Nommé par le décret du Président de la République à la tête de la Région de l’Extrême-Nord en juin 2014 peu avant le déclenchement et la montée en gravité soudaine de la crise BOKO HARAM, c’est peu de dire à quel point MIDJIYAWA BAKARI, gouverneur de la région de l'Extrême-Nord a fini par incarner au-delà de l’imaginable, l’ordinaire de cet endroit du Cameroun connu pour l’âpreté de ses conditions de vie.
Tête de gondole administrative pour les millions de personnes qui vivent ici, et dont une partie des conditions d’existence est rendue âpre par un accès permanemment difficile aux biens les plus élémentaires, ce qui situe depuis toujours la région en tête du sinistre classement des régions les plus pauvres du pays. 75% de proportion au sein de la population globale, végétant en-dessous du minimum le plus acceptable pour une vie digne. Ce qui se traduit ici dans toutes ces zones rurales abandonnées de tous, où des occasions comme celles portant aux protestations contre ce parc naturel deviennent l’évident exutoire pour faire parler des frustrations accumulées de longues dates.
Tête de gondole administrative pour les millions de personnes qui vivent ici, et dont une partie des conditions d’existence est rendue âpre par un accès permanemment difficile aux biens les plus élémentaires, ce qui situe depuis toujours la région en tête du sinistre classement des régions les plus pauvres du pays. 75% de proportion au sein de la population globale, végétant en-dessous du minimum le plus acceptable pour une vie digne. Ce qui se traduit ici dans toutes ces zones rurales abandonnées de tous, où des occasions comme celles portant aux protestations contre ce parc naturel deviennent l’évident exutoire pour faire parler des frustrations accumulées de longues dates.
Catégorie
🗞
News