ZOOM EXTRA Manisha Jooty accueille en studio Reza Uteem du MMM et Veronique Leu -Govind

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Démissions en série, critiques, piques lancées de parts et d’autres, la scène politique en effervescence…… Il en sera question ce jeudi 18 avril à partir de 17 h 30. Manisha Jooty accueille en studio Reza Uteem du MMM et Veronique Leu -Govind, ancienne présidente du PMSD. Vos questions sur le 213-7777

Transcript

00:00:00 Je vous dis à la prochaine.

00:00:05 Zoom extra. Madame, monsieur,

00:00:09 bonsoir euh, démission en série

00:00:11 critique, pic lancé euh, de

00:00:13 port et d'autres, la scène

00:00:15 politique qui est liée en

00:00:17 effervescence. Une semaine qui

00:00:19 est la scène politique en en

00:00:20 effervescence, tous les autres

00:00:23 nous trouvent euh, ben euh,

00:00:25 ben différents épisodes. Donc,

00:00:27 aujourd'hui, on a un président

00:00:32 euh, et que Véronique Legovine

00:00:34 ancienne présidente du PMSD et

00:00:38 STLM, nouveau démocrate. C'est

00:00:40 un nouveau parti euh, qui

00:00:43 créé euh, grand matin même.

00:00:44 Mais avant euh, nous causent et

00:00:46 nous ben euh, invité euh, nous

00:00:48 pour l'NTP qui est arrivé ce

00:00:51 semaine-là. Euh, tractation

00:00:53 type effet, derrière nous les

00:00:55 deux, euh, les deux

00:00:58 postes travaillistes

00:01:01 MMM, Paul Bironcé, euh, le

00:01:04 déportement de PMSD depuis

00:01:07 l'alliance poste travailliste

00:01:10 MMM. PMSD. Nous écoute euh,

00:01:14 qui dit ailleurs. Navin

00:01:16 Ramgoulam n'y va pas de main

00:01:18 morte. Pour lui, des

00:01:19 tractations entre le PMSD et

00:01:21 le MSM ont bien eu lieu. C'est

00:01:23 un certain du monde de PMSD

00:01:25 pose de agissements, fait nous

00:01:27 commence moins confiance dans

00:01:28 ce qui peut arriver. Dans nos

00:01:30 réalités. On peut faire dans

00:01:32 nous les deux. Avec MSM.

00:01:33 Concernant l'attribution des

00:01:34 tickets à chaque partie, le

00:01:36 PMSD demandait dix à Navin

00:01:38 Ramgoulam. Celui-ci s'explique

00:01:40 sur le fait de ne lui en avoir

00:01:42 accordé que huit. Quand

00:01:44 Xavier Duvalvigne est mort,

00:01:46 moi Paul hein, j'ai dit à Paul,

00:01:47 il a besoin dix tickets, il a

00:01:49 besoin un ticket dans le numéro

00:01:51 trois, il a besoin dix tickets

00:01:53 pour remplacer un candidat

00:01:55 PMSD qui ne veut pas d'accord

00:01:57 du tout. Ni le disquette, moi

00:01:59 j'ai besoin de tickets parce

00:02:01 qu'il est travaillé, je m'en

00:02:03 expliquais, qui fait un

00:02:04 trente-cinq. Navin Ramgoulam

00:02:05 estime que lors de leur

00:02:06 rencontre à Riverwalk, Xavier

00:02:08 Luc Duval aurait fait

00:02:09 volontairement entraîner les

00:02:10 discussions. Treize avril,

00:02:12 écoute-moi, moi dire, le

00:02:14 dixième avril du bal qui nous

00:02:15 faisait finaliser, on va

00:02:16 continuer comme ça, mais moi

00:02:18 je disais ce body language,

00:02:20 il donne l'impression bien

00:02:21 clair qu'il a envie de traîner

00:02:23 nous dans les discussions, pas

00:02:25 prendre l'écision, continuer

00:02:26 comme ça. Il m'a même dit à

00:02:28 certains moments, mais si on

00:02:29 parle ici là, ben ok, on va pas

00:02:30 parler le premier mai, on va

00:02:32 faire le porte ouverte le

00:02:33 cinquième mai. L'ancien

00:02:34 premier ministre a concède qu'il

00:02:36 n'aurait jamais cru que Balbert

00:02:37 Angers ferait autant de

00:02:39 sacrifices pour plaire au PMSD.

00:02:41 Pour ce qui est du programme de

00:02:42 l'Alliance, ce sera désormais à

00:02:44 Jay Guenness et Ousmane Mahomed

00:02:46 de faire bouger les choses.

00:02:47 Il est bon de dire aussi que

00:02:49 pour le programme, nous allons

00:02:51 mettre des émunes pour

00:02:52 considérer, pour co-présider

00:02:54 le, le programme. Donc, nous

00:02:55 allons mettre à Jay Guenness,

00:02:56 que nous, Ousmane Mohamed.

00:02:58 Navin Ramgoulam a également

00:02:59 critiqué le président de

00:03:00 l'Assemblée nationale pour ses

00:03:02 remarques faites mardi envers

00:03:04 les députés travaillistes et

00:03:06 ceux du MMM. Du MMM, du MMM,

00:03:08 du MMM. Voilà, ça c'était

00:03:10 euh, Marc Pierre euh, qui

00:03:12 nous faire euh, euh, condenser

00:03:14 ce qui Navin Ramgoulam a dit

00:03:16 hier euh, euh, dira à

00:03:17 l'Assemblée nationale. Donc,

00:03:19 c'est d'après ça. Euh, premier

00:03:21 euh, Réza Outim, bonsoir. Une

00:03:24 première réaction vis-à-vis à

00:03:28 ce qui Paul Bérenger, au

00:03:30 leader et Navin Ramgoulam

00:03:32 indien. Bon après-midi

00:03:36 TV. Euh, c'est avec beaucoup

00:03:43 de plaisir qui aujourd'hui.

00:03:46 Euh, nous finançons avec euh,

00:03:49 le PMSD, le même parti

00:03:51 travailliste pendant plusieurs

00:03:53 mois et moi vous ai dit c'est

00:03:56 quand même triste, quand même

00:03:58 triste que de nous arriver.

00:04:00 Les bons qui Navin Ramgoulam

00:04:04 hier ils veulent mettre, ils

00:04:06 veulent remettre les pendules

00:04:07 à l'heure parce que

00:04:10 cas sûr, tu disais triste mais

00:04:12 le comportement de Xavier

00:04:14 Duval, c'est simplement

00:04:16 révoltant, quand il veut faire

00:04:18 quoi, qui à l'origine de sa

00:04:21 cactus là, c'était Paul

00:04:23 Bérenger. Et les bons qui

00:04:25 Navin Ramgoulam, ils viendraient

00:04:27 d'arriver à l'effet. Bérenger

00:04:29 il go out of his way. L'expression

00:04:32 qui Navin il s'est vus c'est

00:04:34 l'une ben forward, ben forward

00:04:36 backward, l'une vraiment faire

00:04:39 coup de sic pour plaire à euh,

00:04:42 premièrement le nombre de

00:04:44 tickets parce que quand

00:04:46 PMSD gagne 8 tickets, c'est

00:04:48 MMM qui gagne moins de tickets.

00:04:50 C'est pas travail, c'est travail,

00:04:51 c'est 35 tickets mais c'est

00:04:53 MMM qui gagne moins de tickets.

00:04:55 Quand ben PMSD pose de

00:04:58 circonscription, c'est ben

00:05:01 candidat MMM qui finit

00:05:03 sacrifié parce que PMSD apporte

00:05:05 dans numéro 14 et numéro 12,

00:05:07 les restes, tous de ben tickets

00:05:09 c'était dans la ville, dans la

00:05:11 ville principalement, c'est MMM

00:05:13 qui euh, qui s'est fait gagné

00:05:15 ben de tickets. Donc, le MMM

00:05:17 nous fait tous les faux. Le MMM

00:05:19 c'est nous qui nous d'accord

00:05:21 alors qu'il n'y a plus une

00:05:23 grande nombre de sièges qui

00:05:25 PMSD, c'est nous qui nous d'accord

00:05:27 qui fait Xavier-Luc Duval

00:05:29 euh, leader de l'opposition et

00:05:31 Patrick Scaramance, vingt,

00:05:33 vingt-huit de de l'opposition.

00:05:36 Donc, au niveau du MMM, nous

00:05:39 satisfaits qu'il nous fait faire tout

00:05:41 pour qu'il euh, garde sa dignité

00:05:43 de ben une partie de l'opposition

00:05:45 ensemble. La population

00:05:48 est moi-même, moi intriguée

00:05:50 parce que jusqu'à l'heure, ni la

00:05:52 population, ni moi, nous pas

00:05:54 connaît la raison qu'il fait

00:05:56 Xavier Duval, il décide pour

00:05:58 quitter l'alliance. Nous pas

00:06:00 connaît qu'il fait Xavier Duval

00:06:02 le vendredi, comme ça, il part pour

00:06:04 participer dans le premier mai,

00:06:06 rassemblement pour le premier mai alors que c'est le

00:06:08 politique le plus important dans une

00:06:10 année électorale, il dit ça, qu'il

00:06:12 dit, il va faire une journée

00:06:14 pour trouver euh, euh, euh,

00:06:16 dans euh, dans euh, euh, dans euh,

00:06:18 donc,

00:06:20 il y a un élément de réponse

00:06:22 qui vient

00:06:24 ben fait

00:06:26 d'icônes qui jouent, qui

00:06:28 lirent, qui s'enlèvent,

00:06:30 ils jouent euh, ben,

00:06:32 du PMSD, ils jouent

00:06:34 ben MSM et les temps

00:06:36 confrontent ça à

00:06:38 Xavier Duval, Xavier Duval, pas fin

00:06:40 de démentir, non, ni. Mais euh,

00:06:42 c'est qu'il avait du val, il dit tout le temps

00:06:44 à la presse, c'est difficile

00:06:46 pour travailler avec Paul Guéranger,

00:06:48 ça c'est comme quoi dimanche

00:06:50 qu'il dit ça, après ce

00:06:52 comité exécutif à soi.

00:06:54 Bien sûr, quand il dit

00:06:56 ça, à cause ça, que je suis bien triste,

00:06:58 je suis bien triste pour trouver ça,

00:07:00 parce que euh,

00:07:02 tous ça mois qu'ils travaillent ensemble.

00:07:04 Vous savez, quand

00:07:06 Xavier Duval fait une bien

00:07:08 très souvent, il appelle moi

00:07:10 nous discuter, quand

00:07:12 Xavier Duval fait une conférence de presse,

00:07:14 avant conférence de presse, il course avec

00:07:16 euh, Guéranger et il course

00:07:18 avec Ramoul Lam, donc,

00:07:20 ils tiennent longtemps, ils tiennent synergie,

00:07:22 donc à aucun moment

00:07:24 dans les mois

00:07:26 qui précèdent la cassure,

00:07:28 jamais on ne pense pas que Xavier Duval

00:07:30 vienne plaigner, comme ça,

00:07:32 Guéranger, parce qu'il n'a pas à travailler avec lui.

00:07:34 Au contraire, tout le temps, on a l'impression

00:07:36 qu'MMM,

00:07:38 PMSD, ils se font bloquer,

00:07:40 parce que nous, ils représentent

00:07:42 l'alliance de l'espoir

00:07:44 avant, avec Ndebouda, avant qu'il y ait Ndebouda

00:07:46 avec nous, avant, il faut qu'on parte,

00:07:48 qu'il nous, nous, ensemble, donc, nous,

00:07:50 on négocie tout le temps PMSD,

00:07:52 MMM, un bloc, avec

00:07:54 travailler sur notre bloc, donc,

00:07:56 Véronique connaît, nous, il y a une excellente

00:07:58 relation PMSD, MMM,

00:08:00 à tel point que nous, on commence à

00:08:02 trouver, comment dire, qu'il y a

00:08:04 une synergie,

00:08:06 pas au niveau seulement

00:08:08 des politiciens, mais au niveau

00:08:10 de la base, tout le monde,

00:08:12 c'est content, ça l'entend,

00:08:14 travaillent MMM, PMSD.

00:08:16 Et justement,

00:08:18 Véronique Le Govine,

00:08:20 dimanche, c'est

00:08:22 un petit peu où qu'il déclenche,

00:08:24 avec Oulé de démission,

00:08:26 et qu'au contraire,

00:08:28 Oulé de démission, vous disiez qu'il y a

00:08:30 un rapprochement

00:08:32 avec MSM qui n'est pas

00:08:34 d'accord avec le principe

00:08:36 PMSD, MMM,

00:08:38 qui n'est pas d'accord

00:08:40 avec l'affaire à sa partie-là.

00:08:42 Bonsoir,

00:08:44 Manicha, Réza,

00:08:46 et tout le monde qui peut suivre nous.

00:08:48 Moi, principalement, Moulé de démission,

00:08:50 comme on dit tout le temps,

00:08:52 c'était sur un manque de consultation,

00:08:54 de communication, au niveau du parti.

00:08:56 En ce qui concerne le rapprochement

00:08:58 et les négociations du PMSD

00:09:00 et MSM,

00:09:02 là, je ne suis pas capable de dire plus que ça,

00:09:04 parce que le leader Xavier-Luc Duval,

00:09:06 il nous dit que c'est complètement faux,

00:09:08 qu'il n'y a aucun rapprochement, mais il nous a donné

00:09:10 le bénéfice du doute, et l'avenir nous le dira.

00:09:12 En tant qu'ex-président d'un parti,

00:09:14 je suis dans la décence

00:09:16 de la confidentialité,

00:09:18 ce qui est passé à l'intérieur, je ne suis pas capable de dire ça.

00:09:20 Malheureusement,

00:09:22 mais ce que je peux dire,

00:09:24 c'est que je suis passé dans un parti ces derniers temps,

00:09:26 et c'était triste.

00:09:28 Quand on a un parti

00:09:30 comme le PMSD,

00:09:32 à qui je tiens à cœur,

00:09:34 c'est un parti qui m'a fait presque 10 ans,

00:09:36 qui m'a travaillé

00:09:38 pour le parti, avec le parti.

00:09:40 C'était un parti formidable,

00:09:42 avec un leader comme Xavier-Luc Duval,

00:09:44 mais ces dernières semaines, je ne peux plus reconnaître mon leader.

00:09:46 Parce que c'est quand même

00:09:48 12 démissionnaires,

00:09:50 avec un Kouchal Lobine, un Richard Duval,

00:09:52 ils ont dit qu'ils ne pouvaient plus faire

00:09:54 un nouveau parti politique,

00:09:56 un nouveau démocrate.

00:09:58 Certainement, oui,

00:10:00 parce que,

00:10:02 comme on me disait dans les annonces,

00:10:04 nous avons la même vision que le PMSD,

00:10:06 le parti est là,

00:10:08 pour que le PMSD diverte,

00:10:10 négocie l'alliance et sélective.

00:10:12 Nous sommes là, parce que nous nous y croyons,

00:10:14 nous souhaitons la démocratie,

00:10:16 comme un camarade nous dit.

00:10:18 Et le Prosecution Commission,

00:10:20 le PMSD est toujours là.

00:10:22 Mais je dis qu'il est méconnaissable,

00:10:24 parce qu'il ne peut pas connaître

00:10:26 si il y a une ingérence de la part

00:10:28 de certaines personnes,

00:10:30 mais il est triste.

00:10:32 Je dis qu'il y a 12 démissions,

00:10:34 mais c'est déchirant

00:10:36 pour un parti qui, moi,

00:10:38 comme on a adhéré, je pensais que c'était un parti de l'avenir,

00:10:40 le parti du PMSD.

00:10:42 Je ne le sais pas beaucoup, je l'ai fait extrêmement bien,

00:10:44 mais je dis, oubliez-moi,

00:10:46 à cause de 8 tickets, à cause de 10 tickets,

00:10:48 moi, tout le temps, je suis venu à la plate-forme,

00:10:50 je dis que le PMSD mérite mieux.

00:10:52 Je dis que c'est pour moi,

00:10:54 pour Djéli, il mérite mieux que 10 tickets,

00:10:56 8 tickets,

00:10:58 mais de là, casser l'alliance

00:11:00 à cause d'un ticket, deux tickets,

00:11:02 mais tout ça, c'est abhorrent.

00:11:04 Mais, Yez, Zounou,

00:11:06 Kouchal Lobine, Richard Duval, Inzouane,

00:11:08 Paul Béranger et Naveen Ramgoulam

00:11:10 arrivent au WOC,

00:11:12 donc comment vous étiez?

00:11:14 Comment vous avez-vous reçu?

00:11:16 - Je veux, ce qui me rappelle,

00:11:18 dire un grand merci à Paul Béranger

00:11:20 et à Dr Naveen Ramgoulam

00:11:22 qui ont accueilli à nous les bras ouverts

00:11:24 les rejetés du PMSD

00:11:26 et nous trois, mais

00:11:28 c'est pour moi, c'était

00:11:30 un grand plaisir parce que

00:11:32 dans toute l'approche que j'ai causé,

00:11:34 j'ai dû dire qu'il y en a trois qui

00:11:36 vraiment méritaient.

00:11:38 Et c'est trois qui vraiment

00:11:40 nous défendent en ce qui concerne

00:11:42 les tickets

00:11:44 et qui malheureusement, c'est une fierté

00:11:46 maximum pour nous et dont nous remercions

00:11:48 eux, qui c'est une croix en nous,

00:11:50 mais pour moi, c'était mon leader qui faisait croire en moi,

00:11:52 qui faisait croire en Kouchal, qui faisait croire

00:11:54 en Richard. C'est pas

00:11:56 les autres leaders qui faisaient croire en nous.

00:11:58 - Est-ce que vous êtes un nouveau démocrate

00:12:00 pour la guerre pour les tickets? - Non.

00:12:02 Loin de là, nous ne sommes pas des demandeurs.

00:12:04 Nous, là, pour venir donner une coup de main

00:12:06 comment nous pouvons dire pour ce pays,

00:12:08 depuis l'emprise MSM

00:12:10 que nous connaissons, qui est aujourd'hui

00:12:12 et pour moi,

00:12:14 c'est impossible pour moi, c'est MSM.

00:12:16 Parce que je suis dans la séconception

00:12:18 numéro 14, la séconception.

00:12:20 Je crois que parfois, c'est lié.

00:12:22 Et pendant la COVID,

00:12:24 en plein hiver,

00:12:26 combien de cas ont été casés?

00:12:28 Combien de gens ont-ils tué?

00:12:30 Des enfants ont-ils perdu la vie?

00:12:32 Je ne peux pas cautionner ça.

00:12:34 Je ne peux pas cautionner les affaires comme ça

00:12:36 parce qu'à ce moment-là, en tant qu'une maman,

00:12:38 je me met en tant qu'une maman,

00:12:40 je perds mes enfants,

00:12:42 je peux aller dans un coin pour les offrir.

00:12:44 Mais je ne comprends pas

00:12:46 comment aujourd'hui,

00:12:48 on est capable même de considérer

00:12:50 l'approche du parti MSM

00:12:52 et aujourd'hui, avec le coût de la vie,

00:12:54 je reste dans une cité.

00:12:56 Il ne faut pas oublier.

00:12:58 Et la misère, tous les jours, je vis ça.

00:13:00 Tous les jours, je me demande comment

00:13:02 je vais travailler le matin et le soir,

00:13:04 comment je vais payer mon dette,

00:13:06 comment je vais m'endetter,

00:13:08 comment je vais me faire payer.

00:13:10 Je ne peux pas me dire que je vais me prendre un crédit

00:13:12 pour arriver en 2024.

00:13:14 Nous n'avons plus vraiment de l'argent.

00:13:16 Nous avons besoin de travail, de boulot,

00:13:18 de manger, de boire,

00:13:20 et là aussi, les dettes peuvent rester,

00:13:22 les enfants peuvent aller à l'école.

00:13:24 Il y a même des cas de mousse à construction

00:13:26 où les enfants peuvent aller à l'école,

00:13:28 pour arriver, pour manger.

00:13:30 Mais à ce niveau-là, en 2024,

00:13:32 quand il y aura un grand, grand développement,

00:13:34 peut-être un million, un billion, un milliard,

00:13:36 peut-être faire des travaux

00:13:38 extraordinaires, mais d'un côté,

00:13:40 où il y a de la misère et d'une autre chose.

00:13:42 Justement, au réseau,

00:13:44 au côté économique,

00:13:46 on a un budget,

00:13:48 on ne fait qu'un rapport audit.

00:13:50 Mais comme parlementaire,

00:13:52 moi, comme une mauricienne,

00:13:54 une journaliste,

00:13:56 comme ouvrière

00:13:58 rapport audit,

00:14:00 comme qui était

00:14:02 la budgetnée,

00:14:04 le budget pour l'avenir,

00:14:06 avec une promesse

00:14:08 de pension,

00:14:10 qui peut arriver

00:14:12 dans les générations futures.

00:14:14 Est-ce que c'est-à-dire

00:14:16 qu'on ne peut pas compter

00:14:18 sur la pension de vieillesse,

00:14:20 mais demain, comme Véronique l'a dit,

00:14:22 ça veut dire que demain,

00:14:24 on va pouvoir payer 500 euros par mois.

00:14:26 Résoudons-le.

00:14:28 Je pense qu'aujourd'hui,

00:14:30 la plus grande préoccupation

00:14:32 d'un mauricien,

00:14:34 c'est le coût de la vie,

00:14:36 la chèreté de la vie.

00:14:38 Le fait qu'il gouverne

00:14:40 et qu'il augmente la pension,

00:14:42 qu'il donne

00:14:44 casse à gauche, à droite,

00:14:46 il empire

00:14:48 la situation économique

00:14:50 parce qu'au lieu

00:14:52 de générer croissance,

00:14:54 au lieu de ça, nous finirons

00:14:56 l'inflation.

00:14:58 Nous finirons l'inflation parce que

00:15:00 le prix indéprécié

00:15:02 ne nous importe pas seulement

00:15:04 en devise.

00:15:06 Non seulement le montant de la pension

00:15:08 ne nous importe pas,

00:15:10 mais le montant des médicaments aussi.

00:15:12 C'est-à-dire que même les

00:15:14 grands, ceux qui ont une petite

00:15:16 pension, mais une grande partie

00:15:18 de cette casse-là

00:15:20 est dans

00:15:22 les dépenses médicamentaires.

00:15:24 Le gouvernement,

00:15:26 depuis 2014,

00:15:28 a fait un rapport d'audit

00:15:30 pour démontrer que tous les ans,

00:15:32 nous ne faisons rien

00:15:34 pour réduire le gaspillage.

00:15:36 Au contraire, tous les ans,

00:15:38 il y a de plus en plus de gaspillage.

00:15:40 Tous les ans,

00:15:42 le rapport de l'audit vient dire

00:15:44 qu'il ne veut pas de casse pour faire

00:15:46 de développement,

00:15:48 il ne veut pas faire de développement.

00:15:50 Il y a apparemment 4%

00:15:52 des projets qu'il a annoncés,

00:15:54 des projets capitals

00:15:56 qui se faisaient faire

00:15:58 par National Development

00:16:00 Unit, NDU,

00:16:02 qui ne concrétisent pas.

00:16:04 Et moi, dans PAC, je me trouve,

00:16:06 je vis comme une cause avec

00:16:08 un fonctionnaire, je me trouve

00:16:10 incapacité, d'une certaine

00:16:12 façon, parce qu'il y a trop d'ingérence

00:16:14 politique.

00:16:16 On prend le cas de COVID.

00:16:18 Véronique fait cause,

00:16:20 qui est arrivé, l'époque COVID,

00:16:22 la casse, tout ça.

00:16:24 Personne ne peut causer ce qui est arrivé

00:16:26 au prix de la médecine nationale,

00:16:28 à l'équipement médical.

00:16:30 Une milliard de roublis,

00:16:32 une dépensée

00:16:34 pour un comité de haute puissance

00:16:36 présidé par le Premier ministre,

00:16:38 dans aucun pays au monde

00:16:40 a payé ça. Un comité de haute puissance

00:16:42 décidé, n'a payé aucune trace,

00:16:44 n'a payé aucun papier.

00:16:46 On ne connaît que

00:16:48 le pack-in-placer, qui a un contrat,

00:16:50 on ne connaît que le pack-in-placer Sarpé,

00:16:52 qui a un contrat, on ne connaît

00:16:54 qu'il fait son paiement à l'avance,

00:16:56 il prend l'équipement,

00:16:58 l'équipement par mois aussi.

00:17:00 15 années perdues.

00:17:02 Si nous, on ne se casse pas ça,

00:17:04 ça tombe dans le ciel, ça. C'est

00:17:06 taxpayer les monnaies, ça. Si on nous casse ça,

00:17:08 et quand on prend un milliard

00:17:10 de roublis, la médecine nous aide dans le drain.

00:17:12 Mais c'est un milliard de roublis que tu es

00:17:14 capable d'espérer.

00:17:16 Un milliard de roublis que tu es capable de faire

00:17:18 la case. Un milliard de roublis que tu es

00:17:20 capable de faire la misère.

00:17:22 C'est ça que le gouvernement, ça comprend.

00:17:24 Si demain,

00:17:26 on a un gouvernement compétent,

00:17:28 qui est capable de faire la croissance,

00:17:30 qui est capable de faire l'emploi,

00:17:32 mais non, c'est pas ça.

00:17:34 Un gouvernement compétent, il est capable de baisser

00:17:36 le prix, améliorer

00:17:38 le saut de tout le monde,

00:17:40 mais il est capable aussi d'un plus bon

00:17:42 pension. Parce que

00:17:44 la pension, c'est nous-mêmes, ça,

00:17:46 c'est casse, au pays,

00:17:48 soit à travers

00:17:50 la croissance, on travaille plus, on gagne plus

00:17:52 ou on donne plus de pension, ou bien

00:17:54 on prend casse prêtée.

00:17:56 Mais si on prend casse prêtée, on baisse la rembourse.

00:17:58 Mais aujourd'hui, le gouvernement

00:18:00 qui peut faire, au lieu de travailler d'il

00:18:02 et de créer la richesse après

00:18:04 l'hypothèse, lui,

00:18:06 le dette publique, il ne dépasse 500 milliards

00:18:08 de roublis alors qu'il était moins

00:18:10 que 250 milliards de roublis

00:18:12 en 2014. Il a doublé.

00:18:14 Il a doublé.

00:18:16 C'est ça que je veux que vous compreniez. Tout ce qui se

00:18:18 fait, c'est le prix. Ou on donne une pension

00:18:20 ou on augmente le prix. Bien bon.

00:18:22 On est bien content. Mais travaille aussi.

00:18:24 Travaille aussi.

00:18:26 Élimine

00:18:28 le gaspillage. Pas de mettre 4

00:18:30 milliards dans le code d'eau

00:18:32 d'un stade qui ne peut pas être fait en année.

00:18:34 Pas de mettre 4 milliards dans Betamax

00:18:36 parce qu'on décide de résilier ce contrat.

00:18:38 Pas de donner des milliards de roublis,

00:18:40 Patel, Boutang, parce qu'on résilie ce contrat.

00:18:42 Donc tout ça, gaspillage.

00:18:44 Ça, moi, je dis à la population, si tu

00:18:46 élimines le gouvernement avec tout

00:18:48 ce gaspillage que ce gouvernement-là

00:18:50 fait à 1 milliard par 1 milliard,

00:18:52 ils auront dit que sa pension-là,

00:18:54 tu en fais beaucoup plus.

00:18:56 Le salaire minimum, tu en fais beaucoup plus.

00:18:58 C'est pas une question de dire qui est la génération

00:19:00 future pour faire. Nous sommes capables de donner

00:19:02 plus de pensions. Nous sommes capables de donner plus.

00:19:04 Mais nous avons besoin de travail. Et il faut aussi

00:19:06 éliminer la capacité de travail.

00:19:08 C'est comme si on donnait une vision

00:19:10 et la volonté pour que ceux

00:19:12 qui ont besoin, à la tête du gouvernement.

00:19:14 Parce que moi, je me rappelle,

00:19:16 donc,

00:19:18 papa, Kassamotim,

00:19:20 qui était président, il me fait beaucoup aussi

00:19:22 pour éliminer la pauvreté

00:19:24 dans ma région. Très, très

00:19:26 poitre de sable, écoute, les gens

00:19:28 ne sont pas encore

00:19:30 à l'école, ils ne peuvent pas manger.

00:19:32 Donc, il y a quelque chose

00:19:34 qui... il faudrait que je me donne

00:19:36 un PRC pour que je puisse faire ça.

00:19:38 Et pas juste moi, mais les membres

00:19:40 du PRC, quand on entend ça, nous sommes tous choqués.

00:19:42 Le gouvernement

00:19:44 a lui-même des social registers.

00:19:46 Si le social register

00:19:48 vous donne des lignes de cadeaux,

00:19:50 vous donne

00:19:52 des matériaux scolaires,

00:19:54 si le register vous donne

00:19:56 10% de la case qu'il veut construire,

00:19:58 mais qui sont

00:20:00 les social registers? Vous connaissez

00:20:02 pour une seule mère,

00:20:04 qui est capable

00:20:06 de retrouver le social register,

00:20:08 les bisous touchent

00:20:10 moins de 6 000 roubles.

00:20:12 Le salaire minimum

00:20:14 arrive à 13 500 roubles.

00:20:16 Une madame,

00:20:18 une seule mère,

00:20:20 si elle peut trouver moins de 6 000 roubles,

00:20:22 elle peut mettre le rôle de chef.

00:20:24 Mais comment est-ce qu'on peut terminer

00:20:26 avec la pauvreté

00:20:28 dans Maurice? Révisons les critères.

00:20:30 Dans beaucoup

00:20:32 de monde, beaucoup de monde

00:20:34 qui est bien misé dans ce pays-là,

00:20:36 le gouvernement, c'est vrai,

00:20:38 il augmente le salaire minimum.

00:20:40 Bien bon. Mais

00:20:42 qu'est-ce qu'on fait avec ces 250 000

00:20:44 personnes qui ne peuvent pas être employées?

00:20:46 Je ne vais pas être un seul employé.

00:20:48 Je travaille avec des personnes.

00:20:50 Je travaille pour moi-même. Je fais un petit commerce.

00:20:52 Je fais un petit salon de coiffure.

00:20:54 Je fais une marchandise.

00:20:56 Mais tu ne sais pas ces personnes-là. Je ne peux pas avoir un salaire minimum.

00:20:58 Je ne peux pas gagner ces 13 500 euros

00:21:00 que je peux avoir, mais le gouvernement peut faire pour ces personnes-là.

00:21:02 Et ces mêmes personnes plus vulnérables,

00:21:04 ces mêmes plus misérables

00:21:06 qui sont dans Maurice.

00:21:08 Et tout ça, c'est pour les laisser pour compte.

00:21:10 Les laisser pour compte depuis 2014.

00:21:12 C'est ce que je veux dire.

00:21:14 Pourquoi le PAC

00:21:16 est-il là pour vous?

00:21:18 Nous faisons nos rapports.

00:21:20 Je vais poser une question

00:21:22 dans le Parlement.

00:21:24 Le Premier ministre,

00:21:26 dans le reste du pays,

00:21:28 il débat

00:21:30 le rapport du directeur d'éthique,

00:21:32 le rapport PAC.

00:21:34 C'est une motion où il est présent.

00:21:36 Pourquoi il est important? Parce que

00:21:38 quand nous faisons nos rapports, nous disons, nous écoutons

00:21:40 les fonctionnaires.

00:21:42 Voilà ce qu'ils nous constatent.

00:21:44 Qu'est-ce qu'ils veulent?

00:21:46 Comment ils servent à bon escient?

00:21:48 Comment ils gaspillent?

00:21:50 Mais là, toi, tu es ministre. Tu viens défendre ton ministère.

00:21:52 Tu viens expliquer

00:21:54 ce qu'ils font, ce que ça donne.

00:21:56 Mais qu'est-ce qu'ils font? Ils gaspillent ça.

00:21:58 Mais non.

00:22:00 Si tu peux

00:22:02 débattre ton rapport,

00:22:04 le directeur d'éthique,

00:22:06 ça ne m'intéresse jamais.

00:22:08 Pour PAC, ce rapport,

00:22:10 je n'ai pas de débat. Mais c'est pas juste mon comité.

00:22:12 Avant, moi aussi, plusieurs

00:22:14 comités qui venaient

00:22:16 en PAC. J'ai eu une demande

00:22:18 qui disait, tu n'as pas

00:22:20 débatté le rapport

00:22:22 de PAC. Et il y en a

00:22:24 avec une convention internationale

00:22:26 et aussi au niveau de

00:22:28 l'éthique et d'autres

00:22:30 associations régionales.

00:22:32 Donc, Véronique,

00:22:34 je peux dire

00:22:36 que vous avez des candidats potentiels

00:22:38 dans les prochaines élections

00:22:40 derrière la porte.

00:22:42 Là, je me demande

00:22:44 si, comme vous le dites, vous avez gagné

00:22:46 parce que

00:22:48 ce n'est pas un pays

00:22:50 délabré,

00:22:52 si je peux dire, ou bien

00:22:54 économiquement,

00:22:56 est-ce que ce sera dur

00:22:58 pour remonter la pente?

00:23:00 Donc, quand je peux

00:23:02 vous dire que vous n'avez pas

00:23:04 trop fait

00:23:06 votre rêve, comment ça va

00:23:08 se passer sur le terrain?

00:23:10 Surtout là, vous me connaissez,

00:23:12 vous vous dites, je travaille moi-même,

00:23:14 sur tout le terrain, et vous mobilisez les partisans

00:23:16 pour le 1er mai.

00:23:18 Véronique, comment vous

00:23:20 pouvez essayer de ne pas

00:23:22 trop

00:23:24 faire de la pente?

00:23:26 Je pense que

00:23:28 le gouvernement a fait

00:23:30 sa part, mais

00:23:32 comment on peut trouver

00:23:34 des taxes sur l'essence?

00:23:36 Quantité milieuse, on peut en gagner.

00:23:38 Peut-être, je pense qu'il faut réduire

00:23:40 le prix de l'essence, parce que

00:23:42 les taxes qui sont émettues sur l'essence

00:23:44 font un effet domineux, c'est ça qui me fait

00:23:46 tout prix monter, ça me fait

00:23:48 acheter de la vie. Mais moi, je pense

00:23:50 que les Mauritians, ils comprennent.

00:23:52 Nous tous, on peut aider les autres.

00:23:54 Chacun, de notre façon,

00:23:56 on peut aider les autres, parce qu'on n'est pas

00:23:58 capable d'expecter que du jour au lendemain,

00:24:00 on puisse mettre l'économie sur les rails.

00:24:02 On travaille dur,

00:24:04 comme mon camarade, parce qu'on

00:24:06 a tous ses ceintures ensemble.

00:24:08 Et je pense que dans

00:24:10 la 1ère, 2ème année, c'est dur

00:24:12 pour les Mauritians, mais après,

00:24:14 on peut souffrir. On doit avoir

00:24:16 de la patience, et on ne peut pas se faire embêter.

00:24:18 Parce que,

00:24:20 le gouvernement peut faire,

00:24:22 mettre l'autre côté, mettre le trou de l'autre côté,

00:24:24 ce qu'il a donné, et on n'en a rien pour nous.

00:24:26 Moi, je pense qu'il nous faut un

00:24:28 gouvernement qui est honnête,

00:24:30 et qui est sincère,

00:24:32 qui a la volonté de faire

00:24:34 comme si il fleurit à l'économie

00:24:36 de nos pays, encore une fois.

00:24:38 Je pense que dans le passé, c'est pour ça que

00:24:40 moi, je fais confiance

00:24:42 à l'alliance ici,

00:24:44 avec 3 directs,

00:24:46 qui ont le potentiel pour faire

00:24:48 les choses comme il faut, avec l'expérience

00:24:50 qu'ils ont.

00:24:52 Et surtout Xavier-Luc Duval, en tant que ministre des Finances,

00:24:54 je pensais qu'il avait,

00:24:56 oui, l'économie qui pouvait être

00:24:58 entre les bonnes mains.

00:25:00 Malheureusement, il a choisi

00:25:02 ce chemin,

00:25:04 mais par contre, ici aussi,

00:25:06 nous avons des gens compétents, dans l'équipe ici,

00:25:08 qui nous donnent du travail

00:25:10 pour faire, nous pouvons bien faire du travail,

00:25:12 avec le soutien de tous les Mauritians.

00:25:14 J'espère que tous les Mauritians vont comprendre

00:25:16 qu'il ne faut pas nous laisser

00:25:18 venir en baisse d'oeuvre pour gagner ici, pour gagner là-bas.

00:25:20 Après, nous retrouvons-nous

00:25:22 plus pire que maintenant.

00:25:24 Donc là, un nouveau parti, un nouveau démocrate,

00:25:26 ne me croise pas à triper mon rôle?

00:25:28 Non, non,

00:25:30 certainement pas. Un nouveau démocrate,

00:25:32 je ne le mettrai pas là, parce que

00:25:34 vous connaissez, il y a ce mouffet

00:25:36 historique qui est arrivé depuis certains temps,

00:25:38 dans le parti, il y a eu des divergences d'opinion,

00:25:40 tout ça.

00:25:42 Dans le parti, dans certains temps,

00:25:44 il y a eu un clan.

00:25:46 Un clan orange, un clan rose,

00:25:48 un peu bleu. Dans certains temps,

00:25:50 nous avons trouvé un peu, on va dire, indivisé.

00:25:52 Dans le bleu, il y a eu différentes clans.

00:25:54 Il y a eu différentes clans.

00:25:56 Et à ce moment-là,

00:25:58 nous avons eu des camarades

00:26:00 qui, vraiment,

00:26:02 chacun a son choix, chacun a son vision.

00:26:06 Et, comme on me dit tout le temps,

00:26:08 je ne suis pas esclave de personne,

00:26:10 de aucun parti politique, d'aucun politicien.

00:26:12 Et je n'ai pas le droit

00:26:14 de faire mon choix pour moi, pour mes enfants,

00:26:16 pour mon pays. Mais pour moi,

00:26:18 mon choix personnel, je vais le faire dire,

00:26:20 il n'y a pas conviction. Parce qu'il m'a trouvé

00:26:22 qu'en 2016,

00:26:24 nous quittions le gouvernement

00:26:26 à cause

00:26:28 de la Commission de la Prévention.

00:26:30 Mais ils ont dit

00:26:32 que si nous allions avec ce gouvernement-là,

00:26:34 qu'ils nous montraient des gens. Est-ce qu'ils nous

00:26:36 peuvent accepter tout ça-là? Nous,

00:26:38 la Commission de la Prévention financière,

00:26:40 nous avons un plan politique, nous avons une déguise,

00:26:42 qui nous parle de ce qui est possible?

00:26:44 Et aussi, tout ce misérable que nous avons vécu là-bas,

00:26:46 qui est-ce qui nous montre

00:26:48 ce qui est possible dans notre conception?

00:26:50 Moi, quand je suis allée, je me suis dit

00:26:52 que nous, la nouvelle équipe, voilà, c'est

00:26:54 Paul, Xavier et le docteur

00:26:56 Xavier Mboulam, c'est ça, notre futur.

00:26:58 Mais aujourd'hui, qui me parle de ce qui est possible,

00:27:00 c'est Bravin Diagnante,

00:27:02 notre futur. Mais pour moi, il est impossible

00:27:04 de faire ça dans un affaire là.

00:27:06 Moi, ça a commencé depuis la semaine dernière.

00:27:08 Et quand il y a

00:27:10 certaines choses qui peuvent passer dans l'opacité

00:27:12 d'un parti, en tant que président du parti,

00:27:14 tout le temps, moi, je suis venu

00:27:16 au plateau ici-même, je me suis dit

00:27:18 qu'il ne faut pas faire ça.

00:27:20 Nous avons le droit, en tant que femmes,

00:27:22 de donner l'opinion, de dire,

00:27:24 parce que peut-être qu'il y a

00:27:26 des connaissances dans toutes les choses,

00:27:28 mais la moindre des choses, quand on

00:27:30 donne une négociation,

00:27:32 qu'elle s'appelle bien ou mal,

00:27:34 un président du parti,

00:27:36 un secrétaire général, nous sommes bien au courant.

00:27:38 Que ce soit quand on sortit là-bas,

00:27:40 qu'il y a eu un négocié, qu'il y a eu un arrivé,

00:27:42 mais par contre, tout problème, il le lève,

00:27:44 et c'est là où il peut être.

00:27:46 Ça partit bon, ça partit bon, ça partit bon,

00:27:48 mais tout ça, les temps-là, nous ne partions pas.

00:27:50 Nous ne savions pas qui est bon,

00:27:52 qui n'est pas bon, quand on a cassé

00:27:54 un seul du monde qui a négocié.

00:27:56 Là, je suis envoyée à un autre du monde.

00:27:58 Un seul du monde décidé

00:28:00 qui a fait l'annonce.

00:28:02 Un même du monde

00:28:04 décidé qu'on peut casser l'alliance.

00:28:06 Mais quand on peut casser l'alliance,

00:28:08 on est dans l'exécutif, dans le bureau politique.

00:28:10 On dit, est-ce qu'ils sont d'accord pour casser l'alliance?

00:28:12 Il y a peut-être des problèmes.

00:28:14 Parce qu'on a décidé de casser,

00:28:16 et là, nous, on est tranquilles.

00:28:18 Mais ces derniers temps,

00:28:20 il y a eu beaucoup de problèmes,

00:28:22 et aussi, moi, j'avoue,

00:28:24 je suis complètement blessée.

00:28:26 Blessée, triste.

00:28:28 Après,

00:28:30 j'ai démissionné.

00:28:32 Je ne peux pas faire ça depuis vendredi.

00:28:34 Et je me suis dit

00:28:36 que ce qui passait dans mon parti,

00:28:38 je ne connais pas.

00:28:40 Un autre du monde, d'un autre parti,

00:28:42 qui m'a téléphoné, m'a dit,

00:28:44 voilà, ça peut passer comme ça.

00:28:46 Là aussi, j'ai demandé au secrétaire général,

00:28:48 il ne me dit pas.

00:28:50 Je ne connais pas.

00:28:52 Mais comme un tiré, on peut faire.

00:28:54 C'est fini, décidé.

00:28:56 On est dans la liste des candidats,

00:28:58 le président n'est pas au courant qu'il y en a là.

00:29:00 - Mais là, demain,

00:29:02 Zéphilippe Duval, au PMSD,

00:29:04 il a besoin d'un parti extraparlementaire.

00:29:06 Est-ce qu'il n'y a pas quoi,

00:29:08 que c'est un cinéma ou...

00:29:10 - Moi, je sais pas.

00:29:12 Moi, je suis complètement mondiale.

00:29:14 Et je souhaite tout le bien

00:29:16 pour le parti du PMSD.

00:29:18 Parce que le PMSD, c'est un parti extraordinaire.

00:29:20 Mais juste là,

00:29:22 je veux rester ici.

00:29:24 Je pense que, avec cette démission qui est là,

00:29:26 je veux remettre ici mes questions.

00:29:28 - Et qu'est-ce qu'il faut faire pour arriver là?

00:29:30 - Pour avoir une démission.

00:29:32 - Et ça, c'est dépendre des camarades

00:29:34 qui sont à l'aise ou pas.

00:29:36 Et c'est tout dépendre des autres.

00:29:38 C'est tout pour dépendre de nous,

00:29:40 si on a une démission ou pas.

00:29:42 Moi, j'ai une autre affaire.

00:29:44 Quand j'ai entendu que je ne voulais pas

00:29:46 être candidate pour les élections générales,

00:29:48 j'ai eu une tête cassée.

00:29:50 J'ai dit à mon fils,

00:29:52 "Monsieur, je t'envoie un message,

00:29:54 je te connais,

00:29:56 je te donne un ticket,

00:29:58 mais ne me laisse pas partir cassée."

00:30:00 Ça, je me suis dit.

00:30:02 Parce que je me suis trouvé, comment dire,

00:30:04 un parti là, tu peux commencer à gringoler,

00:30:06 l'autre, tu risques ce côté, l'autre, tu risques ce côté.

00:30:08 Je me suis dit, si vous avez fait un sacrifice,

00:30:10 je vais le faire. Parce qu'en tant que président du parti,

00:30:12 c'est moi qui vous donne l'exemple.

00:30:14 Si je ne vous donne pas l'exemple,

00:30:16 comment les autres poursuivent,

00:30:18 je ne vais pas dire l'autre peut la guérir,

00:30:20 l'autre peut la guérir.

00:30:22 Mais, en effet, je ne lui ai pas donné un ticket.

00:30:24 C'est une boucle, celle de la personne qui est en tête d'élu

00:30:26 ici dans notre parti et qui fait extra bien.

00:30:28 Elle est comme parlementaire,

00:30:30 et Richard aussi,

00:30:32 pas payé un ticket.

00:30:34 Mais la raison,

00:30:36 Kouchal et Richard vont dire,

00:30:38 "Véronique, qui raisonne pas

00:30:40 payer un ticket?"

00:30:42 Imaginez qui raisonne pas payer un ticket.

00:30:44 À cause de ma misère,

00:30:46 ma peine à l'argent pour l'élection,

00:30:48 mon accent pas bon

00:30:50 parce qu'il me reste de la cité.

00:30:52 C'est cette bonne raison

00:30:54 qui me donne un ticket.

00:30:56 Et encore plusieurs autres raisons.

00:30:58 Mais, parfois, nous disons,

00:31:00 quand nous faisons la politique,

00:31:02 nous disons la politique autrement.

00:31:04 Quelle bonne qualité

00:31:06 un député a,

00:31:08 un candidat a.

00:31:10 Moi, je fais ma identité.

00:31:12 Je fais ce que je veux.

00:31:14 Et mon accent comme ça,

00:31:16 parce que moi, j'ai une bonne grande identité tout le temps,

00:31:18 une cause avec ma communauté,

00:31:20 avec mes parents aussi.

00:31:22 Je ne suis pas une bonne étudiante à l'extérieur, malheureusement.

00:31:24 Mais peut-être que je suis une bonne étudiante à l'extérieur.

00:31:26 Je fais tout pour que ça arrive.

00:31:28 Mais pas tout le monde a de la chance.

00:31:30 Mais c'est pas grave,

00:31:32 c'est moi.

00:31:34 Je travaille pour les remplissages.

00:31:36 C'est vrai.

00:31:38 Je travaille pour les remplissages.

00:31:40 Je travaille pour qu'on ait la capacité

00:31:42 de faire des choses.

00:31:44 Ou pas, donner un ticket pour qu'on fasse.

00:31:46 Mais peut-être que je suis une bonne performance.

00:31:48 Je travaille pour les remplissages.

00:31:50 Peut-être que je fais quelque chose de mal.

00:31:52 Véronique, quand on vous revient là-bas,

00:31:54 on vous retrouve dans une autre audition

00:31:56 et dans une autre interview

00:31:58 après l'interview.

00:32:00 Merci.

00:32:02 [Sous-titres réalisés par la communauté d'Amara.org]

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00:36:36 [Zoom Extra]

00:36:39 Donc, bienvenue dans Zoom Extra.

00:36:43 Aujourd'hui, c'est Reza Oudim, président MMM,

00:36:46 et Véronique Legovine, ancienne présidente de la PMSD,

00:36:50 et aussi un stellar membre Nouveau Démocrate.

00:36:53 Donc, Véronique, c'est choquant ce qu'on dit à nous,

00:36:58 je crois que vous le dites aussi, vous l'avez entendu,

00:37:02 c'est à cause de ça que vous vous êtes sorti d'une cité.

00:37:08 À cause de mon accent plutôt.

00:37:10 À cause de mon accent, parce qu'il y a des gens qui ont un plus bon accent que moi,

00:37:14 mais pour être une petite candidate en 2019, ce n'était pas le problème.

00:37:18 - Ou l'accent qui vous a arrivé à voir. - Oui.

00:37:21 Mon accent qui vous a fait franchiser, le plus, plus, mais...

00:37:24 Mais je suis fière. Je suis fière de ce que j'ai été.

00:37:26 Je n'ai pas eu un bon accent, je n'ai pas réussi dans la cité,

00:37:29 mais au moins, je suis honnête.

00:37:31 - Est-ce qu'on fait une face-à-face avec vos anciens leaders?

00:37:35 - Non. Non, on ne peut pas vous faire les aussi.

00:37:40 Parce que là, on nous dit, on tourne la page,

00:37:44 et moi, je me dis, qu'est-ce que ça a?

00:37:46 Peu importe, on n'est pas des millionnaires.

00:37:50 On ne sait pas combien de millions pour ce candidat.

00:37:53 Qu'est-ce qu'on peut faire pour mieux balancer le monde?

00:37:57 Quand on est une bonne candidate, on a un bon programme,

00:37:59 on peut bien connaitre ce qu'on peut faire pour la reconstruction.

00:38:02 On doit travailler, soigner les gens,

00:38:04 connaitre leurs problèmes et vivre ses problèmes.

00:38:07 Je ne sais pas, mais je voyage souvent en bus.

00:38:11 Pour me connaitre, comment peut-on passer?

00:38:15 Si je ne suis pas dans mon l'auto, je ne suis pas dans mon luxe,

00:38:17 si je ne suis pas dans le bus, je ne suis pas dans l'hôpital,

00:38:19 je ne suis pas dans le dispensaire,

00:38:20 pour me connaitre, comment peut-on vivre?

00:38:22 Il faut des mots.

00:38:23 Souvent, je voyage en bus, je ne suis pas pour aller en bus direct,

00:38:26 je suis pas dans le bus, comment peut-on passer?

00:38:29 Mais pour nous connaitre les problèmes,

00:38:31 il faut qu'on soit capable de rester dans le confort.

00:38:33 Après, on a la critique des autres.

00:38:36 On doit connaitre les autres pour avoir la chance

00:38:38 de faire de grandes études.

00:38:41 Mais je ne suis pas content pour avoir une bonne éducation

00:38:44 pour terminer comme un éducateur.

00:38:46 Je préfère être comme Véronique,

00:38:48 qui est une éducatrice de l'Assemblée nationale.

00:38:52 Je préfère être là, dans ma petite cité,

00:38:54 tranquille avec mon accent riviennois,

00:38:57 pour terminer comme ça.

00:38:59 Je pense qu'on a trop beaucoup de préjugés.

00:39:04 Ça veut dire qu'on peut revenir au Parlement,

00:39:06 on peut être qualifié, on peut être séparé.

00:39:08 Oui, on a besoin d'un niveau d'éducation,

00:39:10 on a besoin d'une connaissance.

00:39:13 Mais la façon dont on est causé,

00:39:16 je ne comprends pas.

00:39:18 On peut aller à l'école pour faire du Parlement,

00:39:20 on peut créer, on peut le faire.

00:39:21 Mais pour qui tu es, je ne comprends pas.

00:39:23 Si je suis à l'aise, je peux créer mon langage maternel.

00:39:27 Je peux le faire partout, aucun problème.

00:39:30 Mais si je ne suis pas causé en français,

00:39:32 je ne suis pas causé en anglais.

00:39:33 Peut-être que tu as des camarades qui le font plus que moi.

00:39:35 Je ne suis pas causé en anglais,

00:39:37 je comprends, je ne suis pas causé en français.

00:39:39 Mais je pense que la qualité,

00:39:41 la valeur qu'on peut avoir au Parlement maintenant,

00:39:43 la compétitivité,

00:39:44 la valeur qu'on peut avoir au Parlement,

00:39:45 je pense que la valeur d'un député

00:39:47 qui est un candidat,

00:39:49 la première valeur qu'il doit avoir, c'est d'être honnête.

00:39:52 Je pense qu'il doit être sincère dans ce qu'il peut faire.

00:39:54 Il doit être humble, humilité, intègre.

00:39:57 C'est cette valeur que je pense qu'il doit avoir

00:40:01 pour être un bon candidat.

00:40:03 Il ne doit pas être casse.

00:40:04 Il doit être un député qui est trop riche.

00:40:07 Il ne doit pas être un député qui est en misère.

00:40:10 Il ne doit pas prendre à coeur ce genre de député qui est en misère.

00:40:12 Parce qu'il ne peut pas vivre ça.

00:40:13 Il doit être un député qui est en misère,

00:40:15 qui vit sa misère.

00:40:16 Mais quand il est là, il peut dire

00:40:17 "Moi aussi je suis comme ça, j'ai un problème,

00:40:19 je ne sais pas comment j'ai été,

00:40:20 je suis en misère, j'ai des difficultés,

00:40:22 j'ai des problèmes dans la vie,

00:40:23 j'ai des problèmes à l'école,

00:40:25 mais c'est ça que je pense qu'il doit avoir au départ.

00:40:27 Il doit être mélangé.

00:40:29 Il doit avoir la chance, la chance d'être un bon candidat.

00:40:32 Mais c'est bon, il doit avoir cette chance.

00:40:35 Il ne peut pas monter, il ne peut pas sortir.

00:40:37 Il doit être président de la commission trois fois.

00:40:41 Et quand il est avec l'autre,

00:40:43 il ne peut jamais faire une erreur dans sa vie.

00:40:45 Il ne peut jamais prendre un coup de pied avec un député

00:40:47 pour faire son parti.

00:40:49 C'est ça que je pense que les enfants doivent faire.

00:40:51 On est tous deux en prison,

00:40:53 après on peut dire qu'on est en misère.

00:40:55 Mais on est en misère parce qu'on ne peut pas se faire un conseil.

00:40:57 Trois fois, trois mois avant de faire le président.

00:41:00 Si je suis en misère, je ne peux pas me dire

00:41:02 "Mais qu'est-ce que tu fais aujourd'hui?"

00:41:03 Mais je pense que je peux dire

00:41:05 "Mais sa l'honnêteté là, sa sincérité là,

00:41:07 sa bonne valeur là, je pense que je peux dire ça aux gens."

00:41:10 Mais je préfère ce que j'ai été,

00:41:12 mais je sais que tout le monde dans la circonscription

00:41:15 connait mon background, connait mon avenir.

00:41:17 Et les problèmes de société, nous tous vivons les problèmes

00:41:20 de la drogue, de la tissue, de tout ça.

00:41:22 Ça nous fait assumer.

00:41:24 Et moi je me suis dit qu'il ne faut pas nous jeter la pierre

00:41:27 nos camarades.

00:41:28 Parce que tout le monde peut être un peu fléau.

00:41:30 Tellement la vie,

00:41:32 comment peut-on tenter avec nos enfances,

00:41:34 peut-être aujourd'hui on est en famille,

00:41:37 demain on est en famille.

00:41:39 Mais on doit, en tant que politiciens,

00:41:42 trouver une solution.

00:41:44 Pour que tous ces gens là, tous ces enfants qui ont grandi dans cette ville,

00:41:48 soient capables de nous améliorer dans la vie.

00:41:50 Mais ça veut dire que quand on voit Dr Lamine Amgoulam

00:41:53 ainsi que Paul Béranger,

00:41:55 on retrouve vous un petit peu

00:41:57 avec la même vision,

00:42:01 la même idée.

00:42:02 Oui, c'est tellement parce que,

00:42:04 vous vous rappelez, je suis descendue de Réunion

00:42:06 pour faire 6-6 gens là.

00:42:08 Et ces 6-6 gens là, ils sont là.

00:42:10 Nous travaillons beaucoup, nous avons bien avancé.

00:42:12 Après, quand on a vu qu'il y avait des gens qui avaient fait plus,

00:42:15 et des gens qui étaient plus étiquettes,

00:42:17 et qui nous séparaient,

00:42:19 je me suis dit là, je me suis dit,

00:42:21 tous ces gens qui sont passés à la table là,

00:42:23 ce sont des gens compétents.

00:42:25 C'était une équipe extrêmement compétente.

00:42:27 Qui nous a soutenus,

00:42:29 qui a travaillé pour défendre notre pays,

00:42:31 pour soutenir notre pays contre les Bézins.

00:42:33 Mais malheureusement, quand on trouve tout ça là,

00:42:35 on est cassé.

00:42:37 9 ans, 10 ans de travail qu'ils font.

00:42:39 Mais on va y arriver, on va y arriver quand même.

00:42:41 Mais parfois, tout le monde dit

00:42:43 qu'une femme blessée, c'est une femme dangereuse, imprévisible.

00:42:46 Je pense que je connais aucune autre affaire.

00:42:48 Parce que moi, tout le monde me dit,

00:42:50 et peut-être nous, peut-être dans leurs ans,

00:42:53 mais je ne me parle pas du démocrate, moi, ça oui.

00:42:56 - Reza, donc,

00:42:58 quand le budget là,

00:43:00 le docteur Padayatchi me a dit dans l'anglais,

00:43:03 on mange le budget,

00:43:05 donc, nous, qu'est-ce que vous en dites, l'économie?

00:43:08 - Avant de parler de l'économie,

00:43:11 laissons réagir pour ce que Véronique a dit.

00:43:14 On peut parler des autres qui m'ont vraiment très touché

00:43:17 pour ce que Véronique a dit,

00:43:19 parce que j'ai été au courant

00:43:21 des raisons qui font que le PMSD

00:43:24 peut mettre Véronique dans l'école.

00:43:26 Moi, j'ai eu l'occasion de travailler avec Véronique.

00:43:29 Même en dehors, nous avons eu des conversations régulièrement.

00:43:33 Je vous ai dit que l'Eau Lestrade, récemment,

00:43:36 dans "Chemin Grévinien", causé la passion.

00:43:39 Et moi, je suis bizarre.

00:43:41 Moi, je dis, OFO, je suis bizarre,

00:43:44 comme un politicien qui a trompé Véronique,

00:43:47 comme un homme qui ne colle pas la misère,

00:43:49 mais qui n'a pas de position de responsabilité,

00:43:52 et l'armée prend la tête haute.

00:43:55 C'est ça qui est bizarre.

00:43:57 Comme un homme qui, comment dire, a menti de tout,

00:44:00 ils ont dit qu'il y avait eu des grands lutteurs,

00:44:03 qu'il y avait eu des casseurs,

00:44:06 nous avons des gens intègres,

00:44:08 et des gens qui sont capables d'amener ça.

00:44:11 Et pour moi, il n'y a pas un gouvernement,

00:44:15 il n'y a pas un député qui tout sorti,

00:44:18 un clic, un seul background,

00:44:21 il faut avoir des gens de tous les composants

00:44:24 de la nation mauricienne.

00:44:26 Parce que, comme Véronique dit,

00:44:28 quand il y a des gens qui vivent,

00:44:30 qui passent par cette souffrance,

00:44:32 c'est là où il faut avaler.

00:44:34 Quand je suis revenu à Mauritie,

00:44:37 en 1996,

00:44:39 je me suis dit qu'il y avait un travail.

00:44:42 Parce que je ne voulais pas avoir un travail.

00:44:45 Alors que j'ai fait une grande qualification,

00:44:48 je me suis prévenu, j'ai eu un travail,

00:44:50 mais personne ne m'a donné un travail.

00:44:52 Donc je vous dis, quand un jeune avocat,

00:44:54 vous trouvez ça joli,

00:44:56 moi je sais que la souffrance peut passer.

00:44:58 Je sais cette souffrance,

00:45:00 je sais que c'est un travail,

00:45:02 et que les jeunes, dans un autre sens,

00:45:04 je fais la vie.

00:45:06 Mais de vécu l'expérience qu'il y a,

00:45:08 c'est très important,

00:45:10 parce que demain, dans une combattant,

00:45:12 connaissant la souffrance

00:45:14 de ceux qui ont passé,

00:45:16 c'est très très important.

00:45:18 Et je suis choqué,

00:45:20 ce que j'ai appris, ce que j'ai entendu aujourd'hui.

00:45:22 Franchement, on voit ce que,

00:45:24 en 2024,

00:45:26 il y a des politiciens qui sont encore retardés,

00:45:28 qui encore pensent d'une façon hésitante,

00:45:30 qui pensent qu'il existe un groupe de gens

00:45:32 qui méritent d'être députés,

00:45:34 il y a un groupe de gens

00:45:36 qui n'ont pas de place pour les candidats,

00:45:38 ou bien qu'il y ait un certain accent,

00:45:40 je trouve ça totalement révoltant.

00:45:42 C'est vraiment révoltant,

00:45:44 parce que moi aussi,

00:45:46 comme Reza,

00:45:48 c'est révoltant, parce que

00:45:50 jamais, nous, tu crois que, bon,

00:45:52 on ne peut pas juger personne,

00:45:54 mais à cause d'une base comme ça,

00:45:56 un leader, une partie,

00:45:58 une grande partie, depuis

00:46:00 combien d'années qu'il est là,

00:46:02 à cause, pas qu'à cause anglais,

00:46:04 donc on ne peut pas dire, nous,

00:46:06 pas trop à l'aise dans l'anglais,

00:46:08 quand il dit "take him away",

00:46:10 mais prend-le,

00:46:12 "take him away", prends-le.

00:46:14 Donc Reza, nous,

00:46:16 l'économie, donc là,

00:46:18 pour notre budget,

00:46:20 qui on peut

00:46:22 expecter? Est-ce qu'on a la bousse d'eau encore là?

00:46:24 Qu'est-ce que tu veux faire pour faire la bousse d'eau?

00:46:26 Non, c'est clair qu'il peut y en avoir.

00:46:28 Moi, je vais te dire le terme

00:46:30 "syro-diabète".

00:46:32 Je vais te dire le terme "syro-diabète",

00:46:34 parce que

00:46:36 le syro, c'est bon,

00:46:38 il a un bon goût, tout le monde est content de boire,

00:46:40 mais, c'est évidemment,

00:46:42 le diabète, il est douloureux.

00:46:44 Et tout le monde

00:46:46 ne parait à dire, quand tu bois,

00:46:48 "bon, je vais être content",

00:46:50 mais après, ça même,

00:46:52 ça même, ça détruit les autres.

00:46:54 Donc, ça même, c'est ce que le gouvernement, là, il fait.

00:46:56 Aujourd'hui, il y a ceux qui travaillent,

00:46:58 qui créent la richesse,

00:47:00 et qui distribuent,

00:47:02 qui font ce qu'ils veulent, ils peuvent prendre des dettes,

00:47:04 ils peuvent donner partout.

00:47:06 Ils peuvent prendre des réserves,

00:47:08 qu'est-ce qu'ils travaillent, qu'ils mettent de côté,

00:47:10 pour qu'il n'y ait pas de moments difficiles. Ils peuvent prendre des réserves

00:47:12 à la Banque Centrale, ils peuvent les donner,

00:47:14 ils peuvent les distribuer, après, il dit "qu'est-ce que moi, je dois faire?"

00:47:16 "Je dois faire ce que je peux faire pour que tu travailles,

00:47:18 tu travailles pour te donner

00:47:20 de l'argent, non, tu dois prendre

00:47:22 ce qui te va,

00:47:24 les réserves à la Banque Centrale,

00:47:26 tu dois prendre des dettes,

00:47:28 qui ne te vont pas pour emboucher,

00:47:30 c'est pas les enfants, les petits-enfants qui vont

00:47:32 emboucher, donc, il ne peut pas

00:47:34 avoir de meilleur,

00:47:36 de meilleur avec ce gouvernement-là,

00:47:38 une année électorale,

00:47:40 il ne peut pas faire un budget

00:47:42 si gros, jamais.

00:47:44 Mais ceci dit,

00:47:46 je suis beaucoup plus optimiste

00:47:48 que Véronique concernant

00:47:50 l'économie.

00:47:52 J'ai étudié ces économies

00:47:54 au sein de la commission économique de

00:47:56 mon parti depuis plusieurs

00:47:58 années, entouré d'un groupe

00:48:00 d'économistes très compétents

00:48:02 au sein du MMI,

00:48:04 et nous avons identifié

00:48:06 un pôle de

00:48:08 développement. Et nous sommes arrivés à la conclusion

00:48:10 qu'au fait de Maurice, il y a un

00:48:12 potentiel énorme,

00:48:14 inexploité.

00:48:16 Dans l'île,

00:48:18 nous avons besoin d'une propre

00:48:20 flotte de vaisseaux,

00:48:22 tous nos bateaux.

00:48:24 Par exemple, il y a Air Mauritius

00:48:26 qui est dans mon avion, comme ça, nous avons besoin

00:48:28 d'un bateau, un bateau

00:48:30 qui fait de l'arvête entre Maurice

00:48:32 et le pays

00:48:34 d'Afrique. Nous avons besoin

00:48:36 d'un bateau de pêche, au lieu

00:48:38 qu'on trouvait, qui s'appelle le japonais, le taïwanais,

00:48:40 tout ça qui exploite

00:48:42 tout le territoire. Nous avons besoin

00:48:44 de notre propre bateau

00:48:46 de pêche.

00:48:48 Nous avons besoin

00:48:50 de développer notre secteur

00:48:52 porteur, nos ports, qui, comme on dirait,

00:48:54 au lieu qu'il y ait des gros containers

00:48:56 de vaisseaux, c'est à l'eau

00:48:58 dans le pays africain, c'est qu'il y a tous

00:49:00 des bons produits dans Maurice, et à

00:49:02 Maurice, nous cassons, nous faisons des petits

00:49:04 noyaux. Nous tournons dans l'océan,

00:49:06 mais jusqu'à l'heure où il n'y a pas un projet

00:49:08 qui est plus océan.

00:49:10 Nous faisons en sorte que l'énergie

00:49:12 renouvelable, il n'y a aucun projet

00:49:14 concret

00:49:16 sur l'énergie renouvelable.

00:49:18 Et, on cite M. Rochers,

00:49:20 les deux secteurs qui sont les plus

00:49:22 importants pour une île,

00:49:24 c'est quand on fait communication

00:49:26 extérieure, c'est-à-dire l'accès

00:49:28 aérien et l'accès

00:49:30 portuaire. Tous les deux, ils sont

00:49:32 sous pré-ministre. Port Authority,

00:49:34 cargo handling, ils sont sous

00:49:36 Ravine-Jacquenat, et M. Rochers, ils sont sous

00:49:38 Ravine-Jacquenat. Tous les deux, il y a un capitaine,

00:49:40 puis il y a un pilote, puis il n'y a personne

00:49:42 à la tête d'Air Mauritius aujourd'hui,

00:49:44 puis il n'y a personne à la tête de M.

00:49:46 Rochers Port Authority comme directeur général.

00:49:48 Tout ça qu'il fait, parce qu'il est tombé

00:49:50 sous Ravine-Jacquenat. Si,

00:49:52 on met ça dans ces secteurs-là,

00:49:54 il y a un ministre compétent,

00:49:56 mais Air Mauritius, si on arrive loin,

00:49:58 dans le secteur portuaire, si on arrive loin,

00:50:00 là, il n'y a pas de portique.

00:50:02 Il n'y a pas de...

00:50:04 - C'est en panne, quoi. - ... de petite seuze,

00:50:06 quand on va dans une container, on va dire,

00:50:08 "Non, depuis Bartho, maintenant."

00:50:10 Il y en a sept, c'est trois qui peuvent penser.

00:50:12 Et pas depuis maintenant, ça, hein.

00:50:14 Depuis des années, ça fait vignes.

00:50:16 Donc à cause de ça, moi, je dis à moi,

00:50:18 demain, quand un gouvernement

00:50:20 travaille, un même,

00:50:22 un nouveau démocrate,

00:50:24 et bien, on les reste camarades quand ils viennent

00:50:26 soigner nous. C'est pas que

00:50:28 députés et ministres.

00:50:30 C'est où gagnent toutes les compétences

00:50:32 de tout le monde mauricien

00:50:34 pour occuper une bonne position de responsabilité.

00:50:36 Les députés et ministres, ils peuvent travailler

00:50:38 pour le travail de l'économie, ils peuvent travailler

00:50:40 pour la société, ils peuvent travailler

00:50:42 pour les marchés, ils peuvent travailler pour l'FSC,

00:50:44 le Banque de Mauricie, toutes ces institutions

00:50:46 qui nous décrédibilisent

00:50:48 complètement sur

00:50:50 MSM, où vous avez des gens

00:50:52 capables, et même

00:50:54 mauricien, nous capables, on est aux Maurices

00:50:56 et on nous gagne. Quand on est allé

00:50:58 aux Maurices, on est à la maison des Mauriciens.

00:51:00 On est bilingue, on travaille bien, on est intelligent,

00:51:02 on est contrassé. Mais si dans nos pays,

00:51:04 pareil que chez nous, si dans nos pays

00:51:06 on ne gagne pas nos sens,

00:51:08 on peut prendre des dits, mais non,

00:51:10 on est contre les étrangers, mais on a des compétences

00:51:12 locales, on donne confiance

00:51:14 aux Mauriciens pour qu'ils aient une bonne position

00:51:16 de responsabilité et on est des Mauriciens

00:51:18 capables. C'est pourquoi moi,

00:51:20 demain, je suis bien confiant,

00:51:22 je suis bien optimiste dans la vie des Maurices.

00:51:24 Ce qui est nécessaire, c'est les bonnes personnes

00:51:26 au bon endroit.

00:51:28 Si on a la bonne leadership,

00:51:30 les Maurices, le ciel est le lien.

00:51:32 Le ciel est le lien.

00:51:34 Comment vous pouvez vous mobiliser,

00:51:36 pour le 1er mai?

00:51:38 Vous vous donnez pour lui?

00:51:40 Bien sûr, certainement, nous nous donnons pour lui.

00:51:42 Et nous n'avons pas de réunion qui peut faire,

00:51:44 mais malheureusement, la réunion qui se fait hier,

00:51:46 je n'ai pas réussi à aller dans la reconstruction

00:51:48 avec les leaders, mais

00:51:50 nous, là, nous pouvons travailler.

00:51:52 Je suis une fille qui commence à travailler, je viens d'avant,

00:51:54 toujours très avant-garde, je travaille.

00:51:56 Vous êtes un Briani, là?

00:51:58 Non, certainement pas. Je ne suis pas une Briani,

00:52:00 mais toujours, moi, on peut donner nos affaires,

00:52:02 parce que, comme on dit, nous sommes dans la rivière noire,

00:52:04 pour lui, nous pouvons nous donner nos affaires,

00:52:06 pour manger, pour boire, au moins.

00:52:08 Et vous connaissez, comme on dit,

00:52:10 nous sommes dans la reconstruction,

00:52:12 il peut venir, il peut rentrer dans son travail,

00:52:14 et venir, nous ne savons pas comment ça pourrait être,

00:52:16 mais il est très loin pour venir jusqu'à pour lui,

00:52:18 mais on est obligé de donner ses affaires.

00:52:20 Mais là, Véronique, une affaire que je veux vous demander,

00:52:22 et que c'est aussi raison,

00:52:24 avec sa nouvelle délimitation,

00:52:26 sa reconstruction, là.

00:52:28 C'est-à-dire qu'il n'est plus une élangie?

00:52:30 Non, non, une rétrécie.

00:52:32 Une rétrécie.

00:52:34 Il est en 16 000 votants qu'il a dans le numéro 18.

00:52:36 Et, pour moi,

00:52:38 il est très, très bien,

00:52:40 pour moi, parce que c'est trop, trop grand.

00:52:42 C'est une reconstruction énorme.

00:52:44 Et une reconstruction comme ça,

00:52:46 avec, parfois,

00:52:48 un élu,

00:52:50 des élus, trois élus,

00:52:52 même pas plus facile pour travailler,

00:52:54 cette reconstruction-là, sa grandex, ça a été là.

00:52:56 Mais est-ce que, ou dans

00:52:58 politique, bien longtemps,

00:53:00 est-ce que vraiment sa délimitation,

00:53:02 parce que le Premier ministre Indiali,

00:53:04 se prouve à l'élection d'après un nouveau

00:53:06 registre électoral, qui, d'ailleurs,

00:53:08 se posait sur le 16 août.

00:53:10 Donc, est-ce qu'il y a vraiment

00:53:12 pour eux-mêmes l'impact?

00:53:14 Moi, je pensais que, au départ, nous mélangeons

00:53:18 un registre électoral

00:53:20 qui, tous les ans,

00:53:22 a publié le 16 août,

00:53:24 et délimitation.

00:53:26 La Constitution prévoit

00:53:28 que, tous les dix ans,

00:53:30 le Electoral Boundaries Commission

00:53:32 libère Zafirin Nankarpo

00:53:34 pour

00:53:36 guéter une cote

00:53:38 et assurer

00:53:40 qu'il y ait, autant

00:53:42 que possible, toutes les circonceptions

00:53:44 même grandeur,

00:53:46 même nombre d'électeurs.

00:53:48 Et nous arrivons à un point

00:53:50 que, par exemple,

00:53:52 dans ma circonscription, il y a 24 000 électeurs,

00:53:54 alors que, dans une circonstitution

00:53:56 comme la numéro 14,

00:53:58 il y a 60 000 électeurs.

00:54:00 Donc, il y a trois fois,

00:54:02 des fois et demie,

00:54:04 trois fois plus

00:54:06 d'électeurs que dans la numéro 14

00:54:08 que dans la numéro 2.

00:54:10 Maintenant, je n'ajoute 10 000 électeurs

00:54:12 par mois. Je ne tire

00:54:14 16 000 avec

00:54:16 la numéro 14. Je vous dis

00:54:18 que, dans la numéro 2, il y en a 30 000.

00:54:20 Dans la numéro 14, il y en a

00:54:22 50 000, 55 000.

00:54:24 - Il y en a encore 47 000.

00:54:26 - Il y en a moins que 50 000.

00:54:28 Donc, depuis trois fois,

00:54:30 il y en a moins que des fois.

00:54:32 Donc, il réduit

00:54:34 le nombre de personnes

00:54:36 entre différentes circonscriptions

00:54:38 en

00:54:40 exactement pareil.

00:54:42 Mais, il diminue

00:54:44 la disparité qu'il y a

00:54:46 entre les plus petites circonscriptions

00:54:48 qui se trouvent à pour lui

00:54:50 et les plus grandes circonscriptions. Dans la numéro 5,

00:54:52 la numéro 5 est la plus grande.

00:54:54 Aujourd'hui, c'est la numéro 18

00:54:56 qui est la plus grande circonscription.

00:54:58 On a recevu 16 000 électeurs

00:55:00 depuis la circonscription numéro 14.

00:55:02 C'est une bonne chose pour la démocratie

00:55:04 qui régle

00:55:06 ses boundaries-là

00:55:08 et nous fait confiance

00:55:10 au bureau du Comité électoral

00:55:12 qui aide

00:55:14 le Comité pour faire ça.

00:55:16 Bien sûr, notre seul regret,

00:55:18 c'est qu'il n'y a pas

00:55:20 d'élection pour

00:55:22 passer à celle-là alors que

00:55:24 depuis deux ans,

00:55:26 c'est pareil.

00:55:28 Pour moi, c'est un manque de respect

00:55:30 à l'école électorale.

00:55:32 Moi-même, dans ma circonscription,

00:55:34 j'ai 10 000 nouveaux électeurs de Pai,

00:55:36 Plain-Nousan, Saurès,

00:55:38 Guibise, mais il y en a plus.

00:55:40 Maintenant, dans quelques semaines,

00:55:42 je vais aller à la circonscription.

00:55:44 Je connais aussi depuis un an, deux ans

00:55:46 que je suis dans cette région-là.

00:55:48 Je suis un élétant, plus je travaille

00:55:50 le terrain, plus je dis aux gens,

00:55:52 plus je suis en déléance.

00:55:54 Mais nous,

00:55:56 nous sommes en faveur de

00:55:58 la révision. Je ne pense pas personnellement

00:56:00 que Redécoupage

00:56:02 aura un impact

00:56:04 sur les prochaines élections,

00:56:06 sur les résultats

00:56:08 des prochaines élections parce que je pense

00:56:10 qu'il faut généraliser

00:56:12 le sentiment de rejet

00:56:14 pour ce gouvernement-là,

00:56:16 de généraliser le dégoût

00:56:18 par rapport à

00:56:20 la drogue qu'il prend

00:56:22 sous ce gouvernement-là,

00:56:24 par rapport à la chiété

00:56:26 de la vie

00:56:28 qui est tout dit,

00:56:30 n'importe qui, c'est la circonscription qui l'était,

00:56:32 la vie éminentielle.

00:56:34 Et comme le nouveau leader de l'opposition

00:56:36 a fait ressortir dans son bien-être,

00:56:38 loin de nous, à ce jour-là,

00:56:40 on arrive à une situation où 10 personnes

00:56:42 peuvent prendre la loi dans leur main

00:56:44 parce que la police n'est pas capable.

00:56:46 Elle n'est pas capable.

00:56:48 Et quand 10 personnes prennent

00:56:50 les drogués,

00:56:52 les volants, 10 personnes peuvent

00:56:54 prendre la loi dans leur main

00:56:56 et faire la justice eux-mêmes.

00:56:58 Donc il y a un breakdown total de loi

00:57:00 dans nos pays.

00:57:02 Est-ce que,

00:57:04 dans ce poil,

00:57:06 quand je travaille ici,

00:57:08 on est ensemble le 1er mai,

00:57:10 est-ce qu'on a

00:57:12 un programme électoral aussi en commun ?

00:57:14 Ça c'est dépendre d'un leader ?

00:57:16 Non, le programme électoral,

00:57:18 je l'ai déjà fini de travailler.

00:57:20 Et quand le PMSD

00:57:22 s'est installé ensemble dans l'alliance,

00:57:24 je ne me reconnais pas quand il est arrivé.

00:57:26 Je me dis que le leader du poste de travail

00:57:28 c'est une personne

00:57:30 qui délègue des personnes pour travailler.

00:57:32 Oui, je dis ça, en fait,

00:57:34 il y a un comité,

00:57:36 un programme

00:57:38 qui est présidé

00:57:40 par David Duval.

00:57:42 Moi-même, à Djihaï, je me présente à mes mènes.

00:57:44 Côté travail, il y a

00:57:46 le Dr Abin Boulel

00:57:48 et Ousmane Mahomed.

00:57:50 Bon.

00:57:52 J'espère maintenant

00:57:54 qu'on est ensemble.

00:57:56 Je vous l'ai dit,

00:57:58 malheureusement,

00:58:00 malheureusement,

00:58:02 comme on a dit,

00:58:04 malheureusement,

00:58:06 comme on a dit,

00:58:08 dans la conférence de presse,

00:58:10 malheureusement,

00:58:12 ce comité-là, PANZOEN,

00:58:14 aussi souvent quittait Bizun

00:58:16 parce que David Duval

00:58:18 souvent partait d'un pays

00:58:20 et très rarement il n'y avait pas ce comité-là.

00:58:22 Donc, nous faisions un travail,

00:58:24 mais à ce moment-là,

00:58:26 ils avaient des prières avec nous,

00:58:28 nous comptions travailler,

00:58:30 nous comptions accélérer

00:58:32 la population

00:58:34 en plus

00:58:36 qu'il y a envie

00:58:38 que ce gouvernement-là allait.

00:58:40 Il y a envie qu'on met une nouvelle population

00:58:42 qui pourrait proposer.

00:58:44 Et nous, nous avons une idée.

00:58:46 Nous, je dirais que Tahila a un pôle de développement

00:58:48 qui nous prévient, mais nos priorités

00:58:50 sont des priorités.

00:58:52 C'est combattre la vie chère.

00:58:54 Véronique Tahila a une grosse licence.

00:58:56 Je vais vous poser une question

00:58:58 l'année dernière.

00:59:00 Le gouvernement a gagné

00:59:02 10 milliards de roublies.

00:59:04 Prix Métro Express.

00:59:06 10 milliards de roublies pour un an.

00:59:08 La taxe qu'il a imposée

00:59:10 pour l'essence diesel.

00:59:12 Vous comprenez?

00:59:14 Donc, vous êtes capable,

00:59:16 vous demandez au gouvernement,

00:59:18 vous décidez de tirer taxe ou réduire taxe

00:59:20 sur l'essence diesel.

00:59:22 C'est là-dessus.

00:59:24 Il a boosté l'économie

00:59:26 parce que le coût de production a baissé.

00:59:28 Il est capable de réduire

00:59:30 le prix.

00:59:32 Et il a une plus grande

00:59:34 productivité.

00:59:36 Il y a beaucoup de mesures.

00:59:38 Le 1er mai, je pensais que le leader

00:59:40 annonçait certaines mesures.

00:59:42 Je ne veux pas dire

00:59:44 ce qu'il a dit.

00:59:46 Mais je peux vous dire

00:59:48 qu'il y a beaucoup de choses

00:59:50 très intéressantes qui sont discutées.

00:59:52 C'est une question

00:59:54 qui est capable d'être implémentée

00:59:56 et ne pas avoir un grand impact

00:59:58 sur la baisse de revenus

01:00:00 du gouvernement.

01:00:02 Mais il peut avoir un impact

01:00:04 très positif.

01:00:06 Je vais vous donner un exemple.

01:00:08 Je crois que chaque individu

01:00:10 a une radio.

01:00:12 Ce qui est à cœur, c'est l'Internet.

01:00:14 C'est l'Internet.

01:00:16 Nous avons des enfants.

01:00:18 La plupart d'entre nous avons des enfants.

01:00:20 Nous avons trouvé que la COVID,

01:00:22 c'est la moitié qu'ils ont passé

01:00:24 en ligne.

01:00:26 Mais moi, je ne suis pas

01:00:28 en service d'Internet.

01:00:30 Vous connaissez la case, la connexion

01:00:32 d'Internet. Quand on peut faire

01:00:34 un avis de faute, puis aider les enfants

01:00:36 avec la case et les aider à suivre

01:00:38 par Internet. Il y a Internet

01:00:40 sur la case.

01:00:42 Comment pouvons-nous avancer?

01:00:44 C'est pour ça que nous faisons Internet

01:00:46 gratuit pour tous les

01:00:48 familles.

01:00:50 C'est différent, mais nous pouvons

01:00:52 aussi aujourd'hui développer

01:00:54 notre culture Internet.

01:00:56 Les enfants sont contents d'Internet.

01:00:58 Ils développent leurs recherches.

01:01:00 Franchement, il y a des gens qui me disent

01:01:02 quand ils se préparent pour un discours

01:01:04 dans le Parlement, ils sont bien recherchés

01:01:06 et bien travaillés. Mais c'est grâce

01:01:08 à Internet. Ils ont tout

01:01:10 sur Internet. Tout ce qu'ils

01:01:12 ont envie, tout qu'ils veulent,

01:01:14 ils ont sur Internet.

01:01:16 Vous avez un accent, Lola.

01:01:18 C'est pour ça que

01:01:20 si vous avez Internet gratuit,

01:01:22 c'est comme ça que vous pouvez vous empowrer

01:01:24 les jeunes de notre pays.

01:01:26 Véronique Talliamop demande-nous

01:01:28 une question par rapport

01:01:30 à Xavier-Luc Duval.

01:01:32 Nous pouvons vous prendre une petite pause.

01:01:35 Zoom Extra

01:01:39 #Sous-titres : El Micà

01:01:42 #Relecture : El Micà

01:01:45 #Relecture : El Micà

01:01:48 #Relecture : El Micà

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01:02:02 #Relecture : El Micà

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01:03:33 #Sous-titres : El Micà

01:03:36 - Bienvenue dans "Zoom Extra".

01:03:39 Résolvons une bise qui nous,

01:03:42 parce qu'il y a un lot

01:03:45 de commitments.

01:03:48 Mais nous avons toujours Véronique Le Gauvine,

01:03:51 ancienne présidente de PMSD et castellan

01:03:54 membre Nouveau Démocrate.

01:03:57 Véronique, nous vous interrogez vraiment en politique.

01:04:00 - Oui, je suis une politique.

01:04:03 - Vous avez été une politique

01:04:06 depuis le début de la crise.

01:04:09 - Oui, depuis le début de la crise.

01:04:12 - Vous avez été une politique depuis le début de la crise.

01:04:15 - Oui, depuis le début de la crise.

01:04:18 - Vous avez été une politique depuis le début de la crise.

01:04:21 - Oui, depuis le début de la crise.

01:04:24 - Vous avez été une politique depuis le début de la crise.

01:04:27 - Oui, depuis le début de la crise.

01:04:30 - C'est la première fois que vous vous êtes

01:04:33 interrogée hier?

01:04:36 - Non, nous avons eu plusieurs...

01:04:39 - Une autre circonstance.

01:04:42 - Une autre circonstance.

01:04:45 C'est la première fois que nous nous sommes interrogées hier.

01:04:48 Je me suis dit que je n'étais pas d'accord avec la justice.

01:04:51 - Je me suis dit que je n'étais pas d'accord avec la justice.

01:04:54 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:04:57 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:05:00 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:05:03 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:05:06 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:05:09 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:05:12 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:05:15 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:05:18 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:05:21 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:05:24 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:05:27 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:05:30 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:05:33 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:05:36 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:05:39 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:05:42 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:05:45 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:05:48 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:05:51 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:05:54 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:05:57 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:06:00 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:06:03 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:06:06 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:06:09 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:06:12 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:06:15 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:06:18 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:06:21 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:06:24 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:06:27 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:06:30 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:06:33 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:06:36 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:06:39 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:06:42 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:06:45 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:06:48 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:06:51 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:06:54 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:06:57 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:07:00 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:07:03 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:07:06 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:07:09 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:07:12 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:07:15 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:07:18 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:07:21 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:07:24 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:07:27 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:07:30 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:07:33 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:07:36 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:07:39 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:07:42 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:07:45 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:07:48 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:07:51 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:07:54 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:07:57 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:08:00 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:08:03 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:08:06 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:08:09 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:08:12 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:08:15 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:08:18 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:08:21 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:08:24 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:08:27 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:08:30 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:08:33 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:08:36 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:08:39 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:08:42 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:08:45 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:08:48 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:08:51 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:08:54 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:08:57 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:09:00 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:09:03 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:09:06 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:09:09 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:09:12 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:09:15 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:09:18 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:09:21 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:09:24 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:09:27 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:09:30 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:09:33 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:09:36 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:09:39 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:09:42 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:09:45 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:09:48 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:09:51 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:09:54 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:09:57 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:10:00 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:10:03 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:10:06 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:10:09 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:10:12 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:10:15 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:10:18 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:10:21 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:10:24 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:10:27 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:10:30 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:10:33 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:10:36 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:10:39 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:10:42 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:10:45 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:10:48 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:10:51 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:10:54 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:10:57 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:11:00 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:11:03 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:11:06 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:11:09 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:11:12 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:11:15 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:11:18 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:11:21 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:11:24 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:11:27 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:11:30 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:11:33 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:11:36 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:11:39 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:11:42 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:11:45 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:11:48 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:11:51 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:11:54 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:11:57 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:12:00 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:12:03 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:12:06 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:12:09 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:12:12 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:12:15 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:12:18 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:12:21 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:12:24 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:12:27 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:12:30 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:12:33 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:12:36 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:12:39 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:12:42 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:12:45 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:12:48 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:12:51 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:12:54 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:12:57 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:13:00 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:13:03 - C'est pas juste un candidat potentiel,

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01:13:15 - C'est pas juste un candidat potentiel,

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01:13:21 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:13:24 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:13:27 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:13:30 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:13:33 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:13:36 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:13:39 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:13:42 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:13:45 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:13:48 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:13:51 - C'est pas juste un candidat potentiel,

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01:14:00 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:14:03 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:14:06 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:14:09 - C'est pas juste un candidat potentiel,

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01:14:15 - C'est pas juste un candidat potentiel,

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01:14:33 - C'est pas juste un candidat potentiel,

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01:14:48 - C'est pas juste un candidat potentiel,

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01:14:57 - C'est pas juste un candidat potentiel,

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01:15:36 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:15:39 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:15:42 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:15:45 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:15:48 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:15:51 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:15:54 - C'est pas juste un candidat potentiel,

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01:16:33 - C'est pas juste un candidat potentiel,

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01:16:42 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:16:45 - C'est pas juste un candidat potentiel,

01:16:48 - C'est pas juste un candidat potentiel,

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01:16:54 - C'est pas juste un candidat potentiel,

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