Débat Attal-Bardella : la nouvelle génération de politiques est-elle crédible ?

  • il y a 4 mois
Les Vraies Voix avec Philippe Bilger, Françoise Degois et Sébastien Ménard

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##LE_COUP_DE_PROJECTEUR_DES_VRAIES_VOIX-2024-05-23##

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Transcript
00:00 Les vraies voix Sud Radio, le code projecteur des vraies voix.
00:05 Ce que vous proposez comme d'habitude c'est de la poudre de perlimpinpin.
00:09 Monsieur Bardella je ne vous ai pas coupé, écoutez je ne sais pas qui vous a élevé,
00:12 moi j'étais bien élevé, on laisse finir les phrases quand quelqu'un a commencé.
00:16 On est en 2024, vous êtes communiste l'excellent, vous êtes communiste l'excellent,
00:21 en 2024, vous agirez peut-être de grandir un peu.
00:24 C'est pas Gérard Majac ce soir Madame Le Pen.
00:28 Ils ont entre 35 et 28 ans, ils ont entre 35 et 28 ans.
00:32 Le Premier ministre Gabriel Attal va débattre ce soir avec le président du RN,
00:36 Jordane Bardella, émission aux allures de débat d'entre deux tours d'une présidentielle.
00:40 Les autres listes se sentent lésées par cette confrontation
00:43 qui met en scène un duel alternatif à l'affiche Macron-Le Pen 2017 et 2022.
00:49 Alors parlons vrai, est-ce que Attal et Bardella représentent la nouvelle génération politique ?
00:54 Est-ce qu'ils sont en train de ringardiser Emmanuel Macron et Marine Le Pen ?
00:58 Les imaginez-vous tient face à face en 2027 et à cette question.
01:02 Débat Attal-Bardella, la nouvelle génération de politique est-elle crédible ?
01:05 Vous dites désormais non à 78% au lieu de 79%.
01:10 Ça n'a pas beaucoup bougé mais ça a quand même bougé.
01:13 Philippe Bilger, d'abord qui va regarder ce duel ?
01:17 Moi bien sûr, avec Bastien.
01:19 Avec intérêt évidemment.
01:21 Avec intérêt. Aude et notre réalisateur, est-ce que vous allez regarder ?
01:25 Oui peut-être, on me dit oui, on me dit non.
01:27 Et Philippe vous allez regarder ?
01:29 Je vais essayer, oui.
01:30 C'est intéressant, on a envie de savoir si vous allez regarder ce débat.
01:33 Philippe Bilger, cette question de cette ultra jeunesse,
01:36 parce que forcément vis-à-vis de la classe politique, ils sont très très jeunes.
01:40 Est-ce que c'est crédible ou pas ?
01:42 Alors tout dépend de ce qu'on appelle crédible.
01:45 Je trouve que sans risquer l'ironie de Françoise,
01:49 je considère que les deux sont évidemment des personnalités jeunes,
01:56 dans un registre un peu différent, mais toutes deux talentueuses.
02:01 Mais par rapport à le passé,
02:06 et même pas par rapport à Emmanuel Macron, Marine Le Pen,
02:11 qui eux-mêmes me semblaient très inférieurs à certains politiques de grande classe d'avant.
02:18 Je pense à Valéry Giscard d'Estaing ou à François Mitterrand.
02:22 Ce qui me paraît les faire se ressembler,
02:28 c'est le fait que, qu'on les aime ou pas,
02:32 ils sont évidemment très superficiels l'un et l'autre.
02:36 Je veux dire par là que ça n'est pas d'eux qu'on aura une profondeur de la vision politique,
02:42 et que profondément l'un et l'autre, au fond,
02:46 vont devoir faire preuve d'une séduction qui ne sera pas liée à une culture générale,
02:52 qui ne sera pas liée à une intelligence exceptionnelle,
02:56 et qui courra le risque, à mon avis, d'être dérouté
03:02 si des questions imprévisibles leur sont posées.
03:06 Donc, du talent, pas de l'avenir immédiat,
03:10 et pas non plus de la médiocrité, mais rien à voir avec la qualité d'antan.
03:16 - Françoise Debois.
03:18 - Moi, je pense qu'ils sont le produit de leur génération,
03:20 et puis, même si ça m'écorche de le dire,
03:22 et pour Attal, et pour Gabriel Attal, et pour Jordan Bardella,
03:26 ce sont les deux phénomènes politiques en France.
03:28 Imaginez que Jordan Bardella a 28 ans.
03:30 Il a déjà mené une campagne victorieuse il y a 5 ans aux européennes,
03:34 et de quelle manière ?
03:36 Ce soir, dans notre Rolling, il est donné à 33%.
03:38 Moi, je ne m'arrête pas aux chiffres.
03:40 Je regarde les ventilations,
03:42 je regarde où Jordan Bardella se trouve, et à qui il plaît.
03:46 C'est délirant, il plaît à tout le monde, à partout.
03:48 Donc, bien sûr, on peut dire la vacuité, etc.,
03:51 mais j'aime dire à mes camarades socialistes, par exemple,
03:54 qu'attaquer Bardella sur sa vacuité, ça n'a pas allé très loin,
03:57 parce qu'il y a autre chose qui s'est installée entre Bardella,
03:59 et notamment la jeunesse, mais les catégories supérieures,
04:02 c'est complètement incroyable.
04:04 Ce que disait Frédéric Dhabi,
04:06 il n'y a plus de terrain incognitable pour lui.
04:08 Pire, vous avez vu, il n'est pas assez inaperçu,
04:10 mais le sondage Opinion Noé qui sortait dans l'Opinion,
04:12 est encore plus parlant.
04:14 59 ou 60% des électeurs de Marine Le Pen,
04:17 souhaitent que ce soit lui qui soit le prochain candidat en 2027.
04:20 Donc, pour moi, je l'ai toujours dit,
04:23 idem pour Gabriel Attal,
04:25 qui touche dans toutes les catégories,
04:27 donc, les vrais phénomènes, c'est eux,
04:29 et probablement même Bardella,
04:31 plus encore que Gabriel Attal,
04:33 parce que vous vous rendez compte qu'il a 7 ans de moins que Gabriel Attal.
04:35 C'est délirant.
04:37 Et dernier point, je fais partie des gens,
04:39 mais on n'est pas d'accord depuis des mois,
04:41 qui pensent qu'on a un saut générationnel en 2027.
04:43 Je pense que Mélenchon ne sera pas candidat,
04:45 pas plus que Marine Le Pen,
04:47 évidemment plus Emmanuel Macron.
04:49 On va avoir un changement d'affiche,
04:51 cyclique, comme la France aussi les aime,
04:53 contrairement à ce qu'on pense.
04:55 - Sébastien Ménard.
04:57 - Je souscris, mais totalement,
04:59 à ce que dit Françoise de Goua.
05:01 C'est-à-dire que, un,
05:03 ils sont la nouvelle génération, clairement.
05:05 Et ils sont,
05:07 et on va faire un saut,
05:09 on avait déjà fait un saut avec Emmanuel Macron en 2017,
05:11 puisqu'on a sacrifié quelque part
05:13 toute une génération de quincas,
05:15 les copés, les machins.
05:17 - Mais même avec Sarkozy en 2007,
05:19 on a oublié qu'on avait fait aussi un saut avec Sarkozy.
05:21 - Mais vous aviez encore un attelage,
05:23 vous aviez encore un attelage,
05:25 je dirais, de politique,
05:27 qui avait de l'expérience,
05:29 une histoire, etc.
05:31 Là, Macron, déjà, un, les quincas,
05:33 à la trappe. Là, ce qui est en train
05:35 de se passer avec
05:37 Attal et avec Bardella,
05:39 c'est l'équadra.
05:41 Ils ont 28 et 35 ans,
05:43 donc là, c'est l'équadra,
05:45 à la trappe aussi. La réalité, c'est qu'ils sont
05:47 la nouvelle génération, c'est qu'ils sont incontournables,
05:49 c'est qu'ils sont dans le débat.
05:51 Après, on peut dire, ça manque de densité,
05:53 de profondeur, d'épaisseur. - C'est vrai.
05:55 - Je vous comprends, mon cher Philippe Gérard.
05:57 - Mais ça fera des centaines de milliers de gens
05:59 qui vont regarder ce soir, comme on regarde le show.
06:01 - Et surtout, est-ce qu'ils sont
06:03 moins crédibles que d'autres ?
06:05 Je ne le crois pas du tout.
06:07 Quand on voit, je vais aller au bout,
06:09 Sécile, s'il vous plaît. - Allez-y, je vous en prie.
06:11 - Quand on voit le niveau
06:13 de la classe politique dans sa globalité,
06:15 mon cher Philippe Gérard,
06:17 que peut-on reprocher
06:19 à Gabriel Attal et à Jordan Bardella ?
06:21 Il y en a un qui a plus,
06:23 quelque part,
06:25 mes suffrages que l'autre, mais force est de constater
06:27 que l'un comme l'autre,
06:29 l'un comme l'autre, sont incontournables,
06:31 brillants, performatifs
06:33 dans le registre
06:35 et dans l'exercice qu'ils auraient imparti.
06:37 - Mais pourquoi j'ai dit ça ? Pardon de rebondir,
06:39 on a posé cette question avec Philippe David,
06:41 parce que forcément, ces équipes, et vous l'avez dit,
06:43 Sébastien Ménard, sont entourées
06:45 d'experts
06:47 qui ont à peu près leur âge, parce que c'est pareil
06:49 autour, vous sentez qu'il y a une nouvelle génération,
06:51 quand vous voyez aujourd'hui
06:53 l'âge des parlementaires, ils sont extrêmement jeunes.
06:55 Est-ce qu'on peut s'appuyer sur le discours
06:57 de quelqu'un qui parle d'un passé
06:59 qu'il n'a jamais connu, en fait ?
07:01 - Absolument ! Mais vous avez raison, je suis
07:03 moins enthousiaste, tout de même que Sébastien.
07:05 Brillants,
07:07 extraordinaires, non !
07:09 Ils sont profondément superficiels.
07:11 - Mais dans l'exercice politique,
07:13 ils sont vraiment de communication.
07:15 - Et d'autre part, tous les quincas
07:17 n'ont pas été balayés
07:19 par Sarko,
07:21 heureusement, il en reste.
07:23 - Je ne parle pas de Sarko, j'ai parlé...
07:25 - Mais vous disiez que les quincas ont été balayés.
07:27 - Par Emmanuel Macron en 2017, bien sûr que oui !
07:29 - Je voudrais dire que oui !
07:31 - Il y a toute une génération de quincas qui aspiraient
07:33 à la présidence de la République,
07:35 qui ont été nettoyées. Est-ce que vous imaginez
07:37 aujourd'hui Jean-François Copé candidat à la campagne ?
07:39 - Très bien ! - Absolument pas !
07:41 - En tout cas, parce que des gens
07:43 brillants et intelligents, il n'y en a pas beaucoup.
07:45 - D'abord,
07:47 Philippe et moi déjà,
07:49 ces jeunes loups
07:51 ne sont pas vraiment différents
07:53 dans le comportement,
07:55 et d'ailleurs il y a une ressemblance qui est quasiment
07:57 maléfique, j'ai envie de dire,
07:59 entre Bardelin et Chirac.
08:01 Quand vous regardez le jeune Bardelin,
08:03 et que vous regardez les photos du jeune Chirac,
08:05 il a l'histoire carrée, la taille,
08:07 on dirait Chirac.
08:09 Dans l'imaginaire collectif,
08:11 je pense que ça joue aussi le fait qu'il
08:13 ne fait pas peur, qu'il n'est pas considéré
08:15 comme un candidat d'extrême droite,
08:17 Jordan Bardelin. Et donc moi, je suis assez
08:19 frappé, le jeune Chirac était
08:21 aussi
08:23 faible
08:25 et aussi superficiel que ne l'est
08:27 Bardelin ou que le sont Gabriel Attal.
08:29 C'est aussi la vie
08:31 et l'expérience qui fait les hommes politiques.
08:33 Moi je vois aussi, pour bien travailler dans le milieu
08:35 politique, je vois bien à quel point,
08:37 quand vous parlez par exemple de la grotte
08:39 d'Ouvea, si vous voulez,
08:41 à la jeune génération, même les mecs qui ont
08:43 fait Sciences Po, vous avez un peu peur parce qu'ils savent même
08:45 pas de quoi on parle. Donc ça c'est ça le sujet.
08:47 Donc ça veut dire
08:49 qu'ils sont assez intelligents les uns et les autres.
08:51 - Les références sont compliquées. - Voilà.
08:53 Ruffin a beaucoup plus de culture par exemple, parce qu'en plus
08:55 il a une culture journaliste. Je pense qu'il sera
08:57 dans l'histoire.
08:59 Je pense qu'il aura probablement un ticket.
09:01 - Et de terrain. - Je reviens, Glucksmann
09:03 a de la culture, il a du fond, etc.
09:05 Bellamy a du fond aussi. Donc on peut pas
09:07 dire qu'on est dans un océan, si vous voulez,
09:09 de vacuité. Mais je pense que les reproches
09:11 qu'on fait à Bardelin ou à Attal aujourd'hui,
09:13 c'était les mêmes que Mitterrand faisait
09:15 à Chirac. Quand il voyait Chirac, il avait
09:17 l'impression de voir un mouet avant.
09:19 - Est-ce que vous avez vu, vous avez remarqué
09:21 quelque chose ? Vous avez remarqué quelque chose ?
09:23 - Il a compris que cet homme-là serait président. - Physiquement,
09:25 on a que de
09:27 beaux mecs. On a Glucksmann, qui est beau,
09:29 on a Gabriel Attal, on a...
09:31 - Et au vrai voix ? - Non mais c'est
09:33 important ce que je dis. On a l'impression
09:35 aussi qu'on trouvait...
09:37 - C'est très
09:39 juste, ma chère. C'est le même
09:41 si on ne partage pas
09:43 forcément votre conception de la séduction.
09:45 - Valérie Ayé est une jolie
09:47 femme. Il y a un truc
09:49 qui est en train de se transformer,
09:51 je trouve. C'est peut-être complètement
09:53 déguisé. - Non, mais là, Sarko avait un charisme
09:55 fou. Je pense que Ségolène était très belle en 2007.
09:57 Je pense que VGE était super canon
09:59 en 1974.
10:01 Chirac était canon. Mitterrand,
10:03 quand il était jeune, il avait une vraie allure.
10:05 Il était classe. Donc moi, je ne trouve
10:07 pas que la classe soit plus belle. Je ne vois pas du tout
10:09 une évolution. - Non mais je ne dis pas qu'elles sont plus belles.
10:11 Je dis que tous ceux qui émergent
10:13 aujourd'hui sont plutôt... Mais comme à l'époque.
10:15 - Là, vous avez
10:17 raison, Cécile. Je pense que
10:19 l'aptitude à la séduction
10:21 devient un critère politique.
10:23 - Il a toujours été.
10:25 - Oui, mais plus aujourd'hui.
10:27 Deuxième élément, François. Vous avez dit
10:29 très justement que Jordan
10:31 Barnella était apprécié dans toutes
10:33 les catégories. Au fond, ça
10:35 renvoie à ce que j'appelais "superficialité".
10:37 Pourquoi est-il apprécié
10:39 par beaucoup de catégories ?
10:41 C'est sur sa belle mine.
10:43 Et dans "Belle mine", je mets beaucoup de choses.
10:45 - Bien sûr.
10:47 - La grande différence avec Chirac,
10:49 c'est qu'il s'énerve parfois un peu
10:51 moins, sauf quand un jeune
10:53 des Fontaines le renvoie
10:55 finalement à sa ouest de la 17.
10:57 - Je ne suis pas tout à fait d'accord avec vous. Moi, je pense que pour la première
10:59 fois, Jordan Barnella est en train de donner
11:01 des signes de fébrilité et que, heureusement
11:03 pour lui, que la campagne se termine dans trois semaines.
11:05 Parce que je l'ai trouvé extrêmement
11:07 mauvais pour la première fois
11:09 lors du débat de LCI, avec des
11:11 vraies failles. Je ne sais pas si ses adversaires
11:13 ont compris qu'il fallait les exploiter.
11:15 Extrêmement arrogant,
11:17 une incroyable capacité à essayer de se situer
11:19 au-dessus de la mêlée, très agacé
11:21 plus que d'habitude sur les
11:23 questions de l'Ukraine. - C'est vrai. A plus vieux, il n'est pas
11:25 bon. - Ça n'est pas parce qu'il est fatigué, c'est que
11:27 je pense qu'en plus de ça, il porte le poids
11:29 du leader. Donc, c'est toujours très compliqué.
11:31 Mais il y a quelque chose de très fort.
11:33 Et puis, il faut savoir aussi que Barnella,
11:35 il joue aussi contre son propre camp. Il est détesté
11:37 au sein du Rassemblement National,
11:39 à part par sa petite équipe.
11:41 - Merci, merci,
11:43 merci beaucoup, en tout cas,
11:45 pour ces deux heures passées. - C'est pas mal, on s'est éclaté.
11:47 - Hyper intéressante avec vous. - C'est qui le plus beau ?
11:49 - C'est qui le plus beau ?
11:51 - C'est le... C'est mon mec.
11:53 - C'est Sidi Vijer !
11:55 - C'est indiscutable.
11:57 - C'est Sidi Vijer avec ses yeux de poupon !
11:59 - Là, on ne peut pas le nier.
12:01 - Enfin, ce sont mes mecs, parce qu'il faut dire,
12:03 il faut faire croire à cœur.
12:05 - J'en ai peur, faut durer.
12:07 - Quand on a un service 3/4, il faut l'utiliser, non ?
12:11 - Merci, François.
12:13 Merci, Sidi Vijer, merci, Sébastien Ménard.
12:15 - Merci à tous. - Vous restez avec nous,
12:17 dans un instant, on va vous parler mobilité, bien sûr.
12:19 Et le président du directoire d'Indigo
12:21 sera avec nous,
12:23 et la présidente d'ABBE Mobility, aussi.
12:25 Et on reviendra aussi sur le camping-caravaning.
12:27 C'est le moment pour acheter,
12:29 puisque vous allez partir en vacances.
12:31 on va tout vous dire. Allez à tout de suite !
12:33 [Musique]

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