• il y a 5 mois
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Chaque matin de l'été, à 8h15, Florian Tardif reçoit une personnalité au centre de l'actualité. Ce mardi, Sabrina Agresti Roubache, secrétaire d’Etat chargée de la Ville.

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00:00Bonjour, Sagrina Agressi-Roubach, vous êtes secrétaire d'État chargée de la citoyenneté
00:08de la ville. Depuis plusieurs jours, nous devons faire face à des actes de sabotage,
00:12le réseau ferroviaire en fin de semaine dernière, puis hier contre le réseau de fibres optiques.
00:17Votre ministère est rattaché à celui du ministère de l'Intérieur. Est-ce que l'on
00:20sait aujourd'hui qui est derrière tout cela ?
00:22Et de la transition écologique. Donc bonjour à tous, bonjour Florian Tardif, bonjour à
00:26tout le monde. Donc non, on ne sait pas qui est derrière tout cela. Ce qui est sûr,
00:30ce sont des actes criminels, parce que je rappelle juste quelques chiffres. 800 000
00:34personnes empêchées de voyager ce jour-là, donc grand départ de vacances pour nos concitoyens.
00:41Ceux qui ont été impactés, ce sont les gens qui ont mis de l'argent de côté toute
00:46l'année pour partir en vacances. Donc cela, c'est la première chose. La deuxième chose,
00:50effectivement, je suis rattachée au ministère de l'Intérieur et au ministère de la transition
00:54écologique, donc où est rattaché mon très cher collègue, le ministre des Transports,
00:58Patrice Vergrit. Et ce qui est sûr, c'est qu'on a eu des cellules interministérielles
01:03de crise qui ont été très réactives. Nous avons eu des agents SNCF extrêmement mobilisés
01:08et donc qui ont travaillé nuit et jour, 24 heures sur 24, pour rétablir le réseau et
01:14pour que les Françaises et les Français soient le moins impactés. Ça, deuxième
01:19chose. Troisième chose, des actes criminels innommables. Moi, je ne réussirai jamais à
01:24m'expliquer comment est-ce qu'on peut faire des choses pareilles. Parce qu'avoir essayé,
01:29par exemple, d'incendier de la fibre, ça aurait pu être un carnage. Ça aurait pu
01:35être beaucoup plus dramatique, avec des pertes de vie, avec des blessés.
01:38Votre collègue Gérald Darmanin, en charge justement de l'Intérieur, estime que la
01:45piste privilégiée est potentiellement liée à l'ultra-gauche. Est-ce que vous estimez
01:50aujourd'hui que c'est peut-être l'une des principales menaces durant cette période
01:56que sont les Jeux olympiques ?
01:57Entre autres, le ministre de l'Intérieur, Gérald Darmanin, a bien fait de préciser
02:02cela ressemble, ça s'apparente plutôt à des actes de l'ultra-gauche. Et encore une
02:06fois, il l'avait dit et il l'a dit, et je le dis de la même manière avec beaucoup
02:09de prudence. Il faut laisser les enquêteurs travailler, il faut laisser la justice faire
02:13son travail. Ce qui est sûr, c'est que ce genre de menaces, vous savez, le risque zéro
02:18n'existe pas. Et si vous le permettez aussi, quand on voit le dispositif pour la cérémonie
02:23des JO, des Jeux olympiques, des cérémonies d'ouverture, quand on voit le nombre de forces
02:28de l'ordre mobilisées, je rappelle quand même aux Françaises et aux Français que
02:31nos forces de l'ordre n'ont pas de vacances cette année. Donc, 50 000 policiers mobilisés
02:36pour cette soirée, sans oublier le reste du territoire, parce que les JO se sont passées
02:42évidemment à Paris, mais de l'autre côté, la France continue à vivre, et puis les sites
02:46balnéaires, les sites touristiques continuent aussi à être protégés par nos forces de
02:50l'ordre. Donc rappelez aussi une chose toute simple, ne jamais oublier de remercier notre
02:55police, nos gendarmes...
02:56Il n'y a pas eu de défaillance des services de renseignement sur ces différents...
03:00Non, vous savez, on peut toujours essayer de trouver des défaillances, c'est comme
03:03lorsqu'il y a un attentat, on peut toujours essayer de pointer la défaillance de ceci
03:08ou de cela ou d'un tel ou d'une telle. Non, ce que je crois, c'est que ce sont des actes
03:12en tout cas, en l'occurrence absolument prémédités, bien préparés, on le voit, puisque ça a
03:18été simultané sur plusieurs sites en même temps. Donc non, au contraire, moi, je trouve
03:23que l'intervention de nos policiers, l'intervention des enquêteurs, tout de suite, a empêché
03:29le pire d'arriver, et encore une fois, avec une police comme la nôtre, mobilisée sur
03:34l'événement du siècle, on va le dire comme ça, sans prendre de vacances, en laissant
03:38leurs familles, en se mobilisant pour que chaque Française et chaque Français puissent
03:42vivre ces Jeux olympiques dans la sérénité la plus totale et la plus grande joie, et
03:47moi, je l'ai vu, j'ai vu aussi nos forces de l'ordre, avec le sourire, être très avenants
03:52avec les passants, les touristes qui étaient là, qui demandaient leur chemin. Non, vraiment,
03:57un immense bravo et un immense merci à eux.
03:59Peut-être, dernière question sur ces sabotages, est-ce que vous estimez que les forces politiques,
04:03notamment de gauche, ont une responsabilité peut-être morale, à force de flirter comme
04:08elles peuvent le faire, parfois, avec ce que l'on pourrait qualifier de zone grise ? Je
04:12fais référence, par exemple, à ce qui s'était passé à Sainte-Sauline, où on en avait
04:16vu un certain nombre au sein de leur écharpe tricolore. Est-ce qu'ils peuvent promouvoir
04:21justement ce type d'actes ?
04:24Non, c'est alors, je vais vous dire, la responsabilité, je me rappelle très bien de Sainte-Sauline,
04:29quand vous êtes représentante de la nation, un élu, un député, en l'occurrence, puisque
04:33là, on parle de certains députés. Bien sûr qu'il y a une responsabilité lorsque
04:39vous soutenez des actes violents ou des actions violentes contre nos forces de l'ordre ou
04:44contre le bien commun. Évidemment qu'il y a une responsabilité, je ne le relie pas
04:48du tout à ce qui s'est passé au niveau de la SNCF, mais ce que je comprends le fond
04:52de votre question, c'est est-ce que cette ambiance généralisée n'emmène pas justement
04:58à libérer la parole ? La parole violente et à libérer les actes violents. Vous savez,
05:04j'ai toujours pensé que les responsables politiques, oui, avaient un devoir d'exemplarité
05:09et que lorsque c'est organisé, prémédité, je ne parle pas de quelqu'un qui se fait
05:12attaquer un élu, et ça arrive, vous l'avez vu pendant la campagne, un élu qui se défend
05:17qui est attaqué, ce n'est pas la même chose qu'un élu qui va soutenir certaines personnes
05:22qui veulent bloquer, casser, arracher, empêcher. Donc bien sûr qu'il y a une responsabilité,
05:27mais à la fois, quand vous regardez l'hémicycle maintenant tel qu'il est constitué, il est
05:33assez représentatif de ce qu'est la France, donc, non-tact.
05:36Donald Trump s'est montré très critique, vous l'avez peut-être entendu sur CNE1 vis-à-vis
05:41de la cérémonie d'ouverture, je le cite, je suis très ouvert d'esprit, mais j'ai
05:44trouvé que ce qu'ils ont fait, c'était une honte. Le contraire vous aurait étonné ?
05:47Absolument, absolument. Il suffit de voir les propos qu'il réussit à tenir quand même
05:53sur sa misogynie qu'il arrive à peine à cacher, sur certains propos sexistes, sur
05:59certains propos... En France, je pense que de tels propos ne sauraient être tenus par
06:05un ancien président. Donc non, je ne suis pas du tout étonnée, mais je rappelle quand
06:09même que ce qu'a fait... C'est un exploit, Thomas Joly. Et encore une fois, là...
06:13C'est un exploit ?
06:14C'est un exploit. C'est un exploit, déjà, dans les conditions dans lesquelles ça...
06:18Rappelez-vous, le temps n'était pas avec nous, et c'est la Marseillaise qui parle.
06:22Paris est la plus belle ville du monde. Paris a été, ce soir-là, selon moi, à l'image
06:28de ce que la France peut être de meilleure. Thomas Joly, bien sûr, c'est de l'art, c'est
06:33la culture. L'art et la culture ont toujours emmené le débat, et heureusement, depuis
06:36que le monde est monde. Donc moi, ça me rassure plutôt que Donald Trump n'ait pas aimé notre
06:42cérémonie d'ouverture.
06:43Ça vous rassure. Est-ce que vous savez ce que vous ferez après la nomination d'un nouveau
06:47Premier ministre qui pourrait intervenir à la mi-août ?
06:49Ce que je ferais, moi, à titre de ministre ?
06:51A titre personnel.
06:52Non, à titre... Moi, écoutez...
06:53Est-ce que vous pourriez rejoindre, par exemple, un futur gouvernement, y compris si c'est
06:58un Premier ministre issu de la droite ? Je pense notamment à Xavier Bertrand, dont le
07:01nom circule en ce moment.
07:02Homme absolument... Enfin, grand républicain parmi les républicains avec un grand R, grand
07:07président de région. Il a fait beaucoup de choses sur les industries créatives, donc
07:10j'ai toujours suivi très attentivement ce qu'il faisait dans sa région. Donc, pour
07:14la première chose. Deuxième chose, c'est le président de la République qui nomme,
07:17que ce soit le Premier ministre ou le gouvernement. Donc, le Premier ministre soumettra un gouvernement
07:22et la décision revient toujours... Vous savez, moi, je suis quelqu'un de très... Je pense
07:27que maintenant on commence un petit peu à me connaître. Très loyal et très républicain
07:32dans le sens où je respecte toutes les décisions qui sont prises. Que je sois d'accord ou pas
07:37d'accord, je respecte toujours la décision du président de la République, quelle qu'elle
07:41soit. Donc, ce qui est sûr, c'est que cette décision revient au président de la République
07:45et si vous... Un dernier mot sur Xavier Bertrand. Il me semble que le ministre de l'Intérieur
07:49aussi a rappelé ses grandes qualités. Donc, moi, le président de la République reviendra
07:54mi-août, comme il l'avait dit, et prendra sa décision en son âme et en sa conscience,
07:58comme d'habitude.
07:59Est-ce qu'il n'y a pas de vacances du pouvoir en ce moment ?
08:01Non, vous savez, regardez. Au ministère de l'Intérieur, vous avez l'impression que qui
08:05que ce soit, personne n'est en vacances. Moi-même, je suis sur les politiques de la ville, par
08:11exemple, qui sont rattachées et au ministre de l'Intérieur et à Christophe Béchut,
08:14le ministre de la Transition écologique, on prépare les vacances pour les enfants.
08:20Donc, il y a les vacances d'été. J'ai, par exemple, décidé d'affecter 3 millions d'euros
08:24sur le budget crédit politique de la ville pour que chaque enfant dans les quartiers
08:29prioritaires... J'ai eu la chance d'avoir 20 000 places. Donc, c'est ma très chère
08:33collègue Amélie Oudéa-Casselin, la ministre des Sports, qui m'a donné pour les enfants
08:38des quartiers prioritaires 20 000 places pour que les enfants qui sont loin, les gamins
08:42qui sont loin des sites olympiques puissent accéder aux Jeux olympiques et paralympiques.
08:47Et pourquoi les 3 millions ? C'est pour qu'on puisse les loger, les déplacer et bien sûr
08:51les nourrir correctement pendant cette période qui est une grande période de fêtes nationales.
08:56Et je vous le dis aussi, les enfants des Outre-mer n'ont pas été oubliés. Donc, 1 000 enfants
09:01des Outre-mer vont venir sur la métropole assister aux JO. Donc, c'est un grand moment
09:08de fêtes, mais aussi un grand moment de mobilisation de tous les ministères impliqués et concernés.
09:13Donc, non, pas de vacances. Malgré ce contexte incertain, on en parle depuis plusieurs minutes,
09:18le gouvernement prépare le budget. Est-ce que vous avez eu des demandes de Bercy pour réduire,
09:23par exemple, les dépenses concernant la ville ? Oui, on les avait déjà eues. On les a déjà eues
09:27la dernière fois. Est-ce que vous en avez eues de nouvelles ? Non, j'ai toujours les mêmes,
09:3050 millions d'euros de réduction sur l'enveloppe politique de la ville, qui n'est pas le même
09:36que la citoyenneté. Et en fait, on est en train de réfléchir, évidemment avec Bercy,
09:41pour l'inscrire au prochain PLF, voir où sont les sources et où sont, on va dire,
09:45les marges de manœuvre pour faire des économies. Moi, j'ai toujours pensé que tout le monde
09:49devait participer à un effort national quand il y a un effort national à faire. Donc,
09:53ça, c'est la première chose. La deuxième chose, par exemple, puisque vous me parlez,
09:57je relis votre sujet des vacances au prochain projet de loi de finances, les zones franches
10:02urbaines. J'avais lancé la réforme des zones franches urbaines, des ZFU, au mois d'avril. Et
10:07donc, là, elles vont être inscrites dans le prochain PLF. Donc, le travail continue. Mon
10:12grand plan ascenseur que j'ai lancé juste avant le dernier Conseil des ministres, on va dire,
10:16de plein exercice, avant que le président n'accepte la démission du Premier ministre
10:21Gabriel Attal. Donc, non, non, on continue à travailler, nos équipes, nos cabinets,
10:25les administrations. Et toujours, encore une fois, féliciter et remercier les administrations
10:30de leur mobilisation. À chaque fois qu'on a des moments de tension, des moments compliqués,
10:35des moments où on doit être hyper réactifs, les administrations sont là. Donc, pareil.
10:39Vous n'avez pas peur, justement, que ce soit l'État profond qui prenne le pouvoir en France
10:43avec cette... Alors, on ne parle pas de vacances du pouvoir, mais néanmoins, votre champ d'action
10:48est considérablement réduit depuis que le président de la République a accepté la démission de Gabriel
10:53Attal. Alors, vous parlez de quelqu'un qui n'a jamais été fonctionnaire. Et pourtant, j'ai
10:57beaucoup, beaucoup de respect et d'admiration pour les fonctionnaires. Nous sommes un État,
11:00c'est vrai, suradministré. Rappelez-vous la crise Covid. Si nous n'avions pas eu un État
11:05suradministré, nous n'aurions pas pu passer la crise Covid comme nous l'avons passé.
11:10Grâce aux administrations, et comme vous dites, l'État profond, l'État a tenu. Et justement,
11:14c'est dans les périodes de crise politique où c'est crispé, où c'est tendu, où il y a des tensions,
11:19heureusement que l'État profond est là et que... Enfin, ce que vous, vous appelez l'État profond,
11:23j'appelle ça l'État sur lequel... L'administration sur laquelle on s'appuie quand le politique est en
11:28grande tension. On parle du budget depuis tout à l'heure. La Cour des comptes s'est intéressée
11:32aux dépenses liées au déplacement présidentiel. Dans un rapport publié hier, elle révèle que le
11:37prix moyen d'un voyage présidentiel s'est élevé l'année dernière à 207 000 euros, en augmentation
11:41de 20 % par rapport à 2022, de 8 % par rapport à 2018. Est-ce que c'est sérieux dans le contexte
11:47actuel ? Écoutez, le président de la République... Moi, je ne suis pas là pour commenter les dépenses
11:51du président de la République, mais ce que je sais, c'est que nous avons été un pays qui a accueilli
11:55beaucoup. Rappelez-vous le roi Charles, nous avons accueilli le pape, nous avons eu beaucoup de
11:59voyages. Il y a eu Schuss-France, à Versailles, où nous avons accueilli tous les chefs d'entreprise.
12:04Nous avons été le pays qui a reçu le plus et qui a réussi à collecter le plus d'investissements
12:09étrangers. Je le rappelle, 15 milliards. Donc, tout ça est très lié. Quand vous recevez beaucoup,
12:14quand vous vous déplacez beaucoup, regardez le contexte international. Le président a eu
12:19beaucoup à faire, par exemple, aux Outre-mer, la Nouvelle-Calédonie, par exemple. Donc,
12:23je pense que tout ça est très lié. Quand je regarde comme ça, moi, je l'ai fait comme vous,
12:26je lis la presse, je ne m'intéresse pas précisément, mais je pense que c'est trop
12:30facile de jeter l'opprobre, vraiment, sur telle ou telle dépense, en oubliant tout ce que la
12:37France et tout ce que le président de la République a fait ces derniers mois et ces dernières années.
12:40Donc, c'est un dessin pour améliorer, on comprend selon ce que vous dites,
12:44l'attractivité du pays non acte. Mais c'est du plein temps pour le président
12:49de promouvoir la France. C'est du plein temps. Donc, est-ce qu'on va aller chercher dans sa
12:53note de téléphone ? Moi, ça me paraît toujours très curieux de venir l'attaquer sur des détails
12:58alors qu'on oublie tout ce qu'il fait de formidable. 15 milliards d'investissements
13:01en étant le pays le plus attractif d'Europe sur la dernière année, je trouve ça formidable.
13:06Pas d'attaque personnelle, mais des questions auxquelles vous apportez des réponses ce matin.
13:10Essay News. Une large partie du pays est en vigilance orange canicule. Les services de l'État
13:14sont-ils prêts pour cette journée considérée comme la plus chaude de cet épisode caniculaire ?
13:20Toujours, toujours. Alors, bien sûr, l'État, toujours. Donc, je rappelle un numéro d'urgence,
13:23le 0800 06 66 66. Donc, plusieurs messages à passer à nos concitoyens. Si vous savez,
13:29par exemple, qu'il y a une personne qui est plutôt isolée, plutôt les personnes âgées,
13:32prenez des nouvelles très régulièrement. La réalité, c'est aussi la présidente de la région,
13:38donc Valérie Péquin, qui a pris des décisions assez... Elles savent faire, on sait faire,
13:44deux millions et demi de briques d'eau, par exemple, pour pouvoir alimenter tout le réseau
13:48mobile d'eau mobilité en Ile-de-France. On a réussi, comme d'habitude, à mobiliser les ARS,
13:55donc les agences régionales de santé. Donc, oui, évidemment que nous sommes prêts,
13:59même au niveau de l'organisation des Jeux olympiques. Tout a été prévu, des brumisateurs,
14:05pareil, des distributions de bouteilles d'eau. C'est une séquence caniculaire qu'on attendait
14:11un petit peu, donc elle était prévue. Donc oui, les services de l'État, évidemment, sont prêts
14:15pour anticiper et surtout pour essayer de faire passer le mieux possible cet épisode caniculaire.
14:21Merci beaucoup, Sabrina Agresti-Roubach. C'était votre grande interview, donc,
14:24sur CNews et sur Europe 1. Merci à vous, Florent Tardif.

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