• l’année dernière
Le chroniqueur et consultant, Michaël Sadoun, dans 120 minutes info, suite à l'expulsion d'un émeutier de son logement social : «L'expulsion des délinquants étrangers ne doit pas être un tabou [...] Je pense qu'on a sous-investi sur ces deux côtés dernièrement en France». 

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Transcription
00:00 le minimum, c'est de ne pas tendre la main à celui qui est en train de nous mettre une gifle.
00:03 Donc la France est suffisamment généreuse vis-à-vis de certaines personnes
00:06 qui, je pense, n'ont pas un grand respect d'elle et de ses institutions.
00:09 Donc je suis content que la justice ait pris cette décision.
00:13 J'espère que cette fermeté se généralisera à l'avenir.
00:16 Ça me rappelle d'ailleurs plusieurs propositions qui ont été mises sur la table par les Républicains,
00:21 comme par exemple de priver d'aide sociale les parents de délinquants,
00:24 puisque c'est quand même eux qui ont la responsabilité de leurs enfants.
00:26 Je pense que ça doit être entendu.
00:28 L'expulsion aussi des délinquants étrangers ne doit pas être un tabou.
00:32 Il faut en parler.
00:33 On a parlé des États-Unis qui le font au plus volontiers.
00:36 Je pense que ça doit aussi être discuté sur notre sol.
00:39 Donc une fois qu'on a dit ça, la fermeté bien sûr,
00:42 mais que fait-on maintenant des individus qui ont été sanctionnés ?
00:45 Parce que très bien, on a privé ce monsieur de logement social.
00:48 Que va-t-il devenir ? Quel sera son avenir ?
00:51 Et est-ce qu'il y aura des événements liés à ça ?
00:53 Il faut aussi que la France s'occupe de ça.
00:56 Il faut évidemment la punition, l'insertion de l'autre côté,
00:59 mais je pense qu'on a sous-investi sur ces deux côtés dernièrement en France.
01:03 [Musique]
01:07 Merci à tous !

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