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Avec Vanessa

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##LES_AUDITEURS_ONT_LA_PAROLE-2025-02-13##

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Transcription
00:00— Le Grand Matin Sud Radio, 7h09, Jean-Jacques Bourdin. — Il est 7h56. Vanessa est avec nous. Bonjour, Vanessa.
00:08— Bonjour, Jean-Jacques. — Comment allez-vous, ma chère Vanessa, ce matin ? — Très bien, très bien. J'espère que le soleil va pointer,
00:14parce que ça glisse par ici. — Ah bah... Et vous êtes où, rappelez-nous déjà, Vanessa ? Vous êtes dans le... — Dans le Gers.
00:19— Voilà, dans le Gers. Vous savez, si vous étiez à Paris, comme nous, le soleil, je sais même pas s'il existe encore, franchement,
00:27parce qu'on le voit plus depuis... De temps en temps, il y a une journée de soleil. Ça dure une journée. Et le soleil disparaît pendant 8 jours.
00:35Et on le voit plus. Non mais c'est... — Mais là, c'est trop d'eau. C'est trop d'eau pour nous. On peut plus travailler les terres.
00:40C'est compliqué. — Il y a trop d'eau, là. Ah bah oui. — Et nous, on a des piscines partout. On peut même les creuser.
00:47Il y en a partout. — Il n'y a plus que dans la région perpignanaise, où il manque encore un peu d'eau, vraiment dans l'extrême...
00:54— Oui, oui, dans le Languedoc, côté Perpignan, côté Aude, et un peu côté Hérault. Dites-moi, Vanessa, vous n'êtes pas d'accord avec moi.
01:02Tout à l'heure, j'étais en colère. Et je suis pas le seul. Éric Revelle aussi. Et puis même Jean-François Aquilide, on vient de parler du sujet.
01:10Et comme moi, je trouve que cette intrusion d'Élise Lucet à l'Assemblée nationale me paraît pas tout à fait logique, normale.
01:19— Et qu'en pensez-vous, Vanessa ? — Moi, je stime que quand même, ces gens-là font des lois, nous punissent pour certaines choses.
01:27Et il n'y a pas de raison qu'eux soient au-dessus des lois. Ils doivent être comme nous, c'est-à-dire ils doivent montrer l'exemple.
01:37Le problème, c'est que c'est déjà arrivé, malheureusement, qu'on surprenne... Voilà. Et malheureusement, ils sont comme tout le monde.
01:47Il en existe partout. On ne peut pas le faire à tout le temps. — Oui, mais est-ce que la télé, c'est la police ?
01:52— Alors que ce soit la télé, je suis d'accord que c'est pas... Enfin je suis pas pour que ce soit forcément médiatisé. Attention.
02:00— Oui, je comprends. — Certes, ça doit rester assez discret. On n'est pas obligés de... — Ouais, ça, je suis d'accord.
02:07C'est là-dessus, d'ailleurs, qu'on conteste. — C'est pareil. On aime bien que ça reste discret, quoi. Mais que ce soit fait, je suis d'accord.
02:15— C'est là-dessus que nous n'étions pas d'accord, sur la manière dont c'est fait. Parce que moi, je veux bien... Enfin si j'imagine tout à coup
02:25qu'il y ait une intrusion dans les locaux d'une chaîne de radio, de télévision pour aller contrôler les journalistes pour savoir
02:32s'ils ont fumé, s'ils ont pris de la coque, s'ils ont bu ou etc., etc., vous imaginez les cris d'orfraie ? Ça, j'imagine.
02:39— Voilà. On se croirait en Amérique où tout est médiatisé. Voilà. Faut faire du buzz. — Exactement. C'est pour faire du buzz.
02:48Ne cherchez pas. C'est pour faire du buzz. — Voilà. Et puis moi, de toute façon, c'est vrai que la seule information que j'ai, c'est vous.
02:57Parce que je ne regarde pas la télé. Parce que voilà, à la télé, c'est du buzz, c'est du buzz, c'est du buzz. Ça m'insupporte.
03:04— Eh bien nous sommes deux, ma chère Vanessa. Nous sommes deux. Essayons de dire les choses, les faits. Les faits et rien que les faits.
03:14— Tout à fait. Après que ça reste du télé. — Après, chacun interprète, analyse. — Voilà. Mais on n'est pas obligés que ce soit fait.
03:25C'est très très bien. Attention. Comme ça, personne n'est au-dessus des lois. Mais on n'est pas obligés de jeter les gens en pâture tout le temps.
03:33— Voilà. C'est une malice. — Voilà. Ils s'assument. Voilà. Ils seront déjà assez, je veux dire, honteux d'être pris sur le fait, je pense.
03:44— Oui. — Voilà. Et voilà. On passe à autre chose. Au suivant. S'il faut qu'il y en ait un autre à la place, il y en a un autre à la place. Et puis c'est tout.
03:53— Merci Vanessa. — Merci beaucoup, Jean-Jacques. Bonne journée. — Et dites-moi. Bonne journée, les pieds dans l'eau. Mais bon, ce que vous voulez faire...
04:01— J'espère que les pieds dans l'eau et pouvoir travailler tranquillement. Après, ça va. Dès que ça va. — Bonne journée, Vanessa.
04:07— Merci à vous aussi. Au revoir. — Merci. Au revoir. Il est 8 h. Vous êtes sur Sud Radio.

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