Marina Hands au festival du Cinéma Américain de Deauville

  • l’année dernière
Transcript
00:00 Sans doute...
00:02 Le magicien d'Oz.
00:06 Pourquoi j'ai que des références d'enfance ? C'est bizarre.
00:09 Bref.
00:11 De mon adolescence, je dirais Dustin Hoffman.
00:17 Dustin Hoffman, ça a été le coup de cœur de mon adolescence.
00:24 Je pense peut-être d'abord avec le lauréat.
00:26 Mais j'étais très amoureuse de Dustin Hoffman.
00:29 - Vous me trouvez désirée ? - Non, Mme Robinson.
00:31 Je pense que vous êtes la plus attirante de tous mes amis.
00:34 Peut-être qu'on peut faire quelque chose ensemble ?
00:40 Mme Robinson, vous voulez aller voir un film ?
00:43 Sa richesse, c'est de mélanger l'hyper intime et l'hyper spectaculaire.
00:50 Je pense qu'ils savent faire ça comme personnes.
00:52 Et aussi leur esprit critique, je le trouve très fort.
00:56 Surtout dans le cinéma indépendant, mais il y a un esprit critique très fort.
00:59 Ils sont capables depuis toujours, y compris de leur cinématographie.
01:03 David Lynch.
01:05 Il faut que je développe.
01:11 David Lynch, pour la surprise permanente.
01:14 Pour l'instabilité et l'inconfort.
01:17 Comme Inland Empire.
01:19 Super accent anglais.
01:21 Un film de Wes Anderson ?
01:23 Un film de Wes Anderson ?
01:50 N'importe lequel.
01:52 Todd Haynes, bien sûr.
01:56 Avec 8 ou 9 actrices et acteurs mélangés.
02:03 J'ai un peu de mal avec les biopics, mais sur Bob Dylan,
02:07 c'est une des manières d'aborder la personnalité de quelqu'un,
02:10 je trouve, les plus brillantes que j'ai jamais vues.
02:14 Un film de Wes Anderson ?
02:16 T'es sérieuse, je ne peux pas regarder ça.
02:30 Bernstein, West Side Story.
02:33 C'est toujours une espèce de Madeleine.
02:40 Le romantisme, la déchirure,
02:43 et puis la mélodie aussi.
02:46 Je ne sais pas s'il y a vraiment un lien entre la France et Hollywood,
02:51 même si on peut en trouver un.
02:53 J'ai l'impression, quand je vois les acteurs ou les cinéastes français qui partent là-bas,
02:58 j'ai l'impression que je ne les reconnais jamais.
03:00 C'est comme deux personnes, deux artistes différents.
03:02 Mon Eastwood préféré, Million Dollar Baby.
03:06 C'est la découverte d'une actrice, Hilary Swank,
03:10 et elle a de très grandes envies d'être à sa place.
03:14 C'est un film de Michael Bay.
03:17 Je suis en train de me calmer.
03:19 Tu ne te calmes pas parce que tu vas les tuer en première ronde.
03:22 C'est ça.
03:23 Je pensais que c'était le point.
03:24 Le point est de faire du bien.
03:26 Tu ne peux pas faire du bien si tu les tues en première ronde.
03:30 Comment vais-je me battre ?
03:32 Coppola.
03:33 C'est un film de mec.
03:36 Ça ne me touche pas, je ne me sens pas concernée.
03:39 Je parle du père.
03:41 Je ne crois pas beaucoup aux binômes.
03:45 C'est un peu comme les ex-écho dans les compétitions.
03:49 Ce n'est pas forcément...
03:51 Je ne sais pas.
03:52 Je ne suis pas très bien avec les biens.
03:54 Je ne suis pas très bien avec les biens.
03:56 Je ne suis pas très bien avec les biens.
03:58 Je ne suis pas très bien avec les biens.
04:00 Je ne sais pas.
04:02 J'aime beaucoup les gestes solos.
04:04 Superman.
04:07 Christopher Reeves et ses lunettes.
04:11 C'est mon préféré.
04:13 Mes costumes étaient fameux.
04:16 [Musique]

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