Grand Prix de la Responsabilités des Médias et de la Communication - Captation Intégrale ( Kantar + Remise des Prix)
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00:00:30On ne peut pas s'éloigner de l'escalier de l'escalier de l'escalier de l'escalier de l'escalier de l'escalier de l'escalier de l'escalier de l'escalier de l'escalier de l'escalier de l'escalier de l'escalier de l'escalier de l'escalier de l'escalier de l'escalier de l'escalier de l'escalier de l'escalier de l'escalier de l'escalier de l'escalier de l'escalier de l'escalier de l'escalier de l'escalier de l'escalier de l'escalier de l'escalier de l'escalier de l'escalier de l'escalier de l'escalier de l'escalier de l'
00:01:00on
00:02:29C'est bon ?
00:02:31C'est bon ?
00:02:33Allez, allons-y !
00:02:35Un petit truc ?
00:02:37Ben oui, oui, oui !
00:02:39De qui ? Le kiff de démarrage ?
00:02:41Oui.
00:02:43Oui ?
00:02:45Ouais.
00:02:49Ok.
00:02:59Bonsoir, bonsoir à toutes et à tous, nous sommes ravis de vous accueillir ce soir pour
00:03:29cette deuxième remise du Grand Prix de la Responsabilité des Médias et de la Communication
00:03:36organisé par Influencia et The Good.
00:03:39Bonsoir Sébastien.
00:03:40Bonsoir Émilie.
00:03:41Je suis ravi de présenter, de co-présenter avec toi, c'est rare, mais bon, c'est une première on va dire.
00:03:47Et donc avant de débuter, je voulais remercier l'ensemble de nos partenaires, sans qui ce rendez-vous ne pourrait avoir lieu.
00:03:55Ulysses Médias, évidemment, qui nous a déjà accueillis l'année dernière et qui nous accueille à nouveau cette année,
00:04:01qui est partenaire depuis l'origine de ce Grand Prix.
00:04:05Et je les remercie énormément.
00:04:07Les relocalisateurs qui nous accompagnent également depuis l'année dernière.
00:04:10Et cette année, à nos côtés, la CPM, le Bureau de la Radio, le SNP-TV et l'UDECAM.
00:04:18Merci à eux.
00:04:20Oui, tout à fait.
00:04:21Avant de rentrer dans le vif du sujet, la remise d'un palmarès qui concerne le travail des médias, des régies et des agences,
00:04:28nous avons souhaité également regarder du côté de la responsabilité des annonceurs quant à leurs investissements publicitaires.
00:04:35N'est-ce pas Sébastien ?
00:04:36Absolument.
00:04:37Parce que nous avons organisé avec Influencia, la CPM et l'UDECAM il y a quelques semaines un colloque qui s'appelait Démocratie, Information et Publicité.
00:04:47Influencia en a fait une revue que vous trouverez en repartant tout à l'heure.
00:04:52Et dans la foulée de ce colloque, on a souhaité aller un cran plus loin et regarder, dans les investissements publicitaires,
00:04:59quelle était la responsabilité des annonceurs.
00:05:01Il y a eu un énorme débat pendant ce colloque sur l'investissement entre les médias français de production et de contenu
00:05:08versus les plateformes étrangères, plateforme sociale, plateforme de search, plateforme vidéo.
00:05:14Et donc nous avons souhaité demander à Quantarmédia de nous accompagner sur une nouvelle brique méthodologique,
00:05:20une nouvelle réflexion qui consisterait à regarder quel est le niveau de responsabilité ou en tout cas d'engagement des annonceurs
00:05:29en faveur de la production et de l'information française versus les plateformes étrangères.
00:05:34Et donc pour débuter cette première partie de soirée, j'accueille Zahia Ferraoui, Marketing Manager chez Quantarmédia.
00:05:42Et Alexis Goujon, Directeur Général des Relocalisateurs.
00:05:47Bonsoir à tous.
00:05:52Merci Zahia, merci Alexis d'être avec nous.
00:05:55Et Zahia, je te laisse présenter justement cette réflexion méthodologique qu'on vient d'entamer.
00:06:00Exactement, merci Sébastien.
00:06:02Alors effectivement, je vais vous présenter des résultats.
00:06:04Et pour cet exercice, on a opté pour une méthodologie bien spécifique avec des parties pris en termes de périmètre mais aussi de valorisation.
00:06:13Et c'est ce que je vais vous tâcher de vous expliquer en deux minutes.
00:06:16Alors bien que le périmètre des médias en veille chez Quantarmédia est très large,
00:06:23et bien finalement notre analyse a porté sur un univers plus restreint afin d'identifier, comme vous l'a dit Sébastien,
00:06:28les marques qui ont dédié une part plus importante de leur budget aux marques médias versus les plateformes.
00:06:34Alors sur le slide que vous voyez ici, le périmètre de notre analyse est représenté au milieu en rose.
00:06:40Et comme vous voyez, il inclut donc la presse, la radio, la télévision, y compris les sites web de ces médias,
00:06:46en comparaison avec l'univers des plateformes que représente le pet search, YouTube, le pet social,
00:06:53et qui lui-même est constitué de quatre plateformes, Facebook, Instagram, TikTok et Snapchat.
00:06:59Donc ça c'est pour le périmètre des médias.
00:07:01Peut-être un mot sur le fait qu'on n'a pas retenu dans cette première méthodologie l'affichage et le cinéma,
00:07:06car dans le débat notamment au sein des états généraux de l'information,
00:07:10l'idée est de regarder vraiment les annonceurs qui investissent dans les médias de production de contenu et d'information,
00:07:16et donc qu'on le compare avec des plateformes qui elles ne produisent ni contenu ni information.
00:07:23On passe à la slide suivante, qui concerne cette fois-ci la valorisation pour cette analyse, la valorisation des médias.
00:07:32On a dû faire des ajustements, parce que dans la veille initiale de Kantar Media,
00:07:36les médias traditionnels sont valorisés en brut, puisqu'on applique une règle simple,
00:07:41qui est la valorisation sur la base des plaquettes tarifaires des régies, avant remise négociation, exprimée en brut.
00:07:49Et d'autre part, on a les médias digitaux, inclus dans cette mesure, qui sont valorisés en net.
00:07:54Pour l'exercice d'aujourd'hui, pour cet événement en particulier, on a appliqué une clé de passage,
00:07:59qui nous a permis de mettre à la même hauteur les plateformes et les marques médias pour pouvoir les comparer en brut.
00:08:06Et donc, dans le cadre de cet exercice précis, on a pu observer les budgets alloués aux marques médias versus les plateformes.
00:08:13Et donc, rapidement, les résultats de cette analyse, on observe sur l'année 2023, sur le slide suivant, s'il vous plaît.
00:08:22Le chiffre, c'est qu'en moyenne, 48,6% des investissements en 2023 ont été attribués aux marques médias,
00:08:30contre 51,4% pour les plateformes. Autrement dit, les plateformes ont capté une part majoritaire du marché.
00:08:37Et lorsqu'on s'intéresse aux 100 premiers groupes de sociétés, on voit qu'ensemble, la part qu'ils dédient aux marques médias,
00:08:45cette fois-ci, elle grimpe à 61,2%, ce qui implique une plus forte présence de leur part sur ces grands médias.
00:08:53Et donc, c'est sur la base de ces 100 premiers groupes d'annonceurs que portent les résultats que vous voyez ici, que vous découvrez.
00:09:01Et donc, sur ce slide-là, on a représenté les 10 premiers groupes de sociétés qui, finalement, ont dédié une part plus importante sur les marques médias.
00:09:09Et ça oscille entre 100 et 90, 98% de leur but.
00:09:13Quand la moyenne est presque à 50-50, les bons élèves sont à 90-10 ou à 10-90.
00:09:19Voilà. Et à l'inverse, pour le dernier slide, ceux qui sont beaucoup plus tournés vers les plateformes,
00:09:27on va retrouver des annonceurs du e-commerce, des pureplayers également, mais également d'autres annonceurs qui, visiblement, ne peuvent pas se passer de ces leviers pour leur business.
00:09:41Merci, Zahia. Donc, c'est vraiment un premier jet.
00:09:45Évidemment, cette année, on s'est dit que c'était un peu neuf pour décerner le prix de l'annonceur le plus responsable,
00:09:53mais c'est définitivement quelque chose qu'on souhaiterait faire l'année prochaine.
00:09:57Et donc, on va progresser dans cette analyse méthodologique avec Intermedia, qui, par ailleurs, travaille sur une refonte de la mesure du display cette année.
00:10:09Donc, ça va nous permettre d'aller un peu plus loin sur ces chiffres-là pour l'année prochaine.
00:10:13Mais ça donne déjà une première tendance qui est que, grosso modo, les meilleurs ne mettent que 10% de leurs investissements sur les plateformes sociales, vidéos et search.
00:10:25Alors que d'autres, certes, parce que leur catégorie les pousse à ça, je pense au retail ou au voyage.
00:10:33Et donc, on fera sûrement un classement par industrie par verticale l'année prochaine.
00:10:37Mais d'autres mettent 90% de leur budget sur les plateformes et 10% seulement de leur budget sur les médias français.
00:10:45Donc, voilà ce premier jet. Et j'avais demandé à Alexis Goujon, directeur général des relocalisateurs, de commenter ces chiffres parce que c'est une des préoccupations, une des raisons d'être, une des missions des relocalisateurs.
00:10:58Et je voulais un petit commentaire comme ça avant de rentrer dans l'armise des prix.
00:11:04Merci déjà beaucoup Sébastien de me donner la possibilité de réagir sur cette très belle étude. Bravo au passage.
00:11:10Alors, moi, j'y vois plusieurs choses. J'y vois déjà une bonne nouvelle, vous l'avez évoqué.
00:11:15C'est le fait que finalement, on se rend compte que sur 45% du marché, parce que je crois que les 100 premiers annonceurs, ça représente à peu près 45% du total du marché.
00:11:25Finalement, la diversité média, elle est présente et ça fonctionne puisque quand on regarde le détail du tableau, on l'a pas là.
00:11:32Mais quand on regarde les détails du tableau, on a plutôt des bons annonceurs et plutôt des annonceurs qui fonctionnent bien depuis cette année, depuis un certain nombre d'années.
00:11:38Et donc, ça fait complètement écho. Effectivement, tu le disais à la mission et aux enjeux qu'on a mis en place, en tout cas qu'on défend au sein des relocalisateurs.
00:11:47Puisque très rapidement, en deux mots, les relocalisateurs, on est une association qui défend à la fois une meilleure répartition des investissements médias entre médias nationaux et médias locaux,
00:11:57mais également entre médias de nos territoires, médias français et puis grandes plateformes sino-américaines, pour ne pas les citer.
00:12:06Et donc, notre enjeu, c'est de dire qu'il y a une véritable richesse dans la diversité média et qu'il y a nécessité à soutenir les médias de nos territoires.
00:12:14Et on voit qu'effectivement, quand on s'engage dans cette voie ou quand on persiste dans cette voie, finalement, ça fonctionne très bien. Pour moi, c'est déjà une bonne nouvelle.
00:12:22Et puis, j'ai une interrogation. L'interrogation, c'est finalement... Je ne sais pas si on peut remettre peut-être la deuxième ou troisième slide, celle où on voit justement les chiffres.
00:12:33Voilà, merci beaucoup. Alors moi, je me suis dit, parce que j'ai un petit passé statistique, donc j'ai des petits réflexes. Je me suis dit, si on est à 48% en moyenne et 61% sur le top 100,
00:12:43ça veut dire que ceux qui ne sont pas dans le top 100, ils sont plutôt à 30% sur les tradis, si je fais une cote mal taillée, et plutôt à 70% sur les non-tradis.
00:12:51Et donc, je me suis posé la question de me dire, finalement, qu'est-ce qui fait que tous ces annonceurs, et je pense qu'il y en a un certain nombre, ont comme ça, de cette manière-là, basculé de manière très importante sur la partie digitale.
00:13:03Alors, je pense qu'il y en a qui, de la même manière que dans le top 100, sont nativement digitaux. On a vu quelques noms passer. Je pense qu'un Shihin, un Temu, par définition, leur business en France, il passe par le digital.
00:13:14Mais je me dis que finalement, il y en a d'autres qui auraient peut-être l'opportunité de plus diversifier. Donc, je me suis posé la question de pourquoi ils ne le faisaient pas, ou pourquoi ils ne le faisaient pas encore.
00:13:22Alors, est-ce que c'est un problème de difficulté ? Je ne pense pas, parce que je pense que le marché a beaucoup mûri sur ces sujets-là. Aujourd'hui, c'est beaucoup plus facile, finalement, de pouvoir faire de la diversité média.
00:13:31En tout cas, il y a un certain nombre d'agences qui se positionnent sur ce sujet-là. Ou est-ce que c'est un problème de croyance dans la performance de ces médias ?
00:13:39Le premier chiffre prouve que c'est performant. Et puis, tout ce qu'on peut raconter au sein des réalisateurs montre que, bien évidemment, c'est par la diversité qu'on retrouve également de la performance économique.
00:13:48Au-delà des top 100, il y a évidemment le phénomène long tail et le phénomène des petits annonceurs qui n'ont pas forcément la valeur absolue pour investir dans les grands médias et qui, donc, peuvent se tourner vers des solutions de plateformes automatisées.
00:14:03Je pensais plutôt aux ventre mou, c'est-à-dire ceux qui ont les moyens, mais qui, peut-être, ne le font pas suffisamment aujourd'hui.
00:14:09Merci à tous les deux. Merci. On voulait faire cette petite introduction pour parler également des annonceurs avant de parler des médias, des régies et des agences à qui on va décerner un certain nombre de prix ce soir.
00:14:28Tout à fait, Sébastien. Et j'appelle tout de suite, pour nous rejoindre sur scène, nos deux co-présidents du jury, Stéphane Martin, directeur général de l'ARP, et Gauthier Piquet, qui dirige Publicis Média et qui est également COO de Publicis Group en France. On peut les accueillir.
00:14:47Est-ce qu'on peut avoir des micros pour ces messieurs, s'il vous plaît ? Gauthier, merci beaucoup de nous accueillir une fois de plus. Merci de nous accueillir. Un petit mot, alors, cette édition 2024.
00:15:10Déjà, merci à vous. Merci, Influencia, de l'organiser. Je pense que ça nous fait toujours tout ce plaisir de célébrer l'engagement des médias, le travail des médias et surtout, je pense, on va le voir, le travail collectif des médias.
00:15:24C'est important parce que derrière les prix aujourd'hui qui vont être rendus, il y a beaucoup d'engagement, beaucoup de travail, beaucoup d'équipe. Et donc, on est absolument ravis.
00:15:33Et puis, c'est important pour nous de soutenir, comme le disait Sébastien depuis le début, ce prix de la responsabilité des médias. On est à l'aube, et je pense que vraiment, quand on dit à l'aube, ça veut dire beaucoup aujourd'hui.
00:15:44Dans cette semaine, à l'aube d'une nécessité de protéger cet écosystème, de célébrer la diversité qui existe aujourd'hui dans le paysage média et de toujours marquer le rôle important que les médias ont sur notre pays, sur la société, sur l'économie.
00:16:02Sur la démocratie. Donc, on est absolument ravis d'être là pour soutenir et pour vous accompagner pour cette deuxième édition. On espère pour les prochaines tant que vous voudrez bien.
00:16:11On se garde.
00:16:14Merci beaucoup, Stéphane. Alors, Madame la présidente Christine Albanel ne peut pas malheureusement être présente avec nous ce soir, mais on est très heureux, évidemment, que vous puissiez la représenter ce soir.
00:16:29Alors pareil, l'ARP, on est ravi que vous soyez là en tant que du coup, co-président de ce jury cette année. Un petit mot aussi sur cette édition de 2024 et sur ces médias qui sont de plus en plus engagés en termes de responsabilité.
00:16:43Oui, alors, Christine Albanel, évidemment, s'excuse. Elle n'a pas eu à être là pour des raisons sérieuses, mais évidemment, à ses côtés, vous la connaissez. Son parcours parle pour elle sur cette notion de soutien aux médias.
00:16:55Elle a été ministre de la culture et de la communication. Et puis, évidemment, au sein de l'ARP, il y a un mot qui, finalement, n'est pas un des R, mais qu'on pourrait utiliser.
00:17:05C'est responsabilité, puisqu'en fait, la publicité responsable, c'est la mission depuis bientôt 90 ans. On les fait l'année prochaine de l'autorégulation, c'est à dire finalement de réunir toute la profession.
00:17:15Gauthier a été administrateur de l'ARP et j'en vois dans la salle. Et donc, c'est cette mission là qui fait que c'était une belle chose de voir sur tous les projets et d'assister.
00:17:28Merci aussi à tous les membres du jury qui ont lu et vu tous ces projets. On a calé encore hier soir à cette heure là, il y a presque 24 heures, le palmarès final parce que tous les lauréats ont présenté.
00:17:43Je crois qu'il y a une qualité des dossiers qui était tout à fait incroyable, exceptionnelle. Enfin, on voit de vraies missions et ce qui permet dans le débat en affaires publiques aussi,
00:17:53d'avoir quand même beaucoup d'informations à donner. Les métiers, la responsabilité est réelle et elle est prouvée et les prix vont pouvoir en attester.
00:18:03On va le découvrir, d'ailleurs, ce palmarès. Merci beaucoup à tous les deux. On va le découvrir tout au long de la soirée. Vous avez la possibilité d'interagir sur les réseaux avec le hashtag.
00:18:19Avec un S 2024. Voilà. Remercier comme Stéphane l'a fait. Remercier à nouveau le jury. Il y avait presque une quarantaine de cas qui ont été déposés.
00:18:34Des gros dispositifs. Donc, ça a pris quand même pas mal de temps au jury. Et donc, je voudrais tous les remercier pour le temps qu'ils ont consacré à éplucher ces 40 dossiers. On va remettre une grosse vingtaine, une vingtaine de prix ce soir.
00:18:52C'est grâce à eux. Donc, merci à vous tous les jurés. Ce soir. Et je leur remercie de vive voix. C'est parti. Sébastien, on commence. Les prix or, les prix argent, les prix bronze dans les 12 catégories.
00:19:12Les prix or et les prix argent, c'est une tradition pour venir récupérer leurs prix sur scène à nos côtés. Et pour les bronze, vous pourrez les récupérer en fin de cérémonie auprès de l'équipe. Oui, les trophées sont là. Comme je vous l'ai dit, une vingtaine de prix remis ce soir en argent et en bronze plus les grands prix. Allez, c'est parti.
00:19:34On plonge dans la première catégorie qui est la catégorie diversité et inclusion. Alors un seul prix bronze attribué à Médiamétrie pour la cafétéria d'entreprise inclusive en partenariat avec l'entreprise Andy Saveur. Bravo à eux. Pas d'argent et pas d'or dans cette catégorie. Donc, on passe à la catégorie suivante, catégorie action de solidarité.
00:20:02Et là, on a deux prix bronze ex aequo dans cette catégorie. Le premier prix est attribué à 366 pour son mécénat interne, qui est une initiative visant à faire appel à candidatures auprès de ses collaborateurs pour proposer de soutenir des associations dans lesquelles ils sont impliqués. Très beau dossier.
00:20:18Je me souviens de l'opération pour soutenir des collaborateurs qui faisaient le rallye des gazelles. C'était une très belle initiative. Et donc, c'est ce mécénat interne qui continue chez 366. Le deuxième prix bronze est attribué à Médiatransport et l'association hashtag je veux aider pour encourager le bénévolat en entreprise.
00:20:44Bravo à 366 et à Médiatransport. Enfin, un prix or. Le premier de la soirée a été attribué à Bayer Jeunesse pour l'opération Noël solidaire. Et donc, pour recevoir le prix, j'appelle sur scène Bayer Jeunesse pour nous raconter le prix et nous donner ses impressions.
00:21:10Félicitations. On est les premiers à passer, ça fait drôle. Mais merci, ça nous fait aussi très, très plaisir. Alors Delphine Solière, qui est directrice des rédactions chez Bayer Jeunesse, devait être là. Je ne sais pas.
00:21:28En tout cas, on est très fiers parce que c'est une opération. En fait, on voulait à l'origine donner du sens à Noël et puis faire des fêtes de fin d'année. Un moment de solidarité, tout simplement. Et donc, on a créé cette opération avec nos amis d'Emmaüs. En quoi ça consistait? En fait, on voulait sensibiliser les enfants et les ados à la seconde main solidaire. Seconde main, on connaît tous, mais solidaire.
00:21:56C'est pas tout à fait pareil. C'est à la fois écologique et puis social, puisque Emmaüs fait travailler des gens qui sont dans un dans une démarche de retour à l'emploi, etc. Et avec un geste qui était particulièrement important et qui nous évitait le côté. Je me débarrasse de mes vieilleries.
00:22:16Puisqu'on avait proposé aux enfants, aux ados de choisir des objets qui étaient dans leur chambre, c'est que chacun devait été invité à raconter l'histoire de cet objet. Qu'est ce qu'il avait vécu avec? Pourquoi il avait compté dans sa vie? Et donc, ce camion de pompiers avec lequel j'ai tellement joué. Et bon, maintenant, je suis trop grand, donc je l'offre à un autre enfant pour que l'histoire de ce camion de pompiers puisse continuer et que la chaîne se poursuive.
00:22:44On a eu, évidemment, énormément, énormément de retours très, très positifs de nos publics. Et puis, surtout, ce qui était une grande première chez Bayard Jeunesse, puisque Bayard Jeunesse, c'est pas que de la presse magazine, c'est aussi du livre.
00:22:58C'est aussi du digital, c'est une plateforme qui s'appelle Bayam. C'est aussi de l'audio. Vous pouvez nous trouver sur Spotify, Deezer, etc. C'est l'audiovisuel. Et bien, tout le monde a joué le jeu.
00:23:09Tous les pôles ont joué le jeu dans une grande mobilisation inter-métiers. Et ça, c'était vraiment un super moment.
00:23:18Bravo. Petite photo, je crois. Photo call. Allez-y. On continue, si vous le voulez bien, avec la catégorie responsabilité éditoriale des médias.
00:23:32Il y a deux prix or ex-aequo dans cette catégorie. Le premier prix or est décerné à 366 et Sparknews pour « Enquête de demain ». J'appelle sur scène, pour nous en dire plus, Lynn Gasparini et Sandi Arjur. On peut les applaudir.
00:23:54Bonsoir. Un très, très grand merci. C'est vraiment un prix qui revient évidemment à nos 52 rédactions dans toute la France, puisque les rédactions dans tous les territoires, vous le savez,
00:24:10que l'on représente chez 366 en tant que régie des territoires, c'est vraiment un projet hors normes que représente « Enquête de demain ». C'est la première fois, ever, je dirais, que des rédactions décident ensemble de s'associer sur un projet éditorial dont ils traitent au quotidien.
00:24:30Chaque jour, on parle de sujets sur la transition écologique, sur l'avenir, problèmes de responsabilité au quotidien, dans notre consommation, travail, production, vivre ensemble. Mais là, c'est allé beaucoup plus loin, puisqu'ils ont décidé, sous l'impulsion de Sparknews, qu'il fallait aller plus loin.
00:24:46Et ils ont décidé de se mettre tous ensemble, deux fois par an. C'était la troisième année, donc on est à la sixième édition. Et deux fois par an, ils éditent un cahier 16 pages, décliné évidemment en digital, et je vous le dirais, on va beaucoup accélérer sur le digital là-dessus, pour mettre en avant en toute autonomie, mais en même temps sous forme d'un cahier similaire avec beaucoup de choses en commun dans la charte graphique.
00:25:10Et donc on est sur un produit commun, mais avec une autonomie éditoriale, qui met en avant toutes les initiatives locales dans les régions, à tout point de vue. C'est passionnant, ça fourmille de positives, de bonnes idées, c'est là que ça se passe, et c'est vraiment un enjeu exceptionnel, un projet hors normes, grâce à tous ces éditeurs et sous l'impulsion de Sparknews.
00:25:34Merci Lyne. Donc je me balade toujours avec le résultat de cette magnifique mobilisation. Et comme Lyne le précisait, en fait, quand il y a de l'enjeu, on est capable de briser ses habitudes, de briser les frontières, de changer ses pratiques, et là, de faire alliance.
00:25:50Donc ce qui peut paraître dingue, c'est que des médias des territoires, qui par nature s'adressent à leur territoire, avec les spécificités de leur territoire, décident de bosser ensemble. Donc ça se fait pas sans difficulté, sans sueur. Donc on a pris notre bâton de pèlerin en 2020, puisque c'est notre raison d'être chez Sparknews, de faire émerger des nouveaux récits.
00:26:12Et qui mieux que les médias des territoires pour en faire émerger à partir du réel ? Et la transition écologique et sociale, si on veut l'accélérer, notamment à l'échelle des territoires qui est la bonne échelle pour en prendre la juste mesure, nous, en tant que citoyens, en tant que décideurs politiques, en tant qu'acteurs économiques, c'est là que ça se passe. Et les choses se passent déjà dans nos vies. Donc on a besoin, effectivement, et c'est la responsabilité éditoriale et la PQR l'ont entièrement compris,
00:26:41d'éclairer les citoyens sur tous les changements qui s'opèrent, et on va les guider, et on les guide avec une grande exigence, et ils nous font confiance. Donc c'est plus de 200 journalistes qui ont bossé, ou cumulent, pour identifier les bons sujets, pour les traiter avec la profondeur requise, et en s'assurant qu'ils ont l'impact, que l'impact est avéré, qu'il y a vraiment des humains concernés, que c'est réplicable, et que ça ouvre la voie à des solutions nationales, et donc à des nouveaux récits.
00:27:09Merci au jury d'avoir reconnu cette pertinence éditoriale nouvelle.
00:27:14Bravo.
00:27:17Bravo à vous. Et donc le deuxième prix or ex aequo est décerné à Bayer Jeunesse et France Info pour le programme J'apprends l'info.
00:27:36Il y a un petit mot pour découvrir ce projet. Bravo à vous.
00:27:46Bonjour. Je suis très heureuse que nous recevions ce prix. Je m'appelle Marion Joseph, je suis rédactrice en chef du magazine Astrapi, qui est un magazine qui s'adresse aux enfants de 7 à 11 ans.
00:27:59Et le programme J'apprends l'info, c'est un programme conjoint entre Bayer Jeunesse et Radio France. C'est un programme de webinaire d'éducation aux médias pour les enfants et les ados, et c'est parti d'un travail commun qu'on fait depuis 5 ans déjà avec France Info, donc Astrapi France Info.
00:28:16Un programme de podcast hebdomadaire à hauteur d'enfants d'actualité où on essaye de leur expliquer tout ce qui fait partie de leur actualité. Donc c'est aussi bien de l'actualité, l'actualité des adultes qui arrive qu'on le veuille à non ou non jusqu'à leurs oreilles.
00:28:35Donc cette semaine, par exemple, on va leur parler de politique, mais on va aussi leur parler d'une étude scientifique qui montre que les éléphants s'appellent entre eux par leur prénom. Voilà. Et tout ça, c'est de l'actualité à hauteur d'enfants et c'est ce qu'on s'attelle à faire avec France Info depuis 5 ans.
00:28:51Et de là est née l'idée de ces webinaires pour les enfants et les ados d'éducation aux médias avec plusieurs thèmes dans la peau d'un journaliste, les superpouvoirs des images. À chaque fois, ce sont des milliers d'élèves qui sont en ligne avec des journalistes d'Astrapi et d'Okapi ou d'Okapi et de France Info pour leur expliquer un petit peu c'est quoi les fake news et comment se repérer dans la jungle de l'information.
00:29:16Ce qui a évidemment, on le pense, une grande utilité aujourd'hui. Et pour finir de présenter ces webinaires, c'est vrai qu'il y a l'aspect ludique qui est très important. On est persuadé à Bayard Jeunesse qu'il y a beaucoup de choses qui peuvent passer par le jeu et par l'humour.
00:29:31Et c'est le cas aussi de l'éducation aux médias à travers ces webinaires. Les enfants se mettent dans la peau de journalistes. Ils doivent reconnaître des vraies photos qui ont l'air de fausses et vice versa. Ils s'amusent et ils apprennent. En tout cas, c'est ce qu'on espère.
00:29:45Merci. Je m'appelle Héloïse Desmontiers. Je suis la directrice adjointe de Bayard Jeunesse. Ce qui est vraiment intéressant dans ce programme, c'est qu'évidemment, on parle aux enfants et aux adolescents, mais c'est pas tout seul chez eux qui regardent le webinaire.
00:29:59Ça se passe en classe. Ça se passe en classe avec les enseignants. Et vous savez qu'aujourd'hui, il y a une responsabilité collective immense d'équiper les enseignants, de les aider à parler de ces sujets sans crainte, de ne pas les mettre dans une position où c'est leur parole en tant qu'individu qui est face à une classe qui peut avoir des sentiments différents.
00:30:18Et donc ces webinaires sont suivis pendant une heure par les enseignants et leurs élèves. Sur les premiers webinaires qu'on a faits, on a eu plus de 60 000 élèves connectés en France, mais aussi à l'étranger. On a vu des professeurs de français aux Etats-Unis, au Maroc, un peu partout dans le monde se connecter aussi à ces webinaires.
00:30:38Parce que si aujourd'hui, on parle tous de fake news, d'intelligence artificielle, de manipulation, il faut bien qu'on le rende concret pour la génération de demain. Il faut bien qu'on leur explique à décrypter. Et en fait, ça nous semblait essentiel de le faire dans le cadre du programme scolaire. On parle d'éducation civique. Évidemment que l'éducation aux médias en fait partie.
00:30:57Donc un grand merci pour ce prix. On repart, avec l'année scolaire qui arrive, avec 6 nouveaux webinaires. Évidemment, c'est complètement gratuit. Donc n'hésitez pas aussi à le diffuser aux enseignants autour de vous. C'est une heure exceptionnelle pour libérer la parole sur tous ces sujets. Et vous savez à quel point les enseignants aujourd'hui ont besoin de nous, collectivement, de notre aide pour les accompagner dans une société qui se polarise. Merci beaucoup.
00:31:20Bravo. Je vous laisse devant le photocall. Sébastien.
00:31:28Catégorie publicité responsable.
00:31:32Un petit mot sur le score du foot. D'abord, je crois que la France, je crois que la France mène un zéro. Si vous avez d'autres infos, vous me faites signe. On passe à la catégorie publicité responsable. On a un prix bronze dans cette catégorie qui est attribué à 366 de nouveau et des cas pour l'automatisation du bilan carbone de 100% de ces campagnes digitales vidéo. Bravo à eux.
00:32:02Il y a également un prix argent qui a été décerné au SRI pour le programme Sustainable Digital Actress dans cette catégorie et j'appelle sur scène pour nous en dire plus.
00:32:14Merci beaucoup. Bonsoir tout le monde. Merci Hélène. Alors j'ai l'impression que cette initiative a rassemblé a réussi à rassembler et que c'est pour ça qu'on lui a donné le prix le prix argent.
00:32:42C'est une initiative. C'est un programme d'engagement pour les régies du SRI qui permet de tracer une trajectoire de progrès, une trajectoire pour une publicité plus responsable qui accompagne les régies dans la révolution, dans leur transformation de leur activité.
00:33:02C'est un programme en 15 critères autour de trois grandes thématiques que sont la maîtrise de l'environnement, l'optimisation de la chaîne de valeur technologique et puis la politique groupe, la politique RSE groupe. Donc on est vraiment.
00:33:14C'est ce prix et on est très fiers de ce prix parce qu'il récompense 2 ans de travail, 2 ans de travail que les équipes des régies membres du SRI ont fourni pour travailler pour construire ce projet avec victoire que je remercie aussi les équipes.
00:33:29Ce qui est formidable dans ce projet, c'est que ça a mobilisé énormément de services au sein des régies, à la fois le marketing, les équipes RSE, les équipes techno, les patrons.
00:33:41Bien sûr, donc vraiment un grand, grand merci à toutes ces équipes qui ont été extrêmement mobilisées et aux 18 régies qui se sont engagées et qui continuent de travailler à améliorer leur activité.
00:33:54Alors la transformation, la transformation de la publicité, la rendre plus responsable, ça se fait pas comme ça du jour au lendemain, ça se fait pas sur un claquement de doigts.
00:34:02Donc on pense que chaque petit pas compte et que toute initiative est bonne à prendre.
00:34:08Et on pense aussi que c'est collectif et que tout le marché doit s'engager et qu'on espère que cette initiative fera des petits et nous permettra d'arriver à un marché plus durable.
00:34:23Voilà, merci encore.
00:34:24Merci Hélène, merci.
00:34:29Pas de prior dans cette catégorie et c'est vrai que tous les sujets d'empreintes carbone ont eu du mal à passionner le jury.
00:34:37Et donc on va passer maintenant à la catégorie suivante qui est réduction d'empreintes carbone.
00:34:43Où là aussi, Émilie, je crois que nous n'avons pas de prior.
00:34:47Tout à fait Sébastien, pas de prior.
00:34:49Deux prix bronze ex-aequo dans cette catégorie.
00:34:52Le premier attribué à B-Coverty et Système U pour HeroX.
00:35:04Et le deuxième prix bronze est attribué à AXA, Greenbird, YouTube, et le SRI Eliabé.
00:35:18Voilà, de nouveau des sujets de décarbonation de campagne digitale.
00:35:22Donc deux grands prix ex-aequo, pas de prior dans cette catégorie.
00:35:26Non, pas de prior, mais un prix à argent qui est décerné à TF1 Pub pour l'autopilote carbone.
00:35:39Ah, assis.
00:35:41Et ben voilà, on peut accueillir.
00:35:48Oui, il y a un micro qui est arrivé là-bas.
00:35:55Bonjour à toutes et à tous.
00:35:57Je suis ravi de recevoir ce prix.
00:35:59Merci beaucoup.
00:36:00Je suis très honoré.
00:36:01C'est un prix qui nous tient à cœur chez TF1 parce que ça fait quand même pas mal d'années que l'on travaille sur ces problématiques RSE.
00:36:09Cette innovation autopilote carbone, qu'est-ce que c'est ?
00:36:12C'est la capacité d'adapter l'impact carbone de nos campagnes en temps réel grâce à une intelligence artificielle.
00:36:18On a mis ça en place depuis le début d'année.
00:36:21Systématiquement, l'ensemble des campagnes digitales de l'environnement TF1 Pub passent entre les fibres d'autopilote carbone.
00:36:33Et on rencontre pas mal de succès puisque ça nous permet aussi de fournir des bilans en fin de campagne à nos clients sur l'impact carbone de celle-ci.
00:36:46Merci.
00:36:47Merci.
00:36:48Bravo.
00:36:49Restez là pour la photo, devant le photocall, s'il vous plaît.
00:36:52Sébastien, on continue avec la campagne.
00:36:54Alors, on continue avec une nouvelle catégorie qui s'appelle la catégorie campagne responsable.
00:37:00Qui n'existait pas l'année dernière.
00:37:02On a souhaité finalement élargir le grand prix de la responsabilité des médias au secteur de la communication et rajouter une catégorie avec des campagnes.
00:37:11Et effectivement, on a bien fait parce qu'on a eu des dossiers absolument superbes.
00:37:16Et dans cette catégorie, on a tout d'abord un prix argent qui est attribué aux banques alimentaires, Australiagade et Electrodépôt pour la campagne qui s'appelle les Free Go Vide.
00:37:28J'appelle Gilles Masson pour recevoir ce prix.
00:37:31Gilles Masson et son équipe et qui va nous raconter cette campagne des Free Go Vide.
00:37:36Il va falloir qu'il nous la raconte parce qu'on ne va pas diffuser de vidéo.
00:37:41C'est très simple.
00:37:42C'est très, très simple.
00:37:43En fait, les banques alimentaires sont le premier collecteur alimentaire en France.
00:37:47Vous savez qu'il y a aujourd'hui 14% des Français qui sont sous le seuil de pauvreté et il y a 7 millions de Français qui ont des problèmes pour se nourrir plusieurs fois par jour.
00:37:55Et donc, on s'est dit qu'il y a quelque chose d'inacceptable.
00:37:57C'est des Free Go Vide.
00:37:59Et quel est le meilleur endroit où on peut trouver des Free Go Vide ?
00:38:02C'est chez les marchands d'électroménager.
00:38:05Donc, on allait voir plusieurs opérateurs.
00:38:08Et c'est Electrodépôt qui a 100 boutiques en France, qui a accepté de faire plusieurs choses, de faire des collectes, de faire.
00:38:17À chaque fois que vous ouvriez un frigo, il y avait une publicité un peu étonnante du type, un Free Go Vide n'a sa place que dans un magasin d'électroménager.
00:38:25Donc, en fait, c'est des accroches faites par nos amis ici présents, nos amis créatifs ici présents, donc Victorien et Martin, et qui ont eu cette très bonne idée.
00:38:36Et pour le coup, c'est une opération qui a eu énormément de retentissement, énormément de retombées médias parce que tous les gens qui allaient chercher un frigo chez Bricodépôt,
00:38:45chez, pardon, c'est mon client Bricodépôt, chez Electrodépôt, petit absus, étaient extrêmement surpris par un festival d'accroches, je pense que vous pouvez peut-être les raconter,
00:38:55qui ont permis de collecter pas mal d'argent et d'avoir beaucoup de retombées médias.
00:38:59Donc voilà, on pense que c'est inacceptable et ils ont joué le jeu, ce qui est quand même très culotté dans un magasin, je trouve, d'électroménager.
00:39:07Martin ? Non ? C'est bon ? Bon, ok. Voilà. Merci.
00:39:12Restez là pour la photo.
00:39:24Merci beaucoup, donc très belle opération pour ce prix argent et dans cette catégorie, on a un prix or qui est décerné à Hungry and Foolish et AXA Prévention pour la campagne Mon Coeur.
00:39:34Et j'appelle sur scène, pour nous en dire plus, le président de Hungry and Foolish.
00:39:42Alors là aussi, il va falloir nous raconter la campagne parce qu'on ne va pas projeter le film tout de suite, donc je vais essayer de vous raconter ces 45 secondes.
00:39:58L'association AXA Prévention fait un boulot formidable sur plein de sujets de santé publique.
00:40:05Là, cette année, on a essayé. Ils ont décelé un sujet qui est clé, qui était que chaque jour, 200 femmes meurent de maladies cardiovasculaires.
00:40:14C'est la première cause de mortalité en France. Personne n'en a conscience.
00:40:18C'est pas traité, c'est pas accompagné et donc ils en ont fait leur cheval de bataille cette année.
00:40:24Le film qui est récompensé ce soir et dont nous sommes très fiers avec la partie la plus visible de toutes les opérations que les équipes d'Eric Lemaire et Clotilde Dufreté mènent au quotidien.
00:40:34Il y a le bus du coeur qui les accompagne et qui fait le tour des villes pour accompagner les femmes les plus démunies au quotidien.
00:40:41Il y a des études. Ils ont interrogé plus de 1500 femmes pour comprendre leurs problématiques, pour comprendre pourquoi elles prenaient plus soin des autres que d'elles-mêmes.
00:40:49Et donc ce film est un peu la partie visible. Comme je vous le disais, on est très fiers d'être récompensé.
00:40:54Bravo. Merci beaucoup.
00:40:59On continue Sébastien. Toi, c'est à moi. Alors j'y vais avec la catégorie contenu RSE contenu RSE avec un premier prix argent qui est attribué à au CIC Australiagade et noside pour les constructifs.
00:41:17Félicitations. J'appelle sur scène Philippe Oro, qui est directeur général d'Australie, qui revient. Gad, évidemment.
00:41:28Vous connaissez la saga CIC que l'agence Australiagade fait depuis mais alors des décennies que le CIC, la communication du CIC est né avec Australie.
00:41:40Donc c'est quand même une fidélité de 25 ans. Et au-delà de la pub que vous connaissez, il y a un boulot de fonds qui est fait très régulièrement par le CIC.
00:41:48Et je vais laisser Philippe en parler. Merci, Gilles. Bonjour à tous. En fait, c'est un peu impressionnant pour une agence de pub d'être au milieu de médias qui font du contenu,
00:41:57puisque nous, on le fait humblement ou on essaye de le faire humblement. Et pour tout vous dire, ce programme, les constructifs, c'est la preuve que la France va pas si mal.
00:42:07Déjà, quand on travaille sur ce programme, on a mis des influenceurs, on a 26 épisodes, on est à trois saisons déjà. On a 66 millions de vues, à 100%, dont plus d'un tiers sur des trois minutes.
00:42:22Donc ça veut dire qu'il y a des gens qui vont voir ces programmes. Alors la petite idée qui a consisté à avoir des influenceurs et les faire sortir un peu de leur chauffe habituelle
00:42:31pour aller interviewer des entrepreneurs partout en France, elle fonctionne très, très bien. Elle plaît. Et puis, c'est un bol d'air pour nous quand on travaille tous les jours.
00:42:39Un des boulots que tous les commerciaux ou tous les planeurs essayent de faire en priorité, c'est qui le constructif qu'on va aller trouver aujourd'hui pour le proposer, proposer aux clients.
00:42:50C'est un vrai bol d'air. Ça marche très, très bien. Et c'est la preuve qu'on peut construire pour que le monde bouge. Voilà.
00:42:57— Merci beaucoup et bravo. Je me laisse poser pour le photocall. Et pendant ce temps, je vais annoncer le prix or qui est décerné à Bayard Jeunesse pour le livret « Nom au cyberharcèlement ». Bravo.
00:43:12— Merci beaucoup. Est-ce qu'on vous entend ?
00:43:41Donc ce livret « Nom au cyberharcèlement », c'était une volonté de la part de Bayard Jeunesse de s'impliquer sur ce sujet vraiment important pour les enfants dans leur quotidien.
00:43:57Nous, à Strapi et dans tous les magazines de Bayard Jeunesse, on passe beaucoup de temps dans les écoles. On passe beaucoup de temps avec les enfants.
00:44:03Et on voit bien quelles sont leurs problématiques quotidiennes. Et voilà. C'est pour ça qu'on s'est engagé sur le cyberharcèlement avec le ministère de l'Économie numérique.
00:44:15Un livret donc qui a été distribué auprès de tous nos lecteurs de 8 à 12 ans et qui est aussi téléchargeable gratuitement sur le site de Bayard Jeunesse comme d'autres livrets.
00:44:29On n'a pas peur à Bayard Jeunesse de s'attaquer à des problèmes, à des sujets graves parce qu'on sait qu'ils font vraiment partie de la vie des enfants.
00:44:38Donc l'année dernière, on avait fait toute une campagne autour des violences sexuelles. Et voilà. Cette année, on s'est « attaqué » au cyberharcèlement à travers un petit livret. Voilà.
00:44:52Et on nous pose souvent la question pourquoi un livret pour les 7-11 ans sur cette question du cyberharcèlement. Déjà, il y a beaucoup d'enfants qui ont déjà un téléphone portable.
00:45:04Et puis aussi, c'était important pour nous de s'attaquer, de faire de la prévention sur ce sujet avant que les enfants n'entrent de plein pied dans la jungle du numérique.
00:45:14Un petit peu comme on peut parfois le faire pour des campagnes contre l'alcool ou le tabac. C'est un petit peu la même chose avec le cyberharcèlement.
00:45:22Dès le plus jeune âge, pouvoir acquérir les réflexes qui vont devenir aussi importants, qui deviennent aussi importants que d'apprendre à se brosser les dents ou à traverser la rue.
00:45:34Voilà pourquoi nous avons fait ce livret avec plusieurs petites bandes dessinées pour les enfants de 7 à 11 ans.
00:45:41Merci beaucoup pour ce prix.
00:45:46Bravo. L'année dernière, le livret sur les violences sexuelles faites aux enfants avait eu le grand prix. Et c'est vrai que cette année, de nouveau un prix or pour ce livret sur le cyberharcèlement.
00:45:59On passe maintenant à la catégorie événements responsables sur lequel on a eu des très beaux dossiers.
00:46:06Un premier prix bronze dans cette catégorie est attribué à M6 Publicités pour le hackathon engagé. Bravo à eux.
00:46:18Enfin, nous avons un prix argent qui est attribué à l'ADEME Eco Events pour le grand défi écologique.
00:46:25Et j'appelle sur scène pour recevoir ce prix Nicolas Turpin, président fondateur d'Eco Events, Caroline Cassius, directrice de projet et Solène Moreau, qui est responsable RSE. Bienvenue.
00:46:37Racontez-nous cet événement qui était un gros événement.
00:46:54C'était un très bel événement. Merci beaucoup. J'espère que d'ailleurs, c'est le premier trophée qui va ouvrir un long bal, puisqu'on a bien l'intention d'aller récolter quelques trophées.
00:47:06Ça fait 17 ans que nous, on fait des événements éco-responsables. Et je peux vous dire qu'effectivement, celui-ci était particulièrement poussé.
00:47:13Donc merci au jury d'avoir reconnu ce travail. Merci à notre client, l'ADEME, de nous avoir fait confiance sur ce bel événement qui s'est déroulé en avril au Havre, au DOC du Havre.
00:47:23C'était un an de boulot. Alors moi, je vais tout de suite passer la parole à... Moi, je n'ai pas fait grand-chose. Je vais surtout passer la parole à celles qui ont travaillé sur le sujet, en l'occurrence Caroline et Solène.
00:47:36Merci. Oui, cet événement en éco-socioconception, sur la partie sociale, on a essayé d'oeuvrer sur différents plans, autant en travaillant avec des prestataires locaux, des prestataires issus de l'ESS.
00:47:51On a demandé à tous nos partenaires de respecter la parité sur l'événement, mais on a également travaillé sur l'accessibilité de l'événement pour le rendre accessible aux personnes en situation de handicap, que ce soit sur le site, mais également en amont par le web et avec des zones, par exemple, de repos pour les personnes en situation de handicap mentale.
00:48:16Sur les autres points importants, on a aussi essayé de faire cet événement totalement en économie circulaire. On a toute une scénographie qui a été collectée auprès de la Fashion Week, de la Coupe du monde de rugby, des séries télé. Donc, tout a été vraiment collecté pour toute la fabrication.
00:48:33Ensuite, on a fait de la location et tout est reparti ensuite en circuit de location, donc entièrement en économie circulaire. Sur les autres points, on a aussi la partie carbone qui est très importante. Là-dessus, sur la restauration, on a proposé uniquement 10% de viandes et de poissons. Donc, on a imposé un régime quasiment végétarien à tous.
00:48:53Et puis, bien sûr, sur le transport, on a essayé de mutualiser avec tous nos prestataires, bien sûr, en travaillant avec des prestataires locaux pour réduire les trajets et puis optimiser au maximum les transports.
00:49:06Merci beaucoup. Merci. Bravo à vous trois.
00:49:09Et dans cette catégorie, on a également un prix or qui est décerné à Optique 2000 et AustraliGad de nouveau pour l'opération Optique 2000 Challenger qui est une très belle opération. Là aussi, il va falloir nous la raconter. C'est une opération qui donne la chair de poule tellement c'est émouvant.
00:49:35Je vous promets qu'on revient plus. C'est la dernière fois. Donc, tenez, je donne à ceux qui ont fait Victorien et Martin la campagne. C'est une opération absolument dingue. En vrai, c'est quand les créatifs nous ont proposé ça.
00:49:47On a dit mais c'est pas possible. Je vous raconte en quelques secondes Optique 2000 accompagne très concrètement sur le marché de l'optique et de l'audition. Les gens qui ont des problèmes de vue et Optique 2000 va jusqu'au bout en disant je vais maintenant m'occuper des malvoyants. Malvoyants, il y en a 2 millions en France.
00:50:07Quand on a dit aux créatifs, il faut réfléchir à comment on est de la fondation Optique 2000, ils ont trouvé un truc qu'on ne pensait même pas qui pouvait exister. On s'est dit on va faire participer à un tournoi de performance qui est suivi par plus de 20 millions de personnes qui s'appelle Trackmania. On va faire participer un aveugle. Vous allez me dire mais qu'est ce qu'il raconte ?
00:50:33En fait, on a trouvé une startup qui s'appelle Arta et tout le mérite revient à Arta. J'aurais bien aimé vous faire la démonstration qui est très simple. Les aveugles ont une caméra sur la tête. Cette caméra est relée à une ceinture. Sur cette ceinture, il y a je ne sais plus combien 1000 ou 1200 points qui sont des impulsions et ces impulsions vont dans la colonne vertébrale et donnent une image très concrète à la personne.
00:50:57C'est à dire que moi j'ai fait l'essai, vous marchez dans la rue, vous arrivez à voir un arbre qui bouge, des feuilles qui bougent. Vous arrivez à voir un trottoir avec ses reliefs. En fait, on a trouvé un gars qui voulait faire ça.
00:51:11C'était un ancien malvoyant qui est devenu totalement aveugle et qui a dit ok je veux bien parce que ça l'intéressait participer à un concours de e-sport donc de gaming qui était la chose la plus suivie et donc on a fait participer à un concours, une performance de e-sport donc de la vidéo automobile à un aveugle et qui a fini deuxième.
00:51:35Donc si vous voulez, j'en ai des frissons rien que d'en parler parce que c'était quelque chose d'assez dingue. Donc en gros, si on peut le dire, dans peu de temps, je dirais pas que les aveugles pourront voir, mais les aveugles pourront se déplacer et apercevoir des images mentales qu'ils auront reconstituées grâce à ce produit qui est fait par la startup qui s'appelle Arta et grâce à la fondation Optique 2000.
00:51:55Bravo au créatif, je vais peut-être laisser Victorien raconter un peu comment t'as trouvé l'idée, ça m'intéresse.
00:52:01Très simplement, cette idée nous est venue parce qu'en fait Optique 2000, ils avaient envie et aussi un besoin de montrer que c'est certes une marque engagée dans l'optique mais surtout qui s'engage pour les malvoyants via les centres qu'ils ont dédiés à ça.
00:52:17Et nous en fait, cette idée, on a trouvé qu'elle correspondait et qu'elle cochait toutes les cases des engagements d'Optique 2000. Donc on a été surpris déjà que la marque accepte de partir dans un défi aussi fou parce que c'est vrai que quand on se lance dans ce projet, on n'est pas certain déjà qu'on va trouver quelqu'un qui est prêt à relever ce défi et surtout, on n'est pas certain qu'il va réussir à faire des performances.
00:52:43C'est-à-dire à avoir un niveau de jeu plus ou moins équivalent ou voire supérieur à des personnes comme vous ou moi qui peuvent voir et donc jouer à des jeux de course.
00:52:55Bravo. Merci, bravo.
00:53:01On a donc maintenant fini la première partie qui sont les dispositifs et les campagnes et après le grand prix l'année dernière, on s'était dit ce serait bien de récompenser non pas que les dispositifs mais également les entreprises.
00:53:13Et donc on a décidé cette année de récompenser les médias et les régies elles-mêmes dans leur transformation globale, leur transformation tout au long de l'année, leur transformation sur plusieurs années et pas que sur une opération ou un dispositif.
00:53:29Et donc c'est la nouveauté de cette année et donc on va commencer par la catégorie médias, régies, TV et je vais laisser la parole à Émilie.
00:53:39Oui, tout à fait Sébastien. Avec un premier prix argent dans cette catégorie attribué à France Télévisions Publicité, France TV Publicité pour l'obtention du label Positive Compagnie.
00:53:51J'ai l'honneur d'en parler. Félicitations. J'accueille Laurent Vanaison qui est secrétaire général de France TV Publicité.
00:53:59Merci, merci au jury d'avoir reconnu effectivement cette démarche. En fait, vous l'avez très bien dit, on essaye d'éviter des coûts.
00:54:09Notre premier bilan carbone, il date de 2009 et on a progressivement élargi à toutes les dimensions de la RSE sous l'impulsion de France Télévisions qui, en tant que média de service public, se doit d'être exemplaire sur les aspects sociétaux.
00:54:25Et pour valider en fait notre démarche, nous sommes entrés un peu à rebours, parce que nous pensions que c'était chronophage, dans des démarches d'évaluation.
00:54:37Une évaluation COVID-19 et une évaluation Positive Compagnie. Et en fait, j'encourage tout le monde à le faire parce que dans ce cadre, dans la réalisation d'un 360 avec les collaborateurs, avec vous les annonceurs et les agences médias et avec nos fournisseurs
00:54:53et dans le cadre de l'audit qui a été fait par l'équipe de Positive Compagnie, à la fois nous nous sommes rendus compte de tout ce que nous avions fait et donc que ce n'était pas que des coûts et de la communication, on a réussi à faire ressortir la cohérence de notre démarche.
00:55:09Et donc c'est extrêmement important parce qu'en fait chacun a apporté sa petite pierre et donc ce qui ressort c'est quand même quelque chose de lisible, de cohérent.
00:55:20Et donc en fait ce prix il est pour les 300 collaborateurs de France Télévision Publicité qui à 97% dans le cadre du questionnaire collaborateurs ont affirmé leur fierté de contribuer au financement de l'audiovisuel public comme un outil de démocratie. Merci.
00:55:38Merci, bravo. Le prix or est décerné à TF1 Pub pour sa stratégie climat et je rappelle Dimitri Marcadé. On peut l'applaudir.
00:55:51Rebonjour, merci beaucoup pour ce prix. Je suis très honoré de recevoir ce prix aujourd'hui. C'est un engagement nous aussi de longue haleine chez TF1 Pub. On a l'impression d'avoir participé à l'évolution de ce marché.
00:56:17On a mis en place des formations pour le marché gratuite dont la fraise de la publicité. On a créé un fonds d'investissement qui s'appelle EcoFunding qui a pour objectif de financer des campagnes d'éducation sur les logiques RSE.
00:56:30Et puis évidemment on utilise au quotidien nos antennes pour parler de la RSE et interpeller le grand public. Je pense que c'est un sujet dont on va entendre parler dans les mois et les années à venir encore et encore parce qu'il est effectivement très préoccupant.
00:56:44Mais je suis fier de voir que le marché publicitaire ce soir se mobilise sur ce sujet et je vous remercie tous membres du jury pour ce prix.
00:56:54Bravo, une petite photo. On continue Sébastien avec la prochaine catégorie médias, régie, presse, RSE.
00:57:02Absolument et comme vous avez pu le voir avec tous les dispositifs qu'on a vu depuis le début de la soirée, c'est une catégorie très bataillée avec d'excellentes notes et on démarre par un prix bronze dans cette catégorie qui est décernée à 366. Bravo à eux.
00:57:18Et donc dans cette bataille pour ce prix du meilleur médias et régie, presse, RSE de l'année, on a deux prix or ex-aequo dans cette catégorie. Le premier prix or est décerné à Marie-Claire et j'appelle sur scène pour recevoir ce prix Guénel Thébault, directrice générale déléguée du groupe Marie-Claire et Anouk Khol, directrice exécutive de GMC Média.
00:57:46Merci Sébastien, merci Émilie. Au nom de toutes les équipes, merci au jury, merci à ses présidents. Nous sommes vraiment très très fiers de recevoir ce prix ce soir qui vient célébrer 87 années d'engagement auprès des femmes, 87 années d'engagement éditorial avec les grandes enquêtes que nous menons, les grands reportages aux quatre coins du monde.
00:58:15Mais aussi les numéros spéciaux qui nous ont valu de recevoir la qualification IPG il y a deux ans, à la fois pour notre magazine et notre site Internet. 87 années aussi d'engagement sur le terrain parce que nos journalistes ont toujours aimé faire bouger les lignes en allant mobiliser directement tous ceux qui veulent agir pour les femmes.
00:58:37Dans les années 60, nos journalistes sont allés au Vatican pour défendre l'accès à la contraception auprès du pape. Et ce matin, nous étions au ministère de la Défense avec le ministre Sébastien Lecornu et plus de 200 femmes pour travailler sur la représentation des femmes dans les métiers de la défense et de la cybersécurité.
00:59:03Donc, nos engagements ont évolué avec le temps, comme vous le voyez. Aujourd'hui, nous les menons avec nos rédactions, mais aussi main dans la main avec notre régie et notre service de diversification. Bravo et merci à toutes nos équipes.
00:59:19Et nous sommes très engagés sur, évidemment, l'égalité et l'inclusion. Nous avons créé il y a 5 ans un think tank parrainé par le gouvernement et soutenu par une trentaine d'entreprises. Un think tank qui édite des livres blancs chaque année avec des propositions concrètes.
00:59:37Nous sommes très engagés pour le climat et une consommation plus responsable. Et à ce titre, nous avons deux initiatives très fortes, une initiative en faveur de la mode responsable, Fashion of Future avec le groupe Kering et une autre initiative qui s'appelle Beauty for Good que nous avons développée avec la Fébéa et des acteurs de la beauté.
00:59:59Et puis, enfin, nous sommes très engagés aussi aujourd'hui dans la santé, la santé mentale et surtout la lutte contre le cancer du sein, puisque nous sommes membres cofondateurs de Ruban Rose, qui donc sensibilise les femmes au dépistage précoce et qui vient aussi lever des fonds pour la recherche.
01:00:17Cette année, plus de 3 millions d'euros. Voilà. Bravo, merci beaucoup. Merci, merci au jury. Et puis, comme le disait Gwenaëlle, c'est vrai qu'on est très enthousiasmant parce que nous, notre objectif, évidemment, c'est de faire bouger les lignes au quotidien.
01:00:33Et pour le coup, ce prix, on veut vraiment le décerner aussi aux équipes. Je vois Anne-Caroline, Jean-Jacques, Catherine et toutes les équipes de la rédaction et de la régie, parce que l'objectif, c'est de, avec beaucoup d'authenticité, de sincérité, de continuer à faire bouger les lignes ensemble. Merci. Bravo.
01:00:51Comme je l'ai dit, c'était un prix très bataillé. Pour remettre le prochain prix or, j'accueille de nouveau sur scène Alexis Goujon, directeur général des relocalisateurs, partenaire de l'événement. Alexis.
01:01:03Alors, je vais te remettre l'enveloppe pour que tu me dises ce qui a gagné. Mais avant ça, peut-être, tu as dit un mot déjà sur les relocalisateurs tout à l'heure. Je ne sais pas si tu as quelque chose à ajouter.
01:01:25Difficile, après tous ces beaux cas, de reparler. En tout cas, je vais peut-être plutôt parler avec des relocalisateurs du plaisir que j'ai à remettre ce grand prix. Je ne vais pas le dire tout de suite, mais à l'entrevue, ce qui a gagné ce prix or. Parce qu'effectivement, c'est une société qui, je pense, partage, en tout cas, porte les valeurs qu'on essaie de porter également au sein des relocalisateurs, en tout cas sur un certain nombre de sujets.
01:01:53Donc, je suis particulièrement ravi et fier de le faire. Et donc, c'est qui? Pour bien faire durer un peu le suspense. Alors, le prix or dans la catégorie médias et régie presse est décerné à Bayard Média Développement. On appelle à nouveau Bayard qui aura brillé ce soir.
01:02:23Bonsoir à toutes. Bonsoir à tous. Merci. Nous sommes très honorés, très heureux. On va rester très humble parce que le travail continue. Je pense que le travail est devant nous et pas derrière nous. Nous avons depuis 7 ans positionné la régie comme une régie responsable.
01:02:45Je fais une toute petite parenthèse, mais en fait, c'est un sujet qui me tient à cœur depuis 25 ans. Et donc, pour moi, il était indispensable de positionner la régie comme une régie responsable parce que nous avions une légitimité en tant que groupe.
01:03:00Le groupe Bayard, qui est un groupe, qui est une société à émission depuis janvier 2023. Mais au-delà de ça, c'est depuis sa création. C'est une société qui apporte beaucoup de sens à notre vie en commun. Et ça, c'est très important. Donc, nous avons fait plein de choses comme des petits colibris que nous sommes parce que nous sommes surtout une équipe.
01:03:22Nous avons tout d'abord, il y a 7 ans, décidé de ne prendre des publicités que si elles étaient acceptées par la RPP. C'était un défi, quoique. Donc, nous avons décidé parce que le portefeuille publicitaire de la régie était quand même composé de beaucoup de VP6 et les VP6 ne se passent pas toujours par la RPP.
01:03:42Donc, nous avons décidé de le faire. Ça a été courageux de notre part. Mais aujourd'hui, ça nous porte parce que ça nous permet d'avoir un portefeuille extrêmement solide composé d'annonceurs du top 50 art et affiliés.
01:03:56Ça, c'était une première chose. Ensuite, des choses, voilà. Et quand nous sommes arrivés au sein du groupe Bayard, Antoine y était déjà, il y a été un commercial. Carline est arrivée ensuite. Nous avons dû aussi apporter une pédagogie à l'intérieur même du groupe pour dire que la publicité, c'était aussi de la publicité responsable, qu'il n'y avait pas que les rédactions. Donc, il a fallu qu'on prenne notre petit bâton de pèlerin, c'est le cas de le dire, pour dire que la publicité pouvait servir aussi à une société plus juste, plus vertueuse et plus durable.
01:04:24Et que la communication peut transformer les usages et les comportements des citoyens français. On l'a bien vu, par exemple, j'en donne qu'un exemple, la sécurité routière. Donc, on a amplifié l'action. J'ai fait un appel aux équipes en disant qu'il nous faut une team qui porte ce discours-là au niveau de la régie, mais au niveau du groupe Bayard, où nous sommes plus de 1 200 salariés, pour dire que la publicité, ce n'est pas que de la surconsommation.
01:04:51Donc, il y a eu un premier team qui a été créé. Cette team a travaillé des études, a travaillé des solutions marketing, a travaillé des offres, etc. Bref, on a porté les sujets auprès de nos annonceurs, mais nous avons un point de force au sein du groupe, c'est la capacité à pouvoir créer de nouveaux récits.
01:05:09Donc ça, vous le savez, le groupe Bayard est intervenu plusieurs fois. Donc, c'est une force indéniable. Et nous pensons, et je porte ça, que la force du récit peut être la force du récit publicitaire. Et on le voit bien avec les récompenses de ce soir avec Australiad et l'autre agence de publicité. Pardonnez-moi, je n'ai pas retenu le nom. Je ne la connaissais pas encore.
01:05:31Voilà, tout à fait. Très bien. Donc, cette force du récit peut porter, en tout cas, une transformation de notre société. Et donc, à notre humble mesure, nous essayons de le faire. Alors, quand vous voyez Positive Company, nous sommes la première régie, aujourd'hui, tous médias confondus, à avoir eu deux étoiles. C'est vrai qu'on a un certain nombre, parce que, comme le disait tout à l'heure, France Télévisions Publicité, c'est que c'est un audit qui est très long, parce que c'est 3 à 4 mois d'audit.
01:05:59Donc, c'est vraiment très, très long. Et nous avons eu tout passer sur le tamis. Et donc, on a eu ces deux étoiles. Entre autres, dans les autres actions qui ont marqué, en tout cas, notre capacité à être une régie responsable, c'est qu'on a créé un webinaire.
01:06:14Encore quelques secondes.
01:06:15Les rencontres du Consommer Mieux. Et ces rencontres du Consommer Mieux, c'était la rencontre entre le marketing et la publicité. Et on a fait intervenir des sociologues, des anthropologues, des journalistes et puis des hommes, bien évidemment, de la publicité, du milieu publicitaire, qui sont venus débattre sur le fait de consommer mieux, voire de consommer moins.
01:06:33Et c'était passionnant. Il y en a eu 5, 40 000 interactions. Et je vous conseille d'aller les voir, parce qu'il y a des choses qui sont dites qu'on ne dit jamais.
01:06:40Merci, Fabienne. Bravo. Merci. Bravo. Toutes vos actions. Vous pouvez les relire, d'ailleurs, dans The Good, qui relaie notamment tout ce que fait Bayard dans ses colonnes.
01:06:52Alors prochaine catégorie, c'est la catégorie médias, régie, affichage, RSE. Alors un prix bronze dans cette catégorie est décerné à Citiz Media. Bravo. Et le prix or est décerné à JCDecaux. Félicitations.
01:07:14J'appelle pour en parler Jean Muller, qui est directeur général délégué en charge du commerce et du développement chez JCDecaux.
01:07:29Bien. Bonsoir. Et merci beaucoup. Merci beaucoup d'abord à Influencia d'avoir mis en place ce grand prix qui trouve sa vitesse de croisière.
01:07:41Et un grand merci au jury, parce que c'est un prix qui va faire plaisir à beaucoup, beaucoup de nos collègues et qui vient récompenser beaucoup d'efforts.
01:07:53Alors des efforts récents, mais j'ai envie de dire des efforts depuis notre création il y a 60 ans, avec la volonté de créer un média utile et durable, utile par l'originalité et la vertuosité de son modèle économique,
01:08:07puisque c'est la communication des marques, il faut le rappeler, qui finance des biens et des services offerts aux collectivités locales. Et c'est un modèle qui est triplement vertueux économiquement, écologiquement et socialement.
01:08:23Quelques chiffres. 50% de nos ressources aujourd'hui sont reversées à nos mandants, les villes, les collectivités locales, les autorités de transport. Un emploi JCDecaux crée en France, génère en France 3,7 emplois.
01:08:37Et puis 50% de notre chiffre d'affaires est déjà éligible à ce qu'on appelle la taxinomie, c'est-à-dire tous les investissements qui sont faits en faveur de la transition.
01:08:49Alors notre engagement, c'est un engagement qui est en phase avec les accords de Paris, puisqu'il s'agit d'être net zéro carbone à échange de 2050, avec une première étape en 2030 où il s'agira de réduire de 60% nos émissions de CO2.
01:09:09Alors un premier temps de passage. Entre 2019 et 2023, on les a réduits de 22%. Alors je vais vous donner les 3 leviers qui doivent nous aider à atteindre cet objectif ambitieux.
01:09:25Le premier, c'est les mobiliers. Alors c'est l'éco-conception de nos mobiliers. À VivaTech, on a présenté un abribus qui a été développé par nos ingénieurs et qui est quasiment totalement upcyclé à hauteur de 91%.
01:09:39C'est-à-dire que ce sont des matériaux déjà utilisés qui servent à sa conception. On charge maintenant aux collectivités locales de le choisir dans les appels d'offres.
01:09:49Deuxième effort, c'est l'énergie. Et pour ça, c'est des investissements qui sont colossaux, puisqu'il s'agit de remplacer les néons qui équipaient nos mobiliers par une technologie LED.
01:10:04Et ça, ça nous a déjà permis en 10 ans de réduire de 60% notre consommation électrique.
01:10:11Et puis un troisième levier, qui est celui des déplacements. Et évidemment, il faut muter la flotte. Jean-Marc, tout à l'heure, m'a recommandé de réaliser nos opérations d'affichage avec des vélos cargo.
01:10:24Alors on n'est pas encore là, mais c'est une idée qu'on va soumettre, Jean-Marc. Mais déjà, effectivement, on mute la flotte. Et puis à chaque fois qu'on développe des systèmes de vélos en libre-service,
01:10:34eh bien on encourage tout un chacun à utiliser des modes de développement plus responsables. Et par exemple, on vient de rééquiper l'ensemble de la ville de Toulouse avec notre système de vélos en libre-service.
01:10:48Et on le fait aussi dans des grandes villes comme celle de Lyon. Donc merci beaucoup, parce que ces efforts sont colossaux en matière à la fois financière, mais aussi c'est un défi technologique.
01:11:02Et puis ça mobilise beaucoup de nos équipes. Donc je vais proposer à Alban et à Clémentine de me rejoindre pour faire la photo, parce que vous êtes des magnifiques porte-parole de toutes ces ambitions. Merci beaucoup.
01:11:14Pendant qu'on fait la photo, on arrive presque à la fin de la mise des prix. C'est la dernière catégorie média, qui est la catégorie média Régie Digitale RSE. Après, on passera au Grand Prix.
01:11:30Et pour la catégorie média Régie Digitale RSE, il n'y a pas de prix or, mais il y a un prix argent dans cette catégorie qui est décerné à Tids. Et j'appelle sur scène pour recevoir sur scène les représentants de Tids, Julien et Giancarlo.
01:11:47Merci beaucoup. On est très fiers d'avoir ce prix. En France, on a de la chance, parce qu'on a des journalistes de qualité. Et dans le contexte démocratique qu'on connaît, je pense qu'on en a encore plus besoin que d'habitude.
01:12:14Et vous savez qu'on travaille avec des centaines et des centaines de sites. Et ce prix va aussi asséciter. On en est très fiers. Après, on a aussi plein d'ingénieurs. Ils se sont lancés le défi de réduire notre empreinte carbone.
01:12:27Je ne vais pas tout vous raconter ce qu'ils ont fait, mais ils ont déplacé les serveurs. Ils ont travaillé sur les BitRequest. Ils ont travaillé sur la compression des créas, etc. Et on a diminué l'empreinte carbone de 20%.
01:12:38Ils vont être très fiers. On est très fiers. On a encore beaucoup de travail devant nous. On va postuler. Et on espère l'année prochaine gagner l'or. Merci.
01:12:47Merci beaucoup et bravo.
01:12:49Sébastien, on y est. C'est parti. Alors ce soir, nous ne remettons pas un grand prix, mais deux grands prix et un coup de cœur. Alors pour remettre tout d'abord le coup de cœur, j'appelle à nouveau les deux coprésidents du jury.
01:13:05C'est parti. C'est Stéphane Martin et Gautier Piquet. Venez nous rejoindre sur scène.
01:13:16Et on commence avec le premier coup de cœur du jury, messieurs. On ouvre l'enveloppe. On ouvre. On va lire le coup de cœur du jury décerné à AXA Prévention Hungry and Foolish pour Mon Cœur.
01:13:31Félicitations. Coup de cœur pour Mon Cœur. On appelle sur scène Mathieu Reynard, président de Hungry and Foolish, à revenir sur scène. Félicitations.
01:13:45Et cette fois-ci, on va essayer quand même, puisque c'est comme un grand prix, un coup de cœur, on va essayer de vous montrer le film. Le voici. Ah, il n'y a pas le son.
01:14:15T'es courageux. T'es courageux mon cœur.
01:14:24Ça va aller mon cœur.
01:14:45Remercie énormément. Merci au jury. Ecoute, tu fais ça très bien. Non mais recevoir le coup de cœur du jury pour un film qui s'appelle Mon Cœur et une action aussi concrète sur le sujet, c'est top. Donc merci énormément.
01:15:15Et donc nous enchaînons Sébastien avec le premier grand prix. Messieurs, c'est toujours vous pour annoncer le vainqueur du grand prix des dispositifs médias et communications.
01:15:36Absolument. Alors ce grand prix est décerné à 366 pour Enquête de Demain. Félicitations. Et pour recevoir ce prix, je rappelle Sandy et Stéphane également. Stéphane Delaporte qui est directeur général de 366.
01:16:06Merci infiniment. Merci, merci au jury. Je le montre. Je suis très, très fière de recevoir ce prix pour plusieurs raisons.
01:16:27Premièrement, d'abord, cela vient récompenser la vision d'un homme qui n'est pas là ce soir, qui aurait bien aimé être à tes côtés parce que ce n'est pas la première fois que vous recevez des prix ensemble, à savoir Christian de Bois-Rodon qui est le fondateur de Sparknews.
01:16:41Et c'est la récompense d'une vision, celle qui l'anime depuis 13 ans, depuis la création de Sparknews, qui consiste à mobiliser les médias au service de la transition, à faire émerger le journalisme de solution et le journalisme constructif.
01:16:56C'est une démarche qui nous anime depuis 13 ans à l'échelle internationale et l'idée est venue de le faire à l'échelle, finalement, territoriale. C'est vraiment l'aboutissement aussi de fortes convictions qu'il anime.
01:17:15C'est également une grande fierté pour une collaboration qui concerne énormément d'acteurs. On l'a dit tout à l'heure, 12 groupes éditeurs qui ont accepté de bosser ensemble, 52 rédactions, 200 journalistes, toute une équipe mobilisée chez toi également, des annonceurs et nous avons également les soutiens d'institutions comme l'Office français de la biodiversité,
01:17:41comme l'Agence nationale de la cohésion des territoires et les agences de l'eau. Et puis le résultat qui est là, une cinquantaine d'articles deux fois par an qui viennent irriguer les territoires et les citoyens et qui leur montrent que la transition est en marche, et ça d'un point de vue systémique, sans approche effrayante de crise, mais qui leur montrent que d'autres voies sont possibles et sont déjà en chemin.
01:18:06Et ça c'est une immense fierté et puis je le dédie également à l'équipe. On a Hermine d'un côté, Agnès de l'autre et toute une équipe chez Sparknews et chez 366 mobilisés.
01:18:18Merci. Bon, donc tu as parlé de ce produit et de ce prix. Je remercie infiniment le jury, les deux co-présidents, de nous avoir effectivement primé ce soir avec Sparknews. Mais moi je voudrais vous parler en 5 minutes surtout de la partie sociétale de l'ARSE.
01:18:36On est très impliqués, la PQR, les marques qu'on représente, sur l'aspect de la responsabilité sociétale de l'ARSE. Et la responsabilité sociétale, ce n'est pas uniquement les problèmes de carbone, de carbonisation, de respect du climat.
01:18:52C'est une posture qui est pour nous très importante puisque, en fait, on représente le pouls de la société française au travers des territoires. Et vous savez qu'en ce moment, puisqu'on va voter samedi, il y a quand même un vrai sujet de responsabilité sociétale des entreprises et en particulier des médias puisque aujourd'hui, tout acte de communication est un acte politique.
01:19:20Les injonctions qui sont faites aux entreprises d'aujourd'hui, notamment aux entreprises commerciales, sont des injonctions pour la plupart qui sont des injonctions qui étaient faites avant au monde politique. Et devant une difficulté à traduire un certain nombre d'éléments très concrets par rapport aux aspects politiques, la population se tourne vers les entreprises et presse les entreprises avec des injonctions politiques.
01:19:42Et donc, nous, comme on est le reflet du pouls d'une certaine France, par exemple, tous les problèmes de cristallisation aujourd'hui, on le voit depuis très longtemps au travers de notre étude française-français apparaître au travers des territoires, on a une responsabilité sociétale.
01:20:02C'est pour ça que la PQR, dans le traitement de l'information, a toujours un traitement honnête. Ce n'est pas qu'il n'est pas politique, c'est qu'il est non politisé et il est le plus pragmatique possible. Et c'est ça qu'on veut apporter quand on fait avec Sparknews Enquête de demain.
01:20:20Est-ce qu'on traduit la RSE sur la partie, alors par contre, respect du climat d'une façon très concrète pour que les gens puissent voir véritablement ce que leur engagement donne concrètement près de chez eux ? Voilà. C'est un petit message subliminal de la fonction que nous avons, nous, qui est une fonction très tournée vers le respect de la stabilité démocratique du pays. Merci pour ce prix.
01:20:46Merci beaucoup. Merci beaucoup à vous deux. C'est vrai que ce grand prix, le vote a été très disputé. Et évidemment, on a vu des choses superbes comme le livret sur le cyberharcèlement, comme ce qu'a fait Bayard également sur l'information.
01:21:05Et donc, dans ce débat du jury, le jury a souhaité récompenser Enquête de demain et donner le grand prix à Enquête de demain. Et Dieu sait que la concurrence cette année était rude avec des très, très beaux cas qu'on a pu voir ce soir.
01:21:19Et c'est maintenant l'heure du dernier prix, l'heure du grand prix des médias et des régies de l'année, donc tous médias confondus. Quelle est l'entreprise de médias à qui on a souhaité décerner ce grand prix cette année ?
01:21:31Et je demande à nouveau à Stéphane et Gauthier de dévoiler le grand vainqueur de ce soir. Mais je pense que vous l'avez déjà deviné.
01:21:39On n'arrête pas. Donc à l'unanimité, au jury, nous avons décidé d'attribuer le grand prix des médias 2024 à Bayard. Un très grand bravo.
01:21:52Applaudissements.
01:22:10Le jury a vraiment voulu récompenser le média et la régie, l'ensemble du groupe Bayard. Donc c'est vraiment le groupe Bayard qui est ce soir récompensé par le jury.
01:22:22Alors moi, je représente une partie du groupe Bayard, Bayard Jeunesse. Je vais juste vous donner quelques mots, parce que vous nous avez beaucoup, beaucoup vus sur scène ce soir.
01:22:32Donc merci déjà. Dans quelques jours, vous verrez, j'espère, on va dévoiler notre nouvelle plateforme de marque, quelque chose que vous maîtrisez tous, et sa signature.
01:22:42On a choisi grandir en confiance. Mais plus qu'un positionnement, ce message, c'est le rôle que nous nous assignons depuis 60 ans. En presse, en édition, et aussi en audio, sur le numérique, en audiovisuel, et sur tous les touchpoints qu'on utilise.
01:23:00Mais vous en conviendrez qu'aujourd'hui, aider les enfants et les adolescents à grandir en confiance, c'est plus qu'un sacré défi. C'est une gageur, c'est compliqué, c'est difficile dans le monde qu'est le nôtre.
01:23:12Alors concrètement, qu'est-ce que cela veut dire ? Cela veut dire qu'on se promet d'être toujours, toujours du côté de la solution, de la prévention et de l'éducation, comme vous l'avez vu ce soir dans les catégories qui ont été primées.
01:23:24Mais ça veut dire aussi qu'on se doit d'équiper les enfants, d'équiper les enfants avec des informations adaptées à leur âge, qui peuvent comprendre, et surtout de repères pour les mettre à l'action.
01:23:34Concrètement, grandir en confiance, ça veut dire bien se connaître, mais aussi comprendre les autres et découvrir le monde. Et vous le savez aussi, cela n'a jamais été aussi important que dans le monde dans lequel on vit aujourd'hui.
01:23:48Car oui, on en est convaincus chez Bayard Jeunesse. La jeunesse, c'est notre avenir. Et ce soir, en remettant ces prix, vous nous redites vraiment à quel point une offre jeunesse exigeante et de qualité est essentielle pour vivre en démocratie.
01:24:04Donc vraiment, du fond du cœur, un grand merci. Ça récompense un travail, évidemment, mais ça récompense un engagement extrêmement fort de ces équipes. Il y a très longtemps, on pensait que la presse jeunesse était là pour divertir uniquement, faire des coloriages.
01:24:18Vous voyez le pas de géant qu'on a franchi. On est là aussi pour faire de nos enfants des citoyens de demain et les aider à grandir dans un monde qui se complexifie avec toute la confiance en eux et envers les autres qu'ils méritent.
01:24:32Un grand, grand merci. Bravo. Merci beaucoup aux jurys et ceux qui présidaient ce jury. Merci beaucoup. Nous sommes très touchés, très honorés, comme je l'ai dit précédemment.
01:24:50Nous incarnons le prolongement de l'excellence et de la responsabilité du groupe Bayard en proposant des solutions de communication ayant du sens. Vous ne le savez peut-être pas, mais nous gagnons aujourd'hui des compétitions avec des agences de publicité. Nous gagnons des appels d'offres.
01:25:06C'est un signe du sérieux et de la capacité à pouvoir raconter de nouveaux récits. Et ce que je souhaitais dire, c'est qu'avec Eloïse, on travaille main dans la main. C'est que le leaflet sur cyberharcèlement, vous avez vu le nombre d'annonceurs.
01:25:20Nous avons réussi à convaincre, à les embarquer. Ils n'ont pas de publicité à l'intérieur pour pouvoir réaliser ce leaflet. Ça veut dire quoi ? Ça veut dire que la publicité fait partie de l'économie des médias et que sans publicité, un média a du mal à vivre.
01:25:34Et ça, c'est très important de le souligner. Et c'est pour ce pourquoi j'insiste beaucoup sur la publicité responsable, celle qui a un impact positif sur notre société, parce que je crois profondément que nous pouvons y arriver tous ensemble. Merci beaucoup.
01:25:48J'aimerais que les équipes de Bayard Jeunesse viennent pour cette photo. On est plus que deux évidemment à représenter et les équipes de Bayard aussi.
01:25:56Et celles de Bayard Média Développement également, car seules, on ne fait rien. Ensemble, on fait beaucoup de choses.
01:26:06Bravo à Bayard et dès que Bayard a fini sa photo, j'invite tous les lauréats à monter sur scène. On va faire une photo avec l'ensemble des lauréats juste après la photo du vainqueur.
01:26:36Alors, vous allez maintenant pouvoir tous monter sur scène pour la photo de l'ensemble des lauréats.
01:26:51Non, mais Gauthier et Stéphane, ne partez pas. Avant de vous quitter, il y a un verre juste après et vous pouvez repartir avec la dernière revue Influencia et The Good qui vient de sortir, qui est toute neuve.
01:27:11Merci à vous tous. Merci aux partenaires et que tous les lauréats montent sur scène pour la photo. Merci et on se retrouve après Sébastien pour un petit cocktail. Bravo à tous les lauréats et merci à vous.
01:27:41Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org