Ricochet-va-vite - Épisode 01 - Sam José
(1964-1965)
Production : Hanna-Barbera
Distribution : Screen Gems
14 janvier 1964
Production : Hanna-Barbera
Distribution : Screen Gems
14 janvier 1964
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TVTranscription
00:00 Je considère comme un privilège et un honneur de vous offrir en notre nom à tous le tout premier sac d'or, représentant le premier renvoi à être fait de notre bonne ville de Glorwong-Koch.
00:16 (cris) Je crois qu'il y a une note, Monsieur Joint au Caillou. Quelle idée ! Pourquoi s'il s'agit d'un rendez-vous, ne pas s'être adressé à ma secrétaire ? Tenez, voulez-vous la lire ? Merci.
00:30 J'ai l'honneur de respectueusement porter à votre connaissance que votre renvoi d'or sera volé au cours du voyage par A.T. Sam Jose. Et c'est signé A.T. Sam Jose. Sam Jose ? Ils sont volés tous !
00:47 Voilà si existent les services immédiats du shérif le plus rapide et le plus compétent de tout l'Ouest, Ricochet va vite !
00:54 Alors, ce café, ça vient à l'ambulance, oui ou non ?
00:58 Ah oui, oui, ça vient tout de suite, Monsieur Ricochet. J'ai comme l'impression qu'aujourd'hui je l'ai fait un peu fort. Comme ça, vous pourrez dire que c'est fort de café.
01:06 (rire)
01:08 Et solide avec ça, toutes les qualités, quoi !
01:11 C'est parce que je me sers d'eau forte, faudra que j'arrête. Qu'est-ce que je vous sers ? Un gros morceau, un petit morceau ? On débite à la demande.
01:18 Donne-moi la valeur d'une bonne tasse.
01:21 Ici le shérif Bing Bing Bing !
01:24 Ricochet va vite ! Résultat rapide, ramassage de rôdeurs et calcitrants, rattrapage et coffrage de malfecteurs méchants, mis à la raison de révoltés dangereuses. À votre service !
01:33 (cris de la foule)
01:37 Il n'y a qu'un homme qui soit capable de hurler de la sorte, c'est le gros Gaspar la Pépite qui a besoin de nous !
01:42 Ben voilà, je vous rejoins tout de suite, shérif Ricochet.
01:46 (coup de feu)
01:48 Faudrait tout de même bien savoir comment il réussit son cause.
01:51 Et ainsi, vaillants défenseurs de la loi, vous vous engagez sous le serment à défendre notre or envers et contre tout au péril de votre vie.
01:59 Vos crêtes, mon cher ami, ne sont nullement fondées. Habilement dissimulées dans ces sacs postaux, mon adjoint et moi, nous ne quitterons pas un instant votre or des yeux. Pas vrai, Lambinôtre ?
02:07 Très parfaitement, monsieur Ricochet.
02:09 Je crois que l'heure du départ a maintenant sonné, le train vient de démarrer tout juste.
02:13 Oui, Lambinôtre, attrape-le, ils sont en dedans.
02:16 Je me dépêche, monsieur Ricochet.
02:18 Bien, préparez vos billets, messieurs les voyageurs.
02:23 Monsieur, votre billet s'il vous plaît.
02:25 Il ne sera pas dit que Sam José voyage à l'oeil en laissant une question sans réponse.
02:29 Tout veut vraiment exiger mon billet ?
02:31 Enfin, voilà, c'est-à-dire, monsieur, si vraiment vous n'y tenez pas, eh bien je...
02:36 Au secours, à moi ! Au voleur ! Au secours ! Au voleur !
02:40 Au voleur !
02:43 Oh, mais j'y pense. Qu'est-ce que vos initiales "AT" signifient, sonore ?
02:48 Alexandro le Terrible, ce sont mes deux noms de naissance.
02:51 Je vois, sonore.
02:53 À moi ! Au voleur ! À moi ! Au secours !
02:57 Allez, seigneure, restez-vous en vitesse, que tout le monde y descende.
03:00 Sam José ne peut pas travailler avec une foule autour de lui.
03:04 C'est ça, mon petit timide, moi ça me rend nerveuse.
03:07 Allez, hop, tout le monde y descend.
03:10 Non, non, ça ne vous intervient pas.
03:13 Oh, la banalie, la banalie.
03:16 Est-ce le café que je sens ou quelqu'un est-il en train de brûler une vieille botte ?
03:21 Non, non, c'est du café. Vous en aurez une tasse dans une minute, monsieur Ricochet.
03:26 Est-ce l'odeur du café qui taquine mes narines ou on est en train de brûler une vieille sandale ?
03:36 Le si intelligent scénique, monsieur Ricochet, va vite.
03:40 Il ne croit tout de même pas tromper le grand Sam José en cachant sa personne dans un sac postal, non ?
03:46 Mais après tout, peut-être bien que c'est lui.
03:54 De toute manière, ça n'a pas d'importance. Vous allez partir tout de suite, seigneur.
03:58 Attention à la première marche, elle est assez haute, n'est-ce pas ?
04:03 Le café est prêt, monsieur Ricochet.
04:05 Pas maintenant, l'ambulance, pas maintenant.
04:08 Non, mais qu'est-ce qui se passe ? C'est le ciel qui me tombe sur la tête.
04:18 Oh, les mains, vous êtes désormais le prisonnier de Bing, Bing, Bing, Ricochet va vite.
04:25 Et je vous trouve, seigneur, Bing, Bing, Bing, Bing, Ricochet va vite, vraiment plein de prétentions.
04:32 Bien que j'ai horreur de la violence, seigneur, vous ne me laissez, je ne le regrette pas, le choix.
04:37 Ne regrettez rien, allez, j'ai deux pieds, c'est pour m'en servir.
04:41 Oh, caramba, c'est un véritable ébrut, Sam José n'aime pas qu'on l'ébrutalise.
04:53 Cela suffit, Sam José, écoutez-moi bien, ou bien je vous arrête, ou bien je ne m'appelle pas...
04:59 Laissez-moi le dire, shérif, Bing, Bing, Bing, Bing, Bing, Ricochet va vite.
05:05 Très juste.
05:07 Et dites, monsieur Ricochet, vous oubliez de boire votre café.
05:11 Pas maintenant, l'ambulance, pas maintenant.
05:14 Je crois que je reviendrai une autre fois quand le secteur y sera un peu plus calme.
05:18 Sam José, vous êtes la haute et le déshonneur de la corporation des voleurs de train.
05:22 Et votre café est en train de refroidir, monsieur Ricochet.
05:25 Pas maintenant, l'ambulance, pas maintenant.
05:27 Je crois que décidément j'ai fait une erreur, il y a beaucoup trop de monde ici aussi.
05:35 Alors Sam José veut s'amuser, on dirait.
05:38 Ces deux gars-là font un joli paire, seulement moi je n'ai pas envie d'être vers le troisième.
05:42 Cet affreux bourgain de Sam José nous laisse là en carafe avec une rare incorrection.
05:48 Et par-dessus le marché, c'est lui qui a l'or.
05:50 Alessandro le Terrible dit Sam José a réussi un nouveau coup.
05:54 Il est la gloire de la corporation des voleurs.
05:57 Ah ah, un malin, un malin et demi.
06:02 Grande envie d'aller jusqu'à Hollywood.
06:06 Je placerai mes fonds dans un studio de cinéma.
06:08 J'espère que ces passants expéditifs ne vous ont pas trop déplu, Sam José.
06:16 Mais je préfère éviter à mes prisonniers toute fatigue inutile.
06:19 Joli travail, monsieur Ricochet.
06:21 Je crois que nous venons de lui donner là une sérieuse leçon.
06:24 Ne nous endormons pas sur nos lauriers.
06:26 D'autres voleurs courtent encore les routes.
06:28 Il reste main malfaiteur à capturer, main rôdeur à mettre hors d'état de nuire.
06:32 Main cambrioleur à arrêter d'urgence.
06:36 Main de côte à réparer, main de blessure à poncer.
06:41 blessure à penser. Ouuuuuuuh !