la soin, qui peuvent donner,
27:30 - Bien sûr, mais là, actuellement,
27:32 les bons, ici, moi, je tiens l'attention des parents,
27:34 qui, vous connaissez,
27:36 le ministère de la Santé,
27:38 qui provident des médicaments pour les soins des gens.
27:40 Depuis 15, 20 ans,
27:42 beaucoup de centres, des ONG,
27:44 ont fait des très bons médicaments,
27:48 mais, un coup,
27:50 un médecin,
27:52 un coup,
27:54 il ne donne pas de médicaments,
27:56 par rapport à ce qu'on peut faire,
27:58 tout ça, très mal,
28:00 tu peux donner,
28:02 qui nous baissait graduellement,
28:04 - Dans le traitement, oui.
28:06 - Vous êtes venus,
28:08 son néoporte qui comprimait,
28:10 je vous dis, tout ça, là, une bande,
28:12 qui fait une bande,
28:14 posez-vous la question,
28:16 il peut bien m'envoyer 15, 20 ans,
28:18 c'est là, parce qu'il y a un problème,
28:20 la drogue, il y a un problème de variété,
28:22 il y a une variété,
28:24 il y a un réseau pour les gens, la drogue,
28:26 mais ce traitement ici, il y a une variété,
28:28 il faut qu'on encourage,
28:30 euh, euh,
28:32 euh, euh,
28:34 comment appeler,
28:36 pour mettre les gens,
28:38 - Le traitement, "exototant" écrit,
28:40 - Très bon traitement,
28:42 - Le bison, bien, comment vous dire,
28:44 - C'est tout, l'eau métadone,
28:46 ce bison,
28:48 etc., où on bloque
28:50 tout le réseau, et ça, c'est un médicament
28:52 que je vous dis, qui spécialise dans les centres,
28:54 à l'époque,
28:56 il montre, il porte ce prix,
28:58 et le plus beau morceau
29:00 qui est métadone,
29:02 moi, on peut dire, métadone, c'est un zinc
29:04 qui est scientifique,
29:06 on peut dire, où tu as l'air là-bas,
29:08 il n'existe pas pour te prendre,
29:10 sinon, ça va vous dire dans votre bouche,
29:12 mais malheureusement, actuellement,
29:14 il n'existe pas un médicament
29:16 qui coûte très beau morceau,
29:18 qui facilite ce type d'application
29:20 dans notre dépendance à la drogue.
29:22 - Ce type d'application, c'est-à-dire
29:24 une stratégie de prévention nationale,
29:26 est-ce qu'il y a aussi
29:28 une stratégie de traitement national ?
29:30 - Bien sûr, bien sûr,
29:32 parce que je vous dis,
29:34 réduction de la demande, c'est prévention,
29:36 traitement et la réhabilitation.
29:38 Souvent, vous avez
29:40 un grand grand dialogue,
29:42 vous vous dites justement,
29:44 oui, nous pouvons faire un traitement,
29:46 nous pouvons faire une réhabilitation,
29:48 moi, je mets un défi,
29:50 je lance un défi, vous faites face à face à moi,
29:52 vous me dites ce que vous pouvez faire
29:54 comme réhabilitation.
29:56 Zéro.
29:58 - Est-ce qu'il y a quelque part
30:00 aujourd'hui, nous trouver beaucoup
30:02 du travail fait par les ONG
30:04 sur le terrain,
30:06 pour pouvoir aider les gens
30:08 qui sont dans cette situation-là,
30:10 et juste me rappeler,
30:12 je me rappelle que j'ai eu l'occasion de téléphoner
30:14 au 213 77 77,
30:16 ou de demander une question à Bayali,
30:18 mais est-ce qu'il y a quelque part
30:20 dans les ONG,
30:22 est-ce que les ressources qu'ils ont,
30:24 n'est-ce pas suffisant ?
30:26 - Vous savez,
30:28 il y a un plaisir,
30:30 vous savez, moi, un ancien, autre fonctionnaire,
30:32 moi, j'ai tout le respect pour mes fonctionnaires,
30:34 moi, dire,
30:36 ça travaille,
30:38 prévention, traitement, réhabilitation,
30:40 là, pas pour qu'à pas faire,
30:42 fonctionnaire, ministère,
30:44 moi, un ancien,
30:46 - Oui, vous connaissez qui fait, vous pouvez dire.
30:48 - Autre fonctionnaire, moi,
30:50 je suis responsable de mon département,
30:52 vous ne comprenez ?
30:54 Je vous dis, moi, l'arrêterai,
30:56 je peux dire, pas pour qu'à pas faire.
30:58 Vous connaissez, moi,
31:00 je ne vais pas dire les autres fonctionnaires, moi,
31:02 dans mon bureau,
31:04 quand je peux, pour quatre heures,
31:06 je peux me réveiller, moi,
31:08 je finis préparer mon sac,
31:10 pour m'y aller, moi.
31:12 Mais, quand il s'agit de ces
31:14 travailleurs sociaux,
31:16 qui travaillent dans ce centre,
31:18 il n'y a pas d'évident, qui me témoignent.
31:20 - Alors, nous avons l'appel,
31:22 nous avons Iqbal de Rosil,
31:24 bonjour, Iqbal. - Bonjour, mon frère,
31:26 bonjour, mon frère, Baya Lilazir.
31:28 - Bonjour, mon frère. - Ecoutez,
31:30 moi, je vous félicite de votre travail,
31:32 vous connaissez,
31:34 depuis que je suis bien jeune,
31:36 bien de l'enfance,
31:38 il y a Mustapha Imam Bihari,
31:40 - Mon mento, c'est mon mento.
31:42 - Oui, c'est ça.
31:44 C'est ça, quand je dis
31:46 à un extra, je vais faire
31:48 beaucoup de travail pour lui,
31:50 mais je vous dis, pour dire une chose,
31:52 je ne suis pas un politique,
31:54 mais je ne peux pas dire aux Baya Lilazir,
31:56 moi, je suis un garçon, c'est moi,
31:58 tout ce qu'il vous dit, moi,
32:00 si je suis un jeune Baya Lilazir,
32:02 moi aussi, je fais des vacances,
32:04 des camarades, mais c'est des vacances,
32:06 mais je vous dis,
32:08 c'était mon mari, c'était mon mari à l'époque,
32:10 et puis, je vous explique
32:12 à mon garçon, qu'il y a une cigarette,
32:14 qui il était, qui il était,
32:16 qui il était, qui il était,
32:18 une cigarette, quand on commence,
32:20 tu sais, ce n'est pas facile,
32:22 si on rentre là-dedans,
32:24 on peut regarder les autres, les filles,
32:26 on peut regarder les autres, les filles,
32:28 mais tout ça, je vous explique à mon garçon,
32:30 pour faire parent, je vous explique aux autres enfants,
32:32 moi, je vais dire une chose,
32:34 parce que, qu'est-ce qu'il fait,
32:36 vous avez une vie, comme je dis, une camarade, c'est vos enfants,
32:38 si vous ne vous expliquez pas aux enfants,
32:40 la vie, si vous êtes en dehors,
32:42 pour venir expliquer aux enfants la vie,
32:44 mais les enfants peuvent le gâter, qu'est-ce qu'il fait,
32:46 parce que vous, vous pouvez l'expliquer de la bonne façon,
32:48 mais nous autres, je peux l'expliquer
32:50 de l'autre façon, mais vous, comme parents,
32:52 vous pouvez l'expliquer de la bonne façon aussi,
32:54 mais depuis petit, depuis bien petit,
32:56 même, il y a 10 ou 20 ans,
32:58 depuis 5 ans, je me suis mis à l'idée,
33:00 depuis 5 ans, 5 ans, je me suis mis à l'idée,
33:02 une cigarette, je me suis dit,
33:04 je vais vous dire, je ne suis pas un "coupe",
33:06 mais seulement, il y a là,
33:08 c'est un travail que vous faites,
33:10 c'est un travail extra, je vous dis,
33:12 je vais vous donner des dollars, je vais vous couper,
33:14 ce n'est pas facile, mais la drogue,
33:16 elle peut faire le travail, mais mon père,
33:18 j'ai des enfants, moi aussi,
33:20 parce qu'il y a des femmes ici,
33:22 il y a des enfants, tout ça,
33:24 mon père, les enfants, ils vont à l'école,
33:26 je ne pense pas qu'ils prennent des leçons,
33:28 mais seulement, moi, je fais mes enfants,
33:30 une fois, mais seulement, à ce moment-là,
33:32 il peut grandir, je finis par dire,
33:34 je ne sais pas si c'est bon,
33:36 parce qu'après, il y a des enfants,
33:38 ils font la prière,
33:40 à cause de la mosquée, de la magnolie,
33:42 de l'église, avec les autres enfants,
33:44 parce qu'ils aiment, c'est une affaire-là,
33:46 après, c'est bon, il y a des gens,
33:48 je les ai rencontrés, ils ont des enfants,
33:50 ils sont en train de monter, ils ont la drogue,
33:52 depuis ce jour-là, je ne sais pas qui est arrivé,
33:54 mais c'est vraiment tout pour faire ça.
33:56 Une fois au combat, après, les enfants,
33:58 ils prennent leur relève,
34:00 les nouveaux qui sont élevés, ils prennent leur relève.
34:02 Merci, Baya Ali.
34:04 - Merci, Iqbal, Iqbal,
34:06 il a dit un point très, très important,
34:08 la responsabilité des parents,
34:10 non pas une fois que les enfants viennent rentrer,
34:12 mais avant, préventif,
34:14 et ça,
34:16 ça dialogue entre
34:18 parents et enfants,
34:20 dès un très jeune âge,
34:22 c'est un rôle important pour que les enfants-là
34:24 soient capables de connaître.
34:26 - Effectivement,
34:28 ça a été
34:30 au téléphone,
34:32 vous connaissez les parents,
34:34 je le dis, comme les parents
34:36 qui ont des enfants.
34:38 Les parents, ils ont
34:40 un très bon rôle modèle.
34:42 Iqbal a raison,
34:44 ils commencent par la cigarette,
34:46 parce que tout commence par la cigarette.
34:48 Je ne peux pas dire 100%
34:50 que tout le monde qui fume une cigarette
34:52 commence par la cigarette.
34:54 Je peux dire que 100% des gens qui fument une cigarette
34:56 commencent par la cigarette.
34:58 Iqbal a raison, les camarades,
35:00 ils peuvent rire de la cigarette,
35:02 ils peuvent la fumer, ils peuvent faire de l'eau,
35:04 ils peuvent séminer, je veux dire,
35:06 nous, on a un prix fort.
35:08 Mais moi, je dis à mes parents,
35:10 pour que vous ayez un bon rôle modèle pour vos enfants,
35:12 jamais, même moi, je ne fume pas de la cigarette,
35:14 jamais vous faites aux enfants
35:16 acheter une cigarette pour la boutique
35:18 et jamais vous ne parlez
35:20 à vos enfants.
35:22 Oui, malgré ça, la loi, elle fait
35:24 plus de viols dans le pays. Moi, je fais une tabazine
35:26 quand je suis en collège,
35:28 je temoigne comment les enfants fument,
35:30 fument des cigarettes.
35:32 Ils viennent vendre, ils viennent faire profit.
35:34 Vous ne parlez pas aux enfants
35:36 d'acheter la loi. Après,
35:38 Iqbal a raison,
35:40 c'est important
35:42 de faire des dialogues.
35:44 Avec les enfants,
35:46 en conversation, vivre
35:48 comme un camarade avec lui, c'est vrai.
35:50 Vous connaissez récemment, moi, je fais une causerie
35:52 dans l'université Maurice,
35:54 pour des élèves qui veulent faire la loi.
35:56 Ce jour-là, il y a 24 élèves
35:58 dans sa classe
36:00 qui ont intervenu
36:02 à la citation de la drogue.
36:04 Quand on finit de causer,
36:06 il y a des questions.
36:08 Je vais arrêter de dire où, parce que
36:10 tous les élèves de sa classe,
36:12 disent comme ça,
36:14 c'est un grand problème,
36:16 parce qu'il y a pas assez de dialogue.
36:18 Il y a pas assez de communication
36:20 avec nos parents. Je ne veux pas dire
36:22 que nos parents sont tôt. Je veux dire,
36:24 nous ici, on a nos responsabilités.
36:26 Parce que comment on peut rentrer à la maison ?
36:28 On finit de prendre un bain, on rentre dans
36:30 la salle, on ferme la porte, on a
36:32 nos laptops, on a nos computers.
36:34 Vous comprenez ? Jusqu'à un bout de dîner,
36:36 ça aussi, parfois, on dit, "Maman, amène-moi
36:38 manger là-bas, là-haut, je vais aller
36:40 dîner." Mais, qu'est-ce que ça fait
36:42 longtemps, là ? Moi, je me rappelle
36:44 quand j'étais enfant.
36:46 Je suis allé, le soir,
36:48 ma grand-mère qui habite
36:50 près de moi, elle est venue
36:52 côté de nous, tous ces enfants,
36:54 réunis, nous assis autour de ma grand-mère,
36:56 ils racontent des histoires
36:58 tisanes. C'est ça, à l'époque.
37:00 Mais les histoires tisanes
37:02 que ma grand-mère peut raconter, moi, là.
37:04 Elle est
37:06 chauve, attirée, là-dedans. - Tout à fait.
37:08 Allez, on prend encore une petite pause,
37:10 ici, dans les histoires tisanes.
37:12 Correc, pas correct,
37:14 l'eau de PFM.
37:16 - Liban connaît.
37:18 - Oui.
37:20 ...
37:22 ...
37:24 ...
37:26 ...
37:28 Je vous remercie.
37:30 Je vous remercie.
37:32 Je vous remercie.
37:34 Je vous remercie.
37:36 Je vous remercie.
37:38 Je vous remercie.
37:40 Je vous remercie.
37:42 Je vous remercie.
37:44 Je vous remercie.
37:46 Je vous remercie.
37:48 Je vous remercie.
37:50 Je vous remercie.
37:52 Je vous remercie.
37:54 Je vous remercie.
37:56 Je vous remercie.
37:58 Je vous remercie.
38:00 Je vous remercie.
38:02 Je vous remercie.
38:04 Je vous remercie.
38:06 Je vous remercie.
38:08 Je vous remercie.
38:10 Je vous remercie.
38:12 Je vous remercie.
38:14 Je vous remercie.
38:16 Je vous remercie.
38:18 Je vous remercie.
38:20 Je vous remercie.
38:22 Je vous remercie.
38:24 Je vous remercie.
38:26 Je vous remercie.
38:28 Je vous remercie.
38:30 Je vous remercie.
38:32 Je vous remercie.
38:34 Je vous remercie.
38:36 Je vous remercie.
38:38 Je vous remercie.
38:40 Je vous remercie.
38:42 Je vous remercie.
38:44 Je vous remercie.
38:46 Je vous remercie.
38:48 Je vous remercie.
38:50 Je vous remercie.
38:52 Je vous remercie.
38:54 Je vous remercie.
38:56 Correct ou pas correct, l'autre de PFM.
39:00 Les bons connaissent.
39:02 La question correcte ou pas correcte
39:04 qui nous fait causer le fléau de la drogue
39:06 avec nos invités Ali Nazer,
39:08 l'infatigable travailleur social
39:10 nous le répète,
39:12 qu'il a depuis tellement longtemps.
39:14 Ali,
39:16 nous devons suivre un peu nos pensées
39:18 parce qu'il nous cause la drogue
39:20 comme des morts infectées.
39:22 D'après vous, dans nos petits pays,
39:24 il y a environ 10 millions qui restent.
39:26 Combien de gens sont directement
39:28 affectés par ce fléau-là?
39:30 Vous connaissez
39:32 le dernier rapport
39:34 du ministère de la santé
39:36 qui m'a pris en réserve
39:38 je suis en réserve
39:40 là-bas
39:42 il y a 55 000
39:44 gens
39:46 qui sont enceintes dans nos pays
39:48 qui me disent qu'il y en a
39:50 beaucoup plus parce que je suis
39:52 en réserve
39:54 alors
39:56 ça fait peur
39:58 bien sûr, il y a énormément de gens
40:00 et dans ce même rapport-là
40:02 ça fait encore plus peur
40:04 quand on voit
40:06 qu'il y a un rajeunissement
40:08 et une féminisation
40:10 d'après les autres titres
40:12 qui sont entre 4000 et 4000
40:14 alors
40:16 ça fait beaucoup peur
40:18 quand on voit les nombres de gens
40:20 qui sont en réserve
40:22 qui attendent un traitement pour le faire
40:24 qui me disent qu'actuellement
40:26 il y a un découragement
40:28 pour les responsables des centres, les travailleurs sociaux
40:30 parce qu'ils arrêtent de gagner
40:32 tous les médicaments
40:34 qu'ils peuvent gagner 15 ans, 10 ans
40:36 de ces là
40:38 c'est pour moi volontaire, je peux faire ça
40:40 vous me comprenez?
40:42 alors pour décourager les ONG
40:44 les travailleurs sociaux
40:46 alors pour être capable de taper l'estomac
40:48 les suboxone, méthadone
40:50 pour donner de la zène
40:52 à partir de 15 ans
40:54 alors
40:56 nous disons
40:58 je crois beaucoup
41:00 malgré qu'on est fondé en ce centre
41:02 de traitement des ONG
41:04 moi qui peux dire ça
41:06 "prevention is better than cure"
41:08 mais vaut
41:10 la prévention
41:12 que les traitements
41:14 - Nous causons la prévention dans plusieurs étapes
41:16 avec la stratégie nationale
41:18 qui est en place
41:20 nous causons aussi
41:22 justement
41:24 une stratégie nationale
41:26 pour délire avec
41:28 les gens qui sont là
41:30 nous connaissons
41:32 comme beaucoup les autres centres qui font
41:34 ce travail, nous avons
41:36 une liste d'attente de personnes
41:38 qui ont envie de sortir de cette situation
41:40 mais nous prenons le cas d'une personne
41:42 qui veut venir vers nous
41:44 pour nous faire un problème
41:46 on lui fait un traitement
41:48 et on fait un suivi avec cette personne
41:50 donc
41:52 il paraît que oui
41:54 ça peut être bien joli
41:56 mais est-ce qu'il est aussi facile que ça ?
41:58 - C'est un grand travail
42:00 vous connaissez
42:02 pour nous les travailleurs sociaux
42:04 quand il y a une cabine devant nous
42:06 c'est qu'il n'y a pas
42:08 juste cette personne qui vient
42:10 pour se faire la drogue
42:12 nous tous autour
42:14 de lui il y a la famille qui peut se faire ensemble
42:16 vous comprenez ?
42:18 nous mettons tout, nous travaillons
42:20 notre mieux pour faire le maximum
42:22 c'est ce que je peux vous dire
42:24 vous connaissez les pas encourageants
42:26 qui font les pas encourageants ?
42:28 c'est les travailleurs sociaux
42:30 qui travaillent dans les ONG
42:32 dans les centres
42:34 je vous le dis pendant plusieurs
42:36 années
42:38 moi je suis fier
42:40 heureusement que moi je suis un travailleur social
42:42 volontaire, je suis motivé
42:44 l'appel qui est gagné
42:46 pour vivre avec la famille
42:48 - Nous prenons l'appel
42:50 bonjour, vous pouvez nous dire
42:52 votre nom s'il vous plaît ?
42:54 - Oui, bonjour pour tous les jours
42:56 - C'est qui à l'appareil ?
42:58 - Majid
43:00 - Majid de ? - Félix
43:02 - Allez, nous écoutons Majid
43:04 - Bonjour à tous, bonjour Top FM
43:06 tout le monde de l'équipe, on peut bien s'entendre
43:08 - Bonjour Bayali
43:10 - Bonjour mon frère
43:12 - Oui, Bayali, je te félicite
43:14 pour tout le bon travail que tu fais
43:16 - Pense moi d'avoir la plaisir
43:18 - Oui, une chose que je peux vous dire
43:20 c'est que c'est une méthode
43:22 ils donnent ça pour que les gens
43:24 gagnent en soulagement
43:26 mais moi je me suis trouvé
43:28 et il y a des gens qui ont la méthode coupée
43:30 acheter quand il est bon
43:32 il n'est pas qualifié
43:34 là il y a le rôle de l'argent
43:36 pour les bazar
43:38 ça j'ai fait un appel synthétique
43:40 ça a parti là jusqu'en 2014
43:42 et ça a le gouvernement changé
43:44 ça fait une rentrée
43:46 il y a plus
43:48 alors c'est 50 rupies
43:50 on peut gagner
43:52 bon, moi aussi j'ai des enfants
43:54 si vous voulez Bayali
43:56 j'ai des enfants qui ont eu un accident
43:58 là, accident grave
44:00 c'est des ramas
44:02 enfin, j'ai une chose sur la vie
44:04 les filles ont la méthode
44:06 mais pour faire la méthode
44:08 il faut que je gagne
44:10 je dois le faire
44:12 parce que vraiment, il peut arrêter sur la vie
44:14 il y a des gens qui vivent là
44:16 il y a des gens qui peuvent arrêter
44:18 merci Bayali
44:20 je vous remercie beaucoup
44:22 - Merci beaucoup Majid
44:24 et Majid, justement, il vient dire ce qu'il nous peut dire
44:26 il a le rôle des parents
44:28 - Il y a beaucoup de personnes qui ont
44:30 le traitement de dispensation
44:32 de méthadone
44:34 qui fait la même remarque
44:36 que ce que le frère Majid a fait
44:38 je veux dire, je ne comprends pas
44:40 comment ils diminuent
44:42 les doses
44:44 je ne comprends pas
44:46 il y en a qui disent qu'ils mettent un petit peu d'eau
44:48 dans des oranges pour donner d'autres
44:50 parce qu'il ne faut pas oublier
44:52 il y a aussi un trafic
44:54 méthadone
44:56 alors, il y a des possibilités
44:58 le trafic peut faire
45:00 méthadone dose, méthadone
45:02 des gens qui méritent, pas de données pour faire
45:04 trafic
45:06 alors, il n'y a pas de contrôle
45:08 il n'y a pas de montrement
45:10 de faire des reportages dans les journalistes français
45:12 qui ne constate pas
45:14 qu'on peut distribuer méthadone
45:16 - Est-ce que, quelque part
45:18 l'Etat
45:20 quelque part
45:22 peut laisser
45:24 sa responsabilité à l'autre
45:26 c'est-à-dire qu'il arrive l'air
45:28 c'est une question, que tout cela
45:30 prenne son emploi et l'équilibre
45:32 c'est-à-dire qu'il considère
45:34 une urgence nationale
45:36 et qu'il le traite
45:38 comme une urgence nationale
45:40 - Tout à fait raison
45:42 alors, vis-à-vis
45:44 de cette situation
45:46 de cette situation
45:48 vous connaissez l'Etat
45:50 vous avez
45:52 le gouvernement, vous pouvez dire
45:54 l'Etat
45:56 l'Etat a son
45:58 port de responsabilité
46:00 ne pas produire de l'héroïne dans notre pays
46:02 malgré le scanner
46:04 ou le custom
46:06 drug unit
46:08 ou la brigade anti-drogue, etc.
46:10 il peut défoncer
46:12 le filet de protection, il peut quitter
46:14 ne pas produire
46:16 il rentre dans le pot
46:18 il rentre dans notre air pot
46:20 là, actuellement, sous cette quantité de saisie
46:22 d'une agence
46:24 de transition
46:26 de plaisance, la drogue peut traverser
46:28 et venir dans notre air pot
46:30 mais l'Etat a son port
46:32 de responsabilité
46:34 parce qu'il a vu là-bas
46:36 dire, oui, on prête ses mains
46:38 pour travailler pour la population
46:40 bien-être de la population
46:42 mais quand vous faites la drogue là
46:44 pour défoncer le filet
46:46 et venir dans notre air pot, l'Etat a son
46:48 port de responsabilité
46:50 bien sûr, je n'ai jamais allé à l'AZ
46:52 je n'ai jamais dit à quelqu'un de prendre la drogue
46:54 une victime moi. Si les victimes
46:56 les victimes de ce soit
46:58 comprends-moi bien. Il y en a beaucoup qui disent
47:00 ouais, elle consomme la terre
47:02 la drogue est une victime. Non!
47:04 Il y a une victime de ce soit
47:06 qui fait un mois ou l'inné ne prend pas la drogue
47:08 parce que c'est une soie
47:10 alors
47:12 l'Etat a son port de responsabilité
47:14 quand on défonce le filet de protection
47:16 on vend le colteur, on vend
47:18 24/7, on a la foi, on la vend la drogue
47:20 mais l'Etat a son port de responsabilité
47:22 pour soigner
47:24 ces gens qui viennent esclaves de la drogue
47:26 je veux dire, moi
47:28 Ali Laze a dit, je lance
47:30 un défi, un challenge
47:32 une face à face avec
47:34 évidence, je veux montrer
47:36 qu'il y a une réelle volonté pour combattre ça
47:38 ni pour
47:40 empêcher les gens de rentrer
47:42 ni pour tenir les gens qui rentrent
47:44 dans un fléau là. Très bien, merci beaucoup
47:46 Ali Laze, nous finissons la fin de
47:48 l'émission, presque la fin, il nous reste
47:50 une minute, me laissez la parole
47:52 pour cause
47:54 qui vous pensez bien faire aujourd'hui
47:56 tout de suite, pour nous
47:58 commencer à gagner sa combat
48:00 contre la drogue. Moi, moi
48:02 Ali, avec beaucoup
48:04 je vais faire mal quand je vais dire ça
48:06 moi je veux dire
48:08 par an, l'autorité
48:10 il me fait
48:12 peine à Rambo, peine à Zorro, peine à
48:14 Superman pour empêcher la
48:16 drogue grande dans nos pays. Alors
48:18 par an, assume
48:20 vos responsabilités. Moi je sais que ce n'est pas
48:22 facile d'être parent en l'an
48:24 euh, vingt-vingt-quatre.
48:26 Il passe à l'époque qui moi, j'ai ces enfants
48:28 là. Il passe à l'époque où
48:30 parent quand j'ai ces enfants là.
48:32 Alors soyez très vigilant
48:34 par an. Confréquentation
48:36 aux enfants. Je ne peux pas dire que j'ai un rôle
48:38 chéri, la police
48:40 avec les enfants. Mais
48:42 qu'est-ce que c'est que
48:44 cette confréquentation? Gagne dialogue
48:46 avec lui.
48:48 L'école
48:50 comprend
48:52 les racontent
48:54 Cameroun qui vous donne
48:56 mauvais l'esprit. Alors
48:58 vivre comme un camarade
49:00 avec vos enfants et à nous
49:02 protéger nos enfants jusqu'à
49:04 prêcher du contraire qui
49:06 prennent une réelle volonté politique
49:08 pour combattre la drogue et encore
49:10 une fois merci à vos
49:12 enfants pour cette confréquentation et
49:14 merci merci Top FM
49:16 pour l'occasion ils me donnent moi
49:18 pour me porter à une petite expérience
49:20 avec Zote. Très bien. Merci beaucoup
49:22 euh, Bayali. Merci à Zote pour
49:24 ce film. Reste fidèle à nous l'émission.
49:26 Nous donnez autre rendez-vous une prochaine fois
49:28 pour une autre émission de Corée
49:30 de parcourir.
49:32 Corée, parcourir l'eau

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