• il y a 14 heures
Les Vraies Voix avec Tom Connan, Jean Doridot, Bernard Cohen Hadad et Françoise Degois éditorialiste Sud Radio

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Transcription
00:00Les vraies voix Sud Radio.
00:02Le Président de la République a nommé Mme Elisabeth Borne.
00:06Je n'utiliserai le 49.3 qu'à la dernière extrémité sur le budget.
00:10M. Manuel Valls, M. Gérald Darmanin, M. Bruno Retailleau, Mme Catherine Vautrin, M. Éric Lombard.
00:17Eh bien, je suis persuadé que l'action que je définis devant vous et l'équipe gouvernementale feront que nous ne serons pas censurés.
00:26Le gouvernement Bayrou est enfin formé avec des figures connues comme Elisabeth Borne, Manuel Valls ou Gérald Darmanin
00:33et de nouveaux ministres issus de la majorité présidentielle.
00:36Une équipe expérimentée aux airs de déjà vu qui ne garantit pas pour autant d'échapper à une nouvelle censure
00:42faute d'avoir réussi à élargir son assise politique.
00:45Alors parlons vrai, est-ce que vous voulez que ce gouvernement dure au moins jusqu'à la prochaine dissolution
00:50parce qu'il faut le censurer dès le 16 janvier prochain, date de la première motion de censure prévue.
00:55Et à cette question, le gouvernement, il vaut selon vous, vous dites à 75% le censurer, à 13% le soutenir et à 12% pas d'avis.
01:04Vous n'avez pas d'avis ou vous en avez un, venez nous le donner au 0826 300 300.
01:09Françoise de Gaulle est avec nous, éditorialiste Sud Radio.
01:12Bonsoir Françoise, merci d'avoir accepté notre invitation.
01:16Salut les copains, en direct de notre belle vallée.
01:21C'est adorable Françoise en tout cas d'avoir accepté.
01:25Merci beaucoup.
01:28En fait peut-être Tom Conan par exemple, si on regarde à peu près ce gouvernement, qu'est-ce que vous auriez envie de dire ?
01:36Moi c'est un peu une continuité, c'est un peu bis repetita par rapport à gouvernement Barnier.
01:41Je comprends bien ce qui a essayé d'être fait.
01:43Ils ont essayé de prendre des gens qui sont expérimentés, au centre droit et beaucoup à droite.
01:47Mais moi je ne comprends pas que l'ouverture n'ait pas eu lieu.
01:50Parce qu'on peut éventuellement douter, s'agissant d'Éric Lombard, qui a un rôle gardien.
01:57Mais en dehors de lui, qui a un poste assez stratégique, cette ouverture, soit elle n'a pas marché.
02:02Je pense que c'est un peu ça sans doute la raison.
02:04Soit elle n'a pas vraiment été poussée jusqu'à son terme.
02:07C'est un peu dommage que du coup on a vraiment l'impression d'une répétition.
02:10Et encore une fois, je suis quand même opposé fondamentalement à un gouvernement qui ne soit pas du tout issu du résultat des urnes des dernières législatives.
02:17Bernard Cohen, Haddad.
02:18Moi ce qui m'a frappé, c'est l'entrée de deux premiers ministres dans le gouvernement.
02:22C'est la première fois me semble-t-il sur la Ve République.
02:25Deux premiers ministres qui n'ont pas la même sensibilité, puisqu'on a Mme Borne qui est plutôt centrée sur la gauche.
02:33Manuel Vaz qui a fait son agenda mento, qui était très rocardien, qui aime l'entreprise, qui est aussi très courageux.
02:39C'est ça que je retiendrais avec, bien entendu, des cerises sur le gâteau, sans faire, comment dirais-je, ombrage à Mme Dati.
02:46Donc tout ça fait partie d'un équilibre qui va veiller, me semble-t-il, à trouver une majorité parlementaire au cas par cas.
02:55Jean Dorido.
02:56Alors je suis resté un peu bloqué sur la métaphore culinaire.
03:00Je m'appelle Bernard, je sors ce janvier entre cerises et gâteaux.
03:05Pour autant, oui, je reste aussi bloqué quand même sur les faux pas, me semble-t-il, de notre nouveau premier ministre.
03:12Et c'est vrai que, sans vouloir être désagréable avec M. Bayrou, c'est un fait que je...
03:18Voilà, quand j'étais petit, il était déjà vieux, comme on dit, donc je suis pas à ce sujet.
03:22J'ai du mal à m'emballer quand même sur le sujet.
03:26Françoise Degoy, aujourd'hui, quand on prend un petit peu de recul par rapport à celui de Michel Barnier, qu'est-ce qui a changé ?
03:33Il est encore pire.
03:35C'est-à-dire qu'il est... Non, mais c'est vrai qu'objectivement, il est encore plus à droite.
03:40Et je sais pas si vous avez regardé François Bayrou hier, mais je pense qu'il a coché absolument toutes les cases pour une fissure très rapide.
03:49Il a réussi à fâcher tout le monde.
03:51Évidemment, il fâche la gauche parce qu'il ferme la porte sur les retraites, quand même.
03:56La gauche, elle est quand même plutôt bonne camarade.
03:58Elle dit on veut faire un pacte de non-censure si vous avancez sur les retraites.
04:02OK, il ferme la porte sur les retraites.
04:04Il fâche Marine Le Pen en disant non, non, la revalorisation, je serai un traître à mon pays si je l'acceptais pour les retraites.
04:11Il arrive même à fâcher les Républicains en leur disant mais vous n'êtes pas très gaulliste.
04:16En fait, il a fâché l'ensemble des forces de l'Assemblée.
04:20Je sais bien comment fonctionne François Bayrou, nous le connaissons depuis des années.
04:23Comme disait Jean Dorido, oui, moi j'étais jeune, il était déjà vieux.
04:27François Bayrou, on l'a suivi depuis des années.
04:32François Bayrou, ce n'est pas qu'il est atteint de gâtisme précoce, c'est quelqu'un qui a un sens de sa mission.
04:37Il est très croyant.
04:38Il considère que par la force de sa conviction, il va arriver, si vous voulez, à ne pas être censuré.
04:44Un miracle et un cierge à la grotte de Lourdes, en fait.
04:47La réalité, si vous voulez, c'est que ce qu'il a montré hier, ce qu'il a dit hier,
04:53eh bien c'est à porte ouverte, évidemment, à une censure.
04:56Comment voulez-vous que la gauche ne considère pas que Manuel Valls est une provocation
05:00et que c'est complètement inutile ?
05:02Quel message vous envoyez aux Outre-mer quand vous mettez un ancien ministre de l'Intérieur aussi furieux,
05:09ai-je envie de dire, et encore je suis gentil, vous envoyez un message sécuritaire ?
05:12Qu'est-ce que vous envoyez à la gauche quand vous mettez comme charnière Gérald Darmanin et Bruno Retailleau ?
05:18Donc ça veut dire que vous ne voulez pas du pacte de non-censure de la gauche.
05:22Donc de toute façon, vice-repetita, à mon avis, et encore plus vite que la dernière fois.
05:27Je rappelle que c'est le record à battre, c'est 99 jours pour Barnier.
05:31Je pense que ça ira encore plus vite.
05:32— Jean Doridé.
05:33— Alors peut-être, pour compléter la très fine analyse, comme toujours, de Françoise,
05:37c'est toujours pareil, c'est-à-dire que...
05:38— Il flatte, c'est son cadeau de Noël.
05:41— C'est le moment où j'arrête.
05:43C'est-à-dire que la précédente motion de censure, elle a été présentée par le NFP,
05:48et en même temps, c'est grâce au vote des députés du Rassemblement national qu'elle est passée.
05:54Et là, comme il y a quand même effectivement des signaux droitiers assez forts dans ce gouvernement,
05:59le NFP a vraiment inconnu au bataillon.
06:02Là, il n'y a pas d'écologistes, il n'y a pas de socialistes.
06:04François Bayrou avait dit « je vais recevoir quand même les personnes qui ont déjà été aux manettes ».
06:09Est-ce que, du coup, le Rassemblement national...
06:11En fait, on a le sentiment que peut-être le Rassemblement national est encore davantage,
06:16encore plus qu'avant l'arbitre, que ce n'était le cas dans le gouvernement Barnier.
06:20— Oui, effectivement, je pense...
06:22— Allez-y, Françoise, allez-y.
06:24— C'est tout à fait juste, effectivement.
06:26Je pense que là, c'est vraiment ce qui est recherché.
06:29C'est absolument pas effectivement un accord de non-censure,
06:32comme l'a rappelé Françoise très bien tout à l'heure, qui est recherché.
06:36Ce qu'on sait, effectivement, ce sera absolument impossible à faire respecter.
06:40Mais en effet, c'est beaucoup plus l'aval du RN qui est recherché.
06:45Peut-être qu'ils y arriveront, d'ailleurs, en droitisant encore plus leurs politiques.
06:48Mais je pense que, du coup, ils vont se mettre à dos une très grande partie
06:51à la fois du Parlement et de l'électorat,
06:53parce que quand même derrière, c'est quand même l'électorat qui va trinquer.
06:56— Mais Françoise de Gaulle, vous imaginez que le RN puisse aujourd'hui censurer ?
07:00— Dès le 16 janvier, parce que la première motion de censure est prévenue le 16.
07:05— Oui. Alors vous avez vu quand même les déclarations.
07:08Je suis assez attentive aux déclarations de Marine Le Pen.
07:11Il faut écouter ce que dit Marine Le Pen.
07:13Quand Marine Le Pen, la semaine dernière, dit « Je me prépare à une présidentielle anticipée »,
07:17quand elle dit dans le Figaro « Je ne suis pas gênée de censurer une fois, deux fois,
07:22autant de fois qu'il faudra », il faut bien entendre ce que dit Marine Le Pen.
07:26Je pense que Marine Le Pen, elle a une ligne rouge.
07:28Elle l'a dit et répétée. Elle l'a dit.
07:31« Nous voulons la revalorisation des petites retraites au 1er janvier ».
07:35C'est pour ça qu'elle a voté la motion de censure du gouvernement Barnier.
07:39Est-ce que vous avez bien entendu François Bayrou hier sur cette question ?
07:42Il a fermé toutes les portes.
07:44C'est complètement dingue ce qui s'est passé hier soir.
07:47Ça n'a pas été assez souligné, à mon avis.
07:49François Bayrou a fermé la porte à tout le monde, y compris, souvenez-vous, aux Républicains,
07:54qui se sont plaints parce qu'ils ont beaucoup moins de ministres au gouvernement.
07:58Qu'est-ce qu'a dit François Bayrou hier ?
08:00Il aurait pu dire oui, mais il aurait pu être un peu souple.
08:03Non, il leur a dit « ça n'est pas trégoliste de réagir comme ça ».
08:07Et du coup, Laurent Wauquiez est furieux et ce matin, il fait dire qu'il soutiendra texte par texte.
08:13Comment voulez-vous, quand vous...
08:16Enfin, les amis, vous savez qu'on adore nos expressions populaires, en vraie voie.
08:20On n'attrape pas les mouches avec du vinaigre.
08:23Comment voulez-vous vous assurer une non-censure
08:27quand vous traitez aussi mal les gens qui ont votre destin au bout de leur vote, en fait ?
08:32C'est complètement dingue, en fait.
08:34Oui, pour reprendre ce que disait François, je l'écoutais et j'étais un peu surpris
08:39parce qu'hier, moi, j'ai eu plutôt l'impression qu'il n'en a ouvert aucune des portes.
08:44Il les a fermées, Françoise, il n'en a ouvert aucune.
08:46C'était le sentiment du citoyen lambda.
08:49Il ne répondait pas précisément.
08:51Aucun chiffre, aucune durée, aucun engagement, y compris sur les déficits,
08:56se fondant sur ce qui se passera au Parlement,
08:59avec quand même quelque chose qui reste fondamental,
09:02c'est un silence assourdissant sur cette réforme de retraite
09:05qu'à la fois le NFP et le RN veulent changer, modifier.
09:11Et c'est là-dessus où ça va se jouer, me semble-t-il.
09:14Mais Françoise connaît Beyrou beaucoup mieux que moi,
09:16même si j'étais de la même génération que Françoise.
09:19Je le suis, en tous les cas.
09:21Notre problème, c'est qu'aujourd'hui, on voit bien qu'à part sauter sur sa chaise
09:26et dire « on va faire des choses », les marches sont extrêmement faibles.
09:31– Bernard, j'entends ce que vous dites, en une seconde,
09:34juste, je vais vous répondre, mon cher ami.
09:37Bien sûr qu'il est resté très flou sur les déficits.
09:40Non, non, je vous dis vraiment qu'il a fermé la porte.
09:42Quand la gauche demande au minimum une suspension, même pas un gel,
09:46une suspension de la réforme des retraites, on l'a renégociée.
09:49Quand on lui a posé la question, il a dit « je ne ferai jamais ça ».
09:52Quand on lui a posé la question sur la revalorisation des petites retraites,
09:56il a dit « je ne ferai jamais ça ».
09:58Donc là où vous avez raison, c'est qu'il est resté dans le flou artistique.
10:01Je pense que le chiffre magique, par exemple, de 60 milliards,
10:04a complètement disparu de la circulation.
10:06Mais non seulement il n'a ouvert aucune porte,
10:09mais il a fermé celle qu'il ne devait pas fermer, pardon,
10:12c'est la piètre politique.
10:14– Françoise, sur la ceinture, ça veut dire que là, visiblement,
10:18Mélenchon a déjà annoncé qu'il y aurait une motion de censure.
10:21Mais de savoir si l'ERN va déposer la sienne ou va voter celle de fin,
10:25ou s'il y aurait une coalition en fait, peut-être ?
10:28– On verra, parce que vous savez, le discours de politique générale,
10:32on avait demandé… – C'est le 14 janvier.
10:34– Oui, le discours de politique générale, ça dépendra.
10:37Moi, déjà, on verra ce que font les socialistes.
10:40Est-ce qu'ils votent la motion de censure de LFY ?
10:43Ça n'est pas certain.
10:45Si elle n'arrive pas, Cécile, le 14 janvier,
10:48elle arrivera de toute façon au moment de l'examen du budget.
10:51Évidemment que les mêmes causes vont entraîner évidemment les mêmes effets.
10:55Il est inimaginable que François Bayrou imagine, justement.
10:58C'est dingue qu'Emmanuel Macron laisse passer cela,
11:01malgré la présence d'Éric Lambart, qui a plutôt une sensibilité,
11:04on peut le dire, de gauche à Bercy.
11:06Mais une hirondelle ne fait pas le printemps.
11:08C'est pas parce que vous avez un ministre de l'Économie et des Finances
11:12plutôt de sensibilité de gauche à Bercy.
11:15C'est un type très social, Éric Lambart.
11:17Eh bien, si Bayrou dit non, c'est le Premier ministre qui fait force de loi.
11:21– Moi, j'ai envie de vous poser une question, Jean, par exemple.
11:24Est-ce qu'à un moment donné, il ne faut pas laisser faire pour qu'on avance ?
11:27Parce qu'on ne s'en sortira jamais.
11:29– C'est quand même la question qui se pose.
11:32Parce qu'effectivement, ce fameux vote du budget,
11:34la France a besoin, de toute façon,
11:36d'un budget pour démarrer l'année.
11:39Et puis, c'est un fait que c'est un petit peu le fantasme politique,
11:43depuis toujours, de François Bayrou, d'avoir cette espèce de gouvernement
11:47qui rassemble des sensibilités différentes les unes des autres.
11:50Oui, parce que c'est vrai qu'il y a un accent droitier, certes.
11:54Pour autant, Élisabeth Borne, Manuel Valls…
11:57– Bref, ça mène.
11:59– Exactement, François, bref, ça mène.
12:01– Juliette Néandert.
12:03– Donc, on va voir effectivement ce qu'il va faire.
12:06On n'est pas à l'abri qu'il finisse par se révéler dans cette période troublée.
12:09– Allez, le mot de la fin avec Françoise.
12:12– Je ne sais pas.
12:14François Mippon disait toujours « le centre n'est ni de gauche ni de gauche ».
12:18Je ne vois pas où est-ce que je dois aller.
12:20Franchement, honnêtement, je ne sais pas où est-ce que vous voyez
12:23la sensibilité de gauche de François Rebsamen,
12:26qui est macroniste depuis le début du temps, plutôt droitier.
12:29Je l'aimais beaucoup, Rebsamen.
12:31Je ne vois pas où est-ce que vous voyez ce qui reste de la gauche de Manuel Valls, sérieusement.
12:34Et puis alors, Juliette Néandert, inconnue au bataillon quasiment.
12:38Donc, vous ne pouvez pas dire que ça a été élargi.
12:40C'est quand même, on tombe toujours du côté où on penche.
12:43Il a penché à droite, il penche encore plus à droite.
12:46Je pense que c'est...
12:48Il ne faut pas en vouloir non plus aux gens qui se battent pour un idéal.
12:51Vous comprenez bien que la gauche ne pourra jamais valider
12:54la loi immigration de Bruno Retailleau.
12:56Sinon, on n'est plus à gauche.
12:58Et c'est un grand tout.
12:59Allez, allons-y, Freudville.
13:01On reste tous ensemble, on a tous les mêmes valeurs.
13:04Et tout ça pour que la France avance, non, je ne crois pas.
13:06– Cécile, vous savez ce que François Mitterrand disait de Françoise de Gouin ?
13:09– Non.
13:10– Françoise de Gouin n'est ni de droite, ni de droite.
13:12C'est pareil.
13:14– Ça c'est sûr.
13:17– Bravo Philippe.
13:18– Françoise de Gouin, merci beaucoup d'avoir été avec nous aujourd'hui.
13:24On vous souhaite de très très belles fêtes de fin d'année en famille.
13:27– Bonne fête et joyeux Noël.
13:28– Et on vous retrouve bien entendu à partir de janvier.
13:31Allez vous rester avec nous dans un instant.
13:32Retour sur ce duo d'Armand Retailleau.
13:35Les nouveaux visages de la justice et de l'intérieur.
13:37Le gouvernement Bayrou fait de la sécurité sa priorité absolue.
13:40– Alors parlons vrai.
13:41Est-ce que ce tandem vous semble aller dans le bon sens pour résoudre les problèmes d'insécurité ?
13:45Et à cette question, Retailleau et Darmanin sont-ils capables d'inverser la tendance sur l'insécurité ?
13:50Vous dites non à 79%.
13:52Vous voulez réagir au datant de vos appels au 0826 300 300.
13:56– Et Jean-Pierre Rosenweg sera avec nous, magistrat et ancien président du tribunal des enfants de Bobigny.
14:01Soyez les bienvenus et merci d'être avec nous.
14:04C'est le 24 décembre.
14:05On va essayer de vous accompagner au mieux possible jusqu'à 19h.
14:08A tout de suite.

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