• il y a 13 heures
Les Vraies Voix avec Stéphane Simon, directeur de la publication du nouveau magazine "Affaires criminelles", auteur de "Les derniers jours de Samuel Paty" (Plon), présentateur de "l’Affaire dans l’affaire" sur Sud Radio.

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##LE_GRAND_DEBAT_DES_VRAIES_VOIX-2024-12-20##

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Transcription
00:00Les vraies voix Sud Radio, le grand débat du jour.
00:03Mon frère a été décapité en 2020.
00:06Samuel Paty va être poignardé puis décapité par Abdoulakane Zoran.
00:10Sans la dénonciation de l'A mineur à l'origine de toute cette cabale,
00:14sans dénonciation, pas de médiatisation, sans médiatisation, pas de crime.
00:19De fait, Samuel Paty aurait pu être sauvé.
00:21Il y aura un avant et un après Samuel Paty.
00:23Sauf que le après, c'est totalement absurde.
00:26Parce qu'à l'heure actuelle, avec toutes les offensives qui sont menées,
00:30on est dans le pendant.
00:31Verdicts ont donc attendu ce soir au procès de l'assassinat de Samuel Paty.
00:36Les partis civils dénoncent des réquisitions jugées trop clémentes,
00:3918 mois de sursuis et 16 ans de réclusion criminelle pour les 8 accusés,
00:44avec une demande de requalification à la baisse pour 4 d'entre eux
00:47par le parquet antiterroriste.
00:49Alors parlons vrai, est-ce que les peines qui seront prononcées
00:52ont pour but d'être ou pas dissuasives ?
00:55Parlons vrai, est-ce qu'un procès qui fera date ?
00:57Et à cette question,
00:58verdict du procès Paty attendu ce soir,
01:00y-a-t-il un problème d'interprétation des faits vu les réquisitions ?
01:04Vous dites oui à 92%, vous voulez réagir le 0826 300 300.
01:08Et notre invité Stéphane Simon est avec nous,
01:10directeur de la publication du nouveau magazine Affaires Criminelles
01:14et auteur du livre « Les derniers jours de Samuel Paty » fait plomb
01:17et qu'on retrouve bien entendu le samedi entre midi et 13h.
01:21C'est l'affaire dans l'affaire sur Sud Radio.
01:23Stéphane Simon, bonsoir, merci d'être avec nous.
01:25– Bonsoir. – Bonsoir, bonsoir à tous.
01:27– Merci d'avoir accepté notre invitation.
01:30Alors décidément, Philippe Bilger, les procès se succèdent
01:34avec un problème justement où les réquisitions finalement posent des problèmes.
01:41– Alors d'abord, malgré l'excellente question Sud Radio,
01:47j'étourne et scrupule en tant qu'ancien avocat général
01:50à donner une perception sur la nature des réquisitions
01:54dans la mesure où, par définition, nous n'avons pas assisté aux procès.
01:59Et je l'ai suivi, certes, dans la presse,
02:02mais pas autant que je l'aurais fait avec d'autres.
02:04Deuxième élément, j'essaye d'analyser.
02:07Deuxième élément, Cécile, vous l'avez évoqué,
02:10en réalité j'ai connu très peu de procès
02:14où les partis civils ont été véritablement heureux des réquisitions du parquet,
02:19sauf lorsqu'elles atteignaient un maximum qui était inévitable.
02:24Troisième élément, je crois comprendre que ces réquisitions ne sont pas faibles,
02:30malgré l'attachement que j'ai pour la vie de la soeur de Michael Paty
02:36et pour ceux qui l'entourent,
02:40mais je me demande si le parquet n'a pas été techniquement obligé
02:46de disqualifier la complicité d'assassinat en association malfaiteur
02:52parce qu'il pouvait craindre un acquittement sur la complicité d'assassinat.
02:58Et donc on renvoie à l'association malfaiteur,
03:03qui est moins importante, mais qui était peut-être la voie de secours judiciaire
03:08dont il estimait nécessaire de servir.
03:12Éric Reuvel.
03:13Écoutez, je me rends à l'avis judicieux et très éclairant.
03:17Je n'avais pas vu les choses comme ça, monsieur le procureur, de Philippe Bidjerre.
03:20Moi, je n'ai rien à rajouter.
03:22On a tous eu cette réaction de trouver les réquisitions un peu légères,
03:25mais je trouve que votre propos, cher Philippe Bidjerre, est très éclairant.
03:29Donc je m'y range, modestement.
03:31Michael Sadou.
03:32Moi, j'ai vu les réquisitions, elles ne me choquent pas particulièrement,
03:35mais il y a toujours deux manières d'évaluer les réquisitions.
03:38Soit on les évalue purement techniquement, je dirais, du point de vue de la loi.
03:41Est-ce qu'elles suivent les textes ?
03:43Et ça, je pense que c'est le point de vue de Philippe Bidjerre qui s'exprime
03:46et qui est un point de vue d'expert.
03:48Après, il y a évidemment un point de vue moral que n'importe qui peut ressentir.
03:51Est-ce qu'il y a une disproportion, simplement,
03:53entre la gravité qu'on estime de l'acte et la lourdeur de la sanction qui est infligée ?
03:58Pour ma part, en l'occurrence, je ne dirais pas ça.
04:01Je le dirais plus dans le cas d'Anzorov que dans le cas de tous ses complices,
04:05parce que personnellement, pour un cas comme ça,
04:07je serais pour une perpétuité réelle qui n'existe pas vraiment en France.
04:11— Stéphane Simon est avec nous.
04:13— Oui, je voulais juste poser une question à Philippe Bidjerre.
04:15Comte Sponville, à propos de l'économie, il est marché,
04:19dit que l'économie n'a pas à être ni morale ni immorale,
04:23elle est amorale, l'économie.
04:25Est-ce qu'on peut dire la même chose de la justice ?
04:28— Je dirais non, et là je rejoins Mickaël.
04:30Non pas que j'approuve forcément le regard...
04:33— Donc il doit y avoir une notion de morale dans les peines infligées aux criminels.
04:37— Je crois qu'il faut espérer que parfois le droit et la morale se rejoignent.
04:41— Bien sûr.
04:43— Stéphane Simon, directeur de la publication du magazine Affaires Criminelles,
04:46vous avez écrit ce livre, « Les derniers jours de Samuel Paty »,
04:49donc vous êtes très proche de sa sœur Michaëla.
04:52Elle a dit quelque chose ce matin,
04:54elle a dit qu'ils ont rejeté la notion d'engrenage,
04:57ils ont plutôt pris le parti de l'enchaînement causal.
05:01Ça veut dire que finalement...
05:04D'abord c'est intéressant d'expliquer la nuance,
05:07mais est-ce que c'est ça qui a pu faire à un moment donné basculer ce procès ?
05:12— C'est pas évident.
05:14D'abord il faut dire une chose, c'est que les resquisitions,
05:17les juges qui sont des magistrats professionnels
05:19ne vont pas être obligés de les suivre,
05:21donc on n'est pas à l'abri d'une surprise d'ici quelques heures.
05:24Je rappelle quand même que le verdict va être connu aux alentours de 20h,
05:27peut-être un petit peu avant, peut-être un petit peu après.
05:30Pour l'instant les réquisitions semblent un peu en deçà
05:34de ce qu'espéraient les partis civils.
05:36Si vous voulez, le problème principal,
05:39c'est que l'assassin Abdullak Ansouroff,
05:42eh bien il est mort le jour J,
05:44puisque la police s'est intervenue et a mis fin à ses jours
05:48dans une fusillade dont on se souvient peut-être la nature.
05:52Mais ce qui est assez gênant dans ce procès malgré tout,
05:55c'est que les réquisitions auraient pu être plus fortes.
05:59Je vais vous donner un exemple.
06:01Priscilla Mangel, qui est une femme qui a joué un rôle
06:05véritablement sur les réseaux sociaux de courroie de transmission
06:08entre le père en famille de la petite menteuse,
06:13le militant islamiste Abdelhakim Seyfrioui,
06:18et puis le tueur Abdullak Ansouroff dont on vient de parler,
06:22elle lui a adressé 70 messages.
06:24Eh bien elle est arrivée à la cour libre,
06:27elle a comparu libre,
06:29et puis les réquisitions sont extrêmement faibles.
06:3218 mois de prison assortie d'un sursis probatoire pendant 3 ans,
06:36vous voyez que ça peut se transformer en rien du tout.
06:39Elle peut ressortir libre aussi ce soir.
06:42Alors on a focalisé évidemment sur le père de famille
06:45et sur Abdullakim Seyfrioui,
06:47le militant islamiste qui est fiché S,
06:50qui est compromis dans un nombre incroyable d'histoires,
06:54il faut regarder aussi à la périphérie de cette affaire,
06:57et puis il ne faut pas oublier une chose,
06:59c'est que ce procès, c'était un procès espéré
07:02pour que stoppe les violences contre les professeurs aussi,
07:05ça doit être un coup d'arrêt très fort, très symbolique,
07:10pour dire qu'on ne peut pas en France continuer à exécuter
07:14des professeurs, les décapiter,
07:17que si vous voulez, il faut que, évidemment,
07:20ce n'est pas une affaire d'agression comme les autres,
07:23c'est une affaire où on juge aussi
07:26les progrès de l'islamisme politique dans l'école
07:29et que l'on espère pouvoir donner un coup d'arrêt.
07:34C'est ça qui est intéressant aussi dans ce procès
07:37et c'est pour ça qu'il y a une attente très forte.
07:39Mais Stéphane Simon, pourquoi la jeune fille
07:42qu'on appelle la petite menteuse,
07:44qui visiblement, d'après ce que j'ai appris ce matin,
07:47le jour où elle a appris la décapitation de Samuel Paty,
07:50elle a enlevé son voile et aujourd'hui,
07:52elle est contre son père,
07:55donc lui l'a fait passer pour une...
07:57Non, je vous arrête parce que là,
07:59vous confondez la fille du militant islamiste
08:02dont je parlais à l'instant, Abdelhakim Seyfrioui,
08:04qui, elle, a véritablement dénoncé les agissements de son père
08:08et finalement lui fait porter une très grosse responsabilité,
08:11mais elle, elle n'a rien à voir avec...
08:13Ah d'accord, ok, pardon, j'ai mal compris.
08:15Voilà, la petite menteuse,
08:17elle a été jugée lors du procès à huis clos pour les mineurs
08:22et elle a été jugée simplement pour dénonciation calomnieuse
08:26et donc autant dire qu'elle n'a pas eu grand chose,
08:29mais c'était compliqué de qualifier ces faits autrement.
08:35En tout cas, on a eu droit à une justice assez clémente
08:39pour les mineurs, mais ça peut se comprendre encore,
08:41puisqu'en France, c'est comme ça.
08:43On n'aime pas condamner très lourdement les mineurs.
08:46En revanche, on espérait que le procès des majeurs,
08:49de tous ceux qui sont dans cet engrenage terrible,
08:52et bien serait exemplaire,
08:54et il y a un risque très fort ce soir que ce ne soit pas le cas.
08:58Philippe Bilger.
09:00Stéphane, la question de Sud Radio est intéressante
09:04parce qu'elle posait aussi l'interrogation sur le prochain procès de Bernard
09:11et j'ai tendance à penser que, malheureusement,
09:15chaque décision criminelle est enfermée dans une sorte d'autarcie
09:21et qu'elle n'aura pas d'incidence, d'influence, même positive,
09:26sur le prochain procès.
09:28Est-ce que vous partagez ce sentiment ou pas ?
09:30Voilà, c'était ma question aussi.
09:34Je pense malheureusement que vous avez tous les deux raison de penser cela.
09:39Je pense que le procès de Dominique Bernard sera très différent
09:41puisque là on aura l'auteur des coups mortels
09:44qui comparaîtra face au juge.
09:46Et qui lui risque la perpétuité réelle.
09:48Voilà, mais si vous voulez, dans ce procès,
09:51ce qui était intéressant dans le procès de Samuel Paty,
09:53c'est de voir ce que l'on fait des auteurs d'une fatwa.
09:56Parce que c'est de ça dont il s'agit.
09:58Il s'agit de juger des hommes qui ont activé les réseaux sociaux
10:01pendant 11 jours avec des vidéos qui désignaient Samuel Paty,
10:05qui le traitaient de voyou,
10:07qui demandaient son renvoi
10:09et qui appelaient des croyants convaincus
10:15qu'il fallait en finir d'une certaine façon avec Samuel Paty.
10:19Qu'est-ce qu'on fait de ces gens-là qui appellent à la haine,
10:22qui vont être à l'origine de la démarche de l'islamiste
10:27qui va tuer, qui va porter le coup mortel ?
10:29Si vous voulez, c'est un peu comme dans l'affaire de Salman Rushdie.
10:32On avait une autorité religieuse d'un côté
10:34et puis des auteurs de coups de couteau à New York.
10:39Là, c'est un peu la même chose, sauf que Samuel Paty est mort.
10:42Et ces hommes ont quand même une responsabilité
10:45d'avoir prononcé une fatwa numérique quelque part.
10:49Stéphane Simon, ça revient à ma question de tout à l'heure.
10:51Ça veut dire que là, chaque élément est décorrélé de l'autre,
10:55alors que c'est un engrenage.
10:57C'est l'un qui pousse l'autre.
10:59C'est exactement ça.
11:01Il y a un engrenage qui est terrible.
11:03Il y a une petite menteuse
11:06qui fait croire que Samuel Paty a demandé à des élèves musulmans
11:11de sortir de classe, ce qui est faux.
11:13On le sait.
11:15On a une principale qui ne va pas avoir, je dirais,
11:19la capacité à résister.
11:21Elle a un peu peur face aux pères de famille
11:23qui débarquent avec assister du faux chef des imams de France.
11:28C'est de là qu'ils vont faire de la retape numérique
11:31en pointant du doigt Samuel Paty
11:33en disant qu'il faut mettre fin à son cours.
11:35Et puis, à 80 kilomètres de là,
11:38vous avez un garçon qui cherche à faire son djihad.
11:43Il ne sait pas encore exactement de quel côté il va s'engager.
11:45Et il va voir sur les réseaux sociaux
11:48d'autres militants islamistes qui y attisent.
11:51Et tout ça va faire la tragédie qu'a connue Samuel Paty.
11:57Stéphane Simon, on parle dans cette question
11:59y a-t-il un problème d'interprétation des faits ?
12:01Est-ce qu'il n'y a pas un certain relativisme,
12:03y compris dans certains médias ?
12:05Moi, j'avais poussé un coup de gueule
12:07il y a quelques semaines sur le journal Le Monde
12:09qui qualifiait Brahim Chnina de papa-poule.
12:11Est-ce que ça ne pose pas de question, quand même,
12:13ce relativisme médiatique
12:15qui pourrait s'ajouter au relativisme judiciaire ?
12:17Vous savez que le pire, c'est quand vous avez...
12:19Moi, je suis allé plusieurs jours au procès.
12:22Et ce qui est absolument terrible,
12:24c'est que les journalistes, parfois,
12:26tombent, je dirais, complètement sous le charme
12:29de ce qui est dit à la barre.
12:31Or, vous aviez des professionnels du mensonge,
12:33quelque part, qui étaient là,
12:35qui ne sont responsables de rien
12:37et qui sont victimes de tout.
12:39Donc, le père de famille,
12:41il était victime des mensonges de sa fille,
12:43il est aussi victime de la principale
12:45qui a oublié de lui dire que sa fille avait menti,
12:47il est même, quelque part,
12:49victime du système,
12:51vous savez, du bloc de correspondance
12:53qu'on appelle le NT avec l'école,
12:55parce qu'il n'a pas été bien...
12:57Il n'a pas été capable
12:59de lire convenablement ce qu'il y avait.
13:01Et puis, il est victime aussi de l'islamophobie.
13:03Donc, vous avez des gens qui renversent
13:05totalement la charge
13:07et qui se posent en victime
13:09de l'islamophobie.
13:11Et des journalistes qui vont trouver que
13:13Brahim Chninak est un type qui a élevé six enfants,
13:15mais quand on dit élevé, il faut vraiment
13:17mettre des grosses guillemets à ça,
13:19qui est incapable de voir...
13:21Qui sait que sa fille est une
13:23élève problématique depuis des années,
13:25mais qui va croire sur parole
13:27sa fille et qui ne va pas écouter
13:29la principale.
13:31Et on va dire que c'est un papapoule.
13:33Non, ce n'est pas un papapoule.
13:35C'est un père déficient sur le plan de l'éducation.
13:37C'est totalement différent.
13:39Donc, je vous rejoins, Philippe David,
13:41quand vous dites qu'il est journaliste, surtout quand on se prétend
13:43journaliste d'un grand quotidien
13:45du soir, eh bien, on fait un peu plus
13:47attention aux propos qu'on rapporte.
13:49C'est lui, c'est ce type-là
13:51qui s'est présenté comme un papapoule.
13:53On n'est pas obligé de prendre l'argent comptant.
13:55Tout ce que raconte, c'est Philippe à la barre.
13:57Un dernier mot, Stéphane Simon. Est-ce que vous êtes confiant, quand même ?
13:59Pas tellement,
14:01pour vous dire la vérité.
14:03J'ai vu hier Mickaël Paty,
14:05qui ne faisait pas très bonne figure
14:07et qui
14:09vit dans une forme d'appréhension.
14:11Parce qu'elle m'a répété, hier,
14:13ça m'a beaucoup ému, quand elle m'a parlé
14:15de son neveu, le fils de Samuel Paty,
14:17qui s'appelle Gabriel.
14:19Gabriel, il a 10 ans aujourd'hui, à peine 10 ans,
14:21il est venu à la barre.
14:23Il a dit, j'aimerais que pour mon papa,
14:25il y ait vérité et justice.
14:27Elle me disait, tu te rends compte,
14:29pendant 7 semaines
14:31d'audience, nous n'avons pas eu la vérité,
14:33puisqu'aucun n'a véritablement regretté
14:35ses faits, à part, je dirais,
14:37un peu de comédie.
14:39J'ai peur que nous n'ayons pas justice.
14:41Là, je me dis, cette femme qui se bat
14:43depuis 4 ans maintenant,
14:45elle risque d'être fort déçue.
14:47Quand elle va rentrer chez elle,
14:49à son tour, qu'est-ce qu'elle va raconter
14:51à ses enfants ?
15:19C'est une excellente émission.
15:21Excellente émission, exactement,
15:23qu'on aime beaucoup.
15:25Merci, on vous souhaite de très belles
15:27fêtes de fin d'année. Dans un instant,
15:29c'est un...
15:31Comment je vais dire ? C'est une montagne.
15:33C'est une montagne.
15:35C'est pas le Kiki ?
15:37L'Himalaya, comme dirait Bayrou.
15:39On est devant l'Himalaya.
15:41Et Sandra Sarr
15:43avec nous dans quelques instants, puisqu'elle va
15:45concourir contre vous. Allez, à tout de suite.
15:47Sud Radio,
15:49votre avis fait la différence.
15:51Oui, bonjour Sud Radio, merci
15:53de votre émission, de donner la parole
15:55au territoire sur les campagnes.
15:57Sud Radio, parlons vrai.

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