Xavier Bazin.

  • il y a 4 mois
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00:00:16Si vous appréciez notre travail, soutenez-nous, ce n'est qu'à cette condition que nous
00:00:22pourrons continuer.
00:00:30Xavier Bazin, vous êtes journaliste scientifique, écrivain, vous êtes auteur de Big Pharma
00:00:39Démasqué, qui est paru en 2021, et de Antivax toi-même, retrouvons un peu d'esprit critique
00:00:46sur la vaccination dont on va parler aujourd'hui.
00:00:49Bonjour Xavier Bazin.
00:00:51Bonjour.
00:00:52Alors c'est véritablement un plaisir de vous interviewer, parce que vous avez, avec
00:00:57ces deux livres, fait un travail remarquable, et surtout aussi le dernier, qui pour moi
00:01:03brosse véritablement toute la problématique vaccinale et de ce qu'on appelle les vaccins
00:01:08anti-Covid-19.
00:01:09C'est un plaisir, enfin, comme je dis souvent, j'aurais préféré ne pas vous interviewer
00:01:15parce que ça aurait voulu dire qu'on n'était pas dans cette situation, qui est quand même
00:01:18un peu délirante.
00:01:19Comme première question, je voulais vous demander pourquoi vous préférez ne pas vous
00:01:25montrer, peut-être que certains auditeurs, spectateurs de Kéros se poseront la question.
00:01:31D'abord, bonjour Xavier Bazin.
00:01:33Oui, bonjour, écoutez, c'est assez simple en réalité, j'aime bien ce dicton, vivons
00:01:40heureux, vivons cachés, et quand on écrit sur des sujets aussi sensibles qui conduisent
00:01:48parfois, quand on tape là où ça fait mal, à des articles de presse un peu méchants
00:01:53ou des choses comme ça, je préfère rester aussi discret que possible, ne pas trop m'exposer
00:02:01pour moi et ma famille, tout en gardant une liberté de ton total, une liberté d'écriture.
00:02:10Je crois que je ne ménage rien dans la façon dont je cherche la vérité, dont j'essaye
00:02:17d'éclairer les sujets.
00:02:19Mais du coup, la petite contrepartie que j'ai trouvée pour écrire sur des sujets
00:02:23aussi sensibles, c'est d'essayer de m'exposer un peu moins.
00:02:25Oui, ce qui vous laisse complètement, comme vous le dites, libre, et on le ressent quand
00:02:31on lit vos ouvrages.
00:02:33Pour commencer, vous expliquez bien que justement la qualification d'antivax vous agace, que
00:02:40vous êtes ni pro ni contre, et vous expliquez le fait que vous êtes parti au Togo quand
00:02:43vous aviez 18 ans et que vous avez accepté sans rechigner la vaccination contre la fièvre
00:02:47jaune et qu'en même temps le médecin vous en a refourgué deux autres, et vous dites
00:02:52« J'étais comme la plupart des gens, ignorant absolument tous des vaccins, mais
00:02:56totalement confiant dans la sagesse de mon médecin et des autorités de santé ».
00:03:00C'est un peu une phrase qui résume tout ce qui se passe actuellement.
00:03:03Oui, exactement.
00:03:04Et en fait, c'est exactement la raison aussi pour laquelle j'ai voulu écrire ce livre,
00:03:09pour que plus jamais personne ne reçoive une dose d'un vaccin, quel qu'il soit, sans
00:03:18s'être un minimum interrogé.
00:03:20Je pense que l'ensemble de cette crise Covid devrait avoir ouvert les yeux de beaucoup
00:03:24de monde sur le fait que les autorités de santé, les autorités médicales ne peuvent
00:03:30pas être totalement crues sur parole s'agissant de la vaccination.
00:03:37Alors, j'explique pourquoi dans le livre, il y a beaucoup de mythologie, de religion
00:03:40autour de la vaccination, beaucoup d'intérêts financiers, et donc quand on imagine qu'aujourd'hui
00:03:47encore ils recommandent la cinquième dose de vaccin anti-Covid, alors qu'il n'y a aucun
00:03:51essai clinique qui en montre l'intérêt, et un nombre de signaux sur le risque d'effet
00:03:59indésirable de ces vaccins qui est totalement hors norme, on voit bien qu'il y a un problème
00:04:04sur ces vaccins.
00:04:05Et la raison pour laquelle j'écris ce livre, c'est pour dire peut-être qu'il faudrait
00:04:09se poser la question, même pas peut-être, certainement qu'il faudrait se poser la question
00:04:13aussi sur les autres vaccins, et que même s'il y a une situation totalement exceptionnelle
00:04:18et caricaturale presque avec ces vaccins anti-Covid, en termes de manque d'efficacité et de dangerosité,
00:04:26cela montre malgré tout la façon dont le système a tendance à apprécier l'efficacité
00:04:34et les risques des vaccins en général, et donc même si la plupart des autres vaccins
00:04:39n'ont pas le niveau de risque des vaccins anti-Covid, ça vaut la peine pour chaque
00:04:45parent ou pour chaque personne qui va recevoir une dose vaccinale, quelle qu'elle soit, de se
00:04:50poser la question, de faire ses propres recherches, et de ne pas accepter comme parole d'évangile
00:04:56les recommandations des autorités de santé.
00:04:59Alors pour vous, il n'y a pas de complot, mais il y a diverses influences, et ça forme la
00:05:04trame de votre livre, qui vont tendre à effacer tout esprit critique sur la vaccination.
00:05:08Et on va y revenir, donc on va essayer de suivre le fil conducteur de votre livre.
00:05:13Le premier point, je vais tous les citer, puis on va démarrer, c'est les grands mythes vaccinaux,
00:05:18et ça c'est très intéressant parce que vous êtes un des seuls qui osez vous attaquer,
00:05:21parce qu'on entend souvent des gens dire, oui mais l'injection Covid, on la critique mais pas
00:05:28les autres vaccins, alors que justement, et ça c'est une partie vraiment sur laquelle j'aimerais
00:05:33m'attarder avec vous, c'est qu'il y a beaucoup de choses à dire sur les vaccins d'avant qui ont
00:05:37fondé la croyance actuelle dans les vaccins Covid. Puis le deuxième point, c'est la psychologie du
00:05:42corps médical, les arcades des autorités de santé, leur résistance, vous l'expliquez bien,
00:05:46l'influence majeure aussi de l'industrie pharmaceutique, et tout ça a mené à un
00:05:50monde des revues médicales, des médias et des politiques totalement soumis,
00:05:55et où le débat et le contre-pouvoir sont impossibles. Mais commençons par les propos
00:06:02que vous tenez dans le premier chapitre, vaccins, anti-Covid, la grande désillusion, où vous évoquez
00:06:07la prévisibilité, et ça c'est très important, du fiasco des injections, vous évoquez notamment
00:06:12l'infection, la transmission, les variants, l'immunité naturelle, etc. Dès le printemps 2022,
00:06:19Xavier Bazin, les chiffres démontrent clairement que les vaccinés ont plus de risques d'être
00:06:24infectés que les non-vaccinés. Mais malgré ça, dès le départ, c'est déjà deux ans après les
00:06:30mesures politiques, on se rend compte que tout le monde ferme les yeux, notamment vous montrez
00:06:35que les britanniques cessent de publier les chiffres du taux d'infection en fonction du statut
00:06:40vaccinal. Donc on voit, dès le départ, qu'il y a une volonté de ne pas savoir, de ne pas montrer.
00:06:46Oui, alors en fait, il y a une volonté surtout de ne pas montrer à partir du moment où les
00:06:51chiffres montrent assez clairement le fiasco, on ne peut pas dire autre chose du fait qu'à partir
00:06:59de 2022 et demi-chrone, tous les indicateurs dont on dispose, parce qu'il y a beaucoup de
00:07:05rétention de la part des autorités sur ces chiffres, mais tous les indicateurs dont on
00:07:09dispose semblent montrer que plus on a de doses, plus on a un risque d'être infecté par le Covid.
00:07:14Et ça, ça a été vu dans les chiffres français, dans les chiffres britanniques. Tout récemment,
00:07:21il y a eu une étude de la clinique de Cleveland qui a suivi ses 50 000 employés depuis
00:07:29le début du Covid et a montré, vraiment, il y a un graphique exceptionnel où on voit que plus
00:07:35leurs employés ont reçu de doses, plus ils ont été infectés par le Covid-19. Donc c'est assez
00:07:41extraordinaire quand même pour des vaccins qui étaient censés, dont on nous avait promis des
00:07:47miracles, et le retour à la normale, à la vie normale, et le fait qu'il suffirait de 60-70% de
00:07:56la population qui serait vaccinée pour qu'on n'entende plus parler du virus. Et la réalité,
00:08:01c'est qu'aujourd'hui, le virus a continué encore ces dernières semaines, jusqu'à Noël,
00:08:06de faire rage, sans forcément beaucoup de dégâts, mais en tout cas, a vraiment circulé de façon très
00:08:11élevée dans les pays les plus vaccinés au monde, alors que les pays les moins vaccinés au monde
00:08:16n'en entendent plus parler depuis des mois. Donc là, il y a vraiment une inversion totale de ce
00:08:22qu'on pouvait attendre d'un vaccin en termes de lutte, en tout cas contre l'épidémie, là je
00:08:26parle pas encore des questions des formes graves, mais en tout cas sur la lutte contre l'épidémie,
00:08:30on voit bien que c'est un échec absolument total et que ça n'a rien empêché sur la circulation du
00:08:36virus sous la forme aussi de différents variants. Alors Bill Gates le reconnaîtra lui-même au Forum
00:08:42économique mondial, son lieu de prédiction en mai 2022, vous le citez, ces vaccins ne sont pas bons
00:08:48pour bloquer l'infection, mais j'aimerais revenir avant, où déjà, on savait que, comme le disait
00:09:15Raoult, l'échec du vaccin était à 100% prévisible et il disait notamment la chance qu'un vaccin pour
00:09:22une maladie émergente devienne un outil de santé publique est proche de zéro. En fait, vous le
00:09:27dites bien, la raison principale c'était, et on le répète, on l'a déjà beaucoup dit, il est
00:09:30impossible d'éradiquer une maladie qui a autant de réservoirs animaux, rappelons-le. Oui, alors ça,
00:09:36mais pas seulement ça, mais là je voudrais justement rebondir sur ce que vous avez dit,
00:09:41sur la raison pour laquelle j'ai fait cette structure et sur les mythes vaccinaux et pourquoi
00:09:46je m'attaque entre guillemets aux autres vaccins, c'est parce que je suis absolument convaincu qu'il
00:09:52n'y aurait pas eu cette catastrophe Covid, qu'on n'aurait pas eu un sort d'aveuglement collectif
00:09:56sur ce que ces vaccins étaient capables de faire, s'il n'y avait pas eu déjà, de façon profonde dans
00:10:03la population et le corps médical, une religion vaccinale. Et c'est pour ça que c'est impératif
00:10:09pour moi de revenir sur ces mythes et cette religion vaccinale, parce que sinon ça va
00:10:13recommencer, et que c'est ce qui a permis en fait qu'on croit au Père Noël, franchement au Père
00:10:19Noël, début 2021, quand on nous a annoncé des chiffres d'essais cliniques Pfizer et Moderna,
00:10:26qui étaient d'ailleurs largement manipulés, mais en tout cas qui étaient extravagants,
00:10:30et avec cette idée que ça allait tout résoudre, alors que c'est pas seulement qu'il y a un
00:10:35réservoir animal, c'est qu'il n'y avait non seulement aucune preuve dès le départ, et ça
00:10:40s'était reconnu par tout le monde, que ces vaccins étaient capables de bloquer la transmission. Donc
00:10:44s'ils ne bloquent pas la transmission du virus, ils ne peuvent évidemment pas freiner l'épidémie,
00:10:48peuvent éventuellement limiter les formes graves, mais en tout cas pas limiter la propagation du
00:10:55virus. Et surtout c'était en fait très très très improbable, il n'y avait en fait quasiment
00:11:01aucune chance que ces vaccins tels qu'ils étaient conçus puissent bloquer la transmission. Et c'est
00:11:06ça sur lequel je voudrais insister une minute. C'est l'exemple de la polio, vous le montrez.
00:11:10Oui, c'est l'exemple de plusieurs vaccins. Il faut comprendre une chose, c'est qu'un vaccin
00:11:19injecté dans le muscle ne peut pas, ou n'a quasiment aucune chance, de bloquer la transmission d'un
00:11:26virus qui se multiplie dans le nez. Pour une raison simple, c'est que le système immunitaire
00:11:31qu'il y a dans la cavité nasale n'est pas le même que le système immunitaire général de la
00:11:36circulation sanguine. Ça on le savait déjà Xavier Benoît. On le savait depuis toujours, de longue date.
00:11:43Et on voit que sur la coqueluche, qui est une maladie différente, il s'agit d'une bactérie,
00:11:52mais c'est quand même une maladie respiratoire assez contagieuse, les vaccins ne bloquent pas
00:11:57la transmission. Et c'est pour la même raison. C'est-à-dire qu'un vaccin injecté dans le muscle
00:12:03va stimuler des anticorps qui circulent dans le sang, mais l'immunité qu'on appelle mucosale au
00:12:09niveau de la cavité nasale, ce n'est pas la même immunité, ce n'est pas le même système immunitaire,
00:12:13et ils n'ont quasiment pas de contact entre eux. De toute façon, c'est ça qui est extraordinaire
00:12:19et qui est difficile à croire. C'est qu'en fait, ces vaccins ne pouvaient pas marcher sur la
00:12:24transmission, ou n'avaient quasiment aucune chance de fonctionner sur la transmission. Et pourtant,
00:12:29ça n'a pas empêché de nous promettre non seulement la fin de l'épidémie, mais en plus d'imposer tout
00:12:34un tas de contraintes et d'obligations qui reposaient sur le fondement qu'il fallait se
00:12:39vacciner soi pour protéger les autres. Donc, il y a quelque chose d'assez fascinant dans cette
00:12:45affaire, et je reconnais encore une fois de difficile à croire, c'est que les connaissances
00:12:50basiques d'immunologie dont on dispose montrent que ces vaccins avaient très peu de chances de
00:12:54réduire la transmission. Et pourtant, tout le corps médical et toutes les autorités de santé
00:12:58nous ont poussé sur un vaccin à nous pousser à vacciner, y compris des jeunes qui ne risquaient
00:13:03rien du Covid, au prétexte que c'était bon pour l'immunité collective qui ne pouvait pas,
00:13:07évidemment, être obtenue par un vaccin qui ne bloque pas la transmission, sans même parler
00:13:12ici des variants, qui était encore un autre problème et qui était prévisible aussi que des
00:13:18variants allaient mettre en échec l'immunité vaccinale si tant est qu'elle existait au début.
00:13:22Le ministre Olivier Véran, justement, discrètement, vous le citez, donc le ministre français début
00:13:29janvier 2021, disait « Nous n'avons pas encore, à l'heure à laquelle je vous parle, dans aucun
00:13:34pays du monde, déterminé si, oui ou non, le vaccin protégeait du risque de contamination. Nous ne
00:13:41savons pas si ce vaccin protège du risque de contamination, ce qui est incroyable quand on
00:13:44pense à ce qu'il a dit avant. » Et la principale architecte de la politique sanitaire aux Etats-Unis
00:13:49dira, donc Deborah Birx, « Je savais que ce vaccin n'allait pas nous protéger contre l'infection,
00:13:54je pense qu'on a survendu les vaccins. »
00:14:11C'est quand même incroyable. J'aimerais quand même revenir, parce que c'est un point très
00:14:37important, Xavier Bazin, sur la coqueluche. On a parlé de la polio qui montrait que le vaccin
00:14:44Covid, qui pouvait démontrer que le vaccin Covid n'allait pas empêcher la transmission.
00:14:48Juste un mot sur la polio, parce que du coup, je n'ai pas détaillé, juste un mot. De la même
00:14:52manière, le poliovirus arrive par la bouche et sort par les selles. Et donc, là encore,
00:15:02n'est pas en contact avec la circulation sanguine, passe par le système digestif,
00:15:06qui a un système immunitaire mucosal différent du système sanguin. Et c'est pour ça qu'on sait
00:15:13que le vaccin polio injectable ne peut pas empêcher la transmission du virus, puisqu'il va stimuler des
00:15:23anticordons à la circulation sanguine, alors que le virus passe de la bouche en passant dans le
00:15:28système digestif sans que ce système immunitaire ne soit en contact. Et donc, c'est un peu la même
00:15:33chose avec cette idée de système immunitaire dans la cavité nasale. Donc, de la même manière,
00:15:37ces vaccins-là ne peuvent pas empêcher la transmission. Et c'est d'ailleurs la raison
00:15:43pour laquelle on a beaucoup parlé aussi, à un certain moment, de vaccins nasales, parce que là,
00:15:48on dit que ça reflète un peu la manière dont on est infecté. Et là, on va créer au niveau de la
00:15:54cavité nasale, au niveau du système immunitaire mucosal, une immunité qui va permettre de bloquer
00:16:00la transmission. Et donc, seulement ces vaccins-là, dans le cas de la coqueluche ou du covid, pourraient,
00:16:06si tant est qu'ils étaient efficaces, mais aucun n'a passé la barre, pourraient éventuellement bloquer
00:16:11la transmission, mais pas des vaccins injectés dans le muscle. Oui, donc, quand c'est une immunité
00:16:17naturelle, on est une immunité au niveau des muqueuses, du nez, de la gorge, et on a aussi
00:16:21surtout une immunité qui n'implique pas uniquement la protéine Spike. Et donc, cette implication,
00:16:27vous le montrez, l'immunité naturelle a eu des effets désastreux ? Alors, ça, c'est l'autre
00:16:32élément extraordinaire, c'est que maintenant qu'on a compris que, quand on avait une infection
00:16:36naturelle, on construit une immunité qui bloque le mieux la réplication du virus, c'est-à-dire au
00:16:44niveau de la cavité nasale, on ne comprend pas, et comme vous l'avez dit, sur l'ensemble des
00:16:50éléments du virus, et pas seulement sur une petite protéine que visait le vaccin, on ne comprend pas
00:16:55comment il y a pu y avoir tant de désinformations sur le fait qu'il valait mieux être vacciné et
00:17:00que l'immunité naturelle n'était pas fiable. Bien sûr, dans le cas du Covid, comme dans le cas de
00:17:05la grippe, l'immunité naturelle, ce n'est pas du tout du 100%, mais en tout cas, il n'y a aucune
00:17:11maladie dans laquelle l'immunité naturelle n'est pas supérieure et largement supérieure à l'immunité
00:17:17vaccinale. Mais comme c'était peut-être un obstacle à la vaccination massive de l'ensemble de la
00:17:24population, qui avait déjà été largement infecté quand les vaccins sont arrivés, on a voulu faire
00:17:29croire, mais de façon totalement éhontée, que l'immunité naturelle n'était pas fiable, et même
00:17:34que ces vaccins, probablement, fonctionnaient mieux que l'immunité naturelle. Et ça, c'est totalement
00:17:38extravagant, et ça fait partie vraiment du rideau de fumée qui a été constitué, créé à cette
00:17:46époque, et qui était manifestement de la désinformation. Est-ce qu'on peut dire que ces vaccins ont créé
00:17:51des porteurs asymptomatiques ? Alors, ça, on ne le sait pas, mais c'est possible. Ils ont favorisé la
00:17:56transmission ? C'est possible. En tout cas, c'est ce que la coqueluche nous enseigne. Exactement,
00:17:59c'est précisément ça. On le sait dans le cas de la coqueluche, c'est que ça crée des cas
00:18:03asymptomatiques. Ça ne diminue pas forcément la diffusion du virus, mais les cas sont asymptomatiques,
00:18:10ce qui peut être plus agréable, peut-être, pour celui qui tousse moins ou qui a moins de symptômes,
00:18:15mais ce qui est beaucoup plus dangereux pour la population, puisque quand on a des symptômes,
00:18:19la fièvre, etc., la tourne a tendance à s'isoler, à ne pas se coller aux autres, alors que si on n'a
00:18:26pas de symptômes, on va peut-être répandre le virus beaucoup plus facilement. Et donc ça,
00:18:30c'était aussi un aspect dont on ne nous a pas parlé, qui fait qu'un vaccin comme celui du
00:18:35Covid pouvait risquer d'augmenter la transmissibilité, la transmission, en rendant asymptomatiques des
00:18:43infections, sans toutefois en limiter le caractère infectieux. On a tous entendu ces repas de famille
00:18:49avec des gens tous vaccinés, qui sont sortis tous malades. Vous dites quand même, est-ce qu'on n'a
00:18:56pas tout mis en place pour faire durer une épidémie indéfiniment ? Alors ça, c'est du fait de vacciner
00:19:05en plein. Le professeur Raoult, il a dit, mais au final, est-ce qu'on n'a pas fait pire en faisant
00:19:10tout ce qu'on a fait, plutôt que si on n'avait rien fait ? Et en effet, encore une fois, quand on
00:19:15regarde les pays les moins vaccinés, ils en ont fini avec l'épidémie depuis un certain temps,
00:19:19et nous on a l'impression qu'on va de variant en variant, qu'il y a énormément de contamination.
00:19:24Et en effet, il y avait un vrai risque de poursuivre l'épidémie indéfiniment pour une
00:19:31raison simple, c'est que la protéine spike visée par le vaccin, c'est celle qui permet au virus
00:19:37d'entrer dans les cellules. Et donc, s'il y a une mutation sur cette protéine, il y a un risque plus
00:19:42élevé de réinfection. Or, quand on a un vaccin qui porte sur une petite partie du virus, on favorise,
00:19:51je ne dis pas que c'est toujours le cas, mais on favorise, c'est l'évolution naturelle des
00:19:56virus, un échappement immunitaire, c'est-à-dire que le virus mute un peu sur cette partie de la
00:20:02protéine pour pouvoir mieux contaminer. Et donc, on avait, en faisant cette vaccination de masse,
00:20:09un vrai risque de faire perdurer l'épidémie, plutôt que, en gros, que tout le monde soit
00:20:14infecté par le même variant et puis qu'on en ait fini. En fait, de favoriser la création de
00:20:21nouveaux variants qui facilitent la réinfection, et ça de manière... D'affaiblir les vaccinés.
00:20:25Alors ça, c'est encore autre chose, peut-être affaiblir le système immunitaire, ça c'est
00:20:29encore un autre problème, c'est l'empreinte immunitaire, c'est un phénomène immunologique
00:20:34qu'on connaît aussi, qui est que, quand on vaccine sur un virus en particulier, s'il y a des variants,
00:20:42il peut y avoir un risque que le vaccin soit non seulement inefficace, mais contre-productif,
00:20:46parce que les anticorps ont été habitués à viser, en fait, un virus en particulier, et s'il est un
00:20:53petit peu différent, en fait, ils ne sont plus seulement, pas seulement moins efficaces, mais
00:20:58même parfois, on l'a observé dans d'autres cas, contre-productifs, c'est-à-dire qu'ils fonctionnent
00:21:03moins bien, ils laissent passer plus facilement l'infection. Donc ça, c'était encore un autre
00:21:09problème dont on ne nous a pas parlé, dont on n'a pas parlé aux millions de personnes qui se sont
00:21:13fait vacciner, on leur a juste dit c'est sûr et efficace, c'est qu'en fait, des injections,
00:21:18surtout répétées sur la souche de Wuhan, la souche initiale, parce que jusqu'au vaccin bivalent
00:21:26récent, c'était toujours la souche de Wuhan qu'on injectait, pouvait provoquer un gros risque que le
00:21:33système immunitaire reste bloqué sur la défense de cette souche et soit du coup totalement désarmé,
00:21:39voire beaucoup plus vulnérable à des variants qui, pour n'importe qui, va être peut-être pas très
00:21:46dangereux, mais pour quelqu'un dont le système immunitaire a été entraîné sur un variant un peu
00:21:50différent, va devenir plus problématique. Ça aussi, c'est quelque chose d'extraordinaire, parce que
00:21:54c'était un véritable danger, on l'observe, on a tendance à l'observer depuis un certain nombre de
00:21:59mois et on ne nous avait pas prévenu. Toujours au début de votre ouvrage, vous parlez de l'efficacité
00:22:06des vaccins, vous parlez de ce tour de passe-passe statistique, vous pouvez nous en parler, la
00:22:15question de la vaccination, c'est quand même incroyable. C'est incroyable, parce qu'on ne sait
00:22:22toujours pas si ces vaccins, pendant deux ou trois mois, protègent ou pas des formes graves, parce
00:22:27qu'on a le seul moyen de savoir avec certitude, c'est de faire un essai clinique randomisé en
00:22:32double aveugle, c'est le standard le plus élevé d'un point de vue scientifique, mais ça n'a jamais
00:22:38été fait sur les formes graves, donc on ne sait pas, on a tout un tas d'informations extrêmement
00:22:43biaisées qui sont sorties, à la fois d'études sponsorisées par l'industrie pharmaceutique,
00:22:49d'autorités de santé malheureusement sous influence, on a eu plein de chiffres biaisés dans tous les
00:22:58sens, mais aucune certitude, et l'un des biais les plus grossiers, mais les plus incroyables,
00:23:04c'est le fait d'avoir considéré comme vaccinés uniquement ceux qui avaient deux semaines après
00:23:11la deuxième dose. Or, tout un tas d'éléments et de chiffres montrent que, en fait, dans les
00:23:19semaines qui suivent l'injection, et notamment de la première dose, il y a un risque plus élevé que
00:23:25la moyenne d'avoir une infection Covid. Il y a deux possibilités qui peuvent expliquer ça,
00:23:32le professeur Raoult il pense que c'est des anticorps facilitants, ça aussi on connaît
00:23:36ça en immunologie, c'est-à-dire que quand on n'est pas entièrement immunisé parce qu'on n'a pas eu
00:23:41la deuxième dose, et si le nombre d'anticorps est insuffisant ou dans une proportion qui ne va
00:23:45pas, il peut être facilitant l'infection plutôt que neutralisant l'infection. L'autre explication
00:23:51c'est que ces vaccins, dans un premier temps, au moment de la vaccination et dans les jours qui
00:23:56suivent, réduisent l'efficacité du système immunitaire, on en a eu des signes dans les
00:24:01essais Pfizer, on voyait qu'il y avait une immunité cellulaire qui était un peu diminuée,
00:24:04toujours est-il qu'il est assez clair que dans les premières semaines ça augmente le risque
00:24:09d'infection. Et donc c'est évident que si vous considérez comme non-vaccinés tous ces gens qui
00:24:16ont été vaccinés avec une première dose et qui ont un risque plus élevé d'infection dans les
00:24:22premières semaines, vous biaisez totalement les chiffres, parce que vous mettez dans le rang des
00:24:27nombres d'infections et voire cas graves parmi les non-vaccinés, des gens qui ont été vaccinés.
00:24:32Et donc c'est un détour de passe-passe statistique et un des biais énormes qui ont fait qu'on a pu
00:24:38du mal à croire tout ce qui a été dit, notamment sur l'efficacité qui nous a été présentée de ces
00:24:45vaccins, parce que là on aimerait avoir ces chiffres dès la première dose sur la comparaison entre ce
00:24:54que deviennent ceux qui ont été vaccinés avec une première dose et ceux qui n'ont pas été vaccinés,
00:24:59et ça on n'a pas dans la plupart des études, on commence l'étude à partir de la deuxième
00:25:05semaine après la deuxième dose, et donc je prends une comparaison dans mon livre, c'est comme si vous
00:25:11étiez dans une tranchée, vous pouviez aller vous réfugier dans une forteresse pas loin, où là vous
00:25:17êtes vraiment protégés, mais que pour y aller en fait vous êtes à découvert sous la mitraille sur
00:25:22une centaine de mètres, et donc évidemment si on ne prend pas en compte le risque d'être canardé
00:25:27pendant cette centaine de mètres jusqu'à la forteresse, forcément on va dire qu'une fois
00:25:32dans la forteresse c'est sûr on est super bien, mais il faudrait prendre en compte ce risque là
00:25:37pour comparer avec le fait de rester tranquille dans la tranchée. Ça modifie complètement les
00:25:41statistiques qui n'auraient sans doute pas été favorables à Big Pharma, et alors autre mensonge,
00:25:47on peut le dire, la question que vous soulevez des formes graves, vous dites dans votre livre
00:25:52peut-on imaginer qu'un vaccin puisse aggraver la maladie plutôt qu'en réduire la gravité,
00:25:56est-il pensable que les autorités aient pu nous faire prendre le risque de subir une forme plus
00:26:01grave de Covid-19 à la suite de la vaccination en cas de mutation du virus, et vous y répondez,
00:26:06vous dites oui ? Ça c'est ce dont je parlais à l'instant sur la question de l'empreinte
00:26:11immunitaire, sur le risque, c'est toujours un risque, c'est une hypothèse, mais c'était un
00:26:16risque réel qu'au bout d'un moment les injections répétées sur un variant, sur une souche qui
00:26:22n'existe plus, puissent favoriser l'infection et les formes graves en désarmant un peu le
00:26:27système immunitaire, plutôt que de protéger la personne, et ça c'était un risque réel, et encore
00:26:32une fois, toutes les statistiques de ces derniers mois, de cette dernière année, pointent plutôt
00:26:38vers ce qui est un véritable, ce qui semble un véritable problème. Oui, vous dites que la
00:26:45vaccination, c'est ça la question de l'empreinte immunitaire, c'est toujours bien d'y revenir parce
00:26:48que c'est complexe, fixe le système immunitaire à vie entre guillemets sur une souche ancienne du
00:26:53virus, donc ça pourrait être que les gens ne seraient vaccinés entre guillemets que sur la
00:26:58première souche de Wuhan, et qu'après leur système immunitaire serait beaucoup plus fragile, pour bien
00:27:03préciser. Oui, pas forcément plus fragile en soi, mais en tout cas moins apte à se protéger contre
00:27:11des virus qui ont un peu muté, parce qu'ils ont été en gros trop entraînés sur un virus
00:27:19en particulier, le fait qu'il ait un peu muté les rend moins aptes, rend le système immunitaire moins
00:27:24apte à l'attaquer que s'il n'avait pas du tout été entraîné contre le premier virus, et ça c'est
00:27:30un phénomène vraiment très troublant, et sans compter un dernier phénomène, alors ça qu'on
00:27:37a appris récemment, c'est encore un autre phénomène mais qui est un peu inquiétant pour ceux qui ont
00:27:44fait 4 à 5 doses, c'est qu'on a l'impression qu'un nombre répété de doses favorise des anticorps,
00:27:51ce qui s'appelle les IgG4, qui sont des anticorps alors là très particuliers, puisqu'ils ne sont pas
00:27:56là pour protéger, mais au contraire pour rendre l'organisme tolérant à un corps étranger. Dans
00:28:04certains cas c'est bien pour rendre les enfants tolérants à des aliments qui au départ sont
00:28:08étrangers, au lactose, au gluten, il y a un corps étranger, et puis en fait les IgG4 permettent de
00:28:14rendre l'organisme tolérant à ces éléments étrangers qui en fait ne sont pas forcément
00:28:19mauvais, en tout cas pour des aliments exotiques, et en fait le fait qu'on commence à observer la
00:28:28création, la constitution de ces anticorps IgG4, ces dévaccinés, est assez inquiétant parce que
00:28:34si on crée une tolérance, pas seulement une capacité moins forte à résister contre un variant,
00:28:42mais une tolérance même à la protéine Spike, là on est encore dans un nouveau problème et un
00:28:50nouveau risque de favoriser les infections et peut-être les formes graves de Covid-19.
00:28:57Donc ça fait quand même beaucoup je trouve pour des vaccins qu'on nous a présenté comme la panacée
00:29:01universelle. Oui, on reviendra sur la toxicité connue de la protéine Spike déjà à l'avance,
00:29:07mais donc vous dites pour terminer ce point que les variants style Omicron n'étaient pas dangereux,
00:29:13mais que si cet hiver 2022-2023 les vaccinés se retrouvaient face à des variants qui égrèvent
00:29:19la maladie, ils pourraient être beaucoup plus, comment on peut dire, susceptibles de tomber
00:29:25malade ? Oui, d'ailleurs moi j'aimerais bien connaître la composition de tous ceux qui sont
00:29:30allés à l'hôpital, qui ont réanimation et décédé du Covid-19. Il y a moins de cas,
00:29:35mais il y a quand même eu des petites vagues. On n'a plus évidemment aucune information,
00:29:41mais je ne serais pas étonné que la proportion de vaccinés soit supérieure à la proportion de
00:29:47vaccinés dans la population du fait des différentes possibilités d'aggravation immunitaire liées à ce
00:29:57vaccin et à la façon dont il a été constitué. Avant d'aborder les mythes vaccinaux, vous revenez
00:30:05aussi sur ce qui est un mythe aussi, c'est qu'on nous a présenté ces vaccins sans danger, alors
00:30:12que vous l'expliquez, dès le début aux Etats-Unis, on note directement plus de 3500 décès. En Europe,
00:30:21Audra Vigilance, au début du printemps, a plus de 10 000 notifications de décès après un vaccin
00:30:26anti-Covid. C'est la première fois qu'une telle incidence d'effets secondaires et de mortalité
00:30:34arrive. Et qu'est-ce que font les gouvernements ? Ils parlent de coïncidence, ou bien, peu le savent,
00:30:41mais ils changent les commandes de vaccins. Vous débutez d'ailleurs votre livre sur les décès
00:30:48tragiques d'abord d'Anthony, puis de Maxime, qui à Maine, avec d'autres décès et effets secondaires,
00:30:55a uniquement changé la commande des vaccins. Oui, là-dessus, on a discrètement plus commandé
00:31:02AstraZeneca, Johnson & Johnson, sans dire qu'il y avait peut-être un gros problème avec ces
00:31:07vaccins. On a pu recommander Moderna au moins de 30 ans, mais tout ça un peu dans la discrétion.
00:31:13Mais je voudrais revenir vraiment sur les signaux de sécurité qui ont été au rouge et écarlat dès
00:31:19les premiers mois, parce que pour moi, ça reste quelque chose d'incroyable. Il faut comparer ce
00:31:26qui est comparable. Le plus comparable, c'est le vaccin contre la grippe. Après le vaccin contre la
00:31:31grippe, il y a un certain nombre de morts qui sont signalées. Et on peut considérer que ce sont,
00:31:38dans le cas du vaccin contre la grippe, des coïncidences. Il y a des gens qui décèdent
00:31:41un jour après le vaccin contre la grippe. Il y a un signalement à la pharmacovigilance,
00:31:46mais probablement, peut-être qu'il s'agit d'une coïncidence, parce que ça peut arriver qu'on meure
00:31:53un jour après un vaccin sans que le vaccin n'y soit pour quelque chose. Et disons que le vaccin
00:31:57contre la grippe établit le bruit de fond, c'est-à-dire les coïncidences. Et quand on regarde
00:32:05les chiffres Covid, et là il s'est passé quelque chose d'extraordinaire, parce que quand on regarde
00:32:08à dose égale, on voyait dès les premiers mois qu'il y avait 50 fois plus de décès
00:32:15signalés après les vaccins Covid, qu'après les vaccins contre la grippe. Et donc là, on ne peut
00:32:22pas faire comme s'il ne se passait rien. C'est invraisemblable. C'est un signal de sécurité
00:32:29extrêmement préoccupant. Il continue à parler de coïncidences. Oui, mais c'est là où quand on
00:32:36compare avec des vaccins existants, où là on peut dire que ce sont des coïncidences, mais ça nous
00:32:41donne un peu ce qui se passe généralement quand il y a des cas de décès après un vaccin.
00:32:46Disons que c'est les coïncidences, même si on ne peut pas savoir, peut-être qu'il y a aussi quelques
00:32:50morts après les vaccins contre la grippe, mais admettons que c'est les coïncidences. Quand il
00:32:53y en a 50 fois plus, là ce ne sont plus les coïncidences. On pourrait rétorquer en disant
00:32:57oui, mais comme c'était des vaccins un peu expérimentaux, il y avait quand même plus
00:33:01d'attention vis-à-vis de ce vaccin, et donc il y avait plus peut-être aussi de signalements
00:33:06quand il y avait des décès ou des problèmes. C'est un argument valable, mais on pourrait aussi,
00:33:11peut-être que ça vaut pour une partie de ces 50 fois plus, mais on reste sur un chiffre de 50 fois
00:33:18plus, donc à mon avis ça ne peut pas expliquer tout. Et à l'inverse, il faut bien voir aussi
00:33:21qu'il y avait une réticence extrême de la part de grande partie du corps médical à rapporter le
00:33:25moindre signalement, parce qu'on nous avait tellement vendu ces vaccins comme la seule
00:33:30solution pour retrouver une vie normale, qu'il y avait une réticence fondamentale du corps médical
00:33:35à rapporter et à imaginer, même psychologiquement, et ensuite à l'observer et à le rapporter,
00:33:44des effets indésirables graves avec ce vaccin. Donc l'un et l'autre, à mon avis, se compensent,
00:33:48et quand on a 50 fois plus de morts, là on sait qu'il se passe quelque chose.
00:33:52Oui, Xavier Bazin, vous parlez des morts, mais il y a aussi directement, assez vite,
00:33:57des effets cardiovasculaires incroyables. Arrêt cardiaque, AVC, thrombose, embolie pulmonaire,
00:34:02accidents cardiovasculaires ont été très vite décelés par les soignants. Vous dites qu'en Israël,
00:34:07de janvier à mai 2021, période de vaccination massive, le nombre d'appels aux urgences pour
00:34:11les 16 à 39 ans a augmenté de 25%, et vous dites que cela a été connu de l'agence européenne du
00:34:16médicament. On savait que le contenu du vaccin Pfizer pouvait se retrouver dans la rate, le cerveau,
00:34:21les testicules ou encore les ovaires. Donc de nouveau, on tape sur le clou, mais ils le savaient.
00:34:27On ne savait pas exactement ce que pouvait faire cette protéine Spike dans l'organisme,
00:34:34la protéine Spike vaccinale dans l'organisme, mais ce qu'on savait c'est que c'était quand même
00:34:38une protéine d'un nouveau virus relativement problématique, sur lequel on n'avait aucun
00:34:47recul, et donc non seulement, c'est pas seulement qu'on n'injecte pas la protéine Spike, mais on
00:34:53l'a fait créer par nos propres cellules. Une protéine totalement, encore une fois,
00:34:58nouvelle et potentiellement pathogène, c'était un risque quand même très important, et l'autre
00:35:04problème c'est qu'on nous avait dit, non mais ne vous inquiétez pas, ça reste dans le muscle,
00:35:09donc c'est pas un problème, même si la protéine est un peu problématique, elle reste dans le
00:35:13muscle du bras et puis donc ça ne peut pas causer de problème. Or, c'est absolument faux, on a eu
00:35:18rapidement des éléments montrant qu'elle pouvait se retrouver dans différents organes, et on a
00:35:24encore une étude récente qui montre qu'on trouve des protéines Spike libres, sans même attacher à
00:35:28des anticorps dans le sang d'adolescents, donc ça c'était une imprudence énorme de non seulement
00:35:37injecter dans le cas de vaccins comme Novavax, mais encore pire, de faire créer par nos propres
00:35:42cellules une protéine dont on ne savait pas grand chose, si ce n'est qu'elle avait des risques quand
00:35:46même d'être pathogène en elle-même. Par contre ce qu'on savait plus, vous le soulevez aussi,
00:35:52c'est qu'on connaissait la dangerosité de la technologie ARN, elle était connue depuis des
00:35:57années, puisque vous le citez dans le Medical State News, l'entreprise Moderna disait que plusieurs
00:36:02grandes entreprises pharma ont essayé d'abandonner cette technologie ARN, car elle est extrêmement
00:36:06difficile de faire entrer l'ARN dans les cellules sans déclencher de graves effets indésirables.
00:36:13Alors ça c'est très intéressant, c'est un article d'un journal médical très respecté,
00:36:17très mainstream, bien avant la pandémie en 2016, qui expliquait, parce que l'ARN messager n'est
00:36:26pas libre dans le vaccin, pour qu'il puisse pénétrer dans la cellule, il faut l'entourer
00:36:30de nanoparticules lipidiques, et ce qui est incroyable dans cet article, c'est qu'on voit
00:36:37que les responsables, y compris de Moderna, et tout le monde savait que ces nanoparticules
00:36:41étaient toxiques et causaient des problèmes, et il disait d'ailleurs, au début on a cherché à
00:36:48lutter contre le cancer, mais finalement on a pensé que les vaccins ce serait peut-être mieux,
00:36:53parce qu'en fait les injections répétées de ces nanoparticules, plus on injecte ces nanoparticules,
00:36:59plus il y a de problèmes, et donc l'avantage des vaccins, en tout cas de certains vaccins
00:37:03peut-être traditionnels, c'est qu'on fait une injection ou deux et puis c'est terminé,
00:37:06et donc c'était cette idée là, mais donc il y avait la reconnaissance de la toxicité de cette
00:37:11enveloppe de nanoparticules, et donc dont on savait que c'était potentiellement toxique,
00:37:18et en plus ça n'a pas empêché qu'on fasse 3, 4, 5 doses, avec donc une technologie dont on savait
00:37:28qu'elle pouvait être toxique, donc là encore, ça c'est quelque chose qu'on ne nous a pas vraiment
00:37:33dit. Je ne résiste pas à les citer, ils disent dans le journal dont on parlait,
00:37:37ces nanoparticules peuvent engendrer de dangereux effets secondaires, surtout si le patient doit
00:37:43prendre des doses répétées pendant des mois ou des années. Exactement, exactement. C'est incroyable,
00:37:47on ne peut pas vous traiter de complotiste, parce que vous citez un journal réputé,
00:37:53comme vous le dites, mainstream. Toutes mes sources, de toute façon, sont des journaux
00:37:58scientifiques, ou des journaux mainstream, j'ai plus de 300 références, tout est sourcé dans mon
00:38:05livre. En résumé, avant d'aborder les mythes vaccinaux, vous dites que la technique était
00:38:13quand même connue pour être dangereuse, la protéine potentiellement toxique, mais que ces
00:38:18vaccins ont été approuvés, ça c'est de nouveau un grand paradoxe, à une vitesse dont jamais aucun
00:38:27vaccin n'a profité. L'agence du médicament européen s'est inquiétée, vraiment, de savoir,
00:38:33mais attendez, en fait, sur le papier peut-être ça fonctionne, mais en fait, dans la réalité des
00:38:38flacons, est-ce qu'on a vraiment l'ARN messager intact tel qu'il est censé être, ou est-ce qu'on
00:38:45a un ARN dégradé ? Ils avaient analysé quelques flacons, et il y avait beaucoup de flacons où
00:38:48il y avait un ARN messager totalement dégradé, donc qui risquait de faire produire des protéines
00:38:55qui n'étaient pas celles qui étaient visées par le vaccin. Donc ça encore, c'est quelque chose
00:39:00d'assez étonnant, parce qu'il y avait un problème majeur dans la fabrication de ces vaccins. C'est
00:39:06peut-être la raison qui explique que selon les lots de vaccins, il semble y avoir un nombre
00:39:10d'effets indésirables très différent selon les lots, parce que même dans la fabrication
00:39:14même de ces vaccins, c'est très compliqué de garantir un message ARN intact, fidèle à ce
00:39:23qu'on souhaitait qu'il soit. Et donc ça encore, c'était un risque supplémentaire, qui en plus avait
00:39:28été vu par l'agence du médicament, l'agence européenne, mais qui a dit qu'on avait tellement
00:39:32de pression de la part des politiques et des médias, que de toute façon c'était inenvisageable
00:39:35qu'on ne puisse pas approuver ces vaccins. On est obligé de prendre ce risque ? Oui,
00:39:41mais pourquoi on ne le dit pas avec franchise, avec clarté, avec pédagogie ? Parce que si vous
00:39:44dites que c'est dangereux, les gens ne vont pas se faire vacciner. Ah, donc il faut leur
00:39:48regarder ? C'est une question de gradation de l'information. Il y a une telle pression majeure,
00:39:56en fait, pour dire que c'était la solution absolue, que les autorités, quand bien même elles n'étaient
00:40:02pas elles-mêmes ou leurs membres n'étaient pas directement sous influence de l'industrie,
00:40:06avaient en plus une pression globale de l'opinion publique, qui avait été évidemment fabriquée
00:40:14artificiellement, mais dont on avait connu à penser que c'était la seule solution. Et donc,
00:40:18ça aurait été choquant, en fait, qu'on n'approuve pas des vaccins qui allaient nous sortir de cette
00:40:23situation et nous sortir des confinements dans lesquels on nous disait que c'était la seule
00:40:27alternative tant qu'on n'avait pas de vaccins. Oui, quand on vient là-dessus, on se dit toujours
00:40:32que le scénario était quand même presque parfait. Alors, rentrons dans ce qui, pour moi,
00:40:38est le chapitre essentiel et que vous êtes, je répète, quasiment les seuls à aborder,
00:40:42osés aborder. C'est la question des mythes vaccinaux. Il y a trois grands mythes vaccinaux
00:40:49pour vous, sur lesquels on va revenir. Et c'est intéressant parce que, je le redis,
00:40:53la plupart des gens avec qui on parle disent attention, je critique les injections Covid-19,
00:40:58mais nullement les vaccins précédents. Vous-même étiez aussi là-dedans et vous avez changé d'avis.
00:41:06Et je dis, beaucoup sont tombés dans le panneau et j'ai quand même envie de citer Alain Badiou,
00:41:10présenté comme un grand philosophe, qui disait, je commencerai par dire que Macron aurait dû signer
00:41:15tout bonnement l'obligation de la vaccination. Après tout, ce ne sont que des obligations de ce genre
00:41:20qui, depuis de longues années, nous ont débarrassé de fléaux mortels et invalidants, comme la variole,
00:41:27le choléra, la typhoïde ou la poliomyélite. Fléaux dont les populations des pays dominés et pauvres,
00:41:36sans dispositif obligatoire de vaccination, les malheureux, notamment en Afrique,
00:41:41continuent à souffrir mortellement. Continuent à souffrir. Pourtant, vous montrez bien que tout
00:41:47cela est faux, en tout cas, peut être nuancé. Et le premier mythe que vous remettez en question,
00:41:52justement, en vous appuyant sur le vaccin contre la variole, c'est l'éradication des maladies
00:41:59infectieuses par les vaccins est une fake news, en quelque sorte.
00:42:04Oui, alors ça, vraiment, c'est absolument fondamental parce que c'est, si vous voulez,
00:42:08la clé de voûte de la religion vaccinale. C'est-à-dire que, comme j'écris dans mon livre,
00:42:14il y a tout un tas d'intérêts financiers, d'influences dans tous les sens. La fondation
00:42:21Bill Gates, il y a plein de choses qui influencent en fait en faveur du tout vaccinal. Mais le fait
00:42:29est que dans la population, il y a ce mythe qui est très prégnant et dans le corps médical qui
00:42:33fait qu'il y a une absence totale d'esprit critique vis-à-vis de la vaccination et qui
00:42:40fait aussi qu'il y a une réticence profonde à critiquer la vaccination. Parce qu'il y a cette
00:42:47idée que si ces vaccins, si ce sont les vaccins qui nous ont sauvés du fléau des maladies
00:42:51infectieuses de la fin du 19e siècle et du début du 20e siècle, eh bien, il devient très
00:42:57problématique et très risqué de commencer à critiquer même un vaccin qui serait effectivement
00:43:02problématique ou un effet secondaire, un effet indésirable très grave, parce que ça pourrait
00:43:07remettre en cause la confiance de la population dans ces vaccins et donc, par voie de conséquence,
00:43:12le retour peut-être de ces fléaux. Et donc, ça conduit en fait tout un tas de gens, y compris
00:43:21dans le corps médical, à se dire que finalement c'est un pieux mensonge que de masquer certains
00:43:27effets indésirables ou de ne pas trop parler de l'inefficacité de certains vaccins, de mettre en
00:43:32fait en permanence la poussière sous le tapis par rapport aux vaccins qui ne sont pas parfaits,
00:43:35au motif qui finalement, d'un point de vue personnel, est psychologiquement satisfaisant,
00:43:43de se dire « oui, mais c'est pour la bonne cause », parce que si on commençait à critiquer même
00:43:49tel ou tel vaccin sur tel ou tel aspect, eh bien, il y aurait une diminution de la confiance de la
00:43:53population, peut-être qu'elle ne se vaccinerait plus et donc ce serait le retour de la catastrophe.
00:43:57Donc ça, c'est vraiment un point absolument fondamental, parce qu'à force de mettre la
00:44:02poussière sur le tapis, à force de ne jamais voir, de ne jamais signaler ou de ne jamais étudier le
00:44:10manque d'efficacité de certains vaccins, les effets indésirables de certains vaccins, eh bien,
00:44:14on est dans un mythe total où les vaccins sont sur-efficaces tous, ce qui n'est absolument pas
00:44:19le cas quand on creuse un peu. Ça maintient une fausse croyance, mais même le directeur,
00:44:24vous le citez de l'information de l'OMS, disait, je pense que c'est en 1977, « pour
00:44:29éradiquer la variole, l'abandon de la vaccination de masse revêtit une importance capitale ».
00:44:35Voilà, alors venons-en maintenant, du coup, au fait, est-ce que les vaccins nous ont sauvés
00:44:40des maladies infectieuses ? Et commençons par la plus connue de tous, la variole,
00:44:43qui a été éradiquée à la fin des années 70. Eh bien, effectivement, si on écoute l'OMS,
00:44:50ce n'est pas du tout la vaccination de masse qui a permis l'éradication. C'est écrit absolument
00:44:57noir sur blanc. Et même, comme vous l'avez très bien cité, j'adore cette phrase, c'est l'abandon
00:45:02de la vaccination de masse qui a été stratégique pour permettre l'éradication de la variole. Donc
00:45:06là, on est dans un paradoxe absolu où on nous répète en permanence que c'est la vaccination
00:45:10qui a permis l'éradication de la variole, alors que c'est l'inverse qui est vrai. C'est quand
00:45:13on a arrêté de s'échiner, si vous voulez, à vacciner en plus des populations dans des pays
00:45:17compliqués à vacciner massivement. On a arrêté à faire ça. On s'est dit, on va faire la surveillance
00:45:23en dignement, parce que ce qui est très pratique avec la variole, ce qui fait que c'est un virus
00:45:27vraiment peut-être le seul qui est possible d'éradiquer, c'est que d'abord, il n'y a pas de
00:45:33malade asymptomatique. Dès qu'on est symptomatique, on le voit très bien, on le voit tout de suite sur
00:45:37le visage et on voit qu'on est malade. Et c'est à ce moment-là qu'on est contagieux. Et donc,
00:45:42il suffit, en fait, et il n'y a pas de réservoirs animaux. Et donc, si on isole de façon assez
00:45:48volontariste les malades dès qu'ils sont malades et leurs proches, et bien c'est ce qu'on appelle,
00:45:55ce que l'OMS a appelé la surveillance en dignement. On surveille les cas. Dès qu'il y a des cas,
00:45:59on fait de l'endiguement, c'est-à-dire qu'on isole les malades. Et bien, c'est comme ça qu'on a réussi
00:46:04à éradiquer la variole. Et il poursuit, donc, ce porte-parole de l'OMS. Il dit en disant,
00:46:10en fait, le problème, c'est qu'on a observé deux choses. Dans des populations vaccinées à 90%,
00:46:16il pouvait y avoir des flambées infectieuses. Et à l'inverse, dans des populations très peu
00:46:21vaccinées, la surveillance et l'endiguement, ça suffisait à permettre d'arrêter les flambées
00:46:28épidémiques. Donc là, on a vraiment toutes les preuves en main pour montrer que la vaccination
00:46:34de masse n'était non seulement pas la solution, mais un obstacle à la solution qui était beaucoup
00:46:40plus simple, beaucoup plus low-tech, si j'ose dire. Et c'est exactement la même chose, d'ailleurs,
00:46:46pour une maladie comme le choléra. C'est amusant que Badiou en parle et parle des vaccins,
00:46:53parce qu'il n'y a jamais eu de vaccination de masse contre le choléra. En Occident,
00:46:57la raison pour laquelle le choléra s'est arrêté, c'est qu'on a eu des eaux assainies, des égouts,
00:47:02à la fin du 19e siècle et du début du 20e siècle. Et c'est ça qui a suffi, en fait,
00:47:08à éliminer le choléra, parce que ça se transmet via des eaux mal assainies. Il n'y a jamais eu de
00:47:16vaccination de masse contre le choléra. Donc là, on est typiquement dans l'exemple où on sait par
00:47:21définition que les vaccins n'ont rien eu à voir avec l'éradication du choléra dans les pays
00:47:26occidentaux. Oui, par rapport à la variole, il faut quand même préciser que c'est une autre
00:47:29maladie que le Covid-19, parce que certains pourraient vous retourner l'argument. OK,
00:47:33ce ne sont pas les vaccins qui ont permis de l'éradiquer, mais donc le confinement est utile,
00:47:37ils pourraient vous dire, puisque regardez... Oui, non, mais c'est pour ça que j'ai précisé que
00:47:40c'est que d'abord, c'est très spécifique comme maladie. Encore une fois, on ne peut pas être
00:47:44contagieux quand on n'a pas de symptômes. Donc déjà, c'est moins infectieux. Il n'y a pas de
00:47:52réservoirs animaux, alors qu'il y a tout un tas de réservoirs animaux sur le Covid-19. Et donc,
00:47:56c'était une maladie, peut-être la seule probablement à notre connaissance, où on peut,
00:48:00par un système d'isolement des malades, effectivement l'éradiquer. Mais c'est ce qui
00:48:05a donné naissance aussi à beaucoup de mythes sur le fait qu'on puisse éradiquer d'autres virus et
00:48:10bactéries, ce qui a été un mythe désastreux, parce qu'en fait, dans tous les autres cas,
00:48:14ce n'est pas possible. Et donc, en fait, on prend des moyens totalement disproportionnés,
00:48:18y compris par rapport à des bactéries un peu dangereuses pour des populations en bonne santé
00:48:26et occidentales comme la coqueluche. On prend des mesures assez extravagantes de vaccination
00:48:33de masse pour quelque chose qui, en fait, n'est pas largement bénin, au motif, au départ,
00:48:38qu'on pourrait arriver à l'éradication, ce qui n'a jamais été imaginable en réalité.
00:48:43Mais donc, vous rappelez que peste, gale, lèpre, coqueluche, scarlatine, variole,
00:48:47rougeole ont disparu sans vaccin ? Alors, attendez, peste, gale, etc. ont disparu,
00:48:57largement, en tout cas, des pays occidentaux sans vaccin. Coqueluche et rougeole, là, c'est un peu
00:49:02différent. C'est très intéressant, ces maladies, parce qu'elles n'ont pas disparu sans vaccin.
00:49:06Il y avait encore énormément de cas. En gros, tous les enfants, dans les années 70 en France,
00:49:11la plupart des enfants, la plupart des enfants attrapaient la coqueluche et la rougeole. Mais
00:49:18c'était bénin. Et ce qui est très frappant, c'est de voir, en fait, à quel point, au début du XXe
00:49:22siècle, ces deux maladies causaient un nombre de morts assez considérable. Et que, dans les années
00:49:2870, avant le moindre vaccin, avant qu'il y ait des vaccins dans les années 60, il y avait à peu
00:49:34près autant de cas, mais quasiment plus aucun mort. Et donc, la seule explication possible de ça,
00:49:40c'est que le terrain a été amélioré. Et ça, c'est un élément fondamental, parce que, dans cette
00:49:47affaire de Covid-19, on a très peu parlé de terrain, c'est-à-dire la capacité du système
00:49:50immunitaire à être au sommet de ses capacités pour résister à un virus. Ce qui est vraiment
00:49:56absolument fondamental contre n'importe quelle infection. On aurait dû beaucoup plus parler de
00:50:02la vitamine D, par exemple, qui optimise le système immunitaire. Et quand on est carencé,
00:50:06notre système immunitaire est moins apte, avec plus de risques d'infection et plus de risques
00:50:09de formes graves. Et donc, ce que montre cette évolution de la mortalité de ces maladies
00:50:14coquelouches et rougeoles, c'est que ce ne sont pas du tout les vaccins et les antibiotiques qui
00:50:20ont changé quoi que ce soit, puisqu'il y a le nombre de cas, ou même l'hygiène. Le nombre de
00:50:26cas était similaire, mais en fait, c'est simplement le fait que les populations étaient beaucoup plus
00:50:31fortes physiquement. Et pour une raison très simple, c'est que l'augmentation du niveau de
00:50:37vie a permis une augmentation du niveau de nutrition, de qualité nutritionnelle, qui fait
00:50:43que le système immunitaire... Déjà, les gens étaient plus solides physiquement et le système
00:50:47immunitaire avait l'ensemble des nutriments dont il avait besoin pour résister à des maladies comme
00:50:51la rougeole et la coquelouche, qui sont, quand on a un système immunitaire normal, absolument pas
00:50:56des problèmes importants. Les Français et les Européens en général, et même les Américains,
00:51:02ont gagné 10 centimètres de taille entre 1900 et 1970. Vous croyez que ça vient d'où ces 10
00:51:09centimètres de taille ? Ça montre qu'il y avait une carence nutritionnelle très importante, à la
00:51:15fois chez la femme enceinte, c'est très important la nutrition de la femme enceinte, parce que ce
00:51:18qui détermine en grande partie la solidité du bébé, et ensuite dans les premières années de vie. Et
00:51:23donc, le fait que... Je relis très nettement l'évolution, le fait qu'on ait gagné des 10
00:51:30centimètres, donc l'amélioration nutritionnelle, à la capacité à lutter contre des maladies,
00:51:35comme à toutes les maladies infectieuses. Donc ça, c'est un des grands impensés de la virologie,
00:51:41c'est qu'au XXe siècle, ce qui s'est passé d'abord, c'est que la grande pauvreté a disparu,
00:51:46les gens étaient mieux nutris, à la fois en quantité, mais aussi en qualité, avec plus de
00:51:50fruits et légumes, plus de vitamine C, de vitamine D, etc. Et donc, c'est ce qui a permis, et c'est
00:51:56ce que montrent clairement les chiffres de la coquelouche et de la rougeole, on en mourait
00:51:59énormément au début du XXe siècle, on n'en meurt plus avant l'arrivée du vaccin, quasiment plus,
00:52:05et la réponse, alors qu'il n'y a pas moins de cas, c'est que le système immunitaire des enfants a
00:52:13été largement renforcé par l'amélioration du niveau de vie et de la nutrition. Oui, les cours
00:52:18sont parlantes, par exemple, quand le vaccin pour la coqueluche arrive, il n'y a quasiment plus de
00:52:22morts, donc c'est un vaccin qui... Oui, coqueluche et rougeole, quand le vaccin arrive, il n'y a
00:52:26quasiment plus de morts. Pour résumer, un journal de référence que vous citez pour les enfants qui
00:52:30sont pédiatriques résume la situation, ils disent que près de 90% du déclin de la mortalité des
00:52:34maladies infectieuses chez les enfants américains a eu lieu avant 1940, quand peu d'antibiotiques et
00:52:38de vaccins étaient disponibles. Voilà, je crois que ça résume bien ce que vous dites, donc on peut
00:52:44en tirer que si on arrêtait totalement de vacciner maintenant, il n'y aurait pas de grand retour des
00:52:48maladies infectieuses ? Il n'y aurait absolument aucune catastrophe, et pour enfoncer le clou, il y a
00:52:58aussi cette idée du fait que les vaccins, ce n'est pas seulement pour se protéger les soi,
00:53:02mais pour protéger les autres. Or, sur le vaccin peut-être le plus connu depuis des années, qui a
00:53:07été obligatoire pendant des dizaines d'années en France et qui l'est encore aujourd'hui, c'est le
00:53:12DTP, diphtérie, tétanos, polio. Il n'y a aucun de ces trois vaccins qui ne pouvaient de toute façon
00:53:18être altruistes, c'est-à-dire protéger qui que ce soit d'autre que la personne qu'il reçoit,
00:53:23puisque dans le cas de la diphtérie et du tétanos, le vaccin porte sur la toxine qui est produite par
00:53:29la bactérie et non pas par la bactérie, donc il ne peut pas protéger qui que ce soit d'autre que la
00:53:34personne qui reçoit le vaccin. Et dans le cas de la polio, on en a parlé tout à l'heure, un vaccin
00:53:40ne peut pas, dans le cas de la polio qui se développe dans le système digestif, ne peut pas
00:53:45l'arrêter et donc ne peut pas protéger la transmission du virus. Donc non seulement il
00:53:52n'y aurait pas de catastrophe, mais en plus on ne mettrait personne en danger d'autre que ceux
00:53:59qui ne se vaccineraient pas. Pourtant, avant d'aborder le deuxième mythe vaccinal, c'est
00:54:05ces éléments-là qui font que la population, les citoyens mais aussi les médecins et les
00:54:10scientifiques, perçoivent la vaccination comme une religion. Donc ils pensent que le recul des
00:54:16maladies infectieuses au XXe siècle est dû à la vaccination et que si on ne vaccinait plus,
00:54:23il y aurait une hécatombe dans la population. C'est ça qui fait que pour eux c'est une question
00:54:28de santé publique, vous le dites vraiment bien, et qu'ils ne veulent pas jeter le doute sur la
00:54:33vaccination, donc on n'en parle pas. Exactement. Le deuxième mythe vaccinal auquel vous attaquez,
00:54:40c'est la question des vaccins qui seraient, et ça c'est du gros, fondés sur la science. Vous le
00:54:45dites, je vous repose la question, est-ce que la plupart des vaccins, on pourrait y penser,
00:54:49on pourrait y croire, sont fondés sur des essais cliniques sérieux ? En fait la réponse c'est que
00:54:57non, il n'y a quasiment aucun vaccin qui a été fondé sur des essais cliniques sérieux. Alors,
00:55:01en partie pour des raisons historiques, c'est-à-dire que les vaccins des années 40, 50,
00:55:0760, ce n'était pas encore une époque où on faisait beaucoup d'essais randomisés en double aveugle
00:55:11contre le placebo, mais jusque dans les années 80, il y a eu une absence vraiment de science
00:55:19sérieuse sur les vaccins qui est effarante en fait, et qui se poursuit encore aujourd'hui,
00:55:24où on a tout un tas d'études pré-cliniques qui ne sont pas obligatoires pour les vaccins,
00:55:30alors qu'ils le sont pour les médicaments, ce qui est très étonnant, et des cas de manipulation
00:55:37en plus de ces essais cliniques qui est frappant. La réalité c'est qu'aujourd'hui, par exemple si
00:55:42on prend les 11 vaccins infantiles qui sont obligatoires en France, il n'y en a aucun,
00:55:47aucun d'entre eux n'a fait l'objet d'un essai clinique randomisé contre le placebo, ce qui est
00:55:52vraiment très problématique, parce qu'en fait c'est vraiment le plus haut niveau de certitude
00:55:59scientifique qu'on peut avoir, et surtout sur des traitements préventifs comme celui du vaccin,
00:56:03où il faut vacciner énormément de monde et attendre des années pour avoir peut-être un
00:56:07effet, parce que vous vous souvenez que le professeur Raoult, on l'a beaucoup critiqué
00:56:11en plein tout début de l'épidémie, parce qu'il avait promu l'hydroxychloroquine sans avoir fait
00:56:18lui-même d'études randomisées contre le placebo, alors qu'il y en avait une en Chine, certes de
00:56:24taille modeste, mais en fait il y avait quand même beaucoup d'éléments qui pouvaient montrer
00:56:27qu'il y avait un intérêt, alors qu'on était en pleine épidémie et qu'il fallait quand même faire
00:56:32quelque chose, et que si on avait une molécule aussi inoffensive qu'hydroxychloroquine qui
00:56:36avait été prometteuse, ça paraissait assez logique quand même d'essayer de traiter des malades,
00:56:41surtout ceux qui étaient les plus à risque de faire une forme grave, avec une molécule dont
00:56:45on avait sous la main, et pas attendre des mois qu'on fasse une superbe étude, mais en tout cas
00:56:49la raison pour laquelle on l'a critiqué est intéressante, c'est pour dire attention, ce n'est
00:56:52pas scientifique, tout ce qui n'est pas étude randomisée contre le placebo n'est pas scientifique.
00:56:57Alors comment ça se fait qu'on injecte des substances à des enfants en bonne santé sans
00:57:06avoir jamais fait d'études randomisées contre le placebo, s'agissant des vaccins ? Il y a tellement
00:57:12de biais qui font que c'est très difficile d'avoir une opinion tranchée, surtout quand il y a des
00:57:19milliards de dollars de financement de l'industrie pharmaceutique pour créer des études montrant
00:57:25que ça marche plutôt que ça ne marche pas, en manipulant les chiffres, parce que les données
00:57:30observationnelles sont très faciles à manipuler, alors que les essais cliniques c'est quand même
00:57:33plus difficile. Donc on a cet état de fait extraordinaire je trouve, où on a une science
00:57:40extrêmement faible sur le niveau d'efficacité et de risque des vaccins, et notamment des vaccins
00:57:49mais pas que, et une science extrêmement faible aussi sur ce qui se passe après coup. On a parlé
00:57:56de la pharmacovigilance tout à l'heure, parce qu'admettons on n'a pas tellement les éléments
00:58:00précliniques, on n'a pas d'essais cliniques fiables avant la mise sur marché, donc on va dire
00:58:05ben oui mais on va regarder ce qui se passe après. Sur l'efficacité, on l'a dit, c'est très difficile
00:58:09d'évaluer, il y a tout un tas de biais qui font qu'on n'est jamais sûr que c'est le vaccin qui a
00:58:13été efficace ou pas. Et sur la sécurité, c'est encore pire, la pharmacovigilance c'est vraiment
00:58:18un système très peu efficace pour garantir qu'on arrive à évaluer correctement le nombre
00:58:30d'effets indésirables. Pourquoi ? Parce qu'on sait, et ça il y a des études vraiment reconnues par les
00:58:35autorités de santé qui datent des années, qui montrent qu'il y a un sous-signalement, c'est à
00:58:39dire que les médecins et les particuliers, ils signalent peut-être un effet indésirable sur 100,
00:58:43et au mieux 1 sur 10. Et donc, ce que nous dit la pharmacovigilance sur les effets indésirables
00:58:49apportés n'est qu'une toute petite partie de ce qui se passe dans la réalité. Et en plus,
00:58:54quand il y a des signaux inquiétants, on dit ah non mais c'est des coïncidences. Donc là,
00:58:58on est dans un état de non-science, de non-connaissance qui est appelant, et moi je
00:59:06trouve que dans l'incertitude, il ne faut pas... Vous savez, le principe typocrate d'abord de
00:59:11pas nuire. Moi, je voudrais des données beaucoup plus solides que ça avant d'injecter quelque chose
00:59:18à un enfant en bonne santé. Quand vous parlez d'incertitude, ce qui est fondamental dans ce
00:59:23deuxième mythe des vaccins fondés sur la science, c'est qu'au fait, et c'est même, vous le citez,
00:59:27Jean-François Salouzo, virologue, expert au préliminaire, ce qu'il le dit, on ne comprend
00:59:32pas comment marchent les vaccins, il le dit lui-même. On ne comprend pas comment marchent
00:59:35les vaccins, tout simplement parce qu'une fois qu'un vaccin a été mis au point, plus personne
00:59:39s'intéresse aux vaccins. Et si bien que de nos jours, lorsqu'un virus nouveau apparaît, on ne sait
00:59:45pas comment les autres vaccins ont marché et est-ce qu'on peut s'inspirer d'autres vaccins.
00:59:49Donc en fin de compte, peu de médecins, et surtout pas la population, savent comment fonctionnent les
00:59:54vaccins et qu'il faudrait plutôt, il dit... Si on veut faire des progrès dans l'avenir dans le
01:00:00domaine de la vaccinologie et des vaccins nouveaux, c'est d'étudier d'abord la réponse immunitaire.
01:00:04Étudier la réponse immunitaire et les éléments en fonction de la réponse immunitaire, on l'a déjà
01:00:10dit, mais je crois que ce n'est pas mauvais de se répéter, les données en faveur de la
01:00:14vaccination ne sont pas du tout rassurantes au niveau de la réponse immunitaire.
01:00:18Oui, non mais ça c'est extraordinaire, c'est effectivement un homme qui a dirigé pendant
01:00:22dix ans quand même la production de vaccins viraux chez Sanofi. Donc ce n'est pas n'importe
01:00:27qui, expert auprès de l'OMS. Et il dit, mais en fait les vaccins, on ne comprend pas comment ça
01:00:31fonctionne. Et donc on ne connaît pas comment marchent les vaccins. On ne sait pas, on a essayé
01:00:37des choses, il y en a qui avaient marché, d'autres qui ne marchent pas, on ne sait pas très bien
01:00:40pourquoi. Quand il y a eu le virus du Sida qui est apparu, certains ont dit, on aura le vaccin en
01:00:44deux ans. On ne l'a toujours pas, mais on ne sait pas bien pourquoi. Et en fait, c'est ça qui montre,
01:00:49une fois de plus, l'incompréhension que j'ai face aux certitudes et à l'arrogance des vaccinalistes
01:00:57les plus acharnées, c'est que le système immunitaire est probablement le système de
01:01:03notre corps qu'on comprend le moins et le plus complexe. Et donc, quand on interfère avec ce
01:01:08système immunitaire, on ne sait pas vraiment ce qu'on fait. C'est pour ça qu'il dit, on ne comprend
01:01:12pas très bien les vaccins, pourquoi certains marchent, pourquoi d'autres ne marchent pas. La
01:01:15réponse immunitaire est extrêmement complexe, il y a des dizaines de molécules en jeu, c'est
01:01:20vraiment quelque chose. Et donc, quand on interfère, encore une fois, on ne sait pas très bien ce
01:01:24qu'on fait, que ce soit à court et à long terme. Et donc, là encore, c'est une raison en tout cas
01:01:28d'être plus modeste. Moi, je ne suis pas du tout contre le principe des vaccins, mais je voudrais
01:01:35qu'on ait plus de modestie dans l'approche et plus de science, parce qu'on manque cruellement des deux,
01:01:42à la fois de modestie et de science sérieuse qui nous montre que tous ces vaccins sont efficaces et
01:01:48en tout cas qu'il y ait un rapport bénéfice-risque qui est acceptable pour la population.
01:01:53Par exemple, en termes d'immunité et de vaccination, vous dites qu'il n'y a pas de lien clair entre les
01:01:58anticorps vaccinaux et la protection contre la coqueluche ou la tuberculose. Vous dites aussi
01:02:03que les vaccins contre un virus précis pourraient rendre plus vulnérables à d'autres virus,
01:02:07mais aussi que les enfants non vaccinés seraient en meilleure santé, notamment moins victimes
01:02:12d'allergies, d'asthmes et de troubles neurologiques. Voilà tous les doutes qu'on a en tout cas.
01:02:17Oui, je reviens juste une seconde sur ces histoires d'anticorps, parce que ça c'est
01:02:20encore un tour de passe-passe. L'industrie pharmaceutique a réussi à faire admettre
01:02:25à tout le monde, corps médical, autorités de santé, que ce qui comptait c'était le taux d'anticorps
01:02:31dans le sang. En fait, ce qui compte le plus pour eux, c'est de générer un taux d'anticorps.
01:02:35Ils disent que c'est ça qui montre que c'est efficace, alors qu'on a tout un tas de preuves
01:02:41sur énormément de maladies, que le nombre d'anticorps n'est pas corrélé au niveau de
01:02:45protection. Et notamment parce que c'est beaucoup plus compliqué que ça. Déjà c'est juste les
01:02:50anticorps du système immunitaire général n'est qu'un des systèmes immunitaires. On l'a vu tout à
01:02:54l'heure, il y a le système mucosal immunitaire. Ensuite, parce qu'il y a une immunité qui n'est
01:02:58pas des anticorps, qui est l'immunité cellulaire, les cellules T et lymphocytes T qui sont extrêmement
01:03:03importantes aussi et moins stimulées par la vaccination. Bref, c'est beaucoup plus compliqué
01:03:09que ça. Mais le problème, c'est qu'on s'appuie souvent sur un taux d'anticorps pour dire ça
01:03:14fonctionne ou ça ne fonctionne pas, alors que dans la réalité, ce n'est pas aussi simple. Et d'ailleurs,
01:03:17on l'a bien vu sur le Covid, et même Jean-François Delfraissy l'a dit de façon assez
01:03:20frontale et brutale au Sénat en disant, écoutez, vraiment, ça n'a rien à voir. On peut avoir un
01:03:28nombre d'anticorps très élevé contre le Covid, ça ne nous dit rien du niveau de protection.
01:03:32Malheureusement, il n'y a pas de bon marqueur de l'efficacité vaccinale. Il n'y a aucun corrélat
01:03:42de protection qui soit solide et connu. C'est-à-dire que vous pouvez avoir des anticorps à un niveau
01:03:49élevé et faire un Covid, j'en ai x exemples à vous donner. Il ne faut surtout pas laisser
01:03:55s'installer l'idée que les anticorps servent à quelque chose. La réponse est non. Je voudrais
01:04:02vous dire autre chose, mais malheureusement, la réponse est non. C'était un aveu assez incroyable
01:04:08parce que sur les dernières doses de vaccins, il n'y a même plus eu d'essai clinique. On a
01:04:13juste mesuré le taux d'anticorps et on a dit voilà, ça nous montre que ça fonctionne. Donc
01:04:18là, il y a vraiment, là encore, un mythe qui sert beaucoup, malheureusement, l'industrie pharmaceutique
01:04:25et qui sert moins la population. Et de nouveau, ce mythe empêche, vous le dites, qu'on fasse
01:04:30des études à large échelle qui nécessiterait qu'on ne vaccine pas en France la moitié des 800 000
01:04:35enfants qui naissent chaque année. Evidemment impensable pour la majorité. Si on voulait
01:04:39vraiment être sérieux, parce que là, je parlais de chacun des vaccins séparément, mais en plus,
01:04:43on ne sait pas s'il n'y a pas un risque cumulatif à faire 11 vaccins entre l'âge de 2 mois et l'âge
01:04:49d'un an, un an et demi. Ça aussi, donc dans un monde scientifique, il faudrait étudier pas
01:04:55seulement chaque vaccin séparément, mais le cumul de tous ces vaccins. Et pour avoir un nombre
01:04:59suffisamment significatif, il faudrait ne pas vacciner la moitié des enfants, vacciner peut-être
01:05:06avec les 11 vaccins obligatoires l'autre moitié et voir exactement ce qui se passe. Ce serait la
01:05:10seule manière de savoir avec certitude si vraiment ces vaccins sont utiles, efficaces, avec un rapport
01:05:17bénéficiaire acceptable. Mais évidemment, ça ne se fera jamais. Mais en grande partie pour le
01:05:21mythe, le premier mythe qu'on a exposé plus tôt, c'est que ça paraît impensable. Mais non,
01:05:25si on arrête de vacciner, ça va être le retour des grandes maladies. Et donc,
01:05:29ça paraît totalement impensable. Donc, on reste dans le troisième mythe.
01:05:33Les vaccins sont sûrs et sans danger. Et vous introduisez ce troisième mythe par le cas du
01:05:39vaccin DTP, utilisé en Afrique et en Asie, qui malheureusement est loin d'être sans danger. On
01:05:46sait les scandales qui ont touché la fondation Bill et Melinda Gates. Vous l'expliquez bien,
01:05:51il y a eu des dizaines de milliers de morts. Oui, alors ça, c'est important. En fait,
01:05:54c'est vrai que je dis DTP pour pertussis, mais disons que ce serait plus clair en français de
01:05:58dire DT-COQ, parce que c'est le diphtéritéthanoscoqueluche. C'est un vaccin qui était
01:06:03encore répandu en Europe et en France, en Belgique, en Suisse, dans les années jusqu'à les années 80-90.
01:06:11Donc, diphtéritéthanoscoqueluche avec la bactérie entière de la coqueluche et de l'aluminium. Et ce
01:06:20vaccin-là, il y a une équipe danoise très prestigieuse, très pro-vaccin, qui a fait des
01:06:26travaux qui sont d'ailleurs assez favorables au vaccin rougeole seul dans les pays africains,
01:06:33qui montrent que ça pourrait vraiment avoir une vraie utilité dans ces pays-là. Des travaux tout
01:06:39à fait crédibles, mais ils se sont penchés ensuite sur le vaccin DT-COQ. Et là, ils se sont aperçus,
01:06:46en étudiant vraiment très précisément des populations africaines et des enfants,
01:06:51que ces vaccins multipliaient par cinq la mortalité infantile. Alors là, c'est quelque
01:06:57chose d'impensable, d'inimaginable, mais c'est ce que cette équipe danoise extrêmement sérieuse
01:07:03et reconnue a trouvé. Ils sont allés présenter leurs résultats avec un vaccin, encore une fois,
01:07:08qui était encore en circulation dans les pays occidentaux jusqu'aux années 80-90. Ils sont
01:07:14allés présenter leurs résultats à l'OMS. L'OMS a même envoyé des gens pour vérifier qu'il n'y
01:07:19avait pas de problème avec ces chiffres. Il n'y avait pas de problème. Et qu'est-ce qui s'est
01:07:24passé ? Rien. On continue à injecter ces enfants africains avec ce DT-COQ, dont cette équipe a
01:07:34montré qu'il y avait, là c'est plus qu'un signal de sécurité extrêmement important, c'est qu'il
01:07:38y avait une mortalité infantile beaucoup plus élevée chez ceux qui étaient vaccinés que chez
01:07:41ceux qui n'étaient pas. Donc là, on est vraiment face à quelque chose de sidérant, de vertigineux,
01:07:50on est dans la croyance. C'est ce que Suzanne Humphries montre quand elle a décelé que les
01:07:57vaccins, vous en parlez, contre la grippe, pouvaient causer des insuffisances rénales graves. Je la
01:08:04cite et je vous cite, parce que c'est quand même important, puisque c'est tout à fait ce qui se
01:08:08passe avec le Covid. Vous dites que quand elle est allée voir ses collègues, et notamment un de ses
01:08:14collègues, elle en parle dans son livre « Vaccination, la grande désillusion », elle a été confrontée à
01:08:18la haine ou au silence de ses collègues quand elle a établi un lien entre la vaccination contre la
01:08:22grippe et des insuffisances rénales graves. Son chef de médecine interne, quand elle lui évoqua ses
01:08:26risques, je la cite, se raidit, son visage se crispa, son langage corporal changea, et il me
01:08:32demanda pourquoi j'accusais le vaccin. Ses collègues, ouverts d'esprit, reconnurent qu'elle
01:08:37avait raison, mais ils restèrent silencieux. La plupart des médecins continuent d'exercer
01:08:41dans une indifférence confortable. Cela dit tout de la religion vaccinale, parce que là on peut
01:08:50parler de religion, c'est fondé sur des mythes, certes, sur le fait que ça sauve la population,
01:08:54mais ça devient tellement épidermique, c'est-à-dire que critiquer le vaccin devient,
01:08:59on voit le raidissement, mais comment ? Ça devient un tabou, comme dans les sociétés où il y a des
01:09:05tabous, des totems. Là on est vraiment dans ce cas-là, et on l'a évidemment malheureusement bien
01:09:13vu dans l'épisode Covid, et c'est encore une fois la raison pour laquelle il faut vraiment revenir sur
01:09:17ça, sur ce qui s'est passé avec les autres vaccins, parce que c'est ce qui a permis vraiment cet
01:09:25épisode catastrophique de la vaccination de masse. Alors, chapitre suivant, pourquoi les experts et
01:09:36les autorités sont aveuglément pro-vax ? Il y a différents éléments qui font qu'ils suivent le
01:09:43narratif ? Oui, alors le premier, c'est qu'ils partagent les mêmes mythes que la population
01:09:50en général. Et ensuite, il y a quelque chose de spécifique dans le corps médical, que j'aborde
01:09:55un peu en détail, qui est la réticence extrême à reconnaître ce qu'on appelle la iatrogénie. La
01:10:01iatrogénie, c'est quand un traitement médical va causer du tort, un effet indésirable médical.
01:10:09Ca va causer des maladies. Voilà, exactement. Et ça, ça ne date pas d'hier, ça remonte à des siècles,
01:10:18et on peut le comprendre psychologiquement. Il y a une réticence extrême du corps médical à
01:10:23reconnaître que ce qu'ils ont donné à des patients ont aggravé la situation, ou créé un autre problème
01:10:27potentiellement grave, plutôt que de résoudre le problème. Je parle d'un exemple fameux...
01:10:35La force Semmelweis. Voilà, Semmelweis, au 19e siècle, qui avait trouvé qu'il pouvait réduire
01:10:42la mortalité infantile à l'hôpital au moment de l'accouchement, et la mortalité des mères de
01:10:47façon absolument drastique, divisée par 10, simplement en obligeant les médecins à se laver
01:10:52les mains avant d'accoucher les mères qui étaient en train d'accoucher. Simplement parce qu'en fait,
01:10:59il passait souvent de la salle de dissection, en fait, où il y avait des bactéries, des virus,
01:11:05à la salle d'accouchement, et il a montré qu'il y avait vraiment divisé par 10 la mortalité. Mais
01:11:14en montrant ça, il montrait aussi que c'était les médecins qui avaient causé une surmortalité
01:11:18dans les hôpitaux européens. Et du coup, comment ça a été pris ? Comment ça a été vécu ? Et bien,
01:11:25en fait, personne n'a suivi ses recommandations. Il a été même totalement isolé, ridiculisé,
01:11:31mis dans un asile, et parce qu'il avait en fait osé supposer, en fait il l'avait démontré,
01:11:40qu'un acte médical avait causé des morts. Donc, ça remonte à loin, cette réticence fondamentale
01:11:47du corps médical à reconnaître des effets hasard. Et le professeur Gherardi, qui est un grand
01:11:52chercheur français, qui a fait des travaux extraordinaires sur l'aluminium vaccinal et les
01:11:57risques de l'aluminium vaccinal, il le dit parfaitement, il raconte qu'il en discutait
01:12:01avec un collègue qui était un grand professeur de médecine, un grand ponte, qui lui dit « Écoutez,
01:12:05je pense que vous avez raison sur les dangers de l'aluminium vaccinal, mais je ne le dirai jamais
01:12:09parce que c'est de l'hiatrogénie, parce que c'est les médecins qui, en injectant des vaccins
01:12:17contenant de l'aluminium, ont connu des problèmes et que c'est totalement tabou. »
01:12:20Il dit « Je dirai toujours que vous avez tort, c'est incroyable. »
01:12:23« Voilà, je dirai toujours que vous avez tort. » Et donc, il y a deux phénomènes, à la fois
01:12:26psychologiques, disons, morales, normales, c'est-à-dire qu'on n'a pas en personne envie
01:12:30d'imaginer qu'il ait pu faire du mal à d'autres, aucun pédiatre n'a envie de s'imaginer qu'il a
01:12:35vacciné des centaines d'enfants dans sa carrière, qu'il a pu créer des cas graves d'autisme ou
01:12:41d'allergie ou d'autres problèmes de santé, des problèmes neurologiques, ça c'est naturel,
01:12:46c'est ce qu'on comprend, mais il y a aussi la défense du prestige de l'institution et ça,
01:12:51ça vaut encore plus chez les spécialistes des maladies infectieuses et des vaccins,
01:12:56parce qu'il y a tellement un mythe, justement, sur ces vaccins salvateurs de l'humanité,
01:13:01que c'est le progrès médical qui a sauvé l'humanité des maladies infectieuses que ça
01:13:07contribue énormément au prestige de la profession et que si on remettait en cause tout ça,
01:13:12non seulement en disant que c'est juste l'amélioration des conditions de vie qui a
01:13:17permis de sortir de ces fléaux et qu'en plus, en fait, tous ces vaccins, il y en a un certain
01:13:23nombre peut-être qui causent plus de problèmes qu'ils ne résolvent, si vous voulez, ça ferait
01:13:26chuter de leur piédestal, de son piédestal tout un pan du prestige du corps médical et donc il y a
01:13:33une réticence extrême pour ces deux raisons psychologiques à reconnaître qu'il y a des
01:13:37problèmes avec ces vaccins. Sans même parler, on y viendra à la fin, de la corruption et de la
01:13:41rémunération. Voilà, ça c'est encore là, ça s'ajoute, mais comme c'est très important,
01:13:46je pense aussi, de parler des éléments psychologiques, parce qu'évidemment que la
01:13:49plupart des médecins ne sont pas corrompus, qui sont de bonne foi, mais que c'est vraiment
01:13:55ancré dans leur psyché, si vous voulez, qu'on ne peut pas critiquer les vaccins, pour les deux
01:14:01raisons que je viens de dire. Oui, c'est vrai que c'est très important, parce que sinon tout le
01:14:05monde dit que ceux qui rentrent dans le jeu sont corrompus, mais non, c'est pire que ça en fait,
01:14:09c'est une véritable croyance, une religion. Vous parlez du cercle vicieux dans la déclaration des
01:14:15effets indésirables, c'est incroyable, c'est ce cercle où en fait, vous l'expliquez, je ne sais
01:14:23pas si vous pouvez le dire ? Oui, en gros, les essais cliniques sont souvent, soit ils n'existent
01:14:28pas, soit ils sont manipulés pour masquer des effets indésirables, je le montre en détail sur
01:14:33le vaccin Gardasil contre le papillomavirus, on a vraiment écarté des résultats des effets
01:14:39indésirables graves, ça c'est clair et avéré, et donc ensuite, les médecins, en gros, ils s'appuient
01:14:47là-dessus sur les essais cliniques pour dire qu'il n'y a pas eu d'effets indésirables graves, donc
01:14:50s'ils voient des effets indésirables graves, ils disent non, mais ça ne peut être qu'une
01:14:53coïncidence, et donc il y a un cercle vicieux comme ça où on ne peut pas le voir, et du coup,
01:14:58on ne les signale pas, et donc les signaux de sécurité ne remontent pas. Oui, donc ils attendent
01:15:04au fait que les autorités l'identifient comme un effet secondaire, mais les autorités elles-mêmes
01:15:09attendent que les médecins l'identifient comme effet secondaire pour pouvoir dire qu'il y en a un.
01:15:13Exactement. Alors, un point important aussi, c'est que les autorités de santé, vous le dites,
01:15:19ont un problème avec la vérité, et là, on rentre dans le sujet des vaccins Pfizer,
01:15:25où la FDA aux Etats-Unis a tout fait pour cacher les effets secondaires, en tout cas même les
01:15:37essais Pfizer. Oui, en fait, ce qui était étonnant, c'est qu'ils ont tout fait pour
01:15:42ne pas que ce ne soit pas rendu public. 2097. Oui, avant 50 ou 75 ans, les documents qui ont
01:15:52permis l'approbation des vaccins Pfizer, il a fallu une bataille en justice dans laquelle la FDA
01:15:57était aux côtés de Pfizer pour dire non, non, il ne faut pas rendre public ces documents,
01:16:00on se demande pourquoi. Heureusement, la justice a donné raison aux associations qui voulaient que
01:16:07ces documents soient publics. Mais pour résumer le problème des autorités de santé, il est
01:16:11extrêmement simple, et il y a un problème fondamental, et on se demande s'il n'est pas
01:16:14fait exprès, tellement il est énorme, c'est qu'elles sont jugées parties. On sait qu'on ne
01:16:18peut pas être dans un procès, on sait que personne ne peut être jugé partie, parce que sinon il va
01:16:22être biaisé. Or, si vous donnez la responsabilité aux autorités qui approuvent un vaccin et qui
01:16:29disent oui, c'est OK, on peut vacciner massivement. Si vous donnez à cette même autorité la
01:16:34responsabilité de dire ah, mais après coup, est-ce qu'il y a eu des effets graves, est-ce qu'il y a
01:16:37eu des accidents, est-ce qu'il y a eu des problèmes ? Il est évident qu'il y a une réticence à
01:16:43reconnaître qu'il y a eu des problèmes, puisque c'est eux-mêmes qui ont été responsables de
01:16:46l'approbation du feu vert et du fait que des milliers de personnes ont été vaccinées et
01:16:50peut-être ont eu des accidents vaccinograves. Pourtant, dans tous les pays occidentaux, c'est
01:16:54la même entité qui à la fois autorise les médicaments et les vaccins, et qui ensuite est
01:16:59chargée de regarder après coup s'il n'y a pas un problème avec ces médicaments et ces vaccins.
01:17:02C'est un problème structurel, évident. Personne n'a envie de se sentir responsable par une
01:17:09autorisation, peut-être qui n'était pas basée sur tous les éléments qu'il aurait fallu, d'un vaccin
01:17:15ou d'un produit de santé qui a causé des dégâts. Vous montrez cet exemple entre Mercure qui est
01:17:20énorme, Mercure vaccinal et autisme, les autorités qui camouflent le lien en 1999 aux Etats-Unis,
01:17:26la CDC, principale autorité américaine sur les maladies infectieuses, a payé l'institut de
01:17:31médecine pour qu'ils refassent les calculs en s'assurant que le lien entre autisme et RQS
01:17:35disparaisse totalement des résultats. Oui, c'est une affaire que je raconte,
01:17:39qu'il faut lire, où un chercheur interne à l'autorité de surveillance américaine a vraiment
01:17:45trouvé un lien énorme, significatif, entre le nombre d'injections au Mercure et l'autisme,
01:17:51et tout a été fait pour cacher ce lien. Il y a même une réunion au sommet entre toutes les
01:17:56autorités de santé, l'industrie pharmaceutique, pour dire comment est-ce qu'on sort de cette
01:18:00situation. On ne peut pas le dire au public parce que ça diminuerait la confiance en les vaccins,
01:18:06et donc on a, là encore, très discrètement éliminé le Mercure de la plupart des vaccins,
01:18:11mais sans jamais reconnaître qu'il y a eu un gros problème avec ces injections.
01:18:16Alors je crois que c'est, vous le citez, on vient d'en parler du professeur Gérardy,
01:18:21et je pense que sa réflexion est essentielle, qui me fait penser à des faux garde-fous. Il
01:18:26dit que la FSAPS, l'ancienne agence du médicament français, il le dit, je le cite,
01:18:36je finirai par le comprendre au fil des années, est une machine ayant pour objectif premier
01:18:42d'empêcher qu'éclate un scandale sanitaire. Elle s'évertue pour se faire ralentir les
01:18:47procédures permettant d'appréhender la dimension exacte du problème. Ce n'est ni un juge impartial,
01:18:53ni un collectif scientifique. Je crois que tout est dit, et par rapport à d'autres aussi instances
01:18:56dans notre société, autres que scientifiques, qui jouent au fait ce rôle de faux garde-fous,
01:19:02fausses organisations qui permettent de protéger, mais qui au fait jouent complètement le jeu de
01:19:09Big Pharma dans le cas de la médecine et de la science. Tout à fait, et en plus,
01:19:12comme ils ont une influence dans les financements de la recherche, ils essayent de tout faire pour
01:19:16empêcher les chercheurs, comme lui, qui se penchent sur les effets indésirables ou sur
01:19:21les problèmes vaccinaux, de les empêcher d'avoir des financements. Donc c'est vraiment un problème
01:19:26extrêmement global où tout est fait, y compris au niveau de la recherche scientifique, pour empêcher
01:19:31ceux qui vont essayer d'avoir un esprit critique sur les vaccins de travailler. Je crois qu'avec
01:19:38ces trois grands mythes qu'on vient de passer en vue, on voit bien que, c'est mythes aussi,
01:19:44mais aussi les biais psychologiques des médecins, la logique administrative dont vous parlez,
01:19:48on n'est pas dans un complot, mais dans un truc malheureusement structurel et très bien organisé,
01:19:54sans encore parler, et on y vient, de l'OMS sous influence et du rôle de Bill Gates. Pourquoi l'OMS
01:20:03a plus de pouvoir sur la santé que n'importe quel état au monde ? Peu de gens le savent.
01:20:08Ah mais parce que les directives de l'OMS sont prises indépendamment des éléments juridiques,
01:20:15qui sont dans la plupart des cas non contraignants pour l'instant, même s'il y a des traités en
01:20:18préparation qui veulent rendre plus contraignants les capacités de l'OMS à agir, mais la plupart des
01:20:23services de santé des états reçoivent les directives de l'OMS comme parole d'évangile,
01:20:28et a fortiori en plus dans les états moins développés où les systèmes de santé locaux
01:20:37sont moins développés. Donc l'OMS a un pouvoir très très important, en tout cas de prescription,
01:20:44et en particulier dans les politiques vaccinales des pays en développement.
01:20:48L'OMS et donc Bill Gates.
01:20:50Et donc Bill Gates parce qu'on ne peut que voir, c'est très facile à voir dans le pouvoir de la
01:20:57fondation Bill Gates dans les contributeurs. Si on ajoute la fondation Bill Gates à l'organisme
01:21:03Gavi, qui a été aussi fondé par Bill Gates, qui est l'alliance du vaccin.
01:21:07En 2000, le forum de Davos ?
01:21:10Voilà, bizarrement lancé au forum économique mondial. Donc quand on ajoute Gavi et la
01:21:17fondation Gates, c'est les premiers contributeurs financiers de l'OMS, et donc on sait qu'il y a
01:21:23une influence absolument majeure de Bill Gates sur les programmes de l'OMS, et beaucoup regrettent
01:21:30que depuis des années, il y ait une focalisation totale sur la vaccination et les maladies
01:21:34infectieuses, et la vaccination comme seule réponse, alors qu'il y a tout un tas de problèmes
01:21:38de santé, notamment dans les pays en développement. Diabète, hypertension,
01:21:41des problèmes vraiment cardiovasculaires extrêmement sérieux.
01:21:45Cancer, obesité, vous le dites.
01:21:47Oui, on a l'impression que tout est focalisé sur le vaccin. Et en fait, moi je n'entre pas dans
01:21:52les motivations profondes de Bill Gates, mais une chose est sûre, c'est qu'il a cette mentalité du
01:21:58tout technologique. La seule réponse à des problèmes doit être technologique, et dans le
01:22:05cas des maladies infectieuses, doit être vaccinale. Et cette idéologie du tout vaccinal a vraiment une
01:22:12influence extrêmement importante sur les politiques vaccinales, avec en plus derrière,
01:22:18j'en parle un peu, mais je ne développerai pas ici, mais des inquiétantes volontés de contrôler
01:22:26en plus un maximum la population. L'identité numérique par exemple.
01:22:29Exactement, l'identité numérique, et lier le carnet vaccinal à une identité numérique pour être sûr
01:22:35qu'on sache vraiment précisément qui a été vacciné et qui n'a été pas, toujours sous le prétexte de
01:22:39bonnes intentions, pour être sûr qu'il y a une bonne couverture vaccinale, etc., qu'on ne perd
01:22:42personne. Mais avec des conséquences, on en a eu un aperçu avec les QR codes récemment, avec des
01:22:48conséquences absolument majeures en termes de violations du secret médical et des risques de
01:22:57contrôle de la population selon leur statut vaccinal. Vous rappelez toutefois que l'intérêt
01:23:01n'est pas désintéressé, et que la fondation Bill et Melinda Gates a investi 55 millions de dollars
01:23:06dans BioNTech deux mois avant l'épidémie, ce qui lui a permis de faire une plus-value de dix fois
01:23:11sa mise de départ pour le vaccin anti-Covid, en partenariat avec Pfizer. Vous parlez également
01:23:17succinctement du lien entre la fondation Bill et Melinda Gates et le cabinet McKinsey,
01:23:22que Macron connaît bien. Donc voilà, on est quand même dans un système de business.
01:23:28Oui, il y a une influence tentaculaire, vraiment, de Biggest sur la politique vaccinale,
01:23:32y compris Covid. Ça a été reconnu d'ailleurs par des journaux mainstream, où il y a eu vraiment une...
01:23:36Et on se demande comment et pourquoi, en fait, un homme comme lui devrait avoir autant d'influence
01:23:43sur la politique sanitaire mondiale. C'est un énorme problème quand on connaît tous ces biais,
01:23:49à la fois, encore une fois, du tout technologique, mais aussi du tout industrie pharmaceutique,
01:23:55et tout est fait aussi pour favoriser l'industrie pharmaceutique, quelles que soient les raisons,
01:24:01dans son système de financement et de promotion des vaccins.
01:24:07Oui, donc vous tirez de ces éléments la conclusion que, et peu font votre constat,
01:24:16que les politiques, je vais taper sur le clou, les politiques vaccinales ne sont pas décidées
01:24:22par des pouvoirs publics indépendants, sur la base d'un consensus scientifique objectif,
01:24:26élaboré par des recherches des intéressés. Je crois qu'il faut vraiment le rappeler. Et
01:24:31vous le rappelez. Alors, on rentre dans le chapitre suivant, qui est celui du business.
01:24:37Le marché des vaccins, qui est stratégique pour Big Pharma, qui dit merci à Bill Gates,
01:24:45Bill Gates renvoyant le compliment. En 2011, vous citez McKinsey qui avait prévenu,
01:24:50les beaux jours sont terminés, pour toujours, pour l'industrie pharmaceutique. Les contraintes
01:24:55augmentent alors que l'industrie montre peu de signes d'être capable de livrer assez d'innovations
01:24:59pour les compenser. Alors, pourquoi Big Pharma est un colosse aux pieds d'argile ? Vous l'expliquez.
01:25:05Ça, c'est fondamental de le comprendre. Il y a une grande illusion sur la médecine moderne. Il y a
01:25:09eu les antibiotiques qui ont été une sorte de miracle, de découverte miracle, qui a donné à la
01:25:16médecine un prestige qu'elle n'a jamais eu et qui l'a mis sur un pied d'estale. Et on a cru que,
01:25:21en fait, pour toutes les maladies, on allait trouver une pilule miracle. Et en effet,
01:25:25dans les années 50-60, l'industrie pharmaceutique a analysé toutes les molécules qu'ils avaient
01:25:31sous la main, naturelles ou modifiées, pour voir si elles avaient des effets thérapeutiques. Et là,
01:25:35il y a eu une explosion du nombre de molécules qui ont été découvertes ou qui avaient effectivement
01:25:39un effet. Mais c'était un processus qui était lié totalement au hasard. Ce n'était pas la
01:25:46compréhension des mécanismes du corps humain, c'était qu'on a tout testé. Et donc là, il y a
01:25:49eu effectivement un âge d'or où un certain nombre de molécules utiles, qu'on utilise encore,
01:25:53ont été développées. Mais ensuite, ce qui s'est passé et ce que peu de gens comprennent,
01:25:59en fait, c'est que tout ce qui s'est passé après était beaucoup moins glorieux pour l'industrie et
01:26:05qu'en fait, depuis une cinquantaine d'années, en gros, 90% des médicaments et des molécules qui
01:26:13ont été mis sur le marché sont inefficaces ou dangereuses ou n'apportent quasiment rien.
01:26:18Ça, ça a été écrit dans le British Medical Journal, donc c'est pas Xavier Bazin qui l'a dit,
01:26:23c'est confirmé par le professeur Rao qui disait que depuis 20 ans, 90 à 99% des médicaments sont
01:26:32inutiles, des nouvelles molécules sont inutiles. Mais pour une raison très simple, c'est qu'une
01:26:36fois qu'on a analysé à peu près toutes les molécules qu'on avait sous la main, c'est très
01:26:39difficile d'en trouver de nouvelles. Très, très difficile. Et qu'en plus, l'autre raison, c'est
01:26:44que ce qu'on vit dans les pays occidentaux, c'est essentiellement des maladies chroniques,
01:26:48c'est-à-dire diabète, cancer, obésité, hypertension. Due à la malbouffe notamment.
01:26:53Exactement, et qui sont des mécanismes extrêmement complexes qui se développent sur la durée et pour
01:26:58lequel il est impossible qu'une seule molécule puisse avoir un effet miraculeux. Mais ça n'a pas
01:27:05empêché l'industrie pharmaceutique d'être florissante toutes ces années parce qu'elle
01:27:09bénéficiait de l'acceptation des autorités de santé qui acceptaient de mettre toutes ces
01:27:15molécules sur le marché. Et puis il y a ce problème des brevets. Une fois que le brevet tombe,
01:27:20au bout de 10-20 ans, elle ne gagne plus tellement d'argent. Et donc c'est pour ça qu'un certain
01:27:25nombre de cabinets, McKinsey, Deloitte, alertaient en disant « attention, à partir des années 2000,
01:27:33il n'y a plus beaucoup de nouvelles molécules dans les tuyaux, les brevets vont bientôt tomber,
01:27:39ça va être ce qu'on appelle la falaise des brevets. » C'est-à-dire qu'une fois que ça tombe,
01:27:43la rentabilité de l'industrie pharmaceutique risque de chuter de façon assez sérieuse.
01:27:47Mais donc tout ça nous indique, un, que la priorité pour l'industrie pharmaceutique a été
01:27:52d'influencer les autorités de santé puisque c'est par leur biais qu'ils autorisent des molécules qui
01:27:58ne sont pas forcément supérieures aux précédentes et qui peuvent avoir des effets indésirables graves,
01:28:02c'est par leur biais qu'en fait ils ont réussi à maintenir leur marge alors même que la majorité
01:28:07de leurs molécules n'étaient pas très utiles. Et le deuxième point, c'était qu'il fallait
01:28:12trouver évidemment un relais de croissance par rapport à tous ces médicaments. Après les
01:28:17antidépresseurs, après les statines, après les antiacides qui ont été mis sur marché dans les
01:28:2390-2000, il n'y avait plus tellement de relais de croissance, il y a eu le Viagra, il y a eu
01:28:28quelques médicaments de niche et les vaccins sont apparus à ce moment là comme un potentiel relais
01:28:35de croissance très significatif. Jusque là, ce n'était pas un business très majeur pour l'industrie
01:28:42mais ça l'est devenu en fait. Pour montrer que c'est le business idéal actuellement le vaccin.
01:28:49C'est le business idéal pour plusieurs raisons, c'est-à-dire d'abord c'est les États qui font la
01:28:54promotion généralement de la vaccination, l'industrie n'a même pas besoin de faire
01:28:59de la publicité. Parfois ou souvent c'est obligatoire, donc là c'est encore mieux,
01:29:06là il n'y avait même plus de promotion à faire, c'est obligatoire, c'est la force de la loi.
01:29:12Ensuite, c'est dans la plupart des cas, ce n'est pas l'industrie pharmaceutique qui doit indemniser
01:29:17les effets indésirables, ça aussi c'est quelque chose de bon. On l'a vu dans les vaccins Covid,
01:29:21ils avaient négocié une immunité totale par rapport aux effets indésirables. Mais c'est le
01:29:26cas de la plupart des vaccins, à partir du moment où ils sont obligatoires, notamment en France,
01:29:30c'est l'État qui doit indemniser. Aux États-Unis, il y a un système comparable depuis 1986 où c'est
01:29:37un organisme particulier qui indemnise les accidents vaccinaux et pas l'industrie. En plus,
01:29:45les vaccins, c'est quasiment impossible à breveter et seules des énormes compagnies peuvent fabriquer
01:29:53à grande échelle avec un niveau de sécurité sur la fabrication qui est très sensible, qui est
01:29:58acceptable. Donc ils ne sont pas généricables. Exactement, pas généricables. Et puis ça concerne
01:30:04la planète entière aussi souvent. Ça concerne la planète entière et ça concerne des gens en
01:30:07bonne santé, contrairement aux médicaments qui ne touchent que des malades. Donc on peut toucher
01:30:11beaucoup plus de monde que pour les médicaments. Donc là, il y avait vraiment une source de
01:30:18business et de rentabilité qui était exceptionnelle. Et puis dernière chose, la rentabilité sur les
01:30:23vaccins est très importante. Donc il y avait une source de rentabilité, de relais de croissance
01:30:28qui était extraordinaire. Et donc ce n'est pas un hasard si depuis les années 2000, on assiste à
01:30:33tout un tas de nouvelles menaces, de nouveaux virus dont il faudrait se protéger. Et puis une
01:30:41profusion de nouveaux vaccins. Pour vous dire, il y en a à peu près 300 nouveaux vaccins qui sont
01:30:46dans les tuyaux de l'industrie pharmaceutique en ce moment même. Il n'y a pas besoin d'être un
01:30:51spécialiste, il suffit d'avoir un peu de bon sens pour comprendre qu'on n'a pas besoin de 300 nouveaux
01:30:55vaccins pour se vivre en bonne santé et que la priorité, ça doit être d'abord d'améliorer son
01:31:03système immunitaire, de bien manger, de faire l'activité physique et d'augmenter sa capacité
01:31:08de résistance face à l'ensemble des virus et bactéries. C'est pour ça qu'ils n'en parlent pas
01:31:11du tout aussi, ça ne rapporte pas beaucoup. C'est même contre-productif pour eux. Mais pour moi,
01:31:16ça donne lieu à une guerre, l'impression d'une guerre totale contre les microbes alors que c'est
01:31:23une erreur fondamentale. Toutes les recherches sur le microbiote intestinal depuis des années
01:31:27montrent bien qu'il y a une symbiose, qu'on vit en symbiose avec des virus et des bactéries qui
01:31:32sont utiles. Ce n'est pas du tout aussi simple que les méchants microbes. Et donc, rompre cette
01:31:39symbiose, rompre les équilibres entre les virus et les bactéries et nous, avec tout un tas de
01:31:44vaccins, est un risque qu'on fait porter, encore une fois, un risque dont on ne connaît pas les
01:31:49conséquences et qui peut être très problématique. Alors, vous cassez une fausse croyance et je
01:31:55pense que c'est aussi un point essentiel parce qu'on dit souvent les pauvres gouvernements,
01:31:59les pauvres états qui sont soumis au diktat de Big Pharma. Au fait, vous dites que c'est grase.
01:32:04Big Pharma dépend essentiellement du laxisme des autorités sanitaires et des agences de
01:32:10régulation et que c'est grase à elle qui peut prospérer autant et qui conserve sa rentabilité.
01:32:19Et donc, c'est aussi pour ça qu'il met en place un système de rémunération, on pourra dire
01:32:24soudoyamment, du plus grand nombre d'acteurs possible. C'est la seule manière dont tu peux
01:32:29préserver cette extrématie. Tout à fait. Il y a vraiment un phénomène de corruption légale
01:32:38d'ailleurs, probablement pas aussi illégale, mais en tout cas légale qu'on peut observer. Je donne
01:32:44quelques exemples dans mon livre où des anciens responsables qui ont autorisé des médicaments ou
01:32:52des vaccins sont passés juste après chez l'industrie pharmaceutique, ce qui est un conflit
01:32:59d'intérêt absolument majeur parce que si les gens qui sont en position d'approuver des médicaments
01:33:03importants savent qu'ils peuvent après être rémunérés des millions en passant juste de l'autre
01:33:08côté de la barrière chez l'industrielle qui leur soumet pour autorisation un médicament,
01:33:13ça crée un système d'incitation absolument catastrophique. Et on l'a vu encore récemment
01:33:19sur les vaccins Covid, le responsable à l'AFDA aux Etats-Unis qui a approuvé les vaccins Moderna
01:33:24est passé chez Moderna. En tout cas, c'est la maison mère de Moderna dans la foulée,
01:33:29c'est juste ahurissant. Alors, autre scandale, les essais cliniques sont financés et organisés,
01:33:36et peu de gens le savent aussi, par les firmes sans aucun contrôle extérieur. Ils sont souvent
01:33:41manipulés, vous le montrez bien. Oui, alors là, c'est encore un peu technique, mais c'est très
01:33:47important de comprendre que dans un monde normal, on ne laisserait pas les firmes organiser
01:33:54entièrement leurs essais cliniques, examiner les données, organiser les données et remonter tout
01:34:01ça de façon assez opaque et sans d'ailleurs beaucoup de supervision ni de contrôle des
01:34:07autorités de surveillance. Il est évident que sur des éléments, notamment sur le Covid,
01:34:12pas seulement, aussi stratégiques, il faudrait donner à des organismes indépendants la responsabilité
01:34:20d'organiser les essais cliniques parce qu'on sait très bien, ça a été montré aussi dans la
01:34:24littérature scientifique, que celui qui organise peut vraiment influencer le résultat. Même pour
01:34:30un essai randomisé en double aveugle, il y a des manières d'influencer les résultats. Donc,
01:34:35ça aussi, c'est une grave faille, mais encore une fois, ce n'est pas une faille qui est liée au
01:34:40hasard, c'est que dans l'ensemble, il y a une corruption systémique qui explique toutes ces
01:34:44failles, qui explique qu'aussi personne ne cherche à les combler, ces failles, où les essais cliniques,
01:34:50qui sont normalement le standard ultime qui nous permet de savoir vraiment est-ce que c'est
01:34:55efficace, est-ce que c'est risqué, ne sont même plus crédibles dans beaucoup de cas parce qu'ils
01:35:00sont organisés par l'industrie pharmaceutique. Par exemple, il devrait y avoir un groupe
01:35:06témoin, un groupe expérimental, c'est-à-dire qu'il y en a un qui reçoit le vaccin et l'autre qui
01:35:09reçoit une solution saline, mais qu'il y a pas mal de boîtes qui, plutôt que de donner la solution
01:35:14saline, ont donné un autre vaccin ou une injection avec de l'aluminium seul, donc ce qui fausse
01:35:20complètement les résultats. Je vais vous montrer aussi que Merck, qui a créé pour son vaccin
01:35:25Gardasil, une catégorie, c'est fantastique, c'est très horreur, de nouveaux événements médicaux,
01:35:30qui ne rentrent pas en ligne de compte pour les effets secondaires. Donc, ils ont toutes des
01:35:34techniques pour arriver à ce que leurs résultats soient... Oui, toutes ces techniques dont vous venez
01:35:41de parler sont parfaitement légales et connues et autorisées par les autorités de santé, et il faut
01:35:46ajouter à ça, à ces techniques, donc ces protocoles biaisés, malheureusement autorisés, la fraude,
01:35:52la fraude existe aussi, il y a eu un lanceur d'alerte dans le cadre de l'essai Pfizer où il y a
01:35:57manifestement des fraudes, et la fraude existe pour masquer des effets indésirables, et on l'a vu
01:36:02dans l'essai Pfizer aussi, il y a plusieurs personnes, je pense notamment à la jeune fille
01:36:06Maddy de Garay, qui était en fauteuil roulant, qui avait des effets indésirables extrêmement
01:36:11graves, et dont le cas dans les essais Pfizer a simplement été rapporté, je crois, de mémoire,
01:36:17problème intestinal ou quelque chose comme ça, alors que cette fille était en fauteuil roulant,
01:36:23et donc là, on est au-delà des protocoles et du laxisme des autorités de santé, on est en plus
01:36:29sur la fraude et la manipulation des essais cliniques illégales, mais sans que ça n'émeute
01:36:36beaucoup les autorités de surveillance, qui ne font pas un travail énorme pour essayer de contrôler
01:36:40tout ça. Et vous dites que les vaccins Covid ont battu tous les records, et il faut quand même le
01:36:44rappeler qu'un seul essai clinique a permis au vaccin Pfizer d'être distribué à des centaines
01:36:50de millions de personnes en bonne santé. Oui, mais quand on regarde tous les éléments de
01:36:55cet essai clinique, tout est à pleurer, il n'y avait des données que sur deux mois seulement,
01:37:00il n'y avait aucune donnée sur les formes graves, c'était uniquement sur les formes symptomatiques,
01:37:07il revenait à Pfizer de savoir si on faisait un test spécial, enfin tout était, je détaille,
01:37:12mais vraiment rien n'était fait comme il fallait, tout était fait pour permettre une autorisation
01:37:17et d'avoir les chiffres les meilleurs possibles, on n'a pas testé les personnes en EHPAD,
01:37:22on ne les a pas mis dans l'essai clinique, alors que c'était les premières personnes concernées par
01:37:27le risque de la Covid-19, en fait, rien n'allait dans le protocole de Pfizer. Oui, c'est important
01:37:32ce que vous dites, donc on n'a pas évalué l'impact du vaccin dans les essais sur la transmission,
01:37:37on n'a pas évalué l'impact du vaccin sur le risque de mourir ou de faire des formes graves,
01:37:40alors les gouvernements et les médias nous ont monté là-dessus, donc ils l'ont testé sur quoi
01:37:45alors uniquement ? Sur les symptômes mineurs ? Voilà, exactement, est-ce qu'on avait des symptômes
01:37:50après avec un test positif Covid-19 ? Et même ça, c'est subjectif parce que quand on regarde
01:37:57l'ensemble des symptômes grippaux, disons tous confondus, soit avec test PCR-Covid,
01:38:02soit sans test PCR-Covid, il n'y avait quasiment aucune différence entre le groupe vacciné et le
01:38:06groupe de contrôle, ce qui fait soupçonner qu'il y a eu là encore peut-être de la manipulation
01:38:12dans la façon dont on a testé ou pas le groupe vacciné ou le groupe de contrôle. Oui, en sachant
01:38:18en plus, comme vous dites, que Pfizer a enlevé les personnes les plus vulnérables qui avaient
01:38:21besoin d'être protégées du Covid de ces essais, que les enfants n'ont pas été testés, mais malgré
01:38:26ça, vous le montrez, que les chiffres de mortalité ne sont pas très favorables au vaccin Pfizer,
01:38:32ou même le contraire. Ah non, donc l'élément le plus scientifique, le plus crédible dont on
01:38:38dispose sur la mortalité, c'est l'essai Pfizer où il y a un peu plus de morts dans le groupe
01:38:43vacciné que dans le groupe non vacciné, donc c'est quand même un peu frappant et ça en dit long
01:38:47quand même sur les limites de la connaissance dont on dispose sur la réalité de la protection
01:38:54de ces vaccins contre les formes de grâces. Alors dans ce qui ressemble fort à un système mafieux,
01:39:00la cerise sur le gâteau, ce serait que Pfizer supprime le groupe témoin en fin de compte,
01:39:05c'est ce qu'il a fait ? Oui, alors ça, c'est incroyable, la seule manière d'évaluer sur le
01:39:11long terme les effets de ces vaccins, encore de manière rigoureuse et sans tous les biais
01:39:17qu'on peut avoir quand on regarde en vie réelle, c'était de suivre ceux qui ont été vaccinés et
01:39:22ceux qui ont eu le placebo pendant des mois, voire des années, mais dès qu'ils ont pu, au bout de six
01:39:29mois, Pfizer a vacciné tous ceux qui souhaitaient être vaccinés, évidemment c'était la majorité du
01:39:34groupe placebo, et donc c'était le meilleur moyen de ne pas pouvoir suivre au fil du temps,
01:39:40de savoir si finalement il n'y avait pas plus de cancers, plus de maladies neurodégénératives dans
01:39:46le groupe vacciné par rapport au groupe placebo sur plusieurs années, c'est très dommage parce
01:39:51que là, on a énormément de signaux de sécurité très inquiétants, mais si on avait fait ça,
01:39:58on aurait eu des certitudes. Vous montrez encore l'importance des experts, avec l'exemple de
01:40:05Dynavax, ce panel d'experts qui sont tous liés à l'industrie pharmaceutique. Pas tous, mais soit
01:40:11une grande partie liée à l'industrie, l'autre partie liée à l'AFDA ou au CDC, aux autorités de
01:40:21santé qui sont eux-mêmes sous influence, et donc il n'y a pas un seul expert vraiment indépendant,
01:40:27ni indépendant de ces autorités de santé sous influence, ni indépendant de l'industrie
01:40:31pharmaceutique qui approuve les vaccins, et donc c'est un énorme problème. Et qui sont
01:40:37en général omniprésents dans les médias. Pour terminer tout doucement, il faut quand même parler
01:40:46des revues, et vous en parler médicales, des médias des politiques qui n'ont permis ni débat,
01:40:52ni contre-pouvoir. Il y a peu de gens qui savent que ces revues, dont les noms sont en général
01:40:58bien, font partie du système commercial et de business aussi. Oui, mais c'est toutes ces revues
01:41:08aux noms magnifiques et prestigieux de Lancet, British Medical, celui-là c'est le moins pire,
01:41:13mais le New England Journal of Medicine, le JAMA. En fait, quand on regarde un peu de près,
01:41:18en tout cas dans le cas du Lancet par exemple, c'est une société totalement privée,
01:41:28ça appartient à une société totalement privée, dont un des actionnaires principaux est BlackRock,
01:41:32qui est aussi un actionnaire de Pfizer. Donc là, c'est un peu étonnant, parce qu'on a l'impression
01:41:39que ce sont des revues qui sont vraiment indépendantes de toute pression, on a l'impression
01:41:46que ce seraient presque des revues publiques, d'intérêt public. Et en fait, elles sont sous
01:41:51la coupe d'intérêts privés, et en lien très étroit avec l'industrie pharmaceutique, qui
01:41:56concourt énormément à leur succès. Souvent financée par Big Pharma, expliquez-nous juste
01:42:00ce que c'est, peu de gens le connaissent, le retirage dont vous parlez, c'est quelque chose
01:42:07de totalement... C'est très simple, l'industrie fait un essai clinique et trouve un bon résultat
01:42:15pour son produit, arrive à le publier dans une revue très prestigieuse, mais arrive d'autant plus
01:42:23à le faire publier qu'il promet que s'il est publié, il va en acheter un million d'exemplaires,
01:42:31ou plusieurs centaines de milliers d'exemplaires, soit disant pour distribuer aux médecins,
01:42:37pour distribuer largement. En réalité, c'est une manière de simplement de corrompre la revue,
01:42:41puisque ça rend l'opération extrêmement profitable. C'est un des exemples par lequel
01:42:47l'industrie pharmaceutique opère une grande influence financière sur les journaux médicaux.
01:42:52En insistant sur le cercle vicieux aussi, qui fait que beaucoup, la plupart des chercheurs
01:42:56universitaires, sont cotés en fonction de leur nombre de publications dans ces revues-là.
01:43:01On est vraiment dans le serpent qui se mange la queue. Donc pour conclure, vous concluez
01:43:08justement en parlant de la corruption systémique, et je crois que c'est vraiment essentiel, et qui
01:43:15fait raisonner, vous le citez, les propos du docteur Perron, qu'on a plusieurs fois interviewé chez
01:43:19Kéros, comme quoi il dit, dès le début, ces vaccins étaient une hypothèse purement financière. Cela
01:43:26au fait rejoint ce que vous disiez dans Big Pharma démasqué, et si toutes ces gestions sanitaires
01:43:32incompréhensibles, pour ne pas dire catastrophiques, n'avaient été orchestrées que pour en arriver là,
01:43:36vacciner la population mondiale ? Bon, là, je ne veux pas entrer dans des hypothèses,
01:43:44mais je ne peux que faire l'observation que tout s'est passé comme si, effectivement,
01:43:52je ne dis pas que c'était volontaire, je n'en sais rien, mais tout s'est passé comme si,
01:43:56effectivement, l'objectif ultime était de vacciner la population, pour deux raisons principales.
01:44:02D'abord, les confinements et reconfinements ont mis dans la tête des gens que c'était soit le
01:44:10vaccin, soit le confinement, et donc, oui, ils avaient envie de retrouver une vie normale,
01:44:15et alors même que les confinements n'ont jamais été un outil de lutte sérieux contre les épidémies,
01:44:21donc ça, et surtout les reconfinements, en plus, à un moment où on avait du recul sur leur
01:44:26inefficacité, les problèmes qu'ils causaient, il y avait encore ce chantage, en gros, dans la
01:44:32population, en gros, soit vous vous vaccinez, soit on sera obligé de prendre des mesures de
01:44:35contrainte, donc ça, c'est un élément, à mon avis, extrêmement troublant qui s'est produit,
01:44:41et puis le deuxième, ça, j'en parle beaucoup dans Big Pharma démasqué, c'est la guerre contre les
01:44:47molécules qui soignent pas cher, comme la vitamine D, l'hydroxychloroquine, le protocole Raoult,
01:44:56l'ivermectine, il y a un nombre, en fait, quand on regarde, extrêmement étonnant de molécules qui
01:45:03ont fait leur preuve dans des essais randomisés en double aveugle contre le placebo, qui ont fait
01:45:07leur preuve sur le terrain, qui n'avaient aucune dangerosité, et non seulement qui ont subi soit
01:45:13une omerta, soit, dans le cas, on l'a vu, de l'hydroxychloroquine, et même des attaques
01:45:19frontales, jusqu'à des publications frauduleuses dans le Gland7, des essais cliniques où on a
01:45:27surdosé les patients, bref, il est vrai que, quand on regarde tout ça, on se demande si,
01:45:32effectivement, il n'y avait pas... En tout cas, tout s'est fait comme si l'objectif de tout ça
01:45:39était de vacciner un maximum de monde. Alors, quand on ajoute à ça, et vous en parlez, la
01:45:43question des médias, l'État français a quand même débloqué 2 milliards d'euros pour les médias du
01:45:48pouvoir en pleine crise, vous parlez du rôle des industries de relations publiques, mais aussi
01:45:52de cet exemple extraordinaire de Hill plus Knowlton Strategies, qui était celui qui, la boîte
01:45:58de relations publiques, qui, à l'époque, avait monté de toutes pièces ces bébères chez le couveuse
01:46:04qui mènera les États-Unis à entrer en guerre contre l'Irak, et c'est les mêmes qui seront
01:46:09choisis plus tard pour promouvoir l'image de l'organisation en tant qu'autorité Covid-19,
01:46:15l'OMS, je pense. Oui, tout à fait, l'OMS. En fait, ça, c'est un pan... Il y a deux choses qui sont
01:46:20très, je trouve, pas suffisamment comprises ou connues, la population, qui ne sait pas toujours
01:46:27pourquoi, en fait, tout à coup, les médias parlent de la même chose tous en même temps.
01:46:31Il y a deux phénomènes, c'est les cabinets de RP, de relations publiques, qui promeuvent auprès des
01:46:38médias de façon extrêmement efficace, surtout dans le cadre de l'industrie pharmaceutique où il y a
01:46:41des milliards qui sont utilisés pour ça, qui mettent en avant un sujet avec des éléments de
01:46:47langage, avec les experts qui vont bien, bref, un travail tout fait, tout ficelé pour le journaliste
01:46:51qui n'a plus qu'à le... Copier-coller. Voilà, à copier-coller ou le diffuser. Donc ça, c'est un
01:46:58élément d'influence fondamentale sur lequel je reviens avec une histoire effectivement assez
01:47:02sombre qui remonte à l'industrie du tabac et qui comprend aussi le fait de diaboliser les gens qui
01:47:08ne sont pas d'accord et les gens qui ont un discours différent. Grâce à un procès australien dans
01:47:17lequel Merck était impliqué, on a su qu'ils avaient des listes, Merck, donc un grand labo
01:47:22pharmaceutique, des listes de médecins avec des mentions à dénigrer, à combattre dans les médias,
01:47:29etc. On comprend bien ce qui s'est passé avec le professeur Raoult et le professeur Perron quand on
01:47:34voit ces méthodes-là et donc il y a des cabinets spécialisés qui font tout un travail derrière.
01:47:40Et le deuxième élément, c'est les grandes agences de presse comme l'AFP qui là aussi produisent une
01:47:45énorme uniformité médiatique parce que tous les journalistes, télé, radio, presse ont les yeux
01:47:52rivés sur ces agences. C'est ce qui aussi explique l'uniformité du message et la diabolisation de
01:47:58ceux qui ne sont pas d'accord. Je raconte dans certaines dépêches AFP ou fact-checking de l'AFP
01:48:06à quel point il y a eu de la mauvaise foi sur le professeur Montagnier et son hypothèse d'un virus
01:48:11échappé de laboratoire, sur ce grand cardiologue Peter McCullough qui disait que pour les personnes
01:48:19de moins de 50 ans, le risque cardiaque de ces vaccins était un élément sérieux à prendre en
01:48:26compte dans le bénéfice-risque. Tout ça a été balayé, diabolisé dans des documents officiels
01:48:32de l'AFP. Donc là, on a un énorme problème puisque les médias concourent vraiment à cette caisse de
01:48:38résonance qui amplifie auprès de la population générale tout ce message favorable à l'industrie
01:48:45pharmaceutique et à l'idéologie du tout vaccinal. Pour terminer, ce ne sont pas les autorités
01:48:51politiques et médiatiques, comme vous le dites, qui ont approuvé masques, confinements, pas de vaccinales,
01:48:55qui vont être les premiers à vouloir en parler,
01:48:59qui vont être les premiers à vouloir étouffer les dégâts et que ça ne soit jamais connu. Quelle
01:49:03solution pour vous pour conclure ? Évidemment, quand on a une corruption systémique comme on en a,
01:49:12on rêverait d'un grand soir où tout le système est vraiment remanié en profondeur. Après,
01:49:17ça ne se fera pas forcément du jour au lendemain. C'est pour ça que dans ma conclusion, j'essaie
01:49:21d'avoir trois guides, trois principes sur lesquels j'aimerais qu'un maximum de citoyens se réunissent.
01:49:27C'est d'abord le principe de précaution par rapport à des injections qui sont des vaccins,
01:49:35qui sont des éléments préventifs où on injecte des personnes en bonne santé. Encore une fois,
01:49:39c'est quelque chose qui n'est pas neutre et dont les dégâts peuvent être irréversibles. Quand on
01:49:44fait ça, je pense qu'il faut avoir un niveau de science, un niveau de preuve scientifique sur
01:49:47l'efficacité et l'inoculté qui est très important et je pense qu'on en est loin sur la plupart des
01:49:52vaccins. Je pense que c'est vraiment le premier principe. D'abord, ne pas nuire et donc exiger
01:49:56un niveau d'études scientifiques, un niveau de preuve scientifique beaucoup plus important que
01:50:00ce qu'on a aujourd'hui. Et le deuxième point, c'est la liberté du coup, la liberté vaccinale. Je
01:50:06pense qu'il ne peut pas, en l'état actuel des données scientifiques qui sont encore une fois
01:50:12vraiment pauvres, imposer le moindre vaccin à qui que ce soit. On doit vraiment avoir la liberté
01:50:21de choisir et ça, ça doit être un principe qui nous doit nous guider. Et enfin, la dernière chose,
01:50:26c'est qu'on doit sortir de cette idée que la lutte contre les maladies infectieuses ne passe
01:50:31que par des médicaments antivirus ou des vaccins, mais doit passer d'abord par l'optimisation du
01:50:38système immunitaire parce que c'est ça la clé pour la plupart des infections, parce qu'on a
01:50:44un équilibre encore une fois avec l'ensemble des microbes et des virus qui nous constituent,
01:50:48parce que c'est un organe à part entière le microbiote dans notre organisme. Et donc,
01:50:53on doit plutôt chercher un équilibre à favoriser la capacité de notre corps à lutter contre toutes
01:50:59les infections quelles qu'elles soient, plutôt qu'en tout cas en priorité. Et ensuite, voilà,
01:51:06voir ce qu'on peut faire par ailleurs. Mais ça, c'est beaucoup trop oublié et on a beaucoup trop
01:51:11oublié le système immunitaire dans toute cette pandémie. Et en particulier, quelque chose sur
01:51:16lequel je reviens souvent, mais qui est tout simple, vraiment la première chose à faire pour
01:51:20n'importe qui, c'est de mesurer son taux de vitamine D. Et s'il est inférieur à 40 nanogrammes par
01:51:25millilitre dans le sang, il faut prendre de la vitamine D en flacon tous les jours, 2000 unités
01:51:31ou 4000 unités selon les cas. C'est l'élément le plus simple et le plus efficace qu'on peut faire
01:51:37pour éviter de tomber malade et d'avoir des formes graves de maladies infectieuses.
01:51:41Et informer informer hors des sentiers battus des médias mainstream. En tout cas,
01:51:47on recommande vivement votre livre Antivax toi-même. Retrouvons un esprit critique sur
01:51:52la vaccination qui est, j'ai oublié de le dire, préfacé par le docteur Michel de l'Orgerille,
01:51:58qui est, on peut dire, un fin connaisseur de tout ce qui est vaccination. Oui, c'est chez
01:52:04le CNRS qui a publié une dizaine de livres sur les vaccins. Mille merci Xavier Bazin pour ses
01:52:13propos. Un grand merci à vous. Profondément intéressant et qui nous ouvre l'esprit. J'espère
01:52:18que d'autres qui sont un peu, disons, moins réveillés ou un peu endormis et qui ont suivi
01:52:24le discours des médias pourront s'ouvrir à vos propos. Merci beaucoup à vous pour cet échange.
01:52:32Merci.