• il y a 5 heures
Avec Pierre Chaillot, statisticien

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##LE_FACE_A_FACE-2025-02-03##

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Transcription
00:00face à face.
00:02Et aujourd'hui André Bercoff, vous recevez donc Pierre Chaillot,
00:05statisticien, c'est pas facile à dire, auteur de « Victimes des vaccins Covid-19 »,
00:09ce que révèlent les chiffres officiels aux éditions L'Artilleur.
00:12Oui, c'est pas facile à dire et c'est pas facile à compter en plus les statistiques.
00:15Pierre Chaillot, bonjour.
00:17Bonjour André Bercoff, merci de me recevoir.
00:19Écoutez, on est ravi de vous recevoir, d'ailleurs on vous avait reçu déjà
00:23pour votre précédent livre,
00:26qui est un livre qui a fait d'ailleurs beaucoup, beaucoup de bruit déjà.
00:30Et là, vous sortez aux éditions de L'Artilleur,
00:33« Victimes des vaccins Covid-19 », ce que révèlent les chiffres officiels.
00:37Alors, je voudrais revenir là-dessus parce que vous prenez vraiment des précautions,
00:41d'ailleurs tout à fait louables, scientifiques, et vous dites voilà.
00:45Et je voudrais qu'on revienne parce que maintenant ça va faire quoi ?
00:48C'est plus de 5 ans.
00:50Le premier confinement, c'était en mars 2020, si je ne me trompe,
00:56et puis il y a eu tout ce qu'il y a eu.
00:58Nous sommes en février 2025, 5 ans.
01:01Alors 5 ans, effectivement, on peut faire un sacré bilan de tout ce qui s'est passé,
01:05tout ce qui se passe encore.
01:07Et vraiment, on lit ce livre et on se dit, mais il y a des choses quand même,
01:13vous posez des questions, vous montrez par les chiffres, vous avez étudié ça,
01:17vous avez étudié en statisticien, et pas en tant que modélisateur.
01:23Alors, qu'est-ce qu'on peut dire aujourd'hui, notamment,
01:27et on va effuser d'inventorier tout ce que vous racontez dans ce livre passionnant,
01:33au fond, on se rappelle, tous vaccinés, tous protégés.
01:40Et puis attention, la protection est là, la transmission est là,
01:44la protection, tout va bien, la protection est absolument là,
01:48la transmission est là.
01:49Et puis, on s'est aperçu de tout ce qui s'est aperçu.
01:51Et je voudrais juste que vous rappelez votre méthode.
01:53Comment vous avez commencé à travailler entre les décès,
01:57l'inclination, la comptabilité, et comment, parce que c'est l'autre face,
02:02mais elle est liée à l'envers du décor,
02:05comment on a essayé soit de truquer, soit d'enfumer, soit d'invisibiliser ?
02:11Pierre Chaillot.
02:12Alors, j'ai commencé mes travaux en tant que statisticien,
02:16en m'intéressant à cette crise et en suivant de près l'évolution des décès.
02:20En France, depuis 2020.
02:22Pourquoi ? Parce que les décès sont quelque chose qui, statistiquement,
02:26est assez fiable.
02:27Un décès, c'est une personne qui va être enregistrée à l'état civil,
02:30ça fait l'objet d'une déclaration.
02:32Et donc ça, on sait les compter, on en est sûr.
02:35C'est probablement pas parfait, il y a peut-être quelques trous dans la raquette,
02:38mais si on veut faire des statistiques,
02:40on n'a pas besoin que ce soit à l'unité près,
02:42c'est suffisamment fiable pour pouvoir en parler.
02:45Donc moi, j'ai démarré là-dessus.
02:47À partir de quand vous avez commencé à démarrer ?
02:51En février 2020.
02:53D'accord, donc il y a cinq ans tout de suite.
02:56Voilà, il y a cinq ans tout de suite,
02:58parce que dès février 2020, rappelez-vous André Bercoff,
03:02l'ensemble des médias ne parlaient que de ce nouveau virus tueur
03:06qui allait ravager l'humanité,
03:08qui avait démarré à faire des ravages en Chine.
03:10Et quand on était en février 2020,
03:12les médias annonçaient que c'était l'hécatombe en Chine
03:15parce qu'il y avait 1500 morts en un mois.
03:181500 morts en un mois sur un pays de 1,5 milliard d'habitants,
03:22sachant que nous, en France, on a 2500 morts tous les jours.
03:26J'ai commencé par faire des statistiques de démographie
03:30juste pour rappeler que si on avait 1500 morts en un mois en Chine,
03:34ça voulait dire qu'il ne se passait rien, absolument rien de visible
03:38en termes statistiques.
03:40Et juste, je pense que ce qui manque au public,
03:43ce sont les ordres de grandeur.
03:45Et on a poursuivi dans cette espèce de délire
03:48après le confinement de façon injuste.
03:50– Mais quand vous dites, pardon Pierre Chaillot,
03:52pour être très bien clair, quand on disait 1500 morts en Chine,
03:55c'était 1500 morts répertoriés Covid ou pas du tout ?
03:59– Oui, répertoriés Covid, mais comme il doit décéder
04:02quelque chose comme 80 000 personnes tous les jours en Chine,
04:06répertorier des gens comme Covid au milieu de cette masse de 80 000,
04:10tous les jours, ce n'est pas difficile.
04:13– Bien sûr.
04:14– Voilà, donc en termes d'ordre de grandeur,
04:16si on veut dire qu'il se passe quelque chose de grave,
04:18il faut annoncer un chiffre qui est inhabituel
04:20par rapport à ce qu'on voit d'habitude.
04:22– C'est ça.
04:23– Et de la même manière, lorsque on a M. Salomon,
04:26qui était DGS, qui racontait tous les jours à la télévision,
04:29aujourd'hui 300 morts du Covid,
04:31mais qu'est-ce que c'est quand on a 2500 morts dans la journée ?
04:34C'est 300 morts de quoi ? De plus ?
04:36Donc c'était des chiffres qui n'avaient rien à voir.
04:39Si on avait un tant soit peu d'ordre de grandeur en tête,
04:42à aucun moment on ne pouvait avoir peur.
04:44Et c'était vraiment, c'est là que vous avez parlé d'enfumage,
04:47c'est là où, en tordant et en donnant aux gens
04:50une espèce d'histoire racontée sur la base de chiffres,
04:53on parvient à raconter n'importe quoi.
04:55– Oui, c'est ça, et c'est terrible parce qu'on dit toujours
04:58les chiffres, eux, ne mentent pas.
05:00Sauf que ça dépend comment on considère les chiffres,
05:03comment on les envisage.
05:04Parce qu'on dit toujours, oui mais attendez, il y a des chiffres,
05:06on entend ça du matin au soir dans les médias ailleurs.
05:09Oui mais quels chiffres et comment vous les comptabilisez ?
05:12C'est ça le problème.
05:13– C'est exactement ça le problème et mon premier travail,
05:16ça a été de comptabiliser notamment les décès qu'il y a eu
05:19sur toute l'année 2020, combien de gens sont décédés,
05:22à quelle période sont décédés, à quel âge,
05:24pour constater que le résultat était extrêmement loin
05:27de la psychose qui a voulu être entretenue et qu'au final,
05:30sur l'année 2020, il y a un peu plus de morts
05:32que les années précédentes, qui sont des années
05:34de très faible mortalité.
05:36Et que les périodes où décèdent les gens, ça ne peut pas correspondre
05:39à un nouveau virus tueur qui ravagerait l'humanité
05:42et qu'il serait quand même temps de se poser des questions
05:44des effets néfastes qu'ont eu certaines des mesures publiques
05:48qui ont été mises en place, notamment les confinements stricts,
05:50l'abandon des soins, le recours du palliatif
05:53en lieu et place des médicaments habituels, etc.
05:56C'est de là que je suis parti,
05:58donc je parle des données qui sont les plus fiables possibles
06:01comme une donnée d'essai avant de commencer à réfléchir à la suite.
06:04Alors vous êtes parti de là, justement,
06:07et vous avez constaté tout de suite,
06:09enfin très vite en tout cas, en travaillant là-dessus,
06:12sur des espèces de dysfonctions, on peut le dire,
06:15entre par exemple, vous en parlez longuement dans votre livre,
06:19comment, quel y vivait-on, et ça c'était un des chapitres
06:22qui m'a vraiment frappé,
06:24ils étaient tous à un moment donné morts du Covid.
06:27Quoi qu'il soit, ils arrivaient avec telle ou telle maladie,
06:32avec telle ou telle carence,
06:36et quand ils partaient, ils étaient tous morts du Covid.
06:40C'est bien ça ?
06:42Oui, il y a eu différentes phases.
06:44En mars-avril 2020, au tout début quand il y avait le confinement,
06:48là il n'y a pas de généralisation de ce qui a été appelé les tests,
06:51qui est une deuxième phase.
06:53Vous savez André Berkhoff, les malades c'est un flux.
06:59On est dans un grand pays de 67 millions d'habitants,
07:02et donc il faut considérer que tous les jours,
07:04il y a un très grand nombre de personnes,
07:06des milliers de personnes qui tombent malades,
07:08et tous les jours il y a des personnes qui consultent des médecins,
07:11tous les jours il y a des personnes qui vont à l'hôpital.
07:14Déjà quand on brise ce flux de gens que l'on soigne
07:17en disant n'allez pas chez le médecin, n'allez à l'hôpital,
07:20ça a un impact sur la survie des gens notamment,
07:23quelle que soit la maladie.
07:25Restez chez vous et prenez du Doliprane,
07:27et n'appelez que quand vous êtes non pas en dernière extrémité,
07:30mais quand ça va très mal.
07:32Et quand tout ce flux de malades qui arrivent à l'hôpital,
07:36on se dit que ce sont des symptômes qui peuvent être du Covid,
07:40parce qu'il tousse, il a mal au crâne, il a de la fièvre,
07:43il a des osées de la diarrhée, enfin n'importe quoi,
07:45et tout ça c'est Covid, ça va faire un énorme flux de malades
07:48qui va étiqueter Covid, et c'est ce qui arrive à partir de mars 2020.
07:52Donc il n'y a pas de spécificité à cette maladie-là,
07:56et donc tout le monde peut être un malade Covid.
07:59Et il y a une deuxième phase post-panique,
08:02après cette période-là, qui va être la phase des tests
08:05en population générale, où tout le monde va se tester
08:07tout le temps pour un oui ou pour un non,
08:09et on va avoir en permanence un grand nombre de gens
08:12qui va se retrouver étiqueter Covid,
08:14qu'il aille chez le médecin, à l'hôpital,
08:16ou même pour n'importe quoi, et on va avoir un déferlement
08:19des fameuses asymptomatiques Covid,
08:21puisque tout bien portant est un malade qui s'ignore,
08:23et il suffisait d'avoir un test positif pour être Covid.
08:26Donc on a eu les cancers Covid, les jambes cassées Covid,
08:29le pendu de Marseille Covid, on a eu toute une palanquée
08:32de choses différentes.
08:34Et cette deuxième phase-là, elle a été extrêmement importante
08:36dans le narratif, et a permis de confondre
08:39ce qu'est un vrai malade d'un simple résultat de test.
08:43– D'où les salles maudites à la télévision tous les soirs,
08:47où on donnait le nombre de morts,
08:49on a tous vu ça, ça a duré quelques mois, etc.
08:53Et au fond, c'est-à-dire qu'en fait, tout se passe comme si,
08:59Pierre Chahuy, corrigez-moi si je me trompe,
09:01on a dit voilà, il y a une pandémie,
09:03et au fond, il y a une extraordinaire montée de la mortalité,
09:09mais elle n'est pas celle qu'on pensait.
09:12– Oui, tout à fait, alors ça c'est, bon déjà,
09:15comme je l'ai dit, toute la mortalité qui a été estampillée Covid,
09:18même s'il n'y avait pas forcément plus de morts que d'habitude,
09:21mais sur la base d'un test ou d'un soupçon, c'était Covid.
09:24Bon, au demeurant aussi, il y avait certains intérêts financiers
09:27pour les médecins à déclarer du Covid,
09:29puis il y avait des protocoles spécifiques,
09:31même pour la mise en bière Covid, donc tout était Covid.
09:34– Oui, pardon, vous dites qu'il y avait un certain intérêt financier
09:38pour les médecins à déclarer le Covid, lesquels si on veut être précis ?
09:42– Par exemple, en termes de consultation,
09:44il était plus intéressant d'avoir en consultation
09:46quelqu'un pour Covid que pour autre chose.
09:48Et à l'hôpital, on avait aussi, l'hôpital fonctionne par remboursement,
09:53et à posteriori, l'hôpital est remboursé avec la tarification à l'acte,
09:59et la tarification à l'acte d'un cas Covid rapporte beaucoup plus à l'hôpital
10:04que n'importe quelle autre maladie respiratoire, par exemple.
10:07– Mais qui a décidé ça ?
10:09Non mais c'est vraiment intéressant,
10:11parce que c'est aussi une des dimensions essentielles du problème,
10:14le conflit d'intérêts, vous en avez parlé d'ailleurs, vous en parlez.
10:17Qui a décidé, qui décide que la tarification Covid
10:20doit être nettement supérieure aux autres ?
10:22Ou qui a décidé ça ?
10:24– Il y a deux aspects, déjà, pour pouvoir tarifer,
10:27il faut d'abord qu'il soit mis en place un code d'enregistrement Covid.
10:32Et ça fait partie des nombreuses interrogations
10:34qui font que cette histoire de Covid-19 mérite d'être regardée un peu à la loupe.
10:39Quand vous rentrez dans un hôpital,
10:42le praticien va vous mettre un ensemble de symptômes,
10:45qui va ensuite, cet ensemble de symptômes,
10:47ça passe dans un algorithme et ça vous attribue un code.
10:50Ce code, il fait partie de la codification internationale des maladies,
10:53ce qu'on appelle la SIMDIS,
10:55et ce sont tous les noms de maladies qui sont reconnus de manière internationale.
10:59Cette SIMDIS, c'est l'OMS qui la pilote.
11:02– D'accord.
11:03– C'est l'OMS qui la pilote, et il se trouve que l'OMS
11:05va mettre un nouveau code d'urgence Covid-19 dès le 31 mars 2020.
11:10C'est-à-dire que, alors qu'il ne se passe absolument rien dans le monde,
11:14l'OMS décide qu'il y aura forcément une pandémie
11:17et qu'il est grand temps de mettre un code d'urgence au sein du codex.
11:20– Organisation mondiale de la santé, 31 mars 2020, c'est ça ?
11:24– Exactement.
11:25Ce qui fait qu'à partir de cette date,
11:27tous les hôpitaux du monde seront bien gentils
11:29de bien vouloir commencer à enregistrer des malades du Covid.
11:32Bon, et ça va commencer avec l'histoire du premier malade en France
11:36et surtout à partir du confinement
11:38où les hôpitaux vont se mettre à enregistrer du Covid partout.
11:41– D'accord.
11:42– Encore une fois, sur la base de soupçons qui sont dus au fait
11:45que des personnes ont des symptômes, mais vraiment des symptômes parfaitement banals,
11:49mais qui sont tous enregistrés comme étant des signes du Covid.
11:53Et donc, c'est là que cette codification démarre.
11:56Et ce code-là, ensuite, il va être affilié à un niveau de remboursement.
12:00Donc, dès qu'il y a le code, il faut décider du niveau de remboursement.
12:03Et le niveau de remboursement qui va être affecté à Covid-19,
12:08à ce code d'urgence, c'est celui des infections respiratoires.
12:12Et ce remboursement, il est supérieur aux autres remboursements
12:15de grippe, de tuberculose, de bronchopnéopathie chronique, etc.
12:19Ce qui fait que, bizarrement, dès qu'on commence à enregistrer du Covid-19,
12:23toutes les autres pathologies s'effondrent dans les statistiques.
12:26Voilà, le Covid arrive, il a chassé les grippes, les tuberculoses,
12:29les bronchopnéopathies chroniques, on a dit aussi les pleurésies.
12:33Tout ça, ça n'existe plus. Il n'y a plus que du Covid-19.
12:36Mais il se trouve que c'est le code largement le plus intéressant
12:39pour le remboursement de l'hôpital.
12:41Bon, c'était évidemment une incitation.
12:43Ça n'a même pas été suffisant, André Bercoff,
12:45parce qu'il y a tellement de personnes qui ont été à l'hôpital en 2020,
12:48à cause des confinements, malgré la pandémie qui a ravagé l'humanité.
12:51Il y a tellement de personnes à l'hôpital qu'il y a dû y avoir
12:54des mesures exceptionnelles pour garantir une rémunération minimale des hôpitaux.
12:58Tellement personne n'y allait.
13:00Personne n'y allait, d'accord.
13:02À la fois, on a tout mis en place de façon incitée,
13:04mais au bout, malgré le ramarré des patients Covid,
13:07prétendument qu'on attendait, qui n'est jamais venu,
13:10il a fallu mettre une loi spécifique pour donner un peu d'argent aux hôpitaux
13:14pour ne pas qu'ils ferment.
13:16C'est très intéressant parce qu'en poursuivant cela,
13:21il y a eu cette, vous en avez parlé aussi,
13:26la panique de modélisateurs,
13:29enfin la panique créée et entretenue,
13:32et en tout cas répandue par la santé publique,
13:35répandue par les médias,
13:38le plus important,
13:40certains faits récents,
13:42et puis, depuis,
13:45et,
13:47ça a été, alors,
13:50et vous le dites dans votre livre encore une fois,
13:52ce qui est intéressant,
13:55à posterier en regardant tout cela,
13:57c'est quand même l'acceptation de tout le monde,
14:00et quand je dis tout le monde,
14:02que ce soit les politiques, les médecins,
14:05les médias, etc.,
14:07voilà, c'est une pandémie qui va tuer des dizaines de millions de personnes,
14:10si vous ne faites pas telle ou telle chose,
14:12le narratif qui a été établi,
14:14eh bien, ça va être terrible,
14:16il va y avoir des millions de cercueils
14:18qui vont envahir les rues des capitales du monde,
14:20ou des villes.
14:22Oui, ça, ça marche extrêmement bien
14:25auprès des politiques et des médias,
14:27c'est-à-dire,
14:29jamais ils ne voudront être tenus responsables
14:31de n'avoir pas agi.
14:33Et donc, c'est la force de Ferguson
14:35qui l'a fait un nombre de fois incalculable,
14:37j'en parle dans le premier livre,
14:39sur l'ensemble des pandémies causant la fin du monde
14:41qu'il a prévues jusqu'ici,
14:43c'est toujours la prochaine qui va marcher,
14:45mais ça a été un grand nombre de fois,
14:47et cette fois-ci, on a bien vu les gouvernements
14:49se mettre au diapason derrière l'OMS
14:51pour dire, voilà, il faut faire ce que nous dit l'OMS
14:53de façon à se prémunir
14:55qu'on nous fasse des reproches.
14:57C'est d'ailleurs des dossiers
14:59qui sont en train de sortir
15:01par des journalistes du monde,
15:03qui expliquent comment le gouvernement
15:05a mis en place un arsenal législatif
15:07dès le début et est intervenu
15:09de façon à sortir les parapluies le plus tôt possible,
15:11mais je pense qu'il faut envisager
15:13que les gouvernements fonctionnent comme ça.
15:15On a des politiques dont le premier réflexe,
15:17c'est de toute façon de sortir les parapluies.
15:19Quand on a un prêcheur de l'apocalypse
15:21qui arrive et qui dit
15:23tout le monde va mourir,
15:25sauf si vous obéissez à ce que je dis,
15:27on sort les parapluies, on obéit.
15:29Si on veut être précis, André Bercoff,
15:31il faut rappeler que Ferguson avait dit
15:33de toute façon, il y aura des centaines
15:35de millions de morts, quoi que vous fassiez,
15:37et peut-être qu'on sauvera un bout de l'humanité
15:39si vous obéissez.
15:41Et dans les faits, il ne s'est rien passé du tout.
15:43Même sa promesse d'apocalypse
15:45quoi qu'on fasse,
15:47personne n'en a vu le jour.
15:49C'est clair, et heureusement.
15:51On se retrouve juste, Pierre Chaillot,
15:53après une petite pause, pour faire cet inventaire
15:55passionnant de ce qui s'est passé
15:57et de ce qui se passe encore, il faut le dire.
15:59Sud Radio Bercoff
16:01dans tous ses états.
16:03Le face-à-face.
16:05Victime des vaccins Covid-19,
16:07ce que révèlent les chiffres officiels,
16:09Pierre Chaillot, statisticien.
16:11Justement, je voudrais
16:13qu'on aborde, vous l'aviez déjà abordé,
16:15mais vous le
16:17perfectionnez,
16:19vous allez plus loin encore,
16:21dans ce livre,
16:23Pierre Chaillot, je voudrais qu'on parle
16:25de cette, ça a été quand même
16:27le moment le plus fort, et qu'on dit
16:29la corrélation ou non-corrélation
16:31entre décès et vaccins.
16:33Il y a eu tout, et le contraire de tout
16:35qui a été dit là-dessus,
16:37parce qu'il faut se rappeler, c'était ça,
16:39c'était que vous ne suivez pas le narratif
16:41dominant, et bien vous allez mourir,
16:43en tout cas, vous allez, on se rappelle
16:45un certain nombre de clips vidéo
16:47où vous allez empoisonner
16:49vos proches, votre famille, etc.
16:51On a vu ça,
16:53on a vu les clips à la télévision,
16:55on a vu les discours, etc.
16:57Donc protégez-vous,
16:59et protégez-vous comme on vous dit, vous protégez.
17:01Et vous, donc, vous êtes entrés dans le
17:03vif du sujet, en faisant votre travail,
17:05votre job de statisticien,
17:07en faisant
17:09l'énumération des vaccins,
17:11des pics, des montées,
17:13des descentes,
17:15et effectivement
17:17de ce qui s'est passé.
17:19Je voudrais que vous nous disiez un peu plus là-dessus.
17:21Oui, alors, vous avez
17:23raison de rappeler sur le fait
17:25que les gouvernements, même très tard,
17:27ont dit que la vaccination est surefficace,
17:29il n'y a aucun problème. Le dernier en date, c'est Aurélien
17:31Rousseau, je crois, qui en octobre 2023
17:33a dit qu'il n'y a aucun effet secondaire des vaccins.
17:35Alors qu'évidemment, c'est
17:37un sujet qui est parfaitement connu,
17:39même du côté de la presse
17:41mainstream, on commence à dire qu'il y a quand même eu
17:43des effets indésirables, même parfois graves,
17:45de la vaccination. Bon,
17:47mais on a eu ce mantra-là.
17:49Ce n'est pas la seule chose qui a été annoncée
17:51sur les vaccins. Vous l'avez dit,
17:53si jamais vous ne vaccinez pas, vous allez
17:55transmettre le virus tueur
17:57à votre voisin, et grâce
17:59au vaccin, vous ne le ferez pas. Et ça,
18:01c'est très intéressant à regarder, puisque
18:03jamais les laboratoires pharmaceutiques
18:05n'ont promis une telle chose.
18:07Et donc, même
18:09sur ce qui est, oui, mais
18:11bon, ça ne marche pas très bien, mais ça protège des formes
18:13graves, c'est pareil, les laboratoires pharmaceutiques
18:15n'ont pas fait cette promesse.
18:17Vous lisez les études de phase 3 de
18:19Pfizer-Moderna, la seule chose
18:21qu'ils disent, c'est grâce à nos vaccins
18:23où il y aura moins de tests positifs.
18:25Point. C'est la seule promesse
18:27réalisée par les laboratoires
18:29pharmaceutiques. Tout le reste
18:31est donc de l'affabulation
18:33où on a des gens, des
18:35politiques, des scientifiques,
18:37je vais mettre des guillemets, des
18:39VRP, enfin voilà, tout le monde se transforme
18:41en VRP de la vaccination, à
18:43inventer des propriétés
18:45qui n'existent pas. Voilà, on avait
18:47l'impression de recevoir un peu comme on reçoit,
18:49vous savez, dans sa boîte aux lettres, des petits messages
18:51du vaudou du quartier qui vous prévient
18:53que ça permet de réparer sa voiture et de
18:55retrouver l'être aimé. On en était là
18:57avec ces fameux vaccins. Donc, oui,
18:59il y a eu vraiment des
19:01promesses que, voilà,
19:03certaines personnes ont faites
19:05sur la base de rien. Et donc, à
19:07Froid, en tant que statisticien, ce que j'ai fait,
19:09c'est que j'ai voulu vérifier
19:11que ces vaccins
19:13n'avaient pas d'impact ou quels étaient
19:15les impacts qu'ils pouvaient avoir sur la mortalité
19:17en général. Et donc, pour
19:19ce faire, j'ai téléchargé, récupéré
19:21toutes les données des décès
19:23qui sont disponibles de tous les pays européens
19:25de toutes les semaines par tranche
19:27d'âge et j'ai comparé
19:29ces données de décès hebdomadaires par tranche
19:31d'âge par pays à la même chose
19:33que j'obtenais sur le nombre de doses
19:35de vaccins distribués dans la population.
19:37Et donc, ça me fait
19:39une vingtaine de pays européens
19:41qui ont chacun 4 ou 5 tranches d'âge
19:43où je compare l'évolution des décès
19:45plutôt des taux de mortalité
19:47à l'évolution
19:49de la vaccination. Et je remarque
19:51pas tout de suite, parce qu'il faut que le temps
19:53que les données remontent, mais je remarque
19:55au bout d'un certain temps que,
19:57bien, après chaque campagne de vaccination,
19:59c'est-à-dire, voilà,
20:01dans tel pays, on lance une campagne
20:03de vaccination pour telle tranche d'âge,
20:05et bien souvent, on a fait des époques différentes
20:07pour les tranches d'âge. Bien voilà, je vaccine
20:09une population de cette tranche d'âge-là
20:11à cette période-là, et bien juste derrière,
20:13j'ai une hausse de la mortalité.
20:15J'ai pas une baisse, j'ai une hausse.
20:17– Et une hausse sensible ?
20:19– Une hausse suffisamment sensible pour être détectable.
20:21J'ai vraiment un pic de décès
20:23et je fais l'exercice,
20:25je me pose la question,
20:27est-ce que ce pic de décès
20:29suite à la vaccination, ça peut être dû au hasard ?
20:31Donc là, je fais un calcul,
20:33je me dis, voilà, imaginons
20:35que, voilà, des pics de décès, ça existe,
20:37et que le hasard
20:39ferait peut-être que j'observe
20:41de temps en temps un pic de décès
20:43suite à la vaccination, et je me rends compte
20:45que ça marche beaucoup trop souvent
20:47pour être dû au hasard. Donc voilà,
20:49cet exercice-là, je le montre dans le livre,
20:51il y a un lien entre
20:53les pics de décès et les pics de vaccination,
20:55ce lien ne peut pas
20:57être dû au hasard.
20:59Et il y a un chercheur belge
21:01qui s'appelle Patrick Meyer,
21:03qui travaille à l'université de Liège,
21:05qui fait un exercice similaire,
21:07mais pas tout à fait le même,
21:09où il prend les données de décès,
21:11disponibles sur un site qui s'appelle Romomo,
21:13les données de vaccination, et lui,
21:15il utilise une méthode de machine learning,
21:17ce qui correspond, si vous voulez,
21:19à donner à la machine les données
21:21et lui dire, dis-moi ce que ça raconte,
21:23pour simplifier.
21:25Et la machine lui dit immédiatement,
21:27plus on vaccine les gens,
21:29et plus ils meurent. Ce qui fait que
21:31Patrick Meyer va écrire un préprint
21:33pour dire, voilà ce que je trouve,
21:35et il va le soumettre à relecture,
21:37mais directement, il le met en ligne
21:39en disant, en ma qualité de chercheur,
21:41j'ai fait le travail, et je me dois
21:43de prévenir au maximum
21:45qu'il peut y avoir un problème,
21:47et qu'il serait temps d'avoir un moratoire extrêmement rapide,
21:49puisque les données sont
21:51trop alarmantes pour attendre
21:53une validation. Donc je veux
21:55alerter. Évidemment, il a subi
21:57une campagne de
21:59dénigrement extrêmement forte
22:01pour le faire taire, et ça n'a pas été le seul,
22:03d'ailleurs, mais voilà. On a pu travailler
22:05ensemble, je l'ai contacté, et il a rédigé
22:07un préprint avec nos deux
22:09méthodes, puisqu'elles sont séparées, c'est pas
22:11la même chose, mais elles donnent les mêmes conclusions,
22:13et on a réussi à se faire relire
22:15et publier dans le cadre d'un colloque
22:17international de bioinformatique et de
22:19statistique, pour dire
22:21relisez-nous, vérifiez
22:23nos calculs, les données sont publiques,
22:25elles sont justes, et
22:27quand on vaccine,
22:29il y a des morts.
22:31Et que ce n'est pas le fait du hasard,
22:33vous avez vu ça à travers
22:35des pays européens,
22:37pas tous, mais
22:39beaucoup de pays européens, vous avez vu que ce n'est pas le fait
22:41du hasard. Et aussi, vous reparlez
22:43de quelque chose dont nous avons déjà parlé,
22:45mais c'est très intéressant,
22:47c'est qu'au fond,
22:49vous parlez de cette
22:51période des trois semaines,
22:53c'est-à-dire comment un certain nombre
22:55d'organismes ont calculé
22:57effectivement le fait
22:59de la mort
23:01due au Covid,
23:03et entre
23:05vaccinés et non-vaccinés. Mais auparavant,
23:07juste une question personnelle,
23:09Pierre Chaillot, parce qu'évidemment, vous avez été...
23:11Est-ce que vous êtes anti-vax?
23:13Est-ce que vous êtes par principe anti-vax?
23:15Vous, personnellement.
23:17Je suis par principe, on va dire,
23:19anti-connerie, donc c'est-à-dire que
23:21avant de me décider si je suis
23:23pour ou contre quelque chose,
23:25je préfère vérifier. Donc je ne peux
23:27pas dire que je suis par principe
23:29anti-vax. En revanche,
23:31si pour des vaccinations
23:33et même pas forcément que la Covid-19,
23:35on n'arrive pas à m'apporter
23:37de preuves que c'est sûr et efficace,
23:39dans ces cas-là, je ne vais pas clamer sur tous les toits.
23:41Donc si ça, ça fait moins anti-vax, c'est possible.
23:43Mais c'est quelque chose que j'applique à la totalité
23:45du monde qui m'entoure.
23:47Si on me promet mon zémerveille
23:49de quelque chose, je préfère d'abord
23:51vérifier qu'on a bien des preuves qui vont avec.
23:53Alors en vérifiant,
23:55et d'ailleurs vous le dites vous-même,
23:57vous n'êtes pas anti-vax par principe,
23:59mais là vous parlez surtout des vaccins, des Covid-19.
24:01Dûs au Covid-19 spécifiquement,
24:03l'ARN messager et autres.
24:05Alors je reviens effectivement
24:07à ce délai
24:09et à la manière. C'est ça qui est le plus important.
24:11La manière dont tout ça a été calculé.
24:15Oui, alors avec les résultats
24:17que nous avons trouvés avec Patrick Maillère,
24:19on a montré qu'à chaque fois
24:21qu'on a une campagne de vaccination,
24:23on a une hausse de la mortalité, de manière mécanique.
24:25Aussi,
24:27on vient de se poser la question,
24:29comment toutes les études
24:31promues par les gouvernements,
24:33les médias ou des agences de vaccination
24:35ou les laboratoires pharmaceutiques
24:37parviennent à rédiger des choses
24:39et la conclusion c'est
24:41la vaccination est sûre et efficace.
24:43Comment est-ce qu'on peut affirmer quelque chose
24:45comme ça avec des données,
24:47sachant que les données montrent que la mortalité
24:49augmente après la vaccination ?
24:51Et c'est là qu'intervient ce que vous avez dit,
24:53c'est-à-dire le décalage des courbes.
24:55Ou pour rédiger des études pareilles,
24:57les scientifiques,
24:59il faut mettre des guillemets, disent
25:01les laboratoires pharmaceutiques disent
25:03que la vaccination est efficace seulement
25:05au bout de trois semaines,
25:07je prends la courbe des vaccins,
25:09mais les vaccins,
25:11je vais les décaler trois semaines plus tard
25:13parce qu'il faut compter qu'à partir de là.
25:15Avant, on n'est pas vacciné.
25:17Vous voulez dire que les effets des vaccins
25:19n'agissent qu'au bout de trois semaines, disent-ils.
25:21Voilà, c'est ça.
25:23Et donc, si on a des vaccins
25:25par exemple qui entraînent une mortalité
25:27juste dans la semaine qui suit la vaccination,
25:29on ne va pas le croire.
25:31On ne compte pas, ce n'est pas compté.
25:33Puisqu'on a décalé la date des vaccins
25:35et même dans leur modèle,
25:37ils vont voir ce pic de mortalité,
25:39mais qui dans leur modèle a lieu avant la vaccination.
25:41Donc ils disent, c'est fabuleux,
25:43notre vaccination a fait baisser la mortalité
25:45puisque le pic de mortalité de la vaccination
25:47il est avant.
25:49Et donc c'est grâce à ce stratamégème
25:51qu'on a des études qui font croire
25:53qu'on a une efficacité vaccinale.
25:55C'est vraiment en décalant les courbes,
25:57ils font tout un tas d'autres choses d'ailleurs
25:59parce que ce n'est même pas suffisant,
26:01mais ils commencent par là
26:03On va dire, c'est presque tellement
26:05c'est enfantin et tellement c'est grossier
26:07que ça devrait prêter un sourire
26:09si seulement ça n'entraînait pas autant de malheurs.
26:11Et oui, parce que c'est ça,
26:13c'est tout le problème.
26:15On va continuer à en parler après cette toute petite pause.
26:17Pierre Chaillot, c'est vrai,
26:19c'est quand même, il faut voir la dose,
26:21ce narratif,
26:23et ce n'est pas uniquement dans ce domaine,
26:25mais dans le domaine du Covid-19,
26:27ce narratif a été tellement gros,
26:29a été tellement peu contesté
26:31qu'effectivement, il faut prendre le temps
26:33d'expliquer tout cela.
26:35A tout de suite.
26:37Sud Radio Bercov, dans tous ses états,
26:39le face-à-face.
26:41Grand, grand,
26:43grand face-à-face avec Pierre Chaillot,
26:45victime des vaccins Covid-19.
26:47Vraiment,
26:49nous avons tous besoin,
26:51nous avons tous été inquiets,
26:53nous avons tous été angoissés, et à juste titre,
26:55et nous avons besoin non pas d'être rassurés,
26:57mais d'être lucides,
26:59et de savoir ce qui se passe vraiment.
27:01Il ne s'agit pas de prendre parti,
27:03ce n'est pas noir et blanc, c'est compliqué,
27:05mais il y a beaucoup de choses qui se passent,
27:07et Pierre Chaillot en parle
27:09très bien, il y a les conflits d'intérêts,
27:11il y a la politique,
27:13il y a le management par la peur,
27:15il y a le gouvernement par le chaos, il y a tout cela,
27:17mais il y a aussi des maladies, des morts,
27:19il y a des vaccins qui font très bien leur boulot,
27:21et d'autres à qui on peut se poser des questions.
27:23Et c'est le moins que l'on puisse dire.
27:25Alors, justement,
27:27Pierre Chaillot en parlait de ça,
27:29et vous dites à un moment donné, vous dites, écoutez,
27:31les pics, vous dites dans votre livre,
27:33les pics de décès de vaccins sont
27:35synchrones bien trop souvent
27:37pour que cela soit dû au hasard,
27:39les pics de décès au sein d'un même pays
27:41divergent selon les tranches d'âge,
27:43et effectivement, on va en parler de ces tranches d'âge,
27:45mais je voudrais revenir à vous donner
27:47des chiffres très intéressants,
27:49parce que vous dites ceci,
27:51vous dites,
27:53en France, près de 10 millions de doses
27:55de vaccins antigrippaux sont distribuées
27:57chaque année. En 2021,
27:59on observe donc 100 fois
28:01plus d'effets indésirables et 100 fois
28:03plus de décès pour seulement
28:055 fois plus de doses, parce que
28:07vous parlez après, donc je dis,
28:09en France, près de 2 millions de doses de vaccins
28:11antigrippaux. En 2021,
28:13en France, 45 millions
28:15de doses de vaccins Covid ont été
28:17distribuées chez les plus de 60 ans, soit
28:195 fois plus que de vaccins antigrippaux.
28:21En Europe,
28:23100 000 effets indésirables sont remontés
28:25concernant ces vaccins, plus de 5000 décès.
28:27Et donc, je répète, parce qu'il faut
28:29bien être précis, en 2021,
28:31on observe donc 100 fois
28:33plus d'effets indésirables
28:35et 100 fois plus de décès
28:37pour seulement 5 fois plus de doses,
28:39entre les doses, donc,
28:41de vaccins antigrippaux et
28:43les doses de vaccins Covid.
28:45C'est un signal colossal.
28:47Dites-vous.
28:48Oui, c'est ça, c'est la référence
28:50que l'on peut prendre.
28:53Là, on est en train de commenter
28:55les effets indésirables qui sont remontés
28:57à la pharmacovigilance européenne,
28:59c'est-à-dire les gens qui sont pleins
29:01d'avoir eu des effets indésirables,
29:03ou des personnels soignants
29:05qui ont notifié
29:07qu'ils avaient des patients qui avaient
29:09des effets indésirables. Et il y a une notification
29:11qui est écrite et qui remonte à la pharmacovigilance
29:13européenne. Tous les vaccins,
29:15sans exception,
29:17ont des effets indésirables,
29:19parfois graves, et qui remontent
29:22et certains remontent à la pharmacovigilance.
29:24Mais pour les vaccins
29:26Covid, on a eu
29:28un déferlement de déclarations.
29:30Et quand je dis déferlement,
29:32c'est de cet ordre-là, c'est-à-dire qu'on a
29:34vacciné à peu près 5 fois
29:36plus les gens avec les vaccins anti-Covid
29:38qu'avec les vaccins antigrippaux,
29:40mais on a eu 100 fois plus de déclarations.
29:42Et vous le dites, Pierre Chaillot,
29:44je vous cite là,
29:46au mois de mai 2024,
29:48donc il y a 6 mois, un peu plus de 6 mois,
29:51on y trouve,
29:53je parle aussi d'un vrai porte,
29:55les données de pharmacovigilance européenne,
29:57on trouve
29:59plus de 2,3 millions
30:01de déclarations d'effets indésirables
30:03concernant les vaccins Covid-19.
30:052,3 millions
30:07de déclarations d'effets indésirables.
30:09C'est quand même beaucoup.
30:11Oui, et je note à l'intérieur
30:13qu'à l'époque, on devait pouvoir
30:15consulter quelque chose comme
30:1730 000 décès à la suite
30:19d'une vaccination, ce qui est colossal
30:21en Europe. Et il faut appeler
30:23que
30:25la pharmacovigilance
30:27est très incomplète. Déjà, il y a
30:29très peu de monde qui sait qu'à la suite
30:31d'un effet indésirable, après n'importe quel
30:33médicament d'ailleurs, on peut faire
30:35une déclaration sur Internet
30:37et on devrait le faire.
30:39C'est ouvert à tout le monde,
30:41dès que vous avez quelque chose et que vous estimez que
30:43à temps, à raison, vous avez eu un effet
30:45indésirable, vous pouvez le signaler
30:47par pharmacovigilance, c'est ça ?
30:49Oui, et sans vous-même
30:51présumer de la causalité,
30:53mais faites une déclaration
30:55et mieux, votre médecin traitant
30:57est obligé de le faire.
30:59Après n'importe quel médicament ou vaccin
31:01où vous êtes mal,
31:03vous signalez à votre médecin traitant,
31:05il doit faire une déclaration.
31:07Les très nombreux témoignages que j'ai sont que
31:09les médecins ne le font pas, mais ils sont
31:11obligés de le faire. Et ce n'est pas
31:13eux jugés de la cause.
31:15Ils doivent faire une déclaration
31:17et cette déclaration peut lancer un signal.
31:19C'est obligatoire pour le médecin ?
31:21Oui, il faut le faire.
31:23Imaginons qu'il y a
31:25un effet indésirable inconnu
31:27d'un certain médicament, c'est le fait
31:29qu'il y ait plusieurs remontées
31:31de pharmacovigilance,
31:33d'effets indésirables tous identiques,
31:35qui va derrière appuyer les
31:37instances de pharmacovigilance, c'est-à-dire
31:39il commence à y avoir un signal, c'est du fort possible
31:41que tel médicament cause tel truc.
31:43Si les médecins ne le font pas
31:45parce qu'ils disent que cet effet-là n'est pas
31:47connu pour ce médicament, on ne le saura jamais
31:49puisque ça ne va jamais remonter.
31:51Donc il y a vraiment une incompréhension qui est
31:53faite, il y a une non-participation
31:55des instances de soins
31:57à la pharmacovigilance qui est dramatique.
31:59C'est tellement connu que même
32:01les industriels du médicament
32:03disent que
32:05quand il y a des effets indésirables
32:07qui remontent, ils sont parfaitement
32:09conscients que c'est extrêmement rare et que personne ne le
32:11fait et selon eux, selon
32:13les industriels du médicament,
32:15pour connaître le vrai nombre d'effets
32:17indésirables, on prend le nombre de ceux
32:19déclarés et on fait x10.
32:21C'est ce que font les industriels
32:23du médicament. Les spécialistes
32:25qui ne sont pas affiliés à l'industrie
32:27du médicament disent qu'il faut plutôt
32:29faire x20 voire x100.
32:31Moi dans mon livre, je fais
32:33juste le x10 de façon à être
32:35le plus raisonnable possible,
32:37minimiser les choses,
32:39c'est-à-dire juste si on fait le x10,
32:41rendez-vous compte,
32:43ça fait qu'en Europe, ça fait à peu près
32:45300 000 décès depuis le début de la vaccination.
32:47C'est à la fois énorme
32:49et à la fois 300 000 décès
32:51sur toute l'Europe, c'est pas forcément
32:53quelque chose qui va se voir
32:55significativement au niveau des chiffres,
32:57surtout si on ne veut pas trop chercher.
32:59On a 600 000 morts par an.
33:01On est 400 millions d'européens,
33:03bien sûr,
33:05mais c'est
33:07quelque chose d'ailleurs de tout à fait étonnant
33:09la manière dont on utilise les chiffres
33:11et les statistiques
33:13pour corroborer
33:15son narratif. Nous avons
33:17Richard de Toulouse. Bonjour Richard.
33:19Oui, bonjour à vous.
33:21Bonjour Richard. Vous êtes ingénieur,
33:23vous nous appelez de Toulouse.
33:25Oui, moi-même, j'ai essayé de faire des statistiques
33:27pour voir un peu l'évolution de la mortalité
33:29qui est en fait aussi,
33:31on est dans une période particulière où on a les baby-movers
33:33qui font monter
33:35naturellement le taux de mortalité.
33:37Mais outre ça,
33:39j'ai une question, peut-être que
33:41vous aurez la réponse.
33:43Comment on peut expliquer les 16% de mortalité
33:45en plus des jeunes femmes
33:47de 14 à 35 ans
33:49ou de 15 ans
33:51à 34 ans en 2022 ?
33:53Ça fait plus 16%
33:55ce qui est quand même...
33:57Plus 16% vous dites, de jeunes femmes en 2022 ?
33:59C'est ce qu'on trouvait sur l'INSEE.
34:01Et il n'y a pas d'explication
34:03à part le fait que la personne
34:05qui a écrit un petit article dessus, un commentaire,
34:07il essaie de dire que ce n'est pas le vaccin
34:09mais en fait, quand on vous lise entre les lignes,
34:11on croit qu'il dit l'inverse.
34:13Pierre Chaillot,
34:15vous avez eu vent de cette...
34:17Je suppose que vous parlez
34:19du bilan démographique
34:21de l'année 2022
34:23et en effet, dans ce bilan démographique,
34:25l'Institut fait état
34:27d'une augmentation de la mortalité
34:29chez les jeunes, chez les jeunes femmes
34:31et chez les jeunes en particulier.
34:33Et ce papier, il est intéressant puisqu'il dit
34:35pour les années précédentes,
34:37on dit que les morts qu'il y a en trop,
34:39c'est forcément le Covid-19
34:41et regardez, on voit des chiffres qui correspondent
34:43et pour 2022,
34:45il n'y a plus de morts du Covid-19,
34:47pourtant il y a tout autant de morts qu'avant.
34:49Donc là, de quoi sont-ils morts ?
34:51On ne sait pas, certainement pas du vaccin évidemment,
34:53mais on ne sait pas.
34:55Et donc, il y a deux remarques générales.
34:57La première, c'est que si à partir 2022,
34:59il n'y a plus de morts et qu'on ne compte plus du Covid,
35:01ça veut juste dire qu'il n'y a aucun rapport
35:03entre les morts Covid et la hausse de mortalité
35:05et on voit l'incohérence à partir de 2022
35:07puisque comme on arrête de tester les gens,
35:09on arrête d'attribuer du Covid
35:11à tout et à n'importe qui.
35:13Donc ça remet en question toutes les conclusions
35:15qu'il y avait eues sur 2020 et 2021
35:17et deuxième chose, en effet,
35:19si on a trop de morts, notamment chez les jeunes en 2022,
35:21il serait temps de se poser la question de pourquoi.
35:23Et j'ai répondu aussi dans le livre
35:25que si on fait l'exercice,
35:27on se rend compte qu'il y a une hausse de mortalité
35:29chez les jeunes qui commence à se voir
35:31dès le deuxième trimestre 2021.
35:33Que s'est-il passé à l'été 2021 ?
35:35La vaccination de masse
35:37des jeunes.
35:39Et donc, il serait peut-être temps
35:41de creuser un peu la question,
35:43d'arrêter d'éviter ce sujet qui fâche
35:45et de remarquer qu'en effet,
35:47on a des belles corrélations
35:49entre les périodes de vaccination
35:51et de hausse de mortalité.
35:53C'est factuel, il faut juste
35:55on va dire, de vouloir se mettre
35:57des œillères d'une certaine manière,
35:59prendre les chiffres à froid et accepter de faire un bilan
36:01qui sera peut-être un peu dérangeant.
36:03Alors justement, Pierre Chaillot,
36:05vous en parlez beaucoup,
36:07tout le problème, c'est intéressant,
36:09tourne autour de la causalité.
36:11Parce qu'on vous dit, et vous le dites vous-même
36:13dès le départ,
36:15il y a une phrase dans votre livre,
36:17vous dites,
36:19voilà,
36:21vous dites d'ailleurs
36:23dans votre premier livre,
36:25nous avons démontré
36:27que la totalité des décès surnuméraires
36:29que la France a connu en 2020
36:31peut être attribuée aux mesures gouvernementales
36:33et non pas à un quelconque virus,
36:35mais vous dites aussi,
36:37le problème, soyons clairs,
36:39c'est extrêmement difficile,
36:41et vous le dites, je ne sais pas si j'ai la phrase exacte,
36:43mais je vais essayer de voir,
36:45est-ce que le problème,
36:47c'est la causalité,
36:49et vous dites vous-même à un moment donné,
36:51il y a 100% la causalité.
36:53Est-ce que ce n'est pas là où le bas blesse,
36:55où on vous dira toujours, oui d'accord,
36:57très bien, il y a effectivement des corrélations,
36:59il y a effectivement des chiffres qui parlent,
37:01il y a effectivement tout ce que vous dites,
37:03oui, mais la causalité, on ne peut pas la prouver.
37:05Et est-ce que ce n'est pas là
37:07où le bas blesse et où il y a toujours
37:09une espèce d'interrogation dont chacun,
37:11en fonction de ses intérêts ou de ses convictions,
37:13interprète comme il a envie de l'interpréter ?
37:15Vous venez
37:17d'expliquer la totale impunité
37:19de l'industrie pharmaceutique
37:21vis-à-vis de ses propres produits,
37:23c'est-à-dire que, d'ailleurs,
37:25j'explique au début du livre
37:27les protections légales qui existent
37:29envers l'industrie pharmaceutique.
37:31Quand vous achetez une machine à laver, André Vercoff,
37:33et qu'elle ne fonctionne pas,
37:35vous pouvez vous retourner vers votre vendeur.
37:37C'est le droit du consommateur,
37:39et éventuellement votre vendeur peut se retourner
37:41contre le fabricant.
37:43Il y a même aujourd'hui des garanties fabricants,
37:45si elle ne fonctionne pas,
37:47c'est le régime général
37:49de la protection du consommateur.
37:51Mais il y a une petite ligne supplémentaire
37:53qui a été rajoutée exprès pour l'industrie pharmaceutique,
37:55qui est que,
37:57si jamais vous avez un problème avec un médicament,
37:59vous devez prouver,
38:01en tant que victime
38:03ou en tant que témoin de la victime,
38:05que c'est bien le médicament
38:07qui a créé l'effet indésirable.
38:09Vous êtes même obligé de prouver
38:11que ce médicament est réputé créer
38:13cet effet indésirable.
38:15C'est à vous d'apporter,
38:17vous victime ou vous témoin,
38:19d'apporter la charge de la preuve.
38:21Tout à fait, de dépenser des centaines
38:23de milliers d'euros pour mettre en place
38:25une étude avec Coor dans un laboratoire pharmaceutique,
38:27ça n'a aucun sens.
38:29En effet, la loi a été faite
38:31pour protéger l'industrie. C'est même écrit
38:33dans la loi que c'est fait pour protéger
38:35les intérêts financiers de l'industrie
38:37de façon à garantir son progrès.
38:39C'est écrit dedans.
38:41Il y a vraiment une protection légale
38:43qui fait que c'est extrêmement dur.
38:45Aujourd'hui, il y a
38:47certains moyens de faire connaître
38:49des choses. Il faut trouver
38:51un expert qui va étudier
38:53votre dossier et qui va être capable
38:55d'en mettre son nom en tant qu'expert
38:57et d'attester que oui,
38:59il ne voit pas d'autres explications
39:01que le vaccin dans le cas du Covid-19
39:03qui peut expliquer
39:05par exemple le décès d'un jeune en bonne santé
39:07de 24 ans.
39:09Il faut trouver un expert qui se mouille.
39:11Evidemment, André Bercoff, la durée
39:13de vie dans l'industrie pharmaceutique
39:15et sa carrière de ce brave expert
39:17est relativement limitée.
39:19Il y a un certain nombre de freins
39:21qui empêchent la bonne reconnaissance
39:23de ces effets indésirables, surtout
39:25dans le fonctionnement actuel.
39:27C'est un vrai problème.
39:29Dernière petite pause.
39:31Nous allons continuer
39:33pour voir effectivement ce qu'il faut faire.
39:35Où sont les trous dans la raquette
39:37où l'on peut effectivement
39:39pour un certain nombre de gens
39:41et Dieu sait s'il y en a eu
39:43comment on peut corriger
39:45ces effets
39:47sans tomber
39:49dans l'opacité du noir et blanc.
39:53Le face-à-face
39:55Eh oui, d'un côté
39:57on dit investir comporte le risque
39:59de perdre son capital.
40:01Là on dit effectivement le vaccin.
40:03Alors qu'est-ce qu'il en est
40:05à la fin de votre livre ?
40:07Vous dites ça parce que vous avez vu
40:09en ce moment, vous avez entendu, vous avez sûrement
40:11étudié Pierre Chaillot
40:13qu'on dit attention, il y a une nouvelle
40:15pandémie qui se prépare
40:17je ne sais pas, ce sera un nouveau COVID
40:19ou autre chose, en tout cas
40:21les bruits courent, les bruits courent
40:23et continuent de courir.
40:25Et vous dites ceci, vous dites
40:27cependant, même s'il est vital
40:29de faire prendre conscience à la population
40:31du danger de ces injections
40:33vous parliez effectivement
40:35des vaccins
40:37il semble déraisonnable de passer
40:39d'une panique à une autre en voulant lancer
40:41de grands dépistages d'effets indésirables
40:43invisibles.
40:45Le malade asymptotique COVID est le même
40:47délire paranoïaque que le malade asymptotique
40:49vacciné. La vaccination
40:51anti-COVID était une roulette russe
40:53vous ajoutez avec un
40:55baril énorme, ne l'oublions pas
40:57et pour les très nombreuses personnes qui ont
40:59passé l'épreuve sans dégâts
41:01le meilleur conseil à leur donner est tout
41:03simplement arrêter de jouer.
41:05Effectivement, parce qu'il faut
41:07le dire aussi, on en avait parlé
41:09il y a des milliards de personnes qui ont pris
41:11des vaccins et il n'y a pas
41:13et heureusement, et merci, des milliards
41:15de morts, c'est le moins que l'on puisse dire
41:17et loin, loin, loin s'en faut.
41:19En revanche, vous dites arrêter de jouer.
41:21Alors, qu'est-ce qui se passe si demain
41:23Pierre Chaillot
41:25il y a une
41:27nouvelle, enfin, ce qu'on a appelé
41:29une pandémie, en tout cas une nouvelle alerte
41:31qu'est-ce qu'il faut être très vigilant
41:33c'est regarder, enquêter
41:35vraiment, renseignez-vous
41:37avant d'aller vers quoi que ce soit
41:39et qu'est-ce que vous dites à la fois
41:41aux patients, à nous tous
41:43aux médecins, au gouvernement
41:45etc. C'est quoi ?
41:47Un devoir de prudence, un devoir de
41:49non pas un principe de précaution
41:51mais qu'est-ce qu'on leur dit, qu'est-ce qu'on lui dit ?
41:53On dit de ne pas céder
41:55à la panique et d'arrêter
41:57de croire les prêcheurs
41:59de l'apocalypse qui l'annoncent tous les
42:01matins sans jamais qu'elle arrive.
42:03Vous avez parlé de Ferguson, il y en a d'autres
42:05dont qui sont...
42:07C'est d'ailleurs, André Bercoff, rappelez-vous
42:09de H1N1 qui était sur le même
42:11principe, on peut dire
42:13l'escroquerie H1N1
42:15puisque c'est ce qu'on en aduit du rapport du
42:17Sénat français qui a été rédigé
42:19et qui est riche d'instructions et d'informations
42:21où à l'intérieur
42:23il nous explique que les grands
42:25experts des pandémies
42:27ne se posaient déjà à l'époque plus
42:29la question de savoir si la pandémie mortelle
42:31allait arriver mais uniquement
42:33quand elle est arrivée. C'est-à-dire que
42:35l'ensemble de ces experts
42:37sont en permanence
42:39dans l'attente de pouvoir enfin
42:41annoncer la grande pandémie de leur vie.
42:43C'est d'ailleurs ce que raconte Antoine Flau
42:45dans son livre du Covid-19 que
42:47enfin ça y est c'est arrivé. Non ce n'est pas
42:49arrivé mais ils vont recommencer
42:51puisqu'en fait tout ce qu'ils font c'est qu'ils
42:53l'attendent. Et même il y a des...
42:55Lorsque les grands dirigeants se
42:57réunissent dans des sommets, par exemple
42:59au World Economic Forum,
43:01ils sont en permanence en train de se raconter
43:03l'histoire de la pandémie qui va ravager
43:05l'humanité et comment entre eux
43:07et en prenant les bonnes décisions entre
43:09eux, ils vont réussir à nous sauver,
43:11nous, d'ailleurs
43:13de la pandémie qui est due à nos mauvais comportements.
43:15Nous sommes trop proches les uns des autres
43:17et ce sont toujours nos mauvais comportements
43:19qui font courir le risque au monde
43:21et voilà, ils sauvent le monde
43:23en nous empêchant de faire des bêtises.
43:25De vivre, oui, presque.
43:27Et donc voilà, il faut
43:29prendre conscience du
43:31niveau de panique autogénérée
43:33de la croyance, parce que c'est vraiment...
43:35Ce n'est pas de la science, ce sont des croyances de ces gens-là
43:37et qu'il est grand temps de redescendre
43:39les pieds sur terre, de faire des
43:41bilans à froid de ce qui s'est passé et
43:43d'éviter de retomber dans les
43:45mêmes psychoses trop vite. Oui, c'est
43:47tout le problème effectivement de la
43:49psychose et de la redondance et
43:51je dois dire que, juste un mot,
43:53est-ce que vous seriez
43:55heureux de la nomination de Robert Kennedy
43:57Junior au ministère de la Santé
43:59américain ?
44:01Écoutez, au moins, c'est d'ailleurs un des gros
44:03avantages de ce qui se passe aux Etats-Unis,
44:05c'est qu'il y a un changement politique.
44:07Qui dit changement politique dit que les nouveaux
44:09vont au moins profiter de la situation
44:11pour taper sur les anciens et donc
44:13ressortir quelques bilans, ce qui
44:15nous permettra de faire de la lumière sur quelques
44:17aspects. Et Robert
44:19Kennedy a fait plusieurs promesses
44:21de vérifier la sécurité
44:23et l'efficacité des vaccins, pas que des
44:25vaccins Covid d'ailleurs, c'est quand même le
44:27minimum en science, il faut
44:29dire. Donc ça peut être
44:31un bon aspect et puis
44:33un bon aspect pour nous, en français,
44:35nous rendre compte qu'à l'extérieur de nos murs,
44:37nous qui n'avons pas de changement politique,
44:39il existe des personnes qui se posent
44:41des questions. Et le principal
44:43objectif de mon livre, c'est quand même de
44:45mettre en lumière les victimes des
44:47vaccins Covid-19, de façon
44:49à ce que le public se rende compte
44:51que ça existe pour de vrai,
44:53qu'il faut les croire, qu'il faut les soutenir,
44:55de façon à en tirer des leçons.
44:57Je précise d'ailleurs que tous mes droits d'auteur
44:59iront une fois de plus à des associations
45:01justement ici qui s'occupent des
45:03victimes des vaccins et notamment
45:05Verity France et le Revav
45:07pour n'en citer que deux.
45:09Et vous l'avez fait pour votre
45:11premier livre. Merci Pierre Chaillot
45:13et lisez, lisez, victimes des vaccins
45:15Covid, ça vient de paraître aussi sur l'artilleur.
45:17Ouvrez-le, il vous ouvrira.

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