Zoom Extra : Échéances électorales : Les dès sont jetés. Zahirah Radha reçoit : - Dr Farhad Aumeer, député du PTr - Ajay, Gunness, leader adjoint du MMM - Patrice Armance, député du PMSD Jean Claude de L'Estrac, journaliste et observateur politique, interviendra également dans l'émission Vos appels sur le 213 7777.
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00:00:15 Bon après-midi à tous et à toutes. Merci de nous rejoindre pour Zoom Extra.
00:00:20 Au programme aujourd'hui, l'actualité politique.
00:00:23 Le thème qui nous finira au Ténis, c'est échéances électorales.
00:00:27 Les dés sont jetés. Alors, vous connaissez déjà l'Assemblée nationale
00:00:31 pour dissoudre automatiquement en novembre de cette année.
00:00:35 D'ici là, est-ce que, comme l'a dit le Premier ministre,
00:00:38 Pravin Jagannath, nous pourrions une élection partielle au numéro 10,
00:00:42 suivant la démission de Vikram Medugal comme député mardi dernier, soit le 13 février.
00:00:48 Après, serait-ce que, comme le dit le ministre, deux jours plus tôt,
00:00:51 soit dans la soirée du 11 février,
00:00:54 ou soit est-ce que nous pouvons directement vers des élections générales?
00:00:59 Qu'en pense l'opposition parlementaire?
00:01:01 Comment vous préparez-vous pour ce rendez-vous électoral?
00:01:06 Pour débattre sur la question et pour évoquer la situation générale dans le pays
00:01:11 avec un dernier développement sur le plan social, économique et autre,
00:01:14 nous pouvons accueillir en e-studio Jagannath, le leader adjoint du MMM,
00:01:21 le Dr Farad Oumyar, député travailliste, et Patrice Amance, député Permesdé et WIP de l'opposition,
00:01:29 Jean-Claude Lestracq, journaliste et observateur politique,
00:01:32 pour également intervenir dans la première partie de cette émission.
00:01:38 Vos appels sont le 213 77 77, 213 77 77.
00:01:43 Vous êtes capables également de suivre nous en direct sur la page Facebook Top FM Mauritius
00:01:49 et également sur Top TV.
00:01:51 Messieurs, bon après-midi et bienvenue.
00:01:54 Bon après-midi à tous les internautes et tous les auditeurs de Top FM.
00:02:00 Adjaye Ganesh, nous ne commençons pas.
00:02:03 Nous ne commençons pas l'événement politique qui prend tout le monde de court.
00:02:08 La semaine dernière, la révocation du ministre de l'Ex, ministre Vikram De Gial,
00:02:14 suivi de sa démission du Parlement.
00:02:17 Jusqu'à maintenant, nous ne connaissons pas les vraies raisons de sa révocation.
00:02:22 Chacun y va de son interprétation, bien sûr,
00:02:25 mais est-ce qu'il est sain pour la démocratie et la bonne gouvernance
00:02:30 quand un ministre est révoqué sans qu'il nous connaisse les raisons?
00:02:34 Oui, certainement.
00:02:36 Depuis un bon bout de temps, je peux dire que c'est le pire gouvernement
00:02:42 qui nous fait gagner depuis l'indépendance du pays.
00:02:46 Quand on a un gouvernement aussi incompétent sur tous les plans,
00:02:53 qui lit la démocratie, qui lit la gestion de l'économie,
00:02:56 qui lit la gestion de la santé, qui lit la gestion de l'éducation, partout.
00:03:00 Et c'est la seule chose qu'ils peuvent faire.
00:03:02 Nous connaissons un gros projet par milliards.
00:03:06 Là, c'est bon.
00:03:08 Mais de quelle manière un pays,
00:03:12 ce premier ministre révoque un ministre,
00:03:16 et c'est un ministre de la République, qui lit les apports.
00:03:19 C'est vrai que c'est sa prérogative de révoquer un ministre,
00:03:22 mais c'est aussi vrai que la population doit une réponse à la population.
00:03:27 Parce que la population, tu vois, c'est ce qu'on dit.
00:03:30 Et maintenant, quand c'est fini, il n'est pas atteint
00:03:33 que ce ministre rentre dans le pays,
00:03:35 je ne sais pas si il y a des gens ici,
00:03:38 qui le ministre à l'étranger,
00:03:40 il peut prendre l'avion, il peut rentrer dans le pays,
00:03:43 là, le demain matin,
00:03:44 qui, il y a gens qui ne sont pas capables,
00:03:47 qui ont besoin de révoquer un ministre,
00:03:49 s'assoient là-même,
00:03:50 et là, le demain matin, quand le ministre retourne,
00:03:53 comme ça, c'est un film, un film comique.
00:03:54 Là, on dit le matin, quand le ministre retourne,
00:03:57 il finit de révoquer,
00:03:58 là, il reçoit le ministre dans son bureau.
00:04:01 Mais on ne peut pas trouver tout en enfer.
00:04:03 Tu es capable d'atteindre le ministre,
00:04:05 rencontre-le dans ton bureau,
00:04:07 et là, révoque-lui et donne à la population
00:04:09 la bonne raison qu'il fait pour révoquer.
00:04:12 Mais là, c'est ce qui est plus grave.
00:04:14 Entre les deux,
00:04:16 comment dire, il y a des gens qui sont assez rancis,
00:04:18 des gens qui se battent les deux,
00:04:19 et qui se battent les deux.
00:04:20 Tu ne le fais pas, je ne le fais pas.
00:04:22 Tu gardes le silence, je garde le silence.
00:04:24 Mais qui c'est ça ?
00:04:25 La population, qui prend la population ?
00:04:27 On prend un imbécile,
00:04:28 on prend la population pour, comment dire, "dupe" ?
00:04:31 Ou pour abuser un djihali ?
00:04:33 Alors, entre eux, des autres, je connais,
00:04:35 qui fait, le premier ministre connaît qui fait,
00:04:37 il révoque-lui, le ministre connaît qui fait,
00:04:40 le premier ministre peut révoquer-lui,
00:04:41 mais la population, par un droit, connaît.
00:04:43 Et pour moi, c'est une bouffonnade de la démocratie
00:04:47 qui, sa première ministre peut faire.
00:04:49 Mais moi, je veux dire,
00:04:50 nous ne pouvons pas exiger.
00:04:53 La population ne peut pas exiger
00:04:56 qui fait, qui révoque son ministre.
00:04:58 Nous ne nous apprenons pas ni ministre,
00:05:00 nous ne savons pas pour quelle raison
00:05:02 il révoque son ministre.
00:05:03 Peut-être qu'il y a une autre bonne raison.
00:05:05 Peut-être qu'il le connaît lui-même.
00:05:07 Est-ce qu'il est ministre impliqué dans un cas de corruption ?
00:05:09 Est-ce qu'il est ministre impliqué
00:05:10 dans le cas de l'Ipaf et nos billets sur l'ode ?
00:05:12 Est-ce qu'il est ministre impliqué
00:05:13 dans un dossier compromettant ?
00:05:15 Mais nous ne connaissons pas la population.
00:05:17 Nous pouvons spéculer,
00:05:18 mais nous avons envie que le premier ministre
00:05:20 donne une réponse claire et nette à la population.
00:05:23 Le vrai djihali droit,
00:05:24 révoquer le ministre,
00:05:25 mais il est aussi vrai
00:05:27 qu'il doit moralement à la population une explication.
00:05:30 Et si vous voulez,
00:05:32 vous avez un moyen de dire où, dans la circonscription,
00:05:34 il y a des gens qui sont en réveil.
00:05:36 Parce que moi, j'ai un niveau de djihadisme,
00:05:38 je sais où il y a des gens qui sont en réveil.
00:05:40 Je vais faire la périphonie.
00:05:41 D'accord. Nous pouvons gagner le temps de révéler cela.
00:05:43 Le docteur Farah Demir,
00:05:44 le premier ministre qui a déjà gagné ce fin d'année à livrer,
00:05:47 le premier ministre fin d'année,
00:05:49 si le besoin se fait sentir,
00:05:51 est-ce qu'il y a une raison pour la révocation
00:05:54 de Vikram Maudia ?
00:05:55 Comment vous l'interprétez ?
00:05:57 La révocation du ministère de l'Iran
00:06:00 est comme un tsunami dans la cuisine.
00:06:02 La cuisine est un sanctuaire.
00:06:04 Et la pompierie.
00:06:06 Pas bouc à patins.
00:06:08 C'est la première fois dans l'histoire des annales
00:06:10 de l'humorisme moderne et démocratique
00:06:12 qu'il y a un premier ministre qui révoque son ministre
00:06:15 et qui fait un deal avec lui.
00:06:17 Et ce n'est pas moi qui dis cela.
00:06:19 Le deal, là, nous connaît 48 ans
00:06:21 après la journée fatidique du dimanche,
00:06:24 l'ex-ministre de l'Iran devient le premier ministre.
00:06:28 La question qui me pose,
00:06:31 c'est qui fait que Vikram Maudia
00:06:35 n'est pas capable de se rendre en mort
00:06:37 comme ministre lundi matin ?
00:06:39 Qui dégage Vikram Maudia
00:06:42 de se rendre en mort lundi matin
00:06:45 comme ministre ?
00:06:47 Vous ne le faites pas.
00:06:48 Vous le révoquez.
00:06:50 Quand cela blesse plus,
00:06:52 quand cela demande plus d'explications,
00:06:54 il n'y a pas plus de spéculation.
00:06:56 C'est parce qu'après 48 ans d'état de prison,
00:06:59 il n'y a plus de mémoire.
00:07:01 Si vous le laissez comme un gentilhomme
00:07:03 et qu'il rentre en mort,
00:07:05 ou faire pareil comme un ancien premier ministre
00:07:07 qui fait comme Avin Ramgoulam
00:07:09 quand il révoque son ministre,
00:07:11 il l'appelle, il lui donne une solide démission,
00:07:13 il lui explique ce qu'il fait
00:07:15 et il fait à la nation qu'il n'est pas capable de dire
00:07:17 pas le signe, il n'est pas capable de bander,
00:07:19 il n'est pas capable de gouverner,
00:07:21 et ainsi de suite.
00:07:23 Mais qu'est-ce qu'il fait ?
00:07:25 Il attend sa quarantaine d'années,
00:07:27 il a des dégâts depuis ?
00:07:29 Il explique ?
00:07:31 Mais il n'a pas le droit de faire son quatrième ministre
00:07:33 parce qu'il a déjà fait ce qu'il a dit,
00:07:35 il a fait une fin de tournée
00:07:37 à un gouvernement, à une unité,
00:07:39 à la corruption, il y a beaucoup de spéculation.
00:07:41 Il n'a pas le droit de signer un contrat,
00:07:43 il n'a pas le droit de faire un mouvement qui fait du business,
00:07:45 etc.
00:07:47 La question qui se pose,
00:07:49 qui dégage
00:07:51 Vikram Maudoyal qui est poursuivi par Maurice,
00:07:53 s'il est rentré en mort
00:07:55 ou s'il est tiré entre Maurice comme ministre ?
00:07:57 Ça c'est la question.
00:07:59 Patrice Amance, est-ce que vous pensez
00:08:01 que le premier ministre a quand même un devoir moral,
00:08:03 légal, pour lui donner
00:08:05 une bonne raison de cette révocation ?
00:08:07 Écoutez, premièrement,
00:08:09 je voudrais dire qu'il est clair et net
00:08:11 qu'il y a une grande incompréhension
00:08:13 dans l'action du premier ministre.
00:08:15 Et moi, ce que me disent mes collègues aujourd'hui,
00:08:17 c'est que Patrice a une raison d'être
00:08:19 qui fait qu'il y a une urgence nationale
00:08:21 pour révoquer un ministre
00:08:23 qui n'est même pas d'un pays.
00:08:25 Même si vous pensez qu'il est un vieux bougleur,
00:08:27 libéré de Maurice,
00:08:29 il n'est pas capable d'atteindre.
00:08:31 Donc, c'est vraiment une grande incompréhension
00:08:33 de la position de l'action.
00:08:35 Maintenant, c'est vrai, nous ne parlons pas de la raison
00:08:37 de cette action.
00:08:39 Est-ce qu'après la révocation,
00:08:41 après la rencontre entre les deux personnes,
00:08:43 c'est-à-dire entre le premier ministre
00:08:45 et l'ancien ministre Eudebiel,
00:08:47 est-ce qu'il y a eu des tentatives de chantage ?
00:08:49 Est-ce qu'il y a eu des tentatives
00:08:51 de cover-up ?
00:08:53 Dieu sait, le sait, avec Pravin Jagnat et Eudebiel.
00:08:55 Alors,
00:08:57 moi, je me dis que Eudebiel,
00:08:59 qui est élu dans le numéro 10
00:09:01 pour représenter un électorat,
00:09:03 a ce devoir moral,
00:09:05 pas parce qu'il s'est démissionné comme député,
00:09:07 mais il a ce devoir moral
00:09:09 d'y accepter ce bannement.
00:09:11 Donc, qu'est-ce qu'il fait ? Il finit par être révoqué.
00:09:13 Qu'est-ce qu'il fait ? Le premier ministre, il le révoque.
00:09:15 Aujourd'hui,
00:09:17 dans ce contexte numéro 10, il perd un député.
00:09:19 Et nous tous connaissons,
00:09:21 nous ne connaissons pas ce qu'il fait.
00:09:23 Qui peut donner sa part au ciel ? Peut-être dans 4 mois,
00:09:25 peut-être dans 6 mois, peut-être dans 4 mois.
00:09:27 Mais ça, pour priver la circonscription numéro 10,
00:09:29 ça, pour priver la circonscription
00:09:31 numéro 10, un député.
00:09:33 Alors, c'est le droit moral, c'est le droit
00:09:35 constitutionnel, plutôt, de tout
00:09:37 dimanche, c'est la circonscription, être
00:09:39 représenté au Parlement. Et ni le
00:09:41 premier ministre, ni Vicky Amaré de Yall,
00:09:43 n'ont pas gagné le droit de quitter une circonscription
00:09:45 dans le doute, n'ont pas gagné
00:09:47 le droit de quitter la nation dans le doute,
00:09:49 n'ont pas gagné le droit de garder l'information.
00:09:51 Que pouvez-vous tous dire ?
00:09:53 Parce qu'on ne sait pas. On ne sait pas
00:09:55 qui est arrivé. Et on peut le savoir.
00:09:57 On peut le savoir. Le Parlement pourrait prendre
00:09:59 le 26 mars.
00:10:01 Peut-être que nous aurions besoin d'un autre qui pourrait
00:10:03 prendre le 26 mars. On peut le savoir.
00:10:05 On peut le savoir. Qui est derrière
00:10:07 la révocation de ce ministre ?
00:10:09 Est-ce qu'il y a un fichier
00:10:11 business ? Est-ce qu'il y a vraiment
00:10:13 un
00:10:15 fichier business ?
00:10:17 Est-ce qu'il y a vraiment un fichier business ?
00:10:19 Est-ce qu'il y a vraiment un fichier business ?
00:10:21 Est-ce qu'il y a vraiment un fichier business ?
00:10:23 Est-ce qu'il y a vraiment un fichier business ?
00:10:25 Est-ce qu'il y a vraiment un fichier business ?
00:10:27 Est-ce qu'il y a vraiment un fichier business ?
00:10:29 Est-ce qu'il y a vraiment un fichier business ?
00:10:31 Est-ce qu'il y a vraiment un fichier business ?
00:10:33 Est-ce qu'il y a vraiment un fichier business ?
00:10:35 Est-ce qu'il y a vraiment un fichier business ?
00:10:37 Est-ce qu'il y a vraiment un fichier business ?
00:10:39 Est-ce qu'il y a vraiment un fichier business ?
00:10:41 Adjagones, là le Premier ministre Diakipoyna
00:10:43 Adjagones, là le Premier ministre Diakipoyna
00:10:45 a une élection partielle. Nous connaît que le gouvernement
00:10:47 a une élection partielle. Nous connaît que le gouvernement
00:10:49 fait une renvoi les élections municipales à trois reprises.
00:10:51 Mais là il annonce une partielle
00:10:53 dans le numéro 10.
00:10:55 Est-ce qu'il y a pas de l'avant avec
00:10:57 sa partielle là ?
00:10:59 Sachant aussi que c'est dans une région rurale
00:11:01 sachant aussi que c'est dans une région rurale
00:11:03 que supposément il faut.
00:11:05 Pourquoi quand il peut causer ça Premier ministre ?
00:11:07 Pourquoi il peut causer ça Premier ministre ?
00:11:09 Parce que la population
00:11:11 dans son généralité
00:11:13 à part ceux qui y en a
00:11:15 qui y en a
00:11:17 la population générale ne peut pas en laisser.
00:11:19 C'est comme ça
00:11:21 factuellement c'est comme ça.
00:11:23 Parce que nous nous rappelons
00:11:25 en 2019
00:11:27 qu'ils étaient venus ici.
00:11:29 Et vous connaissez aujourd'hui, tout ça fait un an et demi.
00:11:31 Quand il y a eu la démission
00:11:33 même les faisait
00:11:35 les différents.
00:11:37 La démission partielle, nous pour aller
00:11:39 nous pour aller la guérir à l'élection partielle.
00:11:41 Fixer tout après qu'il est arrivé.
00:11:43 Je parle jusqu'au bout du mandat
00:11:45 après le dissous du Parlement pour nous rendre à l'élection générale.
00:11:47 Et c'est ça qu'ils étaient en train de faire.
00:11:49 En 2019 c'était ça qu'ils étaient en train de faire.
00:11:51 Et ce qu'ils ont dit
00:11:53 c'est pas élection partielle
00:11:55 c'est élection générale.
00:11:57 Et laissez-moi vous rappeler pour la petite histoire.
00:11:59 Il y en a beaucoup comme en 2019.
00:12:01 On commençait en 1987
00:12:03 quand il y a eu la démission à Richeboudou
00:12:05 dans Nîmoro XIII
00:12:07 et Banou Hari, l'autre côté.
00:12:09 Il y a eu une élection partielle
00:12:11 qui est fixée par Anirudh Jaghnath.
00:12:13 Un an, on peut dire un an
00:12:15 avant l'élection générale.
00:12:17 Là, ils mettent le candidat
00:12:19 MSM met le feu
00:12:21 dans des badous comme candidat
00:12:23 sous nomination D, mais Anirudh Jaghnath
00:12:25 même s'il y a un an, il est décarroulé.
00:12:27 Le dissous du Parlement
00:12:29 le met à l'élection générale
00:12:31 parce qu'il pensait que c'était un gaspillage l'an.
00:12:33 C'est une fille qui préfère la démocratie
00:12:35 ou pour aller à l'élection générale
00:12:37 dans un an, qui m'a dit
00:12:39 qu'il fallait faire une partielle.
00:12:41 On en est arrivé en 1999
00:12:43 quand mon bon camarade,
00:12:45 mon frère Zil Piran, est né dans Nîmoro X.
00:12:47 Il est décédé.
00:12:49 Il y a eu une élection partielle
00:12:51 en 1999.
00:12:53 Il y avait une rame-goulam fixée partielle.
00:12:55 Mais après le dissous du Parlement
00:12:57 parce qu'il nous dit
00:12:59 dans 6 mois, dans 7 mois,
00:13:01 il va être né dans l'élection générale
00:13:03 mais il est né dans l'élection générale.
00:13:05 Nous avons une autre situation aujourd'hui.
00:13:07 Nous avons une autre situation aujourd'hui.
00:13:09 Il nous dit qu'il peut faire une partielle.
00:13:11 Ou il fait une partielle
00:13:13 demain, il y a 10 personnes qui sont là.
00:13:15 Ils risquent de ne pas rentrer au Parlement.
00:13:17 S'ils fixent une élection partielle,
00:13:19 ils nous disent qu'après ce matin, ils prennent les limites.
00:13:21 Ils prennent tous les limites.
00:13:23 S'ils le fixent en octobre,
00:13:25 le Parlement peut mourir le 21 novembre.
00:13:27 Et nous connaissons la période de la vacances du Parlement.
00:13:29 Ils risquent de dire aux gens
00:13:31 qu'ils veulent mettre pour ce candidat
00:13:33 qu'ils ne peuvent pas rentrer au Parlement.
00:13:35 S'ils le fixent même en août,
00:13:37 nous connaissons après le bidet, le Parlement
00:13:39 a une vacance.
00:13:41 Et ensuite, il reprend en novembre.
00:13:43 Et nous connaissons le 21 novembre, le Parlement peut mourir.
00:13:45 Et ce gouvernement-là, donc,
00:13:47 il dit que le Parlement est un bluff.
00:13:49 Il peut bluffer avec la population.
00:13:51 Il a une obsession
00:13:53 de la vie de rame-goulam.
00:13:55 Il ne sait pas ce qu'il fait. Il décide de partir travailler.
00:13:57 Il a une obsession de la vie de rame-goulam.
00:13:59 Il a une obsession de la vie de rame-goulam.
00:14:01 Il a une obsession de la vie de rame-goulam.
00:14:03 Il a une obsession de la vie de rame-goulam.
00:14:05 Il a une obsession de la vie de rame-goulam.
00:14:07 Il a une obsession de la vie de rame-goulam.
00:14:09 Il a une obsession de la vie de rame-goulam.
00:14:11 Il a une obsession de la vie de rame-goulam.
00:14:13 Il a une obsession de la vie de rame-goulam.
00:14:15 Il a une obsession de la vie de rame-goulam.
00:14:17 Il a une obsession de la vie de rame-goulam.
00:14:19 Il a une obsession de la vie de rame-goulam.
00:14:21 Il a une obsession de la vie de rame-goulam.
00:14:23 Il a une obsession de la vie de rame-goulam.
00:14:25 Il a une obsession de la vie de rame-goulam.
00:14:27 Il a une obsession de la vie de rame-goulam.
00:14:29 Il a une obsession de la vie de rame-goulam.
00:14:31 Il a une obsession de la vie de rame-goulam.
00:14:33 Il a une obsession de la vie de rame-goulam.
00:14:35 Il a une obsession de la vie de rame-goulam.
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00:24:10 Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org
00:24:13 Le Sénégal a été un des pays les plus touchés par la crise sanitaire.
00:24:16 Le Sénégal a été un des pays les plus touchés par la crise sanitaire.
00:24:19 Le Sénégal a été un des pays les plus touchés par la crise sanitaire.
00:24:22 Le laboratoire médical propriétaire de la santé a été touché.
00:24:25 Le laboratoire médical propriétaire de la santé a été touché.
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00:26:59 Welcome back dans Zoom Extra.
00:27:01 Comme vous avez sans doute remarqué, les discussions finissent par se suivre dans le studio ici.
00:27:06 Nous avons Ajay Ganesh, le Dr. Faradomya et Patrice Amance en studio.
00:27:11 Nous parlons des échéances électorales.
00:27:14 Est-ce que les dés sont jetés?
00:27:17 Le Dr. Faradomya, plutôt Ajay Ganesh, s'il mentionne un point,
00:27:22 que le Premier ministre finit par dire qu'il y a une décision de Naveen Ramgoolam pour poser un candidat au numéro 10,
00:27:29 dans l'éventualité bien sûr qu'il y ait une haine partielle,
00:27:32 est-ce que c'est à ces preuves internes qu'il est nécessaire de dire à l'opposition qu'il est candidat pour aligner pour une haine partielle?
00:27:41 Est-ce que ce n'est pas plutôt le MSM qui est nécessaire de réévaluer sur la fausse dans cette circonscription?
00:27:47 Très bien.
00:27:48 Pour atteindre ce challenge, il faut d'abord réaliser quel est le contexte actuel.
00:27:54 Il y a une turbulence politique au numéro 10,
00:27:58 une grosse turbulence, dont un point de mire si il y en a,
00:28:04 mais c'est un bluff du Premier ministre,
00:28:06 et je dirais un très gros bluff même,
00:28:09 qu'il y a une haine partielle.
00:28:10 Et si il y en a une partielle,
00:28:12 et si on peut avoir une date d'échéance, au plus tard mars,
00:28:15 ou au plus tard octobre 2024,
00:28:17 il faut que ça finisse avec cette partielle,
00:28:18 ou si on peut avoir ce qu'on appelle une élection générale après la partielle,
00:28:24 ou une élection générale sans partielle.
00:28:26 C'est un trois scénario qu'il y a.
00:28:28 Maintenant, dans n'importe quel trois scénario,
00:28:31 quand on fait une élection, si on fait cette partielle,
00:28:34 on peut prendre 40 millions de roublies de ce pays, de l'argent du peuple,
00:28:39 et on peut le gaspiller, comme mon camarade a déjà dit,
00:28:42 pour quelqu'un qui ne pourra pas se rendre de Paule-Moi.
00:28:44 Donc, ça ne fait pas de sens.
00:28:47 Là, on vient dire, on vient relativer la démission du RDI
00:28:54 avec quelqu'un qui, tous les jours, rêve,
00:28:58 qui se trache, qui pense,
00:29:01 qui se méfie, qui adore,
00:29:04 on ne sait pas de quelle façon,
00:29:05 tous les jours, on le voit penser,
00:29:07 et on le voit, et on le voit.
00:29:09 Qui a gagné?
00:29:10 Quelqu'un qui peut passer dans un pays
00:29:12 où il y a un devoir comme un premier ministre,
00:29:15 une responsabilité,
00:29:17 pour qui on donne une explication claire et nette
00:29:21 qui fait une révoquerie.
00:29:23 Parce que ce n'est pas vous qui êtes le voteur du diable,
00:29:26 c'est le peuple.
00:29:27 Et le peuple a le devoir, le droit de savoir,
00:29:30 pas agir comme une dictature.
00:29:32 Nous, comme les bluffs de Ravine Jagdant,
00:29:35 nous nous challengerons à Ravine-Ramgoulam
00:29:37 pour une pose numéro 10,
00:29:38 mais nous nous challengerons à mettre l'élection municipale demain matin.
00:29:41 On a tous les droits de le faire.
00:29:43 Maintenant, il faut montrer où il faut.
00:29:45 Il faut montrer où il faut.
00:29:49 Mais je peux dire, Patrick Sormans,
00:29:51 je peux dire,
00:29:52 pas pour une partie,
00:29:54 les poils directement vers le général,
00:29:56 c'est un bluff,
00:29:57 mais qu'est-ce qui est arrivé là,
00:29:59 si il y a une partie là?
00:30:01 Est-ce que vous êtes prêts à affronter ça?
00:30:04 C'est évident, c'est un bluff.
00:30:06 C'est tellement évident que le premier ministre
00:30:09 ne peut pas payer un otage.
00:30:11 D'après ma disposition légale,
00:30:14 la partie nationale a eu lieu plus tard, en octobre,
00:30:20 et nous connaissons que c'est en novembre
00:30:22 que le Parlement peut dissoudre.
00:30:24 Mais qu'est-ce qui est arrivé si il fallait beaucoup plus avant?
00:30:26 On n'empêche pas de le faire avant.
00:30:28 Alors, est-ce que cette possibilité-là,
00:30:31 comment j'ai envisagé ça?
00:30:34 Vous connaissez, dans le contexte qu'aujourd'hui,
00:30:37 le pays peut faire face à un défi conséquent.
00:30:40 Le pays peut faire face à beaucoup d'instabilité,
00:30:44 beaucoup de mauvaise gestion de la part de sa gouvernement,
00:30:48 leur population, dans l'ensemble, méprise le gouvernement,
00:30:53 y compris le premier ministre.
00:30:55 C'est un des hauts de tous coins seméaux du passé.
00:30:57 On ne peut pas tenir une année devant notre gouvernement.
00:30:59 Maintenant, un premier ministre,
00:31:01 qui a un devoir moral envers la population,
00:31:03 il permet de prendre une population en otage.
00:31:07 Il est tout seul à savoir qui est où,
00:31:09 qui date, qui l'est,
00:31:11 quand il peut décider, peut-être quand il peut créer une avion,
00:31:14 pour mettre en place celle-là,
00:31:17 ou pour mettre en place une élection générale,
00:31:19 il permet de donner une indication à la population.
00:31:23 C'est le droit constitutionnel de tout le monde.
00:31:25 Je l'ai dit tout à l'heure, je le répète.
00:31:27 C'est un des droits qu'on a, qui peut arriver avec Bandy Mou,
00:31:30 qui peut diriger notre pays.
00:31:32 Donc, le mot "bluff", peut-être, est un peu trop faible, même,
00:31:36 pour qualifier l'action du premier ministre, aujourd'hui.
00:31:39 C'est plus de la lâcheté de venir dire que, oui,
00:31:43 nous pouvons maintenir nos partiels,
00:31:45 et demander à l'opposition de mettre le docteur Ndangam Goulam
00:31:48 comme condition, un challenge qui n'a pas besoin
00:31:50 d'avoir lieu dans ce pays-là, aujourd'hui.
00:31:52 Il y a tellement de choses à faire dans le pays.
00:31:54 Tellement de citoyens se disent, "on travaille pour rédiger ces choses dans le pays."
00:31:59 Vous connaissez aujourd'hui, un livre, un livre "Mongol",
00:32:01 qui a fait une huit cent, depuis le début, hein?
00:32:03 - "Pima". - "Pima" a fait une huit cent depuis le début, hein?
00:32:05 - "Ou Parti". - Ils ont dit, "on va mettre en place une élection générale,
00:32:07 on prend 40 millions, et demain, 40 millions,
00:32:09 on va déboucher dans la rue,
00:32:11 on va se faire une grosse piste, une grosse piste,
00:32:13 pour mettre en place une élection générale."
00:32:14 Moi, je vous le dis, pas pour une élection générale,
00:32:16 le premier ministre, il peut bluffer,
00:32:18 il peut duper la population,
00:32:20 et ça, c'est très mauvais pour la démocratie.
00:32:23 - Oui, oui. - Je vais vous poser une question,
00:32:25 c'est un peu comme dans "Vinram Goulam".
00:32:26 Vous avez une challenge dans "Vinram Goulam" pour poser un candidat dans une rôtisse.
00:32:29 Mais qu'est-ce que vous faites, comme premier ministre,
00:32:32 avec toute l'approche dictatoriale que vous faites,
00:32:35 vis-à-vis de l'ordinaire et d'autres,
00:32:38 vous ne faites pas une révoque au "State Party Minister"?
00:32:41 Qu'est-ce que vous faites de ne pas faire une révoque au "Météo-Minister"?
00:32:44 Qu'est-ce que vous faites de ne pas faire une révoque au "Correct Solar Minister"?
00:32:47 Qu'est-ce que vous ne faites pas de révoque au "Ministère Drec"
00:32:49 quand vous venez à Mordor le 15 janvier?
00:32:51 Quel challenge?
00:32:53 Comme Patrice l'a dit, le pays fait face à plusieurs cas de corruption ou de maldonnes
00:32:59 quand le peuple est plein et ne demande pas d'élection partielle.
00:33:03 Pas dans "Vinram Goulam" pour un candidat numéro 10,
00:33:06 ou par élection générale, et nous mesurons nos rapports de force,
00:33:09 et pour connaître la situation qu'il y a dans notre pays,
00:33:12 quand le monde est plein.
00:33:14 - Adjaganesh, entre le scandale qui n'a pas été fini
00:33:17 et la fissure apparente entre les partenaires d'alliances gouvernementales
00:33:22 que nous avons retrouvées ces derniers temps, le MSM, le MP,
00:33:26 ça ajoute de l'eau au moulin de l'opposition, n'est-ce pas?
00:33:31 - Vous connaissez cette fissure-là.
00:33:34 Je pensais que je le matais.
00:33:36 Je pensais, soi-disant, que les militants qui y allaient,
00:33:40 soi-disant qu'ils étaient là pour faire les contraires,
00:33:44 qui étaient là pour faire un petit service,
00:33:47 je pensais qu'ils allaient coller, qu'ils allaient venir ensemble
00:33:50 pour augmenter le pouvoir de bargaining vis-à-vis du MSM,
00:33:53 parce qu'ils étaient les bagasses, les paillassons du MSM,
00:33:58 dans le gouvernement, et nous tous, comme dans notre pays.
00:34:01 Quand on finit d'y avoir tout ça,
00:34:03 et c'est que vraiment, en une semaine,
00:34:06 la démission de Radio-Canada,
00:34:08 ça escamote tout le scandale du pays.
00:34:12 Et nous, on ne peut pas laisser qu'il s'en escamote, ce scandale.
00:34:16 Parce qu'il y a mille raisons, aujourd'hui,
00:34:19 qui sont capables de nous faire vis-à-vis de ce gouvernement-là,
00:34:23 le plus vite possible.
00:34:25 Et là, le dernier scandale qui peut passer,
00:34:29 c'est ce qu'a fait Silverbank.
00:34:32 7,7 milliards de roublis,
00:34:35 quand toute la banque a reçu tout ça,
00:34:38 quand on peut donner un permis à une madame,
00:34:40 on peut donner un permis de banque à une madame,
00:34:43 75% d'actions, pas de diligence,
00:34:47 la madame n'a aucun savoir,
00:34:49 et nous connaît.
00:34:50 Donc c'est une situation qu'ils sont capables d'éviter,
00:34:52 si la BOM, tu...
00:34:54 Laisse éviter.
00:34:56 Comment expliquer que la banque comme ça,
00:34:58 si elle n'a pas de casse?
00:34:59 Moi, si j'ai pas de casse,
00:35:01 si Patrice n'a pas de casse, si Docteur n'a pas de casse,
00:35:03 tu peux le mettre dans la banque-là,
00:35:04 ou soit tu peux le mettre dans la banque rénommée dans le pays.
00:35:07 State Bank, ou soit tu peux le mettre dans le CBC,
00:35:10 ou soit tu peux le mettre dans la banque rénommée.
00:35:12 Mais vous réalisez où?
00:35:14 NIC, ils mettent un million de roublis là-dedans,
00:35:17 CovidFund, ils mettent pas un million de roublis là-dedans,
00:35:20 Municipalité, ils mettent pas un million de roublis,
00:35:23 ça veut dire gouvernement, l'État en complicité avec cette banque-là,
00:35:28 et ils ont dit "coute-nous toute la banque-là"
00:35:30 quand ils arrivent au point.
00:35:32 Et ça, c'est un...
00:35:34 c'est pas moi que je fais exemple,
00:35:36 qu'est-ce que tu fais en Bramère?
00:35:38 Pour Bramère, tout de suite, je fais une...
00:35:40 cette licence,
00:35:42 ici, je te... même je te remette casse,
00:35:44 je te remette la monnaie de l'État,
00:35:46 la monnaie de la paix, par d'autres mots,
00:35:48 et ils ont dit "la banque-là, elle est faillite",
00:35:50 ils ont dit "il y a un conservateur qui paye ça".
00:35:54 Ou prends le...
00:35:56 la dingue,
00:35:58 ça, moi je laisse vous, Docteur,
00:36:00 vous me mettez "Docteur" comme le dingue, parce que vous êtes docteur,
00:36:02 vous avez le droit de dire vos choses avec ces allers-retours.
00:36:04 Moi, je ne veux pas dire "respect" à un docteur,
00:36:06 mais vous avez une zéchion, moi je me considère
00:36:08 comme une zéchion catastrophique.
00:36:10 Vous attendez que ce bébé-là
00:36:12 finisse de venir dans le morice,
00:36:14 et là, vous êtes au ministère de la physique.
00:36:17 Vous êtes au ministre comique,
00:36:19 vous prenez une physique, soit disant, pour aller tuer un moustique.
00:36:22 Mais vous êtes au gouvernement, ministre physique,
00:36:24 pour aller tuer un moustique.
00:36:26 Vous prenez le Soudan,
00:36:28 un ambassadeur vient,
00:36:30 vous avez du respect,
00:36:32 déjà Soudan, si vous ne l'avez pas vu,
00:36:34 vous avez vu, si vous avez causé
00:36:36 un problème, vous pouvez le dire pour ce parti.
00:36:38 Là, vous venez,
00:36:40 vous avez un débit de bande de sanité,
00:36:42 votre ancien directeur météo,
00:36:44 Ram Dermia,
00:36:46 vous avez une enquête
00:36:48 pour faire,
00:36:50 vous avez même un avocat,
00:36:52 vous mettez la case,
00:36:54 mais vous venez dire "si c'est assez,
00:36:56 on peut prendre celui-là".
00:36:58 Si c'est assez, on peut prendre celui-là.
00:37:00 Mais ça, un autre premier ministre,
00:37:02 il révoque son ambassadeur
00:37:04 tout de suite.
00:37:06 Parce que comme un ambassadeur, vous venez,
00:37:08 vous faites votre déclaration pareil,
00:37:10 vous êtes son ambassadeur,
00:37:12 mais ça, un premier ministre,
00:37:14 comme on dit, vous pouvez avoir l'étoffe,
00:37:16 vraiment, dans ce pays-là.
00:37:18 Vous avez tellement,
00:37:20 et nous, il ne faudrait pas nous laisser
00:37:22 se camoter tout ça, je vous dis, coûte de la vie.
00:37:24 Coute de la vie peut finir du monde.
00:37:26 Le monde ne peut pas finir
00:37:28 de la même façon.
00:37:30 Quand vous allez au supermarché,
00:37:32 ou dans la pharmacie,
00:37:34 ou vous achetez des manuels scolaires
00:37:36 pour les enfants,
00:37:38 le monde peut souffrir
00:37:40 de quatre coins du pays,
00:37:42 et tout ça, il ne nous faut pas dire ce qu'il fait.
00:37:44 C'est la politique du gouvernement.
00:37:46 Pas avec une raccourci,
00:37:48 non, ce n'est pas international, l'inflation est portée.
00:37:50 Si le parti déprécié
00:37:52 roubille volontairement,
00:37:54 comment je fais, là?
00:37:56 Parce que vous pouvez vous ramasser
00:37:58 avec la dépréciation,
00:38:00 quand vous êtes déprécié, vous créez l'inflation,
00:38:02 vous gagnez TVA, c'est comme ça
00:38:04 qu'il peut rouler un pays et l'économie.
00:38:06 Mais est-ce que c'est comme ça qu'il peut rouler un pays
00:38:08 et l'économie? Il faut dire,
00:38:10 aujourd'hui, on n'a plus de vision,
00:38:12 on n'a plus de contrôle,
00:38:14 on peut dire,
00:38:16 il ne nous faut pas dire ce qu'il veut faire.
00:38:18 La première chose, comment nous finir?
00:38:20 Redonner aux pays ce valeur,
00:38:22 arrêter à ces affaires dépréciées
00:38:24 roubillent, créent l'inflation,
00:38:26 augmentent le prix,
00:38:28 ou vous êtes incapable,
00:38:30 je dis, de l'agriculture,
00:38:32 il n'y a pas de ministre d'agriculture,
00:38:34 je dis, "food security", regardez-là,
00:38:36 un cyclone qui tape, vous pouvez tenter un pote,
00:38:38 vous allez avoir tout, les affaires,
00:38:40 et le prix va monter.
00:38:42 Mais si vous avez "food security",
00:38:44 si vous faites
00:38:46 la vraie diversification agricole,
00:38:48 ou vous avez
00:38:50 Maurice Tibbzine Pote-Pomme-des-Terres,
00:38:52 Maurice Tibbzine Pote-Zouillon,
00:38:54 on ne peut pas faire
00:38:56 comme ça dans le pays,
00:38:58 il n'y a pas de ministre dans le passé,
00:39:00 vraiment, je ne peux pas vous dire
00:39:02 pas le signe, mais vraiment,
00:39:04 quand il dit là, il y a une vraie diversification
00:39:06 agricole. Donc diversification
00:39:08 agricole pour un de ces bonnes mesures
00:39:10 qui sont prévenues actuellement. Certainement,
00:39:12 "food security", il faut bien
00:39:14 répondre à nos agendas, et déjà,
00:39:16 nous avons fini, il y a,
00:39:18 il y a cinq premières, et nous avons travaillé
00:39:20 les bonnes mesures, moi-même, dans le comité
00:39:22 programme, il y a des dirigeants
00:39:24 de chaque partie, mais nous
00:39:26 avons travaillé nos programmes,
00:39:28 nous avons progressé, et déjà, nous avons
00:39:30 fini, il y a cinq mesures, qui nous
00:39:32 pour, comment nous prenons, nous finir
00:39:34 les pensions, les grands-démons,
00:39:36 nous pour faire les vins là-haut,
00:39:38 13 500, nous finir
00:39:40 avant qu'il, avant qu'il
00:39:42 euh, le premier ministre finisse
00:39:44 dans les 75 ans, nous, pour faire
00:39:46 l'égalité dans, bande pensionnaire,
00:39:48 nous, on dirait, nous pour faire les vins
00:39:50 au-dessus de 13 500,
00:39:52 nous pour faire ce qu'il est capable de faire,
00:39:54 nous on dirait, "tax free"
00:39:56 pour bande zen, que vous êtes
00:39:58 premier en emploi pendant dix ans,
00:40:00 vous n'avez pas besoin de payer une taxe,
00:40:02 pour bande zen, nous on dirait,
00:40:04 "financial crime commission", comment nous finir,
00:40:06 mettre des eaux, remplacer,
00:40:08 par de nouveau la loi, parce qu'il n'est pas capable,
00:40:10 il a le pouvoir du pipi, nous finir
00:40:12 pour une "appointment committee"
00:40:14 pour tout bande post-constitutionnelle,
00:40:16 pour une "committee"
00:40:18 qui peut décider d'après la "méritocratie",
00:40:20 nous pour rétablir
00:40:22 la méritocratie dans nos pays,
00:40:24 c'est qui, aujourd'hui, tout bande zen
00:40:26 peut envie rétablir la méritocratie,
00:40:28 et nous dire, "parlement,
00:40:30 redonne sa dignité",
00:40:32 nommé un "speaker" qui
00:40:34 dit, au niveau
00:40:36 national et au niveau international,
00:40:38 le monde va reconnaître qu'il y a
00:40:40 un "speaker" droit,
00:40:42 qui va faire son travail sans faveur
00:40:44 et sans frayeur, c'est ça qu'il nous dit.
00:40:46 D'accord, et un point que vous venez de mentionner,
00:40:48 la dingue,
00:40:50 Dr. Faradou Mir,
00:40:52 plus bien placé, là, pour
00:40:54 cause d'eau, là, après la COVID-19,
00:40:56 nous pouvons faire face, maintenant,
00:40:58 à cette épidémie à ce jour,
00:41:00 aujourd'hui, selon les derniers
00:41:02 chiffres officiels, 1360
00:41:04 cas financs registrés, déjà
00:41:06 trois décès, est-ce que les autorités
00:41:08 ont un contrôle sur
00:41:10 la situation, sachant que la
00:41:12 dingue, ce n'est pas une nouvelle maladie,
00:41:14 il y a, depuis assez
00:41:16 longtemps, déjà un protocole qui
00:41:18 est capable de suivre, alors qu'il ne peut pas marcher
00:41:20 dans cette gestion-là.
00:41:22 La dingue, ce n'est pas la COVID-19.
00:41:24 La COVID-19, c'était un virus
00:41:26 que tout le monde avait pour surprise,
00:41:28 et qui peut reprendre. Je me rappelle,
00:41:30 un des
00:41:32 "statements" que le
00:41:34 ministre en question de la santé a dit,
00:41:36 "nous ne pouvons pas attendre
00:41:38 qu'OMS nous dise
00:41:40 quand il y a une maladie d'importance
00:41:42 nationale,
00:41:44 ou l'épidémie
00:41:46 de la pandémie, et puis nous
00:41:48 nous retrouvons en catastrophe.
00:41:50 Pensez à gouverner ses prévoirs.
00:41:52 Et qui fait dire gouverner ses prévoirs?
00:41:54 Ce n'est pas la première fois que nous gagnons la
00:41:56 dingue. Nous l'avons eu en 2013,
00:41:58 en 2019, en 2022. Cette fois-ci,
00:42:00 la proportion est à l'arrômement.
00:42:02 Nous avons une crise
00:42:04 sanitaire sans précédent vis-à-vis de la
00:42:06 dingue. Et qu'est-ce qui ne marche pas?
00:42:08 C'est la prévoyance qui ne marche pas.
00:42:10 Nous tous connaissons que la période
00:42:12 de janvier à mars, c'était
00:42:14 une période humide, d'été,
00:42:16 plutôt torrentielle,
00:42:18 et surtout cyclone. Et nous
00:42:20 avons une catastrophe
00:42:22 qui ne s'est pas évité. Dans
00:42:24 certaines places, quand il y a une accumulation
00:42:26 de l'eau, de l'eau boueuse, détructive,
00:42:28 de la végétation qui peut pousser partout.
00:42:30 Oh donc,
00:42:32 ce n'est qu'après
00:42:34 deux semaines à trois semaines
00:42:36 qu'il y a un programme
00:42:38 de défumigation,
00:42:40 d'invacination, qui peut commencer
00:42:42 au petit goût,
00:42:44 sans aucun protocole.
00:42:46 L'identification d'un site
00:42:48 dans Maurice
00:42:50 n'est pas un secret d'enfant.
00:42:52 Beaucoup d'endroits dans Maurice
00:42:54 quand il y a la dingue, tout le monde
00:42:56 connaît. Si on prend l'exemple
00:42:58 de Pau-Louis,
00:43:00 il y a beaucoup de gens autour du champ de morse
00:43:02 qui font la dingue.
00:43:04 Je vais vous mettre une pause,
00:43:06 je vais vous mettre, je vais vous avouer,
00:43:08 ce n'est qu'aujourd'hui que la dingue
00:43:10 est nettoyée. Beaucoup de gens se sont admis.
00:43:12 Est-ce qu'il y a une campagne
00:43:14 de sensibilisation
00:43:16 agressive
00:43:18 contre la dingue? Non.
00:43:20 Est-ce qu'il y a une nouvelle école,
00:43:22 de nouveaux enfants, de nouveaux universitaires,
00:43:24 de nouveaux employés du civil service?
00:43:26 Non.
00:43:28 Secteur privé.
00:43:30 Et maintenant, plus important,
00:43:32 nous ne connaissons pas
00:43:34 la dingue.
00:43:36 Qui a surpris ça?
00:43:38 Sommeil cassé.
00:43:40 Mais qui prévoit en ce moment
00:43:42 20 000 boîtes de sandales moustiques?
00:43:44 Qui fait ou ne prévoit-on?
00:43:46 Ou on veut faire pareil
00:43:48 comme dans la COVID-19?
00:43:50 Ou on arrive dans une situation où il n'y a pas
00:43:52 d'emergency procurement?
00:43:54 Là, il y a un petit camarade qui est venu
00:43:56 dans la brevoir.
00:43:58 De toute façon, on va dire qu'il y a un équipement.
00:44:00 Poister, la bouteille, la crème moustique,
00:44:02 le mousquetaire.
00:44:04 Mais c'est très simple.
00:44:06 On doit finir avec beaucoup d'appareils.
00:44:08 On doit faire le travail
00:44:10 pour qu'on aille sur la main.
00:44:12 Dans une situation d'urgence,
00:44:14 ce n'est pas qu'il y a 25 ans, un petit foyer,
00:44:16 on peut le contrôler.
00:44:18 Il y a des gens qui ont dit dans la presse
00:44:20 que les autorités, un responsable
00:44:22 du ministère de la Santé peut dire
00:44:24 que c'est possible qu'il n'y ait pas de cas.
00:44:26 Je sais qu'il n'est pas enregistré officiellement.
00:44:28 Mais quand même,
00:44:30 il n'y a aucun hausse exponentielle.
00:44:32 Est-ce que vous êtes d'accord avec ça?
00:44:34 On écoute sa phrase
00:44:36 exponentielle.
00:44:38 Nous ne pouvons pas être statisticiens dans ce cas.
00:44:40 On peut dire qu'il y a un hausse.
00:44:42 Que ce soit un hausse de 20 cas par jour,
00:44:44 de 25 cas par jour,
00:44:46 il y a un hausse.
00:44:48 Ce qui fait que nous devons dire,
00:44:50 et le ministre l'a dit sans aucun regret,
00:44:52 qu'il y a quelques mois,
00:44:54 nous pourrons avoir
00:44:56 nous tous connaître
00:44:58 que le virus
00:45:00 fait un temps de cycle
00:45:02 et éventuellement il peut disparaître
00:45:04 ou qu'on le contrôle. Mais entre temps qu'il arrive
00:45:06 ou qu'il y a une fatalité,
00:45:08 je finirai avec
00:45:10 quelques ou plusieurs médecins
00:45:12 qui parleront d'eux dans l'hôpital pour faire campagne
00:45:14 contre eux. Je finirai avec plusieurs
00:45:16 dans l'hôpital.
00:45:18 Et je finirai avec l'inacceptable
00:45:20 qui s'abdit du protocole
00:45:22 de traitement,
00:45:24 du protocole de suivi, du protocole
00:45:26 pour les gens qui ont des complications.
00:45:28 Et pour les gens qui ont des complications,
00:45:30 il y a des tests.
00:45:32 On peut faire un test le deuxième jour, le cinquième jour, le septième jour,
00:45:34 quand ça va être testé, c'est "peanuts".
00:45:36 Ça coûte extrêmement beau mot aussi.
00:45:38 Suivre tout ça pour les gens qui ont des tests.
00:45:40 Dans toute région,
00:45:42 le Libéral
00:45:44 nous a fait un approche
00:45:46 "community-based".
00:45:48 Pour tous les gens, dans tout seul endroit,
00:45:50 les gens en symbiose
00:45:52 et ensemble
00:45:54 avec l'État qui peut donner
00:45:56 les services absolus pour être capable
00:45:58 de fumiguer, couper l'herbe, tirer de l'eau,
00:46:00 empêcher que le bactére
00:46:02 ne divise les gens qu'il n'y a plus
00:46:04 de place, les moustiques peuvent s'éclater
00:46:06 et surtout, faire la fumigation
00:46:08 là, d'après les normes,
00:46:10 pas faire les liposervices, pas faire
00:46:12 les troupes, traper une physique
00:46:14 où il peut pomper,
00:46:16 il peut arroser.
00:46:18 Les moustiques ne peuvent pas
00:46:20 s'éclater là.
00:46:22 Là, les moustiques ne peuvent pas venir
00:46:24 parce qu'il y a une place qui est à côté des moustiques.
00:46:26 Qui peut venir?
00:46:28 Il y a une place qui est à côté des problèmes.
00:46:30 Je me faisais ça avec le cri du cœur.
00:46:32 On a beaucoup de places dans mon riz.
00:46:34 Et il y en a beaucoup, beaucoup, beaucoup.
00:46:36 Quand on va à la maison,
00:46:38 la frayeur s'installe
00:46:40 et il faut faire bien attention
00:46:42 à la fatalité de dingue
00:46:44 qui est belle et bien présente.
00:46:46 Il y en a trois cas.
00:46:48 Il y en a cinq à six cas qui sont liés
00:46:50 indirectement.
00:46:52 Donc, ne pas percer, comme on m'a dit,
00:46:54 il n'y a pas pour tous.
00:46:56 Et imaginez, Radha, qu'il y a ce côté collatéral.
00:46:58 Ce dégât collatéral.
00:47:00 Ce dégât collatéral, c'est que
00:47:02 nous perdons, et moi, je perds comme un Mauricien,
00:47:04 que nos pays viennent
00:47:06 en démit quand la dingue est
00:47:08 fichée internationalement,
00:47:10 que les touristes perdent pour venir dans nos pays
00:47:12 et on connaît ce désastre qui peut en arriver
00:47:14 et ne lutter pas la dingue.
00:47:16 Tout à fait. Patrick Samans, nous finissons
00:47:18 avec un résultat du SI,
00:47:20 HSI. Le constat de l'opposition
00:47:22 rejoint aussi celui de
00:47:24 Mads Syndicalis, observateur
00:47:26 dans le secteur, c'est-à-dire que le système
00:47:28 exclut à beaucoup
00:47:30 d'étudiants du cycle éducatif.
00:47:32 Comment nous sommes-nous capables de sortir
00:47:34 de ce système-là? Écoutez,
00:47:36 si nous prenons ce problème à la base,
00:47:38 déjà, Mme la ministre,
00:47:40 ce réforme qu'elle a mené
00:47:42 dans le système éducatif à Maurice,
00:47:44 c'est un désastre
00:47:46 incroyable. Et
00:47:48 elle a persisté,
00:47:50 je ne vais pas dire que c'est un problème plus grave,
00:47:52 mais elle a persisté dans cette action
00:47:54 pour dire qu'elle
00:47:56 permet une réforme correcte
00:47:58 pour aujourd'hui les enfants
00:48:00 de l'île Maurice.
00:48:02 Si nous prenons ça même au niveau
00:48:04 pré-primaire, si nous montons même
00:48:06 jusqu'au niveau HSI, nous trouvons
00:48:08 que le nouveau système
00:48:10 d'éducation à Maurice a failli
00:48:12 à toute échelle.
00:48:14 Donc, il y a
00:48:16 des cas que nous avons
00:48:18 trouvé, il y a eu beaucoup de
00:48:20 élèves qui ont été pénalisés pour ces
00:48:22 affaires de crédit pour se remonter là.
00:48:24 Et nous avons même des élèves qui
00:48:26 ont donné des leçons aux ministres
00:48:28 qui, avec les moyens du beau,
00:48:30 ont très bien fait. Donc,
00:48:32 vous trouvez, il y a une incompréhension
00:48:34 de l'action ministérielle
00:48:36 et ce qui peut arriver dans le pays.
00:48:38 Aujourd'hui, à l'heure où nous sommes
00:48:40 là, il y a encore un grand manque
00:48:42 de professeurs dans les écoles.
00:48:44 À l'heure où nous sommes là,
00:48:46 au mois de février,
00:48:48 il y a encore un manque
00:48:50 de livres de manière scolaire
00:48:52 dans les écoles. À l'heure où nous sommes là,
00:48:54 personne ne comprend pas
00:48:56 ce que son ministre peut faire
00:48:58 avec son système d'éducation.
00:49:00 Donc, c'est un échec. C'est un échec
00:49:02 et malheureusement lié au détriment
00:49:04 des élèves et aux enfants.
00:49:06 C'est tout un système qui nous
00:49:08 doit revoir. C'est tout un système qui nous
00:49:10 doit remettre en place pour ne pas pénaliser
00:49:12 surtout les élèves qui ne
00:49:14 pourraient pas monter avec des crédits.
00:49:16 Notre priorité, c'est quoi? C'est de donner
00:49:18 la chance à mes enfants
00:49:20 de l'île Maurice pour
00:49:22 pouvoir accéder à l'étude,
00:49:24 à une étude supérieure. Il ne faut pas
00:49:26 nous mettre dans une boyer qui, aujourd'hui,
00:49:28 nous-mêmes, ne connaît pas quel niveau
00:49:30 nos enfants doivent être pour pouvoir
00:49:32 accéder à cette étude. Et c'est ça qu'il peut faire.
00:49:34 Est-ce qu'il va créer richesse? Est-ce qu'il va créer
00:49:36 un intellectual de Maurice? Pas du tout.
00:49:38 Pas du tout. Il peut pénaliser
00:49:40 nos enfants. Donc, pour moi, mon compréhension
00:49:42 de ça, c'est qu'il, malheureusement,
00:49:44 le ministre est tout à fait à côté
00:49:46 de la plaque. Alors, quand je pensais
00:49:48 à un peu plus tôt là,
00:49:50 c'est un petit peu ce domaine, il est à côté
00:49:52 de la plaque quand nous cause le système
00:49:54 éducatif. Peut-être rapidement, on est capable
00:49:56 de réagir par rapport à ça.
00:49:58 Bon, on connaît, la semaine dernière,
00:50:00 je vous ai donné une conférence de presse, moi-même,
00:50:02 comme président de la commission de l'éducation
00:50:04 à moi-même, nous faisons
00:50:06 des annonces,
00:50:08 vraiment, vous connaissez où est le ministre
00:50:10 de l'éducation d'abord aujourd'hui?
00:50:12 Il parle de dialogue. Et mon
00:50:14 dialogue, le meilleur mot dans le système
00:50:16 éducatif, c'est le dialogue permanent.
00:50:18 On a tous les stakeholders.
00:50:20 Ça veut dire recteur,
00:50:22 manager de l'école,
00:50:24 les inspecteurs,
00:50:26 tous les stakeholders.
00:50:28 Il faut une consultation
00:50:30 régulière. Malheureusement, il y en a.
00:50:32 Vous avez ce système-là.
00:50:34 Vous savez que les enfants font 9
00:50:36 ans par année.
00:50:38 Je vous dis ce qu'ils peuvent faire. Vous dites à ces enfants-là
00:50:40 qu'ils ont 6 ans,
00:50:42 ça veut dire qu'ils ne peuvent pas doubler.
00:50:44 Si j'aime, ils montent automatiquement.
00:50:46 Ceux qui ont l'âge, ils peuvent faire 3 ans,
00:50:48 former une, former deux, former trois,
00:50:50 c'est ce qu'ils appellent le grade 7, grade 8, grade 9.
00:50:52 Et il y en a d'autres qui ne peuvent pas,
00:50:54 ils ne peuvent pas faire ça,
00:50:56 ils peuvent faire le même programme,
00:50:58 ils peuvent faire les 4 ans.
00:51:00 Ces enfants-là, ils ont des difficultés pour faire
00:51:02 le PSAC. Ils peuvent faire
00:51:04 le même programme et même l'examen
00:51:06 que ces enfants brillants-là.
00:51:08 Évidemment, nous, c'est une catastrophe.
00:51:10 Extended programme,
00:51:12 dépoussons les enfants,
00:51:14 dépoussons les enfants, ça veut dire
00:51:16 dans deux cohortes de l'année,
00:51:18 on en a 6 000 enfants
00:51:20 qui ont été épargnés
00:51:22 après 9 ans par année.
00:51:24 Ils ont réalisé ce crime.
00:51:26 C'est ce qu'ils nous ont fait.
00:51:28 Pour qu'ils aient un accompagnement
00:51:30 tout au long,
00:51:32 pour que les enfants soient bien,
00:51:34 accompagner les bien,
00:51:36 faire un suivi des biens.
00:51:38 Mais ici, nous,
00:51:40 même les enfants, ils ont fait l'extended programme
00:51:42 et ils ont fait l'extended programme
00:51:44 6 000, 7 000, où ils étaient.
00:51:46 On finit, c'est 6 000, 7 000,
00:51:48 qui l'ont fait, dans 9 ans
00:51:50 de scolarité,
00:51:52 c'est ceux qui sont ici.
00:51:54 C'est eux qui ont fait ce crime.
00:51:56 Quand j'en parle,
00:51:58 je donne un chiffre. L'année dernière,
00:52:00 8 000 enfants
00:52:02 n'ont pas gagné 5 crédits.
00:52:04 8 000,
00:52:06 pas ici.
00:52:08 Cette année, on a 7 000 enfants
00:52:10 qui n'ont pas gagné 5 crédits.
00:52:12 Et parmi, on a 3 à 4 000,
00:52:14 mais on a 3 à 4 000 enfants
00:52:16 qui ont gagné 3 crédits.
00:52:18 Mais vous avez ces enfants-là,
00:52:20 ils n'ont pas fait, ils n'ont pas laissé monter,
00:52:22 ils n'ont pas laissé dans le passé,
00:52:24 sous le gouvernement,
00:52:26 3 crédits, ça, tu peux monter, ça, tu peux faire bien.
00:52:28 Qui de qui
00:52:30 doit nous, comme policiers
00:52:32 mécaniques, nous capables
00:52:34 en pêche sa pitié-là,
00:52:36 3 crédits à faire ici?
00:52:38 Et quand on connaît, on dit, pour aller à l'université,
00:52:40 à part l'université Maurice,
00:52:42 tout le monde de l'université,
00:52:44 ils vont dire, des élèves, ils ont 10 ans.
00:52:46 Mais c'est eux qui nous disent, si un enfant, il a 3 crédits,
00:52:48 tout le reste, il monte,
00:52:50 il va se mettre ici,
00:52:52 les parents-là, les enfants-là,
00:52:54 rectifient-les, ils s'assisent ensemble,
00:52:56 pour qu'ils puissent, si pas les enfants-là,
00:52:58 prendre une foule ici,
00:53:00 ce 3 ménages, ce dessus,
00:53:02 ou soit ils prennent des élèves, 3 élèves,
00:53:04 ils faisent ça,
00:53:06 mais qui fait à nous, les enfants-là?
00:53:08 Mais il y a un ministre qui s'est assis,
00:53:10 il fallait écouter.
00:53:12 Là, Patrice Pécos, l'évangéliste,
00:53:14 nous ne cherchons rien d'autre, l'année dernière, pareil,
00:53:16 même, qui m'a dit,
00:53:18 un trimestre pas fini,
00:53:20 une pénurie d'enseignants,
00:53:22 et nous, on ne lit pas beaucoup,
00:53:24 et là, on peut avoir un mauvais temps.
00:53:26 Mauvais temps, on ajoute là.
00:53:28 Et ajoute là,
00:53:30 un programme en ligne,
00:53:32 ça veut dire un programme en ligne,
00:53:34 qui ne lit pas du tout,
00:53:36 en ligne, parce qu'il n'y a pas de professeur,
00:53:38 il n'y a pas de liens,
00:53:40 qui ne font pas ce qu'il faut,
00:53:42 où les enfants pauvres, ils ne font pas ce qu'ils ont besoin,
00:53:44 ils ne font pas ce qu'ils ont besoin,
00:53:46 et qui peut faire avec ces enfants-là,
00:53:48 dans le premier trimestre, mais il ne lit pas qu'un an,
00:53:50 l'année dernière, même chose,
00:53:52 et le ministre reste dormi, même,
00:53:54 et ça c'est l'éducation sous MSM.
00:53:56 Voilà, fin arrive,
00:53:58 l'heure pour nous moquer,
00:54:00 à une autre pause, nous retrouvons juste après.
00:54:02 [Musique]
00:54:04 [Musique]
00:54:06 [Musique]
00:54:34 [Musique]
00:54:36 [Musique]
00:54:38 [Musique]
00:54:40 [Musique]
00:54:42 Le laboratoire médical Procare
00:54:44 propose un service à domicile
00:54:46 pour des prises de sang à travers l'île
00:54:48 et dans nos points de collecte à
00:54:50 Forestside, Aucoulé, Ménil et Larosa.
00:54:52 Nous proposons aussi un test
00:54:54 général à partir de 750 roupies
00:54:56 avec des résultats bien détaillés
00:54:58 et précis, dans un délai
00:55:00 raisonnable. Pour tous vos renseignements,
00:55:02 appelez Procare Medical Laboratory
00:55:04 sur le 660 60 60
00:55:06 660 60 60
00:55:08 660 60 60
00:55:10 Nos lits de téléphone sont ouverts de 6h30
00:55:12 jusqu'à 20h30, 7 jours sur 7.
00:55:14 [Musique]
00:55:38 De retour dans Zoom Extra,
00:55:40 nous péquose sur les
00:55:42 échéances électorales.
00:55:44 Nous avons dans le studio le Dr.
00:55:46 Faradou Mia, Jay Ghanis et
00:55:48 Patrice Samance. Vos appels
00:55:50 sur le 213 77 77
00:55:52 nous pérpondent
00:55:54 aux questions et aux commentaires.
00:55:56 Faradou Mia,
00:55:58 depuis décembre, nous filmes notre
00:56:00 certaines mesures que le gouvernement filme prendre.
00:56:02 Le salaire minimum, la pension de vieillesse
00:56:04 à 13 500 pour ceux âgés
00:56:06 de plus de 75 ans.
00:56:08 Sans doute, il y a aussi un budget
00:56:10 avant les prochaines élections,
00:56:12 un budget la bouse d'eau, comment dire.
00:56:14 Est-ce qu'avec
00:56:16 les moyens logistiques, financiers
00:56:18 que le gouvernement a
00:56:20 à sa disposition,
00:56:22 sans doute, il peut jouer ça à fond
00:56:24 en ce faveur. Comment l'opposition
00:56:26 peut faire face à ça?
00:56:28 Il n'y a pas aucun doute. Le gouvernement
00:56:30 est un réseau de guerre
00:56:32 fascinant,
00:56:34 très fort.
00:56:36 Il n'est pas...
00:56:38 à l'écoute de ce qui est passé dans le pays,
00:56:40 nous sommes bien conscients
00:56:42 qu'il faut, en gros,
00:56:44 renforcer ce réseau de guerre
00:56:46 pour dépenser l'élection.
00:56:48 Qu'est-ce que l'opposition a contre ça?
00:56:50 Nous payons
00:56:52 notre réseau de guerre.
00:56:54 Nous n'avons pas sa capacité financière,
00:56:56 mais nous prenons une affaire qui est très importante.
00:56:58 Les squelettes
00:57:00 du gouvernement.
00:57:02 C'est ce que ce gouvernement a fait
00:57:04 pendant 4-5 ans.
00:57:06 C'est ce qui traumatise sa population.
00:57:08 C'est ce qui amène
00:57:10 la vie de sa population à être
00:57:12 très difficile. Nous n'avons pas
00:57:14 la capacité de remplir notre caddie.
00:57:16 Pour nous, 2 000 €, il faut finir
00:57:18 dans quelques jours. Pour augmenter
00:57:20 notre paye, il faut finir
00:57:22 avec la compensation, avec l'équilibre
00:57:24 entre ce qui est de notre côté
00:57:26 et notre qualité de vie.
00:57:28 Et surtout, le prix de l'indice
00:57:30 qui est monté n'est pas mal.
00:57:32 Qu'est-ce que le peuple fait
00:57:34 pour calculer bien
00:57:36 et ne pas prendre en compte
00:57:38 sa largesse
00:57:40 financière ?
00:57:42 Money is young.
00:57:44 Qui est-ce que ce gouvernement
00:57:46 laisse
00:57:48 se liguer ici
00:57:50 quand il s'agit de l'argent ?
00:57:52 Il y a un grand problème
00:57:54 avec ce qu'on appelle le KYC, du diligence.
00:57:56 Si nous prenons
00:57:58 les grands institutions,
00:58:00 est-ce qu'ils ont besoin de faire ça ?
00:58:02 Nous commençons par Goldfinger,
00:58:04 euroloan, et certains ministres
00:58:06 de finance, 40 millions.
00:58:08 Nous commençons par State Bank, qui donne
00:58:10 des grands gros loans à l'étranger,
00:58:12 par exemple, des magnés du pétrole
00:58:14 et des indiens
00:58:16 qui s'appellent, pas trop les nationaux,
00:58:18 mais qui donnent d'autres
00:58:20 grands argents. Nous avons Gupta,
00:58:22 Silver Bank. Nous avons
00:58:24 Alvaro Sobrino.
00:58:26 Nous avons
00:58:28 Domo Bank.
00:58:30 SBM ne peut jamais
00:58:32 donner de grands argents. Pourquoi ?
00:58:34 Quand il y a des gens
00:58:36 du gouvernement qui disent qu'ils font le KYC,
00:58:38 ils sont déligés. Heureusement,
00:58:40 ils ne peuvent pas me donner mon diplôme.
00:58:42 Mais
00:58:44 c'est là que nous avons ça.
00:58:46 Nous avons un autre parallèle.
00:58:48 Nous avons un autre parallèle.
00:58:50 Si Silver Bank, ils ont dit qu'il y avait tout ce problème-là,
00:58:52 comme Adja a dit,
00:58:54 qui a les argents pour garantir
00:58:56 l'argent de ce petit peuple-là ?
00:58:58 Qui ça ? Gokul ?
00:59:00 Mais Gokul, même avec sa
00:59:02 toile de diable, là, il ne dépaye
00:59:04 pas Yanké. Il ne dépaye
00:59:06 pas Yanké. Il va en avion
00:59:08 pour 230 millions, je te prends 50 millions
00:59:10 dans un poste comme la paix.
00:59:12 Ça, ben, quand tu es du gouvernement, tu ne peux pas faire confiance,
00:59:14 hein ? Ça, nous pourrions dire que les peuples du bout de
00:59:16 notre toit, quand ils se font, je te mets en confiance,
00:59:18 ils ne vont pas terminer. Il y a un autre
00:59:20 élément qui est très important
00:59:22 quand on a le vote au candidat.
00:59:24 Est-ce que
00:59:26 ça, le gouvernement, pourquoi il ne défend
00:59:28 pas son bilan-là ? Il y a une violence
00:59:30 qu'il y a dans le gouvernement-là.
00:59:32 Il tape sur les infirmiers,
00:59:34 il bat
00:59:36 les agents dans les "good lands".
00:59:38 Hein ?
00:59:40 Peut-être qu'il y a un peu de révolver, on verra.
00:59:42 - Les agents, ils ont une sieste sur la caisse pour la suite.
00:59:44 - Oui, mais ils ont une sieste, je te le dis.
00:59:46 Hein ? Ou bien,
00:59:48 l'autre qui est venu,
00:59:50 moi, je suis allé
00:59:52 au fric, je ne peux pas vous montrer
00:59:54 cette vidéo, comment
00:59:56 ce religieux, l'imam-là,
00:59:58 qui est maltraité, presque
01:00:00 battu dans le bureau d'un ministre.
01:00:02 Après, il n'y a pas de caractère.
01:00:04 - Là où on assume
01:00:06 la responsabilité de la
01:00:08 Chétoupédie. - Moi, je suis pas responsable, parce que j'ai beaucoup de taff.
01:00:10 Nous prenons violence verbale.
01:00:12 Il y a un député qui
01:00:14 a été journaliste en
01:00:16 termes de chien.
01:00:18 Soudain, il y a une répétition
01:00:20 de la façon dont il maltraitait
01:00:22 des gens, comme une accusation contre
01:00:24 les revolvers, pour couper les couilles,
01:00:26 pour mettre pendu.
01:00:28 C'est pas des gens qui veulent avoir la caisse,
01:00:30 c'est des gens qui veulent gagner.
01:00:32 Et l'autre,
01:00:34 il peut maltraiter le journaliste, parce qu'il ne peut pas tenir son photo.
01:00:36 Quand on regarde qui est arrivé
01:00:38 à Mauritius, ils ont dit
01:00:40 qu'il avait acheté un avion,
01:00:42 qu'il avait endetté, et
01:00:44 que l'imam était le CEO.
01:00:46 Et le CEO, il peut gagner sur la paie.
01:00:48 C'est ce qu'ils m'ont entendu dire.
01:00:50 C'est comme si on avait un contrat pour
01:00:52 faire passer la paie à des gens qui venaient.
01:00:54 Comme ça, il y a beaucoup de choses
01:00:56 qui sont l'orgie financière
01:00:58 qui est arrivée là,
01:01:00 c'est la monnaie illusion qui est arrivée là.
01:01:02 Il y en a trop beaucoup.
01:01:04 Je ne veux pas qu'on écoute tout de suite
01:01:06 dans la santé, pour qu'on raconte
01:01:08 une session.
01:01:10 Mais ce qui est le plus important,
01:01:12 même si c'est un mot,
01:01:14 c'est que les autres l'ont mis.
01:01:16 Ils ont raison, c'est un mot.
01:01:18 C'est un mot qui est très important.
01:01:20 C'est un mot qui est très important.
01:01:22 C'est un mot qui est très important.
01:01:24 C'est un mot qui est très important.
01:01:26 C'est un mot qui est très important.
01:01:28 C'est un mot qui est très important.
01:01:30 C'est un mot qui est très important.
01:01:32 C'est un mot qui est très important.
01:01:34 C'est un mot qui est très important.
01:01:36 C'est un mot qui est très important.
01:01:38 C'est un mot qui est très important.
01:01:40 C'est un mot qui est très important.
01:01:42 C'est un mot qui est très important.
01:01:44 C'est un mot qui est très important.
01:01:46 Pour vous répondre un peu à ce que Farad a dit,
01:01:48 avant que je ne me rende un peu,
01:01:50 c'est que dans un pays,
01:01:52 la population doit avoir
01:01:54 l'inspiration et la confiance
01:01:56 de leur gouvernement et des premiers ministres.
01:01:58 Dans un pays,
01:02:00 l'économie doit créer des richesses
01:02:02 pour que le pays puisse fonctionner.
01:02:04 Un pays ne peut pas
01:02:06 fonctionner avec la TVA.
01:02:08 C'est ce que vous avez dit.
01:02:10 Un pays ne peut pas fonctionner
01:02:12 avec les watches,
01:02:14 c'est ce que Farad a mentionné.
01:02:16 Un pays ne peut pas fonctionner
01:02:18 avec l'instabilité.
01:02:20 Pourquoi le premier ministre
01:02:22 et le gouvernement
01:02:24 ne font pas un budget
01:02:26 pour les PEP dans quelques mois?
01:02:28 On sait qu'il y aura une consultation budgétaire
01:02:30 qui va commencer.
01:02:32 On sait, même si je ne vous le dis pas,
01:02:34 est-ce que vous croyez que la population
01:02:36 qui a souffert pendant cinq ans
01:02:38 pour oublier tout ce qui a passé
01:02:40 pendant ces cinq dernières années,
01:02:42 qui a fait la bouse dure
01:02:44 à la veille d'une élection générale,
01:02:46 les Mauritiens ne sont plus toupés.
01:02:48 Ils ne sont plus capables d'accepter ça.
01:02:50 Est-ce que vous croyez que,
01:02:52 en 2024,
01:02:54 on sait que ça va se péter
01:02:56 le 30 décembre,
01:02:58 on sait comment il va se rendre.
01:03:00 La gestion de l'aéroport,
01:03:02 qui peut faire de ça l'aéroport?
01:03:04 D'accord, camarade Farad,
01:03:06 je vais vous l'expliquer.
01:03:08 Si on a un ministre météo,
01:03:10 qui a fait une catastrophe
01:03:12 dans le pays,
01:03:14 il n'a pas pu faire
01:03:16 de dégâts.
01:03:18 Une inondation
01:03:20 qui a fait la catastrophe au pays.
01:03:22 L'aéroport.
01:03:24 Mini-sclac.
01:03:26 Allez, nous, nous
01:03:28 nous attendons à ce que vous continuiez.
01:03:30 La régime, la moitié,
01:03:32 qui nous est née,
01:03:34 Patricia de Gros Caillou.
01:03:36 Patricia Nekotou, bonsoir.
01:03:38 Bonsoir, je vais inviter le plateau.
01:03:40 Mais moi, j'ai une question pour poser
01:03:42 à Diagne Ganes.
01:03:44 Diagne Ganes, je t'ai demandé
01:03:46 de révoquer nos ambassadeurs
01:03:48 comme chez Soudan.
01:03:50 Mais nos premiers ministres, il faut les révoquer.
01:03:52 Il y a un gouvernement là.
01:03:54 Il y a rien.
01:03:56 Il y en a là-bas,
01:03:58 il y en a à Miropera Bir,
01:04:00 il y en a au ministre de l'Environnement,
01:04:02 il y en a dans...
01:04:04 Il y en a trop, trop, trop,
01:04:06 il y en a pour un ministre, il ne faut pas les révoquer parce qu'il est pour finir.
01:04:08 Là, nous avons une élection
01:04:10 dans le numéro dix.
01:04:12 Il ne faut pas donner l'élection numéro dix.
01:04:14 C'est donné ici. Casse-la, passe-la dans ce poste,
01:04:16 ça, dans le poste. Là, on a une contribution
01:04:18 qui est encore pas venu.
01:04:20 Il faut que nous reprenons ce poste dans l'élection numéro dix.
01:04:22 Il ne faut pas faire ça.
01:04:24 Si vraiment, vous nous faites faire ça,
01:04:26 comme on peut dire, il faut un salaire minimum,
01:04:28 deux portions.
01:04:30 Il faut nous faire connaître qu'il faut révoquer son ministre.
01:04:32 Il ne faut pas faire ça.
01:04:34 Ça veut dire qu'il ne peut pas faire ça.
01:04:36 Il faut qu'il se fasse sa chambre, il ne peut pas faire ça.
01:04:38 Allez, merci.
01:04:40 Merci Patricia.
01:04:42 Bon, c'est vrai qu'il y a une faire en l'analyse,
01:04:44 vous êtes une faire en l'analyse
01:04:46 de tous les scandales qu'il y a
01:04:48 qui, sans doute,
01:04:50 limitent le gouvernement
01:04:52 dans une situation...
01:04:54 C'est un side view ça, hein?
01:04:56 C'est un side view.
01:04:58 Sans doute, il limite le gouvernement
01:05:00 dans une situation inconfortable,
01:05:02 mais ça veut dire que
01:05:04 l'opposition parlementaire,
01:05:06 l'alliance PTM,
01:05:08 PMSD, automatiquement, l'y font.
01:05:10 Vous savez,
01:05:12 euh, moi quand Patricia,
01:05:14 je me prouve à la question,
01:05:16 Patricia résume la situation là-bas.
01:05:18 Il dit "Ah oui, mais Pabine Diagnace,
01:05:20 il a révoqué Soudan, mais tout le monde
01:05:22 a révoqué dans un gouvernement là-bas.
01:05:24 Vraiment, on dresse un lalisme aussi.
01:05:26 On sait guetter.
01:05:28 Mais tout le temps, on dit, l'exemple vient d'en haut.
01:05:30 C'est tout le temps qu'on donne
01:05:32 un gouvernement, c'est là-haut-là.
01:05:34 La tête-là qui donne l'exemple.
01:05:36 S'il lui donne le bon exemple,
01:05:38 ce bande de ministres s'y poursuivent.
01:05:40 Mais malheureusement, ici, dans un gouvernement,
01:05:42 aujourd'hui, où il y a
01:05:44 tous les incompétents
01:05:46 qui peuvent diriger ce pays, mais malheureusement,
01:05:48 incompétents, dangereux,
01:05:50 et qui pèquent le pays,
01:05:52 pèquent le pays dangereusement
01:05:54 sur tous les plans, hein?
01:05:56 L'économie, l'économie,
01:05:58 nous perd dans cette situation
01:06:00 que nous avons arrivée.
01:06:02 Une question, c'est,
01:06:04 une demande-moi.
01:06:06 Malgré la situation
01:06:08 dans laquelle
01:06:10 le gouvernement se trouve,
01:06:12 est-ce que ça veut dire que l'opposition,
01:06:14 l'alliance PTM,
01:06:16 automatiquement, l'y faut?
01:06:18 Comment je peux faire face
01:06:20 à ça,
01:06:22 malgré que nous connaissons un certain
01:06:24 mécontentement au sein de la population,
01:06:26 comment je peux arriver à convaincre la population
01:06:28 parce que nous connaissons aussi
01:06:30 un désir de changement,
01:06:32 mais aussi de renouveau
01:06:34 au sein de la population?
01:06:36 Bon, c'est clair, c'est ça. C'est pour la première fois
01:06:38 qu'on nous dit, c'est pour la première fois
01:06:40 que trois grands partis,
01:06:42 nous finissons déjà
01:06:44 l'adversaire, nous finissons l'adversaire
01:06:46 travaillant, travaillant sur l'adversaire,
01:06:48 l'adversaire PTMSD, PTMSD sur l'adversaire,
01:06:50 PTMSD sur l'adversaire travaillant,
01:06:52 passent ces trois plus grands partis
01:06:54 dans le Maurice, mais pour la première fois,
01:06:56 quand nous quittons le pays, quand ils arrivent,
01:06:58 et quand nous finissons
01:07:00 de nous écouter la base,
01:07:02 et ce qui est intéressant sur l'alliance là,
01:07:04 c'est que l'alliance, ce n'est pas une fête
01:07:06 pour les dirigeants,
01:07:08 ils sortent depuis la base, c'est le souhait
01:07:10 de la base de tous les
01:07:12 trois partis, sympathisant
01:07:14 de tous les trois partis, qui
01:07:16 nous demande,
01:07:18 nous avons besoin de la force,
01:07:20 pour ne pas laisser notre pays finir comme ça.
01:07:22 Et quand nous avons l'alliance
01:07:24 qui sort depuis la base,
01:07:26 qui sort depuis dans les peuples,
01:07:28 dans le ventre des peuples,
01:07:30 les peuples qui demandent de nous faire ça,
01:07:32 nous nous obligeons,
01:07:34 dans ce cas, de faire ce
01:07:36 que les peuples nous demandent de faire.
01:07:38 Chaque parti
01:07:40 peut avoir une concession,
01:07:42 un sacrifice, parce que chacun a sa
01:07:44 propre façon de fonctionner,
01:07:46 chaque parti a son style
01:07:48 opéré, mais quand nous
01:07:50 avons l'alliance, évidemment,
01:07:52 nous n'avons pas de concession à faire,
01:07:54 nous pouvons pas avoir de concession
01:07:56 parce que c'est l'intérêt du pays
01:07:58 qui compte avant tout. Et laisse-moi dire
01:08:00 lui aussi, aujourd'hui, il y a
01:08:02 trois leaders qui ont de l'expérience,
01:08:04 il y a des anciens
01:08:06 premiers ministres,
01:08:08 un acting prime minister,
01:08:10 ministre des finances, vice-premier ministre,
01:08:12 où il a parlé de l'expérience
01:08:14 dans sa procès au gouvernement, là, pour
01:08:16 dire un grand rôle, mais ensemble
01:08:18 avec l'expérience, nous pouvons
01:08:20 faire ce que la population peut nous dire,
01:08:22 faire un renouveau.
01:08:24 Pour avoir un candidat jeune,
01:08:26 pour avoir une madame, pour avoir un vétéran.
01:08:28 Moi, je m'appelle vieux, je m'appelle ça vétéran,
01:08:30 parce qu'il y a de l'expérience.
01:08:32 Donc, il faut un mélange de vétérans,
01:08:34 jeune, madame,
01:08:36 et nous pouvons faire une équipe.
01:08:38 C'est l'équipe qui est pour venir, une dream team
01:08:40 pour la population, et quand je peux
01:08:42 comparer lui avec ce qu'il y a
01:08:44 MSM, et MSM, moi, j'ai regardé
01:08:46 chaque élection, comme ça,
01:08:48 si le ministre député vient pour faire un mandat,
01:08:50 après, il vous sent, il vous sent
01:08:52 quelque chose, il vous dit, je peux mettre, je dis,
01:08:54 je vais te donner rose, je vais te donner
01:08:56 en tierium. L'autre coup, en tierium,
01:08:58 il va venir, il va vous donner l'autre fleur.
01:09:00 Mais pas comme ça, ça.
01:09:02 Allez, Faradomia, est-ce que
01:09:04 là, si je peux demander
01:09:06 les élections générales, est-ce que
01:09:08 si demain, là, le premier ministre
01:09:10 vient et dit, OK, je vais disputer,
01:09:12 on va donner l'élection générale, est-ce que
01:09:14 l'alliance PTA, elle m'a même
01:09:16 permis d'aller prêt pour affronter
01:09:18 les élections, comme on peut
01:09:20 dire prêt en termes de
01:09:22 candidats, en termes de comment je peux
01:09:24 organiser,
01:09:26 comment ça se passe?
01:09:28 Est-ce que les choses
01:09:30 peuvent s'accélérer là?
01:09:32 Tous les trois grands partis, bien sûr,
01:09:34 j'étais là,
01:09:36 très liste, comment dire, très bien
01:09:38 garni de
01:09:40 aspirants candidats.
01:09:42 Et nous ne pouvons pas dire que le parti
01:09:44 travaille, il y a plusieurs,
01:09:46 plusieurs, plusieurs demandes
01:09:48 de candidats potentiels,
01:09:50 très respectables, avec une certaine
01:09:52 caractéristique particulière
01:09:54 qui peut faire appel.
01:09:56 Donc, ça, c'est pas là où se pose
01:09:58 le problème. Le problème,
01:10:00 c'est que nous connaissons que dans le pays,
01:10:02 il y a une requête, comme
01:10:04 Aja India du Bas, un fond de changement,
01:10:06 nous parlons du pays,
01:10:08 Alda Sikilinali. Et
01:10:10 aujourd'hui, nous ne sommes pas
01:10:12 des inventeurs, nous ne sommes pas des grands noirs,
01:10:14 mais nous nous mâchons la rue,
01:10:16 que ce soit dans les villes,
01:10:18 et ça mit quatre à quatorze là.
01:10:20 Ça c'est un mythe ça, hein.
01:10:22 Des gens, là-bas, des gens, la ville,
01:10:24 c'est les mêmes gens, ça peut être même aux riches, hein.
01:10:26 J'étais en même aspiration,
01:10:28 si je payais les choux,
01:10:30 345 rupees, je payais
01:10:32 typiquement 800 rupees, ça, partout. Je suis tout
01:10:34 souffert. Mais
01:10:36 la plus grande crainte qui nous est là,
01:10:38 Aja est capable de prendre le rôle là plus tard,
01:10:40 c'est comment l'élection
01:10:42 est capable de manipuler
01:10:44 aujourd'hui quand on peut
01:10:46 gagner une carte SIM,
01:10:48 une carte PDA enregistrée,
01:10:50 malgré nous connaître une enquête de quelques années
01:10:52 encore, quand on gagne un nouveau
01:10:54 carte d'identité, sa méga
01:10:56 database qui gouverne
01:10:58 l'armée, qui est capable de
01:11:00 servir pour faire campagne,
01:11:02 pour donner des informations de façon...
01:11:04 Tout ça là pour influencer l'élection,
01:11:06 parce qu'aujourd'hui l'élection fait le social media aussi.
01:11:08 Mais justement,
01:11:10 sachant qu'il y a
01:11:12 tout ça, maintenant,
01:11:14 qui possiblement
01:11:16 pour une...
01:11:18 pour un enjeu, comment
01:11:20 vous faites face à ça?
01:11:22 La vigilance. La vigilance
01:11:24 est de mise. Nous venons,
01:11:26 tous les gens dans le pays, nous nous disons
01:11:28 quand on va enregistrer cette fois-ci,
01:11:30 même un virgule, tous eux,
01:11:32 un accent grave pour
01:11:34 les autres cadres que j'ai eu en élection.
01:11:36 Quand mal, ils prennent l'adresse pour un numéro,
01:11:38 ils n'ont pas pu gagner le droit à voter.
01:11:40 Et surtout dans des régions qui sont très favorables à l'opposition.
01:11:42 Là-bas,
01:11:44 au bout d'un moment, il n'y a plus grand manquement.
01:11:46 Donc, nous avons besoin d'assurer-nous
01:11:48 qu'on peut avoir des experts.
01:11:50 Nous avons aussi des experts IT qui
01:11:52 travaillent avec nous. Nous avons aussi des experts
01:11:54 qui sont capables de nous donner des conseils
01:11:56 sur comment affronter
01:11:58 la fraude électronique dans sa
01:12:00 prochaine élection. C'est ça pour moi
01:12:02 personnellement, et je ne parle pas de moi-même.
01:12:04 Le plus gros danger qu'il nous peut faire,
01:12:06 c'est de ne pas préparer
01:12:08 pour finir leurs ans.
01:12:10 Comme Patrice l'a dit,
01:12:12 "Prends ton casse-souis, mais sa souffrance
01:12:14 peut rester." Ce changement-là, il est fini.
01:12:16 Et ce changement-là est fini
01:12:18 parce qu'aujourd'hui,
01:12:20 trois leaders
01:12:22 qui ont fait mettre leur ego,
01:12:24 qui ont fait mettre tout d'un côté,
01:12:26 qui ont fait vivre ensemble,
01:12:28 malgré que chacun ait affronté son camarade dans le passé,
01:12:30 malgré que chacun tienne quelque chose à dire
01:12:32 sur son camarade dans le passé, mais
01:12:34 l'intérêt supérieur du pays
01:12:36 pour sauter de sa gouffe économique,
01:12:38 violence,
01:12:40 law and order, la drogue,
01:12:42 faillite économique,
01:12:44 il est important que les gens réalisent
01:12:46 ça et qu'ils soient vigilants.
01:12:48 Et quand nous pouvons, nous aussi,
01:12:50 mais je réponds à nos questions, pourquoi
01:12:52 ne pas avoir des experts qui nous guident?
01:12:54 Pourquoi ne pas avoir des experts
01:12:56 qui comprennent comment affronter la fraude électronique?
01:12:58 Il ne faut pas surveiller.
01:13:00 Il ne faut plus être vigilant pour la fois passée.
01:13:02 Cette modulation, c'est le coût de ça.
01:13:04 Patrice Amance,
01:13:06 est-ce que tu nous mets tout
01:13:08 sur l'expérience de ces trois leaders-là
01:13:10 pour les prochaines élections?
01:13:12 Qu'en est-il
01:13:14 du programme? Nous connaissons
01:13:16 certaines mesures qui sont finies d'être annoncées,
01:13:18 mais quand est-ce qu'il peut expliquer
01:13:20 à la population
01:13:22 dans le fond,
01:13:24 quand nous trouvons des candidats qui
01:13:26 emportent les terrains, nous connaît-il
01:13:28 certaines circonscriptions
01:13:30 qui n'ont pas
01:13:32 une synergie?
01:13:34 (rires)
01:13:36 Moi, je me fais plaisir.
01:13:38 Moi, quand j'ai entendu l'extract,
01:13:40 d'abord, on peut
01:13:42 répondre un petit peu.
01:13:44 Justement, la question se pose,
01:13:46 je pensais, dans beaucoup des zones du Monocé,
01:13:48 qui posent cette question-là.
01:13:50 Donc, nous, nous rigolons un petit peu en arrière.
01:13:52 Depuis 2019,
01:13:54 maintenant, au siège du Parlement, les trois alliances,
01:13:56 les trois parties non-alliances,
01:13:58 et les bonnes nouvelles qui vitrines,
01:14:00 qui nous projettent au sein du Parlement
01:14:02 mauricien aujourd'hui. La vitrine
01:14:04 qui nous projette, l'alliance de l'opposition,
01:14:06 c'est une vitrine
01:14:08 qui est vraiment énorme pour les gens qui ont
01:14:10 l'expérience. Ça, on va le voir.
01:14:12 Mais je vais vous donner un autre point aujourd'hui.
01:14:14 La vitrine qui nous projette,
01:14:16 c'est les jeunes qui nous joignent depuis
01:14:18 2014, moi-même, je me suis joigné en 2014,
01:14:20 les jeunes qui nous joignent en
01:14:22 2019, qui aujourd'hui
01:14:24 une mûrie dans
01:14:26 sa euh
01:14:28 dans la politique mauricienne
01:14:30 et qui aujourd'hui est dans l'amour
01:14:32 du pays et aujourd'hui on veut
01:14:34 délivrer. Ça, bande de jeunes
01:14:36 qui nous, il y en a au Parlement là,
01:14:38 le MSM, paye dans
01:14:40 sa carte de ressources qui nous il y en a.
01:14:42 La bande de jeunes qui nous,
01:14:44 des jeunes professionnels. Vous n'êtes pas jeunes, vous êtes ici.
01:14:46 Ah oui, mais on va te battre, on va te battre. Dans le gouvernement.
01:14:48 On va te battre, battre un film, etc.
01:14:50 On ne veut pas faire la même qualité là.
01:14:52 On ne veut pas faire les jeunes professionnels, on ne veut pas faire des gens qui sont dans l'amour
01:14:54 pour le pays. On ne veut pas faire le même standard.
01:14:56 On ne veut pas faire le même standard.
01:14:58 Allez, il y en a un éditeur qui en lit.
01:15:00 Euh, monsieur Jackson, Jackson
01:15:02 de Kepip, bonsoir.
01:15:04 Oui, madame, bonsoir, oui.
01:15:06 Je me suis même bien hypnotisé là, mon frère,
01:15:08 me suive-moi. Je me fais
01:15:10 j'ai vu ça, Mauritien.
01:15:12 Mauritien, comme je dis tous les jours, le radio,
01:15:14 comme je dis, il y a une brefie news, quand il y a une élection
01:15:16 générale, il est pas aussi là.
01:15:18 Nous, on ne peut pas vivre, nous ne pouvons pas vivre.
01:15:20 Mauritien ne peut pas vivre, nous on est engloutis.
01:15:22 Le gouvernement fait trop beaucoup,
01:15:24 trop beaucoup, et derrière, il y a le ministre
01:15:26 de développement et le développement au détriment
01:15:28 de sa population. Je vous dis,
01:15:30 comme ça, métro, soit disant, on va dire qu'à 3 minutes,
01:15:32 vous gagnez. Allez, je vous dis, on va faire l'expérience là,
01:15:34 du bout de 10 heures, à 3 minutes,
01:15:36 20 minutes, 15 minutes, on l'attend.
01:15:38 15 minutes, on l'attend. Tout ça,
01:15:40 c'est le développement, ça. On met
01:15:42 les gens dans la tête du monde.
01:15:44 Il ne peut pas faire de nulles pensions.
01:15:46 Ce qui va faire son droit dans sa
01:15:48 pays là, nous nous engloutis avec tout ce
01:15:50 développement, nous va pas vivre, merci.
01:15:52 Merci Jackson.
01:15:54 Oui, rapidement.
01:15:56 C'est extraordinaire,
01:15:58 il peut mettre illusion dans la tête du monde.
01:16:00 Mais il y a une illusionniste, il y a une magicienne.
01:16:02 Allez, nous terminons là, il n'arrive
01:16:04 rien pour nous, donc nous terminons là
01:16:06 au mot de la fin.
01:16:08 En début
01:16:10 d'année, quand il annonce
01:16:12 pour augment de pensions avec un
01:16:14 autre mésier en cours, mais les trois,
01:16:16 combien de pensions? Pas payées
01:16:18 les pensions. Quand tout le monde
01:16:20 a fait qu'il annonçait le premier ministre,
01:16:22 mais il n'y a pas mis une business.
01:16:24 Donc c'est vrai, le monsieur a raison.
01:16:26 Il y a une illusionniste, il y a une
01:16:28 manipulation de l'information, il fait
01:16:30 un brainwash dans la tête du monde,
01:16:32 il s'est mis à l'imbécile, il s'est
01:16:34 mis dans la tête, mais après
01:16:36 il n'y a pas mis une business. Sauter côté
01:16:38 pour sauter, piler côté
01:16:40 pour piler. Comment on dit, les deux sont
01:16:42 projetés pour ce gouvernement?
01:16:44 Paradomieux!
01:16:46 C'est clair, il faut assister à un gouvernement
01:16:48 en perte de vitesse. Ce n'est pas pour
01:16:50 que vous ayez un grand expert constitutionnaliste
01:16:52 ou politique, pour venir nous ça.
01:16:54 Il faut un petit peu, tout de portes,
01:16:56 tout dans les morices, gouvernement en perte de vitesse,
01:16:58 paniquer sur une réaction,
01:17:00 la dernière réaction
01:17:02 de quelqu'un où un premier ministre peut révoquer
01:17:04 un ministre, il ne peut pas quand même le même dire qu'il fait.
01:17:06 Ça c'est une panique qui peut tomber.
01:17:08 Mais je fais un appel au peuple morocien.
01:17:10 Un appel concernant
01:17:12 de pouvoir servir
01:17:14 le prochain budget pour
01:17:16 amadouer, cacher tous
01:17:18 ses défauts et faire
01:17:20 illusion, magicien.
01:17:22 Pour un budget qu'on fait ici, il n'y en a aucun d'autre.
01:17:24 Toutes les qualités
01:17:26 promesses pour faire, toutes les qualités
01:17:28 largesses pour donner, mais en péril
01:17:30 l'économie qui prend péril.
01:17:32 Parce que je connais, ce n'est pas moi
01:17:34 qui pourrais venir rédresser cette économie-là.
01:17:36 Je pourrais quitter avec une économie
01:17:38 en tête resse, mais heureusement
01:17:40 comme on dit, et je
01:17:42 t'ai toujours rappelé tout à l'heure,
01:17:44 nous avons trois leaders avec une expérience
01:17:46 qui, d'eux, par leur connaissance,
01:17:48 ne peut pas s'appeler la quotidité
01:17:50 et ne pourrait pas donner.
01:17:52 Que ce soit l'île Maurice et la politique,
01:17:54 c'est l'aide de noblesse.
01:17:56 Adjay Ghanis, comment
01:17:58 vous vous êtes organisé
01:18:00 pour les prochaines élections
01:18:02 générales que vous avez
01:18:04 réclamé de façon
01:18:06 unanime?
01:18:08 D'abord, laisse-moi dire
01:18:10 qu'ils ont dit qu'il y a un gouvernement
01:18:12 qui a une fin de règne.
01:18:14 Et quand il y a un gouvernement
01:18:16 qui a une fin de règne,
01:18:18 il y a la débandade.
01:18:20 Pour moi, c'est la débandade
01:18:22 qui est en face de nous.
01:18:24 Et dans
01:18:26 cette circonstance de débandade,
01:18:28 de fin de règne,
01:18:30 qui, vraiment,
01:18:32 pas pour la fin du monde,
01:18:34 pour sa première ministre,
01:18:36 parce qu'il a dit que si il gagnait une défaite,
01:18:38 ce n'est pas la fin du monde,
01:18:40 mais nous espérons que ce n'est pas la fin du monde pour lui,
01:18:42 il peut servir
01:18:44 l'ensemble des peuples
01:18:46 dans le procès-abité.
01:18:48 Et là, je veux m'adresser à deux catégories.
01:18:50 D'abord,
01:18:52 les grands-démons.
01:18:54 Vous n'avez pas oublié que vous avez promis
01:18:56 de 13 500
01:18:58 en 2019.
01:19:00 Vous avez dit que pour gagner,
01:19:02 il faut gagner 13 500.
01:19:04 Et là, qu'est-ce qu'ils ont fait
01:19:06 pendant quatre années?
01:19:08 Quand tout le monde a une compensation salariale
01:19:10 pour compenser
01:19:12 le coût de la vie. Pendant
01:19:14 quatre ans, les grands-démons n'ont pas
01:19:16 de compensation salariale.
01:19:18 Et la pension reste pareille.
01:19:20 Si vous avez même une compensation salariale,
01:19:22 votre pension suffit de 13 500.
01:19:24 Alors, ne vous embêtez pas,
01:19:26 pour l'élection, vous n'avez pas 15 000 rupees.
01:19:28 Après, vous n'avez pas fini
01:19:30 de gagner.
01:19:32 Vous n'avez pas de compensation salariale
01:19:34 pour gagner.
01:19:36 Et c'est ça que les grands-démons
01:19:38 ont fait pour vous.
01:19:40 Parce qu'ils vous embêtent.
01:19:42 Et quand un premier ministre embête une population,
01:19:44 c'est grave.
01:19:46 Je le considère très grave.
01:19:48 Donc, ça prévient l'appel qu'ils ont fait.
01:19:50 Et en même temps, je fais un appel aux grands-démons.
01:19:52 C'est leurs enfants,
01:19:54 les taxpayeurs qui vous prennent.
01:19:56 Et ils vous méritent.
01:19:58 Ils sont là pour vous gagner.
01:20:00 Mais c'est leurs taxpayeurs qui vous prennent.
01:20:02 Et aussi, il y a des jeunes.
01:20:04 Pas les autres
01:20:06 qui rentrent dans ce bain de pièces pour vous donner
01:20:08 des cadeaux.
01:20:10 Par exemple, une femme qui a fait 20 000 rupees.
01:20:12 Une jeune n'est pas vendable pour 20 000 rupees.
01:20:14 Une jeune n'a pas de dignité.
01:20:16 Une jeune n'a pas d'intelligence.
01:20:18 Une jeune connaît que son gouvernement
01:20:20 n'arrive pas.
01:20:22 Il faut aller.
01:20:24 Et là, qui nous peut y réclamer ?
01:20:26 C'est le gouvernement.
01:20:28 C'est le gouvernement.
01:20:30 C'est trois choses que le gouvernement
01:20:32 a répondu après l'élection générale.
01:20:34 Il y a l'agence NIC,
01:20:36 Nouveau Carte d'identité,
01:20:38 qui a fait un peu de baisser
01:20:40 la salle à la réélection.
01:20:42 Qui est l'agence qui peut
01:20:44 atteindre l'espoir du gouvernement ?
01:20:46 C'est ceux qui gagnent,
01:20:48 qui l'implémentent, qui prennent des décisions.
01:20:50 C'est l'agence NIC,
01:20:52 Simcard et passeport biométrique.
01:20:54 C'est trois choses.
01:20:56 Ils ont répondu à leur application
01:20:58 après l'élection générale.
01:21:00 Si ce gouvernement
01:21:02 ne connaît pas la démocratie,
01:21:04 normalement, un bon gouvernement,
01:21:06 un vrai démocrate,
01:21:08 n'applique pas cette mesure quand il connaît
01:21:10 le pays d'appel de l'élection générale.
01:21:12 Et il peut avoir une sous-confiance
01:21:14 dans ce gouvernement.
01:21:16 Mais ce qui est intéressant
01:21:18 pour nous,
01:21:20 c'est qu'en rencontrant les trois leaders,
01:21:22 le commissaire électoral
01:21:24 nous a dit officiellement
01:21:26 qu'il n'y avait pas
01:21:28 de computer-chambre.
01:21:30 Cela nous a soulagé
01:21:32 qu'il n'y avait pas de computer-chambre.
01:21:34 Mais malgré cela,
01:21:36 nous pouvons, comme le dit le docteur,
01:21:38 comme le dit Patrice,
01:21:40 nous pouvons nous garder,
01:21:42 nous pouvons nous vigiler dans le procès de l'élection générale.
01:21:44 Nous ne pouvons pas nous quitter pour ce terrain.
01:21:46 Nous pouvons nous vigiler et nous
01:21:48 pouvons nous donner nos banques d'effectifs
01:21:50 qui peuvent travailler là pour que nous
01:21:52 veillions que ce gouvernement-là
01:21:54 n'ait pas
01:21:56 ces effets de traitement d'ail
01:21:58 dans l'élection générale.
01:22:00 Nous confions qu'il peut
01:22:02 aller vers une grande
01:22:04 victoire et ce gouvernement-là
01:22:06 pour balayer et il mérite d'être balayé.
01:22:08 Voilà, ceci nous arrive
01:22:10 à la fin de l'émission.
01:22:12 Merci Farah Domier, Patrice Amon,
01:22:14 et à Jé Ganes pour votre présence.
01:22:16 Merci également à Jean-Claude
01:22:18 et à Stratkis pour avoir intervenu au cours de l'émission.
01:22:20 Merci pour votre fidélité.
01:22:22 Bonne soirée sur les ondes de Top FM.
01:22:24 parfait.
01:22:26 *Bruit de coup de feu*
01:22:27 [SILENCE]