À suivre dans Tempo la so cet après-midi
L'après-affaire Vanessa Lagesse : une lueur d'espoir pour les Cold Cases ?
Michael Jean Louis reçoit l'ancien magistrat Noren Seeburn, l'avocat Neelkanth Dulloo et l'ancien inspecteur se police Ranjit Jokhoo. Me Sanjeev Teeluckdharry interviendra au téléphone.
Rendez-vous à 17h30.
Vos appels au 213 7777.
L'après-affaire Vanessa Lagesse : une lueur d'espoir pour les Cold Cases ?
Michael Jean Louis reçoit l'ancien magistrat Noren Seeburn, l'avocat Neelkanth Dulloo et l'ancien inspecteur se police Ranjit Jokhoo. Me Sanjeev Teeluckdharry interviendra au téléphone.
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00:00:00Bon après-midi à tous, bienvenue dans une nouvelle édition de Tempola So, dans la nuit
00:00:16de jeudi, fin des 9 premières, Andy Moon finit trouvé coupable de meurtre 23 ans après
00:00:21les faits.
00:00:22Nous pas ici pour refaire le procès de Bernard Mégault, il finit déjà et n'a lieu aux
00:00:26assises.
00:00:27Le 16 juillet, la sentence, mais une question qui posée, c'est ce qui est capable d'un
00:00:33lieu d'espoir pour ce qu'ils appellent c'est-à-dire cas de meurtre non résolu.
00:00:39Discute-le, ce sujet-là, nous avons avec nous un ancien magistrat, euh, Maitre Nouraine
00:00:44Sybonne, nous avons deux avocats pénalistes, et nous avons dans quelques minutes un ancien
00:00:52inspecteur de police, Randy Djokou, messieurs, euh, bon après-midi et merci les autres
00:00:56qui sont présents sur le plateau.
00:00:57Bon après-midi.
00:00:58Et mon rappel, vous aussi, vous pouvez participer dans l'émission, tout à l'heure, au cas
00:01:02de Maitre Nouraine Sybonne, c'est-à-dire que vous pouvez participer à ce qu'il s'agit
00:01:12de l'émission, c'est-à-dire que vous pouvez participer à ce qu'il s'agit de l'émission,
00:01:18c'est-à-dire que vous pouvez participer à ce qu'il s'agit de l'émission, c'est-à-dire
00:01:24que vous pouvez participer à ce qu'il s'agit de l'émission, c'est-à-dire que vous pouvez
00:01:30participer à ce qu'il s'agit de l'émission, c'est-à-dire que vous pouvez participer à
00:01:31ce qu'il s'agit de l'émission, c'est-à-dire que vous pouvez participer à ce qu'il s'agit
00:01:32de l'émission, c'est-à-dire que vous pouvez participer à ce qu'il s'agit de l'émission,
00:01:33c'est-à-dire que vous pouvez participer à ce qu'il s'agit de l'émission, c'est-à-dire
00:01:34que vous pouvez participer à ce qu'il s'agit de l'émission, c'est-à-dire que vous pouvez
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00:01:36ce qu'il s'agit de l'émission, c'est-à-dire que vous pouvez participer à ce qu'il s'agit
00:01:37de l'émission, c'est-à-dire que vous pouvez participer à ce qu'il s'agit de l'émission,
00:01:44c'est-à-dire que vous pouvez participer à ce qu'il s'agit de l'émission, c'est-à-dire
00:01:48que vous pouvez participer à ce qu'il s'agit de l'émission, c'est-à-dire que vous pouvez
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00:01:50ce qu'il s'agit de l'émission, c'est-à-dire que vous pouvez participer à ce qu'il s'agit
00:01:51de l'émission, c'est-à-dire que vous pouvez participer à ce qu'il s'agit de l'émission,
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00:03:24que vous pouvez participer à ce qu'il s'agit de l'émission, c'est-à-dire que vous pouvez
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00:03:26ce qu'il s'agit de l'émission, c'est-à-dire que vous pouvez participer à ce qu'il s'agit
00:03:27de l'émission, c'est-à-dire que vous pouvez participer à ce qu'il s'agit de l'émission,
00:03:29incons coaches, on va vous travailler ensemble, vous serez satisfait de co starch, М.
00:03:34Alors M.
00:03:36Sarkozy, alors M.
00:03:38Sarkozy, alors M.
00:03:39Sarkozy, alors M.
00:03:44Sarkozy, M.
00:03:47Sarkozy, alors M.
00:03:54au pénal? Dans Maurice, il n'y a pas de prescription pour les affaires pénales. La France a 30
00:04:00ans. Et Maurice, il y a des gens qui viennent faire l'allégation. C'est comme un chameau
00:04:06gomme. Après 19 ans. Après 19 ans, il y a l'arrestation. Après, ils ne trouvent pas
00:04:12rien. Et les affaires maigres, bon, ça prend 23 ans. Mais c'est un délai exagéré. Parce
00:04:21que la Constitution dit qu'il y a un droit, un procès équitable, devant un accord impartial
00:04:29dans un délai raisonnable. Il y a la section 5.3. Après, il y a la section 10.1. Et ici,
00:04:3723 ans, nous devons nous cuire. Par exemple, dans l'affaire Michaela Hort, il y a 150 témoins.
00:04:46Dans l'espace d'un an, je complète l'enquête préliminaire. Et dans moins de 15 mois, c'est-à-dire
00:04:57en janvier 2010-2011, si je ne me trompe pas, c'est le meurtre, et en mai 2012, 10 janvier
00:05:142011 et mai 2012, le cas a commencé et est terminé en juillet 2012. Qu'est-ce qu'il
00:05:24y a dans certains cas d'indiligence, qu'est-ce qu'il y a dans d'autres cas d'indiligence,
00:05:30bien là, nous trouvons nos systèmes. Nos systèmes, comment dire, ne peuvent pas répondre
00:05:37ou bien nous pouvons fausser le système. Par exemple, la cour intermédiaire. Un procès
00:05:42prend 12 ans, 13 ans, mais pour un an, nous pouvons trouver un procès et le fixer vite,
00:05:48vite. On finit par une date continuation, après on finit par une date d'adjustement,
00:05:53puis on blanchit, comment dire, à la vitesse de la lumière. Dans les autres cas, il y a
00:05:59un changement magistral. Les magistrats finissent par écouter les cas, finissent par écouter
00:06:03tous les témoins. Après, il n'y a pas de changement magistral, il n'y a plus de magistrats.
00:06:06Là, vous avez recommencé à zéro. Récommencé à zéro. Mais il y a des cas, c'est dans
00:06:11la cour intermédiaire, une moyenne de 12 ans, 13 ans, 14 ans, 15 ans, peut-être normal.
00:06:17On vient mettre l'ordre d'un système et beaucoup de gouvernements se promettent de
00:06:23mettre l'ordre. Je me rappelle, en 2014, je me suis promis de mettre l'ordre d'un judiciaire,
00:06:30de mettre l'ordre de la police. Et c'est en moi, en politique, soi-disant, qu'on a
00:06:37Et en fin de compte, pas fin de mettre aucun lot, aucune place, il crée beaucoup plus d'hésitation.
00:06:43Mais en quoi l'affaire, l'affaire, mes gros, donc ce sera la dernière question sur
00:06:47cette affaire directement euh, euh, en quoi les quelques peuples ils moquent l'histoire?
00:06:54Le moque l'histoire, parce que vous trouvez, c'est un cas à côté euh, prosécution,
00:06:59il y a même un certain moment, les bacs pédales, ils décident pour parler de l'avant, qui
00:07:07est un déféral pour Mazistra d'Alo, à la cour du district, après une préliminairie
00:07:13d'enquête, ils disent à l'assise pour déféral pour Assangeuse, après le UDPP, ils disent
00:07:19non, ils n'ont pas trouvé une assez évidence, après, là, ils prennent un bon bout de temps,
00:07:24après, vous trouvez qu'ils m'ont dit euh, ben là, ils décident pour, pour, on va vous
00:07:32servir le mot. J'avais calculé mais ils ont calculé, non, non, pas pour
00:07:40capables, nous visons à tous les côtés.
00:07:46Alors, ça veut dire pour moi, c'était, pour moi, personnellement, mon point de vue,
00:07:52moi, quand on regarde l'affaire, bien non, mes gros, on m'a trouvé. Non, mais
00:07:58oui, oui, oui, oui, non, ça ne va pas vous rendre dans cette parce qu'il y a un juge qui
00:08:04paye en sorte de procédés, mais mon pensée qui suite à une une décision DPP par
00:08:11l'avant, après décision, un autre DPP de même bureau, décide à l'avant, ça veut
00:08:16dire pour moi qui à tous les costs, ça veut dire
00:08:23moi, personnellement, moi, avec mon camarade, nous nous faisons beaucoup
00:08:28l'assise, nous nous passons beaucoup de temps à la dernière, disons-le, dans l'assise,
00:08:33moi, moi, mon camarade quand il dit qu'il est surpris, parce que nous suivons l'affaire,
00:08:38nous comprenons l'affaire, mais jury, jury système, moi aussi, moi, je suis surpris
00:08:43à ce jugement-là. Oui, ça fait euh, mes gros, nous voulons
00:08:49que l'enquête soit faite par Radwa et ce qui fait l'arrivée après, il y a Bernard
00:08:57Mécrot et il y a aussi l'avocat de Spéville qui poursuit Radwa. Vous savez, quand un
00:09:04policier est en fonction, il y a un avocat pour défendre lui, sur le plan civil aussi,
00:09:11oui, et si tu peux défendre lui quand il est décédé, oui, l'affaire Suggestion
00:09:16Mette madame Radwa, mette euh, feu Radwa, Radwa, sous les enfants, en couche, et là,
00:09:26c'est-à-dire, poursuivre là, ben, là, cet avocat, normal, il nous demandait, ben,
00:09:32qu'il arrive procès. Et nous trouvait, après un bon bout de l'étang, là, bureau
00:09:38DPP, ils réagirent. Sinon, tu peux aller, comment dire, comme si rien n'était. Allez,
00:09:45maintenant, nous vivons à à à thème du jour. Finalement, Mécro fin drop ce bon
00:09:52plan civil contre feu. Ce bon héritier. Allez, nous vivons dans, nous vivons de plein
00:10:00pied, pied dans, dans, dans, dans le thème du jour, est-ce qu'il, suite à cette affaire,
00:10:06donc, vingt-trois ans après, il y a une condamnation, il faut bien qu'autant manière qu'il,
00:10:11mais pour qui euh, une famille peut-être fait, fait, fait, fait, fait le deuil, est-ce
00:10:17qu'il nous appelle nous, ben, non résolu, est-ce qu'il, est-ce qu'il quand même,
00:10:25est-ce qu'il y a un lieu d'espoir pour les autres familles, qui fait une période,
00:10:31euh, dans des circonstances tragiques et qui jusqu'ici peut-être pas encore capable
00:10:38de faire le deuil correctement. Maitre Sibane.
00:10:40Vous ne connaissez pas qu'une question de faire le deuil, pour qu'une société capable
00:10:45continue d'exister. Bizin qui est dans la justice, c'est l'élément fondamental pour
00:10:52qui une société capable reste en cohésion. La justice, c'est un type de l'oxygène
00:10:58de l'individu, ça, ou de CSA oxygène dans l'individu mort. Pour la société, l'histoire
00:11:06du monde, la révolution française, le monde, du moment où tient la justice, c'est l'explosion.
00:11:11C'est l'explosion. Alors, ce qu'il y a donc, c'est, c'est un élément fondamental
00:11:16de la vie en société, la justice. C'est plus qu'une question de deuil.
00:11:23Maintenant, est-ce qu'il nous en a de l'espoir, qui Sibane, les autres cas, non seulement
00:11:28est-ce qu'il nous en a de l'espoir, nous en a un devoir, nous en a un devoir qui pas
00:11:35élucidé là, reste sans réponse. Parce qu'il y va de la crédibilité de la justice
00:11:42devant le peuple, le jour où le peuple ne croit plus dans la justice, où ceci était
00:11:47là pour éclater. C'est ce qui nous passait en 1789 en France. Si le peuple ne croit plus
00:11:52dans sa justice, c'est fini. Et là, quand on peut causer, Michael, le premier cas qui
00:11:59vient dans mon tête, c'est le cas le plus révoltant de mon chaud, l'affaire de Mme
00:12:04Kisnel. L'affaire de Mme Kisnel. Délibérément, je bloquais l'enquête. Délibérément,
00:12:11en utilisant les institutions des enquêteurs, je t'empêche une citoyenne de gagner la justice
00:12:19à laquelle elle a droit sous sa constitution-là. Et ça a été fait avec la main sale des
00:12:26certains dans les institutions. Pourquoi, dix mois après l'affaire de Mme Kisnel,
00:12:32pour une même respect et confiance dans la justice? Là, je trouve l'affaire Migros,
00:12:39après 23 ans, un ouf de soulagement. Croissez-là, il est dans le lieu. Mais pour l'affaire
00:12:44de Mme Kisnel. Alors, le citoyen se demande, s'il dit, moi je me retrouve dans la même
00:12:50situation de Mme Kisnel. Il me demande, ma famille, est-ce que je peux gagner la justice
00:12:57ou bien je peux subir la même chose? Est-ce que je peux faire confiance que la société
00:13:03Maurice, on a une bonne constitution, mais avec la gouvernance qu'on a au fait, c'est
00:13:10ça le vrai problème. La gouvernance de l'île Maurice, pour nous assurer que je
00:13:15peux gagner la justice demain. Pour nous compter, un petit monde disparaît dans nos
00:13:20familles et dans nos institutions pour faire ce travail. Un homme maudit vient bloquer
00:13:25ce procès-là, empêche cette madame-là de gagner la justice. Et ça, devant les yeux
00:13:30de tout un peuple. On accueille Ranjit Joko, ancien inspecteur de police, qui est très
00:13:38bloqué dans circulation lundi-là. Donc voilà. Mais outre Mme Kisnel, il y a aussi
00:13:43des autres familles qui ont, donc qui, voilà, fait le péridien de moi-même. Quand nous
00:13:48comptons les collègues, il y en a certains qui viennent en mémoire donc facilement,
00:13:52nous imaginons Nadine Dantier. Oui. Nous imaginons Hakumei Zomir, le petit, nous ne
00:13:59connaissons pas jusqu'ici, ne connaissons pas qu'il est arrivé, qu'il arrive là.
00:14:03Il y en a le cas Radishwa Indor, il y en a, bon, il y en a certains qui n'ont pas, le
00:14:08cas de Bassin Blanc, euh, M. Joko. Ouais. Voilà, donc il y en a des, il y en a, euh,
00:14:18ils se retrouvent dans le cratère de Bassin Blanc, et jusqu'ici, pourquoi on connaît,
00:14:22euh, ces circonstances? C'est que l'enquête est faite, elle peut continuer à être faite,
00:14:27parce que la vérité, comme le temps le prend, la justice, il n'y a pas qu'en retour
00:14:33qu'on peut ouvrir la justice, mais l'enquête, quand on dit qu'on est décédé, il y a une
00:14:39cour qui dit oui, mais c'est moi, jamais la police, comment dire, met ça dans le coin.
00:14:44Il dit tout le temps que c'est en live, c'est en live ici. Et n'importe quand, n'importe
00:14:49comment, il y a par exemple le cas de Nélzir, un policier qui s'est assassiné dans le
00:14:56CEB, donc il n'y a plus, il n'y en a pas, et dans les années 90, voilà. C'est ben
00:15:02accusé, il gagne presque huit ans après, presque huit ans après, et après, sa caisse
00:15:10là, tu restes, euh, tu restes comme ça même, une cold case pendant huit ans. C'est après
00:15:15huit ans, avec un petit petit renseignement, la police, il y en a les, ils réussissent.
00:15:19Donc vous gagnez ça parce que si vous trouvez, il y en a, il y en a une série qui s'appelle
00:15:23quand il y a une faute ou un petit détail, une affaire qui a su venir vingt ans, euh,
00:15:27vingt-cinq ans après et faire qu'ils sont capables de réouvrir le dossier, donc à
00:15:31vos risques, nous réouvrir, nous, nous. Le dossier là reste là, il dit, reste là,
00:15:35mais c'est un nouveau élément qui est venu, la police a vérifié, a, a, a enquêté,
00:15:40ils continuent à faire cette enquête. Nous, nous nous trouvons dans le cas de, dans,
00:15:44dans beaucoup de cas, nous nous trouvons. Il y en a un cas, tout récemment, où tout
00:15:48le personnel est condamné à soixante ans de prison et avant d'être condamné à soixante
00:15:51ans de prison, il est condamné à quarante ans d'un autre cas qui tirait, il n'y a pas
00:15:56aucun renseignement, il n'y a pas d'icône dans les circonstances, il y a une personne
00:16:01qui est assassinée et qui est brûlée, presque vivante, parce que d'après l'enquête
00:16:06qui est venue, ça dit que c'est encore vivant, le temps peut, peut modifier avec lui.
00:16:10Et en relation avec une autre enquête, nous avons trois acquisés et à partir d'un
00:16:17mois, ceux de la côte marou, marins servis dans le bateau, servis dans le bateau, à
00:16:22partir de, à partir de là, qui, qui n'étaient pas, qui gagnaient ça sur le lieu, et à
00:16:27partir de là, nous nous refaisions le rapprochement, puisque, parce que deux ans après, là,
00:16:31ils gagnaient, ils gagnaient tous les trois accusés, ils, ils, ils racontaient comment,
00:16:35comment, dans quelles circonstances est-ce qu'ils ont assassiné cette madame-là, c'est
00:16:39une madame qui, qui, qui peut, qui peut rouler sur la vie, c'est une prostituée, mais,
00:16:43mais c'est moins une violice, une coquindise, après une assassinie, après une brûlée.
00:16:49Et nous trouvons aussi, il y en a, il y en a, il y en a, il y en a un cas plus récent
00:16:52quand nous trouvons qu'il, il arrête un dimanche pour un, un meurtre, et là, il
00:16:56lui confesse dans les autres, dans les autres cas, si je ne me trompe pas, là, ça ligne
00:17:00quand il, ça, c'est un dimanche qu'il s'est arrêté là, ben des dames, justement,
00:17:03ben des dames, quand, ben là, il confesse, donc, l'espoir est permis?
00:17:07Toujours garde l'espoir, mais à ce titre-là, si. Dans, dans le cas de mes grands, nous
00:17:12trouvons, nous trouvons, DNA, c'était un live issue, dans le cas de mes grands, mais
00:17:17dans les autres pays, comme en Amérique, comme en, dans le pays, et dans l'Amérique
00:17:21surtout, il y en a un cas qui est résolu après 25 ans, 30 ans, parce qu'il y a une
00:17:25pièce à conviction, il est gardé, il est gardé, et à l'époque qu'il n'y avait
00:17:30pas de caisse, la, la technologie partait aussi avancer, et, et, et je peux dire, il
00:17:34y a, il y a, il y a, il y a, il y a, il y a, il y a, il y a, il y a, il y a, il y a,
00:17:38il y a, il y a, il y a, il y a, il y a, il y a, il y a, il y a, il y a, il y a, il y a,
00:17:42il y a, il y a, il y a, il y a, il y a, il y a, il y a, il y a, il y a, il y a, il y a,
00:17:46il y a, il y a, il y a, il y a, il y a, il y a, il y a, il y a, il y a, il y a, il y a,
00:17:50il y a, il y a, il y a, il y a, il y a, il y a, il y a, il y a, il y a, il y a, il y a,
00:17:54il y a, il y a, il y a, il y a, il y a, il y a, il y a, il y a, il y a, il y a, il y a,
00:17:58il y a, il y a, il y a, il y a, il y a, il y a, il y a, il y a, il y a, il y a, il y a,
00:18:02il y a, il y a, il y a, il y a, il y a, il y a, il y a, il y a, il y a, il y a, il y a,
00:18:06pas existé dans
00:18:14de changement.
00:18:22finit blié, mais dans quoi?
00:18:26parce qu'il
00:18:30c'est
00:18:36décédé le quatorze octobre
00:18:40octobre deux-mille-dix
00:18:44trois coups de couteau. Oui. Et
00:18:48Kim Blanchy. Et Kévin. La six
00:18:52pour un membre du jury. Pareil
00:18:56Blanchy à neuf zéro jury. Donc
00:19:00comment
00:19:04est-ce que ça donne l'espoir?
00:19:08de doute qui s'apporte à une
00:19:12et
00:19:16non cent pour cent. Oui.
00:19:20Oui.
00:19:24définitivement.
00:19:28et moi quand
00:19:32suite à
00:19:36justement
00:19:40moi
00:19:44un grand sens être libéré.
00:19:48Moi je peux dire parce que
00:19:52c'est un cas qui
00:19:56c'est
00:20:00que tu fais
00:20:04mais
00:20:08devant
00:20:12une compagnie
00:20:16et
00:20:20à l'époque et
00:20:24Blanchy. Après
00:20:28moi
00:20:32Une compagnie
00:20:36Je dis tantôt.
00:20:40Je dis tantôt.
00:20:44dans la prison
00:20:48à la demande de
00:20:52de quarante-cinq ans
00:20:56et moi
00:21:00Arassane
00:21:04Marie
00:21:08tous les samedis
00:21:12un rapport
00:21:16justice
00:21:20et quand nous
00:21:24le rapport
00:21:28président de la république
00:21:32son excellence
00:21:36et
00:21:40c'est
00:21:44c'est
00:21:48réduire la peine
00:21:52non mais
00:21:56responsabilité
00:22:00mais pour nous
00:22:04pour nous
00:22:08et
00:22:12nous
00:22:16pas payer des choses
00:22:20réclame la peine des morts
00:22:24juste in case
00:22:28un combat politique
00:22:32quoi moi parce que la justice
00:22:36et ils ont dit
00:22:40et
00:22:44après une nuit
00:22:48presque dix-huit
00:22:52et nous poursuivre la discussion
00:23:06et
00:23:08et
00:23:10et
00:23:12et
00:23:14et
00:23:16et
00:23:18et
00:23:20et
00:23:22et
00:23:24et
00:23:26et
00:23:28et
00:23:30et
00:23:32et
00:26:04et
00:26:06et
00:26:08et
00:26:10et
00:26:12ou la voie
00:26:16de retour dans
00:26:20donc suite à l'affaire
00:26:24c'est ce qui est l'un lieu d'espoir
00:26:28c'est-à-dire
00:26:32c'est-à-dire
00:26:36et euh donc trois avocats
00:26:42anciens magistrats dans le cadre
00:26:44de de de euh
00:26:48à partir de 18h30
00:26:50777-273-7777. Évidemment.
00:26:54Facebook. Top FM.
00:26:56Avant de nous évoquer
00:27:00Donc, est-ce que vous pensez qu'il y a de bonnes affaires qui peuvent arriver?
00:27:04Est-ce qu'il y en a dans certains de ces bancs-là, des bancs d'eau qu'ils faisaient?
00:27:07Est-ce que c'est un indice, peut-être, où, avec la technologie qu'ils ont, ils sont capables de trouver de bonnes affaires qu'ils n'avaient pas trouvé avant?
00:27:14Oui, c'est vrai. Par exemple, dans la France, avec l'introduction du DNA, ADN, à partir de 1998,
00:27:24il y a eu beaucoup de dossiers, il y a eu beaucoup d'exculpations de coupables et d'innocents,
00:27:33et il y a eu aussi des retraits de coupables et des procès de coupables, des violeurs en série, par exemple.
00:27:43C'est-à-dire, une sorte de loi qui passe la loi d'introduction du DNA,
00:27:49et ça a amené beaucoup de changements, une réussite qui a rendu la justice à beaucoup de familles, à beaucoup de victimes.
00:27:55Maurice, enfin, moi, j'espérais, donc, à mes gros, ceux qui sont arrivés,
00:28:01ont fait un premier test ADN, etc., et là, une réussite, on va dire, a réouvert le projet.
00:28:08Donc, à Michaela Hart, nous avons eu madame Suzanne Woodroffe, qui est venue,
00:28:14et nous avons trouvé qu'elle avait une situation beaucoup plus simple, c'est-à-dire, elle avait gardé, elle avait préservé pour l'avenir.
00:28:23Là, nous finissons avec Michaela Hart, nous disant, en plein procès, qu'elle enquête une malfaite, puis elle refait l'enquête.
00:28:32C'est ce que j'ai arrêté, j'ai arrêté des innocents, j'espère avoir des innocents dans la prison, pour 45 ans.
00:28:41Moi, d'un côté, Rama, Nilekant, l'équipe, de l'autre côté, nous faisons une récité innocente des personnes qui n'étaient pas des politiciens,
00:28:51comme moi, ils n'arrêtaient pas de dire ce qu'ils avaient dit.
00:28:54Ils n'avaient pas un passeport, ils n'étaient pas atteints de trial, ils n'étaient pas guettés sur l'évidence, etc.
00:29:00Et nous avons fait, à l'époque, un rapport, « Scene of Crime Protocol », qu'on a quitté avec le secrétaire-commissaire de la police d'alors.
00:29:11On n'est qu'arrivés après ça. Après ça, je trouve qu'ils commencent à m'arrêter, ils m'appellent, il n'y a rien pour m'arrêter,
00:29:19ils m'arrêtent à Viratna, ils m'arrêtent à Mabalaïden, chaque semaine, nous faisons ça à la maison.
00:29:26Par contre, on nous victimise. Il paraît que nous avons reçu un exploit.
00:29:31Capitaine Sully a réussi à atterrir à l'avion, lors de la mer, après ça, avec le comité disciplinaire.
00:29:41Mais, bien, c'est ce qu'ils nous appellent un « Scene of Crime Protocol ».
00:29:46Après Mika Lahod, nous avons trouvé beaucoup d'indices parfaitement expertisés à l'époque.
00:29:55Si je fais l'enquête, comment je fais ça ? Si je relève tous les indices, et je préserve ces indices-là,
00:30:04dans l'avenir, je serai capable de réouvrir ces projets-là, je serai capable de gagner ces coupables-là.
00:30:10Donc, qu'est-ce qu'il y a ? Il y a tout. Il y a la CCTV, il y a toutes les affaires.
00:30:17Et je peux dire, nous, qui choisissons la CCTV parveilleuse, qu'on est dans l'informatique, même par des affaires délétères, capables de rétrouver.
00:30:25Mais, nous avons besoin de ça.
00:30:34C'est-à-dire, ce qu'ils nous disent, nous pouvons militer à l'époque, après Mika Lahod,
00:30:41pour calculer des avocats, moi et Rama Pejiman, à l'autorité, pour réouvrir l'enquête.
00:30:48Et là, il y a un inspecteur qui est venu depuis Roderick, Hollande et Bissing.
00:30:54Non, c'est Morissette.
00:30:56C'est Morissette, oui.
00:30:57Elle a fait l'enquête, et à un certain moment, elle a dit comme ça,
00:31:01« les Bissing questionnent John McCarthy ».
00:31:04Donc, elle a quitté sa douche-là, elle a même transféré Roderick.
00:31:08Qu'est-ce qu'elle fait ?
00:31:11Qu'est-ce qu'elle fait ?
00:31:15Et ça, l'inspecteur là, il tire tous les procès, les records, les lignes de grosses examinations,
00:31:22et il peut faire l'enquête sur ces choses-là.
00:31:25Alors, nous savons que c'est Hollande et Bissing, que tu connais, même quand tu es dans l'histoire.
00:31:31Est-ce qu'il y a un indice bien préservé, Randy Djukou ?
00:31:36Un indice bien préservé ?
00:31:39Oui, si vous avez quelque chose,
00:31:41ce que je pensais, c'est qu'il n'y a pas d'offense.
00:31:44Vous ne pouvez pas dire qu'il a révélé des informations.
00:31:47Non, non.
00:31:48C'est une des bandes d'hommes qui ont été enquêtés dans le cas de Michael Howard.
00:31:51Je ne peux pas dire qu'il n'y a pas eu de faille dans l'enquête.
00:31:54Nous trouvons que c'est une des bandes.
00:31:56Mais dans le cas de Michael Howard, comme dans les autres cas,
00:31:59jamais la police ne dit à l'autre qu'il est innocent.
00:32:01Jamais la justice ne dit à l'autre qu'il est innocent.
00:32:03Elle dit que l'autre n'est pas coupable.
00:32:05Peut-être parce qu'elle n'est pas capable d'amener tout un élément qui peut justifier
00:32:09pour trouver un accusé coupable.
00:32:11Beyond reasonable doubt.
00:32:13Nous appréciez ça, contrairement à ce qu'il dit.
00:32:15Il n'a pas dit « beyond unreasonable doubt ».
00:32:17Il a dit « beyond reasonable doubt ».
00:32:19Je ne suis pas injuré, c'est-à-dire coupable ou pas coupable.
00:32:23Le juré ne pardonne aucun raisonnement.
00:32:25Il ne pardonne aucun raisonnement.
00:32:26Mais seulement quand il y a un juré à 9-0,
00:32:29l'unanimité,
00:32:31c'est-à-dire non coupable.
00:32:33C'est-à-dire, contrairement à la poursuite,
00:32:36qui doit établir la culpabilité « beyond reasonable doubt »,
00:32:40la défense doit établir l'innocence.
00:32:44« Beyond reasonable doubt ».
00:32:46C'est là qu'on atteint un résultat 9-0.
00:32:51Vous comprenez ?
00:32:53Et 9-0, pour la tribune,
00:32:55c'est quand tout le monde dans la cour est appelé.
00:32:59C'est là qu'on prononce, pour Mounia aussi,
00:33:029-0 à l'unanimité.
00:33:05Mais pour nous arriver à ce résultat-là,
00:33:07il y a un travail de fourmi.
00:33:10Moi, je suis allé à l'hôtel,
00:33:13je suis allé faire une enquête comme un enquêteur.
00:33:16Je suis allé prendre mon adresse,
00:33:17je suis allé prendre mon équipe.
00:33:19À trois reprises, je suis allé à l'hôtel.
00:33:22Je suis allé avec l'équipe,
00:33:24je suis allé là-bas cinq fois.
00:33:27Nous avons posé des questions à beaucoup de monde.
00:33:29Nous avons fait un travail de fourmi,
00:33:31un travail légal.
00:33:33Un procès a commencé en mai.
00:33:36Cette préparation a commencé en janvier.
00:33:39Cinq mois de préparation.
00:33:41Calculons mai à juillet.
00:33:44Le procès peut aller tous les jours.
00:33:47Il y en a un jour qui est passé.
00:33:49Il y en a trois jours qui sont passés.
00:33:52Quand on travaille l'après-midi,
00:33:55le procès arrive le lendemain matin.
00:33:57Mon secrétaire est venu.
00:33:59Il est arrivé huit heures et demie.
00:34:01Il a acheté un brosse-dents, un dentifrice.
00:34:04J'ai besoin de brosser les dents.
00:34:06J'ai pris mon pâteau, j'ai saccouillé,
00:34:08j'ai mis de l'eau au mois.
00:34:10J'ai dit, là, je vais faire plat.
00:34:12J'ai appelé le compteur d'interrogation,
00:34:14M. Soupane.
00:34:16J'ai appelé le compteur d'interrogation, Gérard.
00:34:19J'ai appelé le compteur d'interrogation.
00:34:21C'est votre policier que vous avez tué.
00:34:23Un bois de zeph, je l'ai rasé,
00:34:25je l'ai mis tout d'un verre, je l'ai boit.
00:34:28Là, j'ai continué la journée.
00:34:30C'est-à-dire, trois jours qui sont passés
00:34:32le lendemain matin dans le reste du bureau,
00:34:34dans le travail.
00:34:36Derrière, il y a une caisse assise.
00:34:38Il y a beaucoup de travail dur.
00:34:40Et si un avocat trouve
00:34:42qu'il n'y a pas d'évidence
00:34:44dans un procès,
00:34:46il doit faire une submission
00:34:48de « no case to answer ».
00:34:50Le juge retire sa caisse.
00:34:52Il retire sa caisse-là devant les jurés.
00:34:54Si la caisse est devant les jurés,
00:34:56je trouve que c'est une mauvaise stratégie.
00:34:59Il n'y a pas d'appel au client pour déposer,
00:35:02même en « on the dock ».
00:35:04Travail devant l'assise,
00:35:06c'est une différente discipline.
00:35:08Les pas pareils que moi
00:35:10paraissent devant la cour,
00:35:12devant le magistrat, devant le juge.
00:35:14Et là, nous avons trouvé
00:35:16un avocat du siècle dernier
00:35:18qui a mis un gaiton du Val,
00:35:20un Robin Gorbaran,
00:35:22à 100% devant l'assise.
00:35:24C'est un avocat politicien
00:35:26comparé à un avocat purement.
00:35:28Est-ce qu'il n'y a pas de cause
00:35:30linguale dans ce jugement-là?
00:35:32Nous laissons le juge réagir
00:35:34pour voir ce qui a été dit.
00:35:36Oui, tout à fait. Bien sûr.
00:35:38Il y a l'aspect technique
00:35:40de la chose.
00:35:42Mais il y a aussi
00:35:44l'aspect juridique.
00:35:46Il y a l'aspect juridique
00:35:48et il y a l'aspect technique de la chose.
00:35:50Mais, si nous voulons
00:35:52gagner l'espoir pour demain,
00:35:54il faut aller voir
00:35:56le problème à sa source.
00:35:58Le problème de la défaillance
00:36:00des officiers publics.
00:36:02C'est le système.
00:36:04Alors, ce qui se passe ici
00:36:06en matière de justice,
00:36:08il peut passer aussi dans nos hôpitaux.
00:36:10Avec l'affaire
00:36:12des onze malheureux tués,
00:36:14la dialysie,
00:36:16la négligence purement.
00:36:18Par contre, nous ne pouvons pas
00:36:20vous mentionner tout le reste.
00:36:22C'est la fac finding committee.
00:36:24C'est la fac finding committee.
00:36:26Oui.
00:36:28C'est la même chose qui passe dans nos écoles.
00:36:30Quand on fait un programme
00:36:32appelé standards,
00:36:34on a un taux d'échec
00:36:36de plus de 98%.
00:36:38Ça veut dire que ça révèle
00:36:40le degré d'incompétence
00:36:42des gens
00:36:44qui sont là au service du public.
00:36:46Quand vous faites
00:36:48même l'éducation, la santé,
00:36:50vous prenez n'importe quoi.
00:36:52Le secteur public,
00:36:54c'est un déclin à Maurice.
00:36:56Et le secteur public est là au service
00:36:58du public. Si le secteur
00:37:00est un déclin, c'est
00:37:02le confort, l'avenir du citoyen
00:37:04qui est en jeu directement.
00:37:06Si vous mettez
00:37:08un petit monde capable
00:37:10pour sa vie ou pour son bonheur.
00:37:12Si vous mettez le plus incapable
00:37:14pour sa vie ou pour son malheur.
00:37:16Aux enfants pour leur malheur.
00:37:18C'est aussi simple que ça.
00:37:20C'est ça que le citoyen comprend.
00:37:22Dans tous ces épisodes que vous avez relevé,
00:37:24sur la justice,
00:37:26sur l'éducation,
00:37:28sur la santé et dans d'autres secteurs,
00:37:30il n'y a pas un secteur
00:37:32où le service public
00:37:34n'est pas en déclin.
00:37:36Il n'y en a pas.
00:37:38Qu'est-ce qui peut arriver à Maurice?
00:37:40C'est un massacre
00:37:42qu'on est en train de faire avec Hermo Richeuse.
00:37:44C'est l'image qui a été construite
00:37:46pendant des décennies
00:37:48d'Hermo Richeuse.
00:37:50Et c'est pour ça
00:37:52qu'il est un homme fier et fier.
00:37:54Sa réputation,
00:37:56Hermo Richeuse
00:37:58attire les clients.
00:38:00C'est son réputation, son crédibilité.
00:38:02En quelque temps,
00:38:04comment je peux trouver sa compagnie-là
00:38:06qui est un des biens de la nation.
00:38:08Qui est un des biens de la nation.
00:38:10Qui est supposé être au service
00:38:12de l'île Maurice.
00:38:14Maintenant, ce qui se passe.
00:38:16Le point, c'est le déclin
00:38:18dans le service public
00:38:20de A à Z.
00:38:22Maintenant, ce que moi,
00:38:24je dis aux citoyens,
00:38:26la question qui est posée,
00:38:28si vous parlez révivre un deuxième épisode
00:38:30comme Mme Kisnen,
00:38:32comme l'histoire de Maigrot,
00:38:34ou bien dans les autres affaires
00:38:36qu'il y a,
00:38:38il y a une seule affaire qui vise à faire.
00:38:40Ça commence par poser la question
00:38:42qui faire.
00:38:44Le service civil est aussi en déclin.
00:38:46Qui faire?
00:38:48Il n'y a pas un secteur du service
00:38:50civil qui peut morcer
00:38:52convenablement tout en déclin.
00:38:54C'est le cas.
00:38:56Si vous me montrez un secteur
00:38:58que le service public peut faire bien,
00:39:00je tiens à sa peau.
00:39:02Et nous pouvons réussir à vivre malgré tout
00:39:04dans une société avec nos conforts.
00:39:06Peut-être moins maintenant.
00:39:08Tout ce qui nous vise essentiellement.
00:39:10Il y en a qui se permettent
00:39:12pour une allocation,
00:39:14comment dire, confettis.
00:39:16C'est les politiciens.
00:39:18En général.
00:39:20Maintenant, ce que je dis aux citoyens,
00:39:24quand on finit de poser cette question-là,
00:39:26c'est là où on comprend
00:39:28comment ça, 150 à 200 milliards
00:39:30qui peut tirer dans nos poches,
00:39:32peut tirer dans nos poches
00:39:34nos entreprises, nos entrepreneurs,
00:39:36peut tirer dans nos poches
00:39:38nos citoyens, qui sont
00:39:40vieux, qui sont jeunes, qui sont riches,
00:39:42qui sont pauvres, peuvent bien payer
00:39:44des salaires dans la poêle.
00:39:46Et quand on peut répondre à cette question-là,
00:39:48il y a une chose qu'on peut finir par comprendre.
00:39:50Qu'est-ce qu'on dit
00:39:52à nos services publics?
00:39:54Ce n'est pas la faute aux fonctionnaires.
00:39:56Ce n'est pas la faute
00:39:58aux fonctionnaires, je le redis.
00:40:00Le fonctionnaire,
00:40:02c'est ça que l'individu
00:40:04doit comprendre.
00:40:06Le fonctionnaire,
00:40:08ce n'est pas eux qui sont responsables
00:40:10de la maldonne qu'il y a dans la fonction publique.
00:40:12Les maldonnes sont causées
00:40:14par des protégés politiques
00:40:16qui finissent d'infiltrer
00:40:18tous nos services.
00:40:20Dans la police,
00:40:22moi je connais la police,
00:40:24ça fait combien d'années là?
00:40:26Plus que 35 ans, on a affaire avec la police.
00:40:28C'était la qualité
00:40:30des policiers.
00:40:32Et c'est le même problème
00:40:34qui peut répéter partout,
00:40:36dans les hôpitaux,
00:40:38dans nos écoles,
00:40:40dans tout le service administratif.
00:40:42Une dégradation
00:40:44spectaculaire.
00:40:46Parce que quand
00:40:48on fait la constitution de Lille-Maurice,
00:40:50on dit pour servir le peuple.
00:40:52Parce que
00:40:54le but du service public,
00:40:56c'est de servir le public.
00:40:58Et la plus grande autorité
00:41:00dans une société,
00:41:02ce n'est pas votre premier ministre,
00:41:04les politiciens, c'est le peuple.
00:41:06C'est ça qu'il faut comprendre, c'est le peuple.
00:41:08Alors la constitution dit
00:41:10pour servir le peuple,
00:41:12il faut prendre les meilleurs éléments
00:41:14de la société.
00:41:16Et cette personne-là doit être une personne
00:41:18indépendante.
00:41:20On garantit sa sécurité, ce travail.
00:41:22L'Élysée est indépendante.
00:41:24L'Élysée n'est plus qualifiée.
00:41:26L'Élysée n'est plus apte.
00:41:28À ce moment-là, on recrute
00:41:30pour le mettre dans un bureau.
00:41:32La PSI
00:41:34donc recrute.
00:41:36Laisse-moi terminer.
00:41:38C'est tellement crucial.
00:41:40Alors, on choisit les meilleurs.
00:41:42La PSI, c'est un organisme de constitution.
00:41:44Ce n'est pas les politiciens qui décident.
00:41:46C'est la constitution
00:41:48qui garantit l'indépendance.
00:41:50Alors qu'est-ce que
00:41:52les politiciens ont fait?
00:41:54Et ça, ce n'est pas depuis les derniers 7 ans,
00:41:56les derniers 10 ans, les derniers 20 ans.
00:41:58Ils ont toujours fait ça.
00:42:00Mais avant, le système, c'était
00:42:02qu'au circuit de la PSI,
00:42:04les politiciens les recrutent.
00:42:06Et ça, on a des politiciens
00:42:08pour recruter.
00:42:10Qui faire?
00:42:12Depuis tout le temps, c'était le cas.
00:42:14Mais ça prend une ampleur.
00:42:16L'infiltration de l'incompétence
00:42:18parmi les fonctionnaires compétents.
00:42:20On fait un agent politique collé à l'affiche
00:42:22d'un fonctionnaire.
00:42:24La police aussi.
00:42:28Aujourd'hui, avec le temps,
00:42:30ça peut produire l'effet néfaste
00:42:32dans la société. C'est pourquoi dans tout le système,
00:42:34ça peut craquer. Les politiciens ont passé
00:42:36une loi pour dire
00:42:38que la PSI délègue sa pouvoir
00:42:40de recruter à bande ministère.
00:42:42Dans le ministère,
00:42:44le ministère
00:42:46est dirigé par
00:42:48une commandante secrétairie, ce qu'on appelle un PS.
00:42:50Un PS.
00:42:52Ce qu'ils veulent faire, c'est avouer que c'est un PS.
00:42:54Ils ont un comité.
00:42:56Le PS est trop content. Il peut avoir
00:42:58une commission. Il y a les ministres
00:43:00qui prennent le dossier.
00:43:02Il est en train de faire son mal.
00:43:04Là, le poste d'un gouvernement
00:43:06peut être
00:43:08distribué
00:43:10sur le terrain
00:43:12aux agents politiques
00:43:14pour qu'ils votent.
00:43:16Pas tant de taxis, pas tant de bus,
00:43:18ni de permis.
00:43:20Résultat.
00:43:22Je vais terminer dessus.
00:43:24Ce n'est pas
00:43:26que ce régime-là,
00:43:28ou bien le régime avant lui. C'est depuis longtemps.
00:43:30Mais là, ça commence à éclater.
00:43:32Je vais vous donner quelques chiffres.
00:43:34Par exemple,
00:43:36en 1976,
00:43:38ça, vous pouvez le vérifier tous les jours.
00:43:40L'élection en décembre.
00:43:42Le régime d'alors,
00:43:44qu'est-ce qu'ils ont fait?
00:43:46Ils ont recruté des bons laboratoires
00:43:48par milliers.
00:43:50Donnez-moi bien.
00:43:526500. A l'époque, c'est beaucoup.
00:43:546500 bons travailleurs
00:43:56et plantaires.
00:44:02Quand arrive l'élection,
00:44:04les politiciens sont prêts
00:44:06à tout, même pour saccager
00:44:08l'économie de ce pays.
00:44:10Mettre les peuples en danger pour
00:44:12un pouvoir. Premier cas.
00:44:14Deuxième cas en 1982.
00:44:16Alors que l'économie dans l'Éralt,
00:44:18permettez-moi le mot, ce n'est pas très gentil
00:44:20de le dire, mais l'économie est faible.
00:44:22La population a subi
00:44:24deux dévaluations en quelques
00:44:26années. En moins de 2-3 ans,
00:44:28deux dévaluations. La vie
00:44:30est extrêmement chère.
00:44:32On ne peut pas mourir avec la vie chère.
00:44:34Qu'est-ce que fait
00:44:36le régime en 1982? Les élections
00:44:38sont en juin.
00:44:40Quelques temps après,
00:44:4223.000
00:44:4423.000
00:44:46agents
00:44:48qui pouvaient se mettre
00:44:50dans le service. Pour vous dire quoi?
00:44:52Pour vous dire que si aujourd'hui
00:44:54le service public est en déclin
00:44:56dans tous les secteurs,
00:44:58si on ne paye pas les compétences,
00:45:00les politiciens
00:45:02prennent les agents,
00:45:04les incompétents,
00:45:06les mettent dans le service,
00:45:08les gens qui font le service
00:45:10tombent. Ces gens-là
00:45:12ne sont pas venus travailler pour le public,
00:45:14ils sont venus travailler pour les politiciens
00:45:16parce qu'ils ont besoin d'eux dans ces constrictions
00:45:18pour remplir, pour amener la foule
00:45:20le 1er mai, pour faire
00:45:22les électeurs voter aux élections.
00:45:24Résultat, qui paye les conséquences?
00:45:26Qui paye les conséquences?
00:45:28Comme ça même, quand on va
00:45:30dans le public, il y a ces gens-là qui
00:45:32ne sont pas formés, ils ont la colère d'un fils
00:45:34qui a joué avec la vie citoyenne
00:45:36dans l'hôpital, qui a la colère d'un fils
00:45:38avec le parking politique, qui a joué
00:45:40avec l'avenir des enfants dans l'école
00:45:44Maintenant, un des secteurs, c'est la police
00:45:46et donc quand il infiltre
00:45:48Bon, je termine là-haut, je termine dessus
00:45:50Je termine dessus, une phrase
00:45:52ça c'est important. C'est pourquoi
00:45:54je dis
00:45:56nous ne sommes pas des prothèses, nous sommes des fonctionnaires
00:45:58Aujourd'hui, on peut payer le prix
00:46:00Quand, ou à l'hôpital
00:46:02par exemple, il y a
00:46:04un casuality, il y a 20
00:46:06employés qui travaillent. Combien
00:46:08qui travaillent en vérité? Neuf
00:46:10Onze qui passent à l'école
00:46:12Ces neuf-là peuvent faire le service
00:46:14roulé en faisant
00:46:16un zéfo extra. C'est pourquoi
00:46:18il n'y a pas d'arrière ici et là. Le vrai
00:46:20fonctionnaire, finalement
00:46:22c'est la même chose dans l'éducation, c'est la même
00:46:24chose dans la police. Un jour
00:46:26un inspecteur de police me dit
00:46:28M. Seaborn, j'ai 26 personnes
00:46:30à mon service
00:46:32C'est la méchanceté
00:46:34Je vais voir le commissaire
00:46:36à ce moment-là, il me dit
00:46:38il est mort maintenant malheureusement
00:46:40M. Seaborn, j'ai 26
00:46:42hommes à mon service là pour mon travail
00:46:44Mais il n'y a que sur onze
00:46:46que je peux compter pour faire le travail
00:46:48comme il faut. Les autres-là, pas pour
00:46:50faire le travail. Et puis il n'y a personne
00:46:52pour faire le travail. Vous savez pourquoi?
00:46:54Parce qu'il n'y a personne
00:46:56pour faire le travail. Vous savez pourquoi?
00:46:58Parce qu'il n'y a personne
00:47:00pour faire le travail. Vous savez
00:47:02pourquoi? Parce qu'ils ont
00:47:04protégé politique. J'ai pas utilisé
00:47:06le mot
00:47:08Voilà.
00:47:10Justement.
00:47:12Ouais.
00:47:14No one
00:47:16call case. Et
00:47:18comment bien dire
00:47:20qui Roland
00:47:22Debussy, chief inspecteur
00:47:24Roland Debussy, donne
00:47:26un interview
00:47:28qui
00:47:30qui
00:47:32interview
00:47:34ça se joue
00:47:36pour
00:47:38vendre
00:47:40Roland Debussy
00:47:42pour
00:47:44parce qu'il est
00:47:46ouais.
00:47:48un autre chapeau
00:47:50qui nous a tiré à
00:47:52inspecteur
00:47:54qui a
00:47:56un cas
00:47:58en fait.
00:48:00un cas
00:48:02ouais.
00:48:04Comme il en est.
00:48:06des récits
00:48:08ouais.
00:48:10mais il y a
00:48:12un réseau
00:48:14l'autre
00:48:16qui
00:48:18le problème
00:48:20de
00:48:22les
00:48:24c'est pas bon.
00:48:34Là nous n'avons qu'un garçon
00:48:38dix-neuf ans qui apparemment
00:48:40discothèque. Et d'après ma
00:48:44l'express-pré-travail là,
00:48:46Nubélien, Nubéguété, un cas
00:48:47qui pas pour élucider ça,
00:48:48Motsalaise d'autorité là-là.
00:48:50Il y en a beaucoup d'histoires
00:48:51qui attachent à ces enfants,
00:48:53les détails qu'ils ont à
00:48:54l'Alguété, à le fouiller,
00:48:55comprendre que l'impé
00:48:57responsabilité au-dessus à
00:48:58l'Alguété qui est là-dessus.
00:48:59Dix-neuf ans, nobody accounted
00:49:01for his
00:49:04pour accounter
00:49:07trois, quatreième point qu'il
00:49:10veut faire.
00:49:13quatreième point,
00:49:16quatrième point, quatrième
00:49:17point, quatreième point,
00:49:19d'accord, colle case, correct,
00:49:52dans le dans l'institut.
00:49:56qui fait
00:50:04professionnaliste dans le dans
00:50:08professionnaliste dans le dans
00:50:08professionnaliste dans le dans le dans le dans le service.
00:50:14Il faut remettre les
00:50:17Il faut remettre les
00:50:17Il faut remettre les
00:50:20Il faut remettre les
00:50:20Il faut remettre les deux.
00:50:25politique
00:50:28politique
00:50:28politique politique.
00:50:34pas mal de cas.
00:50:39Mais
00:50:50mais
00:50:53mais
00:50:53mais c'est la pour
00:50:56c'est la pour
00:50:56c'est la pour scientifique de façon scientifique.
00:51:03un inspecteur
00:51:06un inspecteur
00:51:06un inspecteur t'appelles John Ramasomi.
00:51:09t'appelles John Ramasomi.
00:51:09t'appelles John Ramasomi. Ouais John.
00:51:13Jamais
00:51:16jamais
00:51:16Jamais il faut faire brutalité
00:51:19il faut faire brutalité
00:51:19il faut faire brutalité non il y a un psychologue et il pose
00:51:22il faut faire brutalité non il y a un psychologue et il pose
00:51:22il faut faire brutalité non il y a un psychologue et il pose question. Il pose question plus bien qu'une
00:51:25question. Il pose question plus bien qu'une
00:51:25c'est ce qu'appellent ceux-là qui commencent
00:51:27c'est ce qu'appellent ceux-là qui commencent
00:51:27c'est ce qu'appellent ceux-là qui commencent à déballer comment dire vite ce sac.
00:51:30à déballer comment dire vite ce sac.
00:51:30à déballer comment dire vite ce sac. Mais c'est qu'il nous pissa
00:51:31Mais c'est qu'il nous pissa
00:51:31Mais c'est qu'il nous pissa nous pissa va enquêter
00:51:34nous pissa va enquêter enquêter pissa
00:51:35nous pissa va enquêter enquêter pissa dix fois plus intelligent qu'un avocat.
00:51:38dix fois plus intelligent qu'un avocat.
00:51:38dix fois plus intelligent qu'un avocat. Et là un livre appelle les erreurs
00:51:41Et là un livre appelle les erreurs
00:51:42Et le procureur général français
00:51:44Et le procureur général français
00:51:44Et le procureur général français finit par l'écrire
00:51:46finit par l'écrire
00:51:46finit par l'écrire maître René Flourieu.
00:51:48maître René Flourieu.
00:51:48maître René Flourieu. Et là dans l'expliquer comment
00:51:50Et là dans l'expliquer comment
00:51:50Et là dans l'expliquer comment on peut faire l'enquête
00:51:52on peut faire l'enquête
00:51:52on peut faire l'enquête et l'aspect scientifique
00:51:54et l'aspect scientifique
00:51:54et l'aspect scientifique qu'en rôle médecin légiste
00:51:56qu'en rôle médecin légiste
00:51:56qu'en rôle médecin légiste financier et comment
00:51:58financier et comment
00:51:58financier et comment relève tout bas l'indice
00:52:01à c'est là
00:52:03dans l'avenir
00:52:05dans l'avenir
00:52:05dans l'avenir
00:52:07dans l'avenir
00:52:09dans l'avenir
00:52:11dans l'avenir
00:52:13dans l'avenir
00:52:15dans l'avenir
00:52:17dans l'avenir
00:52:19dans l'avenir
00:52:21dans l'avenir
00:52:23dans l'avenir
00:52:25dans l'avenir
00:52:27dans l'avenir
00:52:29dans l'avenir
00:52:31dans l'avenir
00:52:33dans l'avenir
00:52:35dans l'avenir
00:52:37dans l'avenir
00:52:39dans l'avenir
00:52:41dans l'avenir
00:52:43dans l'avenir
00:52:45dans l'avenir
00:52:47dans l'avenir
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00:52:51dans l'avenir
00:52:53dans l'avenir
00:52:55dans l'avenir
00:52:57dans l'avenir
00:52:59dans l'avenir
00:53:01dans l'avenir
00:53:03dans l'avenir
00:53:05dans l'avenir
00:53:07dans l'avenir
00:53:09dans l'avenir
00:53:11dans l'avenir
00:53:13dans l'avenir
00:53:15dans l'avenir
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00:53:23dans l'avenir
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