Pandémie oblige, les habitudes des consommateurs évoluent :
Depuis le premier confinement, les paiements sans contact (+67%) et les paiement en ligne (+13%) ont explosé.
Mais l’association des droits des consommateurs UFC-Que Choisir alerte sur les arnaques à la carte bancaire.
"Ces nouvelles habitudes ne sont pas sans danger." UFC-Que Choisir.
En effet, le paiement sans contact présente 2 fois plus de risques d’escroqueries et le paiement sur Internet multiplie par 17 le risques de fraudes.
Depuis ces derniers mois, le nombre d’escroqueries bancaires signalées ne cesse d’augmenter.
UFC-Que Choisir estime qu’elles pourraient augmenter de 20% pour atteindre un montant de 660 millions d’euros en 2020.
Selon une enquête du 22 octobre 2020, 30% des fraudes n’auraient pas été remboursées par les banques au cours des 12 derniers mois (contre 26% l’année précédente).
Pourtant, la loi impose à ces structures de rembourser l’escroqué au plus tard le premier jour suivant le signalement de la fraude.
En pratique, l’association dénonce un allongement des délais pour le remboursement de 4 jours supplémentaires par rapport à l’année dernière, soit 25 jours.
Les banques invoquent généralement "la négligence de leurs clients pour refuser de les rembourser", selon l’UFC-Que Choisir.
1 escroqué interrogé sur 4 affirme avoir dû multiplier les démarches pour prouver sa bonne foi, pourtant présumée par la loi.
L’association a donc saisi les pouvoirs publics pour réguler cette situation.
Depuis le premier confinement, les paiements sans contact (+67%) et les paiement en ligne (+13%) ont explosé.
Mais l’association des droits des consommateurs UFC-Que Choisir alerte sur les arnaques à la carte bancaire.
"Ces nouvelles habitudes ne sont pas sans danger." UFC-Que Choisir.
En effet, le paiement sans contact présente 2 fois plus de risques d’escroqueries et le paiement sur Internet multiplie par 17 le risques de fraudes.
Depuis ces derniers mois, le nombre d’escroqueries bancaires signalées ne cesse d’augmenter.
UFC-Que Choisir estime qu’elles pourraient augmenter de 20% pour atteindre un montant de 660 millions d’euros en 2020.
Selon une enquête du 22 octobre 2020, 30% des fraudes n’auraient pas été remboursées par les banques au cours des 12 derniers mois (contre 26% l’année précédente).
Pourtant, la loi impose à ces structures de rembourser l’escroqué au plus tard le premier jour suivant le signalement de la fraude.
En pratique, l’association dénonce un allongement des délais pour le remboursement de 4 jours supplémentaires par rapport à l’année dernière, soit 25 jours.
Les banques invoquent généralement "la négligence de leurs clients pour refuser de les rembourser", selon l’UFC-Que Choisir.
1 escroqué interrogé sur 4 affirme avoir dû multiplier les démarches pour prouver sa bonne foi, pourtant présumée par la loi.
L’association a donc saisi les pouvoirs publics pour réguler cette situation.
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