Quelle sera la politique de logement du prochain gouvernement ? - Parlons Immo

  • il y a 3 mois
Avec Gil Avérous, maire de Châteauroux et président de Villes de France & Thibaut Antoine-Pollet, Président SAS Locacoeur

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##PARLONS_IMMO-2024-06-22##

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Transcript
00:00Nextcity, premier promoteur résidentiel. Trouvez votre logement partout en France sur nextcity.fr.
00:06Nextcity présente Sud Radio, parlons IMO, Sylvain Lévy-Valency.
00:11Votre rendez-vous 100% immobilier sur Sud Radio comme tous les samedis jusqu'à 10h avec en maître de cérémonie le fondateur de Radio IMO.
00:19Bonjour Sylvain Lévy-Valency. Bonjour Jean-Marie et bonjour à tous.
00:22Au programme aujourd'hui ?
00:23Eh bien écoutez, au programme on va parler de la politique du logement, on est dans le cœur du sujet, on verra comment s'articulent ces thématiques et on en parlera avec un maire de France, il était temps.
00:33Exactement, la parole à nos élus locaux et aux représentants de ces villes de France qui sont des préfectures ou des sous-préfectures.
00:39On va parler aussi des questions que vous nous posez sur le répondeur de Sud Radio.
00:43On va parler d'ailleurs des fibrillateurs justement avec un de nos experts.
00:46On fera le tour également avec notre amie Grégoire qui est de retour sur, parlons IMO, le Tour de France, des prix de l'immobilier également et bien évidemment on aura le journal et les actus très fraîches, très chaudes de Bérénice Deville.
00:58Evidemment et d'ailleurs elle fait son entrée sur le studio Sud Radio avec un tapis rouge.
01:02Bérénice Deville-Floriot, les infos de la semaine à retenir, c'est avec vous et Sylvain Lévy-Valency.
01:07Merci, bonjour Bérénice. Bonjour à tous.
01:09Les infos à retenir cette semaine, on va commencer notamment avec la proposition, on est dans le cœur de l'actualité du Rassemblement National, concernant la rénovation énergétique.
01:19Oui, c'est vrai que, je tiens juste à souligner que, au moins pour ces élections législatives, le logement fait partie des programmes.
01:27Parce que ce n'était pas le cas lors des précédentes élections législatives ni lors des élections présidentielles.
01:31Donc là, au moins on ne va pas se plaindre, il est sur tous les programmes.
01:34Alors concernant le Rassemblement National, oui, Jordan Bardella veut lever les interdictions de location liées, vous savez, au DPE, au Diagnostic de Performance Énergétique,
01:44qui est inscrit dans la loi Climat et Résilience de 2021.
01:47Selon lui, les interdictions, je cite ces mots, qui sont liées au DPE, quand vous voulez mettre en location votre logement ou en vente, sont tellement compliquées que ça immobilise et ça paralyse tout le marché du logement.
01:58Donc le député européen souhaite maintenir le Diagnostic de Performance Énergétique comme outil de mesure,
02:04afin de voir les travaux de rénovation que vous avez à effectuer dans votre logement, mais il veut abandonner l'interdiction de louer des logements mal notés.
02:12Absolument, et d'ailleurs, il n'enlève pas le caractère opposable du DPE, simplement il veut lever le moratoire.
02:18Est-ce que vous pouvez nous rappeler, juste pour celles et ceux qui nous écoutent, quel est le principe du DPE et le calendrier de la loi Climat et Résilience ?
02:25Alors, est associé à ce DPE un calendrier, donc pour les propriétaires qui louent leur logement,
02:30donc il donne une note, le DPE, à votre logement, les notes vont de A à G en fonction de sa performance énergétique.
02:37A étant la meilleure note et G la moins bonne.
02:40Les logements F et G, on les appelle les passoires thermiques, ce sont les plus énergivores.
02:44Et le but, vous l'avez compris, de ce calendrier, c'est de pousser les propriétaires à rénover.
02:49Donc le calendrier a été fixé aussi par la loi Climat et Résilience.
02:52Donc ce calendrier interdira la location à partir du 1er janvier prochain, donc 1er janvier 2025,
02:58les logements classés G, 1er janvier 2028 ceux classés F et 1er janvier 2034 ceux classés E.
03:06Alors justement, pour les acteurs du secteur de la rénovation énergétique, est-ce que cette proposition serait dangereuse ?
03:12Oui, c'est ce qu'ils ont déclaré, ils se sont tout de suite empressés pour le dire.
03:16Après, c'est aussi leur business, donc forcément, les professionnels du secteur rappellent que de nombreux emplois dépendent de ce dispositif.
03:23Selon eux, la rénovation énergétique représenterait 4 millions d'emplois directs ou indirects, surtout dans les territoires.
03:30Je rappelle qu'il y a beaucoup d'artisans qui sont spécialisés dans la rénovation énergétique.
03:33Après, ils reconnaissent que ce calendrier est difficilement tenable et risque d'accélérer la pénurie de logements.
03:39Ils en ont conscience, la pénurie de logements en location.
03:42Mais selon les professionnels du secteur, il faudrait le décaler et non pas le supprimer.
03:46Bien sûr. Alors, on va changer de parti, puisqu'on est en démocratie, même sur Sud Radio et tout le monde.
03:52Et même sur Radio-Imo !
03:53Et même sur Radio-Imo, merci Jean-Marie.
03:56Alors, le Premier ministre, Gabriel Attal, a lui aussi fait une proposition, il était temps, au pouls de 4 gouvernements et de 5 ministres du logement, pour relancer le secteur.
04:04Oui, alors Gabriel Attal veut supprimer les frais de notaire.
04:07Vous savez qu'on appelle... Enfin, c'est vulgarisé, on appelle ça les frais de notaire.
04:11En fait, c'est les droits de mutation.
04:13Donc, il veut les exonérer sur tous les logements de moins de 250 000 euros pour les jeunes de classe moyenne et populaire,
04:21ce qu'on appelle les primo-accédants, ceux qui achètent pour la première fois.
04:24Alors, l'objectif, évidemment, c'est de redonner du pouvoir d'achat aux ménages français.
04:28Les frais de notaire, donc les droits de mutation, s'élèvent à environ 8,3% du prix d'achat.
04:34Donc, c'est pas négligeable, quand on achète.
04:37Ils sont payés, donc, par l'acheteur.
04:39Frais de notaire, c'est quoi, en fait ?
04:41C'est composé de la TVA, des droits de mutation à titre onéreux, qui, eux, partent dans les départements et les communes.
04:47On pourra en parler avec notre invité.
04:48Et finalement, les notaires ne touchent qu'une faible part, puisqu'ils ne touchent que 0,82% du coût global d'achat.
04:58Donc, en fait, les notaires, ce sont des collecteurs pour les collectivités, collecteurs de taxes.
05:03Absolument, ce qu'on appelle les tiers collecteurs, en tant qu'officier ministériel, par délégation.
05:08On va terminer, toujours, dans notre journal, avec une info un peu sympa, avec une chanteuse qui vient de nous quitter,
05:14parce que c'est l'appel à la nostalgie, c'est Françoise Hardy.
05:17Oui, tout à fait. Alors, Françoise Hardy, qui nous a quittés, s'était très bien organisée pour que son fils Thomas
05:23n'ait pas à payer de droits de succession exorbitants.
05:26Et, je vais vous donner un petit tuyau, en fait, elle lui avait donné la nue propriété de ses biens.
05:32C'est-à-dire, les murs de tous ses biens immobiliers appartenaient à son fils et elle en avait gardé l'usufruit.
05:38C'est-à-dire qu'elle pouvait utiliser ses biens. Bon, après, il faut bien s'entendre avec ses enfants, si vous faites ça.
05:44Et du coup, elle a pu en percevoir aussi les revenus jusqu'à sa mort.
05:49Et donc, les droits de donation ont été calculés sur la valeur de la nue propriété uniquement,
05:54et non sur la pleine propriété. Et donc, c'est pour ça que ça a été, évidemment, abaissé dans ce cas-là.
06:00Donc, c'est quelque chose à faire. Et quand on commence à prendre des béhaves, quand on a des enfants, il faut préparer sa succession.
06:06C'est une très bonne solution de démembrer la propriété du vivant de ses enfants.
06:09Et on règle par anticipation la fiscalité, ce qui est une très bonne chose.
06:14Absolument. Écoutez, on fera ça. Mais on va parler maintenant de la suite de notre politique du logement,
06:19puisque je vous rappelle que nous sommes en période électorale.
06:22Quel gouvernement prendra le pouvoir dans quelques semaines ? Et surtout, quelle sera sa politique de logement ?
06:26On va en parler avec notre invité, puisque c'est un représentant des élus locaux que nous recevons aujourd'hui.
06:31Absolument. C'est Gilles Amirouz qui est avec nous, qui est le maire de Châteauroux, président de Châteauroux Métropole,
06:36également vice-président du département de l'Indre, et il est président également de Ville de France.
06:42Et nous sommes ravis de le recevoir sur ce plateau.
06:44A tout de suite, sur Sud Radio.
06:49Votre rendez-vous 100% immobilier sur Sud Radio, comme tous les samedis, avec Sylvain Lévy-Valency et son invité.
06:54Absolument. Bonjour Gilles Amirouz.
06:56Bonjour.
06:57Merci d'être avec nous, vous le savez. Parlons IMO, Radio IMO et Sud Radio. Nous aimons les maires de France.
07:02Vous êtes maire de Châteauroux, vous êtes président également de Châteauroux Métropole,
07:06vice-président du département de l'Inde et président de Ville de France.
07:10On est ravis de vous recevoir sur ce plateau. Vous êtes à la parole.
07:13Vous êtes très engagé pour les communes françaises.
07:15Peut-être un petit mot sur la situation actuelle, peut-être du logement, mais plus largement,
07:20qu'on parle un peu plus de l'association que vous présidez, des Villes de France.
07:23Je crois que vous êtes 200 villes adhérentes.
07:25Ça, 200 villes adhérentes, des villes moyennes, des villes d'entre 10 000 et 100 000 habitants,
07:28plutôt des villes préfectures, sous-préfectures, qui ont souffert de désindustrialisation,
07:33d'étalement urbain, de réforme de la carte militaire également,
07:37avec des régiments de trains fermés ici ou là sur le territoire national,
07:40et puis également de la grande régionalisation.
07:42On a vu une concentration de l'emploi administratif sur des préfectures de régions,
07:46des grandes préfectures de régions, souvent en détriment des préfectures de départements et des sous-préfectures.
07:50Alors, souvent, on a l'impression, vous savez, que les Villes de France,
07:53on a les grandes métropoles qui aspirent finalement toute la richesse,
07:56l'industrie, l'emploi, les grands bassins,
07:58et on voit des migrations, effectivement, de villes moyennes qui se dépeuplent un peu.
08:03Est-ce qu'à Châteauroux, vous vivez la même situation,
08:06en sachant que vous n'avez pas été parti à Châteauroux,
08:08vous aviez connu cette période où il y avait les régiments, l'armée dans les années 60,
08:12et ensuite il y a eu un départ brusque.
08:14Est-ce qu'aujourd'hui, vous considérez que des villes comme la vôtre
08:17sont les challengers, les villes outsiders de demain ?
08:19Oui, complètement.
08:20Alors, la situation est différente entre les villes et les régions dans lesquelles elles se situent.
08:24Celles qui sont sur le littoral, qui connaissent un dynamisme touristique, économique,
08:28évidemment, sont sur une tendance haussière, j'allais dire naturelle,
08:32et toutes les autres qui sont sur le nord, l'est, le grand centre de la France
08:37ont connu une déprise qui a perduré,
08:40mais qui aujourd'hui constitue plutôt un atout,
08:43parce qu'on est des territoires sur lesquels on a du foncier de disponible,
08:46et vous savez qu'avec le zéro artificialisation net,
08:49le foncier sera vraiment une problématique de développement des métropoles,
08:52donc c'est une chance pour les villes moyennes de reconquérir de l'emploi
08:56à travers la réindustrialisation du pays,
08:58et j'allais dire par capillarité, de pouvoir irriguer l'ensemble du territoire,
09:01y compris la ruralité.
09:02Et si aujourd'hui, nos habitants ont besoin de retrouver confiance,
09:05ça passera sûrement par de la réindustrialisation,
09:08de la création d'emplois dans les villes moyennes,
09:10et au plus près des lieux de vie de nos villages,
09:13jusqu'aux plus petits de nos villages français.
09:15Donc vous partagez cette idée du triptyque, finalement,
09:18emploi, logement, cadre de vie, dans des villes moyennes ?
09:21Exactement, et formation j'en souhaiterais,
09:23parce qu'un des enjeux de nos territoires, c'est de garder nos jeunes sur le territoire,
09:26on sait que quand ils partent faire leurs études dans les grandes métropoles,
09:29souvent ils ne reviennent pas, ou pas tout de suite,
09:32parce qu'ils vont trouver un emploi par là-bas,
09:34qu'ils vont former une famille dans cette grande métropole,
09:36donc on a un enjeu de localiser de la formation, de l'enseignement supérieur,
09:39sur nos villes moyennes, si on veut garder et accompagner nos entreprises à se développer.
09:43Gilles Amirous, vous vous incarnez, finalement,
09:45cette génération d'élus local très aimée des Français,
09:48vous êtes très engagé pour les communes françaises,
09:50puisque vous présidez Ville de France,
09:52la situation, vous la connaissez,
09:54elle est dramatique pour le logement,
09:56alors elle est assez disparate,
09:58bien évidemment, ce n'est pas aussi tendu dans certaines régions,
10:01quel constat vous faites, justement, sur ce désastre des politiques publiques menées,
10:06alors pas que par Emmanuel Macron et ses quatre gouvernements successifs,
10:10mais cette tendance à vous ôter, à vous renier les ailes,
10:14avec les leviers de croissance que vous aviez,
10:17les dotations qui ont fondu littéralement,
10:19et pourtant des administrés qui ne cessent de vous demander,
10:22à vous les maires de France, du logement.
10:24On a une double problématique aujourd'hui,
10:26c'est-à-dire qu'on peut très difficilement accéder à la propriété,
10:29le coût de la construction a fortement augmenté,
10:32l'accès aux prêts s'est fortement rendu très difficile,
10:38la hausse des taux d'intérêt fait qu'aujourd'hui,
10:40il y a peu de foyers qui peuvent, notamment parmi les plus populaires,
10:43qui peuvent accéder à l'emprunt et donc acheter une maison ou un appartement,
10:47à côté de ça, on a tous ceux qui sont dans le parc social
10:49qui ne peuvent pas en sortir pour les mêmes raisons,
10:51parce qu'ils ne peuvent pas louer quelque chose de supérieur ou acheter une maison,
10:56ce qui fait que ceux qui devraient rentrer dans le parc social ne rentrent pas.
10:59Donc nous, ce qu'on dit aujourd'hui, c'est que la politique nationale,
11:01elle démontre ses limites et son inefficacité,
11:04et on souhaite, pour les intercommunalités volontaires,
11:07qu'on puisse avoir les leviers en matière de logement.
11:09On pense que si on décentralisait le logement auprès des intercommunalités
11:13qui veulent s'en charger, on pourrait aller plus vite,
11:15plus rapidement et plus efficacement.
11:17Il faut des moyens, mais aujourd'hui, on pourrait,
11:20si le gouvernement le souhaitait, faire mieux que ce qu'on fait
11:23avec la politique nationale de mener de manière uniforme sur tout le territoire.
11:26Alors vous le savez, en tant que maire, vous êtes les élus les plus proches des Français
11:30et ceux qui sont les plus appréciés,
11:33et pourtant on a vraiment l'impression que vous êtes malmené.
11:35Si on devait vous demander à vous, maire de la ville de Châteauroux
11:39et également maire de l'Association des villes de France,
11:42c'est quoi les premières préoccupations que vous rencontrez sur le terrain,
11:46très concrètement, tous les jours ?
11:48Très concrètement, les gens ont peur au quotidien.
11:51On est dans une France qui a vieilli.
11:53On a les seniors qui ont peur pour eux, pour leur avenir et pour leurs enfants.
11:57On a aussi les jeunes qui ont peur pour des questions de sécurité,
12:01des questions liées aussi à l'immigration.
12:03Il ne faut pas qu'il y ait de sujets tabous et il faut traiter toutes les problématiques.
12:06Ce n'est plus l'emploi, la préoccupation, c'est un peu l'avenir de son foyer.
12:11Et ça, pour les villes moyennes que nous sommes,
12:13c'est plutôt quelque chose sur lequel on peut influer de manière positive.
12:17C'est-à-dire qu'imaginer vivre dans une ville moyenne
12:20où les choses sont plus accessibles,
12:22où le transport urbain sur nos agglomérations est plutôt bien organisé,
12:27c'est des choix de vie qui peuvent séduire.
12:30On a cette opportunité aujourd'hui de pouvoir capter des populations
12:33qui viennent de plus grands ensembles,
12:35où les choses sont peut-être plus difficiles,
12:37où la sécurité est plus prégnante.
12:39En contrepartie, il faut que le gouvernement nous donne les moyens
12:43et qu'on sorte du tropisme tout au métropole.
12:49On a connu des grandes annonces pour les grands ensembles urbains
12:52et peu pour les villes moyennes.
12:54Même encore quand le président annonce la création de RER métropolitain,
12:58ce n'est pas pour les villes moyennes.
13:00Vous avez cette impression d'être un peu délaissé,
13:03d'être la variable d'ajustement du pouvoir central qui se jacobinise ?
13:07Oui, on a ce sentiment de ne pas être dans les radars.
13:10Alors qu'on se bat sur le terrain pour contribuer,
13:14on considère qu'on est tous dans le même bateau,
13:16dans le bateau France,
13:17donc on a tous intérêt à que l'ensemble des territoires se développent
13:20et de recréer de l'emploi au plus près des lieux de vie.
13:23Aujourd'hui, on peine à se faire entendre.
13:26La ruralité aussi,
13:28même si le gouvernement a donné des signes forts envers la ruralité,
13:31on a l'impression qu'entre la ruralité, les grandes métropoles, les villes,
13:34peut-être hormis le dispositif Action Coeur de Ville,
13:37et encore on pourra en parler,
13:38sont plutôt les oubliés,
13:40alors qu'elles devraient être la colonne vertébrale de la reconstruction du pays.
13:43Pour nous permettre de faire cette transition,
13:46le premier gouvernement, avec Edouard Philippe,
13:49Jacques Mézard, ministre de la Cause et des Territoires,
13:52sort un projet qui s'appelle le projet Action Coeur de Ville.
13:56Cette Coeur de Ville qui a perdu énormément d'attractivité.
13:59Je vais vous demander quelle est votre analyse sur cette question,
14:02et surtout comment, parce qu'il faut trouver des solutions,
14:05comment on peut lutter contre ce phénomène,
14:07et la problématique de ces Coeurs de Ville,
14:09c'est la gestion et la régénération de l'habitat ancien.
14:12Action Coeur de Ville, un programme assez formidable
14:15quand on regarde les résultats obtenus dans un laps de temps très court.
14:18Première génération, 2018-2022,
14:21un cadre national mais une force,
14:23on confie les clés du programme au maire,
14:26en disant c'est au maire de faire des propositions,
14:28et l'Etat n'a pas le droit d'ingérence,
14:30il accompagne les propositions faites localement, et ça marche.
14:32Là on est dans la deuxième génération, 2023-2026,
14:35où on a rajouté le traitement des entrées de villes,
14:38et puis les quartiers-gares,
14:40avec une problématique sur le logement,
14:42et effectivement cet enjeu de ramener de la population au centre-ville.
14:44Pourquoi ? Parce que le chiffre d'affaires d'un commerce,
14:46d'un commerçant de centre-ville,
14:48à 40% c'est fait par les habitants qui résident dans ce centre-ville.
14:51Si vous n'avez pas d'habitants dans le centre-ville,
14:53forcément la viabilité du commerce est plus fragile.
14:56Aujourd'hui ce qu'on dit au gouvernement,
14:58c'est qu'il faut aller plus loin, parce que depuis décembre dernier,
15:00jusqu'à Noël les choses allaient plutôt bien,
15:02la période des fêtes s'est bien passée,
15:04mais depuis six mois,
15:06il y a vraiment une chute de la consommation très forte,
15:08et il y a besoin d'aider nos commerçants,
15:10notamment dans la modernisation de leurs cellules commerciales,
15:13dans la modernisation de leurs vitrines,
15:15de leur système de chauffage,
15:17il faut vraiment venir en aide à nos commerçants,
15:19et le plus rapidement possible.
15:21Avec Ville de France, vous avez fait des propositions,
15:23en mars dernier, à Guillaume Casbarion,
15:25qui venait prendre ses fonctions,
15:27pour donner aux élus locaux les moyens d'agir concrètement en faveur du logement,
15:29et bien sûr de l'habitat.
15:31Ce projet d'ailleurs, le projet de loi Casbarion,
15:33devait démarrer le 17 juin,
15:35au Sénat, et passer à l'Assemblée Nationale.
15:37Il y a juste un problème,
15:39c'est que l'Assemblée Nationale a été dissoute,
15:41et tout est en stand-by.
15:43C'est quoi votre position sur ce sujet ?
15:45Je voudrais compléter la question,
15:47est-ce que vous y croyez ? Vous, à la transformation des logements
15:49en bureau,
15:51qui avait d'ailleurs aussi attiré
15:53votre attention,
15:55et vous le savez,
15:57puisque la presse s'en est emparée,
15:59le nouveau Front Populaire
16:01veut abroger la loi Casbarion,
16:03et le ministre du Logement
16:05d'ailleurs, à cet égard,
16:07avait déclaré que c'était
16:09réautorisé, le squat.
16:11Votre avis sur ces questions ?
16:13Notre position, elle est claire.
16:15L'Assemblée a installé le 18 juillet, il faudra s'atteler
16:17aux logements, parce que les politiques de logement sont toujours des politiques
16:19longues à mettre en oeuvre. Donc il faut
16:21démarrer le plus rapidement possible.
16:23La question des délais est une question
16:25primordiale. Nous on dit qu'il faut accélérer
16:27les procédures, c'est-à-dire qu'il ne faut plus
16:29parler de procédures qui s'enchaînent, mais il faut parler de dates
16:31de livraison. Il faut que sur une opération immobilière,
16:33on s'engage sur une date de livraison, comme on a fait
16:35pour les Jeux Olympiques. La date des Jeux Olympiques, elle était
16:37impérative, le village olympique, il fallait le livrer avant.
16:39Pour les opérations immobilières, opération par opération,
16:41pas dire maison par maison, mais
16:43immeuble par immeuble, il faut
16:45contractualiser entre l'Etat
16:47et les collectivités pour s'engager
16:49sur un timing d'instruction.
16:51Il faut réduire les délais de recours à un mois
16:53sur les actes administratifs, rendre obligatoire
16:55aussi une médiation entre
16:57celui qui contesterait une opération
16:59et le promoteur aussi dans un délai d'un mois.
17:01Il faut gagner du temps,
17:03parce qu'on sait que le temps, c'est de l'argent, et que plus vous livrez
17:05rapidement, moins c'est cher.
17:07C'est ce qu'on ferait.
17:09Même, moi j'irais plus loin, on nous a demandé
17:11aux élus de faire ce qu'on appelle des zones
17:13d'accélération des énergies renouvelables, où on a dû
17:15parcelle par parcelle sur nos territoires
17:17déterminer là où on a implanté des parcs solaires,
17:19là où on allait implanter des métalliseurs.
17:21Il faut faire la même chose sur le logement. Il faut nous demander
17:23quelles sont les parcelles sur lesquelles on peut
17:25s'engager à construire
17:27dans un délai rapide. Si on veut faire
17:29un choc d'offres, il faut passer par là.
17:31Il faut vraiment faire une politique la plus
17:33territorialisée possible. Et ça, on y est favorable.
17:35Sur votre question de
17:37la proposition du Front Populaire de remettre
17:39en cause la loi Casbarayan,
17:41ce sera une grave erreur. Aujourd'hui, on a besoin
17:43de rassurer les propriétaires. On a besoin
17:45d'investisseurs. Plus vous allez
17:47mettre en danger ces investisseurs
17:49et ces propriétaires, moins vous aurez de construction
17:51de logements. Et on rappelle que la loi Casbarayan,
17:53c'est celle qu'on avait surnommée la loi anti-squat
17:55et dont le Front Populaire veut manifestement
17:57la brogation en cas de
17:59victoire aux élections législatives.
18:01Merci Gilles Averrous, je rappelle que vous êtes le maire de Château.
18:03Merci d'être venu sur le plateau
18:05de Parlons Imo. Et président par ailleurs
18:07de Ville de France. Merci à vous. Restez avec nous
18:09sur Sud Radio. On se retrouve dans un instant.
18:110 826 300 300. Vous avez
18:13tous un logement où vous en avez besoin.
18:15Vous avez posé beaucoup de questions cette semaine
18:17sur le répondeur de Sud Radio. On y répond dans un instant.
18:19Nextcity, premier promoteur
18:21résidentiel. Trouvez votre logement
18:23partout en France sur nextcity.fr
18:25Nextcity présente
18:27Sud Radio, Parlons Imo
18:29Sylvain Lévy-Valency.
18:31On parle logement jusqu'à 10h comme chaque samedi
18:33sur Sud Radio avec Sylvain Lévy-Valency
18:35et avec vous aussi au 0 826 300 300
18:37cette semaine vous nous avez posé
18:39beaucoup de questions. Sylvain. Oui absolument
18:41ça vous concerne. C'est une réplique très importante
18:43Jean-Marie. Vous posez vos questions et
18:45on vous répond très pratiquement en direct.
18:47On a eu un message
18:49sur le répondeur. On nous parle de
18:51défibrillateurs. Tout à fait parce que
18:53vous le savez, l'infarctus
18:55du myocarde, la crise cardiaque, c'est
18:57à l'origine
18:59de 18 000 morts par an en France.
19:01C'est 10% des décès. Et donc on a
19:03des auditeurs
19:05qui étaient un peu
19:07inquiets par rapport à ça parce que souvent ça arrive
19:09à domicile. Et c'est
19:11Alexandre et Joséphine qui habitent Poitiers
19:13dans un appartement au sein d'une copropriété
19:15qui ont 30 ans
19:17et qui s'intéressait
19:19à ce sujet et qui s'intéressait
19:21sur les défibrillateurs
19:23qu'on pouvait installer en copro
19:25parce que c'est possible apparemment.
19:27Donc on a contacté un expert
19:29Thibault-Antoine Paulet. Bonjour.
19:31Vous êtes président de
19:33Locacœur. Bonjour.
19:35Bonjour Bérenice. Ravie de vous recevoir.
19:37Alors peut-être un petit mot sur Locacœur.
19:39Qu'est-ce que vous faites ?
19:41Nous sommes une société qui existe depuis 2013
19:43et qui est spécialisée dans
19:45apporter des solutions en cas d'urgence.
19:47On pense évidemment aux défibrillateurs,
19:49c'est le sujet aujourd'hui, mais on peut penser aux trous de secours,
19:51aux systèmes de télésurveillance,
19:53de téléassistance. L'idée c'est de
19:55vous aider quand quelque chose de grave arrive
19:57et avant que les secours n'interviennent.
19:59Alors c'est vrai que quand tout va bien,
20:01on n'y pense pas, mais ça peut arriver
20:03à tout le monde, il faut quand même le dire,
20:05à tout âge. Alors est-ce que vous pouvez nous rappeler
20:07l'importance quand même d'avoir un défibrillateur ?
20:09Vous l'avez rappelé, c'est la première
20:11cause de mortalité en France
20:13et le gros problème qu'on a avec
20:15l'arrêt cardiaque, c'est que la plupart du
20:17temps, il apparaît sans signe avant-coureur.
20:19Donc on ne peut pas prévenir. On commence par
20:21perte de conscience. L'espérance de vie
20:23se mesure en minutes et
20:25évidemment on ne peut pas demander à des pompiers
20:27du SAMU de pouvoir intervenir en tout
20:29point en quelques minutes
20:31à domicile ou dans une entreprise.
20:33Donc la présence d'un défibrillateur à proximité
20:35est absolument essentielle.
20:37D'ailleurs je rappelle que c'est devenu obligatoire dans les stades de
20:39foot, dans certains établissements
20:41publics. Des ERP,
20:43c'est-à-dire des établissements qui reçoivent du public.
20:45N'est-ce pas Thibault ?
20:47On a l'obligation d'avoir un défibrillateur.
20:49C'est exact. Depuis 2019,
20:51la plupart des ERP ont cette
20:53obligation. On a d'ailleurs vu un taux
20:55d'équipement en France qui est monté de
20:57manière très importante. On est passé
20:59d'environ 150 000 défibrillateurs
21:01déployés en France, c'est une estimation,
21:03à environ 500 000 aujourd'hui
21:05en à peu près 3 ans.
21:07Néanmoins, je profite de cette
21:09opportunité pour mettre
21:11en avant le fait qu'à
21:13aujourd'hui, malgré ce triplement du parc,
21:15on n'a pas d'amélioration du taux de survie
21:17à l'arrêt cardiaque en France. On est toujours
21:19autour des 8 %. Pourquoi ?
21:21Il y a beaucoup de raisons.
21:23Il y a beaucoup de raisons.
21:25Il y a un manque de culture peut-être.
21:27C'est très bien que ces auditeurs
21:29posent ces questions.
21:31On se rend compte
21:33dans les centaines, voire les milliers de formations qu'on fait
21:35tous les ans, qu'il y a vraiment
21:37peu de connaissances. Comment identifier un arrêt cardiaque ?
21:39Est-ce que les gens le savent, par exemple ?
21:41Non, pas forcément.
21:43Justement,
21:45on sait que vous l'avez dit, c'est les premières
21:47minutes qui comptent. Il faut agir très vite
21:49quand ça se produit. Comment
21:51se former à l'utilisation
21:53et comment apprendre ?
21:55Il y a un
21:57très large panel de formations. Dans le milieu professionnel,
21:59on peut penser au SST ou au PS1.
22:01Il y a des structures
22:03qui proposent de nombreuses formations.
22:05Je pense à la Croix-Rouge, la Croix-Blanche, mais il y en a d'autres.
22:07Beaucoup de mairies sont très actives de ce point de vue-là.
22:09Donc, il faut un petit peu s'intéresser
22:11au sujet. Maintenant, pour reconnaître
22:13un arrêt cardiaque,
22:15c'est votre question, il y a deux
22:17critères qu'il faut absolument identifier.
22:19En réalité, c'est très simple.
22:21Une personne qui est inconsciente et qui ne
22:23respire pas et qui ne respire pas normalement,
22:25il faut partir du principe qu'il y a une suspicion d'arrêt cardiaque.
22:27Et on va,
22:29dans tous les cas, appliquer le protocole
22:31qui est alerté, massé et défibrillé
22:33surtout. Alors là, pour revenir
22:35à la question de nos auditeurs,
22:37qui souhaitent installer un défibrillateur
22:39dans leur copropriété,
22:41c'est vrai que c'est très malin
22:43comme suggestion.
22:45Qu'est-ce qu'ils peuvent faire ?
22:47Comment s'y prendre ? Et où l'installer ?
22:49Où l'installer ?
22:51C'est exactement le challenge, parce que
22:55toute la problématique est l'accessibilité
22:57du défibrillateur. Donc, imaginez une copropriété
22:59de plusieurs étages.
23:01Il ne faut pas imaginer qu'on va passer du dixième étage
23:03au rez-de-chaussée, puis remonter au dixième étage.
23:05Le tout en quelques minutes
23:07pour aller sauver son conjoint.
23:09Donc, le positionnement du défibrillateur est essentiel.
23:11Il faut réfléchir en temps de déplacement.
23:13On essaye de défibriller dans les premières minutes.
23:15Et l'équipement
23:17est très simple. Il y a de nombreuses sociétés
23:19qui peuvent reposer ce genre de matériel.
23:21Faites très attention. Néanmoins,
23:23il y a une hétérogénéité très importante des matériels.
23:25Choisissez le bon. Et surtout,
23:27faites entretenir ce matériel.
23:29Il y a des statistiques
23:31qui ont été publiées récemment par
23:33Arlaud, qui montrent qu'environ
23:3560% des défibrillateurs
23:37qui ont été vérifiés récemment
23:39étaient en défaut de fonctionnement.
23:41Alors, il faut avoir un défibrillateur efficace,
23:43qui marche évidemment,
23:45et savoir l'utiliser.
23:47Donc, on revient sur la formation.
23:49Combien ça coûte d'installer un défibrillateur dans sa GoPro ?
23:51On va être sur un budget
23:53d'un peu plus de 1000 euros.
23:55Si vous voulez vraiment du matériel qui a un bon
23:57taux d'efficacité,
23:59on va monter à peu près à 1400-1500 euros.
24:01Mais cela exclut l'entretien.
24:03Et selon votre ambition,
24:05est-ce que vous voulez un entretien annuel ou non,
24:07est-ce que vous voulez que les consommables
24:09soient inclus ou non, vous allez
24:11prévoir un budget supplémentaire.
24:13Et tout compris,
24:15combien ça coûte l'entretien,
24:17pour donner une idée à nos auditeurs qui nous ont écrit ?
24:19En moyenne,
24:21on parle d'un entretien
24:23sur une location d'un matériel
24:25de qualité avec un entretien.
24:27Tout compris, on part d'une cinquantaine d'euros par mois, à peu près.
24:29Donc en GoPro, c'est divisé.
24:31Oui, bien sûr.
24:33En tout cas, c'est le coût de la vie.
24:35Parce que quelqu'un qui est formé,
24:37il faut aussi être formé, je suppose,
24:39également au premier secours.
24:41Oui.
24:43Il est vrai que
24:45le défibrillateur donne des instructions.
24:47Le niveau de détail des instructions dépend des modèles.
24:49Mais il faut bien garder à l'esprit
24:51qu'on va utiliser ce matériel
24:53dans un moment d'intense stress.
24:55Imaginez, vous devez sauver
24:57votre conjoint, votre enfant peut-être,
24:59ou vos parents.
25:01Ce n'est pas quelque chose d'anodin.
25:03Malheureusement, on tombe toujours sur des situations particulières.
25:05C'est difficile d'être lucide.
25:07Si la personne a une hémorragie,
25:09si la personne est dans une flaque d'eau,
25:11si c'est la suite d'un choc électrique,
25:13comment réagir ? Ce n'est pas facile.
25:15La formation est essentielle.
25:17Si la copropriété peut s'équiper de téléassistance,
25:19ça se fait.
25:21Les défibrillateurs avec de la téléassistance
25:23qui vous permet de vous guider,
25:25d'être avec vous, c'est encore mieux.
25:27Merci beaucoup Thibaut-Antoine Pellet, président de l'Occacœur.
25:29Et ça valait le coup en tout cas de le signaler.
25:31Ne serait-ce que pour faire un petit peu de prévention
25:33auprès de tous ceux qui nous écoutent
25:35sur Sud Radio. Allez tout de suite,
25:37le Tour de France.
25:41Le Tour de France des biens à acheter. On commence par un bien
25:43qui est proposé en Viagé par notre partenaire
25:45Viagimo, Sylvain.
25:47Vous nous emmenez où cette fois-ci ?
25:49Je vais dire Bérénice.
25:51Grégoire.
25:53Je vais vous aider. Grégoire, il s'appelle Grégoire.
25:55Je me suis dit, c'est le système pilote.
25:57Pas exactement le même.
25:59Alors Sylvain,
26:01je vous emmène pour ce premier bien avec notre partenaire
26:03Viagimo, entre sel et pierre,
26:05dans une cité médiévale qui peut
26:07exercer une influence jusque dans votre assiette.
26:09Exactement, on va à Guérande.
26:11Presqu'il, plus que connu,
26:13dont les marais s'allant, firent sa richesse.
26:15Avec notre partenaire Viagimo, nous vous proposons
26:17cette semaine une maison de 95m2
26:19construite en 1976
26:21sur un terrain clôturé de 883m2.
26:23Une maison composée
26:25d'une cuisine aménagée, d'un salon
26:27spacieux, de trois chambres et d'une salle de bain
26:29rénovée. Cerise sur le gâteau,
26:31vous aurez une véranda de 19m2
26:33pour profiter des jours ensoleillés
26:35qui ne devraient pas tarder d'après la dernière
26:37annexe numéro 4973 aux prévisions
26:39météorologiques catastrophiques estivales
26:41en France. Oui, j'en ai marre
26:43de la pluie. Sachez également qu'un garage
26:45fermé se trouve contre la maison.
26:47Il fait 24m2.
26:49Alors justement, les conditions du biais viagé, il faut savoir que c'est
26:51même très particulier mais très pratique également.
26:53Oui, nous avons ici un bien qui est proposé
26:55mon cher Sylvain, en viagé occupé
26:57assorti d'un droit d'usage et d'habitation
26:59au profit d'un homme de 73 ans et d'une femme
27:01de 78 ans. Pour acquérir
27:03ce bien, il vous faudra débourser un bouquet
27:05de 108 000€ et une rente viagère mensuelle
27:07de 559€. Une belle opportunité
27:09pour laquelle vous pouvez en savoir plus en contactant
27:11soit l'agence Viagimo de La Balle
27:13soit vous pouvez vous rendre sur le site internet de notre
27:15partenaire pour plus d'infos et photos
27:17sur www.viagimo.fr
27:19et si vous contactez l'agence directement
27:21vous pouvez même avoir plus de photos.
27:23En tout cas, un bien retrouvé sur le site de notre partenaire
27:25viagimo.com
27:29On continue le Tour de France tout de suite.
27:31Absolument, les Tours de France
27:33de l'immobilier, on repère les bonnes
27:35adresses et les bons plans et cette fois-ci
27:37Grégoire, la rédaction a eu des coups de cœur.
27:39Direction les Landes. Oui, j'ai besoin
27:41vous l'aurez compris, de soleil et de chaleur.
27:43Je vous emmène dans le plus beau département de France
27:45j'ai nommé les Landes, ça fait un petit moment que nous
27:47n'étions pas allés au paradis. Toute objectivité
27:49évidemment. Très objectif.
27:51Direction la ville de Dax
27:53une petite station thermale très fréquentée
27:55qui est connue également
27:57pour son club de rugby.
27:59Nous sommes sur la radio du rugby, le club de Dax
28:01a vécu des belles heures.
28:03Avec la rédaction, on vous a dégoté
28:05un T3 de 83,79m²
28:07très bien situé dans un quartier prisé
28:09de la ville. Notre appartement, il est situé
28:11au deuxième étage d'un immeuble de caractère
28:13il bénéficie d'une belle hauteur sous plafond
28:15et donc un espace de vie aéré
28:17et lumineux. Notre appartement, il se compose
28:19d'une grande entrée, de deux chambres, d'une salle
28:21de bain et d'un bel espace de vie.
28:23Il est situé à proximité des commodités
28:25et de nombreux parkings se trouvent également dans
28:27les environs pour stationner votre véhicule.
28:29Bref, une belle opportunité qui vous est proposée
28:31au tarif de 130 000€ par l'agence
28:33Century 21. Et qu'on peut financer avec
28:3520% d'apport. 20% d'apport, donc 26 000€
28:37un emprunt sur 25 ans et 4%
28:39vous avez des mensualités de remboursement
28:41à 556,36€ mon cher Sylvain.
28:43Alors, on prend le train
28:45l'avion, la voiture plutôt
28:47le train c'est plus écologique. Direction
28:49l'Auvergne-Rhône-Alpes dans une station thermale
28:51bien connue. On est resté dans le thème
28:53dans la thématique thermale
28:55et pour ce troisième bien, on remonte au nord-est direction
28:57la région Auvergne-Rhône-Alpes, vous l'avez dit
28:59et une ville connue pour plein de choses comme
29:01Sondo, les carreaux de Nappes ou encore
29:03la naissance de Claude Vorillon, dit Raël
29:05en 1946. Et oui, nous sommes à Vichy.
29:07J'ai découvert tout ça
29:09dans des préparations. Et bien bravo.
29:11C'est un appartement étroit, là aussi de
29:1385,26m² que je vous ai trouvé
29:15situé au premier étage avec ascenseur d'une résidence
29:17calme et sécurisée. Notre appartement il se situe
29:19non loin de l'hôtel de ville de Vichy
29:21pas très loin du centre-ville. Notre appartement
29:23il se compose d'une entrée avec placard,
29:25d'un salon séjour avec balcon, d'une cuisine équipée
29:27et aménagée, de deux grandes chambres, d'une salle
29:29de bain avec douche et baignoire et d'une
29:31buanderie. En plus, vous aurez une place de parking
29:33privative et une cave. Il est proposé
29:35au tarif de 224 000 euros sur le
29:37site bien ici. Et à 4% sur
29:3925 ans, ça va coûter ? 20% d'apport
29:4144 800 euros, emprunt
29:43sur 25 ans 4%, mensualité de
29:45remboursement à 946 euros.
29:47Merci Grégoire. Et bien écoutez, maintenant on peut faire son
29:49choix. En tout cas, merci à tous pour ce rendez-vous.
29:51Merci Sylvain Lévy-Valency. Merci
29:53Jean-Marie. On retrouve l'émission le mardi prochain
29:55à midi sur Radio Imo comme
29:57chaque semaine et on se retrouve samedi prochain. On se retrouve
29:59samedi prochain avec plaisir sur Sud Radio.
30:01A très bientôt !

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