• il y a 8 mois
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Tous les jours dans Culture Médias, Jean-Pierre Foucault dresse le portrait sonore de l'invité. Ce mardi, c’est au tour d'Agustín Galiana.
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Transcription
00:00 Agustin Galliana qui vient de présenter son album "Enamorado".
00:04 Avant de parler de votre album, on va dresser votre portrait.
00:06 Bonjour, on se connaît un peu ?
00:09 Oui, je suis très content d'être ici avec vous.
00:11 Merci beaucoup.
00:12 C'est la seule fois où j'ai animé "Danse avec les stars"
00:15 où il y avait une succession d'animateurs de TF1.
00:18 Et puis vous êtes venu dans le jury de Miss France.
00:19 Tout à fait. Et vous m'avez donné la chance de gagner.
00:22 Bien sûr.
00:23 De gagner Miss France.
00:25 Curieusement, tous les regards de toutes les Miss se portaient vers vous.
00:29 C'est étonnant.
00:31 Jean-Bien, est-ce que je peux me permettre de poser une question un peu intime à Agustin ?
00:35 Agustin, on sait que vous êtes espagnol, on sait que vous êtes fan de foot.
00:38 Ce soir, vous serez pour qui entre le PSG et le Barça ?
00:40 Tu ne me demandes pas ça.
00:41 Tu ne me demandes pas si j'aime plus maman ou papa.
00:44 Non, mais j'étais en train d'écouter Emilie, votre copine.
00:48 Et je me suis dit que j'allais cœur partagé ce soir.
00:51 Qu'est-ce que je vais faire ?
00:52 Oui, c'est compliqué.
00:53 L'avantage, c'est que dans les deux cas, vous serez content.
00:55 Voilà.
00:56 Et déçu en même temps.
00:58 C'est ça, ça va être la joie et la tristesse en même temps.
01:01 Et après demain, il y a OEM Benfica, donc là, vous serez bien entendu pour Olympique de Marseille.
01:06 Avant de parler de votre album, on va adresser à votre portrait sonore,
01:10 des petits sons pour mieux vous connaître.
01:13 Voici le premier.
01:14 Pas de temps.
01:23 "Casse-moi cette foule".
01:24 Oui, tout à fait.
01:25 Le ballet composé par Tchaïkovski.
01:27 En effet, vous avez d'abord été danseur.
01:30 Vous connaissez d'autant bien ce ballet que vous l'avez dansé avec la troupe du ballet classique de Valencia, sous la direction de Peter Klegg.
01:37 Tout à fait, mais je dansais presque derrière le rideau.
01:40 Parce qu'en fait, quand j'ai 18 ans, j'ai commencé à faire de la danse classique.
01:46 C'était trop tard pour moi.
01:47 C'est vrai que j'avais des atouts, j'avais une petite grâce, mais je faisais partie du corps du ballet.
01:52 Et je dansais là au fond, derrière tout le monde.
01:55 Mais c'est vrai que j'ai eu la chance de pouvoir participer à cette pièce qui a été jouée dans le théâtre principal de Valencia.
02:03 Et pour moi, ça a été une grande chance.
02:05 Même si après, j'ai eu la grande frustration et la grande déception de comprendre que c'était trop tard pour moi.
02:12 Est-ce que vos parents étaient d'accord ?
02:13 Non, pas du tout.
02:14 Ah bon ?
02:15 Non, pas du tout, parce que la famille de mes deux parents, ils se sont battus pour que mes parents fassent des études universitaires à l'époque.
02:23 C'était les années 90, je viens d'un petit village, et du coup c'était un peu compliqué.
02:30 La vision qu'on avait de métier artistique, elle n'était pas tout à fait rassurante.
02:36 Du coup, mes deux parents, ils voulaient que je fasse des études universitaires.
02:39 Et moi aussi.
02:41 Et c'est très bien, je les remercie.
02:43 Finalement, vous avez plutôt bien réussi tous les deux.
02:45 Je les remercie beaucoup, parce que j'ai eu la chance de pouvoir être diplômé en biologie et faire de la danse à côté.
02:51 Même si après, je me suis rendu compte que c'était trop tard.
02:53 C'est-à-dire, mais Jean-Pierre, vous avez fait de la danse classique aussi ?
02:55 Bien sûr, mais évidemment, ça ne se voit pas.
02:57 C'est le corps de Nuit d'ailleurs.
02:59 Olivier, j'ai le corps pour ça.
03:01 Deuxième extrait.
03:03 Alors, une chanson de Miguel Bosé, un autre chanteur espagnol, qui comme vous, était aussi acteur dans des films français, comme "Gazón maudit".
03:18 Il fait partie de vos modèles espagnols notamment.
03:21 Et en France, c'est plutôt "Du jardin brun", non ?
03:24 Oui, c'est un peu ça.
03:26 Mais à l'époque, c'était vraiment incroyable.
03:30 Pour moi, c'était quelqu'un qui dansait sur scène.
03:34 C'était excitant de voir un homme différent à la télévision et au concert.
03:42 Et voir quelqu'un qui avait une sensibilité différente.
03:45 J'étais très charmé pour ça.
03:46 Donc, modèle.
03:47 Pour moi, oui.
03:48 D'accord.
03:49 Troisième extrait.
03:50 2010, vous sortez votre tout premier album en Espagne, "Le secret de ma mère", sous le nom de "De Garbo".
04:12 Quelle est la signification de ce surnom, "De Garbo" ?
04:14 En fait, "De Garbo", ça vient un peu rappeler les années dorées hollywoodiennes du cinéma hollywoodien.
04:20 Et on avait une esthétique très années 30-40, sur scène.
04:28 Et en plus, "De Garbo", ça veut dire "mouvement avec du swing".
04:34 "Muévete con Garbo", ça veut dire "bouge avec la grasse" ou "avec le swing", avec la séduction, avec le style.
04:42 Avec la sensualité.
04:44 "La Garbo", c'était quelqu'un d'excellent.
04:46 Et aussi, ça allait beaucoup avoir avec Greta Garbo.
04:50 C'est en 2014, sous le nom de "De Garbo", que vous participez à un Rising Star sur M6.
04:55 Tout à fait.
04:56 Alors, on continue. Ce portrait musical, c'est pas mal.
04:58 Avec plaisir.
04:59 Quatrième extrait.
05:00 Tu ne me présentes pas ton amie ?
05:02 Si.
05:03 Alors, Adrienne, ma soeur Caroline. Caroline, Adrienne.
05:06 Hola.
05:07 Hola.
05:08 Tu es espagnol ?
05:09 Si.
05:10 D'où ?
05:11 Madrid.
05:12 Comme nous.
05:13 Si.
05:14 C'est là qu'on vous a découvert.
05:17 C'est Clem.
05:18 Ça a changé votre vie, Clem ?
05:20 Ça a changé ma vie. J'ai eu la chance de pouvoir travailler aux côtés de Victoria Abril,
05:24 qui pour moi, c'était une des comédiennes espagnoles que j'admire le plus.
05:28 Et voilà, pour moi, ça a été une grande, grande chance.
05:32 Ça peut revenir, Clem, ou pas, à votre avis ?
05:34 Je ne sais pas. Pour l'instant, je n'ai pas de nouvelles.
05:36 Pas de nouvelles.
05:38 Ou alors, affaire Kitrain, affaire Malsaine. Ça dépend.
05:41 On a fait la dernière saison. Pour moi, c'était la fin.
05:45 Après, je ne sais pas, il y avait des rumeurs comme quoi on allait revenir,
05:49 mais je n'en sais rien pour l'instant. Je n'ai pas de nouvelles.
05:52 Extrait numéro 6.
05:53 C'était hier, on prenait l'air autolender.
05:58 C'était hier, on s'aimait tout le temps.
06:03 C'était l'hiver, on caillait sous le réveil.
06:08 J'adore parce que ça fait bouger.
06:09 Olivier Bell, c'est une petite danse, ça.
06:11 Jean-Pierre Coucau aussi, on pense que le flamenco est un peu...
06:14 J'espère que vous avez une image.
06:15 2018, les Français découvrent votre talent de chanteur avec "C'était hier",
06:19 annonciateur de votre premier album en France.
06:22 C'est aussi un single écrit et composé par Nazim Khaled,
06:26 avec qui vous composez toujours d'ailleurs.
06:27 Tout à fait. On est resté des très bons amis.
06:33 C'est un ami très fidèle, avec qui j'ai eu la chance de partager deux titres dans mon nouvel album.
06:40 Et franchement, ce premier album, que je n'ai rien écrit du premier album éponyme
06:45 que j'ai sorti en 2018, mais toutes les histoires que je lui ai racontées
06:49 pour qu'il puisse écrire mes chansons,
06:52 il a respecté tellement le sens de mes histoires
06:56 et le noyau du message que je voulais faire passer.
07:01 Je trouve ça formidable.
07:03 Agostine Galliana a sorti un nouvel album "Ennamorado",
07:06 c'est le 12 avril 2024.
07:08 Restez avec nous, à tout de suite sur Europe 1.
07:11 9h30, 11h, Jean-Pierre Foucault sur Europe 1.