• il y a 3 jours
C'est la première cause de mortalité chez les femmes et pourtant, beaucoup ne font jamais surveiller leur coeur.
Accompagner les femmes en situation de précarité et permettre le dépistage des maladies cardiovasculaires, c’est la mission des Bus du Coeur soutenus par l'Association AXA Prévention. Brut a suivi les bénévoles du fond de dotation Agir pour le Coeur des Femmes pendant leur étape à Marseille.

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Transcription
00:00Je savais que j'avais une douleur de diabète, mais l'on m'a donné le tour,
00:02ce qu'il fallait que je fasse pour le stabiliser et faire l'esclavage.
00:08Donc je suis très satisfaite.
00:21Je suis le professeur Gabrielle Sarlon,
00:24je suis médecin vasculaire à la PHM au CHU Timon,
00:27et j'ai le plaisir d'accueillir localement, sur l'étape marseillaise,
00:32la fondation Agir pour le cœur des femmes.
00:34Je vous propose progressivement de rentrer dans le bus
00:37et de voir les différentes étapes dont bénéficient les patientes.
00:42Vous me suivez ?
00:46C'est d'abord une étape vasculaire où deux médecins vasculaires
00:50interrogent les patientes sur des problèmes cardiovasculaires,
00:53notamment leurs antécédents, essoufflements, douleurs thoraciques,
00:56le cœur qui s'accélère,
00:58et ils mesurent la pression artérielle à trois reprises
01:00pour dépister une hypertension artérielle.
01:19Une patiente qui va faire un infarctus du cœur,
01:21c'est-à-dire un bouchon sur une artère du cœur,
01:25va avoir des symptômes moins francs que l'homme,
01:27des douleurs thoraciques mais légères, un essoufflement, des palpitations,
01:30et ça va amener à un retard diagnostique.
01:32On est venu aujourd'hui ici avec un groupe de mamans
01:35et le centre social de la Castellane,
01:37justement pour voir un peu tout ce qui était maladie de la femme.
01:40Donc là, c'est vrai qu'il y a un aperçu,
01:42plutôt c'est global, on nous montre tout, vraiment tout ce qui est médical,
01:46et même les particularités, il y a des choses qu'on ne connaît pas,
01:49qu'on nous a prises grâce au bus.
01:55AXA Prévention est un partenaire privilégié
01:57grâce à leur travail scientifique et l'étude ELAB
02:01qui a récemment été publiée,
02:03qui montre que 80% des femmes interrogées
02:06s'occupent en priorité de leur famille avant de s'occuper d'elles,
02:10et 70% des femmes estiment ne pas avoir besoin de s'occuper d'elles.
02:14Nous allons pouvoir distribuer 1000 tensiomètres
02:17à ces femmes qui bénéficient du dépistage
02:19pour qu'elles puissent s'occuper d'eux-mêmes.
02:21J'ai pris la tension, le vaccin de cœur,
02:24j'ai pris le diabète, le colesterol,
02:27et j'ai passé chez un psychologue,
02:30c'est un psychiatre,
02:32après un gynécologue aussi.
02:33Même j'ai trouvé que j'avais la tension,
02:37mais je ne savais pas.
02:38En France, chaque jour,
02:40on a des gens qui viennent,
02:41qui viennent de l'Asie,
02:43qui viennent de l'Afrique,
02:44qui viennent de l'Asie,
02:45qui viennent de l'Asie,
02:46qui viennent de l'Afrique,
02:47qui viennent de l'Afrique,
02:48qui viennent de l'Afrique,
02:49qui viennent de l'Afrique,
02:50En France, chaque jour,
02:52200 femmes meurent d'un problème cardiovasculaire,
02:56mais que dans 8 cas sur 10,
02:57cela peut être évité par notamment
02:59des méthodes de prévention.
03:01De façon aussi erronée,
03:04on pense que la femme est protégée
03:06des maladies cardiovasculaires,
03:07alors qu'au contraire,
03:09elle peut aussi avoir ce genre de problème
03:11qui est sous-estimé.
03:21Nous avons organisé avec la ville de Marseille
03:23une prise de rendez-vous pour 200 personnes
03:26pendant 3 jours consécutifs,
03:28mais bien sûr,
03:29nous n'allons pas exclure des personnes
03:31qui se présenteraient
03:32et qui n'ont pas rendez-vous,
03:33donc nous avons organisé ce stand
03:35d'épistage complémentaire
03:37pour des personnes qui viendraient
03:38et qui n'ont pas rendez-vous dans le bus.

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