• il y a 11 mois
Avec Charles Demassieux, membre de Riposte laïque.

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##LE_FAIT_DU_JOUR-2024-01-22##

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News
Transcription
00:00 Ici Sud Radio, les français parlent au français. Je n'aime pas la blanquette de veau.
00:14 Sud Radio Bercov dans tous ses états.
00:17 Un fait d'hiver, un fait du quotidien, un fait de société, peu importe les étiquettes.
00:25 Qu'est-ce qui se passe si dans la rue, dans le métro, dans un bus ou ailleurs,
00:31 vous voyez quelqu'un en train d'agresser, en train de tabasser, en train de voler ou en train de violer quelqu'un d'autre ?
00:40 Qu'est-ce qu'on fait ? Chacun d'entre nous peut être amené à se poser la question.
00:45 C'est ce qui est arrivé effectivement à Charles de Massieux.
00:56 Qu'est-ce qui se passe à ce moment-là ? Qu'est-ce qu'on fait ? Il va raconter son histoire, on va en parler.
01:04 Sud Radio Bercov dans tous ses états.
01:07 Le fait du jour.
01:08 On arrive en ville, Daniel Balavoine. Effectivement quand on arrive en ville, quand certains arrivent en ville, on se demande ce qui peut se passer.
01:17 Alors, vous savez on a même parlé de sentiments d'insécurité mais pas d'insécurité.
01:22 Bon aujourd'hui tout ça a volé en éclats.
01:25 Quel est le prix à payer quand on s'interpose lors d'une agression ?
01:31 C'est ça la question et on la pose effectivement à Charles de Massieux.
01:35 Charles de Massieux vous êtes auteur, vous travaillez sur un site internet effectivement.
01:44 En ce moment, vous avez en octobre dernier très exactement, il vous est arrivé quelque chose.
01:54 Il est arrivé quelque chose à une voisine à vous et vous avez réagi.
01:58 Racontez-nous qu'est-ce qui s'est passé et comment et d'abord où ?
02:01 Bonjour M. Bercoff, tout d'abord merci de me recevoir.
02:05 En fait j'avais un projet de longue date d'aller habiter en province avec ma compagne.
02:09 Nous avons donc acheté une maison dans la Creuse.
02:12 Et un matin, au moment où nous étions autour de la table, j'entends une femme hurler.
02:20 Et juste après un homme menacé de mort.
02:24 Donc je prends peur.
02:26 La menacée de mort vous voulez dire ?
02:27 La menacée de mort. Je l'entends parce que les fenêtres étaient ouvertes mais je ne vois toujours pas la scène.
02:30 Donc je prends peur et je dis par avance que je prends sur moi un stylo coupe-papier que je garde toujours sur moi.
02:37 Parce qu'il se trouve que j'ai été agressé trois fois en région parisienne, dont une fois gravement il y a plusieurs années.
02:43 Et je cours et là je vois une vieille dame terrorisée, plus sa belle-fille et un homme qui tourne autour d'elle en disant "de toute façon je vais tous vous tuer".
02:54 Je vois que l'homme est sérieusement alcoolisé.
02:58 Et j'essaie de calmer la situation.
03:02 Il avait une arme à la main ?
03:04 Il avait sa main en permanence dans sa poche.
03:06 Et ultérieurement il sortira une arme.
03:09 Et donc il était dans la cuisine ?
03:11 Non, il était juste devant la propriété de la dame.
03:14 Et j'ai appris plus tard qu'il a essayé de s'introduire chez elle.
03:17 J'essaie maladroitement de prendre le pouls de la vieille dame en lui ordonnant de rentrer chez elle parce que je vois que son coeur bat la chamade.
03:26 Je vois que sa belle-fille continue à subir les assauts grossiers et violents verbalement de ce monsieur.
03:34 Et j'essaie de calmer ce monsieur.
03:36 A ce moment-là ça ne lui plaît pas, il commence à m'insulter, à me menacer.
03:39 Et il s'approche front contre front en me disant "de toute façon j'ai fait de la prison".
03:44 Ce qui s'avéra vrai puisqu'on l'apprendra au tribunal.
03:47 Et je possède des flingues chez moi.
03:51 Et là je panique.
03:53 Et au moment où il me touche le front, en cherchant vraiment le contact, il veut se battre, il me le demande et il n'arrête pas.
03:59 Et là je fais la bêtise, je sors ce coup de papier et je crois lui blesser la jambe.
04:03 Et malheureusement je blesse le bas de l'abdomen.
04:07 Mais pas avec l'intention d'enfoncer la lame.
04:11 J'ai même la lame dans la main, c'est vrai qu'il y a une toute petite partie.
04:15 C'est un stylo coupe-papier.
04:17 Ça fait moins de 6 cm, ce n'est pas une arme type crans d'arrêt.
04:22 Mais je ne nie pas l'effet, il est effectivement blessé.
04:26 Mais de là il ne s'effondre pas, il continue à avancer.
04:29 Et là ma compagne sort de la maison paniquée, elle fonce chez la vieille dame pour voir dans quel état est la vieille dame.
04:35 Et là il voit ma compagne passer et je cite, je suis désolé auprès de vos auditeurs,
04:40 je vais, excusez-moi par avance, la baiser, la violer et ensuite la tuer.
04:45 Et là il a une arme dans la main.
04:48 Et c'est un jeune adolescent qui est avec lui, qui est sorti.
04:51 - Donc vous avez vu l'arme ? - Moi je l'ai distinctement vue, c'est une arme avec une poignée noire.
04:55 Je ne peux pas dire ce que c'est comme arme, par contre je dois être honnête.
04:58 Donc moi paniqué, j'appelle la gendarmerie, je dis effectivement aux gendarmes,
05:04 moi je vous préviens s'ils rentrent chez moi je vais le tuer là.
05:06 J'explique la situation, les gendarmes arrivent sur ces entrefaits,
05:10 ne me clouent absolument pas au sol parce que je me constitue tout de suite prisonnier,
05:14 même pas, comment dire, ils sont très corrects avec moi,
05:18 ils me disent "retrouvez-moi ce C.O. coup de papier que j'ai jeté dans mon jardin".
05:22 Je leur remets, je pars en garde à vue.
05:24 Je dois dire, entre parenthèses, que les gendarmes de la Creuse ont été exceptionnellement gentils avec moi,
05:30 rassurants, enveloppants même je le dirais.
05:32 On dit toujours du mal des forces de l'ordre, bah là non, il n'y a pas de mal à dire.
05:36 Il se trouve que je passe quand même 48 heures en garde à vue,
05:38 tout au long de ces 48 heures je refuse de m'alimenter et de boire le moindre liquide.
05:43 - Ah bon, pendant 48 heures ? - Oui, parce que j'estime,
05:46 parce que je sais que l'adjudant-chef qui s'occupe de moi avec une adjudante me dit
05:50 qu'il y a quand même un risque parce que l'homme a été hospitalisé et il a été emmené à Limoges.
05:54 - D'accord. - Soyons clairs, il a été héliporté,
05:57 puisque visiblement aguerré, ils n'ont pas pu le soigner.
06:00 Mais ces jours ne sont pas en danger, ça l'adjudant-chef me le précise
06:03 parce que je panique complètement.
06:05 Arrive donc le lundi où je passe devant le juge des libertés
06:10 qui me dit "Vous quittez la Creuse immédiatement,
06:15 vous devrez pointer toutes les semaines au commissariat",
06:18 ce qui est tout à fait normal, moi je m'y suis d'ailleurs conformé religieusement.
06:22 Puis au bout de trois mois, à l'issue de trois mois, nous sommes le 10 janvier,
06:26 j'arrive au tribunal et là je découvre quoi ?
06:28 Je découvre un président du tribunal qui s'appelle M. Michael Imbert,
06:32 qui édulcore tous les faits, qui me dit "C'était une querelle de voisins,
06:37 vous n'aviez pas à vous emmêler".
06:39 Une querelle de voisins qui rend malade une femme de 83 ans pendant trois mois,
06:43 il a édulcoré le fait qu'il a menacé d'autres personnes,
06:46 il me dit "Il n'a menacé que vous".
06:48 Mais dans le même temps, j'apprends quand même que ma victime,
06:51 parce que c'est ma victime ça, je dois le reconnaître,
06:54 a tout de même été deux fois en prison pour violence en bande
06:56 et violence une fois sur une personne qui lui a valu près de quatre ans de prison.
07:00 Il a fait quatre ans de prison ?
07:02 Il a d'abord fait un séjour, parce qu'il a été pris dans une affaire de bande
07:06 pour violence, et il a fait un autre séjour en prison
07:10 d'une durée de quatre ans, pour violence sur une personne.
07:14 Vous imaginez à notre époque, quatre ans de prison ferme
07:17 pour violence sur personne, je ne veux même pas savoir dans quel état était la personne.
07:20 C'est un homme qui a avoué au tribunal être sujet à l'alcool,
07:24 sa compagne et son beau-fils ont reconnu qu'il était même violent,
07:27 et il avoue quelque chose, il dit "Je ne travaille pas,
07:31 ma compagne est aide-soignante", qui est un métier d'ailleurs tout à fait honorable,
07:35 "et je fume au moins", il le dit au juge, "sept joints par jour".
07:39 Moi je m'interroge, sept joints par jour, plus l'alcool,
07:43 comment peut-il se procurer ça ? Mais peu importe.
07:46 Le fait qu'il ait tué une arme a été totalement nié par le juge,
07:50 et le juge me condamne à 15 mois, dont 3 mois ferme,
07:56 mais il a ménagé son suspense.
07:58 C'est-à-dire qu'il me dit "Vous êtes condamné à 3 mois ferme",
08:00 moi je panique complètement à ce moment-là,
08:02 et là il me dit "Taisez-vous, taisez-vous, de toute façon ce sera un bracelet".
08:06 Je dois être honnête, dans le tribunal j'ai eu un moment de panique,
08:10 et j'ai traité les juges d'assassins qui laissaient une femme être défenestrée à Paris,
08:14 je pensais à Muriel Mnol, sans faire condamner son agresseur,
08:18 et moi j'en prenais plein la figure, mais je n'ai jamais insulté M. le juge, attention.
08:22 - À part le traité d'assassins quand même. - J'ai pas dit lui, j'ai dit les juges en général.
08:26 Et là il me dit "Mais allez-y, faites appel, vous allez voir ce qui va vous arriver".
08:31 Et avec un sourire narquois, moi j'étais tétanisé,
08:35 d'ailleurs ma compagne m'a dit qui était dans la SAGE "J'ai pas reconnu ta voix",
08:39 je tremblais comme une feuille, parce que j'ai un casier judiciaire vierge.
08:43 Je sais par des indiscrétions, le juge a signalé que c'est deux faits de violence à propos de ma victime,
08:49 je sais par d'autres indiscrétions qu'il a à son actif beaucoup de faits d'armes, si je puis dire en la matière.
08:55 Alors depuis, que s'est-il passé ? Eh bien moi j'ai fait appel.
09:00 - Vous avez fait appel, oui. - Oui, alors sur les conseils de beaucoup d'amis que vous connaissez,
09:05 dont certains vous les connaissez, j'ai demandé conseil auprès de M. Frédéric Pichon,
09:09 qui n'était pas initialement mon avocat, je salue d'ailleurs le travail de mon avocate sur place dans la Creuse,
09:14 elle a fait avec les moyens du bord. - Mais qu'est-ce qui vous a fait ?
09:17 Et donc vous faites appel, et donc vous êtes sous bracelet électronique ?
09:23 - Non, pas du tout, parce qu'un appel en fait annule la peine initiale jusqu'à l'appel.
09:29 Je tiens juste à préciser un élément, c'est que je ne connaissais pas les gens qui habitaient dans ce hameau,
09:35 je ne connaissais que la femme qui avait vendu la maison, avec qui nous avions sympathisé.
09:39 - Donc votre voisine, vous ne la connaissez pas ? - Absolument pas, et depuis j'ai appris que ce monsieur a menacé à peu près tout le monde,
09:44 y compris des conseillers municipaux. - D'accord.
09:46 - Il ne supporte absolument personne, il a menacé de jeter dans une rivière proche du hameau,
09:52 la petite Creuse pour ne pas la nommer, un septuagénaire, que je connais bien, qui est un éleveur très gentil.
09:58 J'ai appris à connaître les gens, et les langues se sont déliées, c'est quelqu'un d'excessivement violent,
10:03 qui ne sait pas se contrôler, et qui est menaçant à peu près avec tout le monde.
10:08 Et ce qu'il en ressort, c'est que moi, je ne viens pas ici à Sud Radio pour cancaner et jouer les fiers à bras,
10:17 je regrette infiniment mon geste, comme je l'ai dit au tribunal, je ne pensais pas viser l'abdomen,
10:22 je le dis sincèrement, je voulais juste viser la jambe, mais cet homme m'a effrayé.
10:28 - Vous savez que, quand même, que vous le sachiez, je ne sais pas si vous le savez,
10:32 Charles de Massieu, mais le juge là qui vous a... - M. Humbert, oui.
10:36 - M. Humbert, est menacé de mort, a lui-même porté plainte, c'est pas vous bien sûr, pas contre vous,
10:43 mais il a été menacé de mort, donc qu'est-ce que vous en pensez ?
10:47 - Alors, tout d'abord, les menaces de mort, moi je commence à en avoir assez,
10:52 parce que si c'est le recours habituel, on va tous se menacer de mort, on n'aura plus de lien,
10:58 c'est tout à fait ridicule, je le condamne, je condamne les menaces de mort à l'égard du président du tribunal de Guéret,
11:05 M. Michael Humbert, je ne crois pas que ce soit sur ce terrain-là qu'on avancera, de toute façon.
11:12 - Alors justement, sur le fond, je voudrais finir là-dessus,
11:16 mais c'était très important que voilà, que c'est quelque chose qui se passe,
11:20 qui se passe, je dirais, hélas, hélas, je dirais pas quotidiennement, mais de façon très réculente en France,
11:26 et nous avons vu des gens qui ont eu des problèmes, parce qu'ils se sont interposés dans telle ou telle agression,
11:33 et ça leur a joué des tours, est-ce que vous pensez, vous avez réagi immédiatement,
11:39 vous vous êtes dit "voilà, j'entends des cris, je vais voir ce qui se passe", et vous réagissez.
11:43 Est-ce que vous pensez que c'est un problème, parce que personne ne peut dicter, y compris moi, y compris tout le monde,
11:49 comment on réagirait si on voyait ça devant nous, et vous, vous pensez qu'il y a un problème là-dessus,
11:54 il y a un vrai problème de cette violence, est-ce qu'elle est vraiment exponentielle, est-ce qu'elle a explosé ?
12:03 - Ben, il n'y a plus aucun filtre, jadis, il y avait de la violence, ne nous mentons pas,
12:07 on peut parler des Apaches au 19e siècle, début 20e siècle,
12:10 mais c'était une violence, la violence de Jacques Mestrine par exemple,
12:13 mais c'était une violence qui ne s'adressait pas, par exemple, à une femme enceinte.
12:16 Combien de fois dans la presse régionale, lisons-nous qu'une femme enceinte a été agressée,
12:20 qu'une femme âgée, même des enfants, je veux dire, aujourd'hui, il y a une décomplexion dans la violence,
12:26 mais d'un autre côté, il y a une tentative de castration judiciaire des personnes qui veulent intervenir.
12:32 Je veux dire, bien sûr que je ne suis pas fier de mon geste,
12:36 mais que se serait-il passé si cette dame de 83 ans, ou sa belle-fille, avait été tuée ?
12:41 Sa belle-fille a réitéré, je l'ai rencontrée à nouveau,
12:44 elle m'a dit qu'on voyait dans son regard l'envie de tuer.
12:48 Je veux dire, il y avait une tentation homicide,
12:50 moi je n'ai jamais eu la tentation homicide sur une femme de 83 ans.
12:53 - En fait, quand on voit ce genre de réaction, etc., y compris judiciaire,
12:58 les gens se disent "Ouh là là, moi je ne vais pas m'en mêler,
13:00 comme ça, oui, c'est terrible ce qui arrive, mais tant que ça ne m'arrive pas à moi, je ne vais pas m'en mêler".
13:05 - Vous vous souvenez de l'affaire de Lille ?
13:06 Cette jeune fille, aux heures de pointe dans le métro de Lille, se fait sexuellement agresser.
13:11 Elle dira plus tard, en larmes, je crois que c'est à une radio d'ailleurs,
13:14 qu'il y avait des hommes dans la rame, qui étaient des armoires à glace,
13:19 ils ne sont pas intervenus.
13:21 - Et ça c'est quand même, c'est très très, toute sa situation est préoccupante,
13:25 et effectivement, s'il y a, comme vous dites, je ne dirais pas castration judiciaire,
13:30 mais quand même, il faut savoir qui est la victime et qui est le bourreau,
13:34 d'un côté, je parle de la vieille dame, bien sûr,
13:37 mais c'est vrai que le problème, c'est comment réagir à ça,
13:43 et comment faire que les personnes qui s'interposent,
13:46 même, effectivement, comme dans le cas de violemment,
13:48 ne soient pas traitées plus mal, parce que, à quoi était-il ?
13:52 Est-ce qu'il a été condamné, votre... ?
13:54 - Alors, il a eu, si ma mémoire est bonne, 105 heures de travaux d'intérêt général.
13:59 - D'accord.
14:00 - Par contre, moi, j'ai oublié de vous préciser, M. Bercov,
14:03 j'ai 3500 euros d'amende à lui verser, donc en fait...
14:06 - Et lui, il a eu une amende ?
14:08 - Oui, non.
14:09 C'est-à-dire qu'en fait, il a une amende minimale à verser à la famille de la dame âgée.
14:14 - De combien, vous ne savez pas ?
14:15 - C'est autour de 38 euros, je crois.
14:18 - 68 euros.
14:19 - 68 euros, merci, voilà, j'avais pas le chiffre exact, je vous remercie.
14:23 Par contre, moi, je vais verser 3500 euros à quelqu'un qui, à vous,
14:28 fumez tous les jours du hashish, donc je vais verser de l'argent,
14:31 je suis désiré, en parlant ironiquement, je vais verser de l'argent au trafic, quoi.
14:35 - En tout cas, merci, cher monsieur.
14:37 - Merci infiniment.
14:38 - Merci de votre témoignage, je crois qu'il y a, en tout cas,
14:41 un vrai problème qui est posé là-dessus.
14:43 Encore une fois, sans prendre parti, mais sans renvoyer dos à dos
14:48 les acteurs de cette histoire,
14:51 on ne peut pas, effectivement, avoir deux points de mesure,
14:54 comme on l'a trop souvent, aujourd'hui.
14:57 Et puis si cette histoire vous fait réagir, n'hésitez pas, 0, 826, 300, 300,
15:02 on prend tous vos témoignages.
15:03 On va se retrouver dans un instant sur Sud Radio,
15:05 après cette courte pause, on va parler du prix du panier de course
15:09 qui ne cesse d'augmenter.
15:11 A tout de suite sur Sud Radio.
15:13 Sud Radio Bercoff, dans tous ses états, midi 14h.
15:17 André Bercoff.
15:18 Lebercoff.

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