• il y a 2 mois
Transcription
00:00C'était il y a longtemps, il y a plus de cent ans, guidé par son destin, Nadia arrivait en France.
00:16Nadia, au fond de tes grands yeux, Nadia, quels sont ces rêves bleus, n'aie pas peur, les portes du bonheur s'ouvriront pour toi demain.
00:30Tout au bout du chemin.
00:41Et même s'il est long le voyage, tes nouveaux amis te donneront le courage de poursuivre ta route, de vaincre tous les doutes qui font trembler ton cœur quand viennent les soirs d'orage.
00:55Tant de villes, tant de gens à découvrir, le monde est si grand mais tu vas le conquérir, quelques pas de danse t'apporteront la chance, alors souris et ne perds pas confiance.
01:08Un beau matin, tu comprendras tous les secrets, tous les mystères qui t'entourent et tu vivras une vie pleine de joie et d'amour.
01:23Nadia, au fond de tes grands yeux, Nadia, quels sont ces rêves bleus, n'aie pas peur, les portes du bonheur s'ouvriront pour toi demain.
01:36Tout au bout du chemin.
01:41Chère maman, j'ai quitté l'orphelinat d'Applefield pour partir sur les routes avec la compagnie d'Indolion. Ma première visite à Londres, ma première représentation sur scène et surtout mon premier bal.
02:06Je n'oublierai jamais la nuit où j'ai passé la belle robe et j'ai dansé avec le chevalier aux yeux bleus. Ces instants resteront à jamais gravés dans mon cœur.
02:14La compagnie d'Indolion a quitté l'Angleterre pour la France et nous arrivons à Paris.
02:30Maman parlait de Paris elle aussi.
02:32On aperçoit la tour Eiffel.
02:35C'est vrai.
02:45Bonjour la France, bonjour Paris.
03:04Et maintenant, mesdames, mesdemoiselles, messieurs, la compagnie d'Indolion a l'honneur de vous présenter Nadia, la petite fée de la troupe dans son fabuleux numéro de danse. On l'applaudit bien fort.
04:04Bravo, bravo, bravo, bravo.
04:18Joli poupée.
04:20Salut beauté, tu es nouvelle dans le quartier ? Moi c'est Tidji mais on m'appelle Thierry. C'est quoi ton petit nom ?
04:39Nadia, Nadia Applefield.
04:43Nadia Applefield, ça sonne bien. Un vrai nom d'artiste.
04:51Tout le plaisir est pour moi. Je vais être franc, tu es tout à fait mon genre de femme. C'est ta première visite à Paris ?
04:58Lâche-moi tout de suite. Laisse-la tranquille.
05:02On peut savoir ce que tu es pour Nadia ?
05:05Ce que je suis pour Nadia ? Je suis quoi déjà ?
05:09Tu veux dire que tu n'es ni son frère ni son amoureux ?
05:12Espèce de morveux, ça ne te regarde pas.
05:14Alors débarrasse le plan chez Oust, on est en train de causer, tu déranges la demoiselle.
05:19Ah oui ?
05:20Je suis américain mais je connais Paris comme ma poche. Viens, je vais te faire visiter.
05:25Pas si vite. On n'insulte pas puniment un samouraï. Alors si tu es un homme, prends ce sabre et bats-toi.
05:33Tu veux te battre ? D'accord.
05:35Arrêtez, c'est parfaitement ridicule.
05:39Vas-y, je suis prêt.
05:41Qu'est-ce que c'est que cette position de combat ?
05:43Tu ne reconnais pas ? C'est du baseball, c'est notre sport national.
05:48Tu vas voir, je suis imbattable, je rattrape toutes les balles.
05:56Je me fiche pas mal que ce soit votre sport national. Personne ne fait le mariole avec mon sabre de samouraï.
06:01Moi, je fais le mariole. Fais attention à ce que tu dis, le baseball c'est sacré pour les américains.
06:06Les garçons, les garçons, je vous en prie, calmez-vous.
06:08Toi Nadia, tais-toi. Je suis plus fort que toi mon viet.
06:12Alors arrête de causer, viens te battre.
06:30Merci Nadia.
06:33Tu as vu ce que t'as fait ? A cause de toi, Nadia est fâchée contre nous.
06:36Tu veux rire ? Tout est de ta faute, c'est toi qui lui a dit de se taire.
06:40Je n'étais pas le seul si je me souviens bien.
06:50Le thé de Paris est drôlement fort.
06:52Il est trop infusé.
06:54Le thé de Paris est fort, l'eau de Paris est froide et le gamin de Paris est effronté.
07:00Paris, Paris, tu n'as que ce mot-là à la bouche.
07:03Paris ?
07:05Oui, c'est ça.
07:07Qu'est-ce qui te prend ?
07:10J'aimerais que vous m'aidiez à déchiffrer ceci.
07:13Qu'est-ce que c'est ?
07:15C'est le journal intime de ma mère.
07:16Il est écrit dans une langue étrangère.
07:18Je ne peux pas le lire, mais je reconnais le mot Paris.
07:21Ah oui, c'est écrit là.
07:23Je ne comprends pas. D'où sors-tu ce journal ?
07:25Nadia a grandi à l'orphelinat d'Applefield en Angleterre.
07:28Elle croyait que sa mère était morte jusqu'au jour où elle a reçu des affaires lui appartenant.
07:33Depuis que j'ai appris qu'elle est en vie, j'essaie de la retrouver.
07:36J'ai hâte de la rencontrer enfin et d'apprendre à la connaître.
07:40C'est donc ça. Je comprends maintenant.
07:43Par chance, je suis l'homme de la situation.
07:46Tu as devant toi le frère cadet du grand reporter Herbie Livingstone.
07:50Terry Livingstone, à ton service.
07:53Le frère d'Herbie ?
07:58Herbie, cessez de rêvasser. Écrivez-moi ce papier.
08:03Je n'arrive pas à croire que tu es le frère d'Herbie.
08:06On l'a rencontré à Londres.
08:08Oui, Herbie travaille à Londres. Comment se fait-il que tu sois à Paris ?
08:12Le siège du Montmartre Journal est à Paris.
08:14Le patron d'Herbie l'a envoyé à Londres pour faire un reportage sur un bandit célèbre, la Rose Noire.
08:20J'aurais bien aimé l'accompagner, mais je ne pouvais pas manquer l'école.
08:24Mon frère Herbie est un héros qui peut faire tout ce qu'il veut.
08:28Quand je serai adulte, je veux devenir grand reporter comme lui.
08:31Donne ! Le futur grand reporter Terry Livingstone se charge de résoudre ce mystère.
08:44L'un d'entre vous peut-il lire ce qu'il y a écrit ?
08:49Montre-moi ça de plus près.
08:52Tu connais cette langue ?
08:55C'est de l'allemand.
08:56Ah, comme Paris me manque ! Le soir de mon premier bal, je n'oublierai jamais mon premier cavalier,
09:02un peintre français qui habitait Paris et qui s'appelait Alphonse Jean-Marin.
09:08Nous avons dansé une valse.
09:10Nous peignions des personnages si vivants qu'on croyait presque les voir bouger.
09:16Ma foi, ceci m'a tout l'air d'être un carnet de balles.
09:20Un carnet de balles ? Qu'est-ce que c'est ?
09:22Un carnet de balles est un journal intime dans lequel une demoiselle note soigneusement où,
09:26quand et avec qui elle a dansé.
09:28Elle décrit le lieu du bal, son partenaire et ses impressions sur la soirée.
09:33Merci du fond du cœur, Abel.
09:36Où vas-tu, Nadia ?
09:38Je pars à sa recherche, bien sûr.
09:41De qui ? Du peintre ?
09:43Oui, cet Alphonse Jean-Marin sait peut-être quelque chose sur ma mère.
09:46Alors tu as besoin d'un guide.
09:48Allons-y.
09:49Je vous accompagne.
09:50Kenosuke !
09:51Je vous serai utile, je serai ton garde du corps et puis, comme le dit notre devise,
09:55ce que samouraï veut, samouraï peut.
09:59Ça tombe bien.
10:01Mieux vaut entendre ça que d'être sourd.
10:03Tu as quelque chose à dire ?
10:05Rien.
10:11Par où veux-tu commencer ?
10:13Je ne sais pas, je comptais chercher un peu au hasard.
10:16On le retrouvera pas.
10:17Tu as quelque chose à proposer ?
10:19Oui, nous allons rendre visite à tous les marchands de tableaux
10:22et leur demander s'ils connaissent le peintre Alphonse Jean-Marin.
10:25Bonne idée !
10:27Comme de vrais reporters.
10:36Vous avez vu ça ? Ils nous ont traités comme des enfants.
10:39Non, comme des reporters.
10:41Alors ? Je peux savoir ce que vous voulez ?
10:44Depuis le début, tu te contentes de suivre le regard vide, alors tu es critique, mon vieux.
10:50Ça suffit ! Arrêtez ou je vous balance un deuxième sodo.
10:54Oui, Nadia.
10:56Vous êtes mimi tout plein.
11:03Maman !
11:05Ta maman ?
11:07Tu es perdue ?
11:09C'est un très joli prénom, Madeleine.
11:12Moi, je suis Madeleine.
11:14Je suis Madeline.
11:15T'es une belle femme !
11:16Mais tu es ma plus jolie femme.
11:18Pourtant, tu es bonne à faire les claques.
11:24Bien, bien, Madeline.
11:34Et surtout, tu es la plus fête que je n'ai jamais vu.
11:38Je m'appelle Nadia, tu t'en souviendras ?
11:41Oui, tata Nadia
11:43Nadia est vraiment une chic fille
11:45Elle ne voulait pas chercher son peintre ?
11:48Bien sûr que si, mais elle a appris à faire contre mauvaise fortune bon cœur
11:52Et puis...
11:54Réfléchis, Nadia ne pourrait pas abandonner une petite fille qui a perdu sa mère
11:58Elle s'identifie à elle forcément
12:00Oui !
12:04Youhou !
12:07Je m'appelle Kenosuke, je peux venir avec vous ?
12:30Je m'appelle Nadia
12:48Je m'appelle Kenosuke
13:01Je m'appelle Nadia
13:28Écoute Madeleine...
13:30Tu as tout oublié, ton nom de famille, l'endroit où tu habites
13:33et celui où tu habites ta mère pour la dernière fois
13:36Je ne te crois pas, réfléchis encore
13:39Je ne sais plus
13:40Ce n'est pas possible enfin !
13:41Fais un effort de concentration, je suis sûre que ça va te revenir
13:45Il faut que tu arrêtes de croire qu'il y aura toujours quelqu'un pour veiller sur toi
13:49Dans la vie, on ne peut compter que sur soi-même
13:52Ça suffit maintenant !
13:55Pourquoi tu m'as poussée ?
13:56Arrête de lui crier dessus, ce n'est pas comme ça qu'on va retrouver sa mère
13:59Tu ne lui rends pas service en lui faisant croire
14:01qu'il y aura toujours quelqu'un pour voler à son secours
14:04J'en connais un qui serait surpris d'entendre ça
14:07Tu nous rabats les oreilles avec ton frère Herbie, ce héros
14:10mais si j'en juge par ce que je viens d'entendre
14:13ton frère ne doit pas être quelqu'un de si héroïque que ça
14:16Retire ça tout de suite
14:20Personne n'a le droit de dire du mal d'Herbie devant moi
14:23Retire ce que tu viens de dire
14:26Pas question !
14:27C'est toi qui t'es montré trop dur avec cette fillette
14:30C'est à toi de t'excuser
14:32Retire ça je t'ai dit !
14:35Tu ne sais rien d'Herbie et moi
14:37Tu ne sais pas ce qu'il y a entre nous et pourquoi
14:39Non et je n'ai aucune envie de le savoir
14:42Moi tout ce que je vois c'est un type sans cœur
14:45qui s'acharne sur cette pauvre fillette en détresse
14:48Je dis qu'il faut essayer de la protéger
14:50Tu crois vraiment qu'elle peut se permettre de rester faible ?
14:53Puisque tu racontes
14:54Tu es bête ou quoi ?
14:55Comment veux-tu qu'elle se défende dans la vie si elle n'apprend pas ?
14:59Arrêtez !
15:00Toi, Nadia, tais-toi !
15:03Non, je ne me tairai pas !
15:06Vous êtes des égoïstes !
15:08Si vous pensez un tas soit peu à Madeleine
15:10arrêtez de vous battre tout de suite !
15:12Comment croyez-vous qu'elle se sente à vous voir vous rouler par terre ?
15:16C'est une petite fille qui est toute seule
15:19qui a perdu sa maman et qui a peur
15:22Elle a besoin d'être rassurée
15:24Ce n'est pourtant pas difficile à comprendre
15:48Ce teintement de cloche !
15:55L'étoile du soir scintille dans le ciel
16:00Au-dessus de la forêt profonde
16:06Un chant d'espoir doucement nous appelle
16:11Pour que vive l'amour dans le monde
16:17Chers enfants, fermez vos grands yeux
16:23C'est l'heure de faire dodo
16:28Et comme l'oiseau qui s'élance là-haut
16:34Toutes vos pensées s'envoleront
16:39Vers les rêves bleus
16:46J'ai une petite sœur qui s'appelle Anako
16:50Nos parents sont morts il y a trois ans
16:53Depuis leur disparition, j'éprouve un curieux sentiment protecteur pour ma petite sœur
16:58Kinosuke !
16:59Pour le moment, elle a été confiée à la garde de parents à nous
17:03mais je me suis promis de réussir et d'aller la chercher
17:06Bientôt, j'espère
17:08Je suis sûre que ce jour viendra très vite
17:11Merci, Terry
17:12Mes parents aussi sont morts quand j'étais petit
17:15Herbie ne s'est jamais plaint devant moi
17:17mais ça n'a pas dû être facile
17:18C'est lui qui m'a élevé et je lui ai donné du fil à retordre
17:23Ça ne sert à rien de pleurer, Terry
17:25C'est comme ça, on n'y peut rien
17:27Aujourd'hui, je suis là pour toi
17:29mais que se passera-t-il si un jour je disparais aussi ?
17:33Il faut que tu apprennes à être fort, Terry
17:37C'est pour ça que je me suis montré un peu dur avec la petite
17:40Je suis désolée
17:42Je n'avais jamais entendu vos histoires respectives
17:45Non, non, ne t'excuses pas, Nadia
17:47Tu ne pouvais pas savoir, tu sais
17:49Et puis Kinosuke et moi, on pense exactement la même chose
17:53On espère sincèrement que toutes les deux vous allez retrouver votre mère
18:07Hé, attendez !
18:10Madeleine !
18:13Maman !
18:15Où étais-tu ? J'étais folle d'inquiétude
18:17Maman !
18:18J'ai eu si peur de te perdre
18:20Maman !
18:21Alors comme ça, Madeleine s'est perdue pendant que sa mère faisait faire son portrait ?
18:27C'est pour ça que le peintre a immédiatement reconnu son visage
18:33Il commence à se faire tard, il faut rentrer
18:36Euh mais...
18:37Et ton peintre ?
18:39Si je ne le retrouve pas aujourd'hui, ce sera demain
18:42Oui, et si ce n'est pas demain, ce sera après-demain
18:44Exactement !
18:46Au revoir, monsieur, nous partons
18:48Adieu
18:51Hein ? C'est si vivant !
18:55On croirait presque les voir bouger
19:04Mademoiselle, j'aimerais beaucoup faire votre portrait
19:07Me ferez-vous l'honneur de poser pour moi avant de partir ?
19:11Oui, avec plaisir
19:13J'ai rencontré une jeune femme autrefois qui vous ressemblait beaucoup
19:18En regardant l'un de mes dessins, elle a fait exactement la même réflexion que vous
19:25A l'époque, je gagnais ma vie en faisant les portraits des aristocrates
19:30Je ne paye pas de mine, telle que vous me voyez aujourd'hui, mais...
19:33J'avais acquis une solide réputation
19:35Et j'ai eu l'honneur de faire mon portrait
19:37Je ne paye pas de mine, telle que vous me voyez aujourd'hui, mais...
19:40J'avais acquis une solide réputation et j'aimais assister au bal
19:44Et puis un beau soir, je l'ai rencontré
19:52Ça alors !
19:54Vous dessinez ?
19:57Oui, on ne croirait pas, mais j'ai ma petite réputation à Paris
20:01Mais oui, je vous connais, j'ai eu l'occasion d'admirer l'une de vos œuvres
20:06Vous m'en voyez très flatté
20:08C'était un tableau magnifique, un portrait de famille à Montmartre
20:12Vos personnages étaient si vivants qu'on croyait presque les voir bouger
20:22En entendant ces mots innocents, j'ai compris combien je m'étais fourvoyé
20:27J'avais vendu mon âme d'artiste et sacrifié mon indépendance
20:30Ce dessin est le tout premier que j'ai fait quand je suis rentré à Paris
20:34À compter de ce jour-là, j'ai renoncé à faire fortune
20:36Je n'ai plus remis les pieds dans les bals ou les soirées mondaines
20:39et je peins uniquement ce que j'ai envie de peindre
20:42Mais alors, c'est vous que je cherche !
20:46Excusez-moi, ne seriez-vous pas Alphonse Jean-Marin ?
20:51Euh... si, mais comment connaissez-vous mon nom ?
20:57Ça alors, elle s'est donc souvenu de moi ?
21:01Oui, c'est grâce au carnet de vals de ma mère que j'ai réussi à vous retrouver
21:09J'espérais que vous pourriez m'en dire plus long sur elle
21:13Je suis désolé, je n'ai dansé qu'une valse avec votre mère
21:16Nous avons juste parlé peinture, elle ne m'a pas dit son nom ni l'endroit d'où elle venait
21:21Oh, je comprends
21:23Oh mais je peux vous dire une chose
21:26Quand votre mère souriait, tout son visage s'illuminait
21:29Vous avez hérité de son charme en sourire
21:43Chère maman, aujourd'hui j'ai fait la connaissance du premier homme avec qui tu as dansé
21:50Ce n'est pas grand chose, mais pour moi c'est déjà beaucoup
21:54Ça m'a rapprochée de toi et le jour de nos retrouvailles me paraît un peu moins loin
22:25C'est pas grave, c'est pas grave
22:28C'est pas grave, c'est pas grave
22:31C'est pas grave, c'est pas grave
22:34C'est pas grave, c'est pas grave
22:37C'est pas grave, c'est pas grave
22:40C'est pas grave, c'est pas grave
22:43C'est pas grave, c'est pas grave
22:46C'est pas grave, c'est pas grave
22:49C'est pas grave, c'est pas grave
22:52C'est pas grave, c'est pas grave
22:58Au-delà des pieds d'une petite chatte
23:04C'est l'odeur d'un roi
23:13Si c'est plus clair que Londres, c'est Paris
23:16Si c'est plus calme que Carmen, c'est Paella
23:21C'est pas la bonne chance de nous trouver
23:28Bien sûr
23:31Bien sûr
23:43La rose noire a encore frappé !
23:45Elle est en France !
23:46C'est devenu la coqueluche du tout Paris !
23:49Je suis obligée d'assister à un bal donné en son honneur par Madame de Monterland.
23:55La Rose Noire a promis de se manifester.
23:58Je tremble à l'idée de recroiser sa route.
24:01Vous en saurez plus en regardant le prochain épisode, le Bal Musqué.

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