Korek Pas Korek : Les Solutions pour Éradiquer la Dengue 8 morts déjà ! 5458 cas depuis le 11 décembre 2023 et 2264 cas a Rodrigues. Plus de 450 cas aujourd’hui! Dorothy Bonnefemme reçoit le Dr Ismet Nawoor, Directeur des Services de Santé Publique, et Ehsan Fureedan, Director of Public Health and Food Safety. Lundi 13 mai à partir de 9h Vous pourrez également nous appeler au 213 7777
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00:00 Correc ou pas correct, le Top FM. Côte tout noir, ville blanche.
00:07 Bonjour chers amis, bienvenue sur les ondes de Top FM, c'est parti pour votre émission correct ou pas correct les bons connus.
00:13 Comme vous le savez, chaque quinzaine, les lundis, nous avons également l'émission correct ou pas correct les bons connus.
00:19 Nous avons un thème et nous avons invité 20 personnes, 20 professionnels du domaine, pour élaborer ce thème.
00:25 Ce matin, nous avons choisi la dengue. Alors, il y a des gens conscients que la dengue,
00:31 là en ce moment, peut transmettre. Dans certains cas, il y a des cas morts aussi.
00:36 Je peux prendre des précautions, mais il y a beaucoup de gens qui peuvent prendre ça à la légère.
00:40 Je ne peux pas prendre précaution, je peux laisser des moustiques proliférer et bien sûr, je peux avoir des problèmes par la suite.
00:49 Alors, c'est pour cela aujourd'hui qu'ils nous décident d'attirer l'attention sur leur maladie, la dengue.
00:55 Pour nous en parler, nous avons deux invités sur les ondes de Top FM.
00:59 Nous avons d'abord le docteur Ismet Nawo, directeur des services de santé publique.
01:03 Docteur Nawo, bonjour et bienvenue sur les ondes de Top FM.
01:07 Bonjour Dorothy, bonjour à mon collègue M. Faridane, bonjour à tous les auditeurs et aussi à tous les téléspectateurs de Top FM TV.
01:18 Très bien. Nous avons aussi avec nous M. Faridane, directeur de la santé publique et de la sécurité alimentaire.
01:25 Bonjour et bienvenue sur les ondes de Top FM.
01:27 Bonjour, merci de nous donner l'occasion de vous exprimer aujourd'hui, pour expliquer la population.
01:34 Et bonjour à tous les téléspectateurs de Top FM.
01:37 Très bien. Alors, nous nous présentons aujourd'hui du 11 décembre au 9 mai, il y a 5661 cas de dengue qui ont été recensés à Maurice.
01:48 Et il y a également plusieurs cas à Rodrigue. Nous apprenons aussi qu'il y a quelques 400 actifs à Maurice.
01:55 Il y a malheureusement huit morts. Et en même temps, nous avons le ministère de la santé,
02:01 qui a été autorisé à causer des campagnes de fumigation, de larvicides et d'autres campagnes.
02:07 Mais cinq mois après, nous trouvons encore des gens qui ont contracté la dengue.
02:11 Nous trouvons encore des personnes qui ont décédé. Alors, les invités, comment vous expliquez cela?
02:17 Bon, et avant tout, Dorothy, nous mettons ça dans le contexte. Nous pouvons faire face à un problème de la dengue.
02:26 Tout l'année, nous gagnons. Mais cette année-ci, depuis le mois de décembre, six mois de cela, nous commençons à faire face à une situation de la dengue
02:36 qui peut nous aider avec l'arrivée de Bélal, qui a eu beaucoup d'accumulations d'eux.
02:43 Et quelques semaines après Bélal, nous trouvons une pique, une augmentation de la dengue.
02:56 Nous avons admis cela dans l'hôpital, nous avons admis cela dans les cliniques privées.
03:00 Alors, pour vous donner une idée, au mois de février, nous avons eu une pique de 150 patients par jour.
03:10 Alors, ça, c'était le pic. Là, à ce jour, il a rébaissé. Mais, vous vous rappelez bien, le 21 avril, nous avons eu une grosse pluie, certaines inondations.
03:20 Et là, après le 21 avril, dans les dernières semaines, nous avons retrouvé une recrudescence de 24 de la dengue.
03:28 Et comment vous expliquez cela? Effectivement, il y a beaucoup à faire avec le changement climatique.
03:36 Il est imprévisible. Nous ne connaissons pas qu'une grosse pluie.
03:42 Nous ne sommes pas capables de faire... Nous sommes capables de changer la nature, n'est-ce pas?
03:48 Mais seulement de notre côté, nous pouvons faire quelque chose. Dans nos capacités.
03:55 Au ministère de la Santé, nous avons trois équipes qui travaillent ensemble.
04:02 Une équipe qui fait la surveillance, l'équipe qui s'appelle Vector Biology,
04:07 les scientifiques concernés avec les moustiques, ainsi de suite.
04:11 Tous les jours, ils font la surveillance sur le terrain pour voir l'incidence des moustiques,
04:19 de la lorve qui amène les moustiques. Et tous les jours, ils nous donnent des rapports pour nous dire dans quelle situation.
04:27 Et nous avons remarqué que cela a proliféré juste après la récumération de la pluie.
04:32 Nous avons une deuxième équipe qui fait la surveillance des cas qui peuvent se produire.
04:39 Nous appelons cela Communicable Disease Center Unit.
04:43 Et nous avons, non seulement à Maurice, nous avons des contacts avec ce qu'on appelle l'Africa CDC, avec WHO et tout.
04:51 Nous avons un peu surveillé les cas qui peuvent se produire.
04:55 Nous sommes concernés avec nos traitements, nos protocoles et tout.
04:59 C'est une deuxième équipe.
05:01 Et puis, une troisième équipe qui est extrêmement importante.
05:04 Et là, je vais parler à mon collègue avec moi aujourd'hui.
05:06 Parce qu'il dit que ce travail, c'est sur le terrain.
05:09 Et c'est le Public Health and Food Safety Inspectorate.
05:15 À Maurice, nous connaissons la sanité. Nous trouvons des gens à l'aéroport, quand nous descendons d'un avion, dans un port.
05:21 Nous trouvons des gens quand nous rentrons dans un pays.
05:23 Ce sont nous, bien ou pas bien.
05:25 C'est une autre équipe avec une belle ressource humaine qui est énorme.
05:29 Et nous travaillons sur le terrain.
05:31 C'est eux qui font ce qu'on appelle le fogging.
05:35 Le fogging, c'est tuer les moustiques.
05:37 Et le lovicide, c'est tuer les moustiques avec de l'eau.
05:42 Alors, si je peux brièvement exagérer,
05:46 l'augmentation que nous pouvons trouver, les conséquences,
05:52 nous pouvons en trouver beaucoup plus qu'après les pluies qui nous ont fait gagner le 21 avril.
05:58 Et là, ce que nous pouvons aussi constater,
06:02 le ministère de la Santé, malgré tout ça, l'équipe qui peut travailler, tout ce qu'elle peut faire.
06:07 Et non seulement le ministère de la Santé.
06:10 Vous connaissez bien, beaucoup de ressources humaines,
06:12 beaucoup de matériel pour tuer les moustiques, pour faire le lovicide.
06:16 Et nous pouvons gagner de l'aide de les autres autorités.
06:21 Par exemple, l'environnement, agro, Morifacilities,
06:26 plusieurs ministères qui ont collaboré ensemble.
06:30 Parce qu'il nous faut encore des ressources humaines.
06:33 Et le ministère de la Santé, tous les jours,
06:38 sous le chef d'exécution,
06:43 et quelques fois même le ministre lui-même, le chef de la réunion,
06:46 tous les jours, nous prenons l'état des lieux, tous les jours.
06:52 Et là, nous prenons les décisions qui nous sont faites.
06:55 Mais, nous devons trouver...
06:57 Malheureusement.
06:59 Malheureusement, nous n'en avons pas assez.
07:03 Là, nous avons une équipe de près de 510 personnes qui est au terrain.
07:06 Du public health inspectorate qui nous peut renforcer.
07:09 Mais ça n'est pas assez pour nous.
07:12 Nous avons une bataille, mais nous n'avons pas la guerre contre les moustiques
07:15 juste avec 510 personnes.
07:17 C'est pourquoi aujourd'hui, nous l'avons,
07:19 parce qu'il nous peut faire l'appel avec la population.
07:23 Je ne peux pas arrêter là.
07:25 Je ne peux pas laisser M. Faridane dans sa chambre.
07:27 Ce que je veux gagner avec vous, c'est comment le docteur Navao fait,
07:30 il peut dire, vous sur le terrain.
07:32 Alors, qui vous constate sur le terrain?
07:34 Et c'est vrai qu'il peut dire, il y a une équipe qui peut mobiliser.
07:37 Mais est-ce que vous êtes capables de couvrir toute cette région?
07:40 Comment vous pouvez vous organiser pour aller un petit peu partout dans l'île
07:43 pour faire cette fumigation de sol?
07:45 Avant de répondre à ça, laisse-nous donner à la population
07:49 l'information exactement qu'il le ministère de la santé peut faire
07:53 pour contrôler l'épidémie de dengue qui peut prévaloir en ce moment.
07:58 En premier lieu, il y a la détection des cas.
08:02 Ça se fait dans nos centres de santé public et privé.
08:06 Et après, il y a aussi l'équipe qui nous appelle dans le cadre de la surveillance de la santé.
08:13 Ils conduisent un surveil de la fèvre.
08:16 Et après, ils retracent tous les contacts des cas.
08:20 Ils font des tests et puis ils font des prélèvements de bloating paper
08:25 dans les laboratoires pour faire le test PCR.
08:27 Ça en ce qui concerne la détection des cas.
08:31 À ce jour, il y a environ 2 899 fèvres surveillées qui sont faites.
08:39 Il y a 206 000 maisons qui sont visitées.
08:43 Et il y a 55 513 contacts qui finissent par faire des tests avec eux.
08:53 Et puis, une fois qu'on a fini de détecter les cas, il y a la gestion médicale des cas.
08:58 Management of cases.
09:00 Une partie dépendant du symptôme soit nous les envoyons à l'hôpital, soit nous les envoyons chez eux.
09:07 Mais là, il y a un gros problème qui m'oblige à attirer l'attention du public.
09:13 Le médecin nous donne des gouttes de congé pour isoler à la maison.
09:19 Qui nous peut remarquer quand on est au terrain,
09:22 on ne sait pas ce qu'on va faire avec des gouttes de congé.
09:26 Il y a un papier avec ses camarades, il y a un veste, il y a un chaute,
09:31 il ne permet pas de mettre de la crème, il ne permet pas de mettre de spray pour protéger contre les moustiques.
09:36 Et il est infectieux.
09:39 Il y a sa viruse là de ce dissont, comme un moustique pique-plie, il prend sa disson avec sa viruse ensemble là-dedans.
09:47 Après, ce même moustique-là, il peut piquer les autres humains, un moustique qui a piqué au moins dix humains encore.
09:53 Quand il finit de piquer aussi, en même temps, il y a le pont de disèph, et ce disèph aussi est infecté.
09:58 Quand ce disèph-là est clos après une semaine, vous avez un moustique qui est désinfecté encore.
10:03 Et il peut piquer les autres humains.
10:06 Donc c'est un procédé qui, vous le connaissez, est multipliant par beaucoup de facteurs.
10:11 Si vous ne pas amener un contrôle ou pas responsabiliser ou pas un acte,
10:16 nous pouvons finir par, comment dire, laguer pendant beaucoup de temps pour nous réussir à éradiquer la maladie à Maurice.
10:26 À part la gestion des cas et les problèmes que nous avons trouvé avec des cas qui sont à domicile et qui sont suivis par la domicile médicale,
10:38 nous trouvons que ces patients-là ne restent pas à la maison.
10:42 Ça, il y a un gros problème.
10:44 Mais est-ce que c'est à remettre en question, ça, d'avoir une disson dans la maison?
10:48 Écoute, si un des gens a un symptôme, OK, il ne peut pas nécessiter aucun soin médical.
10:56 OK?
10:57 Chacun d'entre nous a un sens de responsabilité qui lui fait prévaloir.
11:04 Il doit comprendre qu'aujourd'hui, tous ces millions qui nous sont investis pour le contrôle de cette épidémie,
11:12 ce n'est pas de l'argent qui sort du ciel comme ça, ça.
11:17 Nous tous nous lancons ça. Nous tous contribuons à travailler les taxes directes et indirectes,
11:22 y compris sur les personnes qui se trouvent malades là aussi.
11:26 Donc, nous tous, nous nous sentons responsables.
11:29 Comment nous gérer nos ressources nationales, ne pas gaspiller nos ressources nationales dans un acte irresponsable, on appelle ça.
11:38 Ce n'est pas seulement dans les cas qui ne peuvent pas rester dans la maison,
11:42 mais aussi quand on va dans la cour, pas plus tard que la semaine dernière,
11:47 nous avons une région dans le nord, dans le district de Rivière-du-Rendement, hautement touchée en ce moment.
11:53 Là, nous avons 66 cas et puis là, nous avons besoin de renforcer tous nos efforts.
11:59 Là, il peut diminuer encore.
12:01 Il y en a environ 8, il y en a 20, mais toujours nous sommes à 61 000 autant.
12:07 Il reste beaucoup d'efforts à faire encore.
12:09 Mais quand on rentre dans la cour, ça va être difficile.
12:13 Nous trouvons qu'il y a encore des débris, encore des sous-plats, encore des caoutchoucs,
12:20 encore des terrains, des petits terrains en friche partout.
12:25 Mais tout ça là, il peut, comment dire, l'âge de la moustique a duré.
12:30 Après, quand on a des conteneurs en plastique, caoutchoucs, petits boussons,
12:36 canne à bière, bouteilles cassées, dans tout le retenir de l'eau, dans toute la cour, on peut trouver ça.
12:42 Vous connaissez, à ce jour, il y a 8 102 sanitary notices qui sont issues sous le Public Health Act
12:49 et 3 324 Statements of Nuisance qui sont issues vis-à-vis de l'autorité locale principalement et d'autres institutions
12:59 pour faire nettoyer les terrains en friche qui ont tous les moustiques adultes.
13:05 Et là aussi, même dans l'autorité locale, là aussi, il y a une certaine capacité.
13:11 Mais de par le nombre de problèmes qui existaient et négligents qui existaient de la part du public,
13:17 on trouve que c'est difficile de surmonter tout ce problème.
13:23 Là, c'est la participation de la population, les vins importants, les vins cruciaux.
13:31 Justement, nous titrons le ministre Jacques Eppel la semaine dernière, tu fais l'enseigne, l'appel à la collaboration du public.
13:37 Est-ce que les Mauriciens ne sont pas conscients de la gravité de cette épidémie?
13:41 Permettez-moi de vous dire, je vais vous dire au second dire,
13:45 on sait de bon qu'ils ont dit, les derniers figures qui nous énoncent, nous parlons de ça avec la population, vous comprenez.
13:54 À ce jour, on est allé à la fête, parce qu'ils ont dit qu'on pouvait y aller.
14:00 Jusqu'au 12 mai, nous énonçons un total à Maurice depuis le 11 décembre, à ce jour, nous énonçons un total de 5,826 cas de dengue.
14:11 Beaucoup fines, Rico Valada, beaucoup fines, Pierre.
14:15 Mais il y a aussi une bonne partie qui est encore active.
14:19 Active de ces 5,826 là, à ce jour, nous énonçons 404 cas actifs à Maurice.
14:31 Et dedans, il est bon qu'ils nous dirent qu'ils nous énoncent un total de 36 patients qui admettent à l'hôpital public, les 5 hôpitaux publics.
14:45 Et nous énonçons un total de 17 patients qui admettent dans une clinique privée.
14:52 Les restes de ces 400 cas là, vous pouvez les gérer au niveau de votre maison, votre domicile.
15:00 Mais pour répondre, c'est extrêmement important, nous énonçons des talens, nous pouvons dire que vous êtes qui nous attend de la population.
15:07 C'est très très simple, il n'y a pas de coûts, et il n'y a pas de raisons qui nous envolent, mais nous énonçons un changement d'attitude.
15:15 Nous ne disons pas qu'il y a un changement climatique, mais qu'il y a un changement de manière.
15:19 Alors, pour répondre, pour dire qu'il y a un congé, quand vous avez la dengue, pour identifier que vous avez la dengue, pour faire un diagnostic avec la dengue,
15:30 pour donner un congé, comme mon collègue indien dit, de 10 jours, pour donner un certificat médical, car à présent tout travaille,
15:38 et où est la case, où est supposé rester la case, où pas supposé être à la plage, en bas pied, dans un shopping mall.
15:49 Et nous pouvons constater ça, pour rédiger, c'est extrêmement important, parce qu'il n'y a pas de visite qu'il y a.
15:55 C'est dans le domicile de monitoring unit, le médecin qui est allé, le deuxième jour qu'il a la case, le quatrième jour et le septième jour,
16:05 et quand il est allé là-bas, il a dit qu'il n'est pas là.
16:07 Il est isolé, il ne dit pas là, ce qui n'est pas réalisé.
16:12 Il peut prendre ça, ça dans ce légo là, ce virus là, il peut prendre ça, il peut circuler dehors, il peut impliquer quelqu'un de moustique,
16:21 il peut moustiquer la France, il peut répartiser en les aidant, il peut mettre sa propre famille à risque.
16:28 Parce qu'il nous donne aussi la crème anti-moustique, la case, il a cassé le diffuseur électrique pour empêcher que le moustique rentre.
16:36 Il a tout fait pour ne pas piquer, parce qu'il y a des gens qui ont ce virus là.
16:42 Alors, c'est extrêmement grave ce qu'il peut faire.
16:47 Et on va plus loin, il compte la loi.
16:51 Et là, avec cette situation qui est arrivée là, il a dit qu'après le Public Health Act,
16:57 si nous allons, nous trouvons, si nous n'avons pas dans cette case, malheureusement,
17:04 nous pouvons prendre et amener à l'hôpital.
17:07 S'il n'est pas capable d'isoler lui-même, nous pouvons l'isoler.
17:11 Et là, la décision a été prise au ministère qui n'a pas fait aucun compromis de son côté.
17:20 Alors, nous pédions ça pour le bien-être de la population, pour protéger la famille de ce Jimmoune,
17:27 la population en entier, et pour qu'il ne nous isole pas, qu'il nous fasse du travail et qu'il nous gagne sa combat.
17:33 Alors, ça c'est extrêmement important que Jimmoune comprenne.
17:37 Nous avons des officiers sanitaires qui peuvent venir.
17:41 Si Jimmoune n'est pas là, il ne pourra pas être là.
17:44 Si nous avons des docteurs qui peuvent venir tous les jours, le deuxième, le quatrième et le septième jour,
17:48 ou n'importe quand, pendant ces dix jours-là, malheureusement, nous pouvons nous isoler à l'hôpital.
17:56 Alors, ça c'est extrêmement important.
17:59 Alors, nous avons une figure là, une figure qui est importante pour nous.
18:04 Ce jour, nous avons déjà gagné 8 cas de décès.
18:07 Pas plus tard que la semaine dernière ou deux semaines plus tard.
18:11 Dans une semaine, nous avons gagné 3 cas de décès.
18:13 Un cas de décès, déjà, c'est trop.
18:16 S'il vous plaît, nous pouvons demander à la population.
18:19 Seuls, nous pouvons faire tout.
18:21 Nous pouvons renforcer nos ressources humaines sur le terrain.
18:25 Nous pouvons donner tout le matériel qu'il nous faut.
18:28 Le ministère peut faire tout ce qu'il est capable dans ses capacités.
18:33 Nous faisons l'appel à la population.
18:35 Aide-nous. Et nous pouvons dire autrement pour aider-nous.
18:38 Il y a une façon pour aider-nous.
18:39 Quand nous nous isolons, nous restons à la maison pendant ces dix jours.
18:42 Ou nous écoutons le conseil des médecins.
18:44 Si, dans le patient, tu as bien apporté ces 2, 4, 7 là, ou le cas 89, 24,
18:50 le docteur pourrait venir te suivre.
18:52 OK? Alors, et nous pouvons dire.
18:55 Nous pouvons dire très franchement.
18:57 Nous ne pouvons pas faire aucun compromis.
18:59 Ou pas là. La loi nous permet de venir te suivre.
19:03 Et nous nous isolons.
19:04 Ecoute-nous bien. Nous nous isolons.
19:06 OK? Alors, je me pensais au médecin dans la maison qui est à l'hôpital.
19:09 Exactement.
19:10 Ça c'est un.
19:11 Et un chiffre que je peux donner, nous avons 8 décès.
19:13 Et ces 8 décès-là, nous n'avons pas voulu et il n'y a aucun, encore, un décès.
19:18 Alors, je crois que c'est ça le message.
19:21 Un déjà 8 décès de trop, nous n'avons pas laissé.
19:24 Je vais vous dire une chose.
19:27 Qui, comment, ça, ne pas banaliser la dingue.
19:30 S'il vous plaît, ne pas banaliser la dingue.
19:33 OK?
19:34 Parfois, la COVID nous connaît qui nous ne le connaît pas.
19:37 Nous tous, ensemble, nous finirons ici, sortons là-dedans.
19:40 Mais quelquefois, nous prenons la dingue, nous prenons plusieurs les autres malades comme nous.
19:44 Une maladie banale, moi pour gagner ça, moi pour gagner un peu d'argent,
19:47 moi pour gagner ça, après moi pour prendre mon panadol,
19:49 moi pour prendre le médecin, le docteur, pour gagner de moi, moi pour courir.
19:51 Mais c'est vrai, c'était vrai.
19:53 Pas de 8 décès, non.
19:55 Justement, avec le pape Maurice Evraim, le pape est conscient de la gravité de cette épidémie.
20:00 Mais au niveau du ministère, comment vous avez fait,
20:03 quand vous avez eu le cas, vous avez fait la fumigation,
20:06 ou bien comment vous avez organisé pour faire la fumigation dans l'hôpital?
20:10 Première étape, un cas notifié, OK?
20:13 Comme on l'explique, une décision de cas, et puis gestion de cette malade.
20:19 Après, nous avons fait des surveys, nous avons fait des surveillances du ministère de la santé,
20:25 d'un rayon de 300 mètres du cas.
20:27 Comment fait que le docteur Naui, comme ça,
20:31 qui est le médecin du domicile,
20:35 le medical unit, a fait une visite?
20:37 Très souvent, je ne trouve pas de patients sur place.
20:40 L'inspecteur sanitaire, comment un cas notifié,
20:43 son premier devoir, il a besoin de localiser son cas,
20:46 dans la localité où il était, pour qu'il décide
20:49 le rayon de 300 mètres, pour faire tout le procédé de contrôle intense.
20:54 Là aussi, bien souvent, nous remarquons qu'il y a des cas passés d'ailleurs.
21:00 Un cas négligeant, que nous remarquons souvent dans toutes les régions de l'île Maurice,
21:07 et ça explique aussi pourquoi nous avons eu des transmissions en dépit,
21:12 qui nous ont fait prendre toutes les actions nécessaires.
21:15 À part ça, nous faisons une inspection de maison en maison,
21:19 dans un rayon de 300 mètres, pour détecter toutes les gouttes d'eau vertes,
21:23 pour détecter toutes les nuisances sanitaires,
21:25 qui promouvent la prolifération des moustiques.
21:28 Après, nous avons servi des notices,
21:30 comme nous avons le nombre de notices qui sont déjà finies de servir.
21:34 Là, nous faisons un autre procédé, qu'on appelle "lavicideing",
21:37 partout où il y a de l'eau qui est stagnante,
21:40 nous faisons un insecticide pour tuer toute l'eau.
21:45 En même temps, nous faisons un autre procédé,
21:51 qui s'appelle "outdoor residual spraying",
21:54 nous pouvons sprayer la maison à l'intérieur,
21:58 par le procédé "indoor residual spraying", côté Norbanca,
22:02 et puis à l'extérieur, nous pouvons fumer toutes les plantes,
22:07 toutes les lalées, tous les conteneurs qui sont là,
22:12 nous appelons ça "outdoor residual spraying".
22:14 Même les feuilles à sec qui ont accumulé, qui ont tombé,
22:17 nous les débrouillons aussi, nous pouvons sprayer ça aussi.
22:21 Et puis, dans l'après-midi, à partir de 15h à 20h,
22:24 nous faisons un "fogging", toujours dans un rayon de 300 mètres.
22:28 Là, ce qui nous fait remarquer, il y a beaucoup de place,
22:31 par exemple, dans une région, Sudnath par exemple,
22:35 quand on va aller, on trouve beaucoup la case fermée.
22:38 Et il est possible qu'il y ait des bandes de laver dans certaines des cases,
22:44 nous remarquons ça dans Béthutombo aussi,
22:46 quand il y a beaucoup de gangrènes dans la cour,
22:48 mais qui infestent beaucoup l'herbe, tout ça,
22:50 là, il est difficile, très très difficile pour nous,
22:53 et nous demandons une collaboration de tous les membres de la population
22:58 pour prendre contact avec le bureau sanitaire,
23:00 si nous sommes capables de fixer un jour, un jour, une date, avec le bureau,
23:05 pour qu'il y ait une inspection et un bon traitement.
23:07 Mais c'est dans une région qui n'a pas de cas?
23:09 Il n'y a pas de cas, c'est dans une région qui est infectée.
23:12 À part toutes ces activités-là, il y a aussi le recensement entomologique,
23:17 qui est fait par le département du VBCD, Vector Biology Control Department,
23:22 nous avons évalué la densité des larves et des moustiques adultes
23:27 qui prévaloient dans ces localités-là.
23:31 À partir de là, nous avons des données,
23:33 nous connaissons les actions qui nous sont efficaces,
23:36 si nous n'avons pas le résultat escompté,
23:40 là, nous revoyons nos stratégies.
23:42 En même temps, nous avons aussi testé tous les produits qui nous peuvent être appliqués,
23:47 que ce soit larvicides, que ce soit outdoor residual spraying,
23:50 que ce soit fogging, pour que ce ne soit pas un moustique là,
23:53 un mou, ou autre chose résistante.
23:55 Donc, trois fonctions importantes du département d'entomologie,
24:00 c'est pour évaluer la densité des larves,
24:04 la densité des moustiques adultes,
24:07 et en même temps pour tester les produits,
24:09 ce qui nous peut appliquer, les bons ou ceux qui ne sont pas.
24:12 Quand nous finissons avec toutes ces informations-là,
24:14 là, nous avons tous les trends.
24:16 Par exemple, pour chaque localité, vous trouvez un graphe là,
24:19 vous suivez cette districte-là, qui peut arriver dans cette districte-là,
24:22 et chaque localité qui est dans cette districte-là,
24:26 nous suivons ça du jour au jour.
24:29 Nous parlons même pour tout, pour tout district comme ça, vous trouvez là?
24:33 Il y a du renfort, après ça, vous regardez pour lui, vous trouvez?
24:38 Pour lui qui est très affecté.
24:40 Mais nous ne finissons pas avec le pic, maintenant, c'est à la baisse.
24:44 C'est à la baisse.
24:46 Pour tout district comme ça, par exemple, le Moussouci,
24:48 vous trouvez pareil, c'est un district principal.
24:51 Et puis, à partir de là, là, nous revoyons nos bennes stratégies.
24:56 Nous gâterons que de quoi nous devons allouer plus de ressources.
25:00 Il y a aussi le community sensitization qui peut être fait par deux unités du ministère de la santé,
25:10 le health information education unit, et puis le health promotion unit.
25:15 Ceux-ci peuvent aller au terrain et sensibiliser les gens aux précautions à prendre,
25:22 au mode de transmission de la maladie,
25:25 et qui ont des responsabilités pour contribuer, pour contrôler cette épidémie-là.
25:32 En même temps, ils peuvent nous donner en cadeau la crème anti-moustiques,
25:38 et puis ils peuvent nous donner aussi des coëls pour les services de la CAH.
25:43 Voilà un petit peu toutes les activités que le ministère de la santé peut vous donner.
25:47 Tout ce qu'il est possible de faire scientifiquement, le ministère de la santé ne dépense rien.
25:57 Il met tout ça en place, il peut faire toutes les bonnes provisions.
26:01 Vous savez, nous avons commencé le début de l'épidémie avec 77 personnes, en décembre, vers le 17 décembre.
26:10 Aujourd'hui, nous avons environ 612, avec l'apport de plusieurs départements,
26:16 le ministère de l'agro-industrie, le ministère de l'environnement, Special Mobile Force,
26:20 SSU, National Coast Guard, le Molshus Rescue Fire Services, Mori Facilities,
26:27 Forestry, le Tourism Authority, le MCIA, donc autour de tout bon département gouvernemental,
26:34 tout peut joindre les mains pour faire ça.
26:37 Mais aujourd'hui, le déclic qui promet un résultat, c'est la participation de la population.
26:44 D'accord.
26:45 C'est la partie responsabilité, si la population ne peut pas faire ça, nous risquer la dingue vie endémique à Maurice.
26:52 C'est-à-dire là où tu poses une question, qui fait cette maladie-là, qui arrive ça, qui fait que les gens peuvent mourir,
26:58 il y a des choses que les gens ne comprennent pas.
27:00 Le vrai nom de la maladie, c'est "Dengue Hemorrhagic Fever".
27:05 C'est-à-dire c'est la fièvre qui provoque l'hémorragie quand on développe une condition grave.
27:12 Et la plupart des personnes qui ont décédé ont eu une bonne hémorragie, ont saigné, après ils sont incontrôlables,
27:19 pas capables même de baisser ce niveau de virus qu'il y a dans le sang, ils ont décédé.
27:25 Je ne crois pas qu'il y ait un Mauricien qui soit intéressé de venir dans cet état-là,
27:29 ou trouver un membre de sa famille venir dans cet état-là.
27:32 Et si on peut aller faire ça, le ministère de la santé peut faire tout ce qui est possible.
27:36 Je suis capable de dire que en tant que technicien, je suis au terrain tous les jours,
27:39 je suis dans toutes les activités qui sont dans chaque localité, dans chaque district.
27:43 Nous comptons pour tout ce qui peut arriver, mais seulement nous sentir que nous,
27:47 comme techniciens et même professionnels dans le domaine de la santé,
27:50 que le public ne peut pas apporter sa petite contribution,
27:55 qu'il ne peut pas faire et qu'il ne peut pas coûter ça.
27:58 Alors, nous allons révéler l'eau, M. Faridane, alors laisse-nous faire une courte pause.
28:04 Et puis, nous pourrions revenir justement à la dernière partie de cette émission,
28:08 nous pourrons consacrer l'eau, comment nous pourrons inciter le public à faire ce qu'il a besoin de faire
28:12 pour qu'il soit capable de nous éradiquer.
28:17 Coré, pas coré, l'eau TOP FM. Côte tout noire, vignes blanches.
28:22 (Bruit d'explosion)
28:24 (Bruit d'explosion)
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29:22 (Bruit d'explosion)
29:24 (Bruit d'explosion)
29:26 *Musique*
29:54 *Musique*
30:01 Merci d'être des nôtres en ce lundi matin sur les ondes de Top FM pour votre émission
30:05 "Correct pas correct" les bons connaît axé sur la dingue. Alors comment nous peut faire le point
30:10 avec le docteur Ismet Navaud, directeur des services de santé publique et également
30:15 Echan Fahreddin, directeur of public health and food safety. Nous peut causer la dingue,
30:20 alors nous explique un petit peu comment ça se passe, comment le ministère peut faire et aussi
30:25 qui a la lacune qui nous peut noter et là, ce qui nous peut révéner, le point qui peut révéner,
30:30 c'est besoin de contribution des membres du public. Alors laisse nous dire, tous les deux,
30:36 que ce soit le docteur Navaud ou encore monsieur Fahreddin, c'est une cause beaucoup le travail
30:40 que le ministère peut faire de son côté mais est-ce qu'il y a une campagne comme si pour vraiment
30:45 inciter les Mauritiens à prendre conscience que la dingue est là et qu'il faut faire précaution?
30:50 Oui, effectivement, comme mon collègue disait tout à l'heure, il y a un département qui s'appelle
30:56 Health Promotion Unit qui peut consacrer à sensibiliser les gens de tout âge,
31:02 que ce soit dans l'école, les gens du troisième âge, les institutions. Récemment,
31:14 samedi, il y a eu un problème dans le nord et là, il y a eu une appelée à toutes les
31:20 médecines, à tous les professeurs aussi, pour que les gens se sensibilisent parce que nous pensons,
31:25 nous, l'école est une chose bien importante, nous pensons que ce bon professeur-là passe
31:31 le message. Nous avons besoin que ce soit du premier et du secondaire, mais nous sommes
31:35 grands, grands, armés, nous avons l'occasion, nous sommes capables et nous, nous faisons ce
31:41 qu'il faut faire dans toute la cour. Alors, oui, la campagne, on peut faire. Nous avons aussi
31:47 une campagne à la télévision nationale, dans les radios et là, nous remercions l'EPFM aussi
31:55 qui nous a aidés dans cette combat-là pour passer le message. Tout ça, c'est la sensibilisation.
32:02 Nous avons même l'Organisation mondiale de la santé qui a envoyé un expert dans ce domaine-là
32:08 depuis, moi, février, c'est avec nous, il y en a un allé, il y en a un autre, il y en a un autre,
32:12 là, nous avons un expert en communication dans cette même situation-là, hein, qui WHO,
32:18 il nous met à notre disposition et là, nous remercions le WHO qui est toujours là avec nous,
32:24 qui nous aide, qui nous aide à faire une meilleure façon de sensibiliser le monde.
32:28 Alors, réaliser qu'une quantité nous peut faire, oui, nous peut communiquer, oui, nous peut
32:33 sensibiliser et nous peut sensibiliser à tous les niveaux et c'est la raison d'être de notre présence aujourd'hui.
32:40 Justement, alors profitez-en le Dr Nauo pour dire avec un bon auditeur de TOP FM,
32:45 qui ministère peut atteindre le ZOT, qui parle de responsabilité ZOT en rapport à la Dengue?
32:50 Très simple, très simple. Garde Oulakou propres. Retire tout feuillage, retire tout débris.
33:02 Propreté d'un Oulakou. Et deuxièmement, c'est propeté. Deuxièmement, c'est palaises d'eau accumulées.
33:11 Mon collègue Poukapavé élabore l'eau, là, mais c'est simple. Palaises d'eau accumulées, qui fait?
33:18 Ça, moustique-là, il est capable de pôner de 50 à 1 010 œufs dans ce life cycle, il vit pendant un mois.
33:27 Il appelle ça "tiger mosquito". Sur la vie, il est toujours dit qu'il prend naissance un mois du décès.
33:33 Pendant cette période-là, 50 à 1 010 œufs, il est capable de pôner de l'eau.
33:37 Un petit capsule, quelques centimètres de l'eau, il le pône là-dedans.
33:41 Et vu qu'il est désinfecté?
33:43 Alors, il y a un point que tout le monde comprend, qui fait que nous avons besoin d'éviter de la pôner.
33:47 Il le pône dedans. Là, récemment, dans l'été, effectivement, dans l'été qui nous vient, ça pisse,
33:52 à température 30°C, il prend une semaine. Quand il le pône, après une semaine, ça devient une lauve.
33:59 Et la lauve-là, il développe un moustique. Il prend une période d'une semaine et il nous fait un moustique de la lauve-là.
34:08 C'est-à-dire, lauve, et puis il donne un moustique. Une semaine.
34:12 Là, heureusement, nous verrons dans l'hiver, une bonne nouvelle.
34:15 Nous parlons de la toute mauvaise nouvelle. Une bonne nouvelle.
34:19 À mesure que la température baisse, la lauve-là prend un peu plus de temps pour produire un moustique.
34:28 Par exemple, à température de 20°C, ça prend au moins deux semaines.
34:34 Plus bas que ça, ça prend cinq semaines.
34:36 Qui veut dire que la lauve-là, elle est encore là, elle est encore capable d'éviter, elle est encore capable de faire une lave-scinding.
34:42 Alors, c'est une accumulation de deux lieux-là.
34:44 Là, le problème, c'est qu'il faut qu'il y ait un petit moustique.
34:48 Mais il nous faut la source. La source, c'est la lave qui est accumulée dans deux lieux qui donne nos moustiques.
34:54 Alors, nous demandons-nous d'éviter tout partout où il est possible d'accumuler une lave-scinding.
35:02 Dans quoi ?
35:04 Soyons pratiques, nous l'avons dit ensemble.
35:06 Dans la cour, où il est possible d'avoir une canne.
35:09 Une canne, ils n'étaient pas là, de l'opérante là-dedans.
35:12 Il est possible d'avoir une vieille bouteille.
35:14 Il n'est pas là.
35:16 OK ?
35:17 Ou il y a une peau fléa.
35:18 Je vais te mettre une secoue.
35:20 Ça, c'est la source.
35:21 Il faut éviter.
35:22 Ou un tchéli.
35:24 Right ?
35:25 Ou alors, la roue.
35:27 Ça, on connaît la roue.
35:29 C'est la reste.
35:30 Et ça, les moustiques, ils comptent tout ce qui se coule en noir.
35:33 Ils rendent la roue plus bien que les autres.
35:35 Ils choisissent.
35:37 Alors, tout ça, dans une place...
35:39 On peut dire, canne, bouteille, la roue.
35:42 Où est-ce que tu es dans ta cour ?
35:43 Qui est là ?
35:43 Qui est là ? Qui pense qu'il va venir ?
35:46 Alors, moi, je passe un petit message bien sympa à tous les gens.
35:50 Prends cinq minutes.
35:51 Et qui est enfant ?
35:54 Qui est adulte ?
35:56 Qui est un homme de troisième âge ?
35:58 Je te le conseille.
36:00 Je te le fais toujours, c'est ça que tu dois faire.
36:01 Rends-nous un service.
36:04 Tous les jours, garde cinq minutes.
36:07 Fais-le dans ta cour.
36:09 Quand tu trouves de l'eau, tiens-le.
36:11 Ne pas laisser accumuler.
36:13 Si tu trouves quelque chose qui n'est pas capable, zétez.
36:16 OK ?
36:17 Tu dirais, il y a quelque chose dans le récipient.
36:19 Tu peux regarder.
36:20 Il y a des gens qui ont un peu de tout manger.
36:22 Ou de l'eau, tout quoi.
36:25 De l'eau, accumulez-la.
36:27 Alors, dévidez.
36:28 Dévier, je dis.
36:29 Ben oui.
36:30 Dévider, dévirer.
36:34 Il y a aussi simple que ça.
36:35 Est-ce qu'il coûte l'argent ?
36:36 Non.
36:37 Alors, encore une fois,
36:39 propreté dans ta cour.
36:40 Pas de fiasque, pas de débris.
36:42 Tu peux amener tout ça là, ici.
36:44 Moustique, on est content.
36:45 On connaît quand il y a de la moustique là-dessus.
36:46 Et,
36:48 dévide bien,
36:49 source de l'eau.
36:50 On peut rendre un grand service.
36:51 On peut rendre, on est un grand service.
36:53 Et on peut aider, nous on peut aider.
36:55 D'accord.
36:55 Alors, Hesham Faridoun,
36:57 au cas où il y a de l'eau de terrain,
36:58 il y a aussi beaucoup de cas
36:59 que les gens ne peuvent pas respecter.
37:01 Je voulais te donner un message pour nos auditeurs.
37:05 Dans beaucoup de localités
37:07 que nous avons visitées,
37:07 qui n'ont pas été affectées
37:09 depuis janvier jusqu'à ce jour,
37:11 il y a des régions comme ça,
37:13 par exemple, Petit Raffray,
37:14 Grand-B, Grand-Gaubre, Rochebois,
37:16 Sté-Lacur,
37:18 Vallée des prêtres.
37:20 Ce qui nous fait manquer,
37:21 il y a beaucoup de terrains en friche.
37:23 Et dans ces terrains-là,
37:24 il y a beaucoup de débris.
37:26 Car au-dessus,
37:27 verre plastique,
37:28 bouteilles plastiques,
37:31 des bouteilles crasées,
37:33 tout ce qui peut retenir de l'eau,
37:35 on trouve tout ça dans les terrains en friche.
37:38 Et ces terrains en friche,
37:39 c'est déjà un environnement
37:41 propice pour toutes les moustiques adultes.
37:44 Quand la pluie tombe,
37:45 il y a des conteneurs
37:46 en bas de ces terrains en friche,
37:48 ou soit dans la cour du monde,
37:50 qui peuvent retenir de l'eau.
37:53 Plus il y a des sous-plaques,
37:54 il y a des profils,
37:55 plus il y a de dalles,
37:57 plus il y a des containers
37:58 qui ramassent de l'eau,
37:59 la pluie qui n'est pas couverte,
38:01 tout ça.
38:01 Tout ça, les moustiques adultes,
38:03 c'est déjà exposé
38:05 et avec toutes les conditions propices
38:07 pour les proliférer,
38:09 il y a une pomme,
38:09 il y a de l'eau,
38:10 il y a tout.
38:11 Mon Dieu, on finit servi
38:12 presque à 11 000 notices,
38:14 que ce soit le Centre des notices
38:16 ou le Statement de l'Homme nuisant
38:17 vis-à-vis d'une partie concernée.
38:19 Ça volume, ça siffle,
38:20 tout ça, l'explique.
38:22 Le volume de problèmes,
38:23 quelle quantité de problèmes
38:25 il y a dans le monde,
38:26 et chaque jour,
38:27 il reste augmenté,
38:28 il y a les mêmes à mesure
38:29 qu'ils nous font les rechangements.
38:31 C'est une affaire qui ne coûte pas
38:34 la population.
38:35 Rien n'apporte une petite volonté
38:38 avec un petit effort physique.
38:41 Nous, si c'est pour ramasser
38:42 nos saletés,
38:43 tout est bien fait.
38:44 C'est quand on dit ramasser,
38:46 nous ne pouvons pas dire
38:47 ramasser pile tout dans le bon chemin
38:49 ou ça prend tout,
38:50 elles sont toutes dans le terrain.
38:52 Ce problème-là, on en revient
38:54 pareil.
38:55 On est dans un déloge problème.
38:57 Ce qu'il faut faire,
38:58 il faut ramasser toutes les affaires
39:00 ou mettre-les dans un sac plastique
39:02 ou les attacher,
39:03 soit dans une balle
39:04 ou soit dans une poubelle
39:05 qui est fermée.
39:06 Et puis quand les collectivités
39:07 locales viennent,
39:08 ils ramassent, ils prennent,
39:09 ils y arrivent.
39:10 Mais une fois pour toutes,
39:12 les Mauritiens,
39:12 il faut choisir pour garder
39:14 l'environnement propre,
39:15 surtout dans la localité
39:17 qui est affectée dans chaque district.
39:19 Si je pourrais faire ça,
39:21 on peut éloigner les moustiques
39:23 de où?
39:24 Quand on peut éloigner
39:24 les moustiques de où?
39:26 On peut éloigner la densité
39:27 des moustiques de où?
39:28 Le risque de transmission
39:29 peut tomber par lui-même.
39:32 En sus de tout ce que
39:33 le ministère de la Santé peut faire.
39:35 Il y a la conscientisation
39:37 qu'il peut faire tous les jours
39:38 le terrain dans tout cet industrie
39:40 qui est affectée beaucoup
39:41 par le Health Information
39:43 Education Unit
39:44 et puis le Health Promotion Unit,
39:46 non même pas le docteur
39:47 Carl Essor et M. Bidasor.
39:50 Ces deux messieurs-là,
39:51 ils peuvent travailler
39:52 beaucoup le terrain
39:53 pour sensibiliser
39:54 tout le monde.
39:55 Il y a beaucoup de ressources
39:57 qu'ils peuvent mobiliser
39:58 pour faire tout ce travail-là.
39:59 Et tout couche de la population,
40:01 que ce soit les enfants de l'école,
40:04 que ce soit les instituteurs,
40:06 secondaires, primaires, tertiaires,
40:10 bonnes maîtres d'école,
40:11 deputy health teachers,
40:13 tout ce qu'ils sont capables
40:14 de faire pour conscientiser
40:16 la population,
40:17 le ministère de la Santé
40:18 peut faire tout.
40:19 Mais est-il que finalement,
40:21 la responsabilité,
40:23 ce n'est pas à tout ce genre
40:24 d'activités
40:25 que le ministère de la Santé
40:26 peut faire.
40:27 Il y a une part d'activité
40:29 très, très importante
40:30 que la population doit réaliser,
40:33 que si je fais juste
40:34 ce petit acte
40:35 pour garder mon accoup,
40:36 je ne laisse pas de l'eau,
40:37 je retiens l'eau,
40:38 je sors de la container
40:40 qui me ramasse de l'eau
40:41 pour garder la poussière à vie,
40:43 je sors de tous les débris
40:44 que je génère,
40:45 je dispose tout convenablement,
40:47 comme on dit,
40:48 je l'attache,
40:49 je le laisse dans la poubelle
40:50 couverte,
40:51 et puis le camion prend le chemin.
40:53 Mais c'est une bataille
40:55 qui nous gagne très, très,
40:56 très vite.
40:57 Et vous bénéficiez
40:58 tout bas de Mauritien.
40:59 Bien sûr, nous faire une courte pause,
41:00 après nous pourrions finir
41:01 pour le mot de la fin.
41:03 Corée ou pas Corée,
41:04 l'eau TOP FM.
41:06 Côte tout Noire,
41:07 Vigne Blanche.
41:08 ♪ ♪ ♪
41:09 ♪ ♪ ♪
41:10 ♪ ♪ ♪
41:11 ♪ ♪ ♪
41:12 ♪ ♪ ♪
41:13 Il faut le faire de manière efficace.
41:15 Et c'est ce qu'on a fait.
41:17 C'est pour ça que je suis là.
41:18 C'est pour ça que je suis là.
41:19 C'est pour ça que j'ai appelé les experts.
41:21 Et c'est pour ça que je suis là.
41:23 C'est pour ça que je suis là et ce que j'ai fait, c'est de la faire.
41:25 C'est ce que j'ai fait.
41:26 C'est ce que j'ai fait.
41:27 C'est ce que j'ai fait.
41:28 C'est ça que j'ai fait.
41:29 C'est ce que j'ai fait.
41:31 C'est ce que j'ai fait.
41:32 C'est ce que j'ai fait.
41:33 C'est ce que j'ai fait.
41:34 C'est ça que j'ai fait.
41:35 [SILENCE]
41:45 [SILENCE]
41:55 [SILENCE]
42:05 [SILENCE]
42:15 [SILENCE]
42:25 [SILENCE]
42:35 [SILENCE]
42:45 [SILENCE]
42:55 [SILENCE]
43:05 [SILENCE]
43:15 [SILENCE]
43:25 [SILENCE]
43:31 On se lundi matin sur les ondes de top FM Nupécos,
43:34 Lola Dank qui malheureusement il fait déjà huit morts et finit
43:38 avec la dingue à moray.
43:45 C'est la Roderick aussi qui est concernée.
43:48 Alors, nous pouvons faire le point sur la situation,
43:51 nous pouvons encourager et surtout faire passer le message
43:54 qu'il y a des membres du public aussi besoin de collaborer,
43:57 pourquoi pas à bout de cette maladie.
43:59 Alors, nous écoutons M. Faridane,
44:01 directeur de la santé publique et de la sécurité alimentaire.
44:04 Le mot de la fin.
44:06 Ce que nous voulons dire, tout d'abord,
44:09 à tous les cas qui peuvent domiciler ces gens,
44:14 nous demandons à eux d'agir de façon responsable,
44:17 faute de quoi la loi pour servir pourrait être à eux,
44:20 les policiers pourront venir pour les aider,
44:22 pour être à eux, n'importe où,
44:24 parce que ça ne peut pas continuer ainsi.
44:26 Chacun doit prendre sa responsabilité.
44:29 L'État peut prendre sa responsabilité,
44:31 le ministère peut prendre sa responsabilité
44:33 pour faire tout ce qui est nécessaire pour la population,
44:36 pour nous protéger, nous-mêmes, pour nous éradiquer de la maladie,
44:39 mais sans la contribution et le sens de responsabilité de l'individu,
44:43 nous ne pourrons pas arriver loin,
44:45 ce problème-là, pour persister jusqu'à la maladie,
44:47 là, pour une endémique.
44:49 Et quand cette maladie-là est endémique,
44:51 les gens doivent comprendre,
44:53 nos pays, l'économie qui peut souffrir,
44:55 pour avoir plus de gens malades dans tout secteur,
44:58 secteur manufacturier, secteur touristique,
45:01 secteur éducationnel, secteur de santé même,
45:04 dans tout secteur que vous pensez,
45:06 parce qu'il y a des moustiques, des passoiries,
45:08 des moules, des passoiries aux poches,
45:10 des passoiries aux coulées, à la peau pour les piquants.
45:12 Peine à soi, là-dedans.
45:14 OK? Nous devons exposer.
45:16 Donc, nous devons prendre conscience de ce fait-là.
45:18 Deuxièmement, je dois comprendre que la dengue,
45:20 ce n'est pas une fievre normale.
45:22 La dengue, c'est une fievre qui peut,
45:24 si on développe de bonnes conditions secondaires,
45:27 ou pour finir, pour gagner des hemorrhages,
45:29 pour gagner partout, et dans la plupart des cas,
45:32 les personnes mourent.
45:34 Et nous ne pouvons pas les trouver, ça.
45:36 Aucun membre de notre famille n'arrive à ça.
45:39 Et si nous ne comptons pas nous-mêmes,
45:41 nous comptons nos membres de nos familles,
45:44 nos bonnes amies, toutes les affaires,
45:46 nous devons agir de façon responsable,
45:48 nous tous, pour assurer nous,
45:50 nous tous, puis ajouter nos petits-bôtons,
45:52 nous tous, poser nos blocs, pour nous construire
45:54 cette maison qui est safe pour vivre.
45:56 À part ça, il y a des activités que le ministère de la Santé
45:59 peut faire, par exemple, dans la détection,
46:01 dans le "fever survey", dans le "house-to-house inspection",
46:05 dans les procédés qu'il peut faire,
46:07 le "love deciding", "misblowing", "fogging",
46:10 nous recevons, là aussi, des réactions,
46:14 parfois bien négatives, de certains membres du public.
46:18 Et ce n'est pas logique.
46:20 Au lieu qu'ils aient collaboré,
46:22 au lieu qu'ils aient facilité nos tâches,
46:24 parce que déjà, quand on peut faire une campagne
46:26 de sensibilisation pour le "health information education unit"
46:30 et le "health promotion unit",
46:32 avant qu'ils ne commencent tous ces procédés-là,
46:34 il y a un officier, un "community health worker",
46:37 il y a un "health surveillance officer",
46:39 il y a un "insecticide sprayer operator"
46:42 qui peut passer par tous les "general workers"
46:44 et dire "vous avez ouvert la porte",
46:46 il dit "on ne l'a pas ouverte sur la porte",
46:48 il dit "non, il reste à l'intérieur, il n'est pas ouvert sur la porte".
46:51 Il ne faudrait pas être hostile envers ça,
46:54 ça veut dire qu'on ne veut pas
46:56 nous faire des petites choses
46:59 pour protéger la santé.
47:02 Donc, on demande une collaboration,
47:04 le public ne peut pas nous taper la porte
47:06 quand on vient faire du fogging dans une localité.
47:08 Ouvrir la porte, recevoir nous,
47:10 les bras ouverts, pour nous capter
47:12 et nous protéger la santé.
47:14 Et puis, on demande une discipline extraordinaire
47:17 de la part de la casse,
47:19 ça, c'est très très important.
47:21 Et on peut aussi faire un appel
47:23 aux médecins privés
47:25 qui peuvent détecter les cas,
47:27 faire les échantillons,
47:29 les envoyer dans les laboratoires privés,
47:31 pour obtenir des résultats.
47:33 On trouve là aussi que quand on obtient une notification
47:35 du cas, le nom de la personne,
47:37 on ne paye ni le numéro de téléphone,
47:39 ni l'adresse.
47:41 Ces médecins, ils prennent en considération
47:43 que c'est une provision,
47:45 la notification, c'est un procédé légal.
47:48 Si vous ne faites pas ça comme il doit être,
47:50 vous ne donnez pas toute l'information qui est nécessaire,
47:52 vous pouvez être contravéni
47:54 et prosecuté sous la direction de la santé publique.
47:57 D'accord. Laisse-nous écouter le Dr Nauo,
47:59 il y a des gens qui nous peuvent déborder,
48:01 vu que le Dr Nauo a discuté le mot de la fin.
48:03 Effectivement, je me connais avec mon collègue,
48:05 je sais tout ce qu'il a à dire.
48:07 Ce qui est important,
48:09 les moustiques, ne pas choisir qu'ils sont dans les piquets.
48:12 Ne pas les trouver, il y a pas de piquet.
48:15 Et les casse-froides de côté voisin,
48:17 c'est-à-dire, c'est un message qu'il nous peut donner aujourd'hui.
48:20 Si vous ne voyez pas le temps, ne le faites pas s'il vous plaît.
48:23 Dans vos régions, faites-le tout le monde connaît,
48:26 qu'il nous peut demander, dès qu'il se pose.
48:28 Tous les jours, au moins cinq minutes,
48:31 passe dans la cour.
48:33 Nous ne pouvons pas dire "détruire l'eau",
48:35 mais il y a des ordres, il y a des conseils,
48:37 les municipalités, nous pouvons faire notre travail.
48:40 Mais dans une cour, ça c'est où la cour ?
48:44 Nettoyer, tirer ce qui mène au débris,
48:47 ne pas laisser l'eau s'accumuler,
48:49 c'est quelque chose qui ne coûte rien.
48:51 Faire du vinaigre habituel, tous les cinq minutes.
48:53 Et nous ne pouvons pas dire "faire ça aujourd'hui, après, c'est fini".
48:56 Nous devons faire ça pendant un prochain,
48:58 des mois au moins.
49:00 Et avec le temps, nous devons faire du vinaigre,
49:02 notre second nature,
49:04 dans le vinaigre habituel.
49:06 Parce qu'imaginez bien, ces moustiques-là,
49:08 ils ne passent pas de transmettre que la dengue.
49:10 Et dans les autres types de moustiques,
49:12 ils peuvent gratter après une finition.
49:14 C'est ça qui les banalise.
49:16 Mais non, ils ne passent pas que gratter,
49:18 ils peuvent aussi transmettre malade.
49:20 Et non, malheur ne se transmet pas par moustiques.
49:22 Et non, zika ne se transmet pas par moustiques.
49:24 Et non, il y a tout un monde qui le transmettent.
49:26 Et c'est des maladies qui, quelques fois,
49:28 les mortels, et je vais vous montrer les mortels,
49:30 aussi, nous faisons l'appel,
49:32 nous demandons aux gens,
49:34 comment nous dire, arrive un moment
49:36 quand une plaquette diminue,
49:38 une composante de sang qui diminue,
49:40 c'est-à-dire qu'on fait du sang,
49:42 on fait du caillot quand on saigne.
49:44 Et c'est ça qui amène des décès.
49:46 Nous trouvons des gens qui,
49:48 malheureusement, quand ils ont eu une fève,
49:50 ils ont été tardés pour aller au docteur,
49:52 ils ont été pris comme une fève banale,
49:54 et quand ils sont venus,
49:56 trop tard, la plaquette est bien baissée,
49:58 et ils ont eu du sang.
50:00 Et deux nations qui ont eu du sang,
50:02 ça, tout le temps, nous disons,
50:04 "Vous avez donné, vous avez donné."
50:06 Pour terminer, je dirais deux petites choses.
50:08 Je suis compatriote de Rodrigue Agaléga.
50:10 Je suis aussi,
50:12 "prends soin pareil", comment on dit,
50:14 couvert,
50:16 "retiens bien le débris",
50:18 couvert, je connais un Rodrigue qui a eu un problème,
50:20 je le sauve, au moins couvert,
50:22 il n'y a pas les sloves là-dedans,
50:24 bien, bien important, et finalement,
50:26 je salue, je profite
50:28 de l'occasion pour saluer
50:30 tous les inspecteurs,
50:32 tous ceux qui ont travaillé sur le terrain
50:34 pour faire le fogging, l'ovicide,
50:36 l'équipe de SPIU qui fait la sensibilisation,
50:38 tout le monde qui travaille,
50:40 et je demande à la population,
50:42 soyez indulgents avec eux,
50:44 aide-eux, aide-eux pour nous aider.
50:46 Très bien, voilà, c'est ici que pour faire votre émission
50:48 "Correct, pas correct", merci au docteur Ismet Nauo,
50:50 merci à Echanuff, Riden,
50:52 et nous disons, passez une bonne journée.
50:54 "Correct, pas correct", l'eau de PFM.
50:56 Côte-Tout-Noir,
50:58 Vigne Blanche.
51:00 *Bruit de coup*